Finale 2024 : Stade Toulousain / UBB

Finale Stade Toulousain – UBB : "Comment ça pas de Madosh Tambwe…" Les supporters de Bordeaux-Bègles pestent après la nouvelle absence de l’ailie

https://www.ladepeche.fr/2024/06/27/finale-stade-toulousain-ubb-comment-ca-pas-de-madosh-tambwe-les-supporters-de-bordeaux-begles-pestent-apres-la-nouvelle-absence-de-lailier-12045208.php

Non désolé, moi, je ne peste pas, je regrette de ne pas voir Madosh que j'adore, mais je comprends parfaitement le choix de Bru. Notre ligne arrière est parfaite avec Penaud et LBB aux ailes, avec notre 6/2, Madosh ne pouvait pas trouver sa place sur le banc, LBB va rester, lui va partir, on ne peut pas aligner tout le monde, c'est un choix parfaitement logique. Le combat devant sera stratégique, le ST n'y pas toutes ses armes, je crois que Bru a raison en faisant un 6/2 ! Il est tout sauf débile…, ça ne veut pas dire que ça va marcher, mais ça me parait être une bonne façon d'envisager cet affrontement !

Le 6+2 on verra si c'est la bonne stratégie le seul hic ça exclu madosh, après chose notable bru amène encore des joueurs frais notamment sur le banc maynadier, douglas, samu, Abadie, taufa, c'est une bonne chose. On verra le jus qui nous reste, je vais profiter de cette finale car j'en ai jamais connus en 1991 j'avais 3 mois

nadoloubb a écrit:Le 6+2 on verra si c'est la bonne stratégie le seul hic ça exclu madosh, après chose notable bru amène encore des joueurs frais notamment sur le banc maynadier, douglas, samu, Abadie, taufa, c'est une bonne chose. On verra le jus qui nous reste, je vais profiter de cette finale car j'en ai jamais connus en 1991 j'avais 3 mois

Moi j’étais étudiant à Toulouse, un super souvenir, même si je m’étais fait vandaliser ma Bagnole en 33, certainement pas par des vrais supporters, mais les débiles, il y en a partout

Ce qui m’inquiète, c’est combien de temps tiendra jalibert, parce qu’à sa sortie, on ne sera pas hyper serein. Mais pour le 6/2, j’y crois, il faut absolument exister devant sur la longueur du match…, condition sine qua non pour espérer un résultat…

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Big'Ben a écrit:Un 6+2 contre un 5+3, ça va être très compliqué je pense, surtout que dans la compo, on va dire que seul Abadie me fait flipper (outre les blessures de Tameifuna et Jalibert), déçu par la non présence de Tambwe et de Lesgourgues.
Devant on a misé sur Douglas, Samu et Taufa, c'est très bien je trouve. J'espère que notre pari sera le bon.

Pour Douggie, c'est normal, il apporte autre chose que Petti et notamment dans le combat; transparent voire Casperien en ce moment notre Argentin...

Force est de constater que c'est lui qui apporte le plus en 2nde ligne en terme d'agressivité, il fera la loi dans les ruck et je compte sur Coleman et Cazeaux pour faire la loi aussi et surtout de ne pas faire de faute stupide... Une des choses que je demande c'est "Pas de carton", sinon on va prendre tarif en plus de s'user plus rapidement...
Je croise tout les doigts...

Pour ceux qui débarquent et qui ne lise pas les pages précédentes, je sais qu’il y en a, pour nos amis Toulousains qui se posent des questions également. Garcia est forfait pour ce match, on a choisi de ne pas prendre Holmes, mais plutôt des risques, ce qui peut se comprendre…

Big'Ben a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Big'Ben a écrit:Un 6+2 contre un 5+3, ça va être très compliqué je pense, surtout que dans la compo, on va dire que seul Abadie me fait flipper (outre les blessures de Tameifuna et Jalibert), déçu par la non présence de Tambwe et de Lesgourgues.
Devant on a misé sur Douglas, Samu et Taufa, c'est très bien je trouve. J'espère que notre pari sera le bon.

Pour Douggie, c'est normal, il apporte autre chose que Petti et notamment dans le combat; transparent voire Casperien en ce moment notre Argentin...

Force est de constater que c'est lui qui apporte le plus en 2nde ligne en terme d'agressivité, il fera la loi dans les ruck et je compte sur Coleman et Cazeaux pour faire la loi aussi et surtout de ne pas faire de faute stupide... Une des choses que je demande c'est "Pas de carton", sinon on va prendre tarif en plus de s'user plus rapidement...
Je croise tout les doigts...

