Staff 2019-2020

James notamment / principalement.

patrick a écrit:James notamment / principalement.

+ Blair entre un peu d'intendance si besoin et l'entraînement des 3/4 en mêlée (et un peu Vadim sur qui on peut toujours compter).

patrick a écrit:James notamment / principalement.

Ben oui c'est papy James qui entraine les arrières .
Dimanche , il sort certes avec le maillot bien blanc ( au fait sa graaave blessure qu'en est il ? ) mais il a clairement dominé Urdapilletta dans le jeu au pied .

Concernant Etcheto , le coté éternel ado qui fait la féte avec les joueurs et accéssoirement drague les femmes des autres ça finit par lasser avec l'age

Il devrait trouver une place au Boucau ou à Hendaye .

Vince33 a écrit:

patrick a écrit:James notamment / principalement.

Ben oui c'est papy James qui entraine les arrières .
Dimanche , il sort certes avec le maillot bien blanc ( au fait sa graaave blessure qu'en est il ? ) mais il a clairement dominé Urdapilletta dans le jeu au pied .

Concernant Etcheto , le coté éternel ado qui fait la féte avec les joueurs et accéssoirement drague les femmes des autres ça finit par lasser avec l'age

Il devrait trouver une place au Boucau ou à Hendaye .

à Bordeaux aussiiiii

Cette interview aurait pu attendre un peu il me semble
Midol





« Redevenir adjoint serait difficile »
Joe Worsley - Manager de l’UBB il a gagné quatre matchs sur cinq dont trois à l’extérieur. L’ancien international anglais, champion du monde en 2003, multi-titré avec les Wasps a six mois pour montrer qu’il est un bon manager, six ans après son arrivée comme adjoint dans le sillage de Raphaël Ibanez.

