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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Maxime-lucu-matthieu-jalibert-un-duo-solide-contre-l-italie/1423931
Maxime Lucu-Matthieu Jalibert, un duo solide contre l'Italie
La charnière composée de Maxime Lucu et Matthieu Jalibert, en attendant le possible retour d'Antoine Dupont pour le quart de finale, a répondu aux attentes contre l'Italie.
Maxime Raulin, à Décines (Rhône)
En l'absence d'Antoine Dupont, en reprise à la suite de sa fracture du maxillo-zygomatique subie contre la Namibie quinze jours plus tôt, la performance de son suppléant Maxime Lucu allait être scrutée de près. Si les nouvelles de l'état de santé du capitaine des Bleus sont plutôt rassurantes en vue du quart de finale (dimanche 15 octobre, à Saint-Denis), il était important de jauger l'état de forme du demi de mêlée de l'Union Bordeaux-Bègles si jamais Dupont n'obtenait pas le feu vert définitif de son chirurgien pour reprendre la compétition (un rendez-vous est programmé lundi à Toulouse). Selon les derniers échos, le Toulousain, qui était en costard sur la pelouse avant la rencontre, n'imagine pas ne pas être sur celle du Stade de France, en short, pour débuter la phase finale. En attendant, Maxime Lucu a fait le job.
« Maxime (Lucu) a montré beaucoup de facilité en éjectant avec aisance tous les ballons qu'il a joués à la main, pose Rory Teague, ex-entraîneur de l'UBB et du Racing 92. Au pied, il n'a pas fait d'erreur, en sortant très bien de son camp. Enfin, il a mis beaucoup d'énergie en défense, il a plaqué fort. Il a saisi sa chance et même s'il sait très bien qu'il ne sera pas titulaire si Dupont peut jouer, il est aujourd'hui un vrai numéro 2. »
« Il n'y avait pas beaucoup d'inquiétude à avoir, estime Frédéric Charrier, son ex-entraîneur à l'UBB, aujourd'hui en poste à Clermont. Quand il entre, il est très performant et l'équipe aussi. Malgré son faible temps de jeu, il a prouvé qu'il était au niveau physiquement. Maxime a collé au ballon, mis de la vitesse. Il a joué juste, fait les bons choix et a bonifié les ballons. »« Dans son style, forcément différent de Dupont, Maxime Lucu a toujours montré qu'il était efficace pour l'équipe, insiste Pierre Berbizier, ex-sélectionneur des Bleus (1991-1995) et de l'Italie (2005-2007). Il sait, avec sa personnalité, animer le jeu de son équipe et il l'a encore démontré. »
« La charnière parfaite pour le match parfait »
Pierre Berbizier
Si Lucu était attendu, son association avec Matthieu Jalibert, son partenaire de club à Bordeaux, l'était également. Là encore, le duo a marqué des points. « Ils ont su mettre de la vitesse en début de match pour étouffer les Italiens, poursuit Pierre Berbizier. Ils ont ensuite gardé une très bonne animation. »
« J'ai ressenti une attitude très calme de la charnière, ce qui a donné pleinement confiance à l'équipe, expose Rory Teague. Ils ont parfaitement contrôlé la partie. Dans son rôle d'ouvreur, Matthieu (Jalibert)a su trouver le bon équilibre, que ce soit dans les prises d'initiative ou dans ses choix de taper au pied. Sa qualité de passe a fluidifié le jeu pour servir ses partenaires dans les meilleures conditions. Enfin, comme sur son essai (48e), il a prouvé qu'il était capable de faire la décision à lui seul sur un exploit personnel. »
Un sentiment partagé par Frédéric Charrier :« Maxime et Matthieu ont joué dans leur registre. Ils ont attaqué fort cette rencontre en multipliant les temps de jeu pour donner le bon tempo à leur équipe. Ils se sont trouvés parfaitement, ce qui a permis aux Bleus de dérouler. Matthieu a compris qu'il ne devait pas faire du Ntamack, mais du Jalibert. Sans en faire trop, il a parfaitement fait jouer son équipe. Puis il a aussi réalisé des gestes décisifs qui le caractérisent. Des gestes de classe, comme son coup de pied sur le second essai de Penaud (38e) ou son essai. »
Bien sûr, il y a eu quelques mauvais choix, ce raté avec cette pénaltouche non trouvée (41e) ou encore ce petit par-dessus, sa spéciale, un peu gourmand (67e). Du détail, certes. Mais qui pourrait avoir des conséquences plus critiques. La faiblesse de l'opposition italienne oblige à rester mesuré. « C'était la charnière parfaite pour ce match parfait », conclut néanmoins Pierre Berbizier. Si Maxime Lucu a cédé sa place à Baptiste Couilloud peu avant l'heure de jeu (56e), Matthieu Jalibert a disputé l'intégralité de la partie. En attendant lundi et la fin (ou pas) du feuilleton Dupont, la paire Lucu-Jalibert est là.
Maxime Lucu-Matthieu Jalibert, un duo solide contre l'Italie
La charnière composée de Maxime Lucu et Matthieu Jalibert, en attendant le possible retour d'Antoine Dupont pour le quart de finale, a répondu aux attentes contre l'Italie.
Maxime Raulin, à Décines (Rhône)
En l'absence d'Antoine Dupont, en reprise à la suite de sa fracture du maxillo-zygomatique subie contre la Namibie quinze jours plus tôt, la performance de son suppléant Maxime Lucu allait être scrutée de près. Si les nouvelles de l'état de santé du capitaine des Bleus sont plutôt rassurantes en vue du quart de finale (dimanche 15 octobre, à Saint-Denis), il était important de jauger l'état de forme du demi de mêlée de l'Union Bordeaux-Bègles si jamais Dupont n'obtenait pas le feu vert définitif de son chirurgien pour reprendre la compétition (un rendez-vous est programmé lundi à Toulouse). Selon les derniers échos, le Toulousain, qui était en costard sur la pelouse avant la rencontre, n'imagine pas ne pas être sur celle du Stade de France, en short, pour débuter la phase finale. En attendant, Maxime Lucu a fait le job.
