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XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:Le problème c'est que vous gagnez ces deux matchs à ce poste-là...
Ramos : Après, sur la fin du Tournoi, on a eu un meilleur état d'esprit au niveau collectif. L'envie de vouloir faire mal à l'adversaire qu'on n'avait pas eu en début de compétition. Certainement aussi, il faut le dire, un paquet d'avants plus conquérant. Donc quand tu joues à la charnière avec des avants qui avancent ou une équipe qui avance, c'est toujours plus simple que de jouer avec une équipe qui recule. Et ça, je pense que toutes les charnières pourront le dire. Mais je ne suis pas parti de ces deux matchs-là en me disant que j'avais envie de m'installer au poste de numéro dix en équipe de France, loin de là. Mais la seule chose que je peux dire vraiment, c'est que dans ma tête je suis numéro quinze. Et on le voit même ici à Toulouse, je joue bien plus souvent en quinze qu'à l'ouverture. Ça m'arrive de jouer à l'ouverture lorsqu'il manque les habitués du poste.
Merci à Ramos pour cette mise au point honnête
très honnête, en effet malgré deux questions orientées, Ramos a donné le fond de sa pensée, a priori.
Voilà qui est dit.
Si quelques pseudos supporters et autres pseudos journalistes pouvaient lire ou relire (des fois qu'ils aient du mal à comprendre) les 4 première lignes, on gagnerait du temps et du Lucu-Jalibert bashing en moins.
On ne pouvait pas mieux espérer comme clarification !
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Re: XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Absolument ! Et si ce n'est pas ça, j'aimerais vraiment savoir ce que c'est…Roberto Miopalmo a écrit:J’espère que c’est pas ça, mais si on fait porter le chapeau, et à lui seul, des déboires extra-sportifs des français en Argentine à Baptiste Serin, c’est un scandale absolu.Txalaparte a écrit:S.K.I.T.O a écrit:Vévé64 a écrit:Couilloud pas appelé, c'est difficile à comprendre quand même
c'est vrai, dur pour serin également, d'ailleurs si qqn peut poster cet article "en clair, je le remercie d'avance.
https://www.rugbyrama.fr/2024/10/23/xv-de-france-lopinion-du-midol-baptiste-serin-baptiste-couilloud-le-sport-est-par-nature-injuste-12279979.php
Depuis le début de saison, Baptiste Couilloud brille sous le maillot lyonnais quand Baptiste Serin, capitaine de la récente tournée d’été en Argentine, est incontournable au RCT. Dès lors, comment expliquer leur disparition du groupe France ?
Elle est semble-t-il très Gauloise, cette propension à ne retenir d’un groupe France que les individus en ayant été écartés. Et si l’on se réjouit que la sélection tricolore ouvre aujourd’hui ses portes à Joshua Brennan, Pierre Bochaton, Marko Gazzotti et quelques autres figures de nos glorieux week-ends de Top 14, on a aussi toutes les peines du monde à détourner les yeux de l’injustice à laquelle sont aujourd’hui confrontés Baptiste Couilloud et Baptiste Serin. Non pas que le demi de mêlée du Lou ou celui du RCT soient dans les faits supérieurs à Nolann Le Garrec – la seule chose qui fonctionne vraiment du côté du Racing depuis le début de saison – ou Maxime Lucu, lequel fut l’an passé propulsé par Fabien Galthié dans le groupe des six leaders du XV de France.
Mais convenez avec nous que Serin et Couilloud, à la lumière de leurs dernières prestations en championnat, auraient tout autant mérité de terminer cet automne les rencontres entamées par celui que l’on considère ici-bas comme le plus grand demi de mêlée de tous les temps (Antoine Dupont). À tout dire, on ira même au-delà de cette déclaration liminaire en assurant à présent que le numéro 9 du Lou, qui enchaîne les essais depuis le coup d’envoi de l’exercice 2024-2025, et celui du RCT, sauveur du club varois la semaine dernière face à Montpellier, seraient titulaires dans six des huit meilleures sélections de la planète. Alors, quoi ?
