Re: Coupe du Monde 2023 en France

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 7:40

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Apres-l-exploit-historique-contre-les-fidji-quel-avenir-pour-le-rugby-portugais/1424348

Après l'exploit historique contre les Fidji, quel avenir pour le rugby portugais ?

Le Portugal a remporté, dimanche à Toulouse contre les Fidji (24-23), le premier match de Coupe du monde de son histoire. Mais plusieurs cadres de l'équipe raccrochent et le sélectionneur, Patrice Lagisquet, s'en va.

Quentin Moynet, à Toulouse

Comme si le lendemain n'existait pas, la reprise du boulot loin des préoccupations, Toulouse a veillé tard dans la nuit de dimanche à lundi. Au Black Lion, à un kilomètre du Stadium, plus de trois heures après l'essai de Rodrigo Marta et la transformation de la gagne de Samuel Marques, ça beuglait des « Portugal, Portugal » entre deux longues gorgées de mousse.

De l'autre côté de l'avenue, chez Carmen, ça dansait et chantait en agitant des drapeaux portugais. Plus loin, vers la place du Parlement, une famille rentrait chez elle à pied. Deux gamins, aux joues barbouillées de vert et de rouge, rembobinaient encore la bande d'une soirée qu'ils n'oublieront jamais, imitant les accélérations de l'ailier de poche Raffaele Storti ou les impacts du flanker Nicolas Martins. Et leur papa, maillot des copains du foot floqué Leão sur le dos, sifflotait l'hymne portugais.

« On a montré à pas mal de gens que le rugby portugais existait. Au début de cette Coupe du monde, les gens rigolaient peut-être un peu de nous. Les équipes rigoleront moins maintenant »
Samuel Marques, demi de mêlée du Portugal

Celui que les joueurs, lessivés mais fous de joie, avaient repris avec leurs supporters, face à la tribune officielle, quelques instants après la fin du plus grand match de leur carrière. « Celui dont je parlerai jusqu'à la fin de ma vie », assurait le pilier gauche Francisco Fernandes, 38 balais, cassé de partout, épuisé, mais fier d'avoir pu partager le tour d'honneur avec ses enfants.

Les Portugais venaient alors de remporter, contre les Fidji (24-23), la première victoire de leur histoire en Coupe du monde. « Les mots me manquent, soufflait Nicolas Martins. C'est historique, je suis tellement heureux. Je crois que c'est le meilleur moment que j'ai jamais vécu. » « Après ça, on peut mourir demain », souriait Mike Tadjer, l'arcade gauche amochée. Le talonneur de 34 ans avait annoncé qu'il mettrait un terme à sa carrière à l'issue du Mondial. « Finir là-dessus, c'est incroyable. »

Samuel Marques a, lui aussi, vécu ses derniers instants en sélection. « On a montré à pas mal de gens que le rugby portugais existait, glissait le demi de mêlée de Béziers. Au début de cette Coupe du monde, les gens rigolaient peut-être un peu de nous. Les équipes rigoleront moins maintenant. On a montré qu'on pouvait rivaliser avec n'importe qui. Dans cette équipe, il y a beaucoup d'amateurs qui laissent leur famille et leur travail de côté. J'espère que le rugby portugais va continuer comme ça. »

Un jeu total qui a conquis le public

Avec une philosophie de jeu total inculquée depuis quatre ans par le sélectionneur Patrice Lagisquet. « L'essai de la fin correspond à l'ADN de cette équipe et du rugby portugais, confirmait l'entraîneur français, dont l'aventure avec Os Lobos s'arrête sur cet exploit. Ce sont des joueurs très généreux, qui ont la capacité à jouer sur la largeur du terrain. »

« On s'était promis de continuer sur le rugby qu'on met en place depuis quatre ans, révélait Marques. On l'a montré pendant toute la Coupe du monde avec un jeu de mouvement, aéré. Comme quoi, le rugby, quand on a envie de jouer, on peut gagner. On n'est pas costauds devant, mais ça s'envoie comme des chiens et ça déplace le ballon. »