« Maxime (Lucu) a montré beaucoup de facilité en éjectant avec aisance tous les ballons qu'il a joués à la main, pose Rory Teague, ex-entraîneur de l'UBB et du Racing 92. Au pied, il n'a pas fait d'erreur, en sortant très bien de son camp. Enfin, il a mis beaucoup d'énergie en défense, il a plaqué fort. Il a saisi sa chance et même s'il sait très bien qu'il ne sera pas titulaire si Dupont peut jouer, il est aujourd'hui un vrai numéro 2. »
« Il n'y avait pas beaucoup d'inquiétude à avoir, estime Frédéric Charrier, son ex-entraîneur à l'UBB, aujourd'hui en poste à Clermont. Quand il entre, il est très performant et l'équipe aussi. Malgré son faible temps de jeu, il a prouvé qu'il était au niveau physiquement. Maxime a collé au ballon, mis de la vitesse. Il a joué juste, fait les bons choix et a bonifié les ballons. »« Dans son style, forcément différent de Dupont, Maxime Lucu a toujours montré qu'il était efficace pour l'équipe, insiste Pierre Berbizier, ex-sélectionneur des Bleus (1991-1995) et de l'Italie (2005-2007). Il sait, avec sa personnalité, animer le jeu de son équipe et il l'a encore démontré. »
« La charnière parfaite pour le match parfait »
Pierre Berbizier
Si Lucu était attendu, son association avec Matthieu Jalibert, son partenaire de club à Bordeaux, l'était également. Là encore, le duo a marqué des points. « Ils ont su mettre de la vitesse en début de match pour étouffer les Italiens, poursuit Pierre Berbizier. Ils ont ensuite gardé une très bonne animation. »
« J'ai ressenti une attitude très calme de la charnière, ce qui a donné pleinement confiance à l'équipe, expose Rory Teague. Ils ont parfaitement contrôlé la partie. Dans son rôle d'ouvreur, Matthieu (Jalibert)a su trouver le bon équilibre, que ce soit dans les prises d'initiative ou dans ses choix de taper au pied. Sa qualité de passe a fluidifié le jeu pour servir ses partenaires dans les meilleures conditions. Enfin, comme sur son essai (48e), il a prouvé qu'il était capable de faire la décision à lui seul sur un exploit personnel. »
Un sentiment partagé par Frédéric Charrier :« Maxime et Matthieu ont joué dans leur registre. Ils ont attaqué fort cette rencontre en multipliant les temps de jeu pour donner le bon tempo à leur équipe. Ils se sont trouvés parfaitement, ce qui a permis aux Bleus de dérouler. Matthieu a compris qu'il ne devait pas faire du Ntamack, mais du Jalibert. Sans en faire trop, il a parfaitement fait jouer son équipe. Puis il a aussi réalisé des gestes décisifs qui le caractérisent. Des gestes de classe, comme son coup de pied sur le second essai de Penaud (38e) ou son essai. »
Bien sûr, il y a eu quelques mauvais choix, ce raté avec cette pénaltouche non trouvée (41e) ou encore ce petit par-dessus, sa spéciale, un peu gourmand (67e). Du détail, certes. Mais qui pourrait avoir des conséquences plus critiques. La faiblesse de l'opposition italienne oblige à rester mesuré. « C'était la charnière parfaite pour ce match parfait », conclut néanmoins Pierre Berbizier. Si Maxime Lucu a cédé sa place à Baptiste Couilloud peu avant l'heure de jeu (56e), Matthieu Jalibert a disputé l'intégralité de la partie. En attendant lundi et la fin (ou pas) du feuilleton Dupont, la paire Lucu-Jalibert est là.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/-la-force-tranquille-irlandaise-pourquoi-l-irlande-impressionne-avant-d-affronter-l-ecosse/1423846
« La force tranquille irlandaise » : pourquoi l'Irlande impressionne avant d'affronter l'Écosse
L'équipe d'Irlande trace sa route en évacuant le statut qui est désormais le sien : celui d'un des favoris majeurs de cette Coupe du monde. Les Irlandais affrontent l'Écosse samedi soir (21 heures), pour leur dernier match de poule.
Jean-Christophe Collin
Comme souvent lors des entraînements de veille de match, ils sont arrivés très en retard. Indifférents à ceux qui les attendent, au reste du monde. L'Irlande est une île et son équipe de rugby évolue durant cette Coupe du monde « indifférente au bruit extérieur », comme l'a expliqué son sélectionneur Andy Farrell.
« La meilleure équipe irlandaise de l'histoire »
« Les insulaires alimentent un imaginaire qui tend à faire de l'île un centre et une origine », expliquent Jean-Claude Marimoutou et Jean-Michel Racault dans leur livre L'insularité, publié en 1995. Cette analyse s'applique à l'équipe d'Irlande de rugby 2023. C'est un trait culturel mais aussi une manière de se protéger. À la fois de la colossale attente de toute l'île à l'égard de cette équipe considérée par les journalistes locaux comme « la meilleure équipe irlandaise de l'histoire ». Mais également de la manière dont désormais la planète rugby considère les numéros 1 mondiaux, assis sur une série de 16 victoires consécutives. Il y aurait de quoi bomber leur torse sculpté dans ce maillot aux couleurs des prairies du Connemara. Mais le staff et les joueurs ne l'entendent pas du tout ainsi.
« On n'a pas cherché à préserver une série de victoires à tout prix, assure le pilier Tadhg Furlong. On n'a pas peur de perdre. Ce n'est pas du tout un sujet que nous abordons. On repart chaque semaine de zéro, on respecte l'adversaire, on respecte la préparation que l'on met dans les matches. »« Aucun de nous ne se croit invincible », confirme l'ailier James Lowe. D'autant plus qu'on leur rappelle souvent que l'Irlande n'a jamais dépassé les quarts de finale d'un Mondial. « En revanche, cette série de victoires nous apporte beaucoup de confiance », poursuit Lowe. Les joueurs ont désormais la conviction que s'ils réalisent ce qu'ils savent faire, leur plan de jeu avec le niveau d'intensité extrême habituelle, alors force restera à l'Érin.
« La pression est là, mais si on fait bien les choses, ce qui doit arriver arrivera », assure Furlong. Là où leurs anciens se crispaient, cette équipe, parfaitement managée par Andy Farrell en matière de psychologie, se nourrit de l'enjeu. « Il ne s'agit pas d'être tétanisé par la pression, mais de l'accepter et de la surmonter, poursuit Furlong. Ça permet aux joueurs de donner le meilleur d'eux-mêmes. Ça montre qui vous êtes, ce que le groupe a dans le ventre. Il a assez d'expérience et les choses sont claires sur notre façon de travailler, sur comment l'équipe fonctionne. »
Voilà, cette équipe d'Irlande, c'est « une force tranquille ». Durant cet entraînement vendredi au Stade de France, les Irlandais ont enchaîné des passes courtes, sèches et rapides qui sont leur marque de fabrique, puis ont ensuite déroulé leur schéma de jeu avec leurs cellules en losange qui finissent par user toutes les défenses depuis deux ans, comme les vagues parviennent inexorablement à la plage de Barleycove, dans la province du Munster.
Tadhg Furlong, Ronan Kelleher et Andrew Porter, contre l'Afrique du Sud. (A. Mounic/L'Équipe)
Tadhg Furlong, Ronan Kelleher et Andrew Porter, contre l'Afrique du Sud. (A. Mounic/L'Équipe)
« Ce match (contre l'Écosse), on le considère comme le vrai point de départ de notre aventure »
Peter O'Mahony, troisième-ligne de l'Irlande
Mais si l'organisation de la délégation irlandaise est assez rude avec le monde extérieur - les Tourangeaux, chez qui ils avaient leur camp de base, en savent quelque chose -, elle l'est aussi avec elle-même. Notamment avec un capitaine comme Jonathan Sexton, qui pathologiquement ne supporte pas l'approximation, et un coach des avants comme Paul O' Connell, obsessionnel du détail. En cela, le match face aux Boks (13-8, le 23 septembre) a nourri cette culture de la remise en cause. « Erreurs en attaque, en défense, en touche », ont-ils pointé. Le capitaine de la touche James Ryan a été mis sur le banc au profit du vétéran Iain Henderson.
C'est pourquoi si les Irlandais ont gagné leurs huit dernières confrontations contre les Écossais, ces derniers ne doivent pas espérer une quelconque suffisance de leurs adversaires. « On ne s'intéresse pas aux matches qui ont précédé, assure Furlong. Le rugby est en perpétuelle évolution. Les Écossais ont beaucoup progressé depuis le Tournoi. »« Ce match, conclut Peter O'Mahony, qui disputera sa 100e rencontre pour l'équipe d'Irlande, on le considère comme le vrai point de départ de notre aventure. »
« La force tranquille irlandaise » : pourquoi l'Irlande impressionne avant d'affronter l'Écosse
L'équipe d'Irlande trace sa route en évacuant le statut qui est désormais le sien : celui d'un des favoris majeurs de cette Coupe du monde. Les Irlandais affrontent l'Écosse samedi soir (21 heures), pour leur dernier match de poule.
Jean-Christophe Collin
Comme souvent lors des entraînements de veille de match, ils sont arrivés très en retard. Indifférents à ceux qui les attendent, au reste du monde. L'Irlande est une île et son équipe de rugby évolue durant cette Coupe du monde « indifférente au bruit extérieur », comme l'a expliqué son sélectionneur Andy Farrell.
« La meilleure équipe irlandaise de l'histoire »
« Les insulaires alimentent un imaginaire qui tend à faire de l'île un centre et une origine », expliquent Jean-Claude Marimoutou et Jean-Michel Racault dans leur livre L'insularité, publié en 1995. Cette analyse s'applique à l'équipe d'Irlande de rugby 2023. C'est un trait culturel mais aussi une manière de se protéger. À la fois de la colossale attente de toute l'île à l'égard de cette équipe considérée par les journalistes locaux comme « la meilleure équipe irlandaise de l'histoire ». Mais également de la manière dont désormais la planète rugby considère les numéros 1 mondiaux, assis sur une série de 16 victoires consécutives. Il y aurait de quoi bomber leur torse sculpté dans ce maillot aux couleurs des prairies du Connemara. Mais le staff et les joueurs ne l'entendent pas du tout ainsi.
« On n'a pas cherché à préserver une série de victoires à tout prix, assure le pilier Tadhg Furlong. On n'a pas peur de perdre. Ce n'est pas du tout un sujet que nous abordons. On repart chaque semaine de zéro, on respecte l'adversaire, on respecte la préparation que l'on met dans les matches. »« Aucun de nous ne se croit invincible », confirme l'ailier James Lowe. D'autant plus qu'on leur rappelle souvent que l'Irlande n'a jamais dépassé les quarts de finale d'un Mondial. « En revanche, cette série de victoires nous apporte beaucoup de confiance », poursuit Lowe. Les joueurs ont désormais la conviction que s'ils réalisent ce qu'ils savent faire, leur plan de jeu avec le niveau d'intensité extrême habituelle, alors force restera à l'Érin.
« La pression est là, mais si on fait bien les choses, ce qui doit arriver arrivera », assure Furlong. Là où leurs anciens se crispaient, cette équipe, parfaitement managée par Andy Farrell en matière de psychologie, se nourrit de l'enjeu. « Il ne s'agit pas d'être tétanisé par la pression, mais de l'accepter et de la surmonter, poursuit Furlong. Ça permet aux joueurs de donner le meilleur d'eux-mêmes. Ça montre qui vous êtes, ce que le groupe a dans le ventre. Il a assez d'expérience et les choses sont claires sur notre façon de travailler, sur comment l'équipe fonctionne. »
Voilà, cette équipe d'Irlande, c'est « une force tranquille ». Durant cet entraînement vendredi au Stade de France, les Irlandais ont enchaîné des passes courtes, sèches et rapides qui sont leur marque de fabrique, puis ont ensuite déroulé leur schéma de jeu avec leurs cellules en losange qui finissent par user toutes les défenses depuis deux ans, comme les vagues parviennent inexorablement à la plage de Barleycove, dans la province du Munster.
Tadhg Furlong, Ronan Kelleher et Andrew Porter, contre l'Afrique du Sud. (A. Mounic/L'Équipe)
Tadhg Furlong, Ronan Kelleher et Andrew Porter, contre l'Afrique du Sud. (A. Mounic/L'Équipe)
« Ce match (contre l'Écosse), on le considère comme le vrai point de départ de notre aventure »
Peter O'Mahony, troisième-ligne de l'Irlande
Mais si l'organisation de la délégation irlandaise est assez rude avec le monde extérieur - les Tourangeaux, chez qui ils avaient leur camp de base, en savent quelque chose -, elle l'est aussi avec elle-même. Notamment avec un capitaine comme Jonathan Sexton, qui pathologiquement ne supporte pas l'approximation, et un coach des avants comme Paul O' Connell, obsessionnel du détail. En cela, le match face aux Boks (13-8, le 23 septembre) a nourri cette culture de la remise en cause. « Erreurs en attaque, en défense, en touche », ont-ils pointé. Le capitaine de la touche James Ryan a été mis sur le banc au profit du vétéran Iain Henderson.
C'est pourquoi si les Irlandais ont gagné leurs huit dernières confrontations contre les Écossais, ces derniers ne doivent pas espérer une quelconque suffisance de leurs adversaires. « On ne s'intéresse pas aux matches qui ont précédé, assure Furlong. Le rugby est en perpétuelle évolution. Les Écossais ont beaucoup progressé depuis le Tournoi. »« Ce match, conclut Peter O'Mahony, qui disputera sa 100e rencontre pour l'équipe d'Irlande, on le considère comme le vrai point de départ de notre aventure. »
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
REVUE DE PRESSE. Un XV de France ''implacable'' détruit ''avec style'' une Italie ''humiliée''
https://www.lerugbynistere.fr/news/revue-de-presse-un-xv-de-france-implacable-detruit-avec-style-une-italie-humiliee-0710231113.php
https://www.lerugbynistere.fr/news/revue-de-presse-un-xv-de-france-implacable-detruit-avec-style-une-italie-humiliee-0710231113.php
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Coupe du monde 2023. "Parfaits", "magiques"... France - Italie vu par la presse étrangère
https://actu.fr/sports/rugby/pro/coupe-du-monde-2023-parfaits-magiques-france-italie-vu-par-la-presse-etrangere_60177897.html
https://actu.fr/sports/rugby/pro/coupe-du-monde-2023-parfaits-magiques-france-italie-vu-par-la-presse-etrangere_60177897.html
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
France - Italie - Matthieu Jalibert estime que les Bleus ont "trois finales à gagner"
https://www.rugbyrama.fr/2023/10/07/france-italie-matthieu-jalibert-estime-que-les-bleus-ont-trois-finales-a-gagner-11503001.php
https://www.rugbyrama.fr/2023/10/07/france-italie-matthieu-jalibert-estime-que-les-bleus-ont-trois-finales-a-gagner-11503001.php
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Duluc-en-melee-apres-la-victoire-des-bleus-contre-l-italie-la-soiree-respirait-la-coupe-du-monde/1423937
Duluc en mêlée après la victoire des Bleus contre l'Italie : « La soirée respirait la Coupe du monde »
Ce qui a traversé la soirée, en dehors de Mauvaka ou Jalibert, aura été le sentiment joyeux d'une aventure qui s'étend dans le temps ralenti de l'automne, un mois après France-All Blacks, et d'un événement comme une fièvre.
Vincent Duluc, à Décines (Rhône)
On sait bien que l'Italie a pris 156 points en huit jours à l'OL Stadium et qu'on aurait dit la défense de l'Olympique Lyonnais. On sait bien qu'une ombre s'étend sur la compétitivité de la Coupe du monde quand une nation invitée dans le Tournoi depuis 2000 se fait éparpiller de la sorte. On pressent, de la même manière, que la responsabilité de densifier le niveau du rugby mondial devra être universelle et partagée. Il n'empêche, envisageons l'hypothèse que la Coupe du monde de rugby ne mérite pas toutes les flèches qui la visent, et qu'il faille être un peu gonflé, par les temps qui courent, pour ramener sa science et donner la leçon au nom de la Coupe du monde de foot.
Lyon, vendredi soir, a aimé tout le monde, les Bleus et les Italiens, les vainqueurs et les transpercés.
Vincent Duluc
En dehors du constat que l'essence du football est fondamentalement différente, seul sport collectif aussi ouvert à la victoire du plus faible, et qu'il est arrivé, de 1986 à 1994, que le premier tour du Mondial de foot vise seulement à éliminer huit équipes sur vingt-quatre, ce n'est pas exactement le moment de la ramener, si vous voulez notre avis. Une Coupe du monde 2026 à 48 équipes, dans trois pays, avant une Coupe du monde 2030 à 48 équipes, toujours, mais sur trois continents : la FIFA continue de se ficher du jeu et des joueurs.
Si l'on continue de comparer, ici ou là, c'est probablement que le rugby grandit, mais on n'est jamais sûr, non plus, que cela soit indispensable. C'est la loi du genre, et on ne dit pas qu'on ne l'a jamais fait, ni qu'on ne le refera plus, mais c'est aussi vain que de comparer Serge Blanco, ci-devant recordman des essais (38) en équipe de France, à Damian Penaud, qui va le battre très vite, sûrement, après que son compteur est monté à 35, vendredi soir, sous les yeux même du Biarrot. Blanco venait d'une autre époque, d'un autre rugby, où les finisseurs étaient aussi ceux qui avaient commencé, et où le quinze de France dépassait les 30 points trois fois moins souvent. Sujet de philo, ou presque, pour la rentrée : on peut battre son record, mais peut-on dépasser Blanco ?
Lyon, vendredi soir, a aimé tout le monde, les Bleus et les Italiens, les vainqueurs et les transpercés. Ce qui a traversé la soirée, en dehors de Mauvaka ou Jalibert, aura été le sentiment joyeux d'une aventure qui s'étend dans le temps ralenti de l'automne, un mois après France-All Blacks, et d'un événement comme une fièvre. Même à 60 à 7, même dans un match déserté par l'incertitude, la soirée respirait la Coupe du monde. Elle était partout, dans tous les regards, tous les chants, et dans l'évidence que ce France-Italie était une marche, ou un grand galop, sur le chemin de quelque chose de plus grand. À la fin, personne n'avait envie de partir, les lumières des téléphones balayaient la nuit, et cette foule amoureuse des Bleus et du bonheur collectif faisait passer une ferveur pour qu'ils l'emmènent avec eux, qu'elle continue de les porter quand ils seront loin d'eux. Dans une semaine, ils auront besoin de tout, et de tout le monde.
Duluc en mêlée après la victoire des Bleus contre l'Italie : « La soirée respirait la Coupe du monde »
Ce qui a traversé la soirée, en dehors de Mauvaka ou Jalibert, aura été le sentiment joyeux d'une aventure qui s'étend dans le temps ralenti de l'automne, un mois après France-All Blacks, et d'un événement comme une fièvre.
Vincent Duluc, à Décines (Rhône)
On sait bien que l'Italie a pris 156 points en huit jours à l'OL Stadium et qu'on aurait dit la défense de l'Olympique Lyonnais. On sait bien qu'une ombre s'étend sur la compétitivité de la Coupe du monde quand une nation invitée dans le Tournoi depuis 2000 se fait éparpiller de la sorte. On pressent, de la même manière, que la responsabilité de densifier le niveau du rugby mondial devra être universelle et partagée. Il n'empêche, envisageons l'hypothèse que la Coupe du monde de rugby ne mérite pas toutes les flèches qui la visent, et qu'il faille être un peu gonflé, par les temps qui courent, pour ramener sa science et donner la leçon au nom de la Coupe du monde de foot.
Lyon, vendredi soir, a aimé tout le monde, les Bleus et les Italiens, les vainqueurs et les transpercés.
Vincent Duluc
En dehors du constat que l'essence du football est fondamentalement différente, seul sport collectif aussi ouvert à la victoire du plus faible, et qu'il est arrivé, de 1986 à 1994, que le premier tour du Mondial de foot vise seulement à éliminer huit équipes sur vingt-quatre, ce n'est pas exactement le moment de la ramener, si vous voulez notre avis. Une Coupe du monde 2026 à 48 équipes, dans trois pays, avant une Coupe du monde 2030 à 48 équipes, toujours, mais sur trois continents : la FIFA continue de se ficher du jeu et des joueurs.
Si l'on continue de comparer, ici ou là, c'est probablement que le rugby grandit, mais on n'est jamais sûr, non plus, que cela soit indispensable. C'est la loi du genre, et on ne dit pas qu'on ne l'a jamais fait, ni qu'on ne le refera plus, mais c'est aussi vain que de comparer Serge Blanco, ci-devant recordman des essais (38) en équipe de France, à Damian Penaud, qui va le battre très vite, sûrement, après que son compteur est monté à 35, vendredi soir, sous les yeux même du Biarrot. Blanco venait d'une autre époque, d'un autre rugby, où les finisseurs étaient aussi ceux qui avaient commencé, et où le quinze de France dépassait les 30 points trois fois moins souvent. Sujet de philo, ou presque, pour la rentrée : on peut battre son record, mais peut-on dépasser Blanco ?
Lyon, vendredi soir, a aimé tout le monde, les Bleus et les Italiens, les vainqueurs et les transpercés. Ce qui a traversé la soirée, en dehors de Mauvaka ou Jalibert, aura été le sentiment joyeux d'une aventure qui s'étend dans le temps ralenti de l'automne, un mois après France-All Blacks, et d'un événement comme une fièvre. Même à 60 à 7, même dans un match déserté par l'incertitude, la soirée respirait la Coupe du monde. Elle était partout, dans tous les regards, tous les chants, et dans l'évidence que ce France-Italie était une marche, ou un grand galop, sur le chemin de quelque chose de plus grand. À la fin, personne n'avait envie de partir, les lumières des téléphones balayaient la nuit, et cette foule amoureuse des Bleus et du bonheur collectif faisait passer une ferveur pour qu'ils l'emmènent avec eux, qu'elle continue de les porter quand ils seront loin d'eux. Dans une semaine, ils auront besoin de tout, et de tout le monde.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
France - Italie : voir le résumé en 15 minutes
https://www.tf1.fr/tf1/coupe-du-monde-rugby/videos/france-italie-voir-le-resume-en-15-minutes-19727907.html
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Scalp a écrit:REVUE DE PRESSE. Un XV de France ''implacable'' détruit ''avec style'' une Italie ''humiliée''
https://www.lerugbynistere.fr/news/revue-de-presse-un-xv-de-france-implacable-detruit-avec-style-une-italie-humiliee-0710231113.php
J' aime bien.
On oublie un peu vite que, question humiliation, le bulldozer néo-zélandais était déjà passé dessus avant.
En fait on joué contre les gravas.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Coupe du monde de rugby: France-Italie vu par les réseaux sociaux
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/coupe-du-monde/coupe-du-monde-de-rugby-france-italie-vu-par-les-reseaux-sociaux_AV-202310070208.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/coupe-du-monde/coupe-du-monde-de-rugby-france-italie-vu-par-les-reseaux-sociaux_AV-202310070208.html
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
France - Italie / Coupe du monde de rugby 2023 - La revue de presse après France - Italie : "On en oublierait presque l'absence du talisman Dupont"
https://www.rugbyrama.fr/2023/10/07/france-italie-coupe-du-monde-de-rugby-2023-la-revue-de-presse-apres-france-italie-on-en-oublierait-presque-labsence-du-talisman-dupont-11502987.php
https://www.rugbyrama.fr/2023/10/07/france-italie-coupe-du-monde-de-rugby-2023-la-revue-de-presse-apres-france-italie-on-en-oublierait-presque-labsence-du-talisman-dupont-11502987.php
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Coupe du monde : « Tout va bien » pour Damian Penaud (Bleus)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Coupe-du-monde-tout-va-bien-pour-damian-penaud-bleus/1423973
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
XV de France : Antoine Dupont est «en pleine forme»
https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/coupe-du-monde/xv-de-france-antoine-dupont-est-en-pleine-forme-20231007
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
DeBrief du MIDOL
Je vous encourage à écouter à partir de 46'50 et 58'15 .....
N'oubliez pas de vous mouiller la nuque avant, vous êtes bien sur la rédaction du Midol
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zizou46- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
zizou46 a écrit:DeBrief du MIDOL
Je vous encourage à écouter à partir de 46'50 et 58'15 .....
N'oubliez pas de vous mouiller la nuque avant, vous êtes bien sur la rédaction du Midol
“Le futur appartient à ceux qui voient les possibilités avant qu'elles ne deviennent évidentes.”
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/-leur-force-et-leur-faiblesse-les-ecossais-comptent-sur-finn-russell-pour-battre-l-irlande/1423857
« Leur force et leur faiblesse » : les Écossais comptent sur Finn Russell pour battre l'Irlande
Il n'y aura pas d'exploit face à l'Irlande samedi soir (21 heures) sans un grand Finn Russell. L'Écosse en est consciente et l'ouvreur ne minimise pas le rôle clé qu'il doit tenir. Une victoire qualifierait les Écossais pour les quarts de finale de la Coupe du monde et éliminerait l'Irlande.
Patrick Sowden
Quel que soit le résultat face à l'Irlande, Finn Russell gardera son sourire. Et tant pis si ça agace du monde. Ce sourire résume si bien son approche du rugby. Il ne se cache pas, connaît les enjeux : « Oui, ce sera probablement le plus gros match de ma carrière. Ce n'est pas souvent que vous jouez un match à élimination directe contre l'équipe numéro 1 mondiale lors d'une Coupe du monde si près de chez vous, dans une ville, Paris, que vous aimez, avec toute votre famille et vos amis dans le stade. » Et il insiste : « Aussi grand soit-il, ça va être très amusant. »
« La seule incertitude pour l'Irlande, leur seule inquiétude, c'est que Finn Russell tire les ficelles de l'Écosse »
Andrew Trimble, ancien ailier de l'Irlande (70 sélections)
Un joueur dans tous les sens du terme. Imprévisible. Le grain de sable dans la mécanique irlandaise. « La seule incertitude pour l'Irlande, leur seule inquiétude, c'est que Finn Russell tire les ficelles de l'Écosse, a ainsi affirmé Andrew Trimble, ancien ailier de l'Irlande (70 sélections), désormais consultant télé. Ce gars lance les dés chaque fois qu'il récupère la balle. La seule chance de l'Écosse, c'est d'envoyer balader toute prudence et Finn Russell est le joueur pour cela. »
« S'il n'est pas là ou s'il passe au travers, ce n'est plus la vraie équipe d'Écosse »
Alan-Basson Zondagh, ancien entraîneur de l'attaque écossaise désormais au LOU
Que l'ouvreur écossais porte en grande partie sur ses épaules le sort d'un match n'est pas nouveau. Il en a l'habitude. « Il le sait, estime Alan-Basson Zondagh, ancien entraîneur de l'attaque écossaise désormais au LOU. Il est la force et la faiblesse de l'Écosse. S'il n'est pas là ou s'il passe au travers, ce n'est plus la vraie équipe d'Écosse, ce n'est pas la même équipe sans lui. »
Un joueur qui a changé
Il en a pris conscience l'année dernière, comme le raconte Zondagh. « Ça ressemble à un cliché, mais je l'ai vu changer quand il a su qu'il allait être père. Il était plus professionnel, il a perdu du poids, il passait beaucoup plus de temps devant les poteaux. Il est très sérieux, travaille plus qu'avant, rentre tôt des soirées. J'ai eu l'impression que ce n'était plus le même homme. »
Gregor Townsend a constaté la même évolution, lui qui en a fait un vice-capitaine : « Je pense qu'il se trouve à un moment très important de sa carrière. Il joue à ce poste et à ce niveau depuis plus de dix ans. Il le maîtrise complètement, a une vision très précise du jeu. »
Townsend savait évidemment que son joueur portait en lui cet énorme potentiel. D'où une frustration et l'impression désagréable de le voir gâcher son talent qui ont parfois provoqué des étincelles entre les deux hommes. Russell en convient : « Cela fait maintenant 11 ans que je travaille avec Gregor, donc avoir quelques obstacles sur la route n'est pas si grave. Gregor pense que j'arrive à mon apogée. Nous sommes tous les deux sur la même longueur d'onde. »
« Je veux m'en tenir à mon propre jeu, faire ce qu'il y a de mieux pour l'équipe sans entrer dans les batailles individuelles »
Finn Russell
À lui de jouer maintenant puisque les grands matches appartiennent aux grands joueurs. Finn Russell sait en tout cas qu'il doit faire mieux que face aux Springboks (18-3, le 10 septembre). « J'étais probablement trop concentré sur eux. Je regardais presque plus leur défense que ce que nous pouvions faire en attaque », dit-il. L'ouvreur a retenu la leçon : « J'essaie de trouver un équilibre. Je serai détendu parce que nous avons fait tout le travail, il s'agit simplement d'y aller, de s'amuser et de faire ce qu'on a à faire. »
Et le match face à Johnny Sexton, qui ressemble fort à son antithèse ? « C'est l'un des meilleurs 10 du monde, tellement influent pour son équipe, je ne suis pas surpris de le voir encore à ce niveau, tranche Russell. Mais je ne le connais pas en dehors du rugby, juste comme adversaire. Je veux m'en tenir à mon propre jeu, faire ce qu'il y a de mieux pour l'équipe sans entrer dans les batailles individuelles. »
« Leur force et leur faiblesse » : les Écossais comptent sur Finn Russell pour battre l'Irlande
Il n'y aura pas d'exploit face à l'Irlande samedi soir (21 heures) sans un grand Finn Russell. L'Écosse en est consciente et l'ouvreur ne minimise pas le rôle clé qu'il doit tenir. Une victoire qualifierait les Écossais pour les quarts de finale de la Coupe du monde et éliminerait l'Irlande.
Patrick Sowden
Quel que soit le résultat face à l'Irlande, Finn Russell gardera son sourire. Et tant pis si ça agace du monde. Ce sourire résume si bien son approche du rugby. Il ne se cache pas, connaît les enjeux : « Oui, ce sera probablement le plus gros match de ma carrière. Ce n'est pas souvent que vous jouez un match à élimination directe contre l'équipe numéro 1 mondiale lors d'une Coupe du monde si près de chez vous, dans une ville, Paris, que vous aimez, avec toute votre famille et vos amis dans le stade. » Et il insiste : « Aussi grand soit-il, ça va être très amusant. »
« La seule incertitude pour l'Irlande, leur seule inquiétude, c'est que Finn Russell tire les ficelles de l'Écosse »
Andrew Trimble, ancien ailier de l'Irlande (70 sélections)
Un joueur dans tous les sens du terme. Imprévisible. Le grain de sable dans la mécanique irlandaise. « La seule incertitude pour l'Irlande, leur seule inquiétude, c'est que Finn Russell tire les ficelles de l'Écosse, a ainsi affirmé Andrew Trimble, ancien ailier de l'Irlande (70 sélections), désormais consultant télé. Ce gars lance les dés chaque fois qu'il récupère la balle. La seule chance de l'Écosse, c'est d'envoyer balader toute prudence et Finn Russell est le joueur pour cela. »
« S'il n'est pas là ou s'il passe au travers, ce n'est plus la vraie équipe d'Écosse »
Alan-Basson Zondagh, ancien entraîneur de l'attaque écossaise désormais au LOU
Que l'ouvreur écossais porte en grande partie sur ses épaules le sort d'un match n'est pas nouveau. Il en a l'habitude. « Il le sait, estime Alan-Basson Zondagh, ancien entraîneur de l'attaque écossaise désormais au LOU. Il est la force et la faiblesse de l'Écosse. S'il n'est pas là ou s'il passe au travers, ce n'est plus la vraie équipe d'Écosse, ce n'est pas la même équipe sans lui. »
Un joueur qui a changé
Il en a pris conscience l'année dernière, comme le raconte Zondagh. « Ça ressemble à un cliché, mais je l'ai vu changer quand il a su qu'il allait être père. Il était plus professionnel, il a perdu du poids, il passait beaucoup plus de temps devant les poteaux. Il est très sérieux, travaille plus qu'avant, rentre tôt des soirées. J'ai eu l'impression que ce n'était plus le même homme. »
Gregor Townsend a constaté la même évolution, lui qui en a fait un vice-capitaine : « Je pense qu'il se trouve à un moment très important de sa carrière. Il joue à ce poste et à ce niveau depuis plus de dix ans. Il le maîtrise complètement, a une vision très précise du jeu. »
Townsend savait évidemment que son joueur portait en lui cet énorme potentiel. D'où une frustration et l'impression désagréable de le voir gâcher son talent qui ont parfois provoqué des étincelles entre les deux hommes. Russell en convient : « Cela fait maintenant 11 ans que je travaille avec Gregor, donc avoir quelques obstacles sur la route n'est pas si grave. Gregor pense que j'arrive à mon apogée. Nous sommes tous les deux sur la même longueur d'onde. »
« Je veux m'en tenir à mon propre jeu, faire ce qu'il y a de mieux pour l'équipe sans entrer dans les batailles individuelles »
Finn Russell
À lui de jouer maintenant puisque les grands matches appartiennent aux grands joueurs. Finn Russell sait en tout cas qu'il doit faire mieux que face aux Springboks (18-3, le 10 septembre). « J'étais probablement trop concentré sur eux. Je regardais presque plus leur défense que ce que nous pouvions faire en attaque », dit-il. L'ouvreur a retenu la leçon : « J'essaie de trouver un équilibre. Je serai détendu parce que nous avons fait tout le travail, il s'agit simplement d'y aller, de s'amuser et de faire ce qu'on a à faire. »
Et le match face à Johnny Sexton, qui ressemble fort à son antithèse ? « C'est l'un des meilleurs 10 du monde, tellement influent pour son équipe, je ne suis pas surpris de le voir encore à ce niveau, tranche Russell. Mais je ne le connais pas en dehors du rugby, juste comme adversaire. Je veux m'en tenir à mon propre jeu, faire ce qu'il y a de mieux pour l'équipe sans entrer dans les batailles individuelles. »
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://x.com/actu_stade/status/1710569798768226775?s=20
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.eurosport.fr/rugby/coupe-du-monde/2023/coupe-du-monde-2023-nous-ne-sommes-pas-a-la-hauteur-decue-l-italie-ne-veut-pas-se-contenter-de-ca_sto9826670/story.shtml
c'est bien aussi de penser à eux... Car pour exister il faut aussi des adversaires.
Dans cette article, il pose aussi une question intéressante que je ne m'étais jamais vraiment posée.
En gros, on imaginait que les italiens seraient meilleurs en rapport avec leurs dernières prestations pendant les 6 nations.
Ont ils été moins forts ? ou c'est nous (ou AB) qui avons élevé le niveau ?
Est ce qu'ils ont atteint leur niveau max pendant les 6 nations ? problème de préparation ?
J'ai aussi des difficultés à mesurer l'écart de niveau de jeu entre cette coupe et les 6 nations ou le rugbychampion ship ? même si on voit bien une montée en puissance du fait de la durée de la compétition et de la préparation.
Qu'en pensez vous ?
c'est bien aussi de penser à eux... Car pour exister il faut aussi des adversaires.
Dans cette article, il pose aussi une question intéressante que je ne m'étais jamais vraiment posée.
En gros, on imaginait que les italiens seraient meilleurs en rapport avec leurs dernières prestations pendant les 6 nations.
Ont ils été moins forts ? ou c'est nous (ou AB) qui avons élevé le niveau ?
Est ce qu'ils ont atteint leur niveau max pendant les 6 nations ? problème de préparation ?
J'ai aussi des difficultés à mesurer l'écart de niveau de jeu entre cette coupe et les 6 nations ou le rugbychampion ship ? même si on voit bien une montée en puissance du fait de la durée de la compétition et de la préparation.
Qu'en pensez vous ?
SEB34- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
SEB34 a écrit:https://www.eurosport.fr/rugby/coupe-du-monde/2023/coupe-du-monde-2023-nous-ne-sommes-pas-a-la-hauteur-decue-l-italie-ne-veut-pas-se-contenter-de-ca_sto9826670/story.shtml
c'est bien aussi de penser à eux... Car pour exister il faut aussi des adversaires.
Dans cette article, il pose aussi une question intéressante que je ne m'étais jamais vraiment posée.
En gros, on imaginait que les italiens seraient meilleurs en rapport avec leurs dernières prestations pendant les 6 nations.
Ont ils été moins forts ? ou c'est nous (ou AB) qui avons élevé le niveau ?
Est ce qu'ils ont atteint leur niveau max pendant les 6 nations ? problème de préparation ?
J'ai aussi des difficultés à mesurer l'écart de niveau de jeu entre cette coupe et les 6 nations ou le rugbychampion ship ? même si on voit bien une montée en puissance du fait de la durée de la compétition et de la préparation.
Qu'en pensez vous ?
La France est intrinsèquement supérieure à l'Italie d'un point de vue Rugbystique, et quand on les respecte, lors un match qu'il faut gagner, devant un public en feu, on a le résultat d'hier, il n'y a pas de surprises...
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Les joueurs du XV de France se retrouveront lundi à Rueil-Malmaison
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Les-joueurs-du-xv-de-france-se-retrouveront-lundi-a-rueil-malmaison/1423959
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Les-joueurs-du-xv-de-france-se-retrouveront-lundi-a-rueil-malmaison/1423959
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
XV de France: le chirurgien qui a opéré Antoine Dupont révèle ce qui l’a "agacé"
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/coupe-du-monde/xv-de-france-le-chirurgien-qui-a-opere-antoine-dupont-revele-ce-qui-l-a-agace_AV-202310070227.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/coupe-du-monde/xv-de-france-le-chirurgien-qui-a-opere-antoine-dupont-revele-ce-qui-l-a-agace_AV-202310070227.html
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Coupe du monde 2023. Le XV de France en quart : "On va rentrer dans la machine à laver"
https://actu.fr/sports/rugby/xv-de-france/coupe-du-monde-2023-le-xv-de-france-en-quart-on-va-rentrer-dans-la-machine-a-laver_60178211.html
https://actu.fr/sports/rugby/xv-de-france/coupe-du-monde-2023-le-xv-de-france-en-quart-on-va-rentrer-dans-la-machine-a-laver_60178211.html
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