Re: Tournoi des 6 Nations 2023

grospaquet31 Mer 1 Fév 2023 - 9:14

Encore un article du Merdol, intarissable quand il s'agit de s'astiquer sur des joueurs toulousains.

https://www.rugbyrama.fr/2023/02/01/6-nation-2023-fiche-nation-la-france-et-sa-generation-doree-10959371.php

**Scalp** Mer 1 Fév 2023 - 9:22

XV de France – 6 Nations : Alexandre Roumat

https://www.xvovalie.com/xv-de-france-6-nations-alexandre-roumat/

**Scalp** Mer 1 Fév 2023 - 9:25

Tournoi des 6 Nations 2023 - Page 9 Capt5594

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/podcast-tournoi-des-six-nations-le-xv-de-france-peut-il-realiser-le-double-13890970.php

**Scalp** Mer 1 Fév 2023 - 9:27

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france-le-compteur-bleu-tourne-encore-trop-vite-13884355.php

XV de France : le compteur bleu tourne encore trop vite

Par Denys Kappès-Grangé - d.kappes-grange@sudouest.fr

Certains Bleus ont déjà cumulé des temps de jeu conséquents avant le coup d’envoi du Tournoi. À surveiller à moins de huit mois de la Coupe du monde en France

En ces journées d’intense travail pour les Bleus à Capbreton, voilà au moins une peine que Fabien Galthié peut s’épargner. À quelques jours du coup d’envoi du Six-Nations, il n’a pas besoin de chausser ses désormais célèbres lunettes à larges montures pour réaliser que les compteurs de temps de jeu de ses internationaux ont déjà défilé à vitesse grand V. Ce constat relève de la plus stricte évidence.

17 feuilles de match pour Grégory Alldritt et Anthony Jelonch, 16 pour Antoine Dupont et Yoram Moefana… La mi-saison tout juste passée, ces petites piles culminent déjà à des altitudes élevées sous l’œil inquiet du sélectionneur. Et on vous épargne la conversion en minutes…

Tournoi des 6 Nations 2023 - Page 9 Infog-28

Une règle en la matière existe pourtant, Fabien Galthié l’a rappelée dans un entretien accordé à « Midi Olympique » : « Un joueur entre 19 et 24 ans, s’il souhaite exister au niveau international, ne doit pas excéder les 30 matchs par saison ; un joueur entre 24 et 29 ans, s’il souhaite être bon au niveau international, ne doit pas dépasser les 25 ; et un joueur entre 29 et 34 ans souhaitant perdurer au plus haut niveau ne doit pas aller au-delà de 20. C’est la règle et tout le monde la connaît. »

« Il faut faire avec : on fonctionne plutôt avec des régulations subjectives »

À un peu moins de huit mois de la Coupe du monde (8 septembre - 28 octobre), et alors que les Irlandais et les Néo-Zélandais sont gérés à la carte par leurs fédérations respectives, ses principaux cadres sont bien partis pour crever ce très théorique plafond de verre. Un diagnostic qui équivaut à l’illumination d’un clignotant orange sur le tableau de bord des Bleus quand on rappelle que la préparation pour le Mondial débutera une semaine seulement après la finale d’un Top 14 toujours plus éprouvant.

Oh bien sûr, c’est un sujet récurrent dans le rugby français. L’accumulation des blessures (1) avant le début du Tournoi l’a toutefois rendu particulièrement prégnant.

Les efforts des clubs

C’est une évidence également, Fabien Galthié n’a pas attendu le mois de février pour prendre la mesure de la problématique. Dès l’été dernier, des discussions avaient été menées entre les représentants de la FFR et de la LNR pour tenter d’encadrer le temps de jeu des internationaux. Mais cette initiative s’apparentant à la création d’une usine à gaz, les deux parties se sont séparées sur la promesse d’une gestion en bonne intelligence. « Il faut faire avec, c’est ce qu’on fait depuis trois ans, a observé Fabien Galthié au début du mois à Belvès. On fonctionne plutôt sur des régulations subjectives. »

Si le sélectionneur adopte un ton mesuré, c’est que les clubs, employeurs des internationaux s’il faut véritablement le rappeler, jouent globalement le jeu. « On a reposé quasiment tous nos internationaux qui n’étaient pas blessés, et on continuera à le faire, quitte parfois à prendre 30 points à La Rochelle », a ainsi souligné, il y a quelques semaines, Ugo Mola, manager du Stade Toulousain, le plus gros pourvoyeur des Bleus.

Mais en dépit de cette déclaration pleine de bonne volonté, cela ne l’a pas empêché d’émettre dans la foulée une petite nuance : « Nos internationaux ont surtout besoin de jouer des matches de haut niveau, que ce soit en club ou en sélection. C’est plus la régulation de nos compétitions qui pose débat. Les joueurs ont aussi des capitaux physiques différents. »
La courbe du physique

Manager de la performance des Bleus, Thibault Giroud souscrit à l’assertion : « L’individualisation est prédominante dans l’analyse de la performance des mecs. […] Les blessures récentes sont d’ailleurs plus le résultat de faits de match : que ce soit la main pétée de Cameron Woki ou les genoux de « Jo » Danty et Pierre Bourgarit. Notre sport va de plus en plus vite, les accumulations de minutes sont à prendre en compte. Mais c’est comme ça, le modèle français est ainsi fait. »

« Maintenir des intensités de très haut niveau pendant dix mois de l’année, ce n’est pas possible »

Malgré cette observation, Thibault Giroud ne minimise pas l’impact de la réalité de l’écosystème du rugby français : « C’est pour ça que je dis qu’il est important que la Coupe du monde arrive vite. Maintenir des intensités de très haut niveau pendant dix mois de l’année, ce n’est pas possible : il y a forcément des oscillations de forme ou des blessures. »

Il ne faudrait pas que le point bas de cette courbe survienne dans un peu moins de huit mois…

(1) Cameron Woki, Jonathan Danty, Maxime Lucu, Peato Mauvaka, Jean-Baptiste Gros, Pierre Bourgarit, Arthur Vincent.

**Scalp** Mer 1 Fév 2023 - 9:34

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Xv-de-france-qui-de-villiere-ou-dumortier-pour-debuter-le-tournoi-des-six-nations-contre-l-italie/1378120

XV de France : qui de Villière ou Dumortier pour débuter le Tournoi des Six nations contre l'Italie ?

Si l'encadrement de Fabien Galthié a déjà une idée très claire de l'équipe qu'il alignera dimanche en Italie, un doute demeure sur l'aile gauche. Gabin Villière et Ethan Dumortier sont en balance.

Jean-François Paturaud

CAPBRETON (LANDES) - On se croyait déjà à Rome. C'est sous un soleil printanier, enfin de retour, que le quinze de France a retrouvé, mardi, la pelouse du Parc des Sports de Capbreton, avant de lancer son Tournoi des Six Nations (le 5 février contre l'Italie). Et plus l'escapade italienne se rapproche, plus la composition d'équipe alignée dimanche prochain se confirme. Une seule interrogation demeure : quel Français portera le numéro 11 au Stade olympique ? Si tout le reste est visiblement plié, l'aile gauche, elle, reste encore indécise. Va-t-elle pencher du côté de l'homme en forme ou celui du vécu commun ?

Le meilleur marqueur du Top 14 d'un côté, l'habitué des Bleus de l'autre

Toute la semaine passée, c'est le Lyonnais Ethan Dumortier qui y a évolué plutôt que le Toulousain Matthis Lebel, renvoyé en club durant le week-end pour affronter Montpellier en Top 14 (23-9). Après le premier entraînement, on lui avait d'ailleurs fait remarquer en conférence de presse qu'il portait la bonne chasuble. Celle d'un potentiel titulaire. « Ça n'a pas de sens particulier, répondait alors Dumortier. L'objectif, c'est de faire travailler tous les joueurs à tous les postes et, potentiellement, à ceux auxquels ils peuvent jouer. »

Le début de saison plaide cependant en faveur du jeune Lyonnais (22 ans, 0 sélection). Auteur de huit essais en douze matchs, le meilleur marqueur du Top 14 (il a aussi inscrit trois en Coupe des champions) est intenable. « L'objectif, pour moi, est clairement de bousculer les codes, mais pas non plus de sauter les étapes, lançait-il voilà huit jours. Gabin Villière, qui manque grandement à ce groupe, est un joueur différent de moi, avec ses propres qualités. »

L'ombre imposante du Toulonnais planait déjà dans la grisaille de Capbreton en début de rassemblement. En concertation avec l'encadrement des Bleus et celui de Toulon, Villière avait préféré rester sur la Rade pour mieux préparer sa reprise.

Il a effectué son grand retour sur les terrains, samedi dernier, lors de la victoire du RCT contre Pau (27-16), après trois mois d'absence à la suite d'une énième rechute de la cheville ainsi qu'à une blessure du péroné. Non sans une certaine appréhension. « Si j'étais sur le terrain, c'est que j'étais prêt, disait-il après le coup de sifflet final. Ça s'est plutôt bien passé. Je n'ai pas subi le match. Je me suis senti en forme, en cannes. J'appréhendais un petit peu mais j'ai tout fait depuis plusieurs semaines pour que ça se passe bien. » L'international (27 ans, 12 sélections), aligné d'entrée à Mayol, a disputé 62 minutes encourageantes à défaut d'être encore brillantes. C'est peu, bien sûr, avant une potentielle rencontre du Tournoi. Dans l'esprit du staff des Bleus, c'était cependant suffisant, une fois encore, pour être rappelé dès le lendemain au sein d'un groupe élargi. Car Galthié et ses adjoints aiment faire confiance à leurs cadres, même sur le retour. La gestion des Toulousains Romain Ntamack et Cyril Baille l'avaient encore confirmé en novembre.

La séance à haute intensité décisive ?

Aujourd'hui, la logique est la même pour Villière. On vous épargnera le couplet sur le « devoir de mémoire » cher à Fabien Galthié... Villière peut-il gagner sa place dans le sprint final ? Le scénario est évidemment plausible. L'ancien joueur de Rouen, qui avait déjà raté les dix premières journées de Championnat, n'a pourtant plus porté le maillot de l'équipe de France depuis la victoire contre l'Angleterre (25-13) synonyme de Grand Chelem le 19 mars dernier.

À sa place, certains auraient perdu du crédit. Pas lui. Car Villière fait figure de profil à part chez les Bleus. Et pas seulement en raison de ses qualités offensives qui lui ont permis d'inscrire six essais en douze sélections. C'est aussi un gros défenseur capable de gratter régulièrement les ballons. Ainsi qu'un gros tempérament. « On sait ce qu'il est capable de faire et ce qu'il a fait avec nous », reconnaissait jeudi dernier le responsable de l'attaque française, Laurent Labit.

Fallait-il encore le confirmer physiquement à l'entraînement en ce début de semaine. La journée de mardi a déjà apporté des premiers éléments de réponse. C'est bien Villière qui a enfilé la convoitée chasuble bleue floquée du numéro 11. Il ne l'a plus quittée durant les vingt minutes ouvertes à la presse, ni après. Dumortier, lui, a également été aligné, mais de l'autre côté pour pallier l'absence de Damian Penaud. L'indice est évidemment précieux. Il n'en est pas pour autant une preuve. Mais Villière a les crocs et ses douleurs ont disparu. La séance à haute intensité de mercredi sera décisive. L'encadrement, déjà rassuré par son niveau affiché mardi, attendrait de voir comment le Toulonnais va résister physiquement à une opposition plus copieuse, mercredi après-midi, pour définitivement trancher. Et si les voyants sont encore au vert, Capbreton le mènera bien à Rome.

Dupont de retour à l'entraînement, Ollivon et Penaud ménagés

Ils n'étaient que trente-six sur la pelouse du stade municipal du Bourret. Alors que les Toulousains Matthis Lebel et François Cros ainsi que les Montpelliérains Alexandre Bécognée et Bastien Chalureau ont assisté à l'entraînement, en jogging, sur le bord du terrain, après avoir tous joué dimanche dernier, deux cadres du quinze de France n'ont pas quitté leur hôtel hier après-midi.
L'ailier clermontois Damian Penaud et le troisième-ligne toulonnais Charles Ollivon, fortement pressentis pour débuter dimanche à Rome, sont restés tranquillement au chaud pour se reposer. Rien d'inquiétant selon plusieurs sources. Ils devraient bien participer à la séance du jour. Ils étaient respectivement remplacés par Ethan Dumortier et Sekou Macalou face à des jeunes de l'Aviron Bayonnais et quelques éléments de l'équipe de France des moins de 20 ans. La bonne nouvelle de ce début de semaine est venue du retour d'Antoine Dupont. Le capitaine et demi de mêlée des Bleus avait quitté le rassemblement jeudi dernier pour raisons personnelles. Hier, il s'est, comme prévu, entraîné au côté de l'ouvreur Romain Ntamack.
La très grande ossature de l'équipe qui sera alignée pour lancer le Tournoi est désormais claire. Le Toulousain Thomas Ramos, encore aligné avec le numéro 15, devrait bel et bien être préféré à son partenaire de club Melvyn Jaminet. Comme contre l'Argentine en novembre 2021, Thibaud Flament et Paul Willemse devraient, eux, être associés en deuxième ligne.
En première ligne, le pilier droit Uini Atonio, ménagé lors des premiers jours du rassemblement, est visiblement en pleine forme.

grospaquet31 Mer 1 Fév 2023 - 13:43

https://actu.fr/sports/rugby/xv-de-france/6-nations-2023-ntamack-ou-jalibert-en-10-pour-italie-france-l-avis-de-didier-camberabero_57034057.html

Je ne me souviens plus si on a deja traité le sujet .. :chambreur:

Je pense que Macron doit prendre le probleme a bras le corps, intervenir au 20h et annoncer un référendum national pour trancher la question.

**marchal** Mer 1 Fév 2023 - 14:04

https://www.rugbyrama.fr/2023/01/31/6-nations-2023-alexandre-roumat-xv-de-france-une-grande-fierte-et-une-grande-joie-detre-la-10965004.php

**Scalp** Mer 1 Fév 2023 - 15:05

XV de France. Villière titulaire, Le Garrec sur le banc : la compo probable face à l'Italie

https://actu.fr/sports/rugby/xv-de-france/xv-de-france-villiere-titulaire-le-garrec-sur-le-banc-la-compo-probable-face-a-l-italie_57039006.html

**Scalp** Mer 1 Fév 2023 - 15:17

https://www.midi-olympique.fr/2023/01/31/xv-de-france-repossession-mots-choisis-ou-pieges-a-com-10960459.php

XV de France - "Repossession" : mots choisis ou pièges à com’ ?

Fabien Galthié a affirmé que le Tournoi serait placé sous le signe de la "repossession" plutôt que la "dépossession". Révolution purement sémantique ou rugbystique ? Éléments de réponse…

S’il est bien une chose qu’on ne saurait reprocher à la communication Fabien Galthié, ce sont bien ses trouvailles en matière d’éléments de langage, si savamment étudiés qu’ils pénètrent l’inconscient collectif avec une rapidité déconcertante… En premier lieu, cette thématique de la "dépossession" dont la presse spécialisée a fait ses choux gras pendant trois ans, jusqu’à ce que Galthié décide de l’abandonner pour parler désormais de "repossession".

