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Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.espn.com/rugby/matchstats?gameId=596187&league=164205
Scalp- Team modo
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Dauby a écrit:Franchement, si le Président ne déconne pas, NOUS avons une ligne de 3/4 de FEU !
2-3 modif sur les 8 et nous sommes en Final du Top 14 !
On doit être présent au Matmut, au moins
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Scalp- Team modo
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Scalp a écrit:Dauby a écrit:Franchement, si le Président ne déconne pas, NOUS avons une ligne de 3/4 de FEU !
2-3 modif sur les 8 et nous sommes en Final du Top 14 !
On doit être présent au Matmut, au moins
JAMAIS !
Une Horreur ce stade !!!!
Dauby- J'aime l'Union beaucoup
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Dauby a écrit:Scalp a écrit:Dauby a écrit:Franchement, si le Président ne déconne pas, NOUS avons une ligne de 3/4 de FEU !
2-3 modif sur les 8 et nous sommes en Final du Top 14 !
On doit être présent au Matmut, au moins
JAMAIS !
Une Horreur ce stade !!!!
Oui, je suis d'accord, sauf que les demi-finales de top 14 se dérouleront cette saison au Matmut atlantique
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Scalp- Team modo
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
La troisième mi-temps a été difficile... ouf
Scalp, merde t'as vu dupont était dans les tribunes !
y a un truc qui s'est passé dans ce match que je n'ai pas ressenti contre la Namibie.
Peut être une grande joie de pratiquer un rugby qui nous ressemble, beaucoup de chaleur...
ça faisait longtemps.
bravo aux joueurs de l'ubb qui incarne cet état d'esprit que l'on attendait presque désespérément...
il y aura un avant et un après malgré la faible opposition de nos amis.
Les italiens nous ont permis de progresser sur nos 2 dernières rencontres et il faut les remercier.
Jalibert, je t'aime parce que c'est ça que j'attendais de toi. tu nous a apporté la lumière.
Vive le collectif.
Scalp, merde t'as vu dupont était dans les tribunes !
y a un truc qui s'est passé dans ce match que je n'ai pas ressenti contre la Namibie.
Peut être une grande joie de pratiquer un rugby qui nous ressemble, beaucoup de chaleur...
ça faisait longtemps.
bravo aux joueurs de l'ubb qui incarne cet état d'esprit que l'on attendait presque désespérément...
il y aura un avant et un après malgré la faible opposition de nos amis.
Les italiens nous ont permis de progresser sur nos 2 dernières rencontres et il faut les remercier.
Jalibert, je t'aime parce que c'est ça que j'attendais de toi. tu nous a apporté la lumière.
Vive le collectif.
SEB34- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Ce qui m'a fait plaisir:
La Sobriété de Lucu dans ses passes et le Fight de Jalibert pour ses passes.
On parle de D/NTK, mais je crois que ces deux joueurs ont prouvés ce soir, une belle connivence.
A Mister G d'en tirer les conclusions.
Comme lu dans le Midol, le Froid et le Feu.
Nous l'avons eu ce soir !
La Sobriété de Lucu dans ses passes et le Fight de Jalibert pour ses passes.
On parle de D/NTK, mais je crois que ces deux joueurs ont prouvés ce soir, une belle connivence.
A Mister G d'en tirer les conclusions.
Comme lu dans le Midol, le Froid et le Feu.
Nous l'avons eu ce soir !
Dauby- J'aime l'Union beaucoup
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
SEB34 a écrit:La troisième mi-temps a été difficile... ouf
Scalp, merde t'as vu dupont était dans les tribunes !
y a un truc qui s'est passé dans ce match que je n'ai pas ressenti contre la Namibie.
Peut être une grande joie de pratiquer un rugby qui nous ressemble, beaucoup de chaleur...
ça faisait longtemps.
bravo aux joueurs de l'ubb qui incarne cet état d'esprit que l'on attendait presque désespérément...
il y aura un avant et un après malgré la faible opposition de nos amis.
Les italiens nous ont permis de progresser sur nos 2 dernières rencontres et il faut les remercier.
Jalibert, je t'aime parce que c'est ça que j'attendais de toi. tu nous a apporté la lumière.
Vive le collectif.
Dupont a pu se rendre compte que s'il joue de concert avec jalibert, on aura la meilleure charnière du monde
J'aimerais tellement que ces deux-là s'entendent à la perfection contre les Boks et que surtout le staff ne planque pas Jalibert à l'arrière du terrain. Pour gêner les Boks il va aussi falloir mettre de la vitesse, si le danger peu venir de Dupont et de Jalibert, ça créera plus d'incertitude pour leur défense, et ça provoquera aussi probablement des fautes, donc des pénalités, ce qui peut s'avérer décisif...
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Scalp- Team modo
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-oeil-de-renaud-bourel-apres-la-victoire-des-bleus-contre-l-italie-coeurs-de-lion/1423934
L'oeil de Renaud Bourel, après la victoire des Bleus contre l'Italie : « Coeurs de lion »
Sérieuse, appliquée et sans pitié, l'équipe de France a détruit l'Italie (60-7) et préparé son quart de finale de Coupe du monde de la meilleure des manières.
Renaud Bourel, à Décines (Rhône)
Quelle idée aussi de leur laisser tout ce temps pour refaire du jus ! Quinze jours studieux à Aix entrecoupés de balades en famille, en bateau, parties de pêche et records de vitesse. Il était temps de renouer avec elle, avec cette équipe de France sur laquelle reposent les espoirs de liesse de tout un pays. Alors pour ajouter de l'eau au moulin de ses promesses, elle a choisi de ne pas faire dans la demi-mesure, de ne pas laisser respirer une formation italienne qui, de toute façon, n'a pas les poumons pour batailler à ses altitudes.
Ces Bleus-là, quand ils sont aussi méticuleux et consciencieux, prennent avec et sans contact, et le tarif reste sévère. C'est aussi la marque des grandes équipes. Parce qu'il n'existe aucune raison légale de s'extasier devant des Néo-Zélandais qui passent 96 puis 70 points à leurs adversaires, se dire qu'ils sont enfin de retour au sommet, et de ne pas penser la même chose d'un quinze tricolore aussi souverain. Ce qui fut épatant dans la prestation de Décines, c'est à quel point ses idées furent claires et dès le départ. Toute la semaine l'encadrement, qui savait sa petite bande largement au-dessus, a tout de même martelé la nécessité de rester concentré. Il a administré des consignes de « confiance », tout en restant « prudent ». Un mantra observé à la lettre et qui a conduit à la démonstration de vendredi soir. Un authentique bon match, avant d'attaquer le très gros morceau, qui a offert en bonus la garantie de deux jours de repos mérités et d'une semaine de travail sans méningite particulière sinon le mini-suspense autour de la participation ou non d'Antoine Dupont au quart de finale.
Malgré l'ampleur du score, les huit essais à un, il ne faut pas minimiser la qualité de cette performance. Parce que dans son histoire, l'équipe de France n'a pas toujours été aussi sûre d'elle, de son projet, de ses forces, capable de combler une lacune d'un match à l'autre avec une telle autorité. On attendait des Italiens revanchards, piqués par la rouste reçue une semaine plus tôt face aux All Blacks (96-17) ? Il a fallu 2 minutes à peine à Charles Ollivon et ses partenaires pour ouvrir le score par Damian Penaud, au bout d'une action d'envergure, patiente et appliquée, ponctuée de plusieurs gestes de classe, dont cette passe magique après contact de Cameron Woki, qui aura fait une différence définitive sur le coup.
Rassurés avant un combat d'une autre mesure dimanche
Le reste de la soirée aura ressemblé à un long calvaire pour des Transalpins pris dans tous les secteurs mais surtout dans la dimension physique. Forts de leur domination, les Bleus avaient décidé de tenir le ballon - enfin -, d'imposer leur tempo et leur rugby. Un choix dicté par une occupation outrageuse et une domination athlétique irrésistible. Une stratégie de harcèlement particulièrement efficace autour des points de rencontre où les avants tricolores, montés sur ressorts, relevaient des ballons à la vitesse de l'éclair pour s'infiltrer dans l'axe, avancer, puis déclencher au large. Sur ses talons en permanence, la défense italienne ne pouvait que subir, concédant 16 pénalités, 10 brèches dans son premier rideau pour 21 plaqueurs battus.
C'est évidemment beaucoup trop face à l'une des nations les plus efficaces du plateau international face aux barres ou sur les ballons de récupération. Du petit bois pour alimenter de belles histoires au passage, à l'image de l'insatiable Penaud, encore auteur d'un doublé (2e, 38e), qui émarge aujourd'hui à 35 essais en sélection, soit à trois unités de l'icône Serge Blanco. Ou l'autre doublé de Yoram Moefana (64e, 75e), entré au centre à la place de Gaël Fickou (62e). Un boost d'estime de soi pour ce garçon si doué dont on comprenait difficilement pourquoi il n'avait pas plus confiance en ses moyens quand sa chance lui était donnée.
Cette soirée fut belle et un peu triste en même temps. Belle comme une symphonie parfaitement récitée. Comme l'OL Stadium qui a battu la cadence au rythme des dernières mesures de Fratelli d'Italia parce qu'il avait envie de s'amuser avant de s'égosiller, et que les inquiétudes viendraient bien assez vite les semaines suivantes. Triste, aussi, comme une Nazionale qui rêve, depuis des lustres, de jouer dans la cour des grands et termine sa Coupe du monde sur une note franchement amère. Ce résultat sec en dit plus long sur son désarroi que sur une nullité mesurable et l'on répétera une fois de plus, ici, que la stagnation, pardon, la détérioration du rugby italien n'est une bonne nouvelle pour personne. Pour l'équipe de France, tout ne fait finalement que commencer. Elle n'a pas eu un aperçu concret de ce qui l'attend dimanche prochain. S'il s'agit bien de l'Afrique du Sud, le défi sera d'une autre nature dans sa dimension, sa brutalité. Mais elle a pu se rassurer sur son jeu, sa capacité à varier, à surprendre, sur sa santé éclatante. On oserait presque dire sans transpirer.
L'oeil de Renaud Bourel, après la victoire des Bleus contre l'Italie : « Coeurs de lion »
Sérieuse, appliquée et sans pitié, l'équipe de France a détruit l'Italie (60-7) et préparé son quart de finale de Coupe du monde de la meilleure des manières.
Renaud Bourel, à Décines (Rhône)
Quelle idée aussi de leur laisser tout ce temps pour refaire du jus ! Quinze jours studieux à Aix entrecoupés de balades en famille, en bateau, parties de pêche et records de vitesse. Il était temps de renouer avec elle, avec cette équipe de France sur laquelle reposent les espoirs de liesse de tout un pays. Alors pour ajouter de l'eau au moulin de ses promesses, elle a choisi de ne pas faire dans la demi-mesure, de ne pas laisser respirer une formation italienne qui, de toute façon, n'a pas les poumons pour batailler à ses altitudes.
Ces Bleus-là, quand ils sont aussi méticuleux et consciencieux, prennent avec et sans contact, et le tarif reste sévère. C'est aussi la marque des grandes équipes. Parce qu'il n'existe aucune raison légale de s'extasier devant des Néo-Zélandais qui passent 96 puis 70 points à leurs adversaires, se dire qu'ils sont enfin de retour au sommet, et de ne pas penser la même chose d'un quinze tricolore aussi souverain. Ce qui fut épatant dans la prestation de Décines, c'est à quel point ses idées furent claires et dès le départ. Toute la semaine l'encadrement, qui savait sa petite bande largement au-dessus, a tout de même martelé la nécessité de rester concentré. Il a administré des consignes de « confiance », tout en restant « prudent ». Un mantra observé à la lettre et qui a conduit à la démonstration de vendredi soir. Un authentique bon match, avant d'attaquer le très gros morceau, qui a offert en bonus la garantie de deux jours de repos mérités et d'une semaine de travail sans méningite particulière sinon le mini-suspense autour de la participation ou non d'Antoine Dupont au quart de finale.
Malgré l'ampleur du score, les huit essais à un, il ne faut pas minimiser la qualité de cette performance. Parce que dans son histoire, l'équipe de France n'a pas toujours été aussi sûre d'elle, de son projet, de ses forces, capable de combler une lacune d'un match à l'autre avec une telle autorité. On attendait des Italiens revanchards, piqués par la rouste reçue une semaine plus tôt face aux All Blacks (96-17) ? Il a fallu 2 minutes à peine à Charles Ollivon et ses partenaires pour ouvrir le score par Damian Penaud, au bout d'une action d'envergure, patiente et appliquée, ponctuée de plusieurs gestes de classe, dont cette passe magique après contact de Cameron Woki, qui aura fait une différence définitive sur le coup.
Rassurés avant un combat d'une autre mesure dimanche
Le reste de la soirée aura ressemblé à un long calvaire pour des Transalpins pris dans tous les secteurs mais surtout dans la dimension physique. Forts de leur domination, les Bleus avaient décidé de tenir le ballon - enfin -, d'imposer leur tempo et leur rugby. Un choix dicté par une occupation outrageuse et une domination athlétique irrésistible. Une stratégie de harcèlement particulièrement efficace autour des points de rencontre où les avants tricolores, montés sur ressorts, relevaient des ballons à la vitesse de l'éclair pour s'infiltrer dans l'axe, avancer, puis déclencher au large. Sur ses talons en permanence, la défense italienne ne pouvait que subir, concédant 16 pénalités, 10 brèches dans son premier rideau pour 21 plaqueurs battus.
C'est évidemment beaucoup trop face à l'une des nations les plus efficaces du plateau international face aux barres ou sur les ballons de récupération. Du petit bois pour alimenter de belles histoires au passage, à l'image de l'insatiable Penaud, encore auteur d'un doublé (2e, 38e), qui émarge aujourd'hui à 35 essais en sélection, soit à trois unités de l'icône Serge Blanco. Ou l'autre doublé de Yoram Moefana (64e, 75e), entré au centre à la place de Gaël Fickou (62e). Un boost d'estime de soi pour ce garçon si doué dont on comprenait difficilement pourquoi il n'avait pas plus confiance en ses moyens quand sa chance lui était donnée.
Cette soirée fut belle et un peu triste en même temps. Belle comme une symphonie parfaitement récitée. Comme l'OL Stadium qui a battu la cadence au rythme des dernières mesures de Fratelli d'Italia parce qu'il avait envie de s'amuser avant de s'égosiller, et que les inquiétudes viendraient bien assez vite les semaines suivantes. Triste, aussi, comme une Nazionale qui rêve, depuis des lustres, de jouer dans la cour des grands et termine sa Coupe du monde sur une note franchement amère. Ce résultat sec en dit plus long sur son désarroi que sur une nullité mesurable et l'on répétera une fois de plus, ici, que la stagnation, pardon, la détérioration du rugby italien n'est une bonne nouvelle pour personne. Pour l'équipe de France, tout ne fait finalement que commencer. Elle n'a pas eu un aperçu concret de ce qui l'attend dimanche prochain. S'il s'agit bien de l'Afrique du Sud, le défi sera d'une autre nature dans sa dimension, sa brutalité. Mais elle a pu se rassurer sur son jeu, sa capacité à varier, à surprendre, sur sa santé éclatante. On oserait presque dire sans transpirer.
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Scalp- Team modo
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Scalp a écrit:SEB34 a écrit:La troisième mi-temps a été difficile... ouf
Scalp, merde t'as vu dupont était dans les tribunes !
y a un truc qui s'est passé dans ce match que je n'ai pas ressenti contre la Namibie.
Peut être une grande joie de pratiquer un rugby qui nous ressemble, beaucoup de chaleur...
ça faisait longtemps.
bravo aux joueurs de l'ubb qui incarne cet état d'esprit que l'on attendait presque désespérément...
il y aura un avant et un après malgré la faible opposition de nos amis.
Les italiens nous ont permis de progresser sur nos 2 dernières rencontres et il faut les remercier.
Jalibert, je t'aime parce que c'est ça que j'attendais de toi. tu nous a apporté la lumière.
Vive le collectif.
Dupont a pu se rendre compte que s'il joue de concert avec jalibert, on aura la meilleure charnière du monde
J'aimerais tellement que ces deux-là s'entendent à la perfection contre les Boks et que surtout le staff ne planque pas Jalibert à l'arrière du terrain. Pour gêner les Boks il va aussi falloir mettre de la vitesse, si le danger peu venir de Dupont et de Jalibert, ça créera plus d'incertitude pour leur défense, et ça provoquera aussi probablement des fautes, donc des pénalités, ce qui peut s'avérer décisif...
Le souci est que Dupont ne joue pas avec NTK. Il joue pour lui-même.
Pourquoi le ferait-il avec JaJa?
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Dauby a écrit:Scalp a écrit:SEB34 a écrit:La troisième mi-temps a été difficile... ouf
Scalp, merde t'as vu dupont était dans les tribunes !
y a un truc qui s'est passé dans ce match que je n'ai pas ressenti contre la Namibie.
Peut être une grande joie de pratiquer un rugby qui nous ressemble, beaucoup de chaleur...
ça faisait longtemps.
bravo aux joueurs de l'ubb qui incarne cet état d'esprit que l'on attendait presque désespérément...
il y aura un avant et un après malgré la faible opposition de nos amis.
Les italiens nous ont permis de progresser sur nos 2 dernières rencontres et il faut les remercier.
Jalibert, je t'aime parce que c'est ça que j'attendais de toi. tu nous a apporté la lumière.
Vive le collectif.
Dupont a pu se rendre compte que s'il joue de concert avec jalibert, on aura la meilleure charnière du monde
J'aimerais tellement que ces deux-là s'entendent à la perfection contre les Boks et que surtout le staff ne planque pas Jalibert à l'arrière du terrain. Pour gêner les Boks il va aussi falloir mettre de la vitesse, si le danger peu venir de Dupont et de Jalibert, ça créera plus d'incertitude pour leur défense, et ça provoquera aussi probablement des fautes, donc des pénalités, ce qui peut s'avérer décisif...
Le souci est que Dupont ne joue pas avec NTK. Il joue pour lui-même.
Pourquoi le ferait-il avec JaJa?
Je pense que c'est un joueur intelligent, qui veut gagner la coupe du monde, dimanche 15, on sera au pied du mur, face à une énorme adversité, on aura besoin de tous les talents, alors j'y crois !
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://x.com/MattJalibert/status/1710424092786995372?s=20
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Je n'ai pu voir que les 20 dernières minutes, mais niveau puissance il n'y avait pas photo. Finalement 6 essais sur 8 marqués par des gars de l'UBB.
krahknardz- Team modo
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Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Re: Coupe du Monde 2023 en France
Scalp a écrit:SEB34 a écrit:La troisième mi-temps a été difficile... ouf
Scalp, merde t'as vu dupont était dans les tribunes !
y a un truc qui s'est passé dans ce match que je n'ai pas ressenti contre la Namibie.
Peut être une grande joie de pratiquer un rugby qui nous ressemble, beaucoup de chaleur...
ça faisait longtemps.
bravo aux joueurs de l'ubb qui incarne cet état d'esprit que l'on attendait presque désespérément...
il y aura un avant et un après malgré la faible opposition de nos amis.
Les italiens nous ont permis de progresser sur nos 2 dernières rencontres et il faut les remercier.
Jalibert, je t'aime parce que c'est ça que j'attendais de toi. tu nous a apporté la lumière.
Vive le collectif.
Dupont a pu se rendre compte que s'il joue de concert avec jalibert, on aura la meilleure charnière du monde
J'aimerais tellement que ces deux-là s'entendent à la perfection contre les Boks et que surtout le staff ne planque pas Jalibert à l'arrière du terrain. Pour gêner les Boks il va aussi falloir mettre de la vitesse, si le danger peu venir de Dupont et de Jalibert, ça créera plus d'incertitude pour leur défense, et ça provoquera aussi probablement des fautes, donc des pénalités, ce qui peut s'avérer décisif...
je souhaite évidemment que tu es raison.
Ce qui compte est que Dupont ait pu voir de son oeil beurré qu'il s'est passé quelque chose : Un déclic et il n'était pas sur la pelouse.
On verra sa réaction sous peu et aussi celle de son père adoptif quand à la prestation d'une charnière toute acquise à la cause de l'équipe.
Et c'est bien ça l'essentiel.
SEB34- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
SEB34 a écrit:Scalp a écrit:SEB34 a écrit:La troisième mi-temps a été difficile... ouf
Scalp, merde t'as vu dupont était dans les tribunes !
y a un truc qui s'est passé dans ce match que je n'ai pas ressenti contre la Namibie.
Peut être une grande joie de pratiquer un rugby qui nous ressemble, beaucoup de chaleur...
ça faisait longtemps.
bravo aux joueurs de l'ubb qui incarne cet état d'esprit que l'on attendait presque désespérément...
il y aura un avant et un après malgré la faible opposition de nos amis.
Les italiens nous ont permis de progresser sur nos 2 dernières rencontres et il faut les remercier.
Jalibert, je t'aime parce que c'est ça que j'attendais de toi. tu nous a apporté la lumière.
Vive le collectif.
Dupont a pu se rendre compte que s'il joue de concert avec jalibert, on aura la meilleure charnière du monde
J'aimerais tellement que ces deux-là s'entendent à la perfection contre les Boks et que surtout le staff ne planque pas Jalibert à l'arrière du terrain. Pour gêner les Boks il va aussi falloir mettre de la vitesse, si le danger peu venir de Dupont et de Jalibert, ça créera plus d'incertitude pour leur défense, et ça provoquera aussi probablement des fautes, donc des pénalités, ce qui peut s'avérer décisif...
je souhaite évidemment que tu es raison.
Ce qui compte est que Dupont ait pu voir de son oeil beurré qu'il s'est passé quelque chose : Un déclic et il n'était pas sur la pelouse.
On verra sa réaction sous peu et aussi celle de son père adoptif quand à la prestation d'une charnière toute acquise à la cause de l'équipe.
Et c'est bien ça l'essentiel.
Je suis d'accord
Donc, pour le quart, 9-10 et 3 joueurs UBB feront l'affaire !
Dauby- J'aime l'Union beaucoup
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Fickou remplacé par Mauvaka … qui a marqué 2 essais. Faites un effort les gars, mais non ils s’en cognent .Scalp a écrit:France-Italie: les notes des Bleus avec Alldritt et Penaud monstrueux, Jalibert taille patron
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/xv-de-france/france-italie-les-notes-des-bleus-avec-alldritt-et-penaud-monstrueux-jalibert-taille-patron_AV-202310060863.html
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Je suis d’accord, on connaît ses gourmandises … n’oublions pas qu’il n’avait pas joué de 3 semaines, et que c’est un gros moteur qui a besoin comme il le dit d’enchaîner . Ça promets pour dimanche prochain.Scalp a écrit:Je relativiserais un tout petit peu la très grosse prestation d'Alldritt, sur une ou deux occasions, il doit faire circuler le ballon, mais il va au contact et l'enterre, il faut qu'il sache faire des passes quand c'est nécessaire, c'est le petit bémol de la soirée de mon point de vue...
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Victorieux-avec-bonus-offensif-de-l-italie-les-bleus-se-qualifient-pour-les-quarts-de-finale-de-la-coupe-du-monde/1423901
Special dédicace UBB...
LUCULUKE a dégainé aussi vite que son ombre et JALI JUMPER a cavalé... Fingers in the nose
Réveil difficile mais heureux, je crois que je me suis fait un ischio à force de sauter devant ma télé.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Victorieux-avec-bonus-offensif-de-l-italie-les-bleus-se-qualifient-pour-les-quarts-de-finale-de-la-coupe-du-monde/1423901
Après l'apport des Toulousains en attaque il y a quelques années, voici maintenant s'ouvrir l'ère girondine.
Au loin, dans les bureaux d’une rédaction d’une grande ville d’Occitanie, on entend des cris et des pleurs…
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Dauby a écrit:Scalp a écrit:Dauby a écrit:Franchement, si le Président ne déconne pas, NOUS avons une ligne de 3/4 de FEU !
2-3 modif sur les 8 et nous sommes en Final du Top 14 !
On doit être présent au Matmut, au moins
JAMAIS !
Une Horreur ce stade !!!!
Ah ouais…
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Roberto Miopalmo a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Victorieux-avec-bonus-offensif-de-l-italie-les-bleus-se-qualifient-pour-les-quarts-de-finale-de-la-coupe-du-monde/1423901
Après l'apport des Toulousains en attaque il y a quelques années, voici maintenant s'ouvrir l'ère girondine.
Au loin, dans les bureaux d’une rédaction d’une grande ville d’Occitanie, on entend des cris et des pleurs…
Sûr que les avis (presque) unanimes et dithyrambiques qu'on lit depuis hier sur les bordelais et notamment sur Jalibert doivent mettre à mal l'égo du lobby toulousain, eux qui ont tant l'habitude d'être les seuls sur le devant de la scène, à se faire flatter.
D'une manière générale, beaucoup de supporters français en général sont aussi contents de ce vent de fraîcheur. Je regardais le match hier avec un parisien et un lyonnais, ils étaient bien contents qu'on nous serve autre chose que la soupe toulousaine habituelle, où seuls Dupont et RNT sont sempiternellement cités.
Et puis ça fait plaisir car après de longs mois à se faire railler, montrer du doigt, critiquer ou remis en question, c'est enfin un peu de (juste) reconnaissance pour nos bordelais et derrière eux, pour l'UBB.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Switch a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Victorieux-avec-bonus-offensif-de-l-italie-les-bleus-se-qualifient-pour-les-quarts-de-finale-de-la-coupe-du-monde/1423901
Après l'apport des Toulousains en attaque il y a quelques années, voici maintenant s'ouvrir l'ère girondine.
Au loin, dans les bureaux d’une rédaction d’une grande ville d’Occitanie, on entend des cris et des pleurs…
Sûr que les avis (presque) unanimes et dithyrambiques qu'on lit depuis hier sur les bordelais et notamment sur Jalibert doivent mettre à mal l'égo du lobby toulousain, eux qui ont tant l'habitude d'être les seuls sur le devant de la scène, à se faire flatter.
D'une manière générale, beaucoup de supporters français en général sont aussi contents de ce vent de fraîcheur. Je regardais le match hier avec un parisien et un lyonnais, ils étaient bien contents qu'on nous serve autre chose que la soupe toulousaine habituelle, où seuls Dupont et RNT sont sempiternellement cités.
Et puis ça fait plaisir car après de longs mois à se faire railler, montrer du doigt, critiquer ou remis en question, c'est enfin un peu de (juste) reconnaissance pour nos bordelais et derrière eux, pour l'UBB.
3 à 4 ans de boulot réduit en miette, particulièrement à vouloir insinuer dans les esprits que Jalibert, ce sale gosse, était un chien fou…, effectivement, ça doit être dur à digérer. Hier, on a vu une charnière qui a particulièrement bien fait son travail, ne restait plus qu'aux centres à savoir se faire des passes et c'était Byzance Lucu/Jalibert ferait presque passer Dupont/NTK pour une charnière dysfonctionnelle, au sens classique des rôles aux postes...
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Roberto Miopalmo a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Victorieux-avec-bonus-offensif-de-l-italie-les-bleus-se-qualifient-pour-les-quarts-de-finale-de-la-coupe-du-monde/1423901
Après l'apport des Toulousains en attaque il y a quelques années, voici maintenant s'ouvrir l'ère girondine.
Au loin, dans les bureaux d’une rédaction d’une grande ville d’Occitanie, on entend des cris et des pleurs…
Bizarre, je n'arrive pas à avoir de l'empathie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Série : c'est quoi... les combinaisons autour des touches ?
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Serie-c-est-quoi-les-combinaisons-autour-des-touches/1422427
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/La-vitesse-de-course-des-bleus-travaillee-a-l-entrainement-a-fait-la-difference-contre-l-italie/1423929
La vitesse de course des Bleus, travaillée à l'entraînement, a fait la différence contre l'Italie
Les Français ont confirmé sur le terrain face à l'Italie (60-7) les records de vitesse tombés à l'entraînement ces derniers jours.
Frédéric Bernès, à Décines
Avec un petit sourire en coin, Grégory Alldritt avait signalé mercredi à l'auditoire de journalistes qu'il avait battu son record de vitesse à l'entraînement pendant la semaine. « Je suis très content, j'ai dépassé les 30 km/h. On sent que tout le monde est en pleine forme. » Anthony Jelonch, Gaël Fickou, Charles Ollivon, François Cros ou Sipili Falatea avaient eux aussi affolé leur radar personnel ces derniers jours. On en avait déduit que le joueur d'octobre, celui des matches éliminatoires, serait plus explosif que celui de septembre.
La confirmation a sauté aux yeux vendredi soir à Lyon et les Italiens n'ont pas pu répondre, ni suivre. « On sent qu'ils sont programmés physiquement, note Grégory Patat, le manager de l'Aviron Bayonnais. Ils ont déplacé le ballon latéralement sur une certaine durée puis ont repris les Italiens dans l'axe avec des pick-and-go ou du jeu à une passe pour trouver l'ouverture. Physiquement, ils étaient au-dessus. »
Les remplaçants ont apporté du gaz, c'est aussi un très bon signe.
Sébastien Bruno, ancien talonneur du Quinze de France
On a vu un Cameron Woki très réactif, une troisième-ligne Jelonch - Alldritt - Ollivon pleine de sève, des ailiers « supérieurs dans les un-contre-un, souligne Sébastien Bruno, ancien talonneur du quinze de France (26 sélections entre 2002 et 2008) et ancien entraîneur des avants du LOU. L'Italie a trop subi en attaque et en défense pour empêcher la France d'avoir cette vitesse, ces rucks rapides. Les remplaçants ont apporté du gaz, c'est aussi un très bon signe. » Plus tard, le sélectionneur Fabien Galthié louera ce mordant : « Oui, c'est ce qu'on recherchait. L'intensité combattue, l'intensité courue, la vitesse. »
Plus vite réorganisée, plus prompte dans la zone de ruck, capable de plaquages offensifs grâce à Jelonch ou Alldritt, l'équipe de France a « défendu comme un poulpe » , dit Thierry Mentières. Et c'est vif un poulpe, ça peut tracer à 40 km/h sous l'eau. « J'ai trouvé que le niveau de replacement et de lecture avait encore monté, poursuit l'ancien entraîneur de Pau et de Bayonne. On a retrouvé la troisième-ligne qui plaît tant à Galthié. Elle a été rayonnante et c'est intéressant que Jelonch ait pu aller au bout d'un match. Son retour à ce niveau me surprend, je l'avoue. Sacrée performance ! Certes, les Italiens sont lisibles et ne sont pas vraiment invités à ce niveau mais les Français ont été impressionnants dans l'explosivité, la vitesse d'action et de réaction. Il y a en plus une constance dans tous les types d'efforts. On sent cette capacité à monter le curseur physique. Les bases sont posées pour le terrible quart de finale à venir. Le rythme et l'engagement pourront monter très haut dans huit jours. »
La vitesse de course des Bleus, travaillée à l'entraînement, a fait la différence contre l'Italie
Les Français ont confirmé sur le terrain face à l'Italie (60-7) les records de vitesse tombés à l'entraînement ces derniers jours.
Frédéric Bernès, à Décines
Avec un petit sourire en coin, Grégory Alldritt avait signalé mercredi à l'auditoire de journalistes qu'il avait battu son record de vitesse à l'entraînement pendant la semaine. « Je suis très content, j'ai dépassé les 30 km/h. On sent que tout le monde est en pleine forme. » Anthony Jelonch, Gaël Fickou, Charles Ollivon, François Cros ou Sipili Falatea avaient eux aussi affolé leur radar personnel ces derniers jours. On en avait déduit que le joueur d'octobre, celui des matches éliminatoires, serait plus explosif que celui de septembre.
La confirmation a sauté aux yeux vendredi soir à Lyon et les Italiens n'ont pas pu répondre, ni suivre. « On sent qu'ils sont programmés physiquement, note Grégory Patat, le manager de l'Aviron Bayonnais. Ils ont déplacé le ballon latéralement sur une certaine durée puis ont repris les Italiens dans l'axe avec des pick-and-go ou du jeu à une passe pour trouver l'ouverture. Physiquement, ils étaient au-dessus. »
Les remplaçants ont apporté du gaz, c'est aussi un très bon signe.
Sébastien Bruno, ancien talonneur du Quinze de France
On a vu un Cameron Woki très réactif, une troisième-ligne Jelonch - Alldritt - Ollivon pleine de sève, des ailiers « supérieurs dans les un-contre-un, souligne Sébastien Bruno, ancien talonneur du quinze de France (26 sélections entre 2002 et 2008) et ancien entraîneur des avants du LOU. L'Italie a trop subi en attaque et en défense pour empêcher la France d'avoir cette vitesse, ces rucks rapides. Les remplaçants ont apporté du gaz, c'est aussi un très bon signe. » Plus tard, le sélectionneur Fabien Galthié louera ce mordant : « Oui, c'est ce qu'on recherchait. L'intensité combattue, l'intensité courue, la vitesse. »
Plus vite réorganisée, plus prompte dans la zone de ruck, capable de plaquages offensifs grâce à Jelonch ou Alldritt, l'équipe de France a « défendu comme un poulpe » , dit Thierry Mentières. Et c'est vif un poulpe, ça peut tracer à 40 km/h sous l'eau. « J'ai trouvé que le niveau de replacement et de lecture avait encore monté, poursuit l'ancien entraîneur de Pau et de Bayonne. On a retrouvé la troisième-ligne qui plaît tant à Galthié. Elle a été rayonnante et c'est intéressant que Jelonch ait pu aller au bout d'un match. Son retour à ce niveau me surprend, je l'avoue. Sacrée performance ! Certes, les Italiens sont lisibles et ne sont pas vraiment invités à ce niveau mais les Français ont été impressionnants dans l'explosivité, la vitesse d'action et de réaction. Il y a en plus une constance dans tous les types d'efforts. On sent cette capacité à monter le curseur physique. Les bases sont posées pour le terrible quart de finale à venir. Le rythme et l'engagement pourront monter très haut dans huit jours. »
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
densnewzealand a écrit:Je suis d’accord, on connaît ses gourmandises … n’oublions pas qu’il n’avait pas joué de 3 semaines, et que c’est un gros moteur qui a besoin comme il le dit d’enchaîner . Ça promets pour dimanche prochain.Scalp a écrit:Je relativiserais un tout petit peu la très grosse prestation d'Alldritt, sur une ou deux occasions, il doit faire circuler le ballon, mais il va au contact et l'enterre, il faut qu'il sache faire des passes quand c'est nécessaire, c'est le petit bémol de la soirée de mon point de vue...
On est d'accord, j'ergote un peu, mais s'il avait la capacité d'un peu varier son jeu, il serait vraiment un des meilleurs 8 sur le circuit.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Maxime-lucu-matthieu-jalibert-un-duo-solide-contre-l-italie/1423931
Maxime Lucu-Matthieu Jalibert, un duo solide contre l'Italie
La charnière composée de Maxime Lucu et Matthieu Jalibert, en attendant le possible retour d'Antoine Dupont pour le quart de finale, a répondu aux attentes contre l'Italie.
Maxime Raulin, à Décines (Rhône)
En l'absence d'Antoine Dupont, en reprise à la suite de sa fracture du maxillo-zygomatique subie contre la Namibie quinze jours plus tôt, la performance de son suppléant Maxime Lucu allait être scrutée de près. Si les nouvelles de l'état de santé du capitaine des Bleus sont plutôt rassurantes en vue du quart de finale (dimanche 15 octobre, à Saint-Denis), il était important de jauger l'état de forme du demi de mêlée de l'Union Bordeaux-Bègles si jamais Dupont n'obtenait pas le feu vert définitif de son chirurgien pour reprendre la compétition (un rendez-vous est programmé lundi à Toulouse). Selon les derniers échos, le Toulousain, qui était en costard sur la pelouse avant la rencontre, n'imagine pas ne pas être sur celle du Stade de France, en short, pour débuter la phase finale. En attendant, Maxime Lucu a fait le job.
« Maxime (Lucu) a montré beaucoup de facilité en éjectant avec aisance tous les ballons qu'il a joués à la main, pose Rory Teague, ex-entraîneur de l'UBB et du Racing 92. Au pied, il n'a pas fait d'erreur, en sortant très bien de son camp. Enfin, il a mis beaucoup d'énergie en défense, il a plaqué fort. Il a saisi sa chance et même s'il sait très bien qu'il ne sera pas titulaire si Dupont peut jouer, il est aujourd'hui un vrai numéro 2. »
« Il n'y avait pas beaucoup d'inquiétude à avoir, estime Frédéric Charrier, son ex-entraîneur à l'UBB, aujourd'hui en poste à Clermont. Quand il entre, il est très performant et l'équipe aussi. Malgré son faible temps de jeu, il a prouvé qu'il était au niveau physiquement. Maxime a collé au ballon, mis de la vitesse. Il a joué juste, fait les bons choix et a bonifié les ballons. »« Dans son style, forcément différent de Dupont, Maxime Lucu a toujours montré qu'il était efficace pour l'équipe, insiste Pierre Berbizier, ex-sélectionneur des Bleus (1991-1995) et de l'Italie (2005-2007). Il sait, avec sa personnalité, animer le jeu de son équipe et il l'a encore démontré. »
« La charnière parfaite pour le match parfait »
Pierre Berbizier
Si Lucu était attendu, son association avec Matthieu Jalibert, son partenaire de club à Bordeaux, l'était également. Là encore, le duo a marqué des points. « Ils ont su mettre de la vitesse en début de match pour étouffer les Italiens, poursuit Pierre Berbizier. Ils ont ensuite gardé une très bonne animation. »
« J'ai ressenti une attitude très calme de la charnière, ce qui a donné pleinement confiance à l'équipe, expose Rory Teague. Ils ont parfaitement contrôlé la partie. Dans son rôle d'ouvreur, Matthieu (Jalibert)a su trouver le bon équilibre, que ce soit dans les prises d'initiative ou dans ses choix de taper au pied. Sa qualité de passe a fluidifié le jeu pour servir ses partenaires dans les meilleures conditions. Enfin, comme sur son essai (48e), il a prouvé qu'il était capable de faire la décision à lui seul sur un exploit personnel. »
Un sentiment partagé par Frédéric Charrier :« Maxime et Matthieu ont joué dans leur registre. Ils ont attaqué fort cette rencontre en multipliant les temps de jeu pour donner le bon tempo à leur équipe. Ils se sont trouvés parfaitement, ce qui a permis aux Bleus de dérouler. Matthieu a compris qu'il ne devait pas faire du Ntamack, mais du Jalibert. Sans en faire trop, il a parfaitement fait jouer son équipe. Puis il a aussi réalisé des gestes décisifs qui le caractérisent. Des gestes de classe, comme son coup de pied sur le second essai de Penaud (38e) ou son essai. »
Bien sûr, il y a eu quelques mauvais choix, ce raté avec cette pénaltouche non trouvée (41e) ou encore ce petit par-dessus, sa spéciale, un peu gourmand (67e). Du détail, certes. Mais qui pourrait avoir des conséquences plus critiques. La faiblesse de l'opposition italienne oblige à rester mesuré. « C'était la charnière parfaite pour ce match parfait », conclut néanmoins Pierre Berbizier. Si Maxime Lucu a cédé sa place à Baptiste Couilloud peu avant l'heure de jeu (56e), Matthieu Jalibert a disputé l'intégralité de la partie. En attendant lundi et la fin (ou pas) du feuilleton Dupont, la paire Lucu-Jalibert est là.
Maxime Lucu-Matthieu Jalibert, un duo solide contre l'Italie
La charnière composée de Maxime Lucu et Matthieu Jalibert, en attendant le possible retour d'Antoine Dupont pour le quart de finale, a répondu aux attentes contre l'Italie.
Maxime Raulin, à Décines (Rhône)
En l'absence d'Antoine Dupont, en reprise à la suite de sa fracture du maxillo-zygomatique subie contre la Namibie quinze jours plus tôt, la performance de son suppléant Maxime Lucu allait être scrutée de près. Si les nouvelles de l'état de santé du capitaine des Bleus sont plutôt rassurantes en vue du quart de finale (dimanche 15 octobre, à Saint-Denis), il était important de jauger l'état de forme du demi de mêlée de l'Union Bordeaux-Bègles si jamais Dupont n'obtenait pas le feu vert définitif de son chirurgien pour reprendre la compétition (un rendez-vous est programmé lundi à Toulouse). Selon les derniers échos, le Toulousain, qui était en costard sur la pelouse avant la rencontre, n'imagine pas ne pas être sur celle du Stade de France, en short, pour débuter la phase finale. En attendant, Maxime Lucu a fait le job.
« Maxime (Lucu) a montré beaucoup de facilité en éjectant avec aisance tous les ballons qu'il a joués à la main, pose Rory Teague, ex-entraîneur de l'UBB et du Racing 92. Au pied, il n'a pas fait d'erreur, en sortant très bien de son camp. Enfin, il a mis beaucoup d'énergie en défense, il a plaqué fort. Il a saisi sa chance et même s'il sait très bien qu'il ne sera pas titulaire si Dupont peut jouer, il est aujourd'hui un vrai numéro 2. »
« Il n'y avait pas beaucoup d'inquiétude à avoir, estime Frédéric Charrier, son ex-entraîneur à l'UBB, aujourd'hui en poste à Clermont. Quand il entre, il est très performant et l'équipe aussi. Malgré son faible temps de jeu, il a prouvé qu'il était au niveau physiquement. Maxime a collé au ballon, mis de la vitesse. Il a joué juste, fait les bons choix et a bonifié les ballons. »« Dans son style, forcément différent de Dupont, Maxime Lucu a toujours montré qu'il était efficace pour l'équipe, insiste Pierre Berbizier, ex-sélectionneur des Bleus (1991-1995) et de l'Italie (2005-2007). Il sait, avec sa personnalité, animer le jeu de son équipe et il l'a encore démontré. »
« La charnière parfaite pour le match parfait »
Pierre Berbizier
Si Lucu était attendu, son association avec Matthieu Jalibert, son partenaire de club à Bordeaux, l'était également. Là encore, le duo a marqué des points. « Ils ont su mettre de la vitesse en début de match pour étouffer les Italiens, poursuit Pierre Berbizier. Ils ont ensuite gardé une très bonne animation. »
« J'ai ressenti une attitude très calme de la charnière, ce qui a donné pleinement confiance à l'équipe, expose Rory Teague. Ils ont parfaitement contrôlé la partie. Dans son rôle d'ouvreur, Matthieu (Jalibert)a su trouver le bon équilibre, que ce soit dans les prises d'initiative ou dans ses choix de taper au pied. Sa qualité de passe a fluidifié le jeu pour servir ses partenaires dans les meilleures conditions. Enfin, comme sur son essai (48e), il a prouvé qu'il était capable de faire la décision à lui seul sur un exploit personnel. »
Un sentiment partagé par Frédéric Charrier :« Maxime et Matthieu ont joué dans leur registre. Ils ont attaqué fort cette rencontre en multipliant les temps de jeu pour donner le bon tempo à leur équipe. Ils se sont trouvés parfaitement, ce qui a permis aux Bleus de dérouler. Matthieu a compris qu'il ne devait pas faire du Ntamack, mais du Jalibert. Sans en faire trop, il a parfaitement fait jouer son équipe. Puis il a aussi réalisé des gestes décisifs qui le caractérisent. Des gestes de classe, comme son coup de pied sur le second essai de Penaud (38e) ou son essai. »
Bien sûr, il y a eu quelques mauvais choix, ce raté avec cette pénaltouche non trouvée (41e) ou encore ce petit par-dessus, sa spéciale, un peu gourmand (67e). Du détail, certes. Mais qui pourrait avoir des conséquences plus critiques. La faiblesse de l'opposition italienne oblige à rester mesuré. « C'était la charnière parfaite pour ce match parfait », conclut néanmoins Pierre Berbizier. Si Maxime Lucu a cédé sa place à Baptiste Couilloud peu avant l'heure de jeu (56e), Matthieu Jalibert a disputé l'intégralité de la partie. En attendant lundi et la fin (ou pas) du feuilleton Dupont, la paire Lucu-Jalibert est là.
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