Baptiste Serin, le poids d’un été meurtrier
De toute évidence, le déficit que le réservoir tricolore accuse depuis quelques années au poste de numéro 5 ou à celui de pilier droit est dans les faits surcompensé par une démographie excédentaire en numéro 9 où cinq joueurs de talent, voire six avec le Clermontois Baptiste Jauneau, pourraient tous être un jour ou l’autre légitimes derrière la mêlée du XV de France.
Si l’on devait toutefois expliquer les mises à l’écart de Couilloud et Serin de façon empirique, on dirait simplement que le staff tricolore semble aujourd’hui regretter à propos du premier nommé un jeu au pied moins puissant que ne l’est celui de Dupont, Le Garrec ou Lucu. Concernant l’enfant de Parentis-en-Born (Landes), capitaine d’une équipe de France en déshérence en Argentine, il a de son côté été pointé du doigt sans être désigné nommément par les dirigeants fédéraux, au retour de Mendoza. Et à l’aune de ces Tests de novembre, on est nombreux à penser que Baptiste Serin paye aujourd’hui pour quelque chose dont il n’est aucunement responsable…
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« Si le seul outil que vous avez est un marteau, vous tendez à voir tout problème comme un clou. » Abraham Maslow
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Humeur : Consterné par le traitement réservé à MJ, la mentalité d'une partie des commentateurs (journalistes et supporters), etc.
Re: XV de France (partie en cours)
Si seulement… Mais la mauvaise foi pathologique ou la débilité doublées de bêtise de certains malheureusement… Tu gagnerais les AB avec 2 essais, 3 passes décisives et 15 points au pied de MJ qu'il y aurait encore des champions pour dire qu'il a juste le niveau moyen de ProD2.Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:Le problème c'est que vous gagnez ces deux matchs à ce poste-là...
Ramos : Après, sur la fin du Tournoi, on a eu un meilleur état d'esprit au niveau collectif. L'envie de vouloir faire mal à l'adversaire qu'on n'avait pas eu en début de compétition. Certainement aussi, il faut le dire, un paquet d'avants plus conquérant. Donc quand tu joues à la charnière avec des avants qui avancent ou une équipe qui avance, c'est toujours plus simple que de jouer avec une équipe qui recule. Et ça, je pense que toutes les charnières pourront le dire. Mais je ne suis pas parti de ces deux matchs-là en me disant que j'avais envie de m'installer au poste de numéro dix en équipe de France, loin de là. Mais la seule chose que je peux dire vraiment, c'est que dans ma tête je suis numéro quinze. Et on le voit même ici à Toulouse, je joue bien plus souvent en quinze qu'à l'ouverture. Ça m'arrive de jouer à l'ouverture lorsqu'il manque les habitués du poste.
Merci à Ramos pour cette mise au point honnête
très honnête, en effet malgré deux questions orientées, Ramos a donné le fond de sa pensée, a priori.
Voilà qui est dit.
Si quelques pseudos supporters et autres pseudos journalistes pouvaient lire ou relire (des fois qu'ils aient du mal à comprendre) les 4 première lignes, on gagnerait du temps et du Lucu-Jalibert bashing en moins.
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Re: XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/-comment-on-redevient-des-gens-normaux-galthie-balaie-l-actualite-du-rugby-francais/1516048
Fabien Galthié après l'été chaotique du rugby français : « Comment on redevient des gens normaux ? »
Trois mois et demi après, le sélectionneur de l'équipe de France de rugby Fabien Galthié revient sur les affaires de Mendoza et évoque la nécessité de mieux encadrer la vie de ses joueurs en dehors du terrain.
Frédéric Bernès et Jean-François Paturaud
Fine moustache à la OSS 117, cravate, casquette, Fabien Galthié nous avait donné rendez-vous près de son chez lui à Montmartre, dans un estaminet de qualité où il a ses habitudes, à deux pavés de la rue Lepic. Pendant deux heures, ce jeudi matin, le sélectionneur a bien sûr beaucoup parlé de Mendoza et de l'après-Mendoza, conscient que sa première prise de parole depuis son retour d'Argentine était attendue. Il tenait aussi à se projeter vers la Coupe du monde 2027.
