Re: Coupe du Monde 2023 en France

**Scalp** Ven 13 Oct 2023 - 18:20

Dr. Gregory Bouse a écrit:
Yatangaki a écrit:Je voulais réagir à la non présence de Falatea dans le groupe qui affrontera les Springboks.
Je trouve ca vraiment dommage, limite une erreur du staff, j espère que ca va passer et qu on va gagner mais Aldegheri autant avec le ST ca va mais en EDF son niveau est vraiment très faible... mais bon ca va pas m'empêcher de soutenir l équipe

Tu as complètement raison quand on voit le match d'Aldéghéri conte l'Italie où il était capot ouvert quasiment dès son entrée comme finisseur.

Falatea paie sa blessure et sa préparation tronquée. Quoiqu'il en dise ouvertement, Servat aime bien s'appuyer sur des gonzes qui ont déjà des automatismes en club...à moins d'être quasi indispensable comme Atonio.

Question tout de même: on ne sait pas comment se comporte Falatea durant les entraînements.

Je le pense aussi, il a toujours été numéro 2 depuis un an, je ne vois pas d'autres raisons de changer la hiérarchie au dernier moment, même si Aldegheri donne des assurances en mêlée, il n'a pas le même rendement que Falatea dans le jeu courant.

**densnewzealand** Ven 13 Oct 2023 - 18:25

Dr. Gregory Bouse a écrit:
Yatangaki a écrit:Je voulais réagir à la non présence de Falatea dans le groupe qui affrontera les Springboks.
Je trouve ca vraiment dommage, limite une erreur du staff, j espère que ca va passer et qu on va gagner mais Aldegheri autant avec le ST ca va mais en EDF son niveau est vraiment très faible... mais bon ca va pas m'empêcher de soutenir l équipe

Tu as complètement raison quand on voit le match d'Aldéghéri conte l'Italie où il était capot ouvert quasiment dès son entrée comme finisseur.

Falatea paie sa blessure et sa préparation tronquée. Quoiqu'il en dise ouvertement, Servat aime bien s'appuyer sur des gonzes qui ont déjà des automatismes en club...à moins d'être quasi indispensable comme Atonio.

Question tout de même: on ne sait pas comment se comporte Falatea durant les entraînements.

Je sais que c’est pas à son physique que l’on détermine qu’un bon pilier de mêlée à une bonne tenue. Mais perso Aldritt je trouves que c’est le seul mec de cette équipe que je ne trouves pas fit. On me diras ce qu’on voudras mais comme relevé souvent ici, Marchand/ Willemse / Falatea out c’est un gros manque de puissance qui va nous faire défaut. On compense par une grosse activité c’est sûr mais un bon gros maul c’est bien aussi. Mais Servat le tiens en haute estime et il est bien placé .

**Scalp** Ven 13 Oct 2023 - 18:31

https://x.com/SixNations_FR/status/1712820893968183301?s=20

**Dr. Gregory Bouse** Ven 13 Oct 2023 - 18:35

densnewzealand a écrit:
Dr. Gregory Bouse a écrit:
Yatangaki a écrit:Je voulais réagir à la non présence de Falatea dans le groupe qui affrontera les Springboks.
Je trouve ca vraiment dommage, limite une erreur du staff, j espère que ca va passer et qu on va gagner mais Aldegheri autant avec le ST ca va mais en EDF son niveau est vraiment très faible... mais bon ca va pas m'empêcher de soutenir l équipe

Tu as complètement raison quand on voit le match d'Aldéghéri conte l'Italie où il était capot ouvert quasiment dès son entrée comme finisseur.

Falatea paie sa blessure et sa préparation tronquée. Quoiqu'il en dise ouvertement, Servat aime bien s'appuyer sur des gonzes qui ont déjà des automatismes en club...à moins d'être quasi indispensable comme Atonio.

Question tout de même: on ne sait pas comment se comporte Falatea durant les entraînements.
Je sais que c’est pas à son physique que l’on détermine qu’un bon pilier de mêlée à une bonne tenue. Mais perso Aldritt je trouves que c’est le seul mec de cette équipe que je ne trouves pas fit. On me diras ce qu’on voudras mais comme relevé souvent ici, Marchand/ Willemse / Falatea out c’est un gros manque de puissance qui va nous faire défaut. On compense par une grosse activité c’est sûr mais un bon gros maul c’est bien aussi. Mais Servat le tiens en haute estime et il est bien placé .

il est possible qu'on ait choisi de les déplacer sur les extérieurs mais vu leur banc en 5+3, j pense que les Boks vont se focaliser sur la défense en 1er et 2ème rideau pour qu'on s'y dégoûte...

Possible aussi, qu'on joue en dépossession pour éviter de prendre des timbres en permanence avec Kriel et De Allende.