Une toute petite lettre (et un accent) d’écart pour signifier un réel changement, ou tout bonnement pour donner une connotation plus positive l’approche stratégique du XV de France de manière, dans la même logique du glissement sémantique de "remplaçants" en "finisseurs" ? S’il s’agira d’attendre le verdict du match contre l’Italie pour se faire une idée véritable, la réponse semble résider entre les deux, au vrai…

Évolution stratégique obligatoire

Pourquoi ? Parce que s’il s’avère - comme les premiers entraînements l’ont sous-entendu - que le staff des Bleus maintienne sa confiance à Thomas Ramos plutôt qu’à Jaminet, ce ne serait évidemment pas par hasard… Mais bien pour répondre différemment, d’un point de vue stratégique, à ce que les adversaires peuvent proposer. On songe notamment aux Australiens, qui avaient décidé face aux Bleus de reculer trois joueurs en permanence au fond du terrain pour mieux remporter les échanges de ping-pong rugby.

De quoi émettre l’idée de tenir un peu plus le ballon en contre-attaque, voire d’utiliser de formes différentes de jeux au pied, en privilégiant les coups de pied de récupération en hauteur plutôt que d’occupation dans la profondeur ? On serait assez enclin à l’imaginer, qui plus est avec des ailiers comme Penaud ou Dumortier, très à l’aise sous les ballons hauts (sans parler de Villière, inégalable dans la pression et les contests au sol). Le concept de "repossession" prendrait ici tout son sens…

Vers un changement dans les formes de jeu au pied ?

Cela dit, quand bien même l’équipe de France s’est montrée globalement décevante car un peu trop scolaire dans son respect de la stratégie au mois de novembre, celle-ci aurait bien tort de se remettre totalement en question, sa volonté de "fermer" lui ayant malgré tout permis de très bien démarrer toutes ses rencontres avant de connaître des baisses de régime, justement en raison de (rares) ballons joués avec un peu trop de précipitation.

Voilà pourquoi il ne faut, à nos yeux, pas se bercer d’illusions quant au système qu’utiliseront les Bleus durant le Tournoi, qui se reposera avant tout sur son point fort, à savoir sa capacité à mettre la pression sur l’adversaire par son jeu au pied et sa défense, avant de se nourrir d’éventuels ballons de contre-attaque ou de turnovers. La différence principale attendue semblant résider, sur le papier, dans la forme des jeux au pied choisis plutôt que dans leur fréquence.

Nicolas Zanardi

**marchal** Mer 1 Fév 2023 - 17:14

https://cafecremesport.com/2023/02/01/kevin-sinfield-nick-evans-et-steve-borthwick-un-trio-pour-relancer-le-xv-de-la-rose/

**biscouette** Mer 1 Fév 2023 - 17:44

Dr. Gregory Bouse a écrit:
Roberto Miopalmo a écrit:
biscouette a écrit:
Dr. Gregory Bouse a écrit:
grospaquet31 a écrit:https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/xv-de-france/xv-de-france-ntamack-jalibert-le-debat-sans-fin-20230131

j'engage Berbizier à regarder les matches de Jaja avec l'UBB et avec l"EDR, pour qu'il s'aperçoive, ce manager besogneux, que notre 10 sait parfaitement faire jouer sa ligne de 3/4 au moins aussi bien que RNT, si ce n'est mieux... et d'ailleurs mieux à mon goût !
EDR : Équipe De Repossession ?

À part ça, d'accord avec toi…
Au passage, admirons le contorsionniste journalistique (très à la mode) ou d'autres : certains disaient de Jaja qu'il ne performait que dans une équipe dominante, maintenant qu'il performe dans une équipe à la peine on entérine son soi-disant individualisme en relativisant sa performance par le fait qu'il soit dans une équipe à la peine, pendant qu'on suppose que si l'équipe dans laquelle RNT est à la peine est au top c'est qu'il y ait bien pour quelque chose… Deux poids deux mesures, épisode 765.
Oulà, vous interprétez un peu… hormis l’avis tranché de Berbizier dont tout le monde se fout un peu, je trouve l’article pas mal foutu.
La première partie sur le fait que Toulouse gaze alors que N’tamack est pas en grande forme indique que son rôle n’est pas prépondérant dans le bon fonctionnement de son équipe alors que Jalibert porte une UBB à la peine.
Et en conclusion qu’un autre sélectionneur ou un Galthié prônant un autre jeu choisirait Jalibert.
Il ne faut pas voir le mal partout. D’ailleurs les journalistes rugby du Figaro Reyrat et Coudry défendent beaucoup Jalibert (ils aiment pas forcément beaucoup le Stade)

On ne dit pas que l'article sur la forme est mal foutu, on dit juste simplement que les avis des rédacteurs d'articles d'opinion sont à géométrie variable et qu'ils sont en général "contre ce qui est pour" puis " pour ce qui est contre": une espèce de versatilité de l'instant dont la propension est de dire tout et son contraire dans un laps de temps réduit.

En ce qui me concerne, je ne vois le mal nulle part, je me contente, avec jubilation, de constater ces travers d'opinion facilement lisibles tant le niveau de rédaction sur la forme et le niveau des idées sur le fond sont faibles en général.

Sûrement une déformation professionnelle de ma part, lors de mon passage à Bordeaux III...

Oui je ne m'attaquais pas à l'article dans son ensemble, et je respecte l'avis des personnes consultées chacune pesant le pour et le contre avec ses convictions.
Je relevais juste de façon globale, comme Doc, le fait redoutable de cette réversibilité des arguments, je ne m'en prends pas tant à ce journaliste qui malgré tout contribue au truc qu'à la tendance globale que ça dessine.

**le radis** Mer 1 Fév 2023 - 18:30

https://www.ffr.fr/actualites/xv-de-france/les-14-joueurs-du-xv-de-france-de-retour-en-club-avant-litalie

**Scalp** Mer 1 Fév 2023 - 18:42

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france/xv-de-france-kpi-partage-des-donnees-comment-le-staff-des-bleus-optimise-un-systeme-defectueux-13884502.php

XV de France. KPI, partage des données : comment le staff des Bleus optimise un système défectueux

Par Arnaud David (avec D. K-G.) - a.david@sudouest.fr

Depuis janvier 2020, le XV de France travaille de manière plus transparente avec les clubs pour améliorer le suivi et la performance des joueurs. La collaboration doit s’accélérer dans l’approche de la Coupe du monde

Vingt années et quatre Coupes du monde sont passées depuis le sacre de l’Angleterre en 2003 face à l’Australie, autant dire une éternité. Le rugby a accompli plusieurs révolutions en termes de jeu comme dans l’approche de la préparation physique depuis ce succès qui reste le seul d’une équipe de l’hémisphère Nord en neuf éditions. Mais il y a sans doute des parallèles à établir dans la manière dont Fabien Galthié a inscrit la performance athlétique au cœur de son projet pour les Bleus comme Clive Woodward avait pu le faire avec le Quinze de la Rose.

Les contraintes auxquelles Galthié et son staff sont confrontés ne sont pas tout à fait identiques à celles des Anglais de 2003 mais l’environnement général est le même. L’entraîneur des Bleus est contraint de composer avec les impératifs des clubs. Il n’a pas la haute main sur les joueurs, sur leur temps de jeu mais il doit insuffler au sein de sa sélection l’idée d’une culture « XV de France », avec pour chacun des objectifs à atteindre.

Sept indicateurs

À une époque où la préparation physique était considérée comme un paramètre secondaire, Woodward avait été novateur. Il en avait fait un socle, imposant aux Martin Johnson, Lawrence Dallaglio et autres Johnny Wilkinson, des barèmes de performance. Ses joueurs savaient où se situaient les meilleurs mondiaux sur un certain nombre de domaines : sprint sur 10 mètres, 30 mètres, musculation, endurance etc. Et il avait instillé entre les joueurs une véritable émulation qui s’affranchissait des rivalités de club.

Alors que ses prédécesseurs se sont souvent heurtés à l’antagonisme clubs/sélection, Galthié bénéficie d’un changement fondamental dans l’écosystème du XV de France et d’une levée des vieilles barrières grâce à la mise en place depuis trois ans du partage des données.

Via le système Catapult qui est nourri par les GPS portés par les joueurs, Thibault Giroud, le directeur de la performance des Bleus, peut suivre, analyser au jour le jour la charge de travail de tous les sélectionnés, mesurer l’état de fatigue, circonscrire précisément les secteurs où ils doivent progresser.