Propos recueillis par Jérôme PRÉVÔT
jerome.prevot@midi-olympique.fr
L’UBB est cinquième après deux victoires de suite à l’extérieur dont une chez le champion. Êtes-vous euphorique ?
Ce n’est pas vraiment ma tendance naturelle. Ce n’était qu’un match, je n’ai encore gagné aucun trophée.
Êtes-vous clairement en course pour le top 6 ?
Ça m’énerve de parler de ça. Depuis quatre ans, on a le sentiment qu’on doit le faire et ce n’est pas arrivé. Depuis que j’ai 20 ans, j’ai appris à vivre sans penser constamment à la fin de la saison - l’expérience m’a montré que ça ne marchait pas - mais à faire le mieux possible ce que je peux contrôler dans mon boulot quotidien.
Avec le recul qu’est ce qui vous a le plus marqué dans votre victoire à Castres ?
Le match de notre charnière évidemment, même s’il n’y a pas eu que ça. Un gars comme Nans Ducuing a aussi fait une très grande partie, avec des initiatives intéressantes. Je pense aussi que le collectif a été galvanisé par le carton rouge de Mahamadou Diaby.
Quand Laurent Marti vous a proposé de prendre la direction de l’équipe, comment avez-vous réagi ?
J’ai un peu réfléchi, j’avais encore des choses à apprendre, mais je me suis dit que des bonnes choses étaient déjà mises en place dans cette équipe. Je les connaissais, je les maîtrisais. Si quelqu’un d’autre était arrivé, elles auraient été bouleversées. Je me suis dit que ça aurait été dommage.
Avec votre CV prestigieux en tant que joueur, vous êtes restés six ans entraîneur adjoint avant de devenir numéro un. N’étiez-vous pas trop modeste ?
Quand on passe manager, on découvre un boulot de tous les instants. Il se passe toujours quelque chose. Pour des raisons personnelles, il me paraissait difficile de vivre ça. En tant qu’adjoint, je bossais à fond, mais mes tâches étaient plus régulières. Il y a aussi le fait que quand on est manager, on est a priori en charge du recrutement. Ça prend beaucoup de temps et d’énergie ça représente 40% du boulot, j’ai toujours trouvé ça difficile à assumer.
Vous succédez à Rory Teague. Allez-vous apporter d’un nouveau management ?
Forcément, je vais changer des choses, j’aurais d’autres interactions avec les joueurs. J’espère qu’avec moi, tout le monde finira la saison un peu meilleur qu’il ne l’a commencé. Même ceux qui ont moins joué.
On dit que Rory Teague était assez dur avec les joueurs. Serez-vous plus doux ?
Attention, Rory m’a appris des choses. Oui, avant j’étais très cool. Quand un joueur n’avait pas envie, il n’avait pas envie. Je laissais tomber. Rory m’a appris que certains avaient besoin du bâton, d’autres d’une carotte. Il faut savoir utiliser les deux. Sur les plans technique et tactique, je n’arrive pas avec des certitudes, je vais prendre l’avis de mes adjoints. Je pense que la vie d’un entraîneur est faite de compromis, comme la vie en général.
En six ans, vous avez vu beaucoup de choses évolué, non ?
Le club est très différent de celui que j’ai découvert en 2012. Tout a évolué, c’est fou. La dernière innovation a concerné le fonctionnement du staff avec un vrai processus clair et stable. Rory Teague a travaillé là-dessus. Nous pensons que les meilleurs clubs, comme Clermont, sont ceux qui ont un système performant. Si le manageur part, le nouveau arrive dans un processus qui marche déjà très bien, par exemple sur le plan de l’analyse vidéo, de la préparation physique… C’est ça qui amène de la constance dans un club. J’avais connu ça en 2002 aux Wasps avec Warren Gatland qui avait construit un staff très pointu pour l’époque. Nous avons fait la bascule entre d’un club empirique à un club professionnel. Il avait dit au président qu’il fallait investir d’abord dans le staff et son organisation avant de chercher à recruter les meilleurs joueurs. Les autres équipes anglaises ne faisaient pas forcément ça. C’est comme ça que les Wasps ont connu leur meilleure période entre2003 et2007.
N’avez-vous pas vécu l’invention de la « rush defense », spécialité des Wasps ?
Disons que nous avons été les premiers à la maîtriser grâce au travail de Shaun Edwards, un gars qui a beaucoup compté pour moi. À partir de 2008, on l’a vu entraîner les Wasps en semaine et le pays de Galles les week-ends internationaux. Il ne pouvait pas ne pas bosser au quotidien avec une équipe. Avec lui, nous sommes allés au fond des choses. Les Wasps de la grande époque, c’était une supériorité au niveau de la défense et de la condition physique. Toutes les équipes courraient après ça. Puis un jour, Paul Gustard et Andy Farrell sont venus nous observer et ils ont réussi à importer nos méthodes aux Saracens. Vous connaissez le résultat…
Avec votre expérience, seriez-vous capable de changer de système de défense en cours de saison au gré des événements ?
Franchement, non. Peu d’équipes sont capables de faire ça, il y a trop de risques de perdre le fil. Je n’ai vu qu’une équipe faire ça: les All Blacks face aux Lions en 2017.
Christophe Urios va arriver pour la saison prochaine. On ne vous imagine pas revenir à un poste d’adjoint à ses côtés. Ce sera peut-être le moment d’aller voir ailleurs…
Oui, ça me paraît évident. Je ne vais pas mentir. Après avoir goûté à la situation de manager, ça serait difficile vis-à-vis du groupe de redevenir adjoint. Mais je n’ai pas encore pris de décision ferme là-dessus.
Quels sont les joueurs qui vous ont le plus marqué comme entraîneur ?
Baptiste Serin d’abord, il fait des choses incroyables. Mais j’ai beaucoup aimé des gars qui n’avaient peut-être pas le niveau international mais qui avaient une vraie force mentale. Matthew Clarkin, ou Louis Benoit-Madaule par exemple.
Et comme joueur ?
McCaw par sa constance au plus haut niveau, je me souviens aussi de Jason Robinson toujours excellent quelles que soient les circonstances.
Vous aviez assisté à l’éclosion de Danny Cipriani ?
Oui, je le protégeais car la défense n’était pas son point fort mais en attaque, il faisait des trucs incroyables. Mathieu Jalibert me fait penser à lui.
À Bordeaux, il y a un joueur qui nous impressionne, Vadim Cobilas. Un pilier droit âgé, très utilisé et qui est très performant…
Oui, mais en fait, il n’a pas beaucoup joué à haut niveau quand il était jeune. Il est venu assez tard. Il est comme une voiture ancienne qui aurait peu de kilomètres au compteur.
Quel est votre meilleur souvenir depuis que vous êtes à l’UBB ?
Ma mentalité me pousse à ne retenir que les moments difficiles, pour les surmonter. Je reste très marqué par la pénalité manquée par Lionel Beauxis face aux poteaux en 2015 à Toulouse. Nous étions presque en barrage et tout s’est effondré.

Les journalistes là comme ailleurs ont des prédispositions pour semer la merde, ils appellent ça faire de l'information.Bien sur que si l'UBB ne réussit pas une mauvaise année, le problème du staff actuel se pose, supposons Urios débarque avec une mauvaise année à Castres et l'UBB marche sur l'eau?
Pourquoi changer tout ce beau monde?
Si c'est pour prendre un type qui se chie dessus à Montauban pour les avants?
On ne va pas tout rebâtir chaque saison.
Laurent verra donc en son temps, "les chiens aboient la caravane passe"

OK on peut acter que Worsley partira à la fin de la saison. C'est tout sauf une surprise. Mais effectivement là c'est du reportage à deux sous pour foutre la merde....

En fait ce n'est pas un reportage , mais une interview ; le journaliste demande à interviewer Joe Worsley, qui peut refuser; il n'est pas dans l'obligation !
Je trouve qu'il aurait pu attendre. Maintenant, il a été simple, sincère et respectueux. Du coup, les choses sont claires et propres.
Au final cette interview quand bien même prématurée ne m'apparait pas porteuse d'effets négatifs et peut-être offre-t-elle même la perspective d'une libération ultime du groupe et du staff actuels.

Interview pleine d'enseignements, sur le fonctionnement des deux dernières saisons, un peu a la cool, si Marti ne l'à pas nommé au départ de Brunel, on le comprend dans ses réponses. Alors qu'il avait la legitimité de l'ancienneté et un savoir faire technique indéniable. Teague à été le bras armé de Marti , ce que Worsley ne voulais pas faire. Question de caractère, maintenant j'ai l'impression que les joueurs ont pris les clefs du camion. Attention à la décompression quand meme, on à battu Castres chez lui ok, mais le match qui fera basculer les choses c'est celui de Dimanche. Hors c'est très francais de réaliser un exploit et le lendemain.. la vidéo du bus est sympa mais attention, on dirais qu'on à décroché la qualif. Quand Worsley dit "quand un joeur ne voulais pas je n'insistais pas " et bien ok , ben prend ta douche alors, on crois un peu rêver quand même.

L'important c'est de réussir et pour la douche le camarade Urios trouvera le ton qu'il faut pour lui donner la serviette et la savonnette.
Avec Worsley on est dans le même cas qu'on a été avec Sonnes,où le second dépasse en compétence le patron, mais ne veut pas se charger des basses oeuvres hors tout n'est pas un long fleuve tranquille, il faut aussi savoir montrer les dents.
Tout cela vient trop tôt, mais il est vrai que notre gars aurait pu refuser effectivement, il avait lui aussi peut être à faire passer un message.

Franchement, rien ne peut être pire que la séquence qu'on a vécu avec Teague et cette tension permanente dans et autour du club. Joe est un bon mec qui a le respect des joueurs, on peut comprendre que quand tu goutes
à ce genre de responsabilité et que ça se passe bien, mieux que tous les coach que tu as vu défiler, tu te sente un peu pousser des ailes, même si c'est encore un peu tôt pour s’enflammer.
J’espère que le Racing ne nous remettra pas les pieds sur terre...

L’UBB meilleure équipe de Top 14 sur les mois de novembre-décembre


https://rugby-scapulaire.com/breves/72556-lubb-meilleure-equipe-de-top-14-sur-les-mois-de-novembre-decembre

Moi je dis MERCI a Rory parce que peut-être que la forme était a revoir mais je pense que sur le fond il avait parfaitement raison! Il a su mettre un grand coup de pied dans la fourmilière et faire bouger tout le monde!
Maintenant espérons que sa dure

L'ÉQUIPE

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Mam's a écrit:Moi je dis MERCI a Rory parce que peut-être que la forme était a revoir mais je pense que sur le fond il avait parfaitement raison! Il a su mettre un grand coup de pied dans la fourmilière et faire bouger tout le monde!
Maintenant espérons que sa dure

Il avait raison sur l'analyse, l'UBB manquait de rigueur, c'est le moins que l'on puisse dire..., mais dans le passage aux actes, il a commis beaucoup trop d'erreurs, il a manqué d'humain dans son management, manager, ce n'est pas obligatoirement à la Shlague, les joueurs ne sont pas des bœufs.

c'est sûr que Worsley continu sur les bases bâti par Teague, mais sans le côté psychorigide, en concertation avec les autres membres du staff et les joueurs, le groupe est maintenant dans une dynamique, une joie de jouer qui aurait été impossible avec Teague.

Nul doute que Teague aura appris de son passage à Bordeaux qu'il faut parfois mettre un peu d'eau dans son vin...

SCALP a écrit:
Nul doute que Teague aura appris de son passage à Bordeaux qu'il faut parfois mettre un peu d'eau dans son vin...

Je pense qu'à Bordeaux il a surtout appris le contraire : qu'il faut toujours mettre beaucoup de vin dans son eau pour rendre les choses moins insipides

Midol



qui avec urios et charrier ?
comme prévu, christophe urios a commencé, cette semaine, à préparer la saison prochaine

avec son futur club de l’UBB. son premier chantier : la constitution de son staff qu’il doit peaufiner.


Par Émilie DUDON avec Simon VALZER
(avec V. B.)
emilie.dudon@midi-olympique.fr
Christophe Urios l’avait annoncé après l’officialisation de sa signature à l’UBB pour les quatre prochaines années, en novembre dernier, il allait se pencher sur le projet et le recrutement du club girondin à partir de janvier, « sur son jour de congé ». Le futur patron du sportif bordelo-béglais n’a pas menti : dès ce mercredi, il était dans la préfecture girondine pour rencontrer le staff et entamer son travail en vue de la saison prochaine. S’il ne reste plus que des avants (un deuxième ligne et un numéro8) à trouver côté joueurs (l’arrivée de l’arrière-ailier argentin Santiago Cordero a été officialisée par le club dimanche, celle du talonneur Kevin Le Guen l’a aussi été cette semaine, par Soyaux-Angoulême), il reste un recrutement de poids à effectuer: celui de ses adjoints dans le staff.
À ce jour, il semble acquis que son actuel entraîneur des trois-quarts à Castres, Frédéric Charrier, le suivra sur les bords de la Garonne. Les deux hommes travaillent ensemble depuis longtemps : alors qu’il avait fait du trois-quarts centre son capitaine à Oyonnax, Christophe Urios l’avait nommé à la tête des trois-quarts du club de l’Ain dès l’année qui suivit sa retraite sportive. Les deux techniciens se sont suivis depuis avec, en point d’orgue, le Brennus conquis au Stade de France en juin dernier.
AVANTS : NARRAWAY PARTI POUR RESTER
La véritable interrogation, à l’heure actuelle, concerne les avants. La première question est de savoir si Luke Narraway, actuel détenteur du poste, va être conservé. Jusqu’alors, trois noms avaient été évoqués pour le remplacer en cas de changement : celui du Montalbanais Pierre-Philippe Lafond qui a officialisé lundi (lire p. 28) son départ. Celui de Mathieu Bonello, en fin de contrat avec Lavaur qu’il a mené au titre de champion de France de Fédérale 1 l’an passé et encore celui de Julien Laïrle qui a, en parallèle, entamé des négociations avec ses dirigeants de Soyaux-Angoulême après avoir présenté un projet pour les saisons à venir. Selon nos informations, aucun de ces prétendants ne sera toutefois aux commandes des avants girondins l’année prochaine. Pourquoi ? Tout simplement parce que la rencontre entre Christophe Urios et Luke Narraway s’est avérée très positive et que futur boss de l’UBB n’aurait, pour l’heure, aucune raison justifiant un quelconque changement. L’ancien troisième ligne international anglais (35 ans, 7 sélections) n’est qu’un jeune entraîneur puisqu’il a intégré le staff girondin cette saison mais il fait l’unanimité auprès du vestiaire et des dirigeants bordelo-béglais.

le radis a écrit:Midol
L’ancien troisième ligne international anglais (35 ans, 7 sélections) n’est qu’un jeune entraîneur puisqu’il a intégré le staff girondin cette saison mais il fait l’unanimité auprès du vestiaire et des dirigeants bordelo-béglais.[/color]

Merci Radis pour l'article. Si ce morceau est vrai (on a toujours un doute avec le Midol), c'est très intéressant. Narraway était un pur produit de l'organisation de Teague, et on était nombreux en début de saison à mettre en doute la pertinence du choix vu les contre-performances en conquête. S'il reste, ce serait une autre confirmation que Teague ne faisait pas n'importe quoi finalement. En tout cas s'il est un tant soit peu responsable des performances remarquables de nos gros ces derniers matches, je lui tire mon chapeau.

Très bien, c'est important qu'il puisse y avoir de la continuité avec ce qui marche bien.
Par contre, qu'en est-il de Brock James ???

Luke Narraway restera à l'UBB
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2018-2019/top-14-luke-narraway-restera-a-l-ubb_sto7085933/story.shtml

Biscouette a écrit:Luke Narraway restera à l'UBB
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2018-2019/top-14-luke-narraway-restera-a-l-ubb_sto7085933/story.shtml

Nos derniers matchs, la capacité des avants à en permanence se replacer autour des rucks, notre touche (enfin) quasi parfaite et notre bonne mêlée plaident pour le maintien de Narraway, Poux et Worsley (s'il veut rester). Ca m'étonnerait aussi qu'Urios se prive de James, spécialiste du jeu au pied qui va être à reconstruire avec son (vrai) départ à la retraite et le départ de Serin qui lui aussi prend aujourd'hui beaucoup le jeu au pied à son compte.

patrick a écrit:

Biscouette a écrit:Luke Narraway restera à l'UBB
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2018-2019/top-14-luke-narraway-restera-a-l-ubb_sto7085933/story.shtml

Nos derniers matchs, la capacité des avants à en permanence se replacer autour des rucks, notre touche (enfin) quasi parfaite et notre bonne mêlée plaident pour le maintien de Narraway, Poux et Worsley. Ca m'étonnerait aussi qu'Urios se prive de James, spécialiste du jeu au pied qui va être à reconstruire avec son (vrai) départ à la retraite et le départ de Serin qui lui aussi prend aujourd'hui beaucoup le jeu au pied à son compte.

Malheureusement Worsley a été clair dans son interview, il partira en fin d'année. Je le vois mal revenir sur ses propos...

krahknardz a écrit: Malheureusement Worsley a été clair dans son interview, il partira en fin d'année. Je le vois mal revenir sur ses propos...

Il peut peut-être y avoir une autre distribution des rôles, avec plus de responsabilités pour JW ? (CU plus en recul et JW plus dans la direction des entraînements, un truc dans le genre). Après cela dépend sans doute aussi du sort de BJ, qui ne voudra peut-être pas se contenter du seul jeu au pied…

Worsley rejoindra le XV d'Angleterre,il aura fait du bon travail.
Après laissons à Urios le choix de ses armes,il a choisi de s'investir dans l'Union et on l'attend au niveau résultat.

léopold a écrit:Worsley rejoindra le XV d'Angleterre,il aura fait du bon travail.
Après laissons à Urios le choix de ses armes,il a choisi de s'investir dans l'Union et on l'attend au niveau résultat.

Je ne pense pas que ce sera le choix d'Urios de faire partie Worsley, mais plutôt ce dernier qui n'accepte pas de redevenir adjoint après avoir goûté au pouvoir managérial. Un départ dans le staff du XV de la Rose semble une possibilité, est-ce que le départ d'Eddie Jones après la Coupe du Monde n'avait pas été évoqué? Ce qui redistribuerait les cartes complètement au niveau du staff là-bas. On ne peut que le regretter pour l'UBB, et s'en féliciter pour Worsley qui s'est plus qu'investi dans l'équipe depuis qu'il est chez nous.
En espérant qu'il partira sur un résultat historique!!

Après être tombé sur deux trois articles sur Urios dont un dans le magazine Tampon (que je recommande) autant le bonhomme me fait une bonne impression, autant sa vision du rugby commence à légèrement m'inquiéter : le combat, le combat, le combat!!! Peut être suffisant pour mieux figurer dans le top 14, mais est ce suffisant pour voir un jeu plus enthousiasmant ? Il ne conçoit pas la notion de spectacle.
On verra bien...