Trop, même, pour les gros du paquet d'avants. « Putain, ça ne s'arrête jamais, se marrait Fernandes, qui évolue à Béziers. Quand on a une pénalité, tu es presque obligé d'aller plaquer Sam (Marques) pour qu'il ne la joue pas vite. C'est un enfer ! À 38 ans, les jambes qui couinent, ça tire de partout... Mais c'est notre philosophie, c'est super, ça libère des espaces. Il y a des trous qu'on ne voit pas en Pro D2 où c'est hyper fermé. »

Ce fut encore le cas, parfois à l'excès, contre les Fidji. « C'était presque du rugby à sept, observait Fernandes. C'est comme ça qu'on a conquis le public. Ils étaient 32 000 ce soir (dimanche), une ambiance de fou, mais si on avait joué dans un stade de 100 000 places, je suis sûr qu'il y aurait eu 100 000 personnes. »

« Les perspectives sont intéressantes, même si des joueurs clés vont arrêter. Il y a une génération dorée, des joueurs énormes. Le rugby portugais peut continuer à progresser »
Patrice Lagisquet, sélectionneur du Portugal

Que restera-t-il de cet exploit et de cette ferveur dans les prochains mois alors qu'une partie des cadres de l'effectif s'apprête à raccrocher et que le sélectionneur s'en va ? « C'est une fin de cycle, mais il y a beaucoup de joueurs talentueux et très jeunes dans cette équipe », répondait Marques.

Son coéquipier en club, Francisco Fernandes, était moins optimiste : « La transition va être compliquée. Il va falloir une bonne dizaine d'années encore pour reformer des jeunes. Recréer une équipe. Il faut des coachs, vu que le staff change. Ça peut être hyper compliqué, mais je leur souhaite d'y arriver. »

7000

C'est le nombre de licenciés de rugby au Portugal, soit 40 fois moins qu'en France (autour des 300 000).

« Les perspectives sont intéressantes, même si des joueurs clés vont arrêter, expliquait Lagisquet. Il y a une génération dorée, des joueurs énormes : les Jeronimo Portela, Rodrigo Marta, Storti, Madeira, c'est exceptionnel. Il y a aussi une très bonne génération U18. Si la fédération continue à placer des joueurs dans des clubs français, si les Lusitanos deviennent semi pros, à l'image des Drua (le club fidjien du Super Rugby), le rugby portugais peut continuer à progresser car il y a beaucoup de passionnés investis. »

L'éternel plafond de verre des petites nations

Et Lagisquet d'ajouter : « Ce que vous avez vu, c'est le produit de la formation. Sur les bases, il y a besoin de soutien extérieur, mais sur le jeu en lui-même, la capacité à prendre les décisions à pleine vitesse, ils sont déjà bien en termes de formation. »

Reste l'éternelle « réalité économique » évoquée par l'ancien entraîneur de Biarritz. « On a besoin de se confronter à un certain niveau de compétition pour progresser, indiquait-il. La difficulté, c'est que les grandes nations ont besoin de rentrer de l'argent et je ne suis pas sûr que France - Portugal remplisse le Stade de France. Cette réalité économique fait qu'une fois de temps en temps, ces nations vont accepter de jouer contre une nation du tier 2 mais ils ne peuvent pas se le permettre davantage. »

En attendant, les héros d'un soir s'apprêtent à renfiler leur costume d'anonymes. « On a marqué l'histoire du rugby portugais et, demain, on repart à Béziers, s'entraîner, prêt à jouer le week-end prochain, annonçait Marques. Une pause ? Non, je veux jouer » Ce sera vendredi, face à Colomiers. Loin du vacarme d'une folle soirée toulousaine, à jamais dans la rétine de deux gamins aux joues peinturlurées.

13

La saison dernière, 13 joueurs portugais évoluaient comme rugbymen professionnels. 12 l'étaient en Pro D2 et 1 en Top 14 (Mike Tadjer). Sur les 33 sélectionnés pour la Coupe du Monde, 16 évoluent aux Lusitanos XV, une franchise qui participe à la Rugby Europe Super Cup avec d'autres pays émergents comme la Belgique, les Pays-Bas, mais aussi plus établis comme la Géorgie ou la Roumanie. Mais cette compétition ne dure que deux mois.

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 7:44

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Contre-les-bleus-les-boks-pourraient-revenir-a-un-style-plus-traditionnel-et-direct/1424299

Contre les Bleus, les Boks pourraient revenir à un style plus traditionnel et direct

Les statistiques montrent à quel point la stratégie offensive des Sud-Africains a évolué depuis leur sacre mondial en 2019. Mais une éventuelle titularisation de l'ouvreur Handré Pollard pourrait changer la donne lors de la phase finale.