**Scalp** Ven 13 Oct 2023 - 18:49

Coupe du monde de rugby : Irlande-Nouvelle-Zélande, la fièvre du samedi soir

https://www.lefigaro.fr/sports/football/coupe-du-monde/coupe-du-monde-de-rugby-irlande-nouvelle-zelande-la-fievre-du-samedi-soir-20231013

**densnewzealand** Ven 13 Oct 2023 - 18:52

Dr. Gregory Bouse a écrit:
densnewzealand a écrit:
Dr. Gregory Bouse a écrit:
Yatangaki a écrit:Je voulais réagir à la non présence de Falatea dans le groupe qui affrontera les Springboks.
Je trouve ca vraiment dommage, limite une erreur du staff, j espère que ca va passer et qu on va gagner mais Aldegheri autant avec le ST ca va mais en EDF son niveau est vraiment très faible... mais bon ca va pas m'empêcher de soutenir l équipe

Tu as complètement raison quand on voit le match d'Aldéghéri conte l'Italie où il était capot ouvert quasiment dès son entrée comme finisseur.

Falatea paie sa blessure et sa préparation tronquée. Quoiqu'il en dise ouvertement, Servat aime bien s'appuyer sur des gonzes qui ont déjà des automatismes en club...à moins d'être quasi indispensable comme Atonio.

Question tout de même: on ne sait pas comment se comporte Falatea durant les entraînements.
Je sais que c’est pas à son physique que l’on détermine qu’un bon pilier de mêlée à une bonne tenue. Mais perso Aldritt je trouves que c’est le seul mec de cette équipe que je ne trouves pas fit. On me diras ce qu’on voudras mais comme relevé souvent ici, Marchand/ Willemse / Falatea out c’est un gros manque de puissance qui va nous faire défaut. On compense par une grosse activité c’est sûr mais un bon gros maul c’est bien aussi. Mais Servat le tiens en haute estime et il est bien placé .

il est possible qu'on ait choisi de les déplacer sur les extérieurs mais vu leur banc en 5+3, j pense que les Boks vont se focaliser sur la défense en 1er et 2ème rideau pour qu'on s'y dégoûte...

Possible aussi, qu'on joue en dépossession pour éviter de prendre des timbres en permanence avec Kriel et De Allende.

Oui Doc, obliger les deux du Centre à reculer et leur gros pack. Tu as raison. On a tout intérêt à un jeu dynamique . Et autre clef notre touche .

**Scalp** Ven 13 Oct 2023 - 18:58

Coupe du monde 2023. Thomas Ramos sur son parcours : "Je me suis tu quand il fallait me taire"

https://actu.fr/sports/rugby/pro/coupe-du-monde-2023-thomas-ramos-sur-son-parcours-je-me-suis-tu-quand-il-fallait-me-taire_60204040.html

**Scalp** Ven 13 Oct 2023 - 19:00

https://x.com/fijirugby/status/1712822885025263825?s=20

**Dr. Gregory Bouse** Ven 13 Oct 2023 - 19:29

Scalp a écrit:
https://x.com/fijirugby/status/1712822885025263825?s=20

https://x.com/fijirugby/status/1712822885025263825?s=20

Je trouve Kuruvoli meilleur que Lomani pourtant titulaire.

Je recruterai bien Kuruvoli en attendant l'éclosion d'un JIFF à gros potentiel... :chambreur:

igziabeher Ven 13 Oct 2023 - 19:45

Le truc c est que Lomani est leur seul buteur fiable. Par contre j' ai préféré Tela à Botitu en 10 (plus par défaut que par conviction, certes). J ai peur que l'absence de 10 leur soit vraiment préjudiciable à ce niveau.

SEB34 Ven 13 Oct 2023 - 20:33

https://www.ladepeche.fr/2023/10/13/irlande-nouvelle-zelande-cetait-excellent-pour-ma-vision-beauden-barrett-un-all-black-eleve-au-foot-gaelique-en-irlande-11517077.php

**Scalp** Ven 13 Oct 2023 - 21:29

https://x.com/GauthierBaudin/status/1712724320584102338?s=20

**Scalp** Ven 13 Oct 2023 - 21:33

L'Irlande au coeur d'une énorme polémique avant le quart face aux All Blacks !

https://www.quinzemondial.com/coupe-du-monde/l-irlande-au-coeur-d-une-enorme-polemique-avant-le-quart-face-aux-all-blacks--788334?utm_campaign=post-auto&utm_medium=twitter&utm_source=default

**Scalp** Ven 13 Oct 2023 - 22:24

https://x.com/pierreammiche/status/1712835693989285908?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ

https://x.com/pierreammiche/status/1712835693989285908?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ

Mieux que sur TF1 :chambreur:

Jean-Michel Sam 14 Oct 2023 - 9:27

Van staden bizarre un qui est dans le groupe de l'équipe championne du monde et qui d'après un certain dirigeant de chez nous n'avait plus le niveau

Jean-Michel Sam 14 Oct 2023 - 9:28

Pardon pour jouer chez nous.

**Big'Ben** Sam 14 Oct 2023 - 10:13

Jean-Michel a écrit:Van staden bizarre un qui est dans le groupe de l'équipe championne du monde et qui d'après un certain dirigeant de chez nous n'avait plus le niveau

Il n'a jamais été question de son niveau technique au rugby, mais surtout de ses nombreuses commotions qu'il a subit. Arrêtons de déformer la réalité.

**Scalp** Sam 14 Oct 2023 - 10:23

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Antoine-dupont-un-jeu-en-quete-d-adaptation/1425165

Antoine Dupont, un jeu en quête d'adaptation

Plus surveillé qu'à ses débuts, Antoine Dupont cherche désormais davantage à faire jouer ses partenaires. Ce qui lui épargne quelques contacts.

Alex Bardot

Préparez-vous à trembler. Ce dimanche, et c'est inévitable dans un match de ce niveau même quand on joue demi de mêlée, Antoine Dupont subira des contacts. Autant que le laisse imaginer le profil de puncheur du capitaine tricolore ? Pas sûr. Après un début de carrière où il est beaucoup parti à l'assaut ballon sous le bras, Dupont se confronte désormais moins souvent directement à la défense.

Statistiquement, la baisse est plus sensible avec Toulouse (-43 % de plaquages subis entre 2019-2020 et 2022-2023) qu'avec l'équipe de France (- 12% sur la même période), mais elle est réelle. « Ça n'a pas forcément été une volonté de changer, je me suis adapté, disait Dupont hier en conférence de presse. Ça montre que j'ai pris en expérience, que je suis capable de m'adapter à ce que l'adversaire propose. »

La raison majeure du virage plus distributeur pris par le Toulousain est donc de mieux profiter de la surveillance accrue des défenses sur sa personne. « S'il y a moins d'espace en face de moi, c'est qu'il y en a un peu plus loin en principe, ajoutait-il. Et le rôle premier du demi de mêlée, c'est de bien faire jouer son équipe. Je me retrouve aussi bien dans ce jeu-là que dans celui où je portais un peu plus le ballon. »

En mars dernier, dans Midi Olympique, le meilleur joueur du monde de l'année 2021 expliquait qu'il voulait « aussi (s)'économiser des contacts inutiles », lui qui en encaisse déjà beaucoup en défense (10,2 plaquages par quatre-vingts minutes jouées la saison dernière avec les Bleus, exactement deux fois plus qu'en 2019-2020).

Toujours provocateur mais davantage passeur

Le passage du puncheur au distributeur est parfois très net. « Contre l'Écosse(32-21, le 26 février dernier), je n'ai pas pris un seul contact et je crois que cela ne m'était pas arrivé depuis longtemps », s'amusait-il, toujours dans Midi Olympique. Le visionnage de ce match montre un joueur qui s'est mis en tête de faire vivre le ballon, et qui y parvient bien. Toujours provocateur, mais lâchant le ballon avant d'être tamponné.

La même idée d'adaptation semble l'animer depuis le coup d'envoi de la Coupe du monde : en deux matches, il n'a « pris » volontairement que trois contacts, les autres étant la conséquence de l'action en cours. Ça ne l'a pas empêché de se blesser au visage contre la Namibie (96-0, le 21 septembre), mais c'était sur un plaquage à retardement alors qu'il avait déjà effectué une passe.

Dimanche, la pression défensive sud-africaine mettra de nouveau Dupont dans des situations de contact. L'habitude prise de davantage faire jouer va-t-elle l'aider, lui qui a en plus une plaque sur la pommette ? « C'est sûr que face à une défense comme celle des Sud-Africains, qui vient chercher très haut les attaquants, c'est mieux de pouvoir se donner du confort, de donner le ballon à nos receveurs, que ce soit les avants ou le demi d'ouverture, répondait-il hier, deux jours avant le quart au Stade de France. Mais encore une fois, il faudra aller s'adapter et aller chercher les espaces là où ils sont. »

**Scalp** Sam 14 Oct 2023 - 10:24

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Antoine-dupont-sans-frein-ni-pression-pour-sa-reprise-face-aux-springboks/1425173

Antoine Dupont sans frein ni pression pour sa reprise face aux Springboks

De retour après sa fracture à la pommette droite, le demi de mêlée et capitaine des Bleus dit aborder le quart de finale de Coupe du monde face à l'Afrique du Sud sans appréhension. Il portera juste un casque, précaution fortement conseillée par son chirurgien.

Laurent Campistron (avec J.-F. P.)

Sa parole était attendue. Voilà plus de trois semaines, depuis ce coup de tête involontaire du Namibien Johan Deysel qui lui fractura la pommette droite à Marseille, qu'Antoine Dupont ne s'était pas exprimé face aux médias. Alors, il y avait du monde, vendredi midi, à l'auditorium du stade de Roland-Garros. Le demi de mêlée et capitaine de l'équipe de France (26 ans) est arrivé peu après l'heure prévue, maillot bleu sur le dos, en compagnie de Fabien Galthié, sélectionneur venu annoncer l'équipe qui affrontera l'Afrique du Sud, dimanche soir, au Stade de France, en quarts de finale de la Coupe du monde.

Le joueur avait encore un mince trait noir sous l'oeil droit, mais rien de comparable avec le coquard qu'il arborait juste après son opération, avec pose de plaques en titane, de l'os zygomatique par le professeur Frédéric Lauwers, le 22 septembre dernier, à l'hôpital Purpan de Toulouse. Dupont a commencé par dire qu'il se sentait bien, « à la fois mentalement et physiquement », confirmant l'impression laissée lors de ses entraînements de la semaine sur la pelouse du stade du Parc de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine).

La veille, notamment, il avait réussi à passer une pénalité complètement en coin, presque sur la ligne d'en-but. Le genre d'exploit qu'un joueur lambda réussit une fois sur vingt, mais que le meilleur joueur du monde en 2021 peut espérer réaliser à sa première tentative, bluffant tous ses partenaires.

« Si je joue, c'est que j'ai eu l'aval du chirurgien, qu'on a respecté les délais et que mon ressenti est bon. Je ne voulais surtout pas jouer avec un frein, et ça ne sera pas le cas
Antoine Dupont, capitaine de l'équipe de France

Le Toulousain a pourtant craint de devoir abandonner son équipe avant même que ne commencent les choses sérieuses. « Quand j'ai pris ce coup, j'ai tout de suite senti que quelque chose n'allait pas, raconte-t-il. J'ai donc pensé aussitôt que la Coupe du monde était peut-être terminée pour moi. J'ai dû attendre les premiers examens, le rendez-vous avec le chirurgien et l'opération pour retrouver de l'espoir. Ensuite, j'ai eu trois semaines pour me régénérer, retrouver des sensations et valider toutes les étapes avant mon retour. »

Une convalescence idéale, donc, qui pose quand même quelques questions. Le joueur pourra-t-il défendre et s'engager dans le combat sans arrière-pensées, comme il le fait d'habitude ? Alors que sa zone, qui est aussi un peu celle de l'ouvreur Matthieu Jalibert, pas réputé pour être le meilleur défenseur du monde, sera probablement ciblée par les robustes Springboks ?

« Les entraînements de la semaine, avec la reprise du rugby avec contacts, m'ont permis de retrouver de la confiance et de lever l'appréhension, dit-il. Je n'ai ressenti aucune douleur, ce qui m'a rassuré aussi. Après, si je joue, c'est que j'ai eu l'aval du chirurgien, qu'on a respecté les délais et que mon ressenti est bon. Je ne voulais surtout pas jouer avec un frein, et ça ne sera pas le cas. »

Dupont portera bien un casque

Un frein, non. Mais un casque, oui. Même s'il ne l'avait pas vendredi après-midi au Stade de France, lors d'une séance d'entraînement où il s'est surtout évertué à soigner son jeu au pied, Dupont portera bien un casque noir, dimanche soir, face aux Boks. « C'est le chirurgien qui m'a proposé ça, confie-t-il. Il me l'a plus que proposé, d'ailleurs (rires). Mais ça va, je n'ai pas de problème avec ça, ce casque ne me gêne pas pour la vision. »

Les Bleus sont évidemment ravis de retrouver leur capitaine, même si l'intérim assuré par Maxime Lucu puis Baptiste Couilloud face à l'Italie (60-7), vendredi dernier, a donné satisfaction. « Antoine inspire de la crainte aux adversaires, observe Jalibert. Les mecs essaient de trouver des solutions pour le contrer, ce qui nous permet d'avoir plus d'espaces autour de lui. C'est toujours un atout de l'avoir avec nous. Même s'il porte un casque, il est à 100 % de ses capacités. »« Antoine est notre capitaine, ajoute l'arrière Thomas Ramos. Il a une influence sur le groupe, mais aussi sur l'environnement extérieur, notamment les arbitres. Il a un très long jeu au pied, c'est l'un de ses points forts. Et il est capable de trouver une brèche à n'importe quel moment. »

Reste que le prodige français, aussi robuste soit-il, se relève à peine d'une blessure à la face. Et que cette fragilité peut peut-être avoir une influence sur son jeu et celui de son équipe. Ses coéquipiers ne chercheront-ils pas à le protéger davantage que d'habitude ? « Il n'y a pas de stratégie particulière pour ça, assure le troisième-ligne aile Charles Ollivon. En troisième ligne, on sera juste missionnés pour bien protéger toutes les zones autour de la charnière. C'est collectivement qu'on s'en sortira, en s'entraidant les uns les autres. Dans les matches comme ça, tu as besoin de sentir le copain juste à côté pour te surpasser et aller sur la ligne de front. » Et quand le copain s'appelle Antoine Dupont, c'est encore plus rassurant. Qu'il soit casqué ou pas.

**Scalp** Sam 14 Oct 2023 - 10:26

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Le-duo-flament-woki-va-faire-face-a-ce-qui-se-fait-de-mieux-contre-etzebeth-et-mostert/1425189

Le duo Flament-Woki va faire face à ce qui se fait de mieux contre Etzebeth et Mostert

L'un est un 4 décalé en 5, l'autre est un troisième-ligne de formation. Associés en deuxième ligne dans cette Coupe du monde, Flament et Woki vont passer ce qui ressemble à un test ultime face aux références sud-africaines Etzebeth et Mostert.

Romain Bergogne

Le rendez-vous Flament-Woki vs Mostert-Etzebeth a déjà eu lieu en novembre à Marseille (30-26) mais il a été écourté par la sortie après trente minutes du premier nommé sur commotion, subie sur un maul dévastateur sud-africain qui avait abouti à l'essai de Siya Kolisi. Difficile de mieux résumer sur une action les craintes d'un deuxième-ligne quand il croise la route des Springboks. « C'est le match référence à ce poste, celui que tu attends, car ils ont cette culture de la deuxième ligne, avec des garçons qui mettent beaucoup de combat, d'intensité, d'agressivité, tout en ayant un gros volume de jeu, en se déplaçant, en étant aérien », explique l'ancien numéro 5 des Bleus Jérôme Thion.

« Eben Etzebeth, c'est la référence, poursuit Patrice Collazo, qui l'a entraîné à Toulon. Il coche toutes les cases du poste avec des moyennes très élevées partout : il excelle en touche, se déplace, fait avancer son équipe avec le ballon et a cette férocité dans le combat sur l'homme. Sous un jeu au pied, c'est souvent le premier, et il harcèle le neuf adverse constamment en bord de rucks. » Lood De Jager forfait pour la Coupe du monde (malade), Etzebeth est accompagné par Franco Mostert, sacré client aussi dans son registre. « Il a beaucoup joué en troisième ligne, c'est un profil que les Sud-Africains aiment bien, comme Du Toit (qui joue en 7), dédié au jeu aérien, qui a une énorme activité sans ballon, gros défenseur, énorme combattant. »

Dans la fureur du Vélodrome, Cameron Woki avait largement tenu le bras de fer pour son baptême du feu face aux pointures sud-africaines. « On a deux binômes différents, mais ça ne veut pas dire que l'un est meilleur que l'autre, résume Pascal Papé, qui avait toujours « plaisir » à croiser son homologue sud-africain Bakkies Botha. Woki et Flament sont tous les deux des hybrides. C'est moins dense que la paire Etzebeth-Mostert mais ils compensent largement par leur activité et les distances parcourues. Sur la bataille physique pure, les Français sont bien armés par ailleurs avec les Atonio, Baille, Jelonch, Alldritt... Pour Flament et Woki, c'est une énorme mission mais s'ils sont prêts mentalement, ils ont toutes les qualités pour rivaliser. »

« Dans les tâches plus obscures du poste, les déblayages notamment, Flament et Woki se sont tous les deux épaissis. »
Pascal Papé

L'atypique attelage tricolore a été formé en deux temps. C'est d'abord Woki le troisième-ligne qui est monté dans la cage à partir en novembre 2021, au moment où Flament obtenait ses premières sélections, lui aussi à gauche de la deuxième ligne. Puis les absences récurrentes du massif Paul Willemse (2,01 m, 127 kg), longtemps le 5 préférentiel, alors que Romain Taofifenua est jugé comme un excellent finisseur, ont poussé l'encadrement des Bleus à tenter l'association Flament-Woki en novembre dernier. « La principale question, c'était la mêlée mais avec les 140 kg d'Atonio à droite et une troisième ligne très dense, ça n'a jamais été un souci finalement, se rappelle Papé. Le retour d'Anthony Jelonch tombe bien de ce point de vue là. »« Dans les tâches plus obscures du poste, les déblayages notamment, Flament et Woki se sont tous les deux épaissis, sans perdre leur qualité de déplacement et leur intelligence rugby. »

Taofifenua précieux pour conclure le match

Les deux ne rechignent pas au travail ingrat, notamment sur les séquences offensives, où les Bleus font appel à d'autres porteurs de balle clairement identifiés comme Grégory Alldritt et Jonathan Danty. S'il faut aller défier au ras, ils s'y collent aussi avec l'outil du jeu après contact dans leur palette, en témoigne cette passe acrobatique de Woki qui fait la différence sur le premier essai de Damian Penaud face à l'Italie (50-16 le 11 octobre).

« Les Sud-Africains ont un système différent, pas de porteurs bien identifiés, mais un partage des tâches plus équitable entre les avants, pointe Gurthrö Steenkamp, l'ancien pilier de l'Afrique du Sud (53 sélections) et aujourd'hui entraîneur de la mêlée de La Rochelle. Donc Etzebeth et Mostert portent plus le ballon. Woki et Flament sont peut-être dans un autre registre mais ils savent répondre physiquement. J'ai joué à l'époque avec Victor Matfield qui était à 106-107 kg et ça ne l'empêchait pas d'être très dur. »

Peu d'observateurs sont donc inquiets pour la deuxième ligne française, car les deux packs dans leur ensemble dégagent finalement la même impression de densité. Les chocs du Vélodrome, en novembre, résonnent encore dans les esprits.

« Pour qu'ils expriment moins leur puissance et qu'ils soient privés de ballon, la touche sera aussi une grosse clé du match, ajoute Collazo. Et c'est là que ce choix de deuxième ligne est aussi intéressant. Avec Flament, Woki et Ollivon, la France a trois joueurs de très haut niveau dans ce secteur, qui sautent partout. Même au niveau international, c'est un luxe. Les Sud-Africains ont Mostert, Du Toit et Etzebeth, mais dans une zone bien précise pour ce dernier, car il saute surtout devant. Je pense que les Français voudront aller les chercher en haut et s'ils gagnent ces duels, ça évite des mauls ou des séquences défensives lourdes. »

Avec un banc en 5-3, les Sud-Africains n'auront finalement qu'un deuxième-ligne sur le banc. Un cinq, un vrai, en la personne de l'impressionnant RG Snyman. Face auquel les Bleus dégaineront l'atout Romain Taofifenua. « L'essentiel finalement, c'est d'avoir un cinq sur la feuille, conclut Collazo. Romain pourrait très largement débuter mais si on attaque avec lui, qui rentre ensuite dans ce profil-là ? Donc c'est plus cohérent comme ça, sachant que Flament peut glisser en 4 et Woki en troisième ligne selon les scénarios car les deux peuvent tenir quatre-vingts minutes. C'est un autre luxe de cette équipe de France. »

**Scalp** Sam 14 Oct 2023 - 10:28

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-irlande-une-equipe-qui-ne-laisse-rien-au-hasard-pour-decrocher-le-graal/1425205

L'Irlande, une équipe qui ne laisse rien au hasard pour décrocher le Graal

Les Irlandais disposent d'une organisation sans faille où chaque détail est observé avec une méticulosité presque maladive.

Jean-Christophe Collin

C'est une tradition anglo-saxonne. Lorsqu'un joueur atteint un nombre de sélections symbolique comme la centaine, il précède ses coéquipiers sur le terrain. C'est ainsi que Peter O' Mahony pénétra seul sur la pelouse du Stade de France. Sauf que ce jour-là, il n'y avait pas de rencontre, c'était le « team run », veille du match Irlande-Afrique du Sud (23 septembre). Mais même ça, les Irlandais l'ont répété.

Ensuite, chaque minute est utile, les exercices réalisés sans aucun ballon tombé, chaque passe est parfaite. Rien à voir avec l'ambiance décontractée du team run, vendredi, de l'équipe de France. « Ils sont obsessionnels du détail, du cadre de vie aux lancements de jeu, ils en deviennent paranoïaques », raconte un dirigeant basque qui les a observés lors de leur match de préparation à Bayonne. Sexton est venu s'entraîner à taper des pénalités, le staff a demandé à faire évacuer le stade entier !

« Et jusqu'au dernier moment, ils peuvent tout changer pour améliorer les choses », poursuit le dirigeant. Ainsi, tous les soirs à 23 heures, l'Aviron Bayonnais recevait un mail qui actualisait le programme du lendemain. Après Bayonne, les Irlandais sont allés rendre dingues les Tourangeaux. Même exigence incessante. Dans la délégation irlandaise, pas de place pour l'impondérable. Tout est envisagé, du jeu en losange de l'équipe « jusqu'à la marque du gel douche » de leur hôtel à Tours, raconte un dirigeant local. Cela transparaît sur le terrain. « C'est une symphonie », s'esbaudit un entraîneur du Top 14, leur jeu en cellule qu'ils déclinent à la perfection de façon mécanisée, la répartition de l'espace, la même entre chaque joueur, au centimètre près ! »

Toute la logistique, la vie de tous les jours, est notamment administrée par leur manager, Géraldine Armstrong, dont la manière de régenter le quotidien n'est pas toujours appréciée localement. Ils se sont peu ouverts urbi et orbi. « Leurs exigences étaient parfois limites, sans tenir compte des gens, raconte un dirigeant tourangeau, les Irlandais sont charmants, mais là, ils sont en mission pour être champions du monde. »

« Cette discipline, ils n'en sortent pas d'un iota, mais attention, c'est très énergivore, et le problème, c'est le jour où ça ne marche pas, quel est le plan B ? »
Philippe Gardent, ancien « Barjot »

Et dès lors, ils avancent comme une troupe en campagne. En machine bien huilée qui fonctionne sur elle-même. « Le plus important a été l'environnement qui a été créé autour de nous, confirme le deuxième-ligne Tadhg Beirne, rien n'a été laissé au hasard dans l'encadrement technique, la nutrition, la préparation physique et même dans le temps hors rugby. »

Le staff a laissé carte blanche aux joueurs lors de la semaine de préparation juste avant la Coupe du monde, ils ont fait une grosse soirée au marché de Biarritz. Puis il a mis le couvercle. La délégation est une bulle hermétique. Rien n'en sort. Le troisième-ligne, Josh Van der Flier, s'est fait opérer d'un doigt à Tours en toute discrétion. Rien n'a filtré.

Quelle équipe de sport collectif a atteint ce degré d'exigence collective ? Peut-être l'équipe soviétique de hockey sur glace de Victor Tikhonov (dans les années 1970-80). « En handball, il y a l'équipe d'Espagne qui est dans cet esprit de rigueur », raconte l'ancien handballeur Philippe Gardent, qui a appartenu à l'équipe la plus éloignée dans le spectre des sports collectifs, les Barjots (première équipe française championne du monde en 1995). « C'est clair, convient-il. Après, ce sont de monstres physiques, ce qu'on était aussi. »

Devenu entraîneur (à Aix, cette saison), Gardent voit les choses autrement. « Pour un coach, c'est extrêmement difficile d'inculquer cette rigueur collective, c'est impressionnant ce qu'ils font, on voit le boulot qu'il y a derrière. Après c'est sécurisant, on répète le système tous les jours comme un pianiste. Cette discipline, ils n'en sortent pas d'un iota, mais attention c'est très énergivore, et le problème, c'est le jour où ça ne marche pas, quel est le plan B ? »

Même réflexion chez Claude Fauquet (ancien DTN), qui, par un cadre strict, a hissé la natation française au plus haut niveau. « Cette rigueur crée les conditions de la performance, explique-t-il. C'est nécessaire mais pas suffisant. La structure d'ensemble est organisée autour de ce projet d'être champion du monde. »

Lorsqu'on a demandé à Mike Catt, l'entraîneur des arrières, s'ils étaient certains d'avoir coché toute leur « to do list » pour affronter les All Blacks et dépasser enfin les quarts de finale, il a répondu : « Les garçons ont tout fait pour avoir une intelligence collective quoi qu'il arrive. On a fait beaucoup de petits pas depuis des années. » « Le problème, dans cette configuration, explique Fauquet, c'est qu'il ne faut pas que le moindre détail vienne la perturber. » C'est la clé de ce match, les All Blacks, avec leur vitesse notamment, parviendront-ils à enrayer la machine verte ?

**Scalp** Sam 14 Oct 2023 - 10:29

Coupe du Monde 2023 en France - Page 30 Capt6589

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Crunch-le-podcast-rugby-de-l-equipe-face-aux-boks-plus-brutal-tu-meurs/1364872

**Scalp** Sam 14 Oct 2023 - 10:29

Coupe du monde de rugby 2023 - Quels sont les risques d'une titularisation d'Antoine Dupont face à l'Afrique du Sud ?

https://www.rugbyrama.fr/2023/10/14/coupe-du-monde-de-rugby-2023-quels-sont-les-risques-dune-titularisation-dantoine-dupont-face-a-lafrique-du-sud-11516542.php

**Scalp** Sam 14 Oct 2023 - 10:31

Coupe du monde de rugby : d'où vient «Azaï», le cri de guerre du XV de France ?

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/coupe-du-monde/coupe-du-monde-de-rugby-d-ou-vient-azai-le-cri-de-guerre-du-xv-de-france-20231014

**Scalp** Sam 14 Oct 2023 - 11:09

https://x.com/SixNations_FR/status/1713094927083511848?s=20

SEB34 Sam 14 Oct 2023 - 11:12

Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-irlande-une-equipe-qui-ne-laisse-rien-au-hasard-pour-decrocher-le-graal/1425205

L'Irlande, une équipe qui ne laisse rien au hasard pour décrocher le Graal

Les Irlandais disposent d'une organisation sans faille où chaque détail est observé avec une méticulosité presque maladive.

Jean-Christophe Collin

C'est une tradition anglo-saxonne. Lorsqu'un joueur atteint un nombre de sélections symbolique comme la centaine, il précède ses coéquipiers sur le terrain. C'est ainsi que Peter O' Mahony pénétra seul sur la pelouse du Stade de France. Sauf que ce jour-là, il n'y avait pas de rencontre, c'était le « team run », veille du match Irlande-Afrique du Sud (23 septembre). Mais même ça, les Irlandais l'ont répété.

Ensuite, chaque minute est utile, les exercices réalisés sans aucun ballon tombé, chaque passe est parfaite. Rien à voir avec l'ambiance décontractée du team run, vendredi, de l'équipe de France. « Ils sont obsessionnels du détail, du cadre de vie aux lancements de jeu, ils en deviennent paranoïaques », raconte un dirigeant basque qui les a observés lors de leur match de préparation à Bayonne. Sexton est venu s'entraîner à taper des pénalités, le staff a demandé à faire évacuer le stade entier !

« Et jusqu'au dernier moment, ils peuvent tout changer pour améliorer les choses », poursuit le dirigeant. Ainsi, tous les soirs à 23 heures, l'Aviron Bayonnais recevait un mail qui actualisait le programme du lendemain. Après Bayonne, les Irlandais sont allés rendre dingues les Tourangeaux. Même exigence incessante. Dans la délégation irlandaise, pas de place pour l'impondérable. Tout est envisagé, du jeu en losange de l'équipe « jusqu'à la marque du gel douche » de leur hôtel à Tours, raconte un dirigeant local. Cela transparaît sur le terrain. « C'est une symphonie », s'esbaudit un entraîneur du Top 14, leur jeu en cellule qu'ils déclinent à la perfection de façon mécanisée, la répartition de l'espace, la même entre chaque joueur, au centimètre près ! »

Toute la logistique, la vie de tous les jours, est notamment administrée par leur manager, Géraldine Armstrong, dont la manière de régenter le quotidien n'est pas toujours appréciée localement. Ils se sont peu ouverts urbi et orbi. « Leurs exigences étaient parfois limites, sans tenir compte des gens, raconte un dirigeant tourangeau, les Irlandais sont charmants, mais là, ils sont en mission pour être champions du monde. »

« Cette discipline, ils n'en sortent pas d'un iota, mais attention, c'est très énergivore, et le problème, c'est le jour où ça ne marche pas, quel est le plan B ? »
Philippe Gardent, ancien « Barjot »

Et dès lors, ils avancent comme une troupe en campagne. En machine bien huilée qui fonctionne sur elle-même. « Le plus important a été l'environnement qui a été créé autour de nous, confirme le deuxième-ligne Tadhg Beirne, rien n'a été laissé au hasard dans l'encadrement technique, la nutrition, la préparation physique et même dans le temps hors rugby. »

Le staff a laissé carte blanche aux joueurs lors de la semaine de préparation juste avant la Coupe du monde, ils ont fait une grosse soirée au marché de Biarritz. Puis il a mis le couvercle. La délégation est une bulle hermétique. Rien n'en sort. Le troisième-ligne, Josh Van der Flier, s'est fait opérer d'un doigt à Tours en toute discrétion. Rien n'a filtré.

Quelle équipe de sport collectif a atteint ce degré d'exigence collective ? Peut-être l'équipe soviétique de hockey sur glace de Victor Tikhonov (dans les années 1970-80). « En handball, il y a l'équipe d'Espagne qui est dans cet esprit de rigueur », raconte l'ancien handballeur Philippe Gardent, qui a appartenu à l'équipe la plus éloignée dans le spectre des sports collectifs, les Barjots (première équipe française championne du monde en 1995). « C'est clair, convient-il. Après, ce sont de monstres physiques, ce qu'on était aussi. »

Devenu entraîneur (à Aix, cette saison), Gardent voit les choses autrement. « Pour un coach, c'est extrêmement difficile d'inculquer cette rigueur collective, c'est impressionnant ce qu'ils font, on voit le boulot qu'il y a derrière. Après c'est sécurisant, on répète le système tous les jours comme un pianiste. Cette discipline, ils n'en sortent pas d'un iota, mais attention c'est très énergivore, et le problème, c'est le jour où ça ne marche pas, quel est le plan B ? »

Même réflexion chez Claude Fauquet (ancien DTN), qui, par un cadre strict, a hissé la natation française au plus haut niveau. « Cette rigueur crée les conditions de la performance, explique-t-il. C'est nécessaire mais pas suffisant. La structure d'ensemble est organisée autour de ce projet d'être champion du monde. »

Lorsqu'on a demandé à Mike Catt, l'entraîneur des arrières, s'ils étaient certains d'avoir coché toute leur « to do list » pour affronter les All Blacks et dépasser enfin les quarts de finale, il a répondu : « Les garçons ont tout fait pour avoir une intelligence collective quoi qu'il arrive. On a fait beaucoup de petits pas depuis des années. » « Le problème, dans cette configuration, explique Fauquet, c'est qu'il ne faut pas que le moindre détail vienne la perturber. » C'est la clé de ce match, les All Blacks, avec leur vitesse notamment, parviendront-ils à enrayer la machine verte ?

LOL
Ils ont raison le gel douche, c'est beaucoup moins dangereux que les savonnettes dans les sanitaires collectifs. y a un article bloqué sur l'équipe mis en ligne hier à 00H00 qui me semble intéressant.

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