Content que Kane finissent à l’UBB par une finale, il le mérite vraiment, et on peut être certain qu’il sera à la hauteur !

densnewzealand a écrit:

Befa a écrit:

Scalp a écrit:

Lawrence the Hammer a écrit:Madosh a commencé son aventure Bordelaise par un doublé face à Toulouse, tout le monde aurait aimé le voir jouer demain.

On a privilégié un banc 6/2 et LBB, c'est un choix, moi aussi, j'aurais aimé le voir, mais je comprends le choix de Bru. Madosh s'en va, tu ne peux pas le mettre titulaire au détriment de LBB, ni sur le banc par manque de polyvalence. Totale confiance en LBB, c'est l'avenir de l'UBB, un moment crucial à vivre pour lui !

Scalp la seule raison de la présence de Abadie sur la feuille c'est ça qualité de buteur
Si MJ sort il n y a plus que Max qui bute , s'il se blesse y a plus personne

C'est UNIQUEMENT parce qu'il bute et qu'il y a un banc en 6 / 2 .
Donc obligé d'avoir des arrières polyvalent

Mais je suis complètement dégoûté pour Madosh vraiment dégoûté.

C’est vrai que les qualités de buteur de Abadie m’ont sauté aux yeux cette année

Imagine qu'on gagne la finale sur une pénalité d'Abadie, tu paies une tournée générale ?

Thony a écrit:

densnewzealand a écrit:

Befa a écrit:

Scalp a écrit:

Lawrence the Hammer a écrit:Madosh a commencé son aventure Bordelaise par un doublé face à Toulouse, tout le monde aurait aimé le voir jouer demain.

On a privilégié un banc 6/2 et LBB, c'est un choix, moi aussi, j'aurais aimé le voir, mais je comprends le choix de Bru. Madosh s'en va, tu ne peux pas le mettre titulaire au détriment de LBB, ni sur le banc par manque de polyvalence. Totale confiance en LBB, c'est l'avenir de l'UBB, un moment crucial à vivre pour lui !

Scalp la seule raison de la présence de Abadie sur la feuille c'est ça qualité de buteur
Si MJ sort il n y a plus que Max qui bute , s'il se blesse y a plus personne

C'est UNIQUEMENT parce qu'il bute et qu'il y a un banc en 6 / 2 .
Donc obligé d'avoir des arrières polyvalent

Mais je suis complètement dégoûté pour Madosh vraiment dégoûté.

C’est vrai que les qualités de buteur de Abadie m’ont sauté aux yeux cette année

Imagine qu'on gagne la finale sur une pénalité d'Abadie, tu paies une tournée générale ?

avec plaisir même deux

Scalp a écrit:https://www.sudouest.fr/gironde/bordeaux/finale-du-top-14-bordeaux-et-toulouse-deux-capitales-qui-ne-sont-plus-si-rivales-20282323.php

Finale du Top 14 : Bordeaux et Toulouse, deux capitales qui ne sont plus si rivales

Par Benoît Lasserre

Ce vendredi, à 21 heures, l’UBB tentera de conquérir son premier bouclier de Brennus face au Stade Toulousain qui en compte déjà vingt-deux. La comparaison entre les deux métropoles du Sud-Ouest est moins déséquilibrée

Ce ne sera pas tout à fait la revanche de 1991 puisque, le 1er juin de cette année-là, en finale du championnat de France au Parc des Princes, les Toulousains avaient baissé pavillon (19-10) devant les Béglais, pas encore unis aux Bordelais. Depuis, la Ville rose a conquis douze boucliers de Brennus sans être repue pour autant face à un club né en 2006 de la fusion du Stade Bordelais et du CA Béglais, dont c’est la première finale.

Dans le Sud-Ouest, on ne pouvait rêver meilleur scénario que ce derby de la Garonne, comme on dit dans les pages sportives, le choc entre ses deux capitales qui se partagent l’industrie aéronautique et spatiale, Bordeaux et Toulouse, longtemps qualifiées de rivales, en partie parce qu’une légende urbaine prétendait que les Toulousains se montraient plus accueillants que les Bordelais. Et surtout parce que, sur le plan économique, la préfecture de l’ex-Midi-Pyrénées avait alors plusieurs longueurs d’avance sur celle de l’ex-Aquitaine. Bordeaux était dirigée par un maire historique en fin de règne, Jacques Chaban-Delmas, alors que Toulouse incarnait la jeunesse et le dynamisme en la personne de Dominique Baudis. Toulouse en rose, Bordeaux en gris.

Au point que Chaban voulut importer le métro VAL automatique en service à Toulouse. On connaît la suite, le projet reçut un carton rouge en 1994, un an avant l’élection d’Alain Juppé dont la stature nationale et l’énergie rééquilibrèrent la balance au profit du port de la lune, notamment sur le plan démographique, même si Bordeaux intra muros, avec 261 000 habitants, reste loin de Toulouse avec 472 000. Les deux métropoles, en revanche, sont ex aequo, autour de 820 000 habitants, répartis dans 37 communes pour celle de Toulouse, 28 pour celle de Bordeaux.

Rugby plus que football

Privée de grues pendant des années, Bordeaux devint un chantier permanent : tramway, pont Chaban-Delmas, Euratlantique ou Bassins à flot sans oublier la rive droite. Un point décisif fut inscrit le 2 juillet 2017 avec la mise en service de la LGV Tours-Bordeaux. Entre la gare Saint-Jean et la gare Montparnasse, un trajet raccourci à deux heures et des pépins de raisin. Dans les années qui ont suivi, Bordeaux a profité à plein de son attraction auprès des Parisiens.

Les Toulousains attendent encore la LGV Toulouse Bordeaux, prévue pour 2032 avec un temps de parcours réduit d’une heure. Les travaux démarrent au sud de la Ville rose mais ne sont pas encore à l’abri de remous politiques et d’aléas économiques.

Longtemps, les sportifs des deux capitales se sont partagés entre football et rugby. Côté Girondins, ne remuons pas le crampon dans la plaie. À Toulouse, si le « Téfécé » évolue toujours en Ligue 1 et a remporté la Coupe de France 2023, il a perdu de son aura d’antan et ne tutoie plus le sommet de l’élite française. Le sport roi, à part la castagne célébrée par Nougaro, reste le rugby, d’autant plus que le Stade ne sait plus où ranger des trophées. Il vient d’être sacré meilleur club européen et veut ramener un 23e bouclier de Brennus, place du Capitole.

Son budget, numéro 1 du Top 14, est à la hauteur de son rang, 46,3 millions d’euros dont la moitié allouée à la masse salariale. Logique quand on aligne une pléiade d’internationaux, français ou étrangers, et quand on compte dans son effectif Antoine Dupont, le meilleur joueur du monde et l’un des mieux rémunérés aussi (805 000 euros annuels), le double de l’ailier UBB Damian Penaud, vedette du recrutement de l’intersaison.
Sur le même sujet

Sponsors bordelais

Si elle s’est hissée en finale, l’UBB figure en revanche à la huitième place du Top 14 quand on parle budget : 32,9 millions d’euros. Avec une structure capitalistique différente. L’UBB repose largement sur les épaules et le charisme de son président Laurent Marti (Toulousain d’origine) et s’appuie sur une multitude sponsors dont certains revendiquent leur enracinement bordelais : Fayat, Human Immobilier, Bistro Régent, Cacolac, Jock sans oublier l’Union des grands crus.

Le Stade a un fonctionnement plus collectif. Son président, l’ex-joueur Didier Lacroix, est salarié et pas actionnaire. Le capital est détenu à 48 % par l’Association Stade Toulousain Rugby, à 12 % par la société Fiducial, le principal sponsor, aux côtés d’entreprises XXL comme Airbus ou Peugeot ainsi que de Chausson ou Havas, et à 25 % par l’association Les Amis du Stade Toulousain, propriétaire du Stade Ernest Wallon (19 000 places) alors qu’à Bordeaux, Chaban-Delmas (33 000 places), propriété de la Ville, est mis à disposition de l’UBB. On sait qu’elle en fait bon usage puisque, pour la fréquentation et l’engouement du public, c’est elle la championne !

Non Laurent Marti n'est pas d'origine toulousaine, incroyable de la part de sud ouest.

willoush a écrit:

Scalp a écrit:https://www.sudouest.fr/gironde/bordeaux/finale-du-top-14-bordeaux-et-toulouse-deux-capitales-qui-ne-sont-plus-si-rivales-20282323.php

Finale du Top 14 : Bordeaux et Toulouse, deux capitales qui ne sont plus si rivales

Par Benoît Lasserre

Ce vendredi, à 21 heures, l’UBB tentera de conquérir son premier bouclier de Brennus face au Stade Toulousain qui en compte déjà vingt-deux. La comparaison entre les deux métropoles du Sud-Ouest est moins déséquilibrée

Ce ne sera pas tout à fait la revanche de 1991 puisque, le 1er juin de cette année-là, en finale du championnat de France au Parc des Princes, les Toulousains avaient baissé pavillon (19-10) devant les Béglais, pas encore unis aux Bordelais. Depuis, la Ville rose a conquis douze boucliers de Brennus sans être repue pour autant face à un club né en 2006 de la fusion du Stade Bordelais et du CA Béglais, dont c’est la première finale.

Dans le Sud-Ouest, on ne pouvait rêver meilleur scénario que ce derby de la Garonne, comme on dit dans les pages sportives, le choc entre ses deux capitales qui se partagent l’industrie aéronautique et spatiale, Bordeaux et Toulouse, longtemps qualifiées de rivales, en partie parce qu’une légende urbaine prétendait que les Toulousains se montraient plus accueillants que les Bordelais. Et surtout parce que, sur le plan économique, la préfecture de l’ex-Midi-Pyrénées avait alors plusieurs longueurs d’avance sur celle de l’ex-Aquitaine. Bordeaux était dirigée par un maire historique en fin de règne, Jacques Chaban-Delmas, alors que Toulouse incarnait la jeunesse et le dynamisme en la personne de Dominique Baudis. Toulouse en rose, Bordeaux en gris.

Au point que Chaban voulut importer le métro VAL automatique en service à Toulouse. On connaît la suite, le projet reçut un carton rouge en 1994, un an avant l’élection d’Alain Juppé dont la stature nationale et l’énergie rééquilibrèrent la balance au profit du port de la lune, notamment sur le plan démographique, même si Bordeaux intra muros, avec 261 000 habitants, reste loin de Toulouse avec 472 000. Les deux métropoles, en revanche, sont ex aequo, autour de 820 000 habitants, répartis dans 37 communes pour celle de Toulouse, 28 pour celle de Bordeaux.

Rugby plus que football

Privée de grues pendant des années, Bordeaux devint un chantier permanent : tramway, pont Chaban-Delmas, Euratlantique ou Bassins à flot sans oublier la rive droite. Un point décisif fut inscrit le 2 juillet 2017 avec la mise en service de la LGV Tours-Bordeaux. Entre la gare Saint-Jean et la gare Montparnasse, un trajet raccourci à deux heures et des pépins de raisin. Dans les années qui ont suivi, Bordeaux a profité à plein de son attraction auprès des Parisiens.

Les Toulousains attendent encore la LGV Toulouse Bordeaux, prévue pour 2032 avec un temps de parcours réduit d’une heure. Les travaux démarrent au sud de la Ville rose mais ne sont pas encore à l’abri de remous politiques et d’aléas économiques.

Longtemps, les sportifs des deux capitales se sont partagés entre football et rugby. Côté Girondins, ne remuons pas le crampon dans la plaie. À Toulouse, si le « Téfécé » évolue toujours en Ligue 1 et a remporté la Coupe de France 2023, il a perdu de son aura d’antan et ne tutoie plus le sommet de l’élite française. Le sport roi, à part la castagne célébrée par Nougaro, reste le rugby, d’autant plus que le Stade ne sait plus où ranger des trophées. Il vient d’être sacré meilleur club européen et veut ramener un 23e bouclier de Brennus, place du Capitole.

Son budget, numéro 1 du Top 14, est à la hauteur de son rang, 46,3 millions d’euros dont la moitié allouée à la masse salariale. Logique quand on aligne une pléiade d’internationaux, français ou étrangers, et quand on compte dans son effectif Antoine Dupont, le meilleur joueur du monde et l’un des mieux rémunérés aussi (805 000 euros annuels), le double de l’ailier UBB Damian Penaud, vedette du recrutement de l’intersaison.
Sur le même sujet

Sponsors bordelais

Si elle s’est hissée en finale, l’UBB figure en revanche à la huitième place du Top 14 quand on parle budget : 32,9 millions d’euros. Avec une structure capitalistique différente. L’UBB repose largement sur les épaules et le charisme de son président Laurent Marti (Toulousain d’origine) et s’appuie sur une multitude sponsors dont certains revendiquent leur enracinement bordelais : Fayat, Human Immobilier, Bistro Régent, Cacolac, Jock sans oublier l’Union des grands crus.

Le Stade a un fonctionnement plus collectif. Son président, l’ex-joueur Didier Lacroix, est salarié et pas actionnaire. Le capital est détenu à 48 % par l’Association Stade Toulousain Rugby, à 12 % par la société Fiducial, le principal sponsor, aux côtés d’entreprises XXL comme Airbus ou Peugeot ainsi que de Chausson ou Havas, et à 25 % par l’association Les Amis du Stade Toulousain, propriétaire du Stade Ernest Wallon (19 000 places) alors qu’à Bordeaux, Chaban-Delmas (33 000 places), propriété de la Ville, est mis à disposition de l’UBB. On sait qu’elle en fait bon usage puisque, pour la fréquentation et l’engouement du public, c’est elle la championne !

Non Laurent Marti n'est pas d'origine toulousaine, incroyable de la part de sud ouest.

Punaise ils sont graves… Depuis la création et surtout la montée en Top14 il y a eu 150 articles et itw sur l'histoire de l'UBB et le parcours de LM…

Bon avec le détail de l'article de SO, c'est pas non plus hyper rassurant pour Jaja, on sent qu'il sera dans la retenue et j'espère que ça ne va poser trop de problème dans le secteur défensif, déjà que c'est pas son point fort... On risque de se retrouver avec une charnière Abadie-Lucu pour finir le match, sueur froide

FrenchKick a écrit:Bon avec le détail de l'article de SO, c'est pas non plus hyper rassurant pour Jaja, on sent qu'il sera dans la retenue et j'espère que ça ne va poser trop de problème dans le secteur défensif, déjà que c'est pas son point fort... On risque de se retrouver avec une charnière Abadie-Lucu pour finir le match, sueur froide

Contre Oyonnax il était en 3eme rideau sur toutes les actions défensives. Ça alternait beaucoup avec Garcia. Je pense qu il y aura beaucoup alternance avec Buros pour que Jalibert ne soit pas exposé a minima sur les lancements de jeu adverses. Sachant que Buros connait tous les lancements de jeu et positionnements defensifs, je ne suis pas spécialement inquiet défensivement.

Bonsoir, à l'occasion de la finale, je vous propose toutes mes stats avant votre match contre le Stade Toulousain.
Lien : https://vu.fr/KXcfz
Bon match les amis

Comme vous, très triste que Madosh et Yann ne soient pas sur la feuille…

Pour MJ, je savais que c’était jouable. Il faudra sans doute un peu d’organisation collective pour qu’il n’ait pas à prolonger et à répéter les sprints. S’il est sur le terrain c’est qu’il peut faire des démarrages, donc sur la phase de « poussée » ça devrait être ok. Faudra laisser LBB faire les grandes courses défensives comme il fait si bien.
La chaleur est en tout cas un atout.

Par contre concernant BB, j’aimerais savoir le traitement qu’il a eu… Bon après il a une constitution exceptionnelle, donc probablement des ressources exceptionnelles.

FrenchKick a écrit:Bon avec le détail de l'article de SO, c'est pas non plus hyper rassurant pour Jaja, on sent qu'il sera dans la retenue et j'espère que ça ne va poser trop de problème dans le secteur défensif, déjà que c'est pas son point fort... On risque de se retrouver avec une charnière Abadie-Lucu pour finir le match, sueur froide

J'avais vu que d'habitude Lucu est à la couverture dans le jeu défensif, il y a fort à parier que cette fois-ci ce sera Jalibert avec Buros ou LBB selon si on veut faire une chandelle ou se dégager loin au pied... Je serais beaucoup étonné qu'il défende sur la ligne, à mon avis il sera en dernier défenseur en lieu et place de Buros qui ira lui-même sur la ligne de défense. Je ne vois pas le staff prendre des risques inconsidérés, un joueur pas à 100% c'est déjà risqué, mais si tu cherches à le faire défendre pour qu'il aille se faire péter par leur numéro 8 ou 12/13, c'est la fin des haricots...

Avec plus d'espace à l'arrière, le jeu au pied de Jalibert sera peut-être beaucoup mieux dosés, avec LBB/Penaud, tu peux être sur que ça va suivre, pareil pour nos centres, ils seront bien ligne pour bloquer une relance. Le maître mots sera de mettre la pression avant qu'ils ne prennent de la vitesse, parce-qu'une fois lancé... Pour arrêter la machine toulousaine, bah faut s'accrocher sévère et se dépenser beaucoup...

Toulouse va appuyer là où ça fait mal, et l'uns de nos points faibles sera Jalibert (et sa défense). Il va se faire charger, donc oui, je pense qu'il sera décalé pour être protégé.

Après, la victoire se construit (presque toujours) devant, et cette finale face à Toulouse ne devrait pas échapper à la règle. Si l'on veut avoir une chance, il faudra être propre en conquête et rivaliser devant. D'où le banc 6+2, je pense. On doit vouloir relever le défi physique devant, voire tenter de prendre l'ascendant.

Face à Paris, qui a peut-être le meilleur pack et qui joue (tout) là-dessus, on a bien rivaliser sur les rucks et les mauls, mais moins sur les mêlées et les touches. Ca ne pardonnera pas, contre Toulouse. Lamothe doit assurer la touche, et en mêlée il va falloir tenir le coup. Les absences de Meafou et Baille conjuguées au retour de Big Ben devraient (bien) aider. Si l'on arrive à prendre l'ascendant en mêlée, on aura fait un pas important. Je suis plus inquiet en touche, car en face c'est solide.

La discipline sera de toutes façons déterminante. Et on sait tous que ça tombe souvent du bon côté pour le ST

Au-delà des qualités et forces de chaque équipes, je vois bien ce match se jouer aussi sur un fait de jeu : une blessure, un carton...etc. Espérons que cela nous nous amène pas de regret.