Alexandre Bardot

La photo officielle n'a pas beaucoup changé. Rassie Erasmus et Jacques Nienaber n'ont plus exactement les mêmes rôles, mais ils dirigent toujours la manoeuvre. De Steven Kitshoff à Willie Le Roux, vingt et un des Springboks de cette Coupe du monde en France faisaient partie de l'équipe victorieuse en 2019.

À l'époque, tous avaient pleinement adhéré au retour, prôné par Erasmus, à la philosophie profonde du rugby sud-africain. Celle qui dit que pour aller d'un point à un autre, le plus court chemin est celui qui va tout droit, même quand il y a un adversaire en face. Et c'est dans la « brutalité » qu'ils étaient devenus champions du monde.

Vers un retour aux vieilles recettes ?

Après ça, on aurait pu penser que les Boks resteraient fidèles à leurs racines. Mais, par adaptation à l'arbitrage et à leurs propres ressources de joueurs, les voilà sur le chemin d'un jeu qui aime toujours la ligne droite, mais qui goûte aussi aux zigzags et aux pas de côté. Pour mesurer cette bascule, nous avons analysé les statistiques comparatives des Sud-Africains version 2019 et 2023. Afin d'éliminer les biais des matches face aux « petits , nous nous sommes limités aux rencontres de phases finales d'il y a quatre ans, et à celles face à l'Écosse (18-3) et l'Irlande (8-13) cette année.

Les chiffres sont éloquents et disent que la France pourrait affronter une équipe très joueuse dimanche. Mais le conditionnel est de rigueur. Car, en panne de buteur, le duo Nienaber - Erasmus pourrait décider de titulariser le revenant Handré Pollard comme ouvreur. Une fine gâchette, mais un « 10 » plus frustre, qui ramènerait sans doute les Boks à leur vieille recette. En attendant l'annonce de la composition d'équipe, vendredi, il est intéressant de voir comment cette équipe, en changeant peu d'hommes, sait changer de visage.

De 2019 à 2023, une évolution de leur jeu offensif

1) L'équipe s'est éloignée de ses bases

Des mauls avançant parfois sur 50 m, ou créés en plein jeu courant. Et des chandelles de Faf de Klerk. Le plan d'attaque des Boks 2019 reposait largement sur ces deux éléments, il a été largement amendé par ceux de 2023. Le nombre de coups de pied a baissé de plus de 25 % et, si les mauls sont toujours utilisés, c'est davantage pour lancer le jeu que pour avancer, comme le montre la baisse du nombre de mètres gagnés.

Coupe du Monde 2023 en France - Page 17 Capt6558

2) ...pour davantage déplacer le ballon

Avec les ballons qu'ils ne cachent plus ou ne tapent plus, les Boks courent et, surtout, se font des passes. Le nombre de mètres parcours a bondi de 53 %, celui des passes de 42 %. Le jeu atteint plus souvent les zones extérieures. Et, si les « Sudafs » continuent d'exploiter leur force dans les duels, ils y ajoutent un peu de technique : ils sont près d'un tiers de plus de passes au contact (3,5 contre 2,7 en 2019).

Coupe du Monde 2023 en France - Page 17 Capt6559

3) ...mais qui cherche encore l'efficacité

Pour l'instant, avoir un jeu plus riche n'est pas forcément synonyme d'efficacité pour ces Springboks. Dans cette Coupe du monde, ils ont du mal à marquer des points. Le nombre d'essais est en baisse (- 25%), comme celui des franchissements (-42%). Et c'est sans doute accentué par le fait que les Sud-Africains ont peiné à prendre le score par leur pied à cause de la faillite des buteurs.

Coupe du Monde 2023 en France - Page 17 Capt6560

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 7:45

Vidéo. "Si on est champions du monde, la France dominera le rugby mondial pour les 10 prochaines années", assure Éric Champ

https://www.rugbyrama.fr/2023/10/09/video-si-on-est-champions-du-monde-la-france-dominera-le-rugby-mondial-pour-les-10-prochaines-annees-assure-eric-champ-11506295.php

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 7:46

Podcast. Coupe du monde de rugby 2023 - Le Chant du coq (09/10) : optimisme pour Dupont, le Portugal historique !

https://www.rugbyrama.fr/2023/10/09/podcast-coupe-du-monde-de-rugby-2023-le-chant-du-coq-0910-optimisme-pour-dupont-le-portugal-historique-11506284.php

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 7:47

Jour J pour Antoine Dupont, qui attend son feu vert pour pouvoir rejouer avec les Bleus

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Jour-j-pour-antoine-dupont-qui-attend-son-feu-vert-pour-pouvoir-rejouer-avec-les-bleus/1424322

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 8:26

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/coupe-du-monde-de-rugby/xv-de-france-quel-plan-pour-pieger-les-springboks-en-quart-de-finale-16982560.php

XV de France : quel plan pour piéger les Springboks en quart de finale ?

Par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial

Adeptes d’un jeu aussi direct que brutal, les Sud-Africains privilégient toujours l’emprise physique au rythme débridé. Les Bleus se sont préparés en conséquence pour tenter de leur offrir une réponse sur mesure

C’est une pique. De celles dont les Anglo-Saxons sont si friands. Elle avait été décochée par Ian Foster, le manager des All Blacks, au soir de la victoire de son équipe sur l’Italie (96-0). « Vous regardez Afrique du Sud – Irlande (8-13), c’est un match de rugby différent : le temps de jeu effectif était seulement de 27 minutes, c’était un match vraiment physique. Ce soir, vous avez vu un spectacle différent. Et le monde va devoir décider lequel il préfère regarder. »

Pompeux, le propos était évidemment un brin caricatural également : Rassie Erasmus, entraîneur des Boks en 2019 et désormais directeur du rugby sud-africain, n’avait d’ailleurs pas manqué de le souligner, feuilles de « stats » à l’appui, en faisant remarquer le temps de jeu effectif ne s’était établi qu’à 32 minutes lors du succès néo-zélandais.

Mais derrière les sourires que peut susciter une telle joute verbale, il y a tout de même une vérité que les joueurs de Fabien Galthié ont bien à l’esprit dans l’optique de leur quart de finale dimanche prochain : un match face à l’Afrique du Sud, de part l’exceptionnelle dimension physique de cette équipe, ne ressemble à aucun autre.

L’emprise avant le rythme

Les Bleus le savent bien pour l’avoir éprouvé dans leur chair en novembre 2022 (victoire 30-26 à Marseille). S’ils avaient remporté ce duel sidérant de brutalité face aux Boks – avec, faut-il le rappeler, trois protocoles commotions dans les 20 premières minutes – ils n’avaient pas tardé à relever les spécificités de ce bras de fer.

« On a enregistré ce jour-là le temps de jeu effectif le plus bas (27 minutes au lieu de 37-38 minutes en moyenne) depuis le début de notre mandat, décryptait Thibault Giroud, manager de la performance tricolore, lors du Six-Nations 2023. Et en même temps, on avait jamais eu des intensités combattues aussi élevées. » Une marque de fabrique qui, selon les membres du staff de Fabien Galthié, s’est encore accentuée durant la phase qualificative de cette Coupe du monde.

Si, à titre de comparaison, l’Irlande avait attiré la France dans un match à 46 minutes de temps de jeu effectif lors de sa victoire à Dublin, dans le dernier Tournoi, les Sud-Africains usent en priorité d’armes à la rugosité démontrées. Au rythme, ils préfèrent toujours l’emprise.

« Notre gros défi, ça sera de répondre physiquement à cette équipe. Mais il ne faudra pas non plus avoir peur de la jouer »

Dans l’arsenal des Boks, il y a d’abord cette conquête de fer, avec notamment un alignement en touche redoutable. Il y a ensuite cette capacité à « tabasser » les rideaux défensifs adverses par un jeu direct conjuguée à leur art de détruire les schémas offensifs qui leur sont opposés grâce à la densité de leur défense : auteurs de 31 plaquages dominants face à l’Irlande, les Sud-Africains présentent l’un des pourcentages les plus élevés dans la compétition avec les Fidjiens. Enfin, il y a cette propension particulièrement notable à user du jeu au pied de pression (41,8 % de leurs formes de jeu au pied contre 10,9 % pour les Français).

La « prépa » sur mesure

« Les Sud-Africains ne s’en cachent pas, c’est une équipe très brutale », relève le numéro 8 du XV de France Grégory Alldritt : « Il va falloir peaufiner notre stratégie, l’adapter pour ce match. Mais il faudra aussi répondre physiquement. Franchement, je pense qu’on a les armes et les joueurs pour. »

Conscients qu’ils avaient de grandes chances d’affronter cet adversaire, les Bleus ont adapté en conséquence leur préparation physique. Alors qu’ils ont atteint une « période de forme haute » (dixit Karim Ghezal), ce n’est pas un hasard si plusieurs joueurs, à l’image d’un Grégory Alldritt se gargarisant d’avoir atteint les 30 km/h la semaine dernière, ont battu leur record de vitesse ces derniers jours. Les Français se sont préparés à répondre frontalement, mais aussi à faire courir les Springboks.

Une ambition que confirme Thomas Ramos du bout des lèvres. « Notre gros défi, ça sera de répondre physiquement à cette équipe : à nous de bien les contrer, glisse l’arrière tricolore. Mais il ne faudra pas non plus avoir peur de jouer ces Sud-Africains, même s’ils montent vite en défense. Ils se sont quand même fait ‘‘breaker’‘ de temps en temps… » Une vraie feuille de route.

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 8:27

L'Afrique du Sud a commencé sa préparation du choc contre les Bleus en toute humilité

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/L-afrique-du-sud-a-commence-sa-preparation-du-choc-contre-les-bleus-en-toute-humilite/1424311

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 8:52

https://x.com/IsaIthurburu/status/1711302705480712642?s=20

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 9:01

https://x.com/catourneovale/status/1711264677613691265?s=20

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 9:03

XV de France : feu vert pour Antoine Dupont

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/coupe-du-monde-de-rugby/xv-de-france-feu-vert-pour-antoine-dupont-16996547.php

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 9:07

Coupe du monde de rugby2023 - XV de France - Antoine Dupont autorisé à rejouer suite à sa visite avec le chirurgien

https://www.rugbyrama.fr/2023/10/09/coupe-du-monde-de-rugby2023-xv-de-france-antoine-dupont-autorise-a-rejouer-suite-a-sa-visite-avec-le-chirurgien-11506417.php

léopold Lun 9 Oct 2023 - 9:15

Après la production de Lucu, je ne ferais pas rejouer Dupont qui est moins collectif et puis il ne pourra pas se livrer à fond.
LBB a sa place, bien mieux que l'autre dingue qui bouffe beaucoup de ballon.

**Dr. Gregory Bouse** Lun 9 Oct 2023 - 9:21

léopold a écrit:Après la production de Lucu, je ne ferais pas rejouer Dupont qui est moins collectif et puis il ne pourra pas se livrer à fond.
LBB a sa place, bien mieux que l'autre dingue qui bouffe beaucoup de ballon.

Possible qu'ils fassent une mi-temps complète chacun ou que l'un ou l'autre entre à la 60ème.

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 9:23

léopold a écrit:Après la production de Lucu, je ne ferais pas rejouer Dupont qui est moins collectif et puis il ne pourra pas se livrer à fond.
LBB a sa place, bien mieux que l'autre dingue qui bouffe beaucoup de ballon.

1) Rien n'est encore certain, le staff entretient peut-être le flou artistique vis-à-vis des Boks think

l'attelage Lucu/jalibert est une solution opérationnelle.

2) Dupont aura peut-être une place, mais sur le banc.

3) Dupont titulaire, les Boks devront vraiment faire attention à ne pas lui coller un bras dans la tronche, ils seront surveillés comme le lait sur le feu, avec une grosse pression du stade…

Toutes les solutions me conviennent, on peut battre les Boks, avec ou sans Dupont !

**Dr. Gregory Bouse** Lun 9 Oct 2023 - 9:25

Scalp a écrit:

Dourthe, toujours aussi naze... il ne supporte pas le talent...du moins quand il est bordelais. :chambreur:

Son bref passage au CABBG a dû lui laisser une lourdeur sur l'estomac.

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 9:28

Dr. Gregory Bouse a écrit:
Scalp a écrit:

Dourthe, toujours aussi naze... il ne supporte pas le talent...du moins quand il est bordelais.

Son bref passage au CABBG a dû lui laisser une lourdeur sur l'estomac.

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 9:32

Top 14/Pro D2 - Will Skelton, Davit Niniashvili, George Moala... La listes des joueurs de retour au sein des clubs après leur élimination

https://www.rugbyrama.fr/2023/10/09/top-14pro-d2-will-skelton-davit-niniashvili-george-moala-la-listes-des-joueurs-de-retour-au-sein-des-clubs-apres-leur-elimination-11506347.php

Roberto Miopalmo Lun 9 Oct 2023 - 9:34

Scalp a écrit:
léopold a écrit:Après la production de Lucu, je ne ferais pas rejouer Dupont qui est moins collectif et puis il ne pourra pas se livrer à fond.
LBB a sa place, bien mieux que l'autre dingue qui bouffe beaucoup de ballon.

1) Rien n'est encore certain, le staff entretient peut-être le flou artistique vis-à-vis des Boks l'attelage Lucu/jalibert est une solution opérationnelle.

2) Dupont aura peut-être une place, mais sur le banc.

3) Dupont titulaire, les Boks devront vraiment faire attention à ne pas lui coller un bras dans la tronche, ils seront surveillés comme le lait sur le feu, avec une grosse pression du stade…

Toutes les solutions me conviennent, on peut battre les Boks, avec ou sans Dupont !

Si Dupont joue, il sera titulaire. Au delà de son cas perso et de son statut particulier, pour moi, un "blessé" (mec en méforme ou avec fragilité, ou risque de rechute) ne peut pas être sur le banc. Il doit jouer et s'il ne tient pas il sort.
le risque étant que s'il est sur le banc, qu'il rentre et qu'il ne tient pas, on pourra pas refaire rentrer Lucu.

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 9:36

Roberto Miopalmo a écrit:
Scalp a écrit:
léopold a écrit:Après la production de Lucu, je ne ferais pas rejouer Dupont qui est moins collectif et puis il ne pourra pas se livrer à fond.
LBB a sa place, bien mieux que l'autre dingue qui bouffe beaucoup de ballon.

1) Rien n'est encore certain, le staff entretient peut-être le flou artistique vis-à-vis des Boks l'attelage Lucu/jalibert est une solution opérationnelle.

2) Dupont aura peut-être une place, mais sur le banc.

3) Dupont titulaire, les Boks devront vraiment faire attention à ne pas lui coller un bras dans la tronche, ils seront surveillés comme le lait sur le feu, avec une grosse pression du stade…

Toutes les solutions me conviennent, on peut battre les Boks, avec ou sans Dupont !

Si Dupont joue, il sera titulaire. Au delà de son cas perso et de son statut particulier, pour moi, un "blessé" (mec en méforme ou avec fragilité, ou risque de rechute) ne peut pas être sur le banc. Il doit jouer et s'il ne tient pas il sort.
le risque étant que s'il est sur le banc, qu'il rentre et qu'il ne tient pas, on pourra pas refaire rentrer Lucu.

Ça, c'est l'argument qui invalide fortement cette possibilité !

**Scalp** Lun 9 Oct 2023 - 9:38

Coupe du monde de rugby - "Le match de Matthieu Jalibert est digne d'un numéro dix qui peut mener les siens au titre mondial"

https://www.rugbyrama.fr/2023/10/09/coupe-du-monde-de-rugby-le-match-de-matthieu-jalibert-est-digne-dun-numero-dix-qui-peut-mener-les-siens-au-titre-mondial-11506310.php

léopold Lun 9 Oct 2023 - 9:49

S'il se fait démonter c'est lui qui prend le risque, je ne vois pas pourquoi il devrait prendre place sur le banc en regard d'un Couilloud qui lui n'est pas diminué.On sera champion sans lui et son frère jumeau l'autre petite gloire Toulousaine.On a Ramos qui lui apporte beaucoup. :priere:

**marchal** Lun 9 Oct 2023 - 9:55

je suis contre le retour de dupont. Ne revons pas il va être ciblé par les sudaf de plus il ne sera pas à cent pour cent. S'il se repète la mâchoire les conséquences pour lui peuvent être très grave.
je trouve que c'est prendre un trop grand risque que de le faire jouer.
De plus lucu à montrer qu'il était capable de le suppléer parfaitement donc faisons lui confiance

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