« Vous avez présenté à chacun des 42 sélectionnés pour la tournée de novembre le nouveau "cadre de vie". En quoi consiste-t-il ?
Il y a trois points saillants dans la charte. D'abord le rapport à l'alcool. Sans autorisation, c'est interdit. Le point 2 concerne l'automédication. Tout doit être déclaré. Enfin, le troisième point interdit la présence dans notre lieu de vie de personnes étrangères, sauf autorisation. Tous ont dit oui.
Il n'y avait donc aucun cadre jusqu'ici en équipe de France ? C'est la question que beaucoup de gens se sont posée après les événements de Mendoza. Pourtant, à votre arrivée en 2019, vous aviez beaucoup communiqué sur le sujet...
Ça a plutôt bien fonctionné pendant cinq ans. Mais avec le temps, cette mécanique qui fonctionnait sur la co-construction, et aussi sur l'expérience et la confiance, a dérapé doucement pour arriver à ce qui s'est produit à Mendoza. C'était une équipe très jeune, avec peu d'expérience internationale, une sélection faite au dernier moment, avec une moins bonne connaissance des joueurs et une moins bonne préparation de ce cadre de vie. Ça nous a amenés à ces accidents, ces faits divers. Les faits sont là, il n'y a rien à dire, ils sont inacceptables.
« Il y a des moments de fragilité, c'est clair, et il faut avoir beaucoup d'humilité là-dessus. »
Mais vous savez qu'il y avait eu des dérapages avant, même pendant la Coupe du monde avec l'équipe premium (des soirées arrosées à Aix-en-Provence, avec deux joueurs qui en viennent aux mains furtivement)...
J'ai entendu tout ça. Je ne peux pas le nier. Attention, le mot "sortir" n'est pas un mot interdit pour moi. Je pense qu'on a besoin de sortir, d'aller à la rencontre des gens. Si on parle de la consommation d'alcool ou de substances interdites, c'est autre chose. Sûrement qu'il y a eu des abus dans le cadre de coutumes existantes. Mais pendant cinq ans, c'était quand même très bien contrôlé par les joueurs. Par les joueurs, pas par nous.
Pas par vous ?
Contrairement à ce qui se faisait avant, nous, on partageait tout avec les joueurs. Il n'y avait rien de caché, comme auparavant quand il y avait beaucoup d'interdits et donc beaucoup de choses qui se faisaient de manière non-licite. Et ça, ça ne marche pas, parce que ça crée une scission, une incompréhension entre le staff et les joueurs.
Mais Mendoza démontre que cette autogestion, ou cogestion, ne fonctionne pas...
Je peux l'entendre, et je le regrette. Oui, il y a eu des abus non tolérables ou des erreurs. Mais il ne faut pas stigmatiser quelques moments sur cinq ans de vie commune, 52 matchs, 80 semaines. Il y a des moments de fragilité, c'est clair, et il faut avoir beaucoup d'humilité là-dessus.
« Je passe des heures à étudier une stratégie, un scénario et, finalement, la coutume peut tout balayer. Ce que j'appelle la coutume, c'est la troisième mi-temps. »
Le président de la FFR Florian Grill a condamné le fait que certaines soirées étaient organisées par des membres du staff. Quel était votre niveau d'information sur ce qui se passait quand les joueurs sortaient ?
Mon niveau d'information ? Je ne me suis pas posé la question comme ça. À Mendoza, l'agenda à suivre, c'était : réception avec les Argentins derrière le stade puis retour à l'hôtel, dîner à l'hôtel, remise des capes et sortie. Sortir, c'est respirer, c'est aller à la rencontre, c'est ne pas rester enfermé dans un hôtel, ne pas vivre isolé pendant quatre semaines. En ermite, ça ne marche pas. Quand tu gagnes le premier test à Mendoza, de la façon dont tu le gagnes, l'ambition c'est de remporter le test à Montevideo trois jours plus tard et le dernier match à Buenos Aires. C'est le message que je passe immédiatement dans le vestiaire. Les enjeux ont été expliqués. Mais ce qui s'est passé dans la soirée a totalement fait exploser notre cadre de jeu, en fait. Parce que le but, c'est quand même la performance. C'est ça le problème, en fait. Ça se retourne contre vos performances.
