Coupe d'Europe - 1/4 de finale : UBB / Racing

https://www.arlfm.com/news/rugby-quart-de-finale-champions-cup-bordeaux-begles-racing-92-24-21-le-pied-de-jalibert-envoie-l-ubb-en-demi-finale-25553

Champions Cup. Matthieu Jalibert enfile le costume de sauveur et envoie l'UBB en demie !

https://www.lerugbynistere.fr/news/champions-cup-matthieu-jalibert-enfile-le-costume-de-sauveur-et-envoie-lubb-en-demie-1104211903.php

Champions Cup.''Une purge", ''pitié pas de prolongations'' : les Twittos fusillent UBB - Racing

https://www.lerugbynistere.fr/news/champions-cupune-purge-pitie-pas-de-prolongations-les-twittos-fusillent-ubb-racing-1104211801.php


On attend le même style d'article du Rugbynistère sur le stratosphérique match ASM_TOULOUSE

Scalp a écrit:Champions Cup.''Une purge", ''pitié pas de prolongations'' : les Twittos fusillent UBB - Racing

https://www.lerugbynistere.fr/news/champions-cupune-purge-pitie-pas-de-prolongations-les-twittos-fusillent-ubb-racing-1104211801.php


On attend le même style d'article du Rugbynistère sur le stratosphérique match ASM_TOULOUSE

Retiens pas ton souffle en attendant, tu risques gros.... On voit déjà la différence sur RR ou l'Équipe qui parle de match indécis. Je ne me souvenais pas que indécis était synonyme de purge, mais mon français ne doit pas être si bon que ça...

krahknardz a écrit:

Scalp a écrit:Champions Cup.''Une purge", ''pitié pas de prolongations'' : les Twittos fusillent UBB - Racing

https://www.lerugbynistere.fr/news/champions-cupune-purge-pitie-pas-de-prolongations-les-twittos-fusillent-ubb-racing-1104211801.php


On attend le même style d'article du Rugbynistère sur le stratosphérique match ASM_TOULOUSE

Retiens pas ton souffle en attendant, tu risques gros.... On voit déjà la différence sur RR ou l'Équipe qui parle de match  indécis. Je ne me souvenais pas que indécis était synonyme de purge, mais mon français ne doit pas être si bon que ça...

T'inquiète, c'était bien sûr ironique pour le reste, c'est à désespérer

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/champions-cup-l-ubb-force-les-portes-des-demi-finales-2118850.php

Champions Cup : l’UBB force les portes des demi-finales

Par Yoan Leshauriès - y.leshauries@sudouest.fr

L’UBB a arraché son billet pour le dernier carré européen au terme d’un vrai bras de fer avec le Racing 92 (24-21). Elle se déplacera à Toulouse pour une place en finale

Jusqu’où ira-t-elle ? Difficile à dire. Mais pour sa première participation aux phases finales de la grande Coupe d’Europe, l’Union Bordeaux-Bègles répond aux rendez-vous et monte les étages un à un, sans trop se poser de question. Une semaine après avoir vaincu Bristol (36-17), le leader de Premiership anglaise, les Girondins sont venus à bout du Racing 92 (24-21), le triple finaliste de l’épreuve (2016, 2018, 2020), certes amputé de plusieurs éléments clés, mais pas moins redoutable.

Et voici les Girondins qualifiés pour les demi-finales, pour lesquelles ils se déplaceront sur le terrain du Stade Toulousain, quadruple champion d’Europe (1996, 2003, 2005, 2010), le week-end des 30 avril-1er-2 mai. « Un tirage au sort pas simple », aux yeux de Christophe Urios. « On est évidemment très heureux d’être à ce niveau-là de la compétition, ce sera un rendez-vous important mais on n’aura pas de pression pour ce match, juge le manager. On va s’étalonner et essayer de rivaliser face à ce qui se fait de mieux en France et en Europe ».

« Gagner deux matchs coup sur coup face à deux grosses équipes : un virage a été pris » (C. Urios)

Plus qu’une réaction

Après avoir regardé tant de fois ces rendez-vous du printemps à la télé, privés d’une fin de saison pleine d’espérance l’an dernier à cause du Covid-19, les Bordelo-Béglais semblent vouloir rattraper le temps perdu et devenir acteurs de leur destin. Sur cette aventure européenne, ils prennent conscience de leurs capacités à rivaliser avec les plus grands. « On sait qu’on a très peu de matchs de phases finales au compteur. Mais ce qui me fait plaisir, c’est qu’on ne s’est pas chié dessus, confie Christophe Urios. Face à Bristol, il y a eu cette réaction après la grosse déception de La Rochelle (11-26 en Top 14). Mais gagner deux matchs coup sur coup face à deux grosses équipes, c’est incontestablement un virage qui a été bien pris. »

Fin de match suffocante

Face aux Anglais, l’UBB avait eu droit à un duel aussi rythmé qu’engagé (4 essais à 1). Mais hier, face au Racing, elle a dû se démener tout au long d’un vrai bras de fer qui ressemblait à s’y méprendre à celui de décembre dernier face à ces mêmes Franciliens, vainqueurs à Chaban (12-17). Cette fois, les Girondins ont su faire pencher la balance du bon côté, après cinq dernières minutes suffocantes, qu’ils auraient pu éviter en tuant le match un peu plus tôt (2 touches perdues sur les 5 mètres franciliens), mais lors desquelles ils ont su garder leur sang-froid.

Menant 21-18 grâce au pied de Jalibert (75e), ils ont vu le Racing égaliser par Iribaren (21-21, 79e). À la 80e, Moefana récupérait un ballon sortant d’un ruck et s’envolait pour aplatir dans l’en-but. Mais l’essai était refusé pour une faute de Lam. Sur une dernière possession du Racing, Tameifuna grattait un ballon qui valait de l’or. Et Jalibert ne tremblait pas pour offrir la victoire à l’UBB d’une pénalité de 52 mètres et éviter les prolongations (24-21, 80e+2).

« Je suis désolé pour le spectacle mais dans ces phases finales, on n’est pas là pour montrer qu’on sait jouer au rugby, on est là pour gagner, souligne Christophe Urios. J’ai apprécié le caractère de l’équipe, le fait qu’on ne se soit pas désuni, le fait qu’on soit allé chercher cette victoire, on la mérite ».

« Pour un petit nouveau, arriver en demi-finale, c’est fondateur » (J. Poirot)

Dans le vestiaire girondin après le match, la sono crachait « Qu’est-ce qu’on a fait des tuyaux ? » L’UBB pouvait fêter cette grande première. « Pour un petit nouveau, arriver en demi-finale de la grande coupe d’Europe, c’est bon pour le club et pour le groupe, c’est fondateur », jurait le capitaine Jefferson Poirot. Quant à la demi-finale, « on fera en sorte de montrer qu’on n’est pas là par hasard ». Fier de son club, le président Laurent Marti savoure : « On est heureux de vivre ces moments. L’aventure continue ». Et l’UBB prend un peu plus d’épaisseur.

Les notes

8/10 Jalibert. 7/10 Lucu, Higginbotham, Poirot. 6/10 Buros, Lamerat, Woki, Cazeaux, Douglas, Cobilas, Maynadier. 5/10 Cordero, Lam, Moefana, Petti.

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/champions-cup-l-ubb-force-les-portes-des-demi-finales-2118850.php

Coupe d’Europe : les néophytes et les étoilés

Par Arnaud David - a.david@sudouest.fr

Les demi-finales auront les mêmes caractéristiques, opposant des quadruples lauréats de l’épreuve, le Stade Toulousain et le Leinster, et deux nouveaux venus à ce stade de la compétition : l’UBB et le Stade Rochelais

Le tableau des demi-finales de la Champions cup est d’une symétrie quasi parfaite. Il pourrait s’intituler “les néophytes et les étoilés”. On y trouve d’un côté, un club aux quatre couronnes européennes : le Stade Toulousain (1996, 2003, 2005, 2010) et le Leinster (2009, 2011, 2012, 2018). De l’autre, un néophyte à ce niveau de la compétition : l’Union Bordeaux-Bègles et le Stade Rochelais. Ce script débouchera-t-il sur une finale interstellaire et sur une place seul au sommet pour les Toulousains ou les Dublinois ?

Les Rochelais qui auront le petit avantage d’accueillir le Leinster à Marcel-Deflandre, auront sans doute d’autres projets. La certitude, c’est que leur rendez-vous avec les Dublinois le week-end du 1er et 2 mai, va susciter un immense intérêt en Irlande. Si les deux formations ne se sont jamais affrontées, le Néo-Zélandais Jonno Gibbes, le manager du Stade Rochelais, a gagné trois titres avec le Leinster en tant que coach des avants. Quant à Ronan O’Gara, il a nourri pendant toute sa carrière au Munster, une immense rivalité avec les Dublinois qu’il avait éliminés en 2006 lors d’une demie mémorable à Lansdowne Road.

Entre Toulousains et Bordelo-Béglais, il n’y aura pas le même parfum de découverte. Les deux formations se connaissent parfaitement et l’UBB court depuis dix ans après un succès à Ernest-Wallon. Elle s’en est approchée tout près. Mais elle en est aussi repartie parfois, comme lors de sa dernière visite, après des échecs cuisants.

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/coupe-d-europe-de-rugby/apres-ubb-racing-92-higginbotham-le-papa-du-pack-girondin-2121891.php

Après UBB – Racing 92 : Higginbotham, le papa du pack girondin

Par Yoan Leshauriès

Déjà très en vue face à Bristol, le troisième ligne australien de l’UBB a encore pesé face au Racing (24-21) en quart de finale de Champions Cup, quatre jours après la naissance de son fils. Reste à savoir s’il va prolonger

Entre deux biberons, Scott Higginbotham (34 ans) fait le métier, imperturbable. « Ce garçon, il a joué un match contre Bristol, il a été fantastique, souligne Christophe Urios. Sa femme était sur le point d’accoucher. Ce n’est pas facile pour un mec, d’autant plus qu’il n’est pas Français, il n’a personne autour de lui. Mais il a été capable de s’entraîner tout le temps. Ça me surprenait d’ailleurs ».

Mercredi après-midi, le troisième ligne international australien (34 sélections) a été dispensé d’entraînement. Il a filé à la maternité pour la naissance d’Ellis, son petit garçon. « Il est revenu et il s’est entraîné normalement », poursuit le manager. Ce dimanche, Scott Higginbotham a encore livré une belle prestation face au Racing, s’offrant notamment deux belles percées. « C’est un joueur malin, très à l’aise avec le ballon, un joueur d’attaque, créatif. Franchement, c’est un mec délicieux, qui a beaucoup d’expérience, qui est très à l’aise dans le groupe. La seule chose qui lui manque, pour être vraiment incontestable dans la vie de tous les jours, c’est qu’il parle bien le Français… »

L’avenir de Scott Higginbotham est toujours en suspens. En fin de contrat en juin prochain, il n’a toujours pas prolongé avec le club girondin. Restera ? Partira ? Son sort devrait être connu dans les prochains jours.


On ne peut pas virer son père quand même, j'espère qu'on va garder Scott

UBB : "On jouera à fond la demie de Champions Cup et le Top 14" s'enthousiasme Urios

https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/top-14/ubb-on-jouera-a-fond-la-demie-de-champions-cup-et-le-top-14-s-enthousiasme-urios_VN-202104110264.html

Champions Cup Quarter-Finals Team Of The Week

https://www.ultimaterugby.com/news/champions-cup-quarter-finals-team-of-the-week/638704?s=09&fbclid=IwAR0MtZwX5MMdSCnqbQJL2U9PS2Gp7GB_zpiNOIDDPzMMUKMXKWCELqwwnJA

https://twitter.com/Bleu_Gironde/status/1381313434931888130

Scott, l'homme au slip porte bonheur

Pour qu’il y ait un bon match, il faut être deux, visiblement on avait la consigne de ne pas partir à l’abordage, mais que dire d’un Racing amoindri et qui devait un peu nous craindre. On peut avoir l’impression que leur objectif était bien de coller un faux rythme au match, façon top 14, et de gagner façon match aller.

Alors certes, on n’a pas fait un grand match, on n’en a pas eu la capacité, on n’a pas réussi à mettre du rythme, mais en face c’était peut-être plus une stratégie, un piège qui aurait pu fonctionner, la bonne vielle victoire à l’extérieur, façon top 14...

Guido "Machina" Petti... Ça fait plaisir à voir. Enfin on découvre notre joueur annoncé de classe mondiale.

Scalp a écrit:Pour qu’il y ait un bon match, il faut être deux, visiblement on avait la consigne de ne pas partir à l’abordage, mais que dire d’un Racing amoindri et qui devait un peu nous craindre. On peut avoir l’impression que leur objectif était bien de coller un faux rythme au match, façon top 14, et de gagner façon match aller.

Alors certes, on n’a pas fait un grand match, on n’en a pas eu la capacité, on n’a pas réussi à mettre du rythme, mais en face c’était peut-être plus une stratégie, un piège qui aurait pu fonctionner, la bonne vielle victoire à l’extérieur, façon top 14...

On est tombé dans le rythme du Racing qui a imposé son jeu et l'a imposé à notre jeu, on n'est pas encore taillé pour imposer notre, on doit savoir faire ça si on veut grandir. Ils ont fait la même chose qu'au match allé, sauf que cette fois-ci c'est nous qui gagnons mais ça aurait pu nous coûter cher... Je ne connais pas la stat, mais le nombre de fautes est beaucoup trop importante.

Fallait le faire de gagner un match comme ça, mais je me répète, si on ne sait pas imposer notre jeu ça nous jouera des tours, on doit savoir s'adapter à l'adversaire, pouvoir jouer avec nos arrières comme on en a envie et pas juste les laisser être spectateur en attaque.

Je ne suis pas d'accord avec toutes vos critiques sur ce match. Certes ce n'était pas le meilleur match ou le plus enthousiasmant mais il était rude disputé et à la 80ieme minute de jeux, personne n'était capable de donner le nom du gagnant. Comme dit par scalp et switch, pour faire un bon match il faut être 2. Hors je pense mais je peux me tromper que le racing a voulu utiliser la même recette que lors de sa victoire à chaban : avoir une grosse défense et attendre nos fautes pour marquer et ils ont bien failli reussir.
L'ubb a fait jeu egal pendant les 50-60 mn et on a senti ensuite qu'elle prenait le jeu à son compte.  Pour preuve c'est nous qui avons eu les seules occasions d'essai. Je n'ai pas souvenir d'une occaz d'essai du racing ou même qu'ils se soient approcher de notre ligne d'en but.On a tremblé uniquement parce que on leur donner la possibilité de marquer  grâce  à nos fautes.
C'est là que l'on doit progresser car depuis le début de la saison on en fait trop.
En parlant de fautes près de nos lignes j'ai quand même du mal avec les3 dernières siflees contre nous.
Celle de petti tout d'abord pour moi le grattage est legal
Ensuite la faute de tameifuna sur beale, celui-ci fait un en avant et tente de rattraper le ballon dans sa chute. Il faut m'expliquer  comment plaquer quand l'adversaire est à 30cm du sol.
Enfin la faute d'higgibotham est très sévère combien de fois ce genre de protection sont non sifflé j'en ai vu beaucoup dans le match st contre asm..
Bref rejouissons nous d'être en demi finale de la grande coupe d'europe. Nous n' avons pas battu bristol et le racing avec 30 points de différence comme ont pu le faire le racing face à Edimbourg  ou la rochelle face à sale mais les équipes que l'on a affronté était quand même d'un autre niveau.
Franchement notre match ne fut pas enthousiasmant mais celui  du st contre l'asm ne l'etait pas non plus
Nos joueurs sont en train d'écrire une belle histoire et je suis fière d'eux

marchal a écrit:Je ne suis pas d'accord avec toutes vos critiques sur ce match. Certes ce n'était pas le meilleur match ou le plus enthousiasmant mais il était rude disputé et à la 80ieme minute de jeux, personne n'était capable de donner le nom du gagnant. Comme dit par scalp et switch, pour faire un bon match il faut être 2. Hors je pense mais je peux me tromper que le racing a voulu utiliser la même recette que lors de sa victoire à chaban : avoir une grosse défense et attendre nos fautes pour marquer et ils ont bien failli reussir.
L'ubb a fait jeu egal pendant les 50-60 mn et on a senti ensuite qu'elle prenait le jeu à son compte.  Pour preuve c'est nous qui avons eu les seules occasions d'essai. Je n'ai pas souvenir d'une occaz d'essai du racing ou même qu'ils se soient approcher de notre ligne d'en but.On a tremblé uniquement parce que on leur donner la possibilité de marquer  grâce  à nos fautes.
C'est là que l'on doit progresser car depuis le début de la saison on en fait trop.
En parlant de fautes près de nos lignes j'ai quand même du mal avec les3 dernières siflees contre nous.
Celle de petti tout d'abord pour moi le grattage est legal
Ensuite la faute de tameifuna sur beale, celui-ci fait un en avant et tente de rattraper le ballon dans sa chute. Il faut m'expliquer  comment plaquer quand l'adversaire est à 30cm du sol.
Enfin la faute d'higgibotham est très sévère combien de fois ce genre de protection sont non sifflé j'en ai vu beaucoup dans le match st contre asm..
Bref rejouissons nous d'être en demi finale de la grande coupe d'europe. Nous n' avons pas battu bristol et le racing avec 30 points de différence comme ont pu le faire le racing face à Edimbourg  ou la rochelle face à sale mais les équipes que l'on a affronté était quand même d'un autre niveau.
Franchement notre match ne fut pas enthousiasmant mais celui  du st contre l'asm ne l'etait pas non plus
Nos joueurs sont en train d'écrire une belle histoire et je suis fière d'eux

Pour moi coté racing 0 occasion par contre nous on en a eu 3 franches et notamment deux qui m'ont marqué:
- higgin qui oubli un deux contre 1 et en ensuite jalibert qui est à 2 doigts d’aplatir
- avantage à 5 mètres de la lignes et on repart sur un pick and go et higgin se fait coffrer dans l'enbut, je pense qu'il y avait moyen d'écarter on avait un avantage.

willoush a écrit:Guido "Machina" Petti... Ça fait plaisir à voir. Enfin on découvre notre joueur annoncé de classe mondiale.

C’est un excellent joueur, il était très bon contre Bristol, mais il était en-dedans contre le Racing hier.

On devient exigeant. On reste sur notre faim car le match n'est pas très abouti en terme de qualité. Mais il faut surtout se réjouir d'être dans le dernier carré de la CC avec 2 des grands habitués et l'équipe du moment qui impressionne. Et cela en éliminant 2 prétendants au titre.
Je crois qu'on (les supporters) est tellement obnubilé par cet objectif du top 6 qu'on arrive pas à apprecier à sa juste valeur cette qualification en demi-finale.

Scalp a écrit:https://www.sudouest.fr/sport/rugby/coupe-d-europe-de-rugby/apres-ubb-racing-92-higginbotham-le-papa-du-pack-girondin-2121891.php

Après UBB – Racing 92 : Higginbotham, le papa du pack girondin

Par Yoan Leshauriès

Déjà très en vue face à Bristol, le troisième ligne australien de l’UBB a encore pesé face au Racing (24-21) en quart de finale de Champions Cup, quatre jours après la naissance de son fils. Reste à savoir s’il va prolonger

Entre deux biberons, Scott Higginbotham (34 ans) fait le métier, imperturbable. « Ce garçon, il a joué un match contre Bristol, il a été fantastique, souligne Christophe Urios. Sa femme était sur le point d’accoucher. Ce n’est pas facile pour un mec, d’autant plus qu’il n’est pas Français, il n’a personne autour de lui. Mais il a été capable de s’entraîner tout le temps. Ça me surprenait d’ailleurs ».

Mercredi après-midi, le troisième ligne international australien (34 sélections) a été dispensé d’entraînement. Il a filé à la maternité pour la naissance d’Ellis, son petit garçon. « Il est revenu et il s’est entraîné normalement », poursuit le manager. Ce dimanche, Scott Higginbotham a encore livré une belle prestation face au Racing, s’offrant notamment deux belles percées. « C’est un joueur malin, très à l’aise avec le ballon, un joueur d’attaque, créatif. Franchement, c’est un mec délicieux, qui a beaucoup d’expérience, qui est très à l’aise dans le groupe. La seule chose qui lui manque, pour être vraiment incontestable dans la vie de tous les jours, c’est qu’il parle bien le Français… »

L’avenir de Scott Higginbotham est toujours en suspens. En fin de contrat en juin prochain, il n’a toujours pas prolongé avec le club girondin. Restera ? Partira ? Son sort devrait être connu dans les prochains jours.


On ne peut pas virer son père quand même, j'espère qu'on va garder Scott

Moi, j'ai l'intuition que cela sent bon !

Si on gagne 9-6 en demie à Toulouse et qu'on accède à la finale de Champions Cup, ça râlera encore

Je trouve aussi qu'on devient exigeant, et qu'on ne réalise pas la performance réalisée en 15 jours. Accéder à nos premières phases finales de Champions Cup, battre en 1/8 de finale l'archi-leader du championnat anglais et récent vainqueur du Challenge Européen par 36-17 dans un stade vide, sans nos supporters, puis battre six jours plus tard en 1/4 de finale le vice-champion d'Europe en titre et actuel 3ème du Top14, rompu aux phases finales, dans un match tendu et fermé, au mental, et toujours sans nos supporters. Avouons-le, en début de saison on aurait tous signé des deux mains !

Comme dit hier, c'est clair que le match n'était pas beau, qu'il a manqué d'intelligence de jeu et qu'on a fait trop de conneries. Personne ne le niera. Mais en face, je n'ai pas vu le Racing proposer quelque chose ni laisser la possibilité d'envoyer du jeu. Je ne dédouane pas l'UBB, loin de là, mais faut aussi reconnaître que le Racing n'était pas venu pour participer à une rencontre ouverte en enjouée. Ils ont fait ce qu'ils savent faire le mieux : défi physique, jeu au ras, occupation. Leur stratégie était celle d'un match de Top14 à l'extérieur, et ca a failli payer. Mais je déplore qu'un club avec de tels atouts et une telle expérience aborde un 1/4 de finale de la sorte. Malgré leurs absents, certes, il y avait quand même du beau monde sur le pelouse pour jouer (J. Joseph, J. Imhoff, K. Beale, D. Taofifenua, L. Dupichot, E. Boffelli...) et ils avaient de quoi proposer autre chose.

De notre côté, on a senti les mecs tendus, étonnement bien plus que contre Bristol alors que pour moi, l'enjeu était plus grand le WE dernier qu'hier. J'ai trouvé Jaja nerveux et parfois brouillon, de manière inhabituelle pour lui. On a balbutié notre rugby et on donnait l'impression de ne pas vouloir "oser". On préférait se "rassurer" par du jeu simple, au près, plutôt que d'envoyer au large. Et alors la grosse déception pour moi c'est la touche ! Quelle purge alors qu'on dispose habituellement d'un des meilleurs alignements et qu'en plus en face, il manquait Le Roux et que Chouzenoux est sorti 10 minutes.
Le pompon c'est cette pénaltouche aux 5m à 2 minutes de la fin qu'on perd. J'étais fou, devant ma télé ! J'ai cru que les chats allaient passer par la fenêtre et le drapeau UBB avec ! Dans ces moments-là on a senti le manque d'expérience et de vécu du groupe. Un Leinster, un Saracens ou un Toulouse et même un Racing n'aurait jamais manqué cette dernière munition de la sorte. On voit aussi là les limites d'un groupe encore jeune et inexpérimenté dans ce genre de match. C'est là que des mecs comme Picamoles ou FTD apporteront aussi, et c'est là que ce genre de match permet d'apprendre aussi. Sûr que si dans quelques semaines, dans un hypothétique match de phase finale en Top14, cette situation se reproduit, les mecs sauront cette fois gérer.

L'équipe est encore novice et perfectible, on l'a vu. Il faudra travailler là-dessus, c'est certain. Mais je préfère retenir aussi que malgré tout cela, on a su ne pas sombrer mentalement, s'accrocher, et aller chercher ce nouveau petit exploit. N'oublions pas qu'on a suffisamment manger la mer** depuis des années. Alors là, j'ai juste envie de profiter. Le match à Agen sera l'occasion de se remettre dans le bain du Top14 et de repartir de l'avant dans ce qui reste notre objectif prioritaire : le Top14.

Ce qu'on a vu hier, c'est la différence entre vouloir gagner et vouloir ne pas perdre.

Le Racing était quand même bien diminué, il faut être honnête, ils avaient une énorme cascade de titulaires absents, et là-dessus Chat se blesse. Travers qui doit affronter l'UBB, qui a tenu tête à la meilleure Armada offensive d'Europe, ne va certainement pas choisir d'attaquer sabre au clair, ce qui n'est en plus pas dans son ADN, Urios le savait parfaitement et l'avait annoncé.

L'UBB de son côté a vu l'énorme opportunité de passer les quarts, elle est devenue tout d'un coup le favori logique, et là encore, il s'est passé ce qu'Urios avait prévu. Il l'avait prédit d'autant mieux qu'en plus de savoir ce qu'allait faire le Racing, il avait lui aussi choisi de jouer assez tactique. Les joueurs ont été un peu tétanisé par l'enjeu, de ne pas gâcher l'énorme opportunité de battre un Racing largement prenable. Le manque d'expérience a fait le reste.

Deux équipes qui ne veulent pas perdre, qui ne se livrent pas, qui sont contractées, ça a peu de chance de produire un grand match et ce fut le cas. Urios l'a souligné hier, ce genre de match, avant on l'aurait perdu, c'est aussi là que l'UBB a progressé, en gagnant ce genre de rencontre à élimination directe, fermée et avec de l'enjeu. Ce n'était pas un grand match sur le plan du Rugby, mais à l'échelle de notre jeune équipe et de notre jeune club, c'était une victoire hyper importante, l'UBB grandit pas à pas, bravo au staff et aux joueurs pour cette grosse performance !.

le radis a écrit:

Scalp a écrit:https://www.sudouest.fr/sport/rugby/coupe-d-europe-de-rugby/apres-ubb-racing-92-higginbotham-le-papa-du-pack-girondin-2121891.php

Après UBB – Racing 92 : Higginbotham, le papa du pack girondin

Par Yoan Leshauriès

Déjà très en vue face à Bristol, le troisième ligne australien de l’UBB a encore pesé face au Racing (24-21) en quart de finale de Champions Cup, quatre jours après la naissance de son fils. Reste à savoir s’il va prolonger

Entre deux biberons, Scott Higginbotham (34 ans) fait le métier, imperturbable. « Ce garçon, il a joué un match contre Bristol, il a été fantastique, souligne Christophe Urios. Sa femme était sur le point d’accoucher. Ce n’est pas facile pour un mec, d’autant plus qu’il n’est pas Français, il n’a personne autour de lui. Mais il a été capable de s’entraîner tout le temps. Ça me surprenait d’ailleurs ».

Mercredi après-midi, le troisième ligne international australien (34 sélections) a été dispensé d’entraînement. Il a filé à la maternité pour la naissance d’Ellis, son petit garçon. « Il est revenu et il s’est entraîné normalement », poursuit le manager. Ce dimanche, Scott Higginbotham a encore livré une belle prestation face au Racing, s’offrant notamment deux belles percées. « C’est un joueur malin, très à l’aise avec le ballon, un joueur d’attaque, créatif. Franchement, c’est un mec délicieux, qui a beaucoup d’expérience, qui est très à l’aise dans le groupe. La seule chose qui lui manque, pour être vraiment incontestable dans la vie de tous les jours, c’est qu’il parle bien le Français… »

L’avenir de Scott Higginbotham est toujours en suspens. En fin de contrat en juin prochain, il n’a toujours pas prolongé avec le club girondin. Restera ? Partira ? Son sort devrait être connu dans les prochains jours.


On ne peut pas virer son père quand même, j'espère qu'on va garder Scott

Moi, j'ai l'intuition que cela sent bon !

Je me fie à ton intuition

Travers : "Le match, on le perd par KO"

https://www.rugbyrama.fr/rugby/champions-cup/2020-2021/champions-cup-laurent-travers-racing-92-le-match-on-le-perd-par-ko_sto8219645/story.shtml

Scalp a écrit:Ce qu'on a vu hier, c'est la différence entre vouloir gagner et vouloir ne pas perdre.

Le Racing était quand même bien diminué, il faut être honnête, ils avaient une énorme cascade de titulaires absents, et là-dessus Chat se blesse. Travers qui doit affronter l'UBB, qui a tenu tête à la meilleure Armada offensive d'Europe, ne va certainement pas choisir d'attaquer sabre au clair, ce qui n'est en plus pas dans son ADN, Urios le savait parfaitement et l'avait annoncé.

L'UBB de son côté a vu l'énorme opportunité de passer les quarts, elle est devenue tout d'un coup le favori logique, et là encore, il s'est passé ce qu'Urios avait prévu. Il l'avait prédit d'autant mieux qu'en plus de savoir ce qu'allait faire le Racing, il avait lui aussi choisi de jouer assez tactique. Les joueurs ont été un peu tétanisé par l'enjeu, de ne pas gâcher l'énorme opportunité de battre un Racing largement prenable. Le manque d'expérience a fait le reste.

Deux équipes qui ne veulent pas perdre, qui ne se livrent pas, qui sont contractées, ça a peu de chance de produire un grand match et ce fut le cas. Urios l'a souligné hier, ce genre de match, avant on l'aurait perdu, c'est aussi là que l'UBB a progressé, en gagnant ce genre de rencontre à élimination directe, fermée et avec de l'enjeu. Ce n'était pas un grand match sur le plan du Rugby, mais à l'échelle de notre jeune équipe et de notre jeune club, c'était une victoire hyper importante, l'UBB grandit pas à pas, bravo au staff et aux joueurs pour cette grosse performance !.

C'est très juste.
Et la prochaine étape sera de pouvoir imposer notre jeu, notre tempo.