XV de France (partie en cours)

Switch a écrit:

densnewzealand a écrit:

Scalp a écrit:

Tothor a écrit:

Scalp a écrit:XV de France: «On ne doit pas seulement former de grands joueurs, on doit former des individus», réagit Didier Codorniou après l’affaire Jégou et Auradou

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/xv-de-france-on-ne-doit-pas-seulement-former-de-grands-joueurs-on-doit-former-des-individus-reagit-didier-codorniou-apres-l-affaire-jegou-et-auradou-20240709

La base !!! Je me demande si le ST ne s'est pas séparé aussi de Jaminet en connaissance de cause…, je leur conseille quand même de bien surveiller Costes

Tkt pas pour nous... Commencer plutôt a organiser des rondes autour du CHU, avec battut on sait jamais " xD "

Je comprends que ça te chatouille un peu , il m'a l'air un peu à l'ouest le garçon, mais nul doute qu'il va être coaché comme il se doit.

Thotor toujours la pour défendre ses ouailles. Même quand elles sortent des idioties. Et le petit rebond sur Battut. T’a pas des trucs à faire en ce moment ….

Est-ce qu'on pourrait pas, surtout, élever un peu le débat ?

Si tu dis ça concernant cette discussion, tu vas pouvoir l’écrire dix fois pas jour

INFO RMC SPORT. XV DE FRANCE: JEGOU ET AURADOU TRANSFÉRÉS À MENDOZA MERCREDI, ON EN SAIT PLUS SUR LA SUITE DE LA PROCÉDURE

https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/xv-de-france/info-rmc-sport-xv-de-france-jegou-et-auradou-transferes-a-mendoza-mercredi-on-en-sait-plus-sur-la-suite-de-la-procedure_AV-202407090780.html

XV DE FRANCE / MOURAD BOUDJELLAL : "JE NE COMPRENDS MÊME PAS QU'ON CONTINUE LA TOURNÉE"

https://www.eurosport.fr/rugby/test-match/2024/xv-de-france-mourad-boudjellal-je-ne-comprends-meme-pas-qu-on-continue-la-tournee_sto10228286/story.shtml

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Au-sein-du-xv-de-france-une-ambiance-lourde-depuis-l-affaire-de-mendoza/1481440

Ambiance plombée au sein du groupe France après l'affaire de Mendoza

Au lendemain de l'arrestation d'Hugo Auradou et Oscar Jegou, le quinze de France a vécu mardi une journée étrange. Les Bleus ont rejoint l'Uruguay, où ils joueront ce mercredi soir, dans une ambiance lourde.

Jean-François Paturaud, à Montevideo

Les rues de Buenos Aires sont encore désertes. Il est 6 h 20 mardi matin lorsque le premier convoi de l'équipe de France quitte le centre-ville de la capitale argentine alors que des chars se positionnent pour le défilé militaire de la fête nationale argentine. Il fait nuit et froid. Plusieurs membres du staff ont les traits tirés. Ils ont peu ou pas dormi après quarante-huit heures particulièrement éprouvantes. Direction l'aéroport.

À son arrivée, William Servat a les yeux dans le vague. Il est marqué par l'arrestation du Palois Hugo Auradou et du Rochelais Oscar Jegou, partis menottés de l'hôtel Emperador la veille. Derrière lui, l'autre entraîneur des avants, Laurent Sempéré, a également la tête des mauvais jours alors qu'il fête en ce 9 juillet son 39e anniversaire.

Sans doute pas le plus joyeux malgré le survol du Rio de la Plata. Shaun Edwards, Nicolas Jeanjean et Jérôme Garcès, responsables de la défense, de la performance et de l'arbitrage, sont là aussi. Mais pas Fabien Galthié.

Le sélectionneur décollera avec 26 joueurs du groupe vers 11 h 15. Une trentaine de minutes plus tard, ils posent le pied à Montevideo, où quelques journalistes locaux les attendent pour évoquer, comme si de rien n'était, le match du lendemain contre l'Uruguay. Puis tout le monde grimpe dans un car pour rejoindre l'Hôtel Cottage, situé à une vingtaine de minutes.

Florian Grill reste en Argentine

En interne, l'ambiance est lourde malgré quelques sourires de façade devant les caméras. « Beaucoup de joueurs craignent que cette affaire ne leur retombe aussi dessus car une très grande partie de l'équipe est sortie samedi soir à Mendoza après le match remporté face aux Pumas », nous raconte une source bien informée.

Florian Grill, lui, n'a pas fait le déplacement. Le président de la FFR, au bord des larmes lundi soir, a préféré rester pour « gérer » à Buenos Aires, où il a rencontré les deux joueurs placés en garde à vue.

Son téléphone ne cesse de sonner. En France, l'affaire a pris une ampleur énorme. Et beaucoup ne comprennent pas que cette tournée estivale se poursuive. Ne fallait-il pas arrêter les frais et rentrer au pays dès maintenant ? « Pour moi, le sujet n'est pas le match, qui est accessoire », répond Grill. Même le second test face aux Pumas samedi à Buenos Aires ? Réponse du patron fédéral : « Il n'y a aucune remise en cause pour le moment. » Pour des raisons économiques ? C'est en partie possible. Alors quitte à jouer, autant se préparer.

Un peu avant 16 heures, les Français effectuent leur traditionnel entraînement du capitaine dans le charmant Estadio Charrea. Il est mené par le Lyonnais Baptiste Couilloud, promu pour l'occasion. Une quinzaine de minutes studieuses ouvertes à la presse sous un soleil printanier et puis on ferme comme à chaque veille de match.

Fabien Galthié et le « traumatisme »

À 17h15, le sélectionneur fait son retour à l'hôtel avec le reste du groupe. Sa prise de parole est particulièrement attendue, et pas seulement par les quatre médias français présents sur place. Elle tourne d'abord à l'absurde. Avec du Frank Sinatra dans les enceintes, au son notamment de « Strangers In The Night » du meilleur goût, puis lors d'une conférence de presse organisée au côté d'une délégation uruguayenne ravie d'accueillir le quinze de France même en lambeaux.

Il aura fallu attendre exactement onze minutes pour que Galthié rentre enfin dans le vif du sujet. « Pour le groupe et la délégation, ça a été vécu comme un traumatisme, une forme de sidération quand on a appris les nouvelles et lorsque la police a débarqué à l'hôtel (de Buenos Aires), a-t-il d'abord expliqué. Ça a été vraiment une journée très, très dure, un moment et une période très difficile pour nous. C'est dans ces conditions que nous préparons ce match contre l'Uruguay. L'équipe va jouer, on verra demain (aujourd'hui). C'est très difficile, très complexe. »

Visiblement douloureux aussi pour le sélectionneur au visage de plus en plus fermé au fil des minutes. « La première des choses, c'est de nous adresser à la victime. Nous avons une pensée pour elle. Tout est mis en oeuvre pour accompagner la justice argentine, à faire son travail mais aussi pour les joueurs, l'ensemble de la délégation, pour qu'ils puissent vivre, traverser ce moment difficile. » Qui laissera forcément des traces indélébiles sur l'image du rugby français.

Galthié : «Ça a été vécu comme un traumatisme»

https://www.dailymotion.com/video/x91uake

À 17h15, le sélectionneur fait son retour à l'hôtel avec le reste du groupe. Sa prise de parole est particulièrement attendue, et pas seulement par les quatre médias français présents sur place. Elle tourne d'abord à l'absurde. Avec du Frank Sinatra dans les enceintes, au son notamment de « Strangers In The Night » du meilleur goût…

On se demande si le staff de l'équipe de France maitrise quelque chose dans cette tournée

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Le-recit-d-une-journee-d-effroi-apres-les-accusations-d-agression-sexuelle-contre-deux-joueurs-du-xv-de-france/1481412

Une journée d'effroi à Buenos Aires après les accusations d'agression sexuelle contre deux joueurs du XV de France

Le quinze de France fait face à un nouveau scandale. Accusés d'agression sexuelle par une femme à Mendoza, Hugo Auradou et Oscar Jegou sont actuellement en prison à Buenos Aires dans l'attente de leur transfert vers la ville où ont eu lieu les faits présumés. Récit des événements qui se sont enchaînés depuis la fin du premier test contre les Pumas, samedi.

Renaud Bourel et Jean-François Paturaud (avec Anaïs Dubois), à Buenos Aires

Hugo Auradou et Oscar Jegou ont donc passé une première nuit en garde à vue. Ils sont accusés d'«abus sexuels aggravés par la pénétration et le fait d'être plus d'une personne » -selon la terminologie littérale de la justice argentine qui n'a pas de chef d'accusation spécifique de viol- par une jeune femme. Les faits se seraient déroulés à Mendoza dans la nuit de samedi à dimanche puis une plainte a été déposée à leur encontre dans la journée.

De retour à Buenos Aires le lendemain matin du match contre les Pumas (victoire 28-13 des Bleus), les deux hommes ont été entendus par la police fédérale à l'hôtel Emperador, où séjourne le quinze de France depuis le début de la tournée, ce lundi pendant près de trois heures, avant de quitter l'établissement en début de soirée, tous deux menottés, afin d'être placés en détention.

Les informations quant aux accusations et à l'identité des deux joueurs ont filtré extrêmement rapidement dans les médias locaux, confirmées par plusieurs magistrats dont la procureure générale Daniela Chaler, jointe par L'Équipe : « L'enquête vient de commencer. Hier (dimanche), nous avons reçu la plainte vers 18 h-19 h au bureau du procureur. La déclaration de la plaignante a été longue, avec de nombreux détails sur le déroulement de la soirée. Immédiatement, elle a été examinée par une médecin légiste qui a constaté des blessures. Ce sont les éléments sur la base desquels il a été décidé d'ouvrir une enquête pour le délit d'abus sexuel aggravé et d'ordonner la détention. Il s'agit d'un délit susceptible d'une peine lourde. »

« Preuves concluantes » et « situation sauvage » selon les premières conclusions du médecin légiste

Tôt dans la matinée, mardi, la presse argentine a poursuivi ses révélations. Elle a notamment livré des détails sur l'état de santé de la victime et les premières conclusions du médecin légiste qui l'a auscultée. Il était question de « preuves concluantes », de « situation sauvage ». Le média en ligne MDZ, premier à avoir dévoilé les faits, citait le cabinet de l'avocate Natacha Romano, représentant de la plaignante. Celui-ci évoquait « de nombreuses preuves génétiques » et « beaucoup de violence ».

Face à ces premiers éléments d'enquête et en raison du voyage de l'équipe de France pour l'Uruguay, où se dispute un match ce mercredi à Montevideo, la procédure a été précipitée à Buenos Aires pour prévenir tout départ anticipé des accusés : « Il existe un risque de fugue. Ce sont deux étrangers qui sont de passage dans le pays et ils allaient se rendre en Uruguay puis revenir ici avant de retourner dans leur pays d'origine. Il était donc nécessaire de pouvoir leur notifier le délit pour lequel ils sont poursuivis et ensuite décider de leur situation, a détaillé Mme Chaler à L'Équipe. Nous sommes au stade des premières mesures. »

La stupeur a une fois encore frappé le camp français, moins de 24 heures après la diffusion sur les réseaux sociaux d'une vidéo de Melvyn Jaminet tenant des propos violents et racistes. Par l'intermédiaire d'un ami, un membre de l'encadrement français est parvenu à trouver un avocat dans un temps record afin que les deux joueurs soient assistés pendant leur garde à vue.

Ce dernier a ensuite été remplacé par une connaissance d'Agustin Pichot, ancien capitaine de l'équipe d'Argentine et ex-joueur du Stade Français. Il s'agit de Rafael Cuneo Libarona, frère du ministre de la Justice Mariano Cuneo Libarona. Patrick Arlettaz et William Servat, membres de l'encadrement bleu et tous les deux hispanophones, sont quant à eux allés visiter les deux joueurs sur le lieu de leur détention pour leur apporter des vêtements et de quoi manger.

Les premiers échos qui remontaient de la délégation française rapportaient un état de choc important des deux internationaux (20 et 21 ans) et l'inquiétude de tout le groupe après une soirée de fête à Mendoza, dont la teneur a fini par filtrer entre la journée de dimanche et de lundi. Après avoir bu un verre tous ensemble à l'hôtel pour célébrer la première sélection de neuf d'entre eux, certains sont sortis dîner en ville.

Puis l'essentiel de la troupe s'est retrouvé dans une boîte de nuit. Les joueurs n'avaient pas l'interdiction de sortir, malgré le match prévu contre l'Uruguay. La consigne est toujours la même depuis que Fabien Galthié est sélectionneur : « Être responsable et prendre soin les uns des autres. »

Auradou et Jegou « ne comprennent pas » ce qui leur arrive

Selon la version émergente à l'intérieur du groupe France, Auradou aurait rencontré la jeune femme le premier pendant cette soirée largement alcoolisée et l'aurait suivi jusqu'à son hôtel. Un autre joueur aurait témoigné que la victime présumée avait pris un taxi avec eux consciente et consentante. Cet autre joueur était lui-même accompagné d'une femme.

Le deuxième-ligne palois serait alors monté dans sa chambre avec la plaignante où ils auraient eu un premier rapport sexuel consenti. Un peu plus tard, Jegou rentrait à son tour au Diplomatic Hôtel de Mendoza où il partageait la chambre d'Auradou et aurait eu à son tour des relations sexuelles avec elle.

Dans cette version du récit, il n'est pas question de violence, d'abus ou d'agression, ce que semblent contredire les analyses cliniques des médecins légistes sur place. « Ils m'ont dit qu'ils ne l'ont jamais obligée à faire quoi que ce soit. Ils ne l'ont pas frappée, non plus. Oscar Jegou et Hugo Auradou ne comprennent pas ce qu'il se passe. Ils ne peuvent croire en cette accusation. Il y a eu du sexe, oui. Mais cela fut consenti. Voilà ce qu'ils disent et après les avoir longuement entendus, je les crois », rapportait Me Cuneo Libarona, l'avocat des deux joueurs à nos confrères de Rugbyrama.

La jeune femme aurait quitté l'hôtel au petit matin, croisant même des membres du staff. C'est donc ensuite que la victime présumée s'est rendue au commissariat de la ville pour porter plainte auprès de la police de Mendoza et faire constater ses blessures.

Contactée ce mardi par la radio LV10 de Mendoza, Chaler a également établi que : « Les lésions sont compatibles avec le récit de la victime, mais pas nécessairement exclusivement issues d'une agression sexuelle », avant de préciser : « La déposition est assez longue, complète, détaillée et correspond, pour l'heure, aux conclusions médico-légales. » Les deux accusés doivent être en permanence assistés d'un traducteur afin de bien comprendre la raison de leur détention et les procédures auxquelles ils sont soumis.

Comme prévu au planning originel de cette tournée, une partie de la délégation bleue est restée à Buenos Aires. Florian Grill, président de la FFR, Jean-Marc Lhermet, son vice-président, l'ambassadeur et le consul de France, accompagnés de l'avocat, ont rendu visite aux deux joueurs qui attendent leur transfert à Mendoza. « Une commission de la ville du centre-ouest du pays devait se déplacer en ce jour de fête nationale argentine afin de procéder aux actes d'enquête appropriés », déclarait, lundi, Martin Ahumada, porte-parole du parquet de Mendoza.

Des habitués des procédures judiciaires argentines expliquaient que les détentions provisoires étaient souvent longues dans le pays, alors que côté français, on espérait que l'intervention de Pichot puisse accélérer les choses. Après une deuxième nuit derrière les barreaux à Buenos Aires, pour des raisons de droit argentin, Auradou et Jegou seront convoyés par la route, à 1 050 kilomètres de là, à la prison de Mendoza.

Le risque d'une peine très lourde

Les deux jeunes joueurs français pourraient être mis en examen dans les prochains jours, d'après le ministère public de Mendoza. Au regard des peines encourues (8 à 20 ans de prison), et face à la possibilité qu'ils quittent le pays, la prison préventive pourrait être demandée.

Hugo Auradou et Oscar Jegou sont encore détenus à Buenos Aires à l'heure où nous fermons cette édition. Les deux joueurs français devraient être transférés mercredi soir ou jeudi vers Mendoza, à l'ouest du pays.
C'est dans cette ville que ces derniers ont joué le test match contre l'Argentine samedi après-midi. Les deux joueurs sont visés par une plainte pour viol, qui a été déposée contre eux dimanche et portant sur une agression sexuelle qui aurait eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche.

La déclaration de la victime présumée, recueillie par le parquet a été « longue et détaillée » a rapporté la procureure générale de Mendoza, Daniela Chaler. La victime a également été examinée par une médecin légiste qui aurait pu constater des blessures compatibles avec son récit.
D'après une source du ministère public, Hugo Auradou et Oscar Jegou pourraient être mis en examen pour « viol aggravé par l'intervention de deux personnes » rapidement après leur arrivée à Mendoza, sur la base des déclarations de la victime présumée et d'autres éléments.

Au regard des peines encourues pour ce type de délit en Argentine, qui peuvent aller de 8 à 20 ans de détention, la prison préventive pourrait être requise. En cas d'ouverture d'un procès, ce qui interviendrait dans un deuxième temps si les éléments sont jugés suffisants par le juge chargé de l'affaire, il pourrait intervenir dans plusieurs mois.

Début mars, trois joueurs de football du club de Velez Sarsfield, en déplacement pour un match joué à Tucuman, dans le nord du pays, avaient été mis en examen dans le cadre d'une plainte similaire d'abus sexuel à leur hôtel. La victime présumée était alors une journaliste locale. Les joueurs, détenus à domicile dans une résidence de Tucuman dans un premier temps, ont finalement obtenu leur libération sous contrôle judiciaire, mi-juin, en attendant leur procès qui n'a toujours pas eu lieu.

Anaïs Dubois, à Mendoza

Mouais, ça va finir en parole contre parole, car soyons honnêtes, des relations sexuelles tout à fait libres et consenties mais où la violence (dans une certaine mesure évidemment) fait partie du "jeu", ça existe aussi.

De même que des étrangers qui se font "piéger" par des locaux suite à une relation sexuelle, ça arrive aussi. Dans une de mes précédentes expériences pro où nous avions des déplacements sur des usines parfois implantées dans des pays "difficiles" (Tadjikistan, Mozambique, Afrique du Sud...), nous étions avertis de ces pratiques et des risques associés.

Tout ceci n'enlève rien au fait qu'il y a une victime présumée, qu'il faut bien sûr considérer son témoignage, et que chaque version devra être écoutée et analysée équitablement.

J'espère juste que l'enquête sera réalisée de manière impartiale malgré un contexte particulier. On parle de faits graves et de peines très lourdes, donc il ne faut pas qu'il y ait d'erreurs, d'approximations, de raccourcis ou de magouilles, des deux côtés.

Switch a écrit:Mouais, ça va finir en parole contre parole, car soyons honnêtes, des relations sexuelles tout à fait libres et consenties mais où la violence (dans une certaine mesure évidemment) fait partie du "jeu", ça existe aussi.

De même que des étrangers qui se font "piéger" par des locaux suite à une relation sexuelle, ça arrive aussi. Dans une de mes précédentes expériences pro où nous avions des déplacements sur des usines parfois implantées dans des pays "difficiles" (Tadjikistan, Mozambique, Afrique du Sud...), nous étions avertis de ces pratiques et des risques associés.

Tout ceci n'enlève rien au fait qu'il y a une victime présumée, qu'il faut bien sûr considérer son témoignage, et que chaque version devra être écoutée et analysée équitablement.

J'espère juste que l'enquête sera réalisée de manière impartiale malgré un contexte particulier. On parle de faits graves et de peines très lourdes, donc il ne faut pas qu'il y ait d'erreurs, d'approximations, de raccourcis ou de magouilles, des deux côtés.

Les deux joueurs avancent qu'il n'y a pas eu de pratiques violentes. La victime présumée semble présenter des traces (plaies, bleus ou autres). Si ça a été fait avec les mains, il y aura des traces génétiques. Si non reconductible aux deux joueurs, ça peut avoir été fait par quelqu'un d'extérieur et accréditerait la thèse du piégeage. On a heureusement des outils technologiques actuellement pour dépasser un peu le parole contre parole. On va laisser la justice argentine faire son travail. En étant sous les projecteurs des médias, on peut escompter un travail honnête.

krahknardz a écrit:

Switch a écrit:Mouais, ça va finir en parole contre parole, car soyons honnêtes, des relations sexuelles tout à fait libres et consenties mais où la violence (dans une certaine mesure évidemment) fait partie du "jeu", ça existe aussi.

De même que des étrangers qui se font "piéger" par des locaux suite à une relation sexuelle, ça arrive aussi. Dans une de mes précédentes expériences pro où nous avions des déplacements sur des usines parfois implantées dans des pays "difficiles" (Tadjikistan, Mozambique, Afrique du Sud...), nous étions avertis de ces pratiques et des risques associés.

Tout ceci n'enlève rien au fait qu'il y a une victime présumée, qu'il faut bien sûr considérer son témoignage, et que chaque version devra être écoutée et analysée équitablement.

J'espère juste que l'enquête sera réalisée de manière impartiale malgré un contexte particulier. On parle de faits graves et de peines très lourdes, donc il ne faut pas qu'il y ait d'erreurs, d'approximations, de raccourcis ou de magouilles, des deux côtés.

Les deux joueurs avancent qu'il n'y a pas eu de pratiques violentes. La victime présumée semble présenter des traces (plaies, bleus ou autres). Si ça a été fait avec les mains, il y aura des traces génétiques. Si non reconductible aux deux joueurs, ça peut avoir été fait par quelqu'un d'extérieur et accréditerait la thèse du piégeage. On a heureusement des outils technologiques actuellement pour dépasser un peu le parole contre parole. On va laisser la justice argentine faire son travail. En étant sous les projecteurs des médias, on peut escompter un travail honnête.

Et l'avantage c'est qu'elle a été oscultée par un médecin légiste, donc ce n'est pas juste "parole contre parole" (qui arrive quand des femmes portent plainte plus tard) la il y aura comme tu le dis des éléments tangibles qui vont accréditer ou non la plainte de la victime.

Je reste encore sans voix sur les circonstances de cette « virée ». Déjà pour moi cette tournée post coupe du monde , clôturant une saison exténuante n’avait pour moi aucun sens. On va me dire les finances de la FFR sont exsangues , m’étonnerais que 3 matchs contre Argentine et Uruguay renflouent la fédération . Tour d’horizon des joueurs , pas convaincu non plus, mais je peux l’entendre .
Mais alors la ou je reste coi c’est sur les points suivants. Donc Galthie autorise des joueurs entre 2 matchs à « sortir » . Responsabilité qu’ils disent . Et il n’y a pas un membre ou 2 du staff qui partage ce moment? On laisse des jeunes de 20/25 ans « gérer » le timing de la soirée? Ce qui me fait rire ce sont les discours des anciens internationaux tout au long de l’année sur les qualités de cette nouvelle génération !! Ils sont plus murs que nous , ils comprennent tout plus vite, ils sont hermétiques à la pression qui leur coule dessus, ah oui ça c’est clair ils sont à un level d’autonomie assez remarquable. Surtout qu’après un match j’ai pas besoin d’expliquer à ceux qui ont joué ici que après 2/3 bières ou 2/3 verres de vins on monte vite dans les tours. Et encore plus quand on est sportif de haut niveau. Il y a quelques années les AB gros amateurs de bières avaient fait le ménage concernant les après matchs , je crois que c’était sous Graham Henry après la défaite contre les bleus .
Ce temps est maintenant arrivé chez nous . Cette affaire va nous faire énormément de mal. J’espère que le staff fera son auto critique mais j’en doute un peu .

densnewzealand a écrit:Je reste encore sans voix sur les circonstances de cette « virée ». Déjà pour moi cette tournée post coupe du monde , clôturant une saison exténuante n’avait pour moi aucun sens. On va me dire les finances de la FFR sont exsangues , m’étonnerais que 3 matchs contre Argentine et Uruguay renflouent la fédération . Tour d’horizon des joueurs , pas convaincu non plus, mais je peux l’entendre .
Mais alors la ou je reste coi c’est sur les points suivants. Donc Galthie autorise des joueurs entre 2 matchs à « sortir » . Responsabilité qu’ils disent . Et il n’y a pas un membre ou 2 du staff qui partage ce moment? On laisse des jeunes de 20/25 ans « gérer » le timing de la soirée? Ce qui me fait rire ce sont les discours des anciens internationaux tout au long de l’année sur les qualités de cette nouvelle génération !! Ils sont plus murs que nous , ils comprennent tout plus vite, ils sont hermétiques à la pression qui leur coule dessus, ah oui ça c’est clair ils sont à un level d’autonomie assez remarquable. Surtout qu’après un match j’ai pas besoin d’expliquer à ceux qui ont joué ici que après 2/3 bières ou 2/3 verres de vins on monte vite dans les tours. Et encore plus quand on est sportif de haut niveau. Il y a quelques années les AB gros amateurs de bières avaient fait le ménage concernant les après matchs , je crois que c’était sous Graham Henry après la défaite contre les bleus .
Ce temps est maintenant arrivé chez nous . Cette affaire va nous faire énormément de mal. J’espère que le staff fera son auto critique mais j’en doute un peu .

Visiblement, tout le monde était bourré ou presque, sans aucun contrôle Après, si tu es un gros con latent, l'alcool révèlera juste quelle est ta nature profonde, parce que même bourré, quelqu'un d'à peu près équilibré, ne fera pas n'importe quelles conneries inqualifiables

Ce qui n'empêche pas qu'un staff doit contrôler ses troupes, en connaissant d'abord ses hommes, notre équipe représente la France à l'international. Chapeau bas pour l'image donné par les bleus, en ce qui me concerne, Galthié est le responsable de ce fiasco et devrait en tirer les conclusions…, ou d'autres pour lui. Mais comme le fait de continuer la tournée, l'histoire des finances prendra certainement le pas sur les saines décisions qui devraient être prises…

nadoloubb a écrit:

krahknardz a écrit:

Switch a écrit:Mouais, ça va finir en parole contre parole, car soyons honnêtes, des relations sexuelles tout à fait libres et consenties mais où la violence (dans une certaine mesure évidemment) fait partie du "jeu", ça existe aussi.

De même que des étrangers qui se font "piéger" par des locaux suite à une relation sexuelle, ça arrive aussi. Dans une de mes précédentes expériences pro où nous avions des déplacements sur des usines parfois implantées dans des pays "difficiles" (Tadjikistan, Mozambique, Afrique du Sud...), nous étions avertis de ces pratiques et des risques associés.

Tout ceci n'enlève rien au fait qu'il y a une victime présumée, qu'il faut bien sûr considérer son témoignage, et que chaque version devra être écoutée et analysée équitablement.

J'espère juste que l'enquête sera réalisée de manière impartiale malgré un contexte particulier. On parle de faits graves et de peines très lourdes, donc il ne faut pas qu'il y ait d'erreurs, d'approximations, de raccourcis ou de magouilles, des deux côtés.

Les deux joueurs avancent qu'il n'y a pas eu de pratiques violentes. La victime présumée semble présenter des traces (plaies, bleus ou autres). Si ça a été fait avec les mains, il y aura des traces génétiques. Si non reconductible aux deux joueurs, ça peut avoir été fait par quelqu'un d'extérieur et accréditerait la thèse du piégeage. On a heureusement des outils technologiques actuellement pour dépasser un peu le parole contre parole. On va laisser la justice argentine faire son travail. En étant sous les projecteurs des médias, on peut escompter un travail honnête.

Et l'avantage c'est qu'elle a été oscultée par un médecin légiste, donc ce n'est pas juste "parole contre parole" (qui arrive quand des femmes portent plainte plus tard) la il y aura comme tu le dis des éléments tangibles qui vont accréditer ou non la plainte de la victime.

Espérons-le vivement !

Bernard Laporte critique la gestion de la FFR : l’hôpital qui se moque de la charité ?

https://www.xvovalie.com/bernard-laporte-critique-la-gestion-de-la-ffr-lhopital-qui-se-moque-de-la-charite/

Le responsable de ce fiasco, c'est Galthié, un mec qui a échoué avec l'EDF, et qui devrait déjà être parti si ce de Laporte ne lui avait pas ficelé un contrat en béton, comme on mine un terrain avant de battre en retraite.

Ben, la mine, elle a explosé…, on pensait que ce serait sportivement, ça s'est passé d'une autre façon ! Mais outre le fait que Laporte ferait mieux de fermer sa gueule, Galthié doit quitter ses fonctions, un chef, ça assume les conneries de ses troupes, particulièrement dans des circonstances aussi cataclysmiques !

Hugo Auradou et Oscar Jegou en route vers Mendoza pour être entendus par les autorités locales

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Hugo-auradou-et-oscar-jegou-en-route-vers-mendoza-pour-etre-entendus-par-les-autorites-locales/1481551

Scalp a écrit:

https://x.com/GauthierBaudin/status/1811006774578671844

Je le pensais plus intelligent que ça mais visiblement il est aussi c*n que malhonnête et détestable. Belle perf ! Allez Bernie, écrase et dégage.

nadoloubb a écrit:

krahknardz a écrit:

Switch a écrit:Mouais, ça va finir en parole contre parole, car soyons honnêtes, des relations sexuelles tout à fait libres et consenties mais où la violence (dans une certaine mesure évidemment) fait partie du "jeu", ça existe aussi.

De même que des étrangers qui se font "piéger" par des locaux suite à une relation sexuelle, ça arrive aussi. Dans une de mes précédentes expériences pro où nous avions des déplacements sur des usines parfois implantées dans des pays "difficiles" (Tadjikistan, Mozambique, Afrique du Sud...), nous étions avertis de ces pratiques et des risques associés.

Tout ceci n'enlève rien au fait qu'il y a une victime présumée, qu'il faut bien sûr considérer son témoignage, et que chaque version devra être écoutée et analysée équitablement.

J'espère juste que l'enquête sera réalisée de manière impartiale malgré un contexte particulier. On parle de faits graves et de peines très lourdes, donc il ne faut pas qu'il y ait d'erreurs, d'approximations, de raccourcis ou de magouilles, des deux côtés.

Les deux joueurs avancent qu'il n'y a pas eu de pratiques violentes. La victime présumée semble présenter des traces (plaies, bleus ou autres). Si ça a été fait avec les mains, il y aura des traces génétiques. Si non reconductible aux deux joueurs, ça peut avoir été fait par quelqu'un d'extérieur et accréditerait la thèse du piégeage. On a heureusement des outils technologiques actuellement pour dépasser un peu le parole contre parole. On va laisser la justice argentine faire son travail. En étant sous les projecteurs des médias, on peut escompter un travail honnête.

Et l'avantage c'est qu'elle a été oscultée par un médecin légiste, donc ce n'est pas juste "parole contre parole" (qui arrive quand des femmes portent plainte plus tard) la il y aura comme tu le dis des éléments tangibles qui vont accréditer ou non la plainte de la victime.

Oui, exactement. Si on a affaire à des gangsters qui essaient de plumer des gringos, ça pourra se démontrer par le biais des traces génétiques, qui seront forcément absentes des plaies de la victime présumée (puisqu'infligées plus tard après un rapport consenti). Si on trouve des traces d'ADN des deux joueurs, par contre, ce sera la taule pour eux, aucune pitié.
Il est excessivement important que les victimes de viol soient examinées immédiatement après les faits. Même si c'est horriblement difficile pour elles, je le conçois bien.

Confirmation que même après une mêlée, pas possible de la reprendre après un bras cassé.

ils ont surement des copines en France , même si ils sont innocentés (et je l'espère) , cela vas laisser des traces

Petit match contre l'Uruguay, 2 essais persos de Couilloud, un jeu de ligne nul, système Galthier, même dans un match sans enjeu.
Laclayat blessé, une fois de plus, pas chanceux le garçon.
Nul les deux commentateurs.

Affaire Jegou – Auradou. "Elle a des morsures, des griffures dans le dos" : l’avocate de la victime raconte une nuit d’enfer

https://www.rugbyrama.fr/2024/07/11/affaire-jegou-auradou-elle-a-des-morsures-des-griffures-dans-le-dos-lavocate-de-la-victime-raconte-une-nuit-denfer-12075670.php

Affaire Auradou-Jégou : les jeunes joueurs pris dans un piège ? On est en droit de se poser la question non ?

https://www.xvovalie.com/affaire-auradou-jegou-les-jeunes-joueurs-pris-dans-un-piege-on-est-en-droit-de-se-poser-la-question-non/

Florian Grill, président de la FFR : « Faire avancer les choses le plus vite possible sans griller d'étapes »

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Florian-grill-president-de-la-ffr-faire-avancer-les-choses-le-plus-vite-possible-sans-griller-d-etapes/1481676

Scalp a écrit:Affaire Jegou – Auradou. "Elle a des morsures, des griffures dans le dos" : l’avocate de la victime raconte une nuit d’enfer

https://www.rugbyrama.fr/2024/07/11/affaire-jegou-auradou-elle-a-des-morsures-des-griffures-dans-le-dos-lavocate-de-la-victime-raconte-une-nuit-denfer-12075670.php

Étonnant en effet que les images de vidéo surveillance n'aient pas encore filtré. Dans l'affaire DSK, on avait rapidement eu des images.

Les faits sont très graves, et les images de l'arrivée puis du départ de la présumée victime pourraient lever ou au contraire amener des doutes.

Le récit de la jeune femme est quand même glaçant... Espérons que la vérité soit faite correctement et rapidement.

J'ai aussi une pensée pour les familles et les proches des deux joueurs. Car qu'ils soient coupables ou innocents, ils seront durablement marqués.

Les détails de cette affaire deviennent carrément sordides ...il est même étonnant qu'ils soient si directement étalés en place publique alors même que les deux français ne sont pas officiellement inculpés.
A final si Jegou et Auradou doivent répondre de leurs actes et peut-être en subir leurs lourdes conséquences je n'imagine pas qu'un grand ménage ne soit fait au sein du staff et de la fédé car ce sont eux qui portent la responsabilité de l'image du XV de France.
Grill parle d'un management basé sur l'"autonomie et le responsabilisation" ce qui me semble totalement aberrant dans le cadre d'une tournée comptant de nombreux joueurs dont c'est la première expérience internationale.

Switch a écrit:

Scalp a écrit:Affaire Jegou – Auradou. "Elle a des morsures, des griffures dans le dos" : l’avocate de la victime raconte une nuit d’enfer

https://www.rugbyrama.fr/2024/07/11/affaire-jegou-auradou-elle-a-des-morsures-des-griffures-dans-le-dos-lavocate-de-la-victime-raconte-une-nuit-denfer-12075670.php

Étonnant en effet que les images de vidéo surveillance n'aient pas encore filtré. Dans l'affaire DSK, on avait rapidement eu des images.

Les faits sont très graves, et les images de l'arrivée puis du départ de la présumée victime pourraient lever ou au contraire amener des doutes.

Le récit de la jeune femme est quand même glaçant... Espérons que la vérité soit faite correctement et rapidement.

J'ai aussi une pensée pour les familles et les proches des deux joueurs. Car qu'ils soient coupables ou innocents, ils seront durablement marqués.

Si ce récit exact, je serais heureux de les savoir croupir au milieu des rats.