Justement, vous n'avez eu de cesse de parler de tous ces gains marginaux, de ce soin extrême du détail dans les datas, le contrôle de la fatigue, la nutrition. Ce qui s'est passé à Mendoza ne rend-il pas inaudible tout ce discours et ne fragilise-t-il pas votre crédit ?
Quand je vois comment on mesure tout au mètre près, au gramme près avec notre nutritionniste... Je passe des heures à étudier une stratégie, un scénario et, finalement, la coutume peut tout balayer. Ce que j'appelle la coutume, c'est la troisième mi-temps. On sait très bien que si on fait une soirée alcoolisée ça double l'effet du match, niveau déshydratation et déchet musculaire. Donc tu ne peux pas t'entraîner comme tu l'avais prévu. Une remise en question profonde est nécessaire. Je dis profonde parce que tout ça, ces coutumes, c'est très ancré. Avec Jean-Marc Lhermet (vice-président en charge du haut niveau), avec toute l'institution, en écoutant les travaux des États Généraux, on a essayé de comprendre pourquoi ça s'est passé comme ça, et comment repenser notre façon de vivre le rugby. Il faut essayer d'aller plus loin que l'adjectif inadmissible ou intolérable, comprendre notre sociologie, la sociologie de la société, échanger avec des anthropologues. Ce que j'ai commencé à faire.
« Une fois qu'on a poussé les curseurs de la performance physique, psychologique, intellectuelle, analytique, d'un coup on arrête. L'enjeu est là. On a négligé la problématique de ce retour à la normalité quand les endorphines sont au max. »
Où en êtes-vous de votre réflexion ?
Ces joueurs-là, on les prépare à dépasser leurs limites. Sans arrêt. Dans leurs clubs, en équipe de France. Être plus fort, aller plus vite, ne pas avoir peur, relever des défis incroyables. Et ils le font. On a cru peut-être qu'une fois la fin du match sifflée, on se douchait et on redevenait facilement des gens normaux. Une fois qu'on a poussé les curseurs de la performance physique, psychologique, intellectuelle, analytique, d'un coup on arrête. On met le costume et on redevient des gens normaux. L'enjeu est là. On a négligé la problématique de ce retour à la normalité quand les endorphines sont au max. Comment on fait pour redescendre ? Comment on fait pour redevenir des gens normaux ? Ces joueurs vivent dans le rapport de force permanent pour gagner leur place et ils continuent ce rapport de force en soirée parce qu'il y a cette culture de ne pas décrocher, de rester ensemble, d'aller toujours plus loin parce qu'on est des hommes, parce qu'on est un groupe. Après le match, le "je suis capable de le faire" est terminé. Ça n'apporte plus rien.
Selon vous, dans cette redescente, il y a une spécificité rugby ?
Oui, je crois, parce qu'on est un sport collectif de combat. Et parce que nous avons notre culture, notre tradition.
Et cette mythologie qui fait qu'on a parfois associé de grandes performances, comme la victoire contre les Blacks à la Coupe du monde 2007, à une soirée très alcoolisée qui aurait permis de resserrer les liens...
C'est juste. Je ne peux pas tout partager parce qu'il y a des choses qui sont secrètes au niveau du groupe. Mais en 2020, on a construit aussi notre groupe avec des moments comme ça, entre nous. La question, c'est comment gérer la présence de l'alcool. Je crois qu'il faut faire appel à la conscience individuelle, celle qui, parfois, s'évapore, sous l'effet du groupe. Il faut inverser le modèle, ne pas être emporté par le groupe au coup de sifflet final. Mais comment fait-on quand, dans l'environnement dans lequel vous êtes dès l'après-match, il y a une réception avec de l'alcool à gogo autour ?
On se dit qu'un sportif professionnel de haut niveau, en pleine compétition, sait répondre à cette question...
Ce n'est pas si facile.
« Non, je ne me sens pas fragilisé. Dans ce type de mission, il y a des gros temps forts, et aussi des temps faibles. C'est là qu'il faut être bon et juste. »
À titre personnel, après Mendoza, avez-vous pensé démissionner ?
Surtout pas (il le répète deux fois). Évidemment que ça m'a touché, mais je ne peux pas rester touché. Pour revenir à votre question précédente, non, je ne me sens pas fragilisé. Dans ce type de mission, il y a des gros temps forts, et aussi des temps faibles. C'est là qu'il faut être bon et juste. Je n'ai pas pris de vacance cet été, justement parce que j'étais totalement engagé, et en pleine puissance, vers l'amélioration de notre cadre de vie. Je n'ai jamais été aussi convaincu de mon engagement que lors de ce moment dans le local avec les deux joueurs et la police. Ça peut paraître paradoxal, je sais.
Le rugby a été pointé du doigt par de nombreux autres sports cet été. Qu'en pensez-vous ?
Je veux bien recevoir la leçon de beaucoup de gens, d'autres sports mais il faut que tout le monde soit en phase avec sa conscience et ses souvenirs. Il faut avoir beaucoup d'humilité. Je ne crois pas qu'il y ait un sport à l'abri d'une histoire pas très belle. Quand le rugby prétendait qu'il était mieux que le foot, je disais attention, ce n'est pas vrai. Il n'y a pas de bon ou de mauvais sport.
Est-ce que vous considérez que le rugby a un vrai problème avec l'alcool, même à son plus haut niveau ?
Dans une équipe de rugby, je pense que 33 % de joueurs ne boivent pas d'alcool du tout malgré le fait qu'ils aient été éduqués avec cette présence-là ; 33 % boivent mais contrôlent très bien et enfin 33 % ont des fragilités par rapport à leur enfance, par rapport au fait que très tôt, parfois dans le car, ils ont commencé à consommer.
Et ça vaut pour la cocaïne ?
Je ne dis pas que c'est exagéré ou tabou, mais j'ai peu d'exemples en tête.
« Ils (Jegou, Auradou, Jaminet) ont un beau travail de témoignage à mener auprès des jeunes. Je leur ai dit : "Faites-le, ça va vous faire du bien et ça va nous faire beaucoup de bien aussi. »
On a beaucoup entendu l'été dernier qu'il manquait un élu fédéral pour cadrer tout ça...
Non, bien sûr que ce n'est pas aussi simple. J'ai regardé comment vivaient les autres équipes et les autres sports aussi. J'avais entendu dire que les Sud-Africains avaient vécu une Coupe du monde sans alcool. Je voulais savoir. Je suis allé voir le maître d'hôtel à Toulon (où était établi le camp de base des futurs champions du monde). Je voulais qu'il me raconte comment les Sud-Africains, qui sont traditionnellement plutôt de gros consommateurs, avaient procédé. Je garderai ça pour moi.
À quel point Raphaël Ibañez aura des prérogatives pour l'exécution de ce plan ?
Raphaël va prendre en charge le contrôle de la mise en place de ce cadre.
Avez-vous revu Oscar Jegou et Hugo Auradou depuis leur retour en France ?
Bien sûr. J'étais là à l'aéroport Charles-de-Gaulle. Ensuite, j'étais à La Rochelle quand Oscar est revenu au club. Pareil pour Melvyn (Jaminet, suspendu 34 semaines pour des déclarations à caractère raciste) à Toulon. Et j'étais à Pau pour le retour de Hugo.
Vos dirigeants ont indiqué qu'Auradou et Jegou n'étaient pas sélectionnables tant qu'un non-lieu n'était pas prononcé...
Je suis totalement aligné avec eux sur le sujet. Par ailleurs, j'ai demandé à ces trois joueurs (avec Jaminet) de s'engager. Ils ont un beau travail de témoignage à mener auprès des jeunes. Je leur ai dit : "Faites-le, ça va vous faire du bien et ça va nous faire beaucoup de bien aussi."
Pour Jaminet, votre président s'est dit défavorable à son retour. Là aussi, êtes-vous sur la même ligne ?
