Derniers sujets
» UBB: Prolongations signatures Départs Saison 2025/2026par kaze33 Hier à 22:46
» 10ᵉ journée : Vannes / UBB
par sudiste Hier à 22:32
» XV de France (partie en cours)
par densnewzealand Hier à 19:05
» Autres Clubs
par marchal Hier à 15:50
» Yann Lesgourgues
par marchal Hier à 15:00
» Mateo GARCIA
par Scalp Hier à 13:10
» Podcast : Les UBBistes
par nadoloubb Hier à 13:06
» Romain Buros
par Scalp Hier à 11:37
» Bourse des places de match
par Kmary Hier à 10:47
» Demandes de billets et déplacements saison 24/25
par krahknardz Hier à 0:26
» Equipe de France à 7 (hommes)
par krahknardz Mer 20 Nov 2024 - 23:48
» Transferts (Autres clubs)
par Switch Mer 20 Nov 2024 - 23:44
» Matthieu Jalibert
par Scalp Mer 20 Nov 2024 - 20:19
» Mahamadou Diaby
par Scalp Mer 20 Nov 2024 - 17:37
» 12ᵉ journée : Castres / UBB
par Scalp Mer 20 Nov 2024 - 12:59
» Les Lionnes 2024-2025
par marchal Mar 19 Nov 2024 - 17:19
» Live twitch Gauthier Baudin
par Scalp Mar 19 Nov 2024 - 17:18
» Equipes de France Jeunes
par marchal Mar 19 Nov 2024 - 14:02
» Arthur Retière
par Scalp Mar 19 Nov 2024 - 10:17
» Musique !!!
par Scalp Mar 19 Nov 2024 - 4:13
» Ben Tameifuna
par Scalp Lun 18 Nov 2024 - 15:02
» Que deviennent nos anciens joueurs ?
par marchal Lun 18 Nov 2024 - 13:13
» XV de France (partie en cours)
par Scalp Dim 17 Nov 2024 - 11:14
» Ou voir les matchs de l'Union ?
par Lawrence the Hammer Sam 16 Nov 2024 - 17:41
» Autres joueurs
par marchal Sam 16 Nov 2024 - 14:43
» Le rugby et son évolution
par Scalp Sam 16 Nov 2024 - 11:42
» Zaccharie Affane
par Scalp Sam 16 Nov 2024 - 11:41
» Pro D2 : Autres matchs
par Roberto Miopalmo Sam 16 Nov 2024 - 9:15
» Tevita Tatafu
par Scalp Jeu 14 Nov 2024 - 19:01
» L'histoire de l'UBB
par marchal Jeu 14 Nov 2024 - 14:23
Tournoi des 6 Nations 2022
+26
Kerquillas
Vévé64
FrenchKick
Ante33
krahknardz
bleu et blanc
le radis
Tuhrah
DODO974
willoush
Vince33
Dr. Gregory Bouse
nadoloubb
Roberto Miopalmo
Big'Ben
patrick
Yatangaki
sudiste
SympathyForTheDevil
grospaquet31
marchal
léopold
densnewzealand
Switch
tire-bouchon
Scalp
30 participants
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté terrain :: Rugby mondial (hors EDF)
Page 12 sur 37
Page 12 sur 37 • 1 ... 7 ... 11, 12, 13 ... 24 ... 37
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Scalp a écrit:XV de France: le projet d’un nouveau Marcoussis dans le Var se précise
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/xv-de-france/xv-de-france-le-projet-d-un-nouveau-marcoussis-dans-le-var-se-precise_AV-202202040289.html
A l'époque où la Fédé prospectait pour le CNR je me rappelle que le CFM Hourtin avait été recalé car jugé (entre autre) trop excentré et qu'une fois encore en bon pays centralisateur c'est la région parisienne qui avait été choisie.
Voilà maintenant que notre XV recherche le soleil parce que jouer au rugby dans la grisaille hivernale francilienne leur est insupportable.
Donc si je comprends le XV de France aura sa résidence d'hiver au soleil avant de rejoindre Marcoussis à la saison plus favorable
La Fédé a-t-elle donc autant de pognon à dépenser pour ce qui s'apparente à une forme de luxe ? Franchement c'est un peu indécent ...
sudiste- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 15935
Date d'inscription : 27/01/2008
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Big'Ben a écrit:Je remarque que Mori n'est pas dans les 23...
Voilà, de nos 5 joueurs absents pour cause de doublon 2 sont en tribune, 2 sont sur le banc et le seul aligné sur le pré ne joue pas à son poste ....en malgré tout ce sont encore les toulousains qui chialent (sauf qu'ils ne crachent pas sur le pognon que leur rapportent leurs internationaux ...mais chuttt motus !!!)
sudiste- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 15935
Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Tournoi des Six Nations : les Bleus négatifs à la veille d’affronter l’Italie
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/xv-de-france-les-bleus-negatifs-a-la-veille-d-affronter-l-italie-8312550.php
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/xv-de-france-les-bleus-negatifs-a-la-veille-d-affronter-l-italie-8312550.php
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
VIDÉO - Revivez l'analyse de la composition des Bleus face à l'Italie
https://video.rugbyrama.fr/rugby/revivez-l-analyse-de-la-composition-des-bleus-face-a-l-italie_vid1621291/video.shtml
https://video.rugbyrama.fr/rugby/revivez-l-analyse-de-la-composition-des-bleus-face-a-l-italie_vid1621291/video.shtml
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Le Rugby est un sport dangereux, aussi en dehors du terrain
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Points-de-bonus-goal-average-ces-objectifs-secondaires-mais-importants-pour-les-bleus-contre-l-italie/1315188
Points de bonus, goal-average... ces objectifs secondaires mais importants pour les Bleus contre l'Italie
Dans sa quête de victoire finale dans le Tournoi des Six Nations, la France ne peut pas se contenter d'un succès face à l'Italie. Il lui faudra aussi viser le bonus offensif et soigner le goal-average. Pas si simple.
Laurent Campistron (avec F. Be.)