Le canevas construit par Galthié et Giroud obéit à une règle simple : le développement des qualités physiques spécifiques doit être mesurable et transférable sur le terrain, en adéquation avec le projet de jeu. C’est ce qu’ils appellent « la périodisation tactique ».

« Jusque-là, on avait des recommandations. Là, on a vraiment ciblé des tests précis à réaliser par les clubs »

Ils ont identifié sept indicateurs clés de performance. Ces fameux KPI (1) permettent de juger la forme des joueurs. Ils peuvent être éliminatoires quelles que soient les qualités « rugbystiques » du joueur. « On a une idée de leur niveau de base », expliquait Fabien Galthié, il y a trois semaines à Belvès. « Grâce à notre méthode d’entraînement, on arrive à avoir une vision de leur niveau. On a sept indicateurs de performances. S’ils ne les valident pas, alors oui ils sont en danger. »

Collaboration accentuée

Si depuis janvier 2020, le staff des Bleus a fait attention de ne pas empiéter sur les prérogatives des clubs, cette saison pré-Coupe du monde marque une accélération dans la collaboration. Thibault Giroud a envoyé à tous les responsables de la performance une liste de prérequis concernant les internationaux.

« Jusque-là, on avait des recommandations. Là, on a vraiment ciblé des tests précis à réaliser par les clubs sur des qualités de bases qui doivent également être développées dans leur cadre. On a sept objectifs physiologiques à toucher », explique Giroud.

« Endurance, vitesse, accélération… Ce sont des KPI de base, poursuit-il. Douze tests seront à réaliser trois fois pour chaque international avant le regroupement pour la préparation de la Coupe du monde. Les standards à atteindre sont uniques. Ce sont ceux de l’élite mondiale. Il faut qu’on s’en rapproche le plus possible ou les dépasser. »

Le plan de bataille est cohérent mais il souligne en creux les limites du système français

Si les demandes du XV de France vis-à-vis des clubs ont augmenté, c’est que les Bleus devront se contenter d’une préparation concentrée sur sept semaines seulement pour aborder la Coupe du monde. Les joueurs qui seront finalistes du Top 14 l’attaqueront avec une semaine de coupure seulement. « Et on intégrera pour certains des semaines de repos pendant la préparation », indique Giroud.

« Du fait de cette préparation très courte, on ne peut pas se permettre de repasser par un développement des qualités de base, comme dans une pré-saison, car cela prend beaucoup de temps. Mais si les clubs jouent le jeu, cela doit nous permettre d’arriver en préparation Coupe du monde sur un apogée, avec une programmation très spécifique d’entrée », espère Giroud.

Le plan de bataille est cohérent mais il souligne en creux les limites du système français dans la gestion des joueurs. Au final, le travail du staff des Bleus consiste d’abord à compenser les lacunes d’un environnement qui est loin d’être idéal.

(1) PKI : Key performance indicator

Roberto Miopalmo Mer 1 Fév 2023 - 18:43

Malheureusement pour lui Buros saute au profit de Couilloud.
Tant mieux pour l’UBB.
De toute façon il aurait été en tribune.

**Dr. Gregory Bouse** Mer 1 Fév 2023 - 18:43

le radis a écrit:https://www.ffr.fr/actualites/xv-de-france/les-14-joueurs-du-xv-de-france-de-retour-en-club-avant-litalie

je constate que Cros ne bénéficie pas de la même mansuétude que l'enfant-Dieu... :chambreur:

**Scalp** Jeu 2 Fév 2023 - 9:20

https://twitter.com/FranceRugby/status/1620856597743288322?s=20

grospaquet31 Jeu 2 Fév 2023 - 9:26

rien compris au dernier exercice que fait Mathieu! :chambreur:

**densnewzealand** Jeu 2 Fév 2023 - 9:34

grospaquet31 a écrit:rien compris au dernier exercice que fait Mathieu!

On dirait moi en train d’essayer d’arracher des piquets d’acacias

grospaquet31 Jeu 2 Fév 2023 - 9:36

densnewzealand a écrit:
grospaquet31 a écrit:rien compris au dernier exercice que fait Mathieu!
On dirait moi en train d’essayer d’arracher des piquets d’acacias

alors j'aime bcp ton jeu de jambes rire

**densnewzealand** Jeu 2 Fév 2023 - 9:38

grospaquet31 a écrit:
densnewzealand a écrit:
grospaquet31 a écrit:rien compris au dernier exercice que fait Mathieu!
On dirait moi en train d’essayer d’arracher des piquets d’acacias

alors j'aime bcp ton jeu de jambes

Ça peux être assez ridicule je confirme

surtout avec des bottes.

**Dr. Gregory Bouse** Jeu 2 Fév 2023 - 9:59

Scalp a écrit:
https://twitter.com/FranceRugby/status/1620856597743288322?s=20

https://twitter.com/FranceRugby/status/1620856597743288322?s=20

c'est drôle comme exercices...je leur laisse, je préfère me vautrer sur le canapé ! :chambreur:

**Scalp** Jeu 2 Fév 2023 - 10:19

https://twitter.com/catourneovale/status/1621049537002606594?s=20

**Scalp** Jeu 2 Fév 2023 - 10:34

Top 14 - Baptiste Serin (Toulon) : "La Coupe du monde en France ? Ça pourrait être mon dernier objectif avec l’équipe de France"

https://www.rugbyrama.fr/2023/02/02/top-14-baptiste-serin-toulon-la-coupe-du-monde-en-france-ca-pourrait-etre-mon-dernier-objectif-avec-lequipe-de-france-10969135.php

**Scalp** Jeu 2 Fév 2023 - 10:38

VI Nations: la chanson Delilah, qui évoque un féminicide, bannie du rugby gallois

https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tournoi-des-6-nations/vi-nations-la-chanson-delilah-qui-evoque-un-feminicide-bannie-du-rugby-gallois_AV-202302020245.html

grospaquet31 Jeu 2 Fév 2023 - 10:39

Scalp a écrit:
https://twitter.com/catourneovale/status/1621049537002606594?s=20

https://twitter.com/catourneovale/status/1621049537002606594?s=20

ca montre bien sa mentalité. Le mec n'est pas habitué à subir des critiques puisque la plupart du temps le midol lui cire les pompes. Donc il ne comprend pas, qu'est ce qu'il se passe!
Le mec a un melon et un orgueil hors du commun. je l'ai compris quand il s'est accroché à sa place de titulaire du 15 de france pendant l'automne cup. "moi je suis pret, bla bla"
ca montre aussi une chose, c'est que Jalibert lui met une pression plus que n'importe qui d'autre, bien plus que ses propres adversaires.

**Dr. Gregory Bouse** Jeu 2 Fév 2023 - 10:58

grospaquet31 a écrit:
Scalp a écrit:
https://twitter.com/catourneovale/status/1621049537002606594?s=20

https://twitter.com/catourneovale/status/1621049537002606594?s=20

ca montre bien sa mentalité. Le mec n'est pas habitué à subir des critiques puisque la plupart du temps le midol lui cire les pompes. Donc il ne comprend pas, qu'est ce qu'il se passe!
Le mec a un melon et un orgueil hors du commun. je l'ai compris quand il s'est accroché à sa place de titulaire du 15 de france pendant l'automne cup. "moi je suis pret, bla bla"
ca montre aussi une chose, c'est que Jalibert lui met une pression plus que n'importe qui d'autre, bien plus que ses propres adversaires.

je pense en effet que ça peut contribuer aussi au niveau actuel très moyennasse de RNT. S'il avait été courageux et moins focalisé sur sa concurrence avec Jalibert, il aurait dû accepter, comme il l' a fait, de participer aux rassemblements à Marcoussis mais de dire en toute objectivité à Galthié qu'il n'était pas encore prêt...

Cette position l'aurait honoré encore plus auprès de ses bruyants supporters et du monde entier... :chambreur:

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