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Le XV de France (partie 2)
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Re: Le XV de France (partie 2)
XV de France. Chat et Païva forfait, la liste des 31 sélectionnés pour le 6 Nations 2021
https://actu.fr/ile-de-france/marcoussis_91363/xv-de-france-chat-et-paiva-forfait-la-liste-des-31-selectionnes-pour-le-6-nations-2021_39105387.html
https://actu.fr/ile-de-france/marcoussis_91363/xv-de-france-chat-et-paiva-forfait-la-liste-des-31-selectionnes-pour-le-6-nations-2021_39105387.html
Scalp- Team modo
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Re: Le XV de France (partie 2)
Forfait ?? Il est blessé ??
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
Big'Ben a écrit:Forfait ?? Il est blessé ??
Non. Retour de Gros.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
On récupère donc Titi Paiva. Dommage pour lui, bien pour l'équipe.
krahknardz- Team modo
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Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
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Re: Le XV de France (partie 2)
Pas sûr car le groupe est figé à 31 joueurs pour éviter les allers et venues au sein de la bulle...
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kaze33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
Scalp a écrit:XV de France. Chat et Païva forfait, la liste des 31 sélectionnés pour le 6 Nations 2021
https://actu.fr/ile-de-france/marcoussis_91363/xv-de-france-chat-et-paiva-forfait-la-liste-des-31-selectionnes-pour-le-6-nations-2021_39105387.html
C'est quoi ce titre ?
"Chat et Païva forfaitS" je veux bien...mais heureusement ce n'est pas le cas pour Thierry
sudiste- Unioniste de la première heure
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Le XV de France (partie 2)
Je trouve quand même cela limite scandaleux, qu'alors que le XV de France dispose de son propre outil à Marcoussis (avec les charges afférentes), il se permette de délocaliser cette préparation à Nice quand bien même une partie des coûts sont supportés par des collectivités locales....ou je dirais même d'autant plus si les coûts sont supportés par les collectivités locales qui ont d'autres chats à fouetter actuellement
Bref espérons au moins que cela sera utile et que le Tournoi puisse avoir lieu.
Bref espérons au moins que cela sera utile et que le Tournoi puisse avoir lieu.
sudiste- Unioniste de la première heure
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Le XV de France (partie 2)
paiva touché aux ischios
https://rugby-scapulaire.com/breves/108787-thierry-paiva-touches-aux-ischios
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marchal- Centre de presse
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Re: Le XV de France (partie 2)
marchal a écrit:paiva touché aux ischios
https://rugby-scapulaire.com/breves/108787-thierry-paiva-touches-aux-ischios
J'espère que ce n'est pas très grave et qu'il guérira rapidement...
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
marchal a écrit:paiva touché aux ischios
https://rugby-scapulaire.com/breves/108787-thierry-paiva-touches-aux-ischios
Putain on leur prête 3 jours (pour faire le nombre) et ils nous le pètent !!!
sudiste- Unioniste de la première heure
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Le XV de France (partie 2)
Couilloud forfait, Bézy pour le remplacer
https://www.rugbyrama.fr/rugby/xv-de-france/2018-2019/xv-de-france-couilloud-forfait-bezy-pour-le-remplacer_sto8092966/story.shtml
Juste avant d'affronter le LOU, voilà qui ne va pas arranger les affaires de nos amis Clermontois...
https://www.rugbyrama.fr/rugby/xv-de-france/2018-2019/xv-de-france-couilloud-forfait-bezy-pour-le-remplacer_sto8092966/story.shtml
Juste avant d'affronter le LOU, voilà qui ne va pas arranger les affaires de nos amis Clermontois...
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Re: Le XV de France (partie 2)
https://www.sudouest.fr/2021/01/31/quinze-de-france-nous-partons-a-la-chasse-aux-titres-lance-raphael-ibanez-8352080-773.php
Quinze de France : « Nous partons à la chasse aux titres », lance Raphaël Ibanez
Par Recueilli par Arnaud David
A six jours du coup d’envoi du Tournoi des Six-Nations en Italie, le manager du Quinze de France évoque l’état d’esprit qui anime les joueurs et le chemin parcouru depuis un an.
« Sud Ouest ». L’an passé, le stage de Nice avait été celui de la découverte et des portes ouvertes. Vous voilà enfermés dans votre bulle sanitaire. Dans quel état d’esprit se trouve l’équipe de France ?
Raphaël Ibanez. Les joueurs semblent très heureux de s’être retrouvés. Il y a eu une phase de transition en début de semaine avec la bascule entre la structure club et la sélection de France. Il leur a fallu deux ou trois jours pour se remettre en mode XV de France et compétition. Les sourires sont là et l’engagement sur le terrain aussi.
Est-ce que vous avez senti une forme d’inquiétude chez les joueurs sur la tenue du tournoi ?
Non pas vraiment. Nous les avons informés du contexte dans lequel nous allions évoluer pour ces quinze premiers jours. Avec des conditions sanitaires ultra strictes dès le lundi. Nous avons été confrontés à deux situations qui auraient pu nous perturber. Thomas Lavault n’a pas pu nous rejoindre puisqu’il était toujours positif. Et puis Ugo Mola nous a prévenus qu’il y avait une inquiétude par rapport aux joueurs toulousains. Ils ont été testés et isolés le mercredi matin. On a pu les récupérer pour l’entraînement à haute intensité. Le tout nous a amenés à changer notre formule pour passer de 37 joueurs plus 5 partenaires d’entraînement à un groupe de 31. Cela va amener une approche différente.
L’an passé vous étiez partis en montagne pour créer des liens lors d’une soirée très festive. Et cette fois ?
Ce n’était pas possible. Il y a une raison toute simple, c’est le respect de notre bulle sanitaire. Et puis, on en a parlé avec l’ensemble du groupe : dans un contexte social assez tendu, il aurait été inconvenant d’aller prendre une grande respiration en montagne. On a préféré aller à l’hôpital Pasteur de Nice pour montrer notre reconnaissance au personnel soignant. Et nous irons faire une balade en bateau aujourd’hui (NDLR : hier).
À l’issue de la Coupe d’automne, vous aviez dit : « Nous n’oublions jamais notre finalité : redevenir une grande nation ». Est-ce un message que vous rappelez à chacun de vos rendez-vous ?
En permanence. Tout ce que nous faisons dans la semaine doit nous guider vers la performance.
Quand on demandait à l’Australien Adam Ashley-Cooper ce qui faisait le succès des All Blacks, il répondait « leur culture ». Cela renvoyait à la fois à un catalogue de bonnes pratiques et à un état d’esprit. Est-ce que vous avez aussi posé les bases d’une « culture bleue » ?
Après une année, nous sommes sur le bon chemin. La culture du XV de France est liée à l’histoire des hommes et à leur éducation. Anthony Bouthié n’a pas eu la même enfance que Virimi Vakatawa. Au sein du staff, Shaun Edwards et Laurent Labit viennent d’horizons différents. L’idée, c’est de recentrer les joueurs sur l’idée d’appartenance, avec une notion d’héritage. Nous voulons que l’équipe de France soit un espace d’expression unique, précieux.
En pratique, nous avons cherché à équilibrer le cadre de vie et le cadre de jeu en étant tourné vers la performance. On peut sectoriser le travail sur le jeu : l’attaque, la conquête, la défense, etc. Notre cadre de vie et la programmation de la semaine sont organisés autour de "practices" : santé, nutrition, protocoles de récupération. Il y a aussi un ''practice" « gestion de la compétition » qui s’est avéré hyper intéressant. On a évoqué des sujets qui peuvent sembler loin du jeu mais qui sont importants. On a parlé par exemple du changement de statut de l’équipe, qu’il y a un an, n’était pas considérée par nos adversaires et des joueurs qui sont aujourd’hui mis en avant.
Qu’est ce qui fait avancer cette génération ?
L’envie de gagner déjà. Les joueurs depuis le début de la semaine sont convaincus que nous partons à la chasse aux titres. C’est important quand on parle de culture et d’identité. L’essentiel, c’est ce que l’on voit sur le terrain. Ce que l’on veut, c’est une équipe de France solidaire qui joue un rugby intelligent. Et qui soit difficile à manœuvrer, dans "l’agression intelligente" comme dit Shaun Edwards.
Cette génération est-elle dans l’échange avec le staff ou a-t-elle besoin d’être guidée au quotidien ?
Les deux. C’est un équilibre permanent. Il y a un côté très libre dans nos échanges mais il y a une structure que nous voulons maintenir.
Au niveau du staff, avez-vous amené des choses nouvelles cet hiver ?
En termes de management, on devait poser les bases lors de la première année. On est plus centré sur la réflexion individuelle. L’un des enjeux, c’est d’aller plus loin sur le développement des joueurs. Notamment pour ceux qui connaissent des difficultés en club et à qui il faut redonner confiance.
On a le sentiment que vous pouvez vous appuyer sur des leaders solides et intelligents.
Il y a des profils très intéressants. Des joueurs qui prennent de grandes responsabilités sur le terrain et dans la stratégie. De jeunes joueurs qui ont gagné avec les moins de 20 ans qui apportent un désir de conquête avec une forme d’insouciance. Des leaders plus expérimentés comme Bernard Le Roux issu d’une culture assez rude qui pose un regard sur ce que nous faisons. La diversité nous nourrit. C’est puissant mais cela demande de l’attention et de la bienveillance aussi.
La Coupe d’automne a-t-elle amené de l’émulation au sein du groupe ?
Bien sûr. Ce n’était pas l’objectif initial. Avec deux groupes différents, il a fallu déployer beaucoup d’énergie pour mener à bien cette période. Nous l’avons transformée en opportunité avec des joueurs qui se sont affirmés. C’est le vrai bonus de la période automnale.
L’an passé, l’équipe France était attendue par ses supporters, moins par ses adversaires. Cette fois, les deux vont vous guetter. Êtes-vous prêts à assumer ce changement ?
On l’espère. On n’est pas indifférent aux louanges des adversaires et aux avis des experts qui placent la France en favorite. Nous allons entendre des réflexions sur le fait que l’effet de surprise ne marchera plus. Mais ces éléments, c’est la vérité des autres. Ce qui nous paraît excitant, c’est que nous allons définir durant ce tournoi quel est notre statut.
Les années impaires sont plus difficiles pour les Bleus, avec des déplacements en Irlande et en Angleterre. L’absence de public peut-elle changer la donne ?
On le voit en Top 14. Beaucoup de matches se jouent dans les dernières minutes. La différence extérieur-domicile a évolué. Quand on a affronté l’Irlande cet automne, les Irlandais étaient les plus bruyants dans le Stade de France vide. C’était voulu de leur part. Cela change le paysage autour du match. Mais il faut y voir une opportunité.
Le programme des Bleus
Italie – France, samedi 6 février.
Irlande – France, dimanche 14 février.
France – Écosse, dimanche 28 février.
Angleterre – France, samedi 13 mars.
France – Pays de Galles, samedi 20 mars.
Quinze de France : « Nous partons à la chasse aux titres », lance Raphaël Ibanez
Par Recueilli par Arnaud David
A six jours du coup d’envoi du Tournoi des Six-Nations en Italie, le manager du Quinze de France évoque l’état d’esprit qui anime les joueurs et le chemin parcouru depuis un an.
« Sud Ouest ». L’an passé, le stage de Nice avait été celui de la découverte et des portes ouvertes. Vous voilà enfermés dans votre bulle sanitaire. Dans quel état d’esprit se trouve l’équipe de France ?
Raphaël Ibanez. Les joueurs semblent très heureux de s’être retrouvés. Il y a eu une phase de transition en début de semaine avec la bascule entre la structure club et la sélection de France. Il leur a fallu deux ou trois jours pour se remettre en mode XV de France et compétition. Les sourires sont là et l’engagement sur le terrain aussi.
Est-ce que vous avez senti une forme d’inquiétude chez les joueurs sur la tenue du tournoi ?
Non pas vraiment. Nous les avons informés du contexte dans lequel nous allions évoluer pour ces quinze premiers jours. Avec des conditions sanitaires ultra strictes dès le lundi. Nous avons été confrontés à deux situations qui auraient pu nous perturber. Thomas Lavault n’a pas pu nous rejoindre puisqu’il était toujours positif. Et puis Ugo Mola nous a prévenus qu’il y avait une inquiétude par rapport aux joueurs toulousains. Ils ont été testés et isolés le mercredi matin. On a pu les récupérer pour l’entraînement à haute intensité. Le tout nous a amenés à changer notre formule pour passer de 37 joueurs plus 5 partenaires d’entraînement à un groupe de 31. Cela va amener une approche différente.
L’an passé vous étiez partis en montagne pour créer des liens lors d’une soirée très festive. Et cette fois ?
Ce n’était pas possible. Il y a une raison toute simple, c’est le respect de notre bulle sanitaire. Et puis, on en a parlé avec l’ensemble du groupe : dans un contexte social assez tendu, il aurait été inconvenant d’aller prendre une grande respiration en montagne. On a préféré aller à l’hôpital Pasteur de Nice pour montrer notre reconnaissance au personnel soignant. Et nous irons faire une balade en bateau aujourd’hui (NDLR : hier).
À l’issue de la Coupe d’automne, vous aviez dit : « Nous n’oublions jamais notre finalité : redevenir une grande nation ». Est-ce un message que vous rappelez à chacun de vos rendez-vous ?
En permanence. Tout ce que nous faisons dans la semaine doit nous guider vers la performance.
Quand on demandait à l’Australien Adam Ashley-Cooper ce qui faisait le succès des All Blacks, il répondait « leur culture ». Cela renvoyait à la fois à un catalogue de bonnes pratiques et à un état d’esprit. Est-ce que vous avez aussi posé les bases d’une « culture bleue » ?
Après une année, nous sommes sur le bon chemin. La culture du XV de France est liée à l’histoire des hommes et à leur éducation. Anthony Bouthié n’a pas eu la même enfance que Virimi Vakatawa. Au sein du staff, Shaun Edwards et Laurent Labit viennent d’horizons différents. L’idée, c’est de recentrer les joueurs sur l’idée d’appartenance, avec une notion d’héritage. Nous voulons que l’équipe de France soit un espace d’expression unique, précieux.
En pratique, nous avons cherché à équilibrer le cadre de vie et le cadre de jeu en étant tourné vers la performance. On peut sectoriser le travail sur le jeu : l’attaque, la conquête, la défense, etc. Notre cadre de vie et la programmation de la semaine sont organisés autour de "practices" : santé, nutrition, protocoles de récupération. Il y a aussi un ''practice" « gestion de la compétition » qui s’est avéré hyper intéressant. On a évoqué des sujets qui peuvent sembler loin du jeu mais qui sont importants. On a parlé par exemple du changement de statut de l’équipe, qu’il y a un an, n’était pas considérée par nos adversaires et des joueurs qui sont aujourd’hui mis en avant.
Qu’est ce qui fait avancer cette génération ?
L’envie de gagner déjà. Les joueurs depuis le début de la semaine sont convaincus que nous partons à la chasse aux titres. C’est important quand on parle de culture et d’identité. L’essentiel, c’est ce que l’on voit sur le terrain. Ce que l’on veut, c’est une équipe de France solidaire qui joue un rugby intelligent. Et qui soit difficile à manœuvrer, dans "l’agression intelligente" comme dit Shaun Edwards.
Cette génération est-elle dans l’échange avec le staff ou a-t-elle besoin d’être guidée au quotidien ?
Les deux. C’est un équilibre permanent. Il y a un côté très libre dans nos échanges mais il y a une structure que nous voulons maintenir.
Au niveau du staff, avez-vous amené des choses nouvelles cet hiver ?
En termes de management, on devait poser les bases lors de la première année. On est plus centré sur la réflexion individuelle. L’un des enjeux, c’est d’aller plus loin sur le développement des joueurs. Notamment pour ceux qui connaissent des difficultés en club et à qui il faut redonner confiance.
On a le sentiment que vous pouvez vous appuyer sur des leaders solides et intelligents.
Il y a des profils très intéressants. Des joueurs qui prennent de grandes responsabilités sur le terrain et dans la stratégie. De jeunes joueurs qui ont gagné avec les moins de 20 ans qui apportent un désir de conquête avec une forme d’insouciance. Des leaders plus expérimentés comme Bernard Le Roux issu d’une culture assez rude qui pose un regard sur ce que nous faisons. La diversité nous nourrit. C’est puissant mais cela demande de l’attention et de la bienveillance aussi.
La Coupe d’automne a-t-elle amené de l’émulation au sein du groupe ?
Bien sûr. Ce n’était pas l’objectif initial. Avec deux groupes différents, il a fallu déployer beaucoup d’énergie pour mener à bien cette période. Nous l’avons transformée en opportunité avec des joueurs qui se sont affirmés. C’est le vrai bonus de la période automnale.
L’an passé, l’équipe France était attendue par ses supporters, moins par ses adversaires. Cette fois, les deux vont vous guetter. Êtes-vous prêts à assumer ce changement ?
On l’espère. On n’est pas indifférent aux louanges des adversaires et aux avis des experts qui placent la France en favorite. Nous allons entendre des réflexions sur le fait que l’effet de surprise ne marchera plus. Mais ces éléments, c’est la vérité des autres. Ce qui nous paraît excitant, c’est que nous allons définir durant ce tournoi quel est notre statut.
Les années impaires sont plus difficiles pour les Bleus, avec des déplacements en Irlande et en Angleterre. L’absence de public peut-elle changer la donne ?
On le voit en Top 14. Beaucoup de matches se jouent dans les dernières minutes. La différence extérieur-domicile a évolué. Quand on a affronté l’Irlande cet automne, les Irlandais étaient les plus bruyants dans le Stade de France vide. C’était voulu de leur part. Cela change le paysage autour du match. Mais il faut y voir une opportunité.
Le programme des Bleus
Italie – France, samedi 6 février.
Irlande – France, dimanche 14 février.
France – Écosse, dimanche 28 février.
Angleterre – France, samedi 13 mars.
France – Pays de Galles, samedi 20 mars.
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Re: Le XV de France (partie 2)
https://www.sudouest.fr/2021/02/02/le-tournoi-des-six-nations-a-la-date-prevue-annonce-maracineanu-8358308-4950.php
Le Tournoi des six nations « à la date prévue », annonce Maracineanu
Le Tournoi des six nations, programmé du 6 février au 20 mars, aura lieu « à la date prévue avec une bulle sanitaire, comme pendant le Tour de France », a assuré mardi la ministre des Sports.
« La FFR nous a soumis un protocole rigoureux, strict, qui a été soumis aux autorités sanitaires. La décision a été prise au sein du gouvernement de faire en sorte que le Tournoi des six nations se tienne à la date prévue, à partir du 6 février avec une bulle sanitaire, comme pendant le Tour de France », a expliqué la ministre des Sports sur France Télévisions. « Des contraintes qui vont faire que les joueurs vont être exclus de la septaine normalement en vigueur, puisqu’ils vont être testés tous les trois jours et rester dans une bulle fermée », a ajouté Roxana Maracineanu.
Jeudi, le comité interministériel de crise avait déjà donné un avis favorable au protocole sanitaire présenté par la Fédération française de rugby. Ce protocole a pour but de « prévenir la naissance d’un éventuel foyer, le détecter et le circonscrire », avait expliqué la FFR à l’AFP.
Des vols privés pour toutes les équipes de la compétition
« La bulle a été construite à Nice avec un hôtel où il n’y a que nous, des transports où il n’y a que nous, des installations où il n’y a que nous… », avait détaillé dans un entretien à l’AFP le vice-président de la Fédération Serge Simon.« Tous les gens qui croisent l’équipe de France doivent appartenir à cette bulle, y compris dans les déplacements. Nous serons d’ailleurs sur des vols privés. Et c’est valable pour toutes les équipes de la compétition », avait-il également précisé.
Réunis sur la Côte d’Azur depuis le 24 janvier, les Bleus préparent leur premier match dans le Tournoi 2021, à Rome, le 6 février, face à l’Italie. Dans le week-end, la FFR et la LNR ont d’ailleurs officialisé l’accord visant à resserrer le groupe du XV de France à 31 joueurs, contre 42 initialement, pour « limiter les risques liés aux mouvements de joueurs entrant et quittant le groupe ».
Le Tournoi des six nations « à la date prévue », annonce Maracineanu
Le Tournoi des six nations, programmé du 6 février au 20 mars, aura lieu « à la date prévue avec une bulle sanitaire, comme pendant le Tour de France », a assuré mardi la ministre des Sports.
« La FFR nous a soumis un protocole rigoureux, strict, qui a été soumis aux autorités sanitaires. La décision a été prise au sein du gouvernement de faire en sorte que le Tournoi des six nations se tienne à la date prévue, à partir du 6 février avec une bulle sanitaire, comme pendant le Tour de France », a expliqué la ministre des Sports sur France Télévisions. « Des contraintes qui vont faire que les joueurs vont être exclus de la septaine normalement en vigueur, puisqu’ils vont être testés tous les trois jours et rester dans une bulle fermée », a ajouté Roxana Maracineanu.
Jeudi, le comité interministériel de crise avait déjà donné un avis favorable au protocole sanitaire présenté par la Fédération française de rugby. Ce protocole a pour but de « prévenir la naissance d’un éventuel foyer, le détecter et le circonscrire », avait expliqué la FFR à l’AFP.
Des vols privés pour toutes les équipes de la compétition
« La bulle a été construite à Nice avec un hôtel où il n’y a que nous, des transports où il n’y a que nous, des installations où il n’y a que nous… », avait détaillé dans un entretien à l’AFP le vice-président de la Fédération Serge Simon.« Tous les gens qui croisent l’équipe de France doivent appartenir à cette bulle, y compris dans les déplacements. Nous serons d’ailleurs sur des vols privés. Et c’est valable pour toutes les équipes de la compétition », avait-il également précisé.
Réunis sur la Côte d’Azur depuis le 24 janvier, les Bleus préparent leur premier match dans le Tournoi 2021, à Rome, le 6 février, face à l’Italie. Dans le week-end, la FFR et la LNR ont d’ailleurs officialisé l’accord visant à resserrer le groupe du XV de France à 31 joueurs, contre 42 initialement, pour « limiter les risques liés aux mouvements de joueurs entrant et quittant le groupe ».
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Re: Le XV de France (partie 2)
Scalp a écrit:https://www.sudouest.fr/2021/02/02/le-tournoi-des-six-nations-a-la-date-prevue-annonce-maracineanu-8358308-4950.php
Le Tournoi des six nations « à la date prévue », annonce Maracineanu
Le Tournoi des six nations, programmé du 6 février au 20 mars, aura lieu « à la date prévue avec une bulle sanitaire, comme pendant le Tour de France », a assuré mardi la ministre des Sports.
« La FFR nous a soumis un protocole rigoureux, strict, qui a été soumis aux autorités sanitaires. La décision a été prise au sein du gouvernement de faire en sorte que le Tournoi des six nations se tienne à la date prévue, à partir du 6 février avec une bulle sanitaire, comme pendant le Tour de France », a expliqué la ministre des Sports sur France Télévisions. « Des contraintes qui vont faire que les joueurs vont être exclus de la septaine normalement en vigueur, puisqu’ils vont être testés tous les trois jours et rester dans une bulle fermée », a ajouté Roxana Maracineanu.
Jeudi, le comité interministériel de crise avait déjà donné un avis favorable au protocole sanitaire présenté par la Fédération française de rugby. Ce protocole a pour but de « prévenir la naissance d’un éventuel foyer, le détecter et le circonscrire », avait expliqué la FFR à l’AFP.
Des vols privés pour toutes les équipes de la compétition
« La bulle a été construite à Nice avec un hôtel où il n’y a que nous, des transports où il n’y a que nous, des installations où il n’y a que nous… », avait détaillé dans un entretien à l’AFP le vice-président de la Fédération Serge Simon.« Tous les gens qui croisent l’équipe de France doivent appartenir à cette bulle, y compris dans les déplacements. Nous serons d’ailleurs sur des vols privés. Et c’est valable pour toutes les équipes de la compétition », avait-il également précisé.
Réunis sur la Côte d’Azur depuis le 24 janvier, les Bleus préparent leur premier match dans le Tournoi 2021, à Rome, le 6 février, face à l’Italie. Dans le week-end, la FFR et la LNR ont d’ailleurs officialisé l’accord visant à resserrer le groupe du XV de France à 31 joueurs, contre 42 initialement, pour « limiter les risques liés aux mouvements de joueurs entrant et quittant le groupe ».
Il se murmure que c'est Altrad qui prend en charge tous les frais dont l'affrètement des avions ....à charge de revanche ?
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Le XV de France (partie 2)
Irresponsable de maintenir ce tournoi. Seulement les 115 millions de droits TV pour le tournoi font la loi...
On suspend la coupe d'Europe mais pas le tournoi expliquez moi la logique a part celle de l'argent.
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kaze33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
Et maintenant un titre pour les Bleus !
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2021/tournoi-des-6-nations-2021-et-maintenant-un-titre-pour-les-bleus_sto8095557/story.shtml
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Re: Le XV de France (partie 2)
kaze33 a écrit:Irresponsable de maintenir ce tournoi. Seulement les 115 millions de droits TV pour le tournoi font la loi...
On suspend la coupe d'Europe mais pas le tournoi expliquez moi la logique a part celle de l'argent.
La logique est aussi politique, ça occupe un peu les populations confinées, les audiences télé sont très fortes, les gouvernements sont assez soucieux de tout de qui peut faire un peu baisser la pression sociale, et la diminuer sur eux aussi...
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Re: Le XV de France (partie 2)
Scalp a écrit:Et maintenant un titre pour les Bleus !