L'exercice est compliqué. Comment asséner qu'on veut coller une rouste à l'Italie sans donner l'impression de la négliger ? C'est à ce numéro d'équilibriste verbal que les Bleus se sont parfois pliés cette semaine depuis leur camp d'entraînement d'Aubagne (Bouches-du-Rhône). Prenez le centre Gaël Fickou, capitaine de la défense : « Il faut respecter toutes les équipes. Battre les Italiens serait déjà très, très bien. Forcément, il faudra mettre la manière et beaucoup de points. »
D'abord battre l'Italie, donc. C'est la base. Mais à moins de s'offrir un Grand Chelem, ça ne suffira peut-être pas pour gagner le Tournoi. Car si l'équipe de France a bien appris une chose de ses deux dernières campagnes dans cette épreuve, toutes deux finies à la deuxième place, c'est que tous les points comptent, qu'ils soient de bonus ou de goal-average. C'est d'ailleurs à cause d'un goal-average inférieur à celui de l'Angleterre (+21 contre +44) que les Bleus avaient perdu l'édition 2020.
A posteriori, ils avaient forcément regretté ce point de bonus défensif (24-17) offert à leur grand rival d'Outre-Manche à la sirène lors du match d'ouverture (avec ce coup de pied en ballon mort d'Antoine Dupont, qui croyait que le match était terminé, offrant alors une dernière munition aux Anglais). Et, dans une moindre mesure, ce faible écart face à l'Italie au Stade de France (+13, 35-22), très loin des écarts réalisés par l'Angleterre (+29, 5-34), le pays de Galles (+42, 42-0) et l'Irlande (+33, 50-17) face au même adversaire.
"Courir après deux ou trois objectifs à la fois est la meilleure façon d'en louper deux ou trois
Sébastien Piqueronies, entraîneur de Pau
L'an passé, les Bleus accusaient aussi un gros déficit au goal-average avant de recevoir l'Écosse en match en retard, le 26 mars. Il leur fallait vaincre avec le bonus offensif et un écart de 21 points au score pour espérer coiffer sur le fil le pays de Galles. Une mission quasi impossible qui avait sacrément parasité leur préparation stratégique de la rencontre, et probablement précipité leur défaite ce soir-là (23-27).
Rappelez-vous notamment de cette relance suicidaire en fin de match de Brice Dulin, parti de ses propres 22 mètres pour s'empaler dans la défense écossaise et finalement rendre le ballon à l'adversaire. La France n'avait pourtant plus rien à espérer à ce moment-là. Mais les Bleus étaient si conditionnés pour envoyer du jeu et marquer des essais qu'ils en avaient perdu de la lucidité.
« Ma conviction, en pareil cas, c'est que courir après deux ou trois objectifs à la fois est la meilleure façon d'en louper deux ou trois », explique Sébastien Piqueronies. L'entraîneur de Pau connaît ces situations où il faut arracher un bonus offensif, au minimum, pour remplir sa mission. Il les a vécues avec les moins des 20 ans français face aux Gallois (victoire 3-24), en 2018, pour s'assurer la gagne dans le Tournoi, ou encore avec la Section en juin 2021 en Top 14 face à Montpellier (41-25, 26e j.) pour sauver le club de la relégation. « Si vous faites de l'écart au score ou du bonus offensif un objectif très important, que peut-il se passer si ça fait 12-10 à la 50e ?, interroge-t-il. Une pression négative peut se retourner contre vous. C'est plus simple de partir d'un objectif moins haut et de basculer vers un objectif supérieur en cours de route, en faisant passer le message aux leaders qu'il faut viser l'écart au score ou le bonus dans les vingt dernières minutes. »
L'Italie, qui n'a plus gagné le moindre match dans le Tournoi depuis sept ans (22-19 en Écosse), et qui y a quasiment pris 50 points à tous les matches l'an passé (score moyen de 11-48), a le profil idoine pour rentrer du Stade de France avec les valises pleines. Mais la prendre de haut serait une grossière erreur, d'autant que l'histoire montre que les Bleus ont toujours eu plus de mal à la punir à domicile qu'à l'extérieur.
« On a vu que cette équipe a récemment changé d'entraîneur et de dispositif, que les Blacks avaient éprouvé des difficultés à prendre le score contre elle en novembre (victoire 47-9 mais premiers points inscrits à la 28e), souffle le demi de mêlée Maxime Lucu. On sait très bien que si on ne la prend pas au sérieux, on se fera contrer. » « Je construirais ce match avec l'idée de le gagner, point, estime Piqueronies. Parce que ce sera une entrée de compétition face à un adversaire gonflé à bloc. Ensuite, si les Bleus dominent les collisions directes et ont la même efficacité près de la ligne que face aux All Blacks en novembre (40-25), où chaque fois qu'ils approchaient, c'était un coup de poignard, un deuxième objectif devrait s'offrir à eux. Voire un troisième. »
Points de bonus, goal-average... ces objectifs secondaires mais importants pour les Bleus contre l'Italie
Dans sa quête de victoire finale dans le Tournoi des Six Nations, la France ne peut pas se contenter d'un succès face à l'Italie. Il lui faudra aussi viser le bonus offensif et soigner le goal-average. Pas si simple.
Laurent Campistron (avec F. Be.)
L'exercice est compliqué. Comment asséner qu'on veut coller une rouste à l'Italie sans donner l'impression de la négliger ? C'est à ce numéro d'équilibriste verbal que les Bleus se sont parfois pliés cette semaine depuis leur camp d'entraînement d'Aubagne (Bouches-du-Rhône). Prenez le centre Gaël Fickou, capitaine de la défense : « Il faut respecter toutes les équipes. Battre les Italiens serait déjà très, très bien. Forcément, il faudra mettre la manière et beaucoup de points. »
D'abord battre l'Italie, donc. C'est la base. Mais à moins de s'offrir un Grand Chelem, ça ne suffira peut-être pas pour gagner le Tournoi. Car si l'équipe de France a bien appris une chose de ses deux dernières campagnes dans cette épreuve, toutes deux finies à la deuxième place, c'est que tous les points comptent, qu'ils soient de bonus ou de goal-average. C'est d'ailleurs à cause d'un goal-average inférieur à celui de l'Angleterre (+21 contre +44) que les Bleus avaient perdu l'édition 2020.
A posteriori, ils avaient forcément regretté ce point de bonus défensif (24-17) offert à leur grand rival d'Outre-Manche à la sirène lors du match d'ouverture (avec ce coup de pied en ballon mort d'Antoine Dupont, qui croyait que le match était terminé, offrant alors une dernière munition aux Anglais). Et, dans une moindre mesure, ce faible écart face à l'Italie au Stade de France (+13, 35-22), très loin des écarts réalisés par l'Angleterre (+29, 5-34), le pays de Galles (+42, 42-0) et l'Irlande (+33, 50-17) face au même adversaire.