Oui. J'ai déjà dit que les propos de Melvyn étaient choquants et inacceptables.
« Il (Antoine Dupont) a réussi tout son chemin. Il n'était pas seul car il a évolué dans des équipes mais ses choix, accompagnés par la Fédération et son club, ont tous été payants. C'est exceptionnel, ce qu'il a fait. »
Sportivement, qu'attendez-vous du rassemblement qui débute dimanche ?
Ce seront des retrouvailles. Pour certains, dont Antoine (Dupont), ça fait un an qu'on ne s'est pas vu. Durant ces quatre semaines, je voudrais qu'on travaille sur cette vision et cette ambition pour 2027. Quel chemin doit-on prendre ? Le passé récent nous donne encore plus d'énergie. Même s'il nous manquera encore des joueurs, ce sera la première vraie réunion post-Coupe du monde. Ça fait cinq ans qu'on a construit cette équipe. On attaque la sixième année. On a vécu quatre ans avec cet objectif de 2023. Il s'est passé ce que tout le monde sait, cette défaite en quarts de finale. On a joué 52 matches, il nous en reste 33 jusqu'à l'Australie.
Après un an d'absence et un sacre olympique, Dupont revient dans le groupe pour cette tournée. Quel regard portez-vous sur son parcours des derniers mois ?
Il a réussi tout son chemin. Il n'était pas seul car il a évolué dans des équipes mais ses choix, accompagnés par la Fédération et son club, ont tous été payants. C'est exceptionnel, ce qu'il a fait. Il a mis de côté le projet quinze de France pour se focaliser sur Toulouse et le sept. Il a été champion de France et d'Europe avec son club puis champion du monde et champion olympique avec ses partenaires du 7.
Est-il encore meilleur selon vous ?
La semaine dernière, son match contre Pau était juste parfait. Il est titulaire à la mêlée et doit gérer un match difficile. Et il joue très juste. Contre Clermont, il marque trois essais, c'est super. C'est un finisseur et un créateur mais aussi l'un des meilleurs défenseurs que je connaisse. À Pau, il a arraché un ballon dans les mains du numéro 5 sur la ligne. Tout le monde le voit et ça donne une énorme énergie sur le terrain.
« (Antoine Dupont) a toutes les qualités pour être un bon 10 puisqu'il domine le rapport de force et qu'il est juste dans ce qu'il fait. C'est aussi un phénomène défensif. Mais je crois qu'il est aujourd'hui concentré sur sa position de demi de mêlée. »
Va-t-il retrouver le capitanat pour cette tournée ?
Je ne peux pas vous répondre. Je veux d'abord le partager avec les joueurs et les leaders.
Il a beaucoup été question d'un éventuel changement de poste le concernant. Quel est votre point de vue ?
Antoine est très bien entouré à Toulouse. Il a aussi conscience de ce qu'il peut faire et ne peut pas faire. Pour le changement de poste, je ne sais pas s'il a lui-même poussé sa réflexion. Dans nos discussions, il ne m'a pas dit : "J'ai envie de me tester en 10 ou j'ai envie de jouer au centre."
Comptez-vous cependant parfois l'utiliser à l'ouverture ?
Il a toutes les qualités pour être un bon 10 puisqu'il domine le rapport de force et qu'il est juste dans ce qu'il fait. C'est aussi un phénomène défensif. Mais je crois qu'il est aujourd'hui concentré sur sa position de demi de mêlée. C'est d'ailleurs une bonne idée, surtout pour une vision et une ambition à trois ans.
La blessure de Romain Ntamack (déchirure à un mollet) est en revanche un coup dur...
C'est déchirant. Ça le rend triste et ça me rend triste. C'est très dur à encaisser pour lui, pour nous. Il était prêt à revenir avec nous. Il avait retrouvé tout son potentiel. Et là, il est arrêté à nouveau. Ça repousse encore son retour mais ce n'est pas très grave. Ne prenons pas de risques. La blessure est un peu spéciale autour du mollet et du tendon d'Achille. En 10, on a plusieurs options avec Matthieu Jalibert et Thomas Ramos, qui a très bien fini le Tournