Top 14-18ème journée : Montpellier/UBB

Oui mais face à Ngandebe, Connor est plus approprié que Nabuli.
Tu sais ce qu'il devient Nagusa ? (j'aime bien quand on répond à mes questions !   )

On va payer les pots cassés.

INFO RMC SPORT. Mohed Altrad, le propriétaire du Montpellier Hérault Rugby (9e du Top 14), est intervenu lundi soir pour tenter de sauver la saison alors que la situation est tendue dans le groupe.

Les mauvais résultats actuels de Montpellier, avec quatre défaites d’affilée en Top 14 et 13 points de retard sur de la 6e place qualificative (9e actuellement), ont remis au goût du jour les tensions dans le vestiaire et une fracture avec, notamment, les Sud-Africains. Mohed Altrad, le propriétaire et président du MHR, a reçu tous les joueurs lundi soir pour crever l’abcès et tenter de sauver une saison qui pourrait être un véritable échec sportif.
Contrairement à ce que l’on peut entendre depuis quelques semaines, le groupe ne vit pas si bien que cela. Malgré toutes les activités extra rugby (karting, water-polo, visite de cave et dégustation de vin etc.) pour resserrer le collectif, une fracture existe aujourd’hui entre certains Sud-Africains et le reste du vestiaire.

Fracture entre les Sud-Africains et Cotter

Ruan Pienaar, François Steyn et les frères Du Plessis se sont isolés et pourraient faire exploser l’équilibre que Vern Cotter a mis en en place. Ils ne seraient d’ailleurs pas contre un départ de l’entraîneur néo-zélandais dès maintenant. Ils attirent dans leur sillage quelques joueurs et la fracture est importante.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, Johan Goosen ne fait pas partie du groupe des fondeurs. Il est apprécié par les joueurs français et son intégration est une parfaite réussite.
Dans le vestiaire, on reproche l’attitude des Sud-Africains, qui pensent davantage à eux qu’à la réussite du club, le peu d’investissement qu’ils peuvent mettre à l’entraînement et surtout leur niveau en match. Bismarck Du Plessis, François Steyn ou Ruan Pienaar sont aujourd’hui très loin du rendement qui avait permis au MHR d’atteindre la finale du Top 14 la saison dernière.

Pienaar ne devrait pas rester

Pienaar, qui est rentré en Afrique du Sud pour un décès familial, aurait également mal digéré que le brassard de capitaine soit confié à Benoît Paillaugue à son retour de blessure. Et selon les informations de RMC Sport, le champion du monde sud-africain ne devrait pas honorer sa dernière année de contrat. Une bonne nouvelle finalement pour le club. Un moyen, déjà, d’aplanir les tensions.
Devant ces problèmes, Mohed Altrad est intervenu. Avant le match de Toulouse, le patron du club a reçu des groupes de leaders pour trouver des solutions. Une intervention qui a quasiment porté ses fruits. Le MHR a fait un match solide chez le leader toulousain (27-14), irréprochable sur l’état d’esprit. Et sans une dernière pénal-touche non trouvée par Frans Steyn, le MHR aurait pu ramener un point de bonus défensif minimum.
Le président n’est pas resté les bras croisés depuis cette nouvelle défaite, la dixième de la saison. Selon Midi Olympique, Altrad aurait sondé le marché des entraîneurs. Soit pour remplacer Vern Cotter, soit pour renforcer son staff si le néo-zélandais allait au bout de son contrat (expire en juin 2020).

Changement de discours

Ce lundi soir, Mohed Altrad a reçu tous les joueurs à son mas pour évoquer la saison et tenter d’aplanir les tensions. Une longue réunion qui a fini très tard et dont Cotter serait sorti renforcé. Même si rien n’a encore filtré de cette réunion, les discours ont déjà changé depuis lundi soir. Plus question de parler de qualification aujourd’hui. Le club a déjà basculé sur la saison prochaine.

« On est sur la préparation de la saison prochaine, confie d’ailleurs Vern Cotter ce mardi. On va développer les jeunes, prendre les mecs qui ont envie d’avancer et avancer avec. » Objectif confirmé par Benoît Paillaugue: « Il faut construire sur le futur. Ça sera peut-être une année blanche, ça arrive. On doit s’appuyer sur des joueurs qui aiment ce club et qui ont envie de redorer l’image du MHR. »

Vern Cotter pourrait d’ailleurs être tenté de lancer les jeunes ce samedi contre l’UBB pour construire le nouveau MHR, retrouver un ADN, une identité, un état d’esprit. Bref, tout reconstruire, une nouvelle fois.
Source: rmcsport.com

de la a payé les pots cassé.... je trouve que tu y vas un peu fort! On sais tous que lancé des jeunes c'est bien mais faut-il encore que la mayonnaise prenne! Et que les dis jeunes soient au niveau!
Je pense que dans ce cas on a notre carte a jouer! enfonçons les, profitons-en pendant qu'ils sont en plein doute!

le radis a écrit:Oui mais face à Ngandebe, Connor est plus approprié que Nabuli.
Tu sais ce qu'il devient Nagusa ? (j'aime bien quand on répond à mes questions !   )

Nadolo est un joueur au physique hors norme, comme l’était Lomu.
Il me semble qu’il faut tenir compte de ce paramètre.
Tu mets qui tu veux face à wngandebe, mais plutôt rapide quand même
Sinon désolé pour Nagusa, je n’en sais rien du tout!

J’espere Qu’on montrera un autre visage qu’à l’aller...

L'ÉQUIPE : https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Top-14-le-mhr-est-au-coeur-d-une-crise-sportive/993125

Top 14 : le MHR est au coeur d'une crise sportive

Battu lors des quatre dernières journées, quasiment éliminé de la course à la qualification, Montpellier voit aussi son vestiaire se fissurer. Son président, Mohed Altrad, a reçu plusieurs leaders pour tenter de redresser le navire.

MONTPELLIER - Le revers de Toulouse (14-27), le quatrième d'affilée en Top 14, déjà le dixième cette saison, est finalement le reflet de cet exercice mal emmanché, de plus en plus pesant au fil des semaines. Le MHR n'a pas tout fait mal samedi, il a même longtemps asticoté le leader haut-garonnais, mais il a manqué de justesse plus que d'engagement, gaspillé seize ballons et pâti d'une conquête comme souvent déréglée.

Avec treize points de retard sur le Stade Français, la qualification est maintenant illusoire, et ce MHR moribond cherche surtout à redorer son blason, à faire corps dans une période fatalement difficile à vivre et qui finit par exacerber les crispations. Ces mots récents de Benoît Paillaugue bruissent d'ailleurs d'un tout autre écho aujourd'hui. « On ne va pas lâcher, on va rester soudé, lançait-il au soir du revers devant Perpignan, mais c'est quand on est dans la merde que l'on voit le caractère de chacun. Et là, on est dans la merde. »

À tel point que certaines tensions resurgissent dans un vestiaire aux aspirations parfois disparates. Longtemps, on a opposé les légions sud-africaine et française. Le problème est plus complexe. Les plus jeunes des Sud-Africains, les Jacques Du Plessis, Nicolaas Van Rensburg ou Henry Immelman, sans parler du néo-Bleu Paul Willemse, s'intègrent volontiers au projet. Les plus expérimentés, ceux qui sont en fin de carrière, n'ont pas tous cette même adhésion. Ruan Pienaar, par exemple, ne s'est jamais vraiment adapté à la vie dans le Sud au point qu'il n'ira pas au terme de son contrat, en 2020. Son attitude, comme celle de François Steyn peut parfois être déroutante. Bismarck Du Plessis est lui aussi très loin du niveau qui était le sien ces dernières saisons. Leur conduite pose problème. On dit qu'ils ont lâché Vern Cotter, à qui il reste une année de contrat, ce qui expliquerait, d'ailleurs, que Mohed Altrad croule sous les candidatures. Le président assure pourtant avoir renouvelé sa confiance au technicien néo-zélandais. Il assure, aussi, n'avoir rencontré ni Michael Cheika ni Eddie Jones, encore moins Xavier Garbajosa.

«Il y a des problèmes mais on est en train de les régler» Mohed Altrad, président de Montpellier

Mais avant de songer à demain, il faut bien assumer ce présent tourmenté et, comme le dit Benoît Paillaugue, « sauver le club ». Mohed Altrad - ce n'est pas le style - ne reste évidemment pas les bras croisés. Dès dimanche soir, il a reçu à son domicile quelques joueurs choisis parmi les leaders. Il les avait déjà réunis après l'humiliation face à Perpignan. Lundi, il les a tous accueillis, répartis en trois groupes. « Il y a des problèmes, nous a-t-il confié, mais on est en train de les régler. » Il a aimé la teneur, la sincérité des échanges. Certains ont été vifs, « fructueux ». Il ne jurera pas qu'ils aient apaisé toutes les tensions.

Vern Cotter, en attendant, doit trouver la meilleure harmonie possible dans son vestiaire, composer avec des motivations qui diffèrent du tout au tout. Cotter a l'âme d'un bâtisseur, il cherche à définir une identité, un ADN, donner à ce club une véritable philosophie dans le jeu, dans les comportements. Il compte avec les jeunes, vante les mérites du centre de formation. Samedi à Toulouse, il a aimé l'attitude d'Yvan Reilhac, celles de Gabriel N'Gandebe ou Henry Immelman. « On va développer les jeunes, dit-il, prendre les mecs qui ont envie d'avancer, et avancer avec nous. » Capitaine en l'absence de Louis Picamoles et particulièrement investi dans la mission « sauvetage », Benoît Paillaugue ne fait aucun mystère des enjeux de demain : « On doit s'appuyer sur des joueurs qui aiment ce club, et qui ont envie de redorer l'image du MHR ».

C'est une manière de voir les choses, même si on imagine mal le MHR se passer durablement de ses stars. Mais pour se sortir de la spirale négative, tout semble bon à prendre en ce moment. En début de semaine, Didier Sanchez, spécialiste de la mêlée, est ainsi venu partager son expertise et rassurer un édifice en souffrance. Mardi après-midi, Louis Picamoles, Yacouba Camara et Paul Willemse, libérés par l'équipe de France, sont même venus s'entraîner et redonner un peu de sourire à un groupe qui avait besoin de ce réconfort...

Une saison blanche en cinq actes

Acte 1 : 26 août, 1ère journée de Top 14. Montpellier-Castres (20-25)

Le Top 14 s'ouvre sur « le remake » de la finale 2018. Les Héraultais, battus (29-13) au Stade de France, veulent s'imposer pour « passer à autre chose » dixit Vincent Martin. Mais ils sont cueillis d'entrée par les Tarnais.

Acte 2 : 21 octobre, 2 journée de Coupe d'Europe. Newcastle-Montpellier (23-20).

Montpellier perd trois points à Newcastle en encaissant un essai à la 89e minute, au terme d'une action à trente- neuf temps de jeu. Des points qui coûteront cher au MHR, éliminé de la Coupe d'Europe le 18 janvier.

Acte 3 : 1 décembre, 11 journée de Top 14. Montpellier-Clermont (23-28).

Un raté de Cruden au pied qui offre un essai de 95 mètres à Damian Penaud, une mêlée sans cesse pénalisée et Montpellier perd face à Clermont. Les hommes de Vern Cotter s'inclinent une troisième fois à domicile après Castres et le Racing 92 (13-27).

Acte 4 : 5 janvier, 14 journée de Top 14. Montpellier-Lyon (14-25).

Concassés au match aller (55-13), les partenaires de Fulgence Ouedraogo et Johan Goosen s'inclinent à nouveau, en affichant un manque de cohésion criant. « Sans doute faudrait-il arrêter de faire des réunions et montrer plus de choses en match, comme aux entraînements», disait alors le troisième-ligne.

Bon l'article s'arrête à l'acte 4, l'acte 5 c'est sûrement l'humiliation à domicile contre l'USAP, à nous de leur infliger un acte 6...

un petit débriefing de la séance d'entrainement de ce matin?

L'ÉQUIPE : https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Louis-picamoles-sur-la-situation-au-mhr-il-n-y-a-pas-de-fracture/993108

Louis Picamoles, sur la situation au MHR : «Il n'y a pas de fracture»

Le capitaine de Montpellier, concède des tensions dans le vestiaire et appelle à l'unité.


« On dit que la mauvaise passe exacerbe la fracture entre certains joueurs sud-africains et les Français...

Honnêtement, on ne peut pas parler de fracture. Il y a des différences culturelles, elles existent et elles me semblent normales. Mais il n'y a pas de fracture.

Ces différences sont-elles alors plus marquées en ces moments difficiles ?

On est stigmatisés par rapport au nombre d'étrangers, alors que l'on n'en possède pas plus qu'ailleurs. Il y a une particularité, c'est que la majorité vient d'Afrique du Sud, un héritage culturel qui date de l'époque Jake White (2014-2017). On assume cette particularité. La plupart de ces joueurs sont maintenant intégrés. Mais c'est vrai, la différence existe, et on travaille pour s'adapter les uns aux autres. On discute. On échange. Sans doute n'a-t-on pas suffisamment communiqué à certains moments. En tant que capitaine, j'assume d'ailleurs cette responsabilité.

Mais ces tensions, alors ?

On vit une saison difficile (9es, 33 points). Forcément, ça crée des doutes, des tensions. Mais elles ne sont pas accentuées parce qu'il y a des joueurs sud-africains. On nourrit ce fantasme qu'il y a deux mondes qui s'ignorent. J'entends les rumeurs. Elles sont grossièrement retranscrites. C'est grossier, oui, de résumer la période actuelle en un conflit entre Français et Sud-Africains.

On dit qu'une partie du vestiaire, aurait lâché Vern Cotter

...Vern a tout notre soutien, il n'est pas lâché par le vestiaire, loin s'en faut.

On dit aussi que vous auriez vous, les Français, lâché Johan Goosen

...C'est également archifaux. J'ai moi aussi entendu cette rumeur-là. On l'a d'ailleurs exprimée à "Goose". Au départ, il a pu y avoir un peu d'appréhension après l'épisode du Racing (*) mais elle a très vite été levée. Sur son état d'esprit, son attitude, il n'y a rien à redire.

Mohed Altrad a tenu à vous rencontrer un par un. Quel a été le sens de son message ?

Nous sommes tous conscients de ne pas évoluer au niveau qui doit être le nôtre. On est à notre place par rapport à ce que l'on montre sur le terrain, mais pas par rapport à notre standing. Cette neuvième place ne nous convient pas. On a échangé énormément là-dessus pour essayer de comprendre, de trouver des solutions. Qu'est-ce que l'on peut faire de mieux pour que ça marche à nouveau ? Voilà la vraie question à laquelle on doit tous réfléchir.

«On a mis des mots sur les soucis, maintenant il faut des actes»

Quelles réponses pensez-vous, justement, pouvoir apporter ?

Il faut, et on en a la volonté, montrer un autre visage. Dans nos actions comme dans nos attitudes. Cette volonté de changer nos conduites doit animer le groupe jusqu'à la fin de saison, parce qu'on ne peut tirer aucun enseignement définitif avant la fin d'une saison.

Y a-t-il une forme d'urgence ?

Bien sûr, et il faut bien en prendre conscience, réagir, parce que ça (la relégation) arrive vite. On a vu d'autres clubs ne pas réagir assez vite et longtemps le regretter. Après, prendre conscience, c'est nécessaire, mais être miné par la situation ne peut rien amener de bon.

Les réunions avec le président auront-elles changé les choses ?

On a mis des mots sur les soucis, maintenant il faut des actes. Il ne peut que ressortir des choses positives de ces échanges. La pire des choses, ce sont les non-dits. On doit se regarder dans une glace. Et avancer. »

(*) Goosen avait rompu son contrat avec le Racing en décembre 2016 en prétextant prendre sa retraite pour pouvoir travailler en Afrique du Sud. Cette saison, il a rejoint Montpellier, Mohed Altrad ayant racheté son contrat à hauteur de 1,5 million d'euros.

Montpellier est dans le dur, et sa situation est difficile. Pas de pitié, il faut en profiter ! Perpignan l'a fait, pourquoi pas nous ?! Une victoire là-bas serait à la fois un signal fort envoyé aux autres clubs, mais également une superbe opération comptable.

Je pense qu'il y a la place, mais il faudra être très appliqué, en scorant sur chaque occasion.

Switch a écrit:Montpellier est dans le dur, et sa situation est difficile. Pas de pitié, il faut en profiter ! Perpignan l'a fait, pourquoi pas nous ?! Une victoire là-bas serait à la fois un signal fort envoyé aux autres clubs, mais également une superbe opération comptable.

Je pense qu'il y a la place, mais il faudra être très appliqué, en scorant sur chaque occasion.

Dans un sport de combat, je n'aime pas le terme de "pitié" mais plutôt de "respect de son adversaire".
Donc si respecter veut dire qu'on leur en passe 50 alors pas d'hésitation

Quand nous étions dans le dur, les clubs profitaient de notre faiblesse pour nous en mettre 40
Et au rugby il faut toujours jouer sur la faiblesse de son adversaire.

D'acc avec Jaja !

https://www.sudouest.fr/2019/02/27/l-ubb-prepare-son-deplacement-a-montpellier-5855698-773.php#xtor=RSS-10521769

L’UBB prépare son déplacement à Montpellier

L’Union Bordeaux-Bègles se déplace dans l’Hérault ce samedi (18h). Le point à J-3.

Après sa victoire bonifiée face à Grenoble (47–31), l’Union Bordeaux-Bègles prépare son déplacement à Montpellier (ce samedi à 18h), comptant pour la 17e journée de Top 14. Pour ce rendez-vous, le club girondin devra se passer de ses internationaux français, Poirot et Serin, qui sont présents à Moga cette semaine mais remonteront vendredi à Marcoussis pour préparer le match en Irlande (le 10 mars), ainsi que de Gorgadze, retenu avec la Géorgie pour le match de Rugby Europe Championship (Tournoi B) en Belgique (ce samedi).
Suspendu lors du dernier match, Connor était aussi absent ce mercredi à Moga puisqu’il passe devant la Commission de discipline de la LNR suite à son carton rouge reçu à Clermont (16e journée).
Touché à la cheville lors du dernier match face à Grenoble, Diaby ne s’est pas entraîné ce mercredi, tout comme Roumat (préservé), James (douleur aux ischios) et Seuteni (?).
En revanche, Maynadier (traumatisme pied gauche) et Tabidze (forfait de dernière minute face à Grenoble) ont fait leur retour. Absent depuis de longs mois, Tauleigne a lui aussi repris l’entraînement en douceur ce mercredi mais n’est pas encore apte. « On veut y aller progressivement avec lui », a déclaré Luke Narraway, l’entraîneur en charge de la touche girondine

Absent face à Grenoble, Ducuing (adducteurs) a repris la course, tout comme Woki (adducteurs).
Bien que sa saison est terminée suite à une opération des cervicales début novembre, Kaulashvili a lui aussi repris la course aujourd’hui.

Dufour, Delboulbès, Marais, Lonca et Tilsley sont toujours à l’infirmerie.

Merci à SO pour ce récap précis !

Gare à la bête blessée...il se pourrait bien que ce soit eux qui nous en colle 50

Du coup ma compo tombe à l’eau:

Poirot Dufour kaulasvili
Marais Woki
Diaby Tauleigne Gorgadze
Serin James
Connor Seuteni Lonca Tisley
Ducuing

Attention surtout ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué .. Ils sont dans le dur et très dangereux dans ces moments là , va falloir être très sérieux et éviter la défense gruyère du match contre Grenoble si on ne veut pas une autre désillusion comme à Clermont

OBELIX du 24 a écrit:Attention surtout ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué  .. Ils sont dans le dur et très dangereux dans ces moments là , va falloir être très sérieux et éviter la défense gruyère du match contre Grenoble si on ne veut pas une autre désillusion comme à Clermont

Je pense surtout qu'il va falloir se concentrer sur les fondamentaux car je vois bien le MHR se recroqueviller sur ses forces faites essentiellement de défi physique dans l'axe et de ballons portés. Une fois encore cela se jouera sur notre discipline : chaque faute dans notre camp se transformant en pénaltouche

Bah, à ce niveau, soit on est capables de l'emporter à Montpellier, soit on n'a rien à faire dans le Top6. Donc faisons confiance à nos joueurs pour se motiver, et nous refaire le genre de match qu'ils ont fait à Castres (mais sans le carton SVP!!! )

pas optimiste !
l'animal est blessé...
il y a deux ans on n'a pas réussi à les battre en jouant les deux tiers du match à 15 contre 14...
alors cette année ...quand on sera à 13 contre 15 (après notre cinquième carton rouge et un jaune!)...

https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2018-2019/top-14-mahamadou-diaby-pas-d-autres-chemins-vers-la-reussite-que-le-travail_sto7164321/story.shtml

https://www.midilibre.fr/2019/02/26/rugby-yacouba-camara-de-retour-vincent-giudicelli-absent-trois-mois-pour-montpellier,8038627.php

https://rugby-scapulaire.com/breves/75610-beka-gorgadze-hors-du-groupe-georgien-pour-le-match-contre-la-belgique


Notre 3ème ligne, Beka Gorgadze, ne figure pas dans groupe de joueurs retenus pour la 3ème rencontre du Rugby Europe Championship contre la Belgique.
Par contre il n’est pas dit s’il était libéré pour participer au match contre Montpellier.

https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2018-2019/top-14-lubb-peut-y-croire_sto7164690/story.shtml

Je cite:"Et si c’était la bonne année ? À Bordeaux, on reste prudent, évidemment. Depuis la remontée de 2011, le club a trop alterné les périodes d’euphorie avec les trous d’air. Mais les faits sont là: l’UBB n’a jamais été aussi bien placée si près du sprint final (cinquième avec 48 points, dix victoires, un nul et sept défaites)."
Ok c'est sympa pour le club, mais le pigiste qui a écrit ça devrait retourner en école de journalisme. On était bien mieux classé en 2014-2015 avec 50 points une quatrième position (!), et surtout 11 points d'avance sur le 7ème, Castres. Par contre les 9 derniers matches on s'en souvient tous ont été catastrophiques avec à peine 4 victoires...

Ce papier et la une du Midol de demain sont assez malvenue, je trouve. Si nous perdons à Montpellier (à fortiori si c'est une fessée), nous passerons encore une fois pour des peintres, pour l'équipe qui tente, qui s'approche, mais ne concrétise jamais vraiment

Nous étions retombés dans un certain anonymat, et ca nous allait très bien. L'UBB n'est pas (encore) faite pour vivre sous les projecteurs, surtout dans une situation qui reste instable et fragile. Il suffirait que Paris et Castres enchaînent deux bons résultats, pour qu'une défaite à Montpellier nous fasse vite retomber à la 7ème place, à portée du Racing.

Pas d'emballement, PAS D'EMBALLEMENT ! Ce club a déjà donné au sujet de l'optimisme, et a déjà suffisamment vécu de déceptions pour ne pas s'emballer trop vite. Prenons les matchs les uns après les autres. Il ne faudrait pas oublier, par exemple, que si Paris et Castres ont encore 5 réceptions pour 4 déplacements, l'UBB n'a plus que 4 réceptions pour 5 déplacements, et pas des moindres (Montpellier, Racing, Toulon, Lyon et La Rochelle).
On peut espérer un dernier faux pas à domicile de l'un de nos concurrents, mais en Top14 comme dans la vie, mieux vaut d'abord compter sur soi que sur les autres. Il faudra donc aller arracher un succès en déplacement tout en préservant notre invincibilité à domicile (sachant que pour notre dernière à Chaban nous recevrons...Toulouse). C'est loin d'être fait.
Je ne voudrais donc pas jouer les rabat-joies, mais une qualification est à l'heure actuelle très loin d'être acquise, et ce malgré notre 5ème place ! Je reste pour l'heure plutôt convaincu que Paris et Castres sont mieux placés que nous pour les 2 dernières places qualificatives, mais j'espère me tromper...

Les matchs les uns après les autres, sans se monter la tête. Un pas après l'autre

Ce WE sera en tout cas décisif, car quasiment toutes les équipes de haut de tableau s'affrontent entre elles.
En cas de défaite, le Racing sera quasiment éliminé de la course, et Paris serait encore en jeu mais sérieusement handicapé et perdrait son avantage sur nous (à savoir 1 réception de plus que nous sur la fin de championnat).
En cas de victoire, Castres sera presque sûr de finir qualifié, et Bordeaux se placerait plus qu'idéalement pour l'être.

On en saura beaucoup plus dimanche sur l'issue du sprint final, même si évidemment, de nombreux rebondissements peuvent encore avoir lieu d'ici la fin de la saison.

Switch a écrit:

On en saura beaucoup plus dimanche sur l'issue du sprint final, même si évidemment, de nombreux rebondissements peuvent encore avoir lieu d'ici la fin de la saison.

Switch, je suis plus convaincu par les possibles rebondissements. Il y a 4 ans à ce même stade on était 4èmes avec 11 points d'avance sur Castres, et à la fin on se plante. Dimanche après-midi il restera encore 8 journées, soit 40 points potentiels pour tout le monde, et cette 18ème journée pourrait ne donner que de vagues indications au final. Si on gagne à Montpellier on ne sera pas qualifiés, mais si on perd on ne sera pas encore en vacances non plus.
Dans le doute, mieux vaut gagner alors....

krahknardz a écrit:

Switch a écrit:

On en saura beaucoup plus dimanche sur l'issue du sprint final, même si évidemment, de nombreux rebondissements peuvent encore avoir lieu d'ici la fin de la saison.

Switch, je suis plus convaincu par les possibles rebondissements. Il y a 4 ans à ce même stade on était 4èmes avec 11 points d'avance sur Castres, et à la fin on se plante. Dimanche après-midi il restera encore 8 journées, soit 40 points potentiels pour tout le monde, et cette 18ème journée pourrait ne donner que de vagues indications au final. Si on gagne à Montpellier on ne sera pas qualifiés, mais si on perd on ne sera pas encore en vacances non plus.
Dans le doute, mieux vaut gagner alors....

En plus, il y a les bonus qui rendent ce genre de projections très aléatoires...il se peut que cela se joue à 1 point prêt à la fin