Tournoi des 6 Nations 2023

Roberto Miopalmo a écrit:

Switch a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Switch a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:Falatea, c'est en effet la bonne pioche, on possède à  l'Ubb 3 droitiers de haut vol + 1 nouveau gaucher qui va démonter tous les droitiers du Top 14

Boniface ?

Boniface est-il Géorgien ? 

Bonifadze ou Bonifaschvili ça sonne bien C'est surtout que "nouveau" gaucher ne me faisait pas penser à un mec présent au club depuis déjà 5 ans !

Et qui joue à gauche 95 % du temps

Depuis qu'il a été replace à ce poste mais foc a raison c'est un droitier de base depuis 2013 il a joué titu 64 % de ses matchs à droite

nadoloubb a écrit:

Roberto Miopalmo a écrit:

Switch a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Switch a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:Falatea, c'est en effet la bonne pioche, on possède à  l'Ubb 3 droitiers de haut vol + 1 nouveau gaucher qui va démonter tous les droitiers du Top 14

Boniface ?

Boniface est-il Géorgien ? 

Bonifadze ou Bonifaschvili ça sonne bien C'est surtout que "nouveau" gaucher ne me faisait pas penser à un mec présent au club depuis déjà 5 ans !

Et qui joue à gauche 95 % du temps

Depuis qu'il a été replace à ce poste mais foc a raison c'est un droitier de base depuis 2013 il a joué titu  64 % de ses matchs à droite

Il faudra voir ce que donnera Boniface dans le temps, mais pour l'instant, Kaulash est devenu le numéro 1 à gauche

Scalp a écrit:

nadoloubb a écrit:

Roberto Miopalmo a écrit:

Switch a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Switch a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:Falatea, c'est en effet la bonne pioche, on possède à  l'Ubb 3 droitiers de haut vol + 1 nouveau gaucher qui va démonter tous les droitiers du Top 14

Boniface ?

Boniface est-il Géorgien ? 

Bonifadze ou Bonifaschvili ça sonne bien C'est surtout que "nouveau" gaucher ne me faisait pas penser à un mec présent au club depuis déjà 5 ans !

Et qui joue à gauche 95 % du temps

Depuis qu'il a été replace à ce poste mais foc a raison c'est un droitier de base depuis 2013 il a joué titu  64 % de ses matchs à droite

Il faudra voir ce que donnera Boniface dans le temps, mais pour l'instant, Kaulash est devenu le numéro 1 à gauche

Boniface ayant été annoncé comme un grand espoir français au poste de gaucher, j'espère qu'il se révèlera. Pour le moment, il est plutôt discret, mais il a été blessé, est encore jeune (24 ans c'est encore jeune, pour un pilier) et vient d'arriver. On peut lui laisser encore un peu de temps pour nous prouver sa valeur.

Scalp a écrit:

nadoloubb a écrit:

Roberto Miopalmo a écrit:

Switch a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Switch a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:Falatea, c'est en effet la bonne pioche, on possède à  l'Ubb 3 droitiers de haut vol + 1 nouveau gaucher qui va démonter tous les droitiers du Top 14

Boniface ?

Boniface est-il Géorgien ? 

Bonifadze ou Bonifaschvili ça sonne bien C'est surtout que "nouveau" gaucher ne me faisait pas penser à un mec présent au club depuis déjà 5 ans !

Et qui joue à gauche 95 % du temps

Depuis qu'il a été replace à ce poste mais foc a raison c'est un droitier de base depuis 2013 il a joué titu  64 % de ses matchs à droite

Il faudra voir ce que donnera Boniface dans le temps, mais pour l'instant, Kaulash est devenu le numéro 1 à gauche

Oui c'est sûr il a fait d'énorme progrès, Boniface j'ai pas trop de doute mais il faut quil enchaîne et arrête de se blesser comme bochaton les blessures freinent leurs progression

Jelonch…j’espere que ce n’est pas le premier de la liste.

Mais bon la gestion de Galthié ne peut que générer des blessures. D’ailleurs il n’y a que de nouveau joueur que « grace » a une blessure ou suspension.

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/tournoi-des-six-nations-xv-de-france-casse-tete-en-vue-au-poste-de-pilier-droit-avant-l-angleterre-14226724.php

Tournoi des Six-Nations. XV de France : casse-tête en vue au poste de pilier droit avant l’Angleterre

Par D. K.-G.

Confronté à la double suspension de Uini Atonio et Mohamed Haouas, le staff des Bleus voit les solutions au poste de pilier droit entamées avant de se rendre à Twickenham le samedi 11 mars

Cible du deuxième carton rouge de sa jeune carrière internationale, Mohamed Haouas ne sera fixé sur la durée de sa sanction que mercredi, à l’issue de son audition par la commission de discipline du Six-Nations. Mais avant même qu’elle ne soit prononcée, le staff des Bleus est confronté à une pénurie de ressources au poste de pilier droit dans l’optique du prochain déplacement en Angleterre.

Car la suspension du Montpelliérain se conjugue à celle de Uini Atonio : le Rochelais avait écopé de trois matchs, ramené à deux par le suivi d’un stage, suite à un plaquage dangereux effectué en Irlande. Il ne pourra rejouer que pour la réception du pays de Galles, le samedi 18 mars, en clôture du Tournoi.

La béquille de Falatea

Quelles solutions s’offrent à Fabien Galthié dans l’intervalle ? La plus évidente est incarnée par Sipili Falatea (25 ans, 10 sélections). Remplaçant lors des huit derniers matchs du XV de France, il a effectué 70 minutes convaincantes face à l’Écosse. Même s’il doit soigner cette semaine une béquille à la cuisse, il espère postuler pour une première titularisation à Twickenham.

Quels joueurs pourraient le concurrencer ? En premier lieu le jeune Thomas Laclayat (25 ans) qui évolue à Oyonnax (ProD2) avant de rejoindre le Racing l’été prochain. Convoqué pour la tournée de juillet au Japon et dans les listes élargies durant la dernière tournée de novembre, il n’a cependant pas encore été capé.

Apparaissent ensuite deux joueurs déjà sélectionnés par Galthié par le passé mais qui ont été rétrogradés dans la hiérarchie tricolore. Le Lyonnais Demba Bamba (24 ans, 24 sél.), qui a repris la compétition en janvier après avoir subi une lourde opération au genou, mais qui a été victime d’une blessure musculaire qui l’a empêché de jouer en club le week-end dernier. Sera-t-il rétabli ? Et enfin le Toulousain Dorian Aldegheri (29 ans, 8 sél.) qui avait réalisé un début de saison suffisamment plein pour déclarer en janvier au sujet de la liste des Bleus : « Je serai très heureux si j’y suis. Et un peu attristé si je n’y suis pas. » Profitera-t-il de la session de rattrapage ?

Laclayat, Bamba, Aldegheri

Si l'un de ces 3 prend la titularisation à Sipili ce sera un vrai désaveu pour lui, quel message cela lui enverrait il, si ce n'est qu'on ne lui fait pas suffisamment confiance. Sérieusement Laclayat n'est pas encore prêt pour ce niveau en tant que titu, sur une tournée je dis pas mais là ... Bamba est l'archétype du finisseur, je le vois pas dépasser Falatea dans la hiérarchie et surgir du chapeau de Galthié tel un zébulon de sa boite . Quant au toulousain, il est plutôt pas mal en tenue de mélée mais dans le jeu courant il passe rarement la ligne d'avantage, la mobilité combinée à la puissance de notre neo bordelais en fait le postulant naturel au poste contre les anglois. Tout autre choix n'aurait pas de sens parce que le père sipili il est allé se le chercher son maillot de titu selon la formule consacrée par Galtoche.

Et Hounkpatin? Il est complètement passé à la trappe.

Roberto Miopalmo a écrit:Et Hounkpatin? Il est complètement passé à la trappe.

Faut pas chercher si loin…tres certainement Aldegheri ou Bamba sera rappelé

Le "jeune" Laclayat écrit l'article .... il a donc le même âge que le "jeune" Falatea ....

6 Nations 2023 - Comment les Bleus espèrent faire réduire la sanction de Mohamed Haouas

https://www.rugbyrama.fr/2023/02/28/6-nations-2023-comment-les-bleus-esperent-faire-reduire-la-sanction-de-mohamed-haouas-11027298.php

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/tournoi-des-six-nations-xv-de-france-on-s-en-sort-mais-il-y-a-ce-doute-14231299.php

Tournoi des Six-Nations. XV de France : « On s’en sort mais il y a ce doute »

Par Arnaud David - a.david@sudouest.fr

Marc Lièvremont, Pierre Berbizier et Pierre Villepreux, trois anciens entraîneurs du XV de France, jugent le début de tournoi des Bleus de Fabien Galthié

Inquiet ou rassuré ? La victoire du XV de France sur l’Écosse (32-21), dimanche après-midi, a suscité des sentiments ambivalents. En d’autres temps, ce succès bonifié, grâce à une ruade orgueilleuse dans les ultimes secondes, aurait suffi à satisfaire les attentes. Ce n’est plus le cas.

Il y a d’abord les standards d’excellence définis par cette équipe lors des deux dernières saisons. Elle est en deçà aujourd’hui. Et puis, il y a bien sûr la Coupe du monde à son horizon. Fabien Galthié et son staff espéraient que les Bleus aborderaient le rendez-vous lancés. La dynamique semble enrayée, avec des joueurs moins rayonnants et des interrogations sur le projet de jeu.

Au lendemain d’une victoire qui a permis aux Bleus de revenir dans la course pour le gain de cette édition, nous avons demandé à trois anciens entraîneurs des Bleus leur diagnostic.

1 « Le fil conducteur est contrarié »

Marc Lièvremont (2008-2011) : « Le premier sentiment, c’est mission accomplie. Côté positif, il y a cette entame de match très favorable et sa conclusion aussi. L’état d’esprit qui reste irréprochable en termes d’investissement et de solidarité. »

« Après, si on compare le début de ce tournoi à la tournée automnale de 2021 puis au tournoi 2022, on avait le sentiment que l’équipe n’arrêtait pas de progresser, qu’elle était quasiment intouchable. Or depuis novembre, malgré les succès, il n’y a plus la même souveraineté. »

« L’équipe de France est devenue l’équipe à battre. Tous nos adversaires ont donné le meilleur et ont réussi à nous contrarier. On a moins de joueurs dominants dans les duels. Collectivement, il faut reconnaître qu’à part l’entame et la conclusion, c’est l’Écosse qui a plus produit et qui nous a mis en difficulté. »

« J’ai le sentiment que le fil conducteur est contrarié. Il paraissait très clair lors des deux premières années, avec cette maîtrise de la dépossession. À côté de ça, on réalisait des lancements de jeu de qualité avec nos trois-quarts. Cela fait un moment qu’on n’en a pas fait. On est dans l’entre-deux. On est quand même régulièrement dominé par nos adversaires en termes de stratégie. On s’en sort mais il y a ce doute. Notre grosse assise défensive n’est plus la même. On ne récupère plus les ballons au sol comme on le faisait. L’arbitrage a évolué. Nos joueurs sont un peu émoussés avec les risques de blessure que cela induit. Jelonch, c’est le premier. Et après le tournoi, deux tiers des joueurs vont être concernés par la Coupe d’Europe et confrontés à un calendrier démentiel. Beaucoup ont le profil pour qu’il leur arrive la même mésaventure. »

2 « Le cul entre deux chaises »

Pierre Berbizier (1992-1995) : « J’ai l’impression qu’il y a une certaine confusion entre l’explication, la stratégie définie et l’application sur le terrain. Comme il y a du talent, tu récupères les matches mais tu ne les tiens pas. Quand on voit jouer les Irlandais, on voit une stratégie mise en place, parfaitement appliquée qui donne l’impression d’un rouleau compresseur. L’Irlande impose sa force, l’équipe de France montre ses faiblesses. »

« On a eu l’impression d’être proche des Irlandais mais lorsqu’on compare les occasions créées, le volume de jeu, on est loin. Ils assument complètement la conduite du jeu. Pas nous. On n’a pas l’impression d’une adhésion complète des joueurs. »

« Les équipes qui nous affrontent, même les Italiens, ont tenu leur fil conducteur. Nous, on a du mal. Quel jeu veut-on jouer ? Il y a plus d’interrogations que de réponses. La dépossession, pourquoi pas, mais là, on a le cul entre deux chaises. Peut-être que certains joueurs n’ont plus le même côté décisif. C’est peut-être le signe de joueurs fatigués. Après Jelonch, il ne faudrait pas d’autres grosses blessures. On sent qu’il y a un état d’esprit dans cette équipe. Mais peut-être que l’énergie collective est en baisse. Elle est aussi générée par les certitudes que tu as dans ton jeu. »

3 « Changer maintenant, c’est risqué »

Pierre Villepreux (1996-1999) : « Ce succès contre l’Écosse est à la fois inquiétant et rassurant. Les joueurs se sont donné les moyens de rester compétitifs en obtenant une victoire compliquée. Mais on continue d’avoir des temps faibles ou des temps morts où il ne se passe pas grand-chose. Les matches se suivent et se ressemblent. Les joueurs sont a priori confiants dans le jeu qu’ils pratiquent où on rend le ballon et on ne joue que les bons coups. Mais quand ils tombent contre une équipe capable de tenir le ballon, avec de la technique, de la qualité d’exécution, ils sont en difficulté. Cela a été le cas contre l’Irlande, contre l’Écosse pendant 50, 60 minutes et même face à l’Italie. »

« Peuvent-ils aller plus loin dans la recherche d’un rugby plus riche ? Cela relève d’un projet de jeu qui devient plus compliqué. Tu ne passes pas aisément à un jeu plus enrichi où il y a plus de liberté, de créativité. Au-delà de la sémantique de Galthié, les règles sont faites pour favoriser l’équipe qui a le ballon. Pas le contraire. C’est l’esprit de ce jeu. Les Irlandais sont l’incarnation la plus marquée de ce jeu de possession. Et puis il y a une approche plus prudente, celle choisie par les Français. Je ne sais pas si ce rugby a un avenir. Mais changer le modèle maintenant, c’est risqué. D’autant que ce modèle a gagné. »

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Anthony-jelonch-le-compte-a-rebours-pour-la-coupe-du-monde-est-lance/1383195

Anthony Jelonch, le compte à rebours pour la Coupe du monde est lancé

Gravement blessé au genou gauche face à l'Écosse dimanche au Stade de France (32-21), Anthony Jelonch ne désespère pas de se rétablir pour la Coupe du monde qui débute le 8 septembre. Le pari est lancé, mais il n'est pas question de faire des folies non plus.

Romain Bergogne (avec F. Be.)

Les bières d'après match n'avaient pas la même saveur dimanche soir. La victoire bonifiée (32-21) face à la « meilleure équipe d'Écosse de tous les temps », dixit le sélectionneur des Bleus Fabien Galthié, avant une semaine de relâche, promettait pourtant sur le papier une belle troisième mi-temps.

La grave blessure d'Anthony Jelonch, sorti en trottinant à la 25e minute, a fait passer le goût de la fête à certains, à commencer par son grand pote Antoine Dupont, au visage plus fermé que d'habitude en conférence de presse, ou encore l'entraîneur des avants William Servat, proche du joueur.

L'axe gerso-toulousain du groupe France a été marqué à chaud par le premier diagnostic (rupture du ligament croisé antérieur), limpide dès la première IRM passée par Anthony Jelonch alors que ses coéquipiers bataillaient en deuxième période.

D'autant que le troisième-ligne s'est gravement blessé sur une action où il empêche l'ailier écossais Duhan Van der Merwe d'aplatir en coin en le percutant suffisamment fort pour qu'il passe en touche. Et qu'il avait vécu un début de match déjà perturbé par un protocole commotion après un double plaquage Fagerson-Gilchrist qui a valu un carton rouge au second (7e).

Un titulaire certain au Mondial

Sans être le plus expansif, Jelonch (26 ans) est un leader respecté pour son engagement sur le terrain. Sa prestation face aux Écossais, jusqu'à ce que son genou gauche lâche, l'avait encore mis en avant.

L'encadrement français déplore aujourd'hui la perte d'un troisième-ligne de combat, à la fois rapide dans ses montées défensives, très rude à l'impact mais également capable de suivre Damian Penaud sur une relance folle à Dublin face à l'Irlande (défaite 32-19, le 11 février) , de résister à deux défenseurs avant de servir dans son dos son ailier pour ce qui est l'essai du Tournoi jusque-là.

Le troisième-ligne du Stade Toulousain était considéré comme partant certain dans le quinze de départ pour la Coupe du monde (8 septembre - 28 octobre) et le staff refuse aujourd'hui de le considérer comme forfait pour ce grand rendez-vous. Un signe de plus de sa place dans cette équipe de France.

À six mois, une semaine et quatre jours du match d'ouverture, le 8 septembre face à la Nouvelle-Zélande au Stade de France, la tendance n'est pourtant pas favorable, au premier abord. Victime de la même blessure en ouverture du Tournoi 2019 face aux Gallois le 1er février, le talonneur Julien Marchand avait par exemple rejoué avec Toulouse le 12 octobre, plus de huit mois après.

Le troisième-ligne toulousain peut-il se rétablir en six mois ? Lundi, c'est l'espoir qui avait pris la place de la résignation du dimanche soir. « Anthony est dans le positif, assure son père, Jérôme. On est très déçus sur le coup mais peut-être que dans quelques mois on sera les plus heureux du monde. »

Pierre-Henry Broncan, l'ancien entraîneur de Castres, écarté en début de semaine dernière, nous glissait lundi l'exemple du demi de mêlée Jérémy Fernandez (CO), touché au genou gauche il y a cinq mois lors d'un match à Brive et qui est prêt à reprendre la compétition aujourd'hui : « Je l'ai dit à Anthony ce matin (lundi) au téléphone : "Prends cet exemple et ne lâche pas." Je suis persuadé qu'il est capable de le faire. Physiquement, c'est une machine, il est tellement surprenant qu'il peut revenir. Même s'il ne suit pas la préparation collective cet été et s'il ne joue pas de match de préparation, s'il est remis, je le prends ! »

Une intervention en début de semaine prochaine

Beaucoup de choses se jouent cette semaine pour espérer un retour pour la Coupe du monde. Rentré à Toulouse lundi en début d'après-midi, Jelonch a vu un chirurgien dans la foulée. Sans surprise, le joueur a acté le choix de l'opération. Le temps que le genou dégonfle, l'intervention aura lieu en début de semaine prochaine.

« Si l'opération est nickel, qu'il n'y a pas de souci postopératoire, Anthony pourra essayer de réactiver son genou le plus vite possible, le remettre en tension et alors, ce serait jouable », poursuit Broncan, résolument dans le camp des optimistes. Un espoir existe mais il ne s'agit pas non plus de prendre tous les risques.

Toulouse y veillera aussi pour éviter une rechute ou des complications à moyen terme. D'ici à la fin de saison, son club a des solutions compétitives pour faire face à ce coup dur (Cros, Roumat, Willis, Elstadt, Placines...).

En équipe de France, François Cros va très probablement prendre le relais dans l'équipe de départ. C'est plus sur le banc des Bleus que l'absence de Jelonch aura des répercussions pour la fin du Tournoi. Adepte du « 6-2 » (six avants, deux trois-quarts), l'encadrement pourrait-il être contraint de changer ses habitudes ?

En l'absence de Cameron Woki (poignet), les options pour succéder à Cros sur le banc (Cretin, Diallo, Tanga, Roumat, Bécognée, Boudehent...) n'apportent pas autant de garanties. À moins qu'un deuxième-ligne (Chalureau ? Lavault ? un autre ?) rejoigne Romain Taofifenua sur le banc, avec Sekou Macalou pour couvrir à la fois le poste de troisième-ligne et celui d'ailier. Ce qui ne laisserait pas beaucoup de marge de manoeuvre si un (autre) pépin survenait en troisième ligne à Twickenham dans onze jours.

https://www.rugbyrama.fr/2023/02/28/6-nations-2023-pourquoi-avoir-relance-anthony-agace-le-pere-de-jelonch-sen-prend-au-staff-du-xv-de-france-11028282.php

"Pourquoi avoir relancé Anthony ?" : agacé, le père de Jelonch s'en prend au staff du XV de France

Le XV de France a battu l'Ecosse dimanche au Stade de France mais a perdu Anthony Jelonch, gravement touché au genou gauche. Le troisième ligne va se faire opérer et pourrait manquer la Coupe du monde. Dans les colonnes du Parisien, le père du Toulousain, très énervé, ne comprend pas la gestion de son fils par le staff des Bleus.

Ce qui devait arriver arriva... Le XV de France a perdu sur blessure un joueur cadre depuis le début du mandat de Fabien Galthié. Anthony Jelonch s'est gravement blessé au genou gauche et va se faire opérer en début de semaine prochaine d'une rupture des ligaments croisés. Sorti à la 24e minute lors de la victoire française face à l'Ecosse dimanche (32-21), le Toulousain démarre une course contre la montre pour tenter de disputer la Coupe du monde, du 8 septembre au 28 octobre 2023.

Dans le Parisien, Jérôme Jelonch a réagi à la grave blessure de son fils. Profondément agacé par ce coup d'arrêt terrible, le père s'en prend au staff de l'équipe de France, accusé de ne pas avoir géré le joueur, qui est revenu sur le terrain après un protocole commotion. "Qu'a fait le staff du XV de France ? Pourquoi avoir relancé Anthony, sorti pour un protocole commotion, alors qu'on avait deux remplaçants avec François Cros et Sekou Macalou ? J'étais dans les tribunes et j'étais fou. En le laissant se reposer, on aurait pu éviter ce qui est arrivé ensuite."

Dès le coup d'envoi, Anthony Jelonch avait subi un double plaquage appuyé de Fagerson et Gilchrist. Après le premier essai français, le troisième ligne était une nouvelle fois à la réception, et rebelote les deux Écossais venaient plaquer haut le joueur du Stade toulousain. Cette fois-ci, Jelonch restait au sol et l'arbitre de la rencontre, le Géorgien Nika Amashukeli faisait appel à la vidéo après l'intervention du médecin de l'équipe de France, entraînant dans un second temps l'exclusion du deuxième ligne Grant Gilchrist. "Je ne comprends pas, sans l'intervention du médecin de l'équipe de France, l'arbitre n'aurait pas sifflé la faute ni interrompu le match, regrette le père d'Anthony Jelonch. Fargerson méritait un jaune aussi. Que font les arbitres ?"

Jelonch entame une course contre la montre

Le troisième ligne du XV de France sortait du terrain pour subir un protocole commotion avant de revenir quelques minutes plus tard, laissant François Cros reprendre place sur le banc. À la 24e minute, il sauvait son équipe en défense alors que Duhan van der Merwe partait à l'essai. À l'impact, il se blessait au genou et était contraint de laisser sa place. "Il se donne toujours à fond, témoignait Jérôme son père. C'est un grand professionnel, peut-être que ce n'est pas le cas autour de lui.'

À la fin du match, malgré la victoire, les Bleus étaient très touchés par les nouvelles pas rassurantes autour de l'état de santé de l'ancien castrais. Fabien Galthié confirmait rapidement les craintes autour de son joueur : "Les nouvelles d’Anthony ne sont pas bonnes et c’est la raison pour laquelle notre joie est modérée, expliquait-il en conférence de presse. Le premier diagnostic donne en effet une rupture du ligament croisé antérieur. C’est quasiment six mois d’absence, généralement. Notre copain Anthony arrête donc sa compétition aujourd’hui."

"Anthony n'a pas besoin du staff du XV de France"

Un coup de massue pour Jelonch qui voit ses chances de disputer le Mondial fortement diminuées, même si son père garde espoir : "Tout le monde dit que la Coupe du monde est déjà finie pour lui. On verra. Anthony a du mental et il est entouré par sa famille. Il est fils d'agriculteur, il a connu des coups durs, comme ces orages de grêle qui anéantissent une belle récolte en quelques minutes. Nous nous sommes toujours relevés. Il reviendra."

Le Stade toulousain perd également l'un de ces fers de lance pour la fin de la saison. Le joueur lui va se faire opérer prochainement pour tenter de revenir le plus rapidement possible sur les terrains. L'ancien joueur de Auch a reçu beaucoup de soutien de la part de ses copains en équipe de France, qui pour certains étaient en larmes dans les vestiaires du Stade de France au coup de sifflet final. "Je suis tellement triste pour lui, expliquait son coéquipier toulousain et remplaçant François Cros dans des propos rapportés dans le Midi Olympique. Ça fait chier de perdre un ami. Anthony est un joueur très important de notre effectif, en sélection et en club. Il était en feu en ce moment."

Le staff a également entouré Jelonch et ne lâchera pas son joueur dans les prochains mois. "Raphaël Ibanez (le manager du XV de France, N.D.L.R.) m'a appelé pour me dire qu'ils ne le lâcheraient pas, a avoué le père du joueur dans les colonnes du Parisien. Mais Anthony n'a pas besoin du staff du XV de France aujourd'hui. Il a besoin d'un bon chirurgien et de sa famille."

Amer, le père du troisième ligne va désormais aider le mieux possible son fils à se remettre de cette grave blessure. Pas sûr que ses propos atténuent le débat autour de la gestion des joueurs du XV de France, et de l'enchaînement des matchs qui peut poser problème. Dans une autre mesure, on se souvient que Cyril Baille avait rechuté de sa blessure aux adducteurs après avoir repris très rapidement avec l'équipe de France. Plus récemment, l'ailier Gabin Villière s'est de nouveau blessé au péroné lors de la préparation du premier match face à l'Italie. Le Toulonnais avait rejoué seulement une heure avec son club avant de rejoindre les Bleus...

Ah, tiens En voilà un qui pense comme nous. Le premier d'une longue série ?

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Francois-cros-troisieme-ligne-du-xv-de-france-gagner-en-confiance-collective/1383192

François Cros, troisième ligne du XV de France : « Gagner en confiance collective »

Le troisième-ligne international du Stade Toulousain veut encore croire à la victoire finale des Bleus dans le Tournoi.

Jean-François Paturaud

Rentré chez lui, lundi, au lendemain de la victoire contre l'Écosse (32-21), François Cros va pouvoir profiter de la semaine auprès de sa femme et de sa fille avant de retourner à Marcoussis dimanche. Le troisième-ligne toulousain (28 ans, 18 sélections), écarté des terrains plusieurs mois l'an dernier en raison de deux blessures au genou gauche, veut continuer à enchaîner et viser la victoire finale dans le Tournoi des Six Nations. Mais il pense aussi à son pote Anthony Jelonch, sévèrement touché face aux Écossais.

« Comment vous sentez-vous physiquement après ce succès face à l'Écosse ?

Bien. Je n'ai pas de douleur à mon genou. Moralement, ça fait du bien. C'est important d'enchaîner les matches, d'avoir de plus en plus de temps de jeu et de bonnes sensations. En deux week-ends, j'ai pu jouer 68 minutes avec Toulouse contre Toulon (en Top 14) et 63 ce week-end en équipe de France. Je pense que je suis désormais capable de tenir tout un match.

Dimanche, vous êtes entré à deux reprises à la place d'Anthony Jelonch, de la 7e minute jusqu'à la 14e, puis à partir de la 25e jusqu'à la fin de la rencontre. Comment jugez-vous votre prestation ?

C'est clair que c'était particulier de rentrer deux fois à la place d'Antho (Anthony Jelonch). La première fois (sur la commotion de son partenaire), j'étais assez serein sur le fait qu'il allait pouvoir revenir sur le terrain. Mais sur la deuxième (rupture du ligament croisé antérieur), j'ai compris que ça allait être compliqué malheureusement pour lui. Sur le coup, je ne connaissais pas la gravité de sa blessure. J'ai pris sa place et le match a continué. Mais quand j'ai appris à la fin de la rencontre que ce serait une blessure importante, avec les ligaments croisés touchés, j'étais vraiment très triste pour lui. Avant d'être un de mes coéquipiers, c'est un ami. Il était en pleine bourre. C'est une grosse perte pour Toulouse et l'équipe de France. Sur le début du Tournoi, il était notre leader de combat. Dimanche, il a encore fait un début de match incroyable en électrisant tous les mecs qu'il a touchés.

L'ensemble du groupe était visiblement très marqué dimanche soir...

Oui, ça a gâché la fête. Antho est un bon gars et un élément important du dispositif. Il amène toujours de la bonne humeur. Il s'est clairement sacrifié pour l'équipe. On a tous passé un moment avec lui pour le soutenir même si c'est compliqué de trouver les mots justes. Il fallait surtout ne pas le laisser seul à gamberger. J'ai aussi connu une période longue de blessure et je sais ce qu'il traverse.

« Quand on voit une équipe qui gagne, on a envie d'en être et de vivre ces moments-là. C'était compliqué de regarder les matches devant la télévision. »

La logique est que vous soyez titulaire à sa place contre l'Angleterre le 11 mars...

Je ne pense pas qu'il y ait de logique ou de joueur installé. Je suis content d'avoir pu jouer contre l'Écosse et d'être opérationnel pour l'Angleterre (samedi 11 mars). On verra à partir de dimanche, quand on se retrouvera à Marcoussis, vers quoi se dirigeront les choix du staff. Mais je sais aussi que je reviens juste de blessure et que je dois encore hausser mon niveau de jeu.

Mais retrouver une place dans le quinze de départ, comme lors du Grand Chelem 2022, devait être un objectif ?

Oui, bien sûr. Mais c'était déjà le cas avant la blessure d'Antho. On m'a fait confiance dès mon retour, à moi d'en être digne. L'équipe a carburé pendant que je n'étais pas là. Quand on voit une équipe qui gagne, on a envie d'en être et de vivre ces moments-là. C'était compliqué de regarder les matches devant la télévision, surtout quand l'équipe de France a joué à Toulouse (contre le Japon, 35-17). C'est un match que j'aurais aimé jouer forcément. C'est la vie.

Avant d'aller en Angleterre, avez-vous conscience que l'équipe doit encore progresser après un début de Tournoi mitigé ?

Oui, depuis le début du Tournoi, nous avons été pas mal jugés avec ces deux victoires (Italie - 24-29 - et Écosse) au petit goût d'inachevé et cette défaite en Irlande (32-19). On a envie de gommer toutes nos petites erreurs. On est exigeants et les gens le sont aussi envers nous après ces matches pas totalement aboutis. En Italie et contre l'Écosse, on démarre bien mais on laisse à chaque fois l'adversaire revenir. Il faut continuer à gagner en confiance collective pour éviter ces moments de pression. Heureusement, dimanche, on a eu la ressource pour repartir de l'avant et aller chercher le bonus offensif à la sirène. C'était primordial pour la suite de la compétition.

Croyez-vous encore à la victoire finale dans ce Tournoi ?

Bien sûr. On sait qu'on s'est compliqué la tâche en perdant à Dublin, surtout sans prendre de point. Le Grand Chelem est d'ores et déjà terminé. Mais on court après les Irlandais, et on a envie de leur mettre la pression et de profiter d'un éventuel faux pas. On doit essayer de faire un carton plein sur nos deux derniers matches pour garder un espoir de remporter le Tournoi.

« En Italie, on n'avait pas du tout écouté l'arbitre. On était convaincus que ce qu'on faisait était bien mais la décision revient à l'appréciation de l'arbitre. Quand on ne l'écoute pas, on se le met souvent à dos. »

Il faudra pour cela gagner en Angleterre, ce que n'a encore jamais fait le quinze de France depuis le début du mandat de Fabien Galthié...

C'est un défi de plus que nous devrons relever la semaine prochaine. C'est vrai qu'on a gagné partout en Europe, mais pas à Twickenham. Je n'avais pas cette statistique en tête. C'est une place forte du rugby. Pour ma part, j'y ai joué une seule fois, c'était la finale de la Coupe des champions (en mai 2021, Toulouse-La Rochelle : 22-17), mais jamais en équipe de France. C'est assez excitant.

Comment imaginez-vous ce rendez-vous ?

Ce sera évidemment difficile. Les Anglais ont connu un démarrage de Tournoi compliqué, sans doute en raison des changements dans leur staff. Mais ils ont l'air de trouver leur rythme de croisière et de monter en puissance. Ils seront bien armés pour nous recevoir. Les Anglais ont un pack costaud, une grosse première ligne très active, une troisième ligne qui pourrit pas mal les ballons sur le jeu au sol. Derrière, ils ont des joueurs hyper intéressants avec notamment le numéro 12 (Ollie Lawrence) qui fait un début de Tournoi assez incroyable et l'arrière Freddie Steward qui est très bon sur les ballons hauts.

Vous aurez possiblement l'occasion d'affronter Jack Willis, votre partenaire à Toulouse. En avez-vous discuté ?

Non, on n'en a pas parlé mais ce sera sympa de le croiser. J'étais déjà content pour lui qu'il retrouve la sélection puis un poste de titulaire. Il a été performant sur les premiers matches. C'est un excellent joueur avec un profil différent de ce que l'on a pour l'instant en club. Il nous a fait beaucoup de bien dans le domaine du jeu au sol, où il récupère régulièrement des ballons, et en défense. Il est vraiment démoniaque.

Vous parliez du jeu au sol, l'équipe de France a rencontré des difficultés dans ce domaine depuis le début du Tournoi. Comment l'expliquez-vous ?

En Italie, on n'avait pas du tout écouté l'arbitre. On était convaincus que ce qu'on faisait était bien mais la décision revient à l'appréciation de l'arbitre. Quand on ne l'écoute pas, on se le met souvent à dos et les situations se retournent alors souvent contre nous. On a réussi à mieux gérer en Irlande, en étant vraiment à l'écoute de l'arbitre qui était clair et précis. Quand il nous disait de lâcher, on le faisait. Et quand il nous disait qu'on pouvait contester, on contestait. On doit aller dans ce sens pour limiter les fautes au sol. Sur ces situations où l'on hésite un peu, il faut faire un choix fort et en être convaincu. »

https://www.rugbyrama.fr/2023/02/28/6-nations-2023-pourquoi-avoir-relance-anthony-agace-le-pere-de-jelonch-sen-prend-au-staff-du-xv-de-france-11028282.php

le père de Jelonch un peu amère sur la gestion du fiston (en tous points d'accord pour ma part!)

Roberto Miopalmo a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/02/28/6-nations-2023-pourquoi-avoir-relance-anthony-agace-le-pere-de-jelonch-sen-prend-au-staff-du-xv-de-france-11028282.php

le père de Jelonch un peu amère sur la gestion du fiston (en tous points d'accord pour ma part!)

La question est aussi , qui est le prochain sur la liste … Danty, Dupont… ça fait trois boulettes … Baille, Villiere, Jelonch.

Pourquoi ces joueurs qui reprennent avec leur clubs sont ils aussitôt sélectionnés? C’est une aberration totale. Le médecin du club devrait se mettre d’accord avec celui de l’edf. C’est inadmissible de jouer avec la santé des joueurs.

Je revois a travers l’exemple de l’EDF ce qu’on avait fait chez nous avant que l’hécatombe commence.

grospaquet31 a écrit:Pourquoi ces joueurs qui reprennent avec leur clubs sont ils aussitôt sélectionnés? C’est une aberration totale. Le médecin du club devrait se mettre d’accord avec celui de l’edf. C’est inadmissible de jouer avec la santé des joueurs.

Je revois a travers l’exemple de l’EDF ce qu’on avait fait chez nous avant que l’hécatombe commence.

J'ai pas osé le dire mais j'en pense pas moins. On va arriver à la cpm avec potentiellement la moitié des titulaires sur le carreau.

Big'Ben a écrit:

grospaquet31 a écrit:Pourquoi ces joueurs qui reprennent avec leur clubs sont ils aussitôt sélectionnés? C’est une aberration totale. Le médecin du club devrait se mettre d’accord avec celui de l’edf. C’est inadmissible de jouer avec la santé des joueurs.

Je revois a travers l’exemple de l’EDF ce qu’on avait fait chez nous avant que l’hécatombe commence.

J'ai pas osé le dire mais j'en pense pas moins. On va arriver à la cpm avec potentiellement la moitié des titulaires sur le carreau.

Ouais mais on aura fait un grand Chelem 2022 et on aura été pendant quelques mois n°1 à l'IRB

"Qu’a fait le staff du XV de France ?" : le père d'Anthony Jelonch furieux contre Fabien Galthié et ses adjoints

https://www.eurosport.fr/rugby/6-nations/2022/qua-fait-le-staff-du-xv-de-france-le-pere-d-anthony-jelonch-furieux-contre-fabien-galthie-et-ses-adj_sto9437190/story.shtml

Switch a écrit:

Big'Ben a écrit:

grospaquet31 a écrit:Pourquoi ces joueurs qui reprennent avec leur clubs sont ils aussitôt sélectionnés? C’est une aberration totale. Le médecin du club devrait se mettre d’accord avec celui de l’edf. C’est inadmissible de jouer avec la santé des joueurs.

Je revois a travers l’exemple de l’EDF ce qu’on avait fait chez nous avant que l’hécatombe commence.

J'ai pas osé le dire mais j'en pense pas moins. On va arriver à la cpm avec potentiellement la moitié des titulaires sur le carreau.

Ouais mais on aura fait un grand Chelem 2022 et on aura été pendant quelques mois n°1 à l'IRB

je crois que ce n'etait que quelques jours!

Tournoi des Six-Nations : Mohamed Haouas suspendu quatre semaines après son carton rouge face à l’Écosse

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/tournoi-des-six-nations-mohamed-haouas-suspendu-quatre-semaines-apres-son-carton-rouge-face-a-l-ecosse-14255432.php

Scalp a écrit:Tournoi des Six-Nations : Mohamed Haouas suspendu quatre semaines après son carton rouge face à l’Écosse

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/tournoi-des-six-nations-mohamed-haouas-suspendu-quatre-semaines-apres-son-carton-rouge-face-a-l-ecosse-14255432.php

Franchement c'est assez honteux. Outre le fait qu'on parle d'un international, Haouas c'est déjà 2 jaunes et 2 rouges en 3 ans avec le XV de France (+ 5 jaunes et 1 rouge en club), il est donc récidiviste et son geste est, encore une fois, volontaire. N'avoir que 4 semaines pour çà alors que la même sanction est parfois appliquée pour un joueur de championnat au casier vierge et pour un geste involontaire, c'est quand même un sacrée incohérence et une sacrée honte.

On nous bassine avec la sécurité des joueurs, à vouloir mettre en place une nouvelle règle par an...etc, mais on ne punit pas comme il faut les mauvais gestes volontaires et dangereux. Et j'insiste vraiment sur cette notion de mauvais geste inutile, dangereux et volontaire car ce n'est clairement pas assez pris en compte.

Je n'ai rien contre l'homme, mais j'espère que le joueur sera sanctionné par une absence longue, si ce n'est définitive du XV de France.

Switch a écrit:

Scalp a écrit:Tournoi des Six-Nations : Mohamed Haouas suspendu quatre semaines après son carton rouge face à l’Écosse

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/vi-nations/tournoi-des-six-nations-mohamed-haouas-suspendu-quatre-semaines-apres-son-carton-rouge-face-a-l-ecosse-14255432.php

Franchement c'est assez honteux. Outre le fait qu'on parle d'un international, Haouas c'est déjà 2 jaunes et 2 rouges en 3 ans avec le XV de France (+ 5 jaunes et 1 rouge en club), il est donc récidiviste et son geste est, encore une fois, volontaire. N'avoir que 4 semaines pour çà alors que la même sanction est parfois appliquée pour un joueur de championnat au casier vierge et pour un geste involontaire, c'est quand même un sacrée incohérence et une sacrée honte.

On nous bassine avec la sécurité des joueurs, à vouloir mettre en place une nouvelle règle par an...etc, mais on ne punit pas comme il faut les mauvais gestes volontaires et dangereux. Et j'insiste vraiment sur cette notion de mauvais geste inutile, dangereux et volontaire car ce n'est clairement pas assez pris en compte.

Je n'ai rien contre l'homme, mais j'espère que le joueur sera sanctionné par une absence longue, si ce n'est définitive du XV de France.

Avec Atonio qui dit vouloir arrêter l'EDF après la coupe du monde, y a de fortes chances que Haouas revienne bientôt, d'ici l'horizon 2024 pour le tournoi des 6 nations...