On sait qu'on est pas favoris, et honnêtement, je pense que ce sera très dur pour nous. J'espère qu'on sortira de ce match la tête haute, sans trop de frustration, et qu'on aura montré à tous qu'on méritait notre place.

perso je veux croire à un coup d'intox de la part de BRU concernant Abadie, il peut changer la compo jusqu'à 1 heure avant le coup d'envoi sauf erreur de ma part, je conçois pas qu'il soit préféré à Yann qui, certes, s'est oublié en fin de match en demi mais soyons sérieux mettre Abadie sur le banc avec l'épée de damoclès au dessus de la tête de Mathieu et la forte probabilité que celui ci ne tienne pas sur la longueur du match, c'est se faire seppuku. Quant à se passer de madosh , sa vitesse et son imprévisibilité sur ce type de match au couteau franchement pour moi ça ressemble à une erreur, un 5+3 m'aurait vraiment plus rassuré. J'espère avoir tort demain à 23h mais je fais de l'huile en attendant

On y est ! J espère qu on saura se montrer dignes de l'évènement, qu on arrivera à monter de 2 crans le curseur par rapport aux 2 derniers matches, et qu on n'hésitera pas à enlever le frein à main et à lâcher la cavalerie.
Allez l'Union !!!

En route pour Marseille avec une halte à .... Toulouse allez l'union

biscouette a écrit:Comme vous, très triste que Madosh et Yann ne soient pas sur la feuille…

Pour MJ, je savais que c’était jouable. Il faudra sans doute un peu d’organisation collective pour qu’il n’ait pas à prolonger et à répéter les sprints. S’il est sur le terrain c’est qu’il peut faire des démarrages, donc sur la phase de « poussée » ça devrait être ok. Faudra laisser LBB faire les grandes courses défensives comme il fait si bien.
La chaleur est en tout cas un atout.

Par contre concernant BB, j’aimerais savoir le traitement qu’il a eu… Bon après il a une constitution exceptionnelle, donc probablement des ressources exceptionnelles.

Big ben s'est demit l'épaule et elle s'est remise en place seul, il a une grosse douleur donc du coup je pense qui a subit une grosse infiltration pour ne rien sentir. Après il va devoir récupérer

nadoloubb a écrit:

biscouette a écrit:Comme vous, très triste que Madosh et Yann ne soient pas sur la feuille…

Pour MJ, je savais que c’était jouable. Il faudra sans doute un peu d’organisation collective pour qu’il n’ait pas à prolonger et à répéter les sprints. S’il est sur le terrain c’est qu’il peut faire des démarrages, donc sur la phase de « poussée » ça devrait être ok. Faudra laisser LBB faire les grandes courses défensives comme il fait si bien.
La chaleur est en tout cas un atout.

Par contre concernant BB, j’aimerais savoir le traitement qu’il a eu… Bon après il a une constitution exceptionnelle, donc probablement des ressources exceptionnelles.

Big ben s'est demit l'épaule et elle s'est remise en place seul, il a une grosse douleur donc du coup je pense qui a subit une grosse infiltration pour ne rien sentir. Après il va devoir récupérer

On reçoit ben et MJ en octobre après cette finale

S.K.I.T.O a écrit:perso je veux croire à un coup d'intox de la part de BRU concernant Abadie, il peut changer la compo jusqu'à 1 heure avant le coup d'envoi sauf erreur de ma part, je conçois pas qu'il soit préféré à Yann qui, certes, s'est oublié en fin de match en demi mais soyons sérieux mettre Abadie sur le banc avec l'épée de damoclès au dessus de la tête de Mathieu et la forte probabilité que celui ci ne tienne pas sur la longueur du match, c'est se faire seppuku. Quant à se passer de madosh , sa vitesse et son imprévisibilité  sur ce type de match au couteau franchement pour moi ça ressemble à une erreur, un 5+3 m'aurait vraiment plus rassuré. J'espère avoir tort demain à 23h mais je fais de l'huile en attendant

Franchement, je ne crois pas que Yann soit à 100%, sinon on l'aurait mis sur la feuille et pas Abadie. Ensuite Mateo est forfait pour le match, ce qui nous oblige à prendre des risques, on n'a pas voulu mettre Holmes. Bru à fait le choix d'un 6/2, ça se défend, Toulouse est redoutable devant, mais est privé de certains éléments importants, c'est peut-être bien là qu'il faut appuyer et c'est en tout cas là qu'il faut rivaliser à tout prix. Alors ça sort Madosh du groupe par ce choix, mais notre ligne arrière est celle de l'équipe type, ce n'est pas n'importe quoi non plus. À moins de considérer que Madosh est supérieur à LBB, ce n'est pas mon avis.

Le principal risque, c'est évidemment que Jalibert sorte prématurément, la blessure de Mateo est problématique, mettre Abadie montre le crédit qu'on porte à Holmes…, on n'est pas dans les meilleures conditions possibles, ça nous oblige à une prise de risque, mais en mettant un avant de moins et Madosh sur le banc, est-ce que ça nous offrirait une meilleure garantie ?, franchement, je ne crois pas !

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/finale-du-top-14-face-a-toulouse-les-minots-de-l-ubb-revent-du-brennus-20304971.php

Finale du Top 14 : face à Toulouse, les minots de l’UBB rêvent du Brennus

Par Yoan Leshauriès

Face au Stade Toulousain, le tenant du titre et grand favori, l’UBB jouera sa première finale de Top 14 ce vendredi (21 h 05) au stade Vélodrome de Marseille, avec l’envie d’écrire l’histoire

C’est la dernière marche vers le Brennus. Et elle s’avère plutôt haute pour l’Union Bordeaux-Bègles ce vendredi (21 h 05) au stade Vélodrome de Marseille. Dans la Cité phocéenne, le club girondin rêve d’un titre qui resterait à jamais le premier. Mais après tant de défis qui ont rythmé cette saison interminable, le dernier d’entre eux est le plus grand de tous : le Stade Toulousain, 22 titres de champion de France, emmené par un Antoine Dupont en état de grâce, prêt à tout rafler avant de se concentrer sur son rêve olympique. Le haut du Panier.

   « Pour marquer un tournant dans l’histoire du club, il faut gagner des titres. On a l’opportunité de le réaliser »

Face à cet ogre rouge et noir qui jouera sa 30e finale et qui a remporté ses neuf dernières toutes compétitions confondues, les Bordelais sont bien conscients d’avoir le statut de « minots ». Mais ils sont bien décidés à jouer leur carte à fond. Histoire de grandir encore un peu plus et prendre réellement du galon. « Le titre de champion de France est un rêve, souligne le talonneur Maxime Lamothe. On sait que pour marquer un tournant dans l’histoire du club, il faut gagner des titres. On a l’opportunité de le réaliser ». Et ainsi redonner ses lettres de noblesse au rugby girondin après les titres du CA Béglais en 1969 et du CABBG en 1991, les deux fois face à… Toulouse.

Trente-trois ans après le CABBG

Cependant, avant sa toute première finale, n’allez pas demander à l’UBB de porter cet héritage en bandoulière au moment de rentrer sur la pelouse. Le challenge est déjà assez grand comme ça. « On sait qu’il faudra qu’on fournisse notre meilleure performance de la saison, souligne le manager Yannick Bru. Nos joueurs devront se hisser à leur meilleur niveau. Si on fait ça, on verra ce que décident les Dieux du rugby ». Ou « la Bonne Mère ».

Affublé du statut de grand favori, le Stade Toulousain est en quête d’un deuxième doublé en quatre ans (Coupe d’Europe/Top 14). « Ce serait pas mal », glisse l’arrière Thomas Ramos, le sourire en coin. « Si on gagne, on franchira encore un cap dans l’histoire de notre club et du rugby en général. » L’UBB n’en est pas là. Elle tentera d’écrire une première ligne à son palmarès.

Malgré ce fossé en termes d’expérience, ce rendez-vous pour le Brennus opposera les deux meilleures attaques du championnat. « C’est chouette d’avoir une telle finale au regard du rugby positif qu’essaient de véhiculer ces deux équipes », souligne Ugo Mola, le manager toulousain. « Évidemment, on se reconnaît plus dans l’adversaire qu’on va rencontrer que dans le côté hermétique du Stade Français, confie Yannick Bru. On porte une philosophie qui est plus proche des Toulousains. Mais on ne se compare pas, c’est incomparable. »

Cette finale opposera également les deux plus gros pourvoyeurs du XV de France. Et la grande nouvelle est tombée à l’annonce des compositions d’équipes jeudi soir : le duel des charnières aura bien lieu puisque Matthieu Jalibert (ischios) tiendra bien sa place avec l’UBB. Avec Maxime Lucu, ils tenteront de prendre le dessus sur le duo Dupont – Ntamack pour conjurer le sort.

   « Cette génération a envie de prendre le maximum de plaisir, elle a juste envie d’être à la hauteur »

« L’insouciance »

Après avoir ferraillé en barrage et en demi-finale, l’UBB aura-t-elle l’énergie nécessaire pour ce dernier combat de titans ? « On a plus mal fini physiquement le dernier match face au Stade Français que tactiquement, observe Yannick Bru. La fin de match nous a interrogés, c’est une réflexion qu’on a eue dans le staff. Il y a un vrai enjeu sur les 20 dernières minutes. J’espère qu’on sera au rendez-vous du money-time. »

L’UBB s’avance vers son plus grand rendez-vous sans baisser la tête. Après avoir brisé le plafond de verre des demies, elle a tout à gagner. « Je ne sens aucune forme de pression sur les épaules des joueurs, assure le manager bordelais. Le groupe est jeune, plein d’énergie, plein d’insouciance aussi. On a fourni des efforts cette année, les joueurs sont contents d’être là. Cette génération a envie de prendre le maximum de plaisir, elle a juste envie d’être à la hauteur. »

Si le défi est immense, le rêve est à portée de main. Avec un premier titre, l’UBB viendrait s’asseoir à la table des grands.

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Finale du Top 14. Toulouse – UBB : Une guerre des packs plus incertaine qu’annoncé ?

Par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial

Le pack toulousain a impressionné toute l’année. Mais il est diminué par les blessures et le droitier Ben Tameifuna est de retour côté bordelais

Un lieu commun. Voire un cliché. Appelez ça comme vous voulez. Pour autant, le commentaire formulé par Jean-Baptiste Poux, à la veille de cette finale entre Toulouse et l’UBB, n’en est pas moins fondé. « La conquête sera toujours importante », a insisté l’un des co-entraîneurs en charge des avants bordelais : « C’est peut-être l’équipe qui fera la différence dans ce secteur qui pourra gagner le match. »

L’antienne est hors d’âge. S’il n’est pas interdit de disserter à l’infini sur ce duel entre les deux meilleures attaques de la saison - 108 essais pour Toulouse, 86 pour l’UBB -, s’il est tout à fait normal de saliver à l’idée d’assister aux duels qui opposeront Antoine Dupont à Maxime Lucu ou Romain Ntamack à Matthieu Jalibert, ces promesses de spectacle ont toutes les chances d’être ventilées par la nécessité, pour les deux équipes, de dominer le jeu d’avants.

Pour des Bordelais qui ont connu bien des tourments dans ce secteur tout au long de la saison, comme l’a rappelé leur immense frayeur au terme de la demi-finale face au Stade Français, la mission pourrait sembler impossible face à un adversaire outrageusement dominant en conquête cette saison. Mais, une semaine après la fracture du péroné dont a été victime Cyril Baille, les blessures ont entamé le pouvoir de destruction des Toulousains.

Le listing effectué par Ugo Mola fait foi : « C’est vrai que des joueurs majeurs de l’effectif vont manquer à l’appel. Des Cyril Baille, Nepo Laulala, « Manny » Meafou, Piula Faasalele, Antho Jelonch, Alban Placines… Des garçons qui, en termes d’expérience de combat sur le jeu d’avants, comptent beaucoup. Mais on a eu des résultats toute la saison avec des jeunes mecs qui se sont donné le droit d’être là. »

Et le patron des champions de France en titre de poursuivre dans une référence directe à l’une des dernières conquêtes de son équipe : « Évidemment, le jeu d’avants a son importance. Mais je vous rappelle que l’an dernier, on a réussi à gagner une finale sans être dominant dans certains secteurs (NDLR, contre le Stade Rochelais). Le rugby, c’est un tout. »

Le 6-2 de l’UBB

Il ne fallait pas compter sur Yannick Bru pour le contredire. Lorsqu’il lui a été demandé si les absences dans les rangs toulousains, conjuguées au retour de Ben Tameifuna pour caler l’axe droit de la mêlée bordelaise, n’étaient pas susceptibles de rebattre les cartes, le manager de l’UBB a botté en touche d’une formule très diplomatique. « Comme nous, quand on arrive au 36e match, et même encore plus pour eux puisqu’ils ont brillamment gagné la Champions Cup, il y a forcément des cicatrices dans l’effectif. Maintenant, on connaît très bien l’effectif de Toulouse », a-t-il prévenu. « Ce qu’ils perdent en puissance, ils le gagnent dans le domaine aérien, en mobilité, en gestuelle. Se focaliser sur les absences n’a pas un grand intérêt. »

Au terme d’une semaine où chaque camp a suspecté l’autre de pratiquer l’intox à grande échelle, rien n’oblige à se fier à ces formules de politesse. La décision de Yannick Bru d’aligner un banc à six avants proclame d’ailleurs le contraire. En dépit des précautions que pourrait lui imposer la titularisation d’un Matthieu Jalibert tout juste remis, il a clairement défini le combat d’avants comme sa priorité.

Par la voix de François Cros, les Toulousains rappellent qu’ils ne s’y trompent pas : « La conquête est primordiale dans un match important comme les finales. » Il parle en connaissance de cause.