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2021/tournoi-des-6-nations-2021-et-maintenant-un-titre-pour-les-bleus_sto8095557/story.shtml
Encore un article du Merdol super condescendant vis-à-vis de Jalibert.... on dirait que ça fout une jaunisse au pisse-copie qui a pondu ça de reconnaître un brin de talent à quelqu'un d'autre que le Messie fils de...
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Re: Le XV de France (partie 2)
Je ne vois pas ce que cet article a de condescendant. Je trouve même la conclusion plutôt sympathique : Au jeune joueur donc de se hisser toujours plus à la hauteur de sa référence Owen Farrell, dont il a prouvé au mois de décembre à Twickenham qu’il n’était définitivement plus très loin...
krahknardz a écrit:Scalp a écrit:Et maintenant un titre pour les Bleus !
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2021/tournoi-des-6-nations-2021-et-maintenant-un-titre-pour-les-bleus_sto8095557/story.shtml
Encore un article du Merdol super condescendant vis-à-vis de Jalibert.... on dirait que ça fout une jaunisse au pisse-copie qui a pondu ça de reconnaître un brin de talent à quelqu'un d'autre que le Messie fils de...
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Re: Le XV de France (partie 2)
patrick a écrit:Je ne vois pas ce que cet article a de condescendant. Je trouve même la conclusion plutôt sympathique : Au jeune joueur donc de se hisser toujours plus à la hauteur de sa référence Owen Farrell, dont il a prouvé au mois de décembre à Twickenham qu’il n’était définitivement plus très loin...krahknardz a écrit:Scalp a écrit:Et maintenant un titre pour les Bleus !
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2021/tournoi-des-6-nations-2021-et-maintenant-un-titre-pour-les-bleus_sto8095557/story.shtml
Encore un article du Merdol super condescendant vis-à-vis de Jalibert.... on dirait que ça fout une jaunisse au pisse-copie qui a pondu ça de reconnaître un brin de talent à quelqu'un d'autre que le Messie fils de...
Ben justement ca l’est...ca fait très longtemps que Jalibert est meilleur que Farrell.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
Moi le seul truc qui m'énerve c'est qu'on continue d'associer systématiquement le nom de Jalibert à celui de N'Tamack, comme si Matthieu n'existait qu'au travers de lui. On ne parle jamais de "Matthieu Jalibert, l'ouvreur du XV de France" mais (trop) souvent de "Matthieu Jalibert, le remplaçant de Romain N'Tamack". Les mecs ne font pas leur deuil, et ca m'agace. N'Tamack pourrait être blessé gravement et absent pour plus d'1 an qu'on continuerait de dire "le remplaçant", comme si le poste de 10 titulaire devait rester dans l'histoire comme celui de RNT et uniquement de lui.
Il doit paraître impossible à ces mêmes mecs qu'un jour, Jalibert puisse s'installer durablement et devenir le titulaire. Je crois bien que si cela devait arriver, et ce n'est pas impossible, il y aurait quelques crises cardiaques au Midol et à RR
Il doit paraître impossible à ces mêmes mecs qu'un jour, Jalibert puisse s'installer durablement et devenir le titulaire. Je crois bien que si cela devait arriver, et ce n'est pas impossible, il y aurait quelques crises cardiaques au Midol et à RR
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Humeur : Fonction de l'UBB
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Re: Le XV de France (partie 2)
Scalp, si tu passes par là, merci d’avance.
https://www.midi-olympique.fr/2021/01/31/une-ombre-au-tableau-9345222.php
https://www.midi-olympique.fr/2021/01/31/une-ombre-au-tableau-9345222.php
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
Switch a écrit:Moi le seul truc qui m'énerve c'est qu'on continue d'associer systématiquement le nom de Jalibert à celui de N'Tamack, comme si Matthieu n'existait qu'au travers de lui. On ne parle jamais de "Matthieu Jalibert, l'ouvreur du XV de France" mais (trop) souvent de "Matthieu Jalibert, le remplaçant de Romain N'Tamack". Les mecs ne font pas leur deuil, et ca m'agace. N'Tamack pourrait être blessé gravement et absent pour plus d'1 an qu'on continuerait de dire "le remplaçant", comme si le poste de 10 titulaire devait rester dans l'histoire comme celui de RNT et uniquement de lui.
Il doit paraître impossible à ces mêmes mecs qu'un jour, Jalibert puisse s'installer durablement et devenir le titulaire. Je crois bien que si cela devait arriver, et ce n'est pas impossible, il y aurait quelques crises cardiaques au Midol et à RR
Tiens, encore un article du merdol ou le journaliste est incapable de ne pas rappeler l’absence de la petite merveille. Ca lui fait un mal au cul comme c’est pas possible d’imaginer
https://www.rugbyrama.fr/rugby/xv-de-france/2018-2019/xv-de-france-la-tentation-woki_sto8097323/story.shtml
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
Tiens, j’y vais de la compo:
Baille Marchand Haouas
Pesenti Willemse
Jelonch Alldritt Woki
Dupont Jalibert
Villiere Fickou Barassi Penaud
Dulin
Baille Marchand Haouas
Pesenti Willemse
Jelonch Alldritt Woki
Dupont Jalibert
Villiere Fickou Barassi Penaud
Dulin
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Le XV de France (partie 2)
https://www.midi-olympique.fr/2021/01/31/une-ombre-au-tableau-9345222.php
Troisième ligne : une ombre au tableau ?
Perturbée par l’absence sur blessure de François Cros, l’état de forme moyen affiché à Toulon par Charles Ollivon et l’incertitude planant autour du genou de Grégory Alldritt, la troisième ligne tricolore demeure un des relatifs facteurs d’inquiétude avant ce début de Tournoi.
Autant le dire clairement, à l’image d’Olivier Magne ci-dessous, puisque tout le petit monde du rugby a l’art de tourner poliment autour du pot depuis plusieurs semaines : non, le début de saison de Charles Ollivon ne fait pas vraiment des étincelles du côté de Toulon. Si on se voulait un brin provocateur, on assurerait même que l’action qui a marqué les esprits au sujet du capitaine des Bleus remonte à une quinzaine de jours, et à ce dégagement en touche complètement foiré dans les arrêts de jeu, qui aurait bien pu coûter une victoire méritée au RCT sur la pelouse du Racing (23-29)… Le fait de le voir subir un KO, certes accidentel, contre Paris n’était à ce titre pas anodin. D’ailleurs, ce ressenti se transcrit qu’on le veuille ou non dans les chiffres, puisque Charles Ollivon n’a inscrit aucun essai en 9 matchs avec le RCT cette saison, alors qu’il ne fut rien moins que le meilleur marqueur du Tournoi des Six Nations 2020 avec 5 réalisations, dont un doublé contre l’Angleterre pour sa grande première. Mais de là à conclure que sa place de titulaire pourrait être menacée à plus ou moins court terme, Ollivon payant manifestement en ce moment les immenses efforts consentis pour raccrocher le wagon bleu au Japon, après plusieurs années de galères liées à ses opérations à l’épaule ? Évidemment pas. D’abord parce que le maillot bleu donne des ailes au grand Charles, comme habité par la fonction qui est devenue la sienne voilà un an. Mais surtout parce qu’au vu du pacte de confiance affiché par Fabien Galthié avec ses joueurs cadres, pareil coup de Trafalgar semble hautement inimaginable…
Grégory Alldritt, mais dans quel état ?
De fait, partant du principe que Charles Ollivon est un titulaire certain, ne subsistent plus que deux interrogations. La première se veut toute relative, concernant le numéro 8 Grégory Alldritt. En clair ? Si le troisième ligne centre du Stade rochelais se trouve suffisamment remis de l’arthroscanner du genou qu’il a passé lundi dernier, il sera à l’évidence titulaire en Italie, ce que son retour dans le groupe semble indiquer. Impossible en effet de songer lui préférer au poste si particulier de troisième ligne centre des joueurs comme Charles Ollivon ou Anthony Jelonch qui, aussi talentueux qu’ils soient, ne comptent jamais respectivement qu’une et deux titularisations en tant que numéro 8 avec leur club depuis le début de la saison… De fait, si un doute peut bel et bien entourer actuellement les états de forme de Grégory Alldritt et Charles Ollivon, un seul poste semble finalement en suspens. Celui de numéro 6 que François Cros ne pourra pas tenir, insuffisamment remis de la fracture du pied contractée face à l’Ecosse en novembre, qui lui occasionne désormais des soucis au niveau de la voûte plantaire.
Woki, la grosse surprise pour remplacer François Cros ?
Derrière le Toulousain ? Ce ne sont pas moins de trois candidats qui se dégagent, à savoir le Lyonnais Dylan Cretin, le Castrais Anthony Jelonch et le Bordelais Cameron Woki. Un choix forcément cornélien pour le staff des Bleus qui, pour remplacer leur joueur le plus complet de leur effectif, vont devoir trancher entre le profil coureur et aérien de Cretin ou Woki, ou celui plus terrien de Jelonch, davantage spécialisé dans le combat au près. Affaire de stratégie, donc…
De ce point de vue ? On peut légitimement imaginer, face à une équipe coureuse et organisée en touche comme l’Italie, que le staff fera précisément le choix de challenger son adversaire sur ses points forts. Voilà pourquoi, de ce point de vue, Cretin et Woki apparaissaient comme les favoris logiques pour démarrer à Rome. Et si les deux hommes ne semblent séparés aujourd’hui que par l’épaisseur d’un papier à cigarette, il semblerait que les bonnes performances et l’état d’esprit affichés cet automne par Cameron Woki lui aient permis de bouleverser la hiérarchie initiale...
Voilà pourquoi, au petit jeu des paris et des probabilités, la tendance semble aller vers une titularisation du Girondin tandis qu’Anthony Jelonch, au nom de son profil mais aussi de sa polyvalence en numéro 8, semble tout indiqué pour intégrer le banc des "finisseurs", histoire d’utiliser un terme à la mode… À moins que les fameux entraînements à haute intensité du XV de France ne décident évidemment du contraire, en cas de grosse contre-performance ou de blessure d’un des concurrents. Ce qui n’est jamais totalement à exclure…
Nicolas Zanardi
Troisième ligne : une ombre au tableau ?
Perturbée par l’absence sur blessure de François Cros, l’état de forme moyen affiché à Toulon par Charles Ollivon et l’incertitude planant autour du genou de Grégory Alldritt, la troisième ligne tricolore demeure un des relatifs facteurs d’inquiétude avant ce début de Tournoi.
Autant le dire clairement, à l’image d’Olivier Magne ci-dessous, puisque tout le petit monde du rugby a l’art de tourner poliment autour du pot depuis plusieurs semaines : non, le début de saison de Charles Ollivon ne fait pas vraiment des étincelles du côté de Toulon. Si on se voulait un brin provocateur, on assurerait même que l’action qui a marqué les esprits au sujet du capitaine des Bleus remonte à une quinzaine de jours, et à ce dégagement en touche complètement foiré dans les arrêts de jeu, qui aurait bien pu coûter une victoire méritée au RCT sur la pelouse du Racing (23-29)… Le fait de le voir subir un KO, certes accidentel, contre Paris n’était à ce titre pas anodin. D’ailleurs, ce ressenti se transcrit qu’on le veuille ou non dans les chiffres, puisque Charles Ollivon n’a inscrit aucun essai en 9 matchs avec le RCT cette saison, alors qu’il ne fut rien moins que le meilleur marqueur du Tournoi des Six Nations 2020 avec 5 réalisations, dont un doublé contre l’Angleterre pour sa grande première. Mais de là à conclure que sa place de titulaire pourrait être menacée à plus ou moins court terme, Ollivon payant manifestement en ce moment les immenses efforts consentis pour raccrocher le wagon bleu au Japon, après plusieurs années de galères liées à ses opérations à l’épaule ? Évidemment pas. D’abord parce que le maillot bleu donne des ailes au grand Charles, comme habité par la fonction qui est devenue la sienne voilà un an. Mais surtout parce qu’au vu du pacte de confiance affiché par Fabien Galthié avec ses joueurs cadres, pareil coup de Trafalgar semble hautement inimaginable…
Grégory Alldritt, mais dans quel état ?
De fait, partant du principe que Charles Ollivon est un titulaire certain, ne subsistent plus que deux interrogations. La première se veut toute relative, concernant le numéro 8 Grégory Alldritt. En clair ? Si le troisième ligne centre du Stade rochelais se trouve suffisamment remis de l’arthroscanner du genou qu’il a passé lundi dernier, il sera à l’évidence titulaire en Italie, ce que son retour dans le groupe semble indiquer. Impossible en effet de songer lui préférer au poste si particulier de troisième ligne centre des joueurs comme Charles Ollivon ou Anthony Jelonch qui, aussi talentueux qu’ils soient, ne comptent jamais respectivement qu’une et deux titularisations en tant que numéro 8 avec leur club depuis le début de la saison… De fait, si un doute peut bel et bien entourer actuellement les états de forme de Grégory Alldritt et Charles Ollivon, un seul poste semble finalement en suspens. Celui de numéro 6 que François Cros ne pourra pas tenir, insuffisamment remis de la fracture du pied contractée face à l’Ecosse en novembre, qui lui occasionne désormais des soucis au niveau de la voûte plantaire.
Woki, la grosse surprise pour remplacer François Cros ?
Derrière le Toulousain ? Ce ne sont pas moins de trois candidats qui se dégagent, à savoir le Lyonnais Dylan Cretin, le Castrais Anthony Jelonch et le Bordelais Cameron Woki. Un choix forcément cornélien pour le staff des Bleus qui, pour remplacer leur joueur le plus complet de leur effectif, vont devoir trancher entre le profil coureur et aérien de Cretin ou Woki, ou celui plus terrien de Jelonch, davantage spécialisé dans le combat au près. Affaire de stratégie, donc…
De ce point de vue ? On peut légitimement imaginer, face à une équipe coureuse et organisée en touche comme l’Italie, que le staff fera précisément le choix de challenger son adversaire sur ses points forts. Voilà pourquoi, de ce point de vue, Cretin et Woki apparaissaient comme les favoris logiques pour démarrer à Rome. Et si les deux hommes ne semblent séparés aujourd’hui que par l’épaisseur d’un papier à cigarette, il semblerait que les bonnes performances et l’état d’esprit affichés cet automne par Cameron Woki lui aient permis de bouleverser la hiérarchie initiale...
Voilà pourquoi, au petit jeu des paris et des probabilités, la tendance semble aller vers une titularisation du Girondin tandis qu’Anthony Jelonch, au nom de son profil mais aussi de sa polyvalence en numéro 8, semble tout indiqué pour intégrer le banc des "finisseurs", histoire d’utiliser un terme à la mode… À moins que les fameux entraînements à haute intensité du XV de France ne décident évidemment du contraire, en cas de grosse contre-performance ou de blessure d’un des concurrents. Ce qui n’est jamais totalement à exclure…
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Re: Le XV de France (partie 2)
Derrière le Toulousain ? Ce ne sont pas moins de trois candidats qui se dégagent, à savoir le Lyonnais Dylan Cretin, le Castrais Anthony Jelonch et le Bordelais Cameron Woki. Un choix forcément cornélien pour le staff des Bleus qui, pour remplacer leur joueur le plus complet de leur effectif, vont devoir trancher entre le profil coureur et aérien de Cretin ou Woki, ou celui plus terrien de Jelonch, davantage spécialisé dans le combat au près. Affaire de stratégie, donc…
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