"Courir après deux ou trois objectifs à la fois est la meilleure façon d'en louper deux ou trois
Sébastien Piqueronies, entraîneur de Pau
L'an passé, les Bleus accusaient aussi un gros déficit au goal-average avant de recevoir l'Écosse en match en retard, le 26 mars. Il leur fallait vaincre avec le bonus offensif et un écart de 21 points au score pour espérer coiffer sur le fil le pays de Galles. Une mission quasi impossible qui avait sacrément parasité leur préparation stratégique de la rencontre, et probablement précipité leur défaite ce soir-là (23-27).
Rappelez-vous notamment de cette relance suicidaire en fin de match de Brice Dulin, parti de ses propres 22 mètres pour s'empaler dans la défense écossaise et finalement rendre le ballon à l'adversaire. La France n'avait pourtant plus rien à espérer à ce moment-là. Mais les Bleus étaient si conditionnés pour envoyer du jeu et marquer des essais qu'ils en avaient perdu de la lucidité.
« Ma conviction, en pareil cas, c'est que courir après deux ou trois objectifs à la fois est la meilleure façon d'en louper deux ou trois », explique Sébastien Piqueronies. L'entraîneur de Pau connaît ces situations où il faut arracher un bonus offensif, au minimum, pour remplir sa mission. Il les a vécues avec les moins des 20 ans français face aux Gallois (victoire 3-24), en 2018, pour s'assurer la gagne dans le Tournoi, ou encore avec la Section en juin 2021 en Top 14 face à Montpellier (41-25, 26e j.) pour sauver le club de la relégation. « Si vous faites de l'écart au score ou du bonus offensif un objectif très important, que peut-il se passer si ça fait 12-10 à la 50e ?, interroge-t-il. Une pression négative peut se retourner contre vous. C'est plus simple de partir d'un objectif moins haut et de basculer vers un objectif supérieur en cours de route, en faisant passer le message aux leaders qu'il faut viser l'écart au score ou le bonus dans les vingt dernières minutes. »
L'Italie, qui n'a plus gagné le moindre match dans le Tournoi depuis sept ans (22-19 en Écosse), et qui y a quasiment pris 50 points à tous les matches l'an passé (score moyen de 11-48), a le profil idoine pour rentrer du Stade de France avec les valises pleines. Mais la prendre de haut serait une grossière erreur, d'autant que l'histoire montre que les Bleus ont toujours eu plus de mal à la punir à domicile qu'à l'extérieur.
« On a vu que cette équipe a récemment changé d'entraîneur et de dispositif, que les Blacks avaient éprouvé des difficultés à prendre le score contre elle en novembre (victoire 47-9 mais premiers points inscrits à la 28e), souffle le demi de mêlée Maxime Lucu. On sait très bien que si on ne la prend pas au sérieux, on se fera contrer. » « Je construirais ce match avec l'idée de le gagner, point, estime Piqueronies. Parce que ce sera une entrée de compétition face à un adversaire gonflé à bloc. Ensuite, si les Bleus dominent les collisions directes et ont la même efficacité près de la ligne que face aux All Blacks en novembre (40-25), où chaque fois qu'ils approchaient, c'était un coup de poignard, un deuxième objectif devrait s'offrir à eux. Voire un troisième. »
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Scalp a écrit:Le Rugby est un sport dangereux, aussi en dehors du terrain
Je suis pas sûr de voir la fin de la première mi-temps, et pas que de ce match là
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 5883
Localisation : Angoulême
Date d'inscription : 21/11/2018
Humeur : Merde
Age : 33
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Big'Ben a écrit:Scalp a écrit:Le Rugby est un sport dangereux, aussi en dehors du terrain
Je suis pas sûr de voir la fin de la première mi-temps, et pas que de ce match là
C'est sur
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Le XV du trèfle, unificateur de deux Irlande sous un même maillot
https://cafecremesport.com/2022/02/05/le-xv-du-trefle-unificateur-de-deux-irlande-sous-un-meme-maillot/
https://cafecremesport.com/2022/02/05/le-xv-du-trefle-unificateur-de-deux-irlande-sous-un-meme-maillot/
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Comme l'a déjà souligné Marchal, Café Crème Sport, c'est souvent des articles intéressants et de qualité
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Très beau reportage C+ sur l'"enfant chéri" ....quelle star !!!
sudiste- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 15935
Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
VIDÉO. Équipe de France. BOOM ! Le jour où Picamoles a détruit Castrogiovanni
https://www.lerugbynistere.fr/videos/video-equipe-de-france-boom-le-jour-ou-picamoles-a-detruit-castrogiovanni-0502221608.php
https://www.lerugbynistere.fr/videos/video-equipe-de-france-boom-le-jour-ou-picamoles-a-detruit-castrogiovanni-0502221608.php
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Tournoi des 6 Nations. La presse italienne compte sur ses jeunes pour défier la France
https://www.lerugbynistere.fr/news/tournoi-des-6-nations-italie-la-presse-italienne-compte-sur-sa-jeune-generation-pour-battre-les-bleus-0502221728.php
https://www.lerugbynistere.fr/news/tournoi-des-6-nations-italie-la-presse-italienne-compte-sur-sa-jeune-generation-pour-battre-les-bleus-0502221728.php
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Deux énormes matches cet après-midi. On va voir si la France va être au niveau demain, parce que le niveau cette année va être relevé.
La maîtrise irlandaise est quand même hallucinante. Sans leur victoire contre les Blacks, je ne suis d'ailleurs pas persuadé qu'on l'aurait emporté par la suite contre des Néozéd complètement lessivés par le tsunami vert.
La maîtrise irlandaise est quand même hallucinante. Sans leur victoire contre les Blacks, je ne suis d'ailleurs pas persuadé qu'on l'aurait emporté par la suite contre des Néozéd complètement lessivés par le tsunami vert.
krahknardz- Team modo
- Nombre de messages : 7560
Localisation : Bègles
Date d'inscription : 07/07/2013
Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
On a vu 2 très bons matchs cet après midi.
L'Irlande il va falloir se les farcir en plus maintenant ils font jouer leur trois quart et ils sont loin d'etre manchots. Et quelle puissance. Leur 9 est vraiment très bon. Le pdg a par contre du souci à se faire, c'est vrai qu'ils leur manquaient du monde, ils m'ont fait penser aux Scarlett
Et que dire de l'ecosse quel coeur. Par contre toujours pas convaincu par marcus smith.
Pour la france déjà si on gagne le tournoi ça sera déjà pas mal, quant au grand chelem j'y crois pas une seconde. L'irlande et l'ecosse vont etre de rudes adversaires. Si l'on n'arrive pas à contrer la puissance du pack de L'irlande on perdra le match.
Hâte d'etre au we prochain.
L'Irlande il va falloir se les farcir en plus maintenant ils font jouer leur trois quart et ils sont loin d'etre manchots. Et quelle puissance. Leur 9 est vraiment très bon. Le pdg a par contre du souci à se faire, c'est vrai qu'ils leur manquaient du monde, ils m'ont fait penser aux Scarlett
Et que dire de l'ecosse quel coeur. Par contre toujours pas convaincu par marcus smith.
Pour la france déjà si on gagne le tournoi ça sera déjà pas mal, quant au grand chelem j'y crois pas une seconde. L'irlande et l'ecosse vont etre de rudes adversaires. Si l'on n'arrive pas à contrer la puissance du pack de L'irlande on perdra le match.
Hâte d'etre au we prochain.
marchal- Centre de presse
- Nombre de messages : 6395
Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 12/06/2013
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
marchal a écrit:On a vu 2 très bons matchs cet après midi.
L'Irlande il va falloir se les farcir en plus maintenant ils font jouer leur trois quart et ils sont loin d'etre manchots. Et quelle puissance. Leur 9 est vraiment très bon. Le pdg a par contre du souci à se faire, c'est vrai qu'ils leur manquaient du monde, ils m'ont fait penser aux Scarlett
Et que dire de l'ecosse quel coeur. Par contre toujours pas convaincu par marcus smith.
Pour la france déjà si on gagne le tournoi ça sera déjà pas mal, quant au grand chelem j'y crois pas une seconde. L'irlande et l'ecosse vont etre de rudes adversaires. Si l'on n'arrive pas à contrer la puissance du pack de L'irlande on perdra le match.
Hâte d'etre au we prochain.
Marcus smith est de ce que vois pour l'instant nettement inférieur à jaja et ntamack. Sur le match d'hier il est à chaque fois à 10 m de le défense, il fait que distribuer sans fixer. Au pied il s'est fait manger par russel et hogg tactiquement, il loupe une transformation et une penaltouche qui aurait pu les faire gagner. Autre chose j'ai l'impression que si la pénalité dépasse les 40 m il ne peut pas la prendre. Donc pour moi il a fait un match très très moyen. Ce qui le sauve c'est son essai bien amené par le pack anglais et le superbe décalage de young qui le met dans l'intervalle
nadoloubb- Quentin MARTIntino
- Nombre de messages : 8676
Localisation : orléans
Date d'inscription : 13/04/2018
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Woki toujours annoncé à 103 kg , dans l’équipe… alors qu’il est à 109 sur le site de l’ubb. Comprends pas. Je le vois plutôt sur ce que dit le site . Mais bon.
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 4507
Localisation : sud langonnais
Date d'inscription : 14/01/2017
Humeur : variable
Age : 61
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Cameron-woki-revolutionne-le-poste-de-deuxieme-ligne/1315384
Bleus : Cameron Woki révolutionne le poste de deuxième-ligne
Le flanker bordelais, qui n'avait jamais joué numéro 4 avant l'automne dernier, a été maintenu à ce poste, où il joue presque à la manière d'un troisième-ligne.
Doté d'une très forte capacité d'accélération, Cameron Woki (au centre) est capable de créer du déséquilibre dans les défenses adverses. (S. Mantey/L'Équipe)
Alex Bardot
Depuis mi-juillet, il y a lui et les autres. Lui en troisième ligne ou lui en deuxième ligne, mais lui d'abord. Et peu importe la concurrence. Ces derniers jours, le seul débat au sein du staff des Bleus n'était pas de savoir s'il allait débuter le match, mais à quel poste. Ce devait être avec le numéro 7, comme lors des entraînements de début de stage. Puis deux forfaits ont touché la deuxième ligne (Geraci et Flament), et ce sera finalement avec le 4, malgré le retour en forme du titulaire historique, Bernard Le Roux.
Il est loin le temps où c'était les autres d'abord, et Woki ensuite (6 sélections, dont 4 comme remplaçant, lors des quinze premiers matches de l'ère Galthié). L'évolution de son statut est d'autant plus marquante qu'elle se fait à un poste de deuxième-ligne qu'il n'avait jamais occupé avant. Il fallait du pif pour mettre cette « tige » (1,96 m, 103 kg) dans la cage, et l'intuition du staff a été couronnée de succès lors du match face à la Nouvelle-Zélande (40-25) au Stade de France le 20 novembre. Explications.
Le pouvoir d'accélérer malgré le combat
Pour comprendre en partie les raisons de cette mue, il faut suivre les déclarations du directeur de la performance, Thibaut Giroud. En amont des tests de novembre, il disait dans ces colonnes : « Nous avons des lacunes persistantes en première ligne et en deuxième ligne, notamment sur le nombre d'accélérations et les distances d'accélération. Ce qui frappe chez les All Blacks, c'est que dès qu'un mec sort de la ligne, les premiers à jaillir au soutien sont souvent des joueurs du cinq de devant. [...] Il faut que l'on ait des garçons capables d'augmenter leur pic d'accélération. »
Jeudi, en conférence de presse, le même Giroud expliquait au sujet de Woki : « Il est très performant dans l'intensité courue et dans l'intensité combattue. Il a une mixité des régimes de contraction musculaire qui lui permet, après beaucoup de combat, d'accélérer sans déperdition d'explosivité. »
Autrement dit, même quand il effectue les efforts de force spécifiques aux deuxième- ligne, comme la poussée en mêlée, Cameron Woki conserve sa mobilité et sa vitesse. « En deuxième ligne, c'est quelque chose de très rare, a souligné Giroud. Et c'est un gros avantage pour nous. » Car cela correspond aux standards du rugby international, plus rapide que celui des clubs. Et surtout à ce que recherchait le staff tricolore avant l'automne.
Un savoir-faire technique supérieur
Pour les Bleus, le résultat est, par exemple, que l'on retrouve un deuxième-ligne sprintant aux deux bouts du terrain sur une même action contre les All Blacks en novembre. Et capable le même jour de finir le match en flanker, après avoir bataillé dans la cage pendant 73 minutes.
Dans le fond, le choix de Woki est presque un changement de conception du poste. Si on compare ses stats de numéro 4 en novembre avec celles de Bernard Le Roux durant le dernier Tournoi, Woki plaque moins en moyenne (9 contre 13) et assume moins de soutien dans les rucks offensifs ou défensifs (9 contre 23). Il est aussi moins dur aux impacts que Le Roux, deuxième-ligne plus traditionnel.
En revanche, outre son apport largement supérieur en touche, Woki apporte au milieu du terrain - là où il est utilisé dans le système tricolore - un savoir-faire technique supérieur, entre changements d'appuis et passes en tous genres (6 en moyenne en novembre, contre 1 en trois rencontres pour Le Roux). Il faut des costauds à côté pour compenser la perte de force, et des circonstances et des adversaires rendront moins intéressant le choix d'un tel numéro 4. Mais, en attendant, Woki crée son style.
La touche, avantage concurrentiel
La blessure de Charles Ollivon, au printemps, a laissé l'équipe de France orpheline de son capitaine de touche, et il n'est pas dit que sans cet accroc Cameron Woki se serait fait une place en bleu. Obligé de chercher un remplaçant, Karim Ghezal, responsable de la touche, n'a pas trouvé son bonheur chez les titulaires habituels et a dû se tourner vers des joueurs moins utilisés jusque-là. Le nom de Woki est rapidement ressorti. Car le Bordelais, outre son goût prononcé pour l'exercice, possède tout l'arsenal du leader de touche.
Une intelligence de lecture, une technique de saut sans temps mort à l'impulsion, arme essentielle pour aller rapidement dans les airs. Un gabarit léger afin que ses soutiens l'envoient haut et vite.
Et une réactivité impressionnante pour, en défense, s'adapter en temps réel aux annonces adverses. « Il est très grand (1,96 m), avec de grands bras et une vitesse au sol très importante, analysait son entraîneur à l'UBB, Julien Laïrle. Il peut avoir 2 mètres de retard (sur le sauteur adverse) et être en une fraction de seconde dans la zone de saut. »
Depuis juillet, Woki tourne à près d'un ballon volé par match avec les Bleus. Et en attaque il est la cible privilégiée, lui qui a capté près d'un tiers des lancers tricolores cet automne (12/40).
Palette tactique : Woki, une présence et une accélération hors du commun
France - Nouvelle-Zélande du 20 novembre dernier. On vient d'atteindre l'heure de jeu, l'écart n'est plus que de + 2 pour les Français. Après une touche perdue par les Bleus, les All Blacks attaquent vers l'aile opposée. En bout de ligne, Jordie Barrett (cercle) tape à suivre. À l'opposé, Woki se replie. Il est à cet instant sur la même ligne que le reste des joueurs du cinq de devant.
Ntamack (cercle) récupère le ballon dans l'en-but français. Situation de pression maximale, qui nécessite des soutiens pour sauver éventuellement les meubles. Woki, qui était l'un des joueurs les plus éloignés au départ, est désormais l'un des plus proches. Face à l'urgence, il a accéléré soudainement et « déposé » tous les joueurs qui l'entouraient.
On est vingt-sept secondes plus tard, Ntamack a réalisé sa folle relance et l'attaque rebondit vers l'aile opposée. Le ballon atterrit dans les mains de Woki, qui, parti de sa ligne d'en-but, s'est déplacé à un rythme soutenu pour se rendre disponible. Face à son vis-à-vis Retallick (4 en blanc), il accélère pour le déborder. Il gérera mal la suite. Mais cette course montre son pouvoir particulier pour un n° 4.
Bleus : Cameron Woki révolutionne le poste de deuxième-ligne
Le flanker bordelais, qui n'avait jamais joué numéro 4 avant l'automne dernier, a été maintenu à ce poste, où il joue presque à la manière d'un troisième-ligne.
Doté d'une très forte capacité d'accélération, Cameron Woki (au centre) est capable de créer du déséquilibre dans les défenses adverses. (S. Mantey/L'Équipe)
Alex Bardot
Depuis mi-juillet, il y a lui et les autres. Lui en troisième ligne ou lui en deuxième ligne, mais lui d'abord. Et peu importe la concurrence. Ces derniers jours, le seul débat au sein du staff des Bleus n'était pas de savoir s'il allait débuter le match, mais à quel poste. Ce devait être avec le numéro 7, comme lors des entraînements de début de stage. Puis deux forfaits ont touché la deuxième ligne (Geraci et Flament), et ce sera finalement avec le 4, malgré le retour en forme du titulaire historique, Bernard Le Roux.
Il est loin le temps où c'était les autres d'abord, et Woki ensuite (6 sélections, dont 4 comme remplaçant, lors des quinze premiers matches de l'ère Galthié). L'évolution de son statut est d'autant plus marquante qu'elle se fait à un poste de deuxième-ligne qu'il n'avait jamais occupé avant. Il fallait du pif pour mettre cette « tige » (1,96 m, 103 kg) dans la cage, et l'intuition du staff a été couronnée de succès lors du match face à la Nouvelle-Zélande (40-25) au Stade de France le 20 novembre. Explications.
Le pouvoir d'accélérer malgré le combat
Pour comprendre en partie les raisons de cette mue, il faut suivre les déclarations du directeur de la performance, Thibaut Giroud. En amont des tests de novembre, il disait dans ces colonnes : « Nous avons des lacunes persistantes en première ligne et en deuxième ligne, notamment sur le nombre d'accélérations et les distances d'accélération. Ce qui frappe chez les All Blacks, c'est que dès qu'un mec sort de la ligne, les premiers à jaillir au soutien sont souvent des joueurs du cinq de devant. [...] Il faut que l'on ait des garçons capables d'augmenter leur pic d'accélération. »
Jeudi, en conférence de presse, le même Giroud expliquait au sujet de Woki : « Il est très performant dans l'intensité courue et dans l'intensité combattue. Il a une mixité des régimes de contraction musculaire qui lui permet, après beaucoup de combat, d'accélérer sans déperdition d'explosivité. »
Autrement dit, même quand il effectue les efforts de force spécifiques aux deuxième- ligne, comme la poussée en mêlée, Cameron Woki conserve sa mobilité et sa vitesse. « En deuxième ligne, c'est quelque chose de très rare, a souligné Giroud. Et c'est un gros avantage pour nous. » Car cela correspond aux standards du rugby international, plus rapide que celui des clubs. Et surtout à ce que recherchait le staff tricolore avant l'automne.
Un savoir-faire technique supérieur
Pour les Bleus, le résultat est, par exemple, que l'on retrouve un deuxième-ligne sprintant aux deux bouts du terrain sur une même action contre les All Blacks en novembre. Et capable le même jour de finir le match en flanker, après avoir bataillé dans la cage pendant 73 minutes.
Dans le fond, le choix de Woki est presque un changement de conception du poste. Si on compare ses stats de numéro 4 en novembre avec celles de Bernard Le Roux durant le dernier Tournoi, Woki plaque moins en moyenne (9 contre 13) et assume moins de soutien dans les rucks offensifs ou défensifs (9 contre 23). Il est aussi moins dur aux impacts que Le Roux, deuxième-ligne plus traditionnel.
En revanche, outre son apport largement supérieur en touche, Woki apporte au milieu du terrain - là où il est utilisé dans le système tricolore - un savoir-faire technique supérieur, entre changements d'appuis et passes en tous genres (6 en moyenne en novembre, contre 1 en trois rencontres pour Le Roux). Il faut des costauds à côté pour compenser la perte de force, et des circonstances et des adversaires rendront moins intéressant le choix d'un tel numéro 4. Mais, en attendant, Woki crée son style.
La touche, avantage concurrentiel
La blessure de Charles Ollivon, au printemps, a laissé l'équipe de France orpheline de son capitaine de touche, et il n'est pas dit que sans cet accroc Cameron Woki se serait fait une place en bleu. Obligé de chercher un remplaçant, Karim Ghezal, responsable de la touche, n'a pas trouvé son bonheur chez les titulaires habituels et a dû se tourner vers des joueurs moins utilisés jusque-là. Le nom de Woki est rapidement ressorti. Car le Bordelais, outre son goût prononcé pour l'exercice, possède tout l'arsenal du leader de touche.
Une intelligence de lecture, une technique de saut sans temps mort à l'impulsion, arme essentielle pour aller rapidement dans les airs. Un gabarit léger afin que ses soutiens l'envoient haut et vite.
Et une réactivité impressionnante pour, en défense, s'adapter en temps réel aux annonces adverses. « Il est très grand (1,96 m), avec de grands bras et une vitesse au sol très importante, analysait son entraîneur à l'UBB, Julien Laïrle. Il peut avoir 2 mètres de retard (sur le sauteur adverse) et être en une fraction de seconde dans la zone de saut. »
Depuis juillet, Woki tourne à près d'un ballon volé par match avec les Bleus. Et en attaque il est la cible privilégiée, lui qui a capté près d'un tiers des lancers tricolores cet automne (12/40).
Palette tactique : Woki, une présence et une accélération hors du commun
France - Nouvelle-Zélande du 20 novembre dernier. On vient d'atteindre l'heure de jeu, l'écart n'est plus que de + 2 pour les Français. Après une touche perdue par les Bleus, les All Blacks attaquent vers l'aile opposée. En bout de ligne, Jordie Barrett (cercle) tape à suivre. À l'opposé, Woki se replie. Il est à cet instant sur la même ligne que le reste des joueurs du cinq de devant.
Ntamack (cercle) récupère le ballon dans l'en-but français. Situation de pression maximale, qui nécessite des soutiens pour sauver éventuellement les meubles. Woki, qui était l'un des joueurs les plus éloignés au départ, est désormais l'un des plus proches. Face à l'urgence, il a accéléré soudainement et « déposé » tous les joueurs qui l'entouraient.
On est vingt-sept secondes plus tard, Ntamack a réalisé sa folle relance et l'attaque rebondit vers l'aile opposée. Le ballon atterrit dans les mains de Woki, qui, parti de sa ligne d'en-but, s'est déplacé à un rythme soutenu pour se rendre disponible. Face à son vis-à-vis Retallick (4 en blanc), il accélère pour le déborder. Il gérera mal la suite. Mais cette course montre son pouvoir particulier pour un n° 4.
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Un-france-italie-a-gagner-avec-la-maniere-pour-lancer-le-tournoi-des-six-nations-2022/1315471
Un France-Italie à gagner avec la manière pour lancer le Tournoi des Six Nations 2022
Dans un contexte qu'elle s'est encore rendu singulier, l'équipe de France lance son Tournoi 2022 par un France-Italie (ce dimanche, 16 heures) aussi peu glamour qu'il est important pour la suite de la compétition.
Renaud Bourel
Petit tuto d'amateur du septième art. Samplez un son inquiétant, mixez une voix off façon Michael Buffer (célèbre speaker américain), attrapez un micro et lancez-vous : « Ils ont... le meilleur joueur du monde, une charnière double championne de France et d'Europe, le buteur le plus efficace du panel international, un pack à mille têtes, les faveurs des bookmakers mais... ils n'ont plus de sélectionneur, au moins pour le week-end, et toujours rien gagné. »
C'est important de soigner sa bande-annonce au lancement d'un festival. Bon, celle des Bleus 2022 s'inspire plus fidèlement du Mi-temps au mitard avec Adam Sandler que de l'Enfer du dimanche avec Al Pacino, mais puisque nous sommes dimanche, jour propice à la confesse, nous avouerons sans rougir qu'il s'agit, dans leur genre, de deux chefs-d'oeuvre.
« Ça va, pas de panique, c'est l'Italie ! », hurlent les groupies du patron des Bleus, comme si bien faire jouer son équipe au rugby donnait aussi le droit de se garer sur les places handicapées. Le Tournoi des Six Nations commence, emplâtre apaisant sur des maux suffisamment décrits dans ces colonnes.
En 2002, Bernard Laporte éructait son « pas de faute, pas de faute » à la mi-temps d'un match contre les Italiens (33-12) comme il en a trop existé. Ces risottos mal cuits, indigestes. Ce jour-là, il était servi en guise de primi piatti, lequel n'avait pas empêché les Français d'aller décrocher un solide Grand Chelem quelques semaines plus tard.
On ne sait plus trop comment défendre l'Italie
De passage au stage d'Aubagne (Bouches-du-Rhône), le président de la FFR aurait pu rendre hommage aux 20 printemps de son coup de sang, l'adapter librement aux circonstances. Un « pas de gaufre, pas de gaufre ! », au milieu d'un TikTok fédéral, par exemple, aurait eu le mérite de l'autodérision en plus des vertus du message subliminal. Suivez notre regard... En réalité, et nous sommes bien placés pour en parler, des caves de Marcoussis aux combles du ministère, le feuilleton de la bulle de l'an dernier n'avait fait rire personne.
Ce qui n'arracherait pas un départ de sourire ce dimanche, en revanche, ce serait un accident au milieu du chantier de cette Squadra-là. On vous entend : « Vous êtes sérieux mon bon monsieur ? » Juste un brin méfiant devant cette nation dont on ne sait plus trop comment la défendre. Pour les bonnes âmes de ce jeu, l'Italie est devenue ce vieux copain un peu gênant que l'on invite aux soirées par charité, que l'on songe à oublier voire à remplacer, mais comme il paie sa tournée à parts égales, on le supporte. C'est commode.
Pourtant des gadins face aux Italiens, bien qu'historiquement rares et romains, nous sommes suffisamment assidus pour en avoir connu. Et plus d'un. Il y a aussi cette résistance d'orgueil transalpine, qu'ils réservent aux grands matches, typiquement face à la réserve néo-zélandaise, à l'automne dernier (9-47). Ou encore cette très courte défaite (23-21), à Paris, en 2016, quand dans les arrêts de jeu, l'iconique Sergio Parisse s'était senti possédé des qualités de son ancien coéquipier Diego Dominguez et avait vendangé d'un drop manqué l'ultime munition d'un improbable exploit.
Si cela fait 45-39 à la fin, eh bien, nous râlerons quand même
Ces histoires servent surtout d'épouvantail à étourdis. D'ailleurs, nous ne croyons pas nous-même à la probabilité d'un revers. Pas avec ces joueurs-là. Et puis, ils n'ont quand même pas pelé des patates avec la Légion pendant dix jours pour oublier d'en faire des rations de gnocchis. Ce serait quand même un beau gâchis.
Remarquez que, de leur propre aveu, ils n'ont pas plus rampé dans la boue. Ou alors peut-être le soir, roulés dans des feuilles d'alu, lové dans leur spa 5 étoiles avec vue. Quand le cadre de vie prend un sens plus terre à terre que la com' prémâchée des deux dernières années...
Sans doute fallait-il au moins ça pour préparer le match le plus ingrat de l'année et décrocher enfin le titre qui échappe à cette exaltante génération. Car dans les faits, soit les Français passent un minimum de 50 points à leurs visiteurs du jour, pour une gentille et distrayante balade inspirée de l'épisode précédent (victoire 10-50 à Rome en 2021), soit le score est plus serré, le match haché, et ce sera une purge de plus à graver sur le socle du biscornu trophée Garibaldi.
Et si cela fait 45-39 à la fin, eh bien, nous râlerons quand même : parce qu'Antoine Dupont et sa bande se sont inscrits eux-mêmes sur d'autres standards, parce que l'écart entre les deux nations, aujourd'hui, paraît aussi large que celui qui sépare les tailles de shorts d'Uini Atonio et Gabin Villière, parce que la différence de points pourrait compter au moment de désigner le vainqueur de l'épreuve.
Est-ce qu'un bon coup d'un soir fait de vous un étalon ?
Enfin, parce que, depuis novembre, caché sous la couette avec la tablette, nous allons revoir sur YouTube, à intervalles réguliers, les meilleurs moments du dernier France - Nouvelle-Zélande, la relance de Ntamack, la passe aveugle à Jaminet, plaisir hédonique et semi-coupable.
L'équipe de France nous a précisément laissés ici. Sur cette victoire contre les All Blacks (40-25). Un orgasme d'une brutalité délicieuse. Une déflagration, à l'épicentre localisé à Saint-Denis, remontée le long de 80 000 moelles épinières en nage, et ressenti jusqu'à Invercargill (Nouvelle-Zélande).
Consultez une mappemonde, vous verrez que c'est loin Invercargill. Après, est-ce qu'un bon coup d'un soir fait de vous un étalon ? Aucun manuel n'est formel. Mais quand on a une ouverture avec l'Italie, il est vivement recommandé de ne pas négliger les préliminaires.
Un France-Italie à gagner avec la manière pour lancer le Tournoi des Six Nations 2022
Dans un contexte qu'elle s'est encore rendu singulier, l'équipe de France lance son Tournoi 2022 par un France-Italie (ce dimanche, 16 heures) aussi peu glamour qu'il est important pour la suite de la compétition.
Renaud Bourel
Petit tuto d'amateur du septième art. Samplez un son inquiétant, mixez une voix off façon Michael Buffer (célèbre speaker américain), attrapez un micro et lancez-vous : « Ils ont... le meilleur joueur du monde, une charnière double championne de France et d'Europe, le buteur le plus efficace du panel international, un pack à mille têtes, les faveurs des bookmakers mais... ils n'ont plus de sélectionneur, au moins pour le week-end, et toujours rien gagné. »
C'est important de soigner sa bande-annonce au lancement d'un festival. Bon, celle des Bleus 2022 s'inspire plus fidèlement du Mi-temps au mitard avec Adam Sandler que de l'Enfer du dimanche avec Al Pacino, mais puisque nous sommes dimanche, jour propice à la confesse, nous avouerons sans rougir qu'il s'agit, dans leur genre, de deux chefs-d'oeuvre.
« Ça va, pas de panique, c'est l'Italie ! », hurlent les groupies du patron des Bleus, comme si bien faire jouer son équipe au rugby donnait aussi le droit de se garer sur les places handicapées. Le Tournoi des Six Nations commence, emplâtre apaisant sur des maux suffisamment décrits dans ces colonnes.
En 2002, Bernard Laporte éructait son « pas de faute, pas de faute » à la mi-temps d'un match contre les Italiens (33-12) comme il en a trop existé. Ces risottos mal cuits, indigestes. Ce jour-là, il était servi en guise de primi piatti, lequel n'avait pas empêché les Français d'aller décrocher un solide Grand Chelem quelques semaines plus tard.
On ne sait plus trop comment défendre l'Italie
De passage au stage d'Aubagne (Bouches-du-Rhône), le président de la FFR aurait pu rendre hommage aux 20 printemps de son coup de sang, l'adapter librement aux circonstances. Un « pas de gaufre, pas de gaufre ! », au milieu d'un TikTok fédéral, par exemple, aurait eu le mérite de l'autodérision en plus des vertus du message subliminal. Suivez notre regard... En réalité, et nous sommes bien placés pour en parler, des caves de Marcoussis aux combles du ministère, le feuilleton de la bulle de l'an dernier n'avait fait rire personne.
Ce qui n'arracherait pas un départ de sourire ce dimanche, en revanche, ce serait un accident au milieu du chantier de cette Squadra-là. On vous entend : « Vous êtes sérieux mon bon monsieur ? » Juste un brin méfiant devant cette nation dont on ne sait plus trop comment la défendre. Pour les bonnes âmes de ce jeu, l'Italie est devenue ce vieux copain un peu gênant que l'on invite aux soirées par charité, que l'on songe à oublier voire à remplacer, mais comme il paie sa tournée à parts égales, on le supporte. C'est commode.
Pourtant des gadins face aux Italiens, bien qu'historiquement rares et romains, nous sommes suffisamment assidus pour en avoir connu. Et plus d'un. Il y a aussi cette résistance d'orgueil transalpine, qu'ils réservent aux grands matches, typiquement face à la réserve néo-zélandaise, à l'automne dernier (9-47). Ou encore cette très courte défaite (23-21), à Paris, en 2016, quand dans les arrêts de jeu, l'iconique Sergio Parisse s'était senti possédé des qualités de son ancien coéquipier Diego Dominguez et avait vendangé d'un drop manqué l'ultime munition d'un improbable exploit.
Si cela fait 45-39 à la fin, eh bien, nous râlerons quand même
Ces histoires servent surtout d'épouvantail à étourdis. D'ailleurs, nous ne croyons pas nous-même à la probabilité d'un revers. Pas avec ces joueurs-là. Et puis, ils n'ont quand même pas pelé des patates avec la Légion pendant dix jours pour oublier d'en faire des rations de gnocchis. Ce serait quand même un beau gâchis.
Remarquez que, de leur propre aveu, ils n'ont pas plus rampé dans la boue. Ou alors peut-être le soir, roulés dans des feuilles d'alu, lové dans leur spa 5 étoiles avec vue. Quand le cadre de vie prend un sens plus terre à terre que la com' prémâchée des deux dernières années...
Sans doute fallait-il au moins ça pour préparer le match le plus ingrat de l'année et décrocher enfin le titre qui échappe à cette exaltante génération. Car dans les faits, soit les Français passent un minimum de 50 points à leurs visiteurs du jour, pour une gentille et distrayante balade inspirée de l'épisode précédent (victoire 10-50 à Rome en 2021), soit le score est plus serré, le match haché, et ce sera une purge de plus à graver sur le socle du biscornu trophée Garibaldi.
Et si cela fait 45-39 à la fin, eh bien, nous râlerons quand même : parce qu'Antoine Dupont et sa bande se sont inscrits eux-mêmes sur d'autres standards, parce que l'écart entre les deux nations, aujourd'hui, paraît aussi large que celui qui sépare les tailles de shorts d'Uini Atonio et Gabin Villière, parce que la différence de points pourrait compter au moment de désigner le vainqueur de l'épreuve.
Est-ce qu'un bon coup d'un soir fait de vous un étalon ?
Enfin, parce que, depuis novembre, caché sous la couette avec la tablette, nous allons revoir sur YouTube, à intervalles réguliers, les meilleurs moments du dernier France - Nouvelle-Zélande, la relance de Ntamack, la passe aveugle à Jaminet, plaisir hédonique et semi-coupable.
L'équipe de France nous a précisément laissés ici. Sur cette victoire contre les All Blacks (40-25). Un orgasme d'une brutalité délicieuse. Une déflagration, à l'épicentre localisé à Saint-Denis, remontée le long de 80 000 moelles épinières en nage, et ressenti jusqu'à Invercargill (Nouvelle-Zélande).
Consultez une mappemonde, vous verrez que c'est loin Invercargill. Après, est-ce qu'un bon coup d'un soir fait de vous un étalon ? Aucun manuel n'est formel. Mais quand on a une ouverture avec l'Italie, il est vivement recommandé de ne pas négliger les préliminaires.
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Capuozzo : "On va essayer de renverser la France"
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2022/tournoi-des-six-nations-2022-ange-capuozzo-italie-on-va-essayer-de-renverser-la-france_sto8756603/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2022/tournoi-des-six-nations-2022-ange-capuozzo-italie-on-va-essayer-de-renverser-la-france_sto8756603/story.shtml
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
XV de France: Flament, Macalou, Dulin ou Vakatawa rappelés, pas Haouas
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france-flament-macalou-dulin-ou-vakatawa-rappeles-pas-haouas-8341745.php
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france-flament-macalou-dulin-ou-vakatawa-rappeles-pas-haouas-8341745.php
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
Scalp a écrit:XV de France: Flament, Macalou, Dulin ou Vakatawa rappelés, pas Haouas
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france-flament-macalou-dulin-ou-vakatawa-rappeles-pas-haouas-8341745.php
Je ne sais pas si l'on reverra Haouas en sélection, car appeler sous le maillot national un joueur reconnu coupable par la justice et condamné à 18 mois de prisons avec sursis pour les faits qui lui sont reprochés, ce n'est pas rien
_________________
Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
- Nombre de messages : 11375
Localisation : Savoie / Edinburgh
Date d'inscription : 30/04/2011
Humeur : Fonction de l'UBB
Age : 34
Re: Tournoi des 6 Nations 2022
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
- Nombre de messages : 49932
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 11/09/2018
Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Page 12 sur 37 • 1 ... 7 ... 11, 12, 13 ... 24 ... 37
Sujets similaires
» Tournoi des 6 Nations féminin 2022
» Tournoi des 6 Nations 2024
» Tournoi des 6 Nations 2025
» TOURNOI DES 6 NATIONS 2016
» Tournoi 6 Nations 2023
» Tournoi des 6 Nations 2024
» Tournoi des 6 Nations 2025
» TOURNOI DES 6 NATIONS 2016
» Tournoi 6 Nations 2023
AllezUnion.com, Forum des supporters de l'Union Bordeaux Bègles - Rugby :: Union Bordeaux Bègles :: Côté terrain :: Rugby mondial (hors EDF)
Page 12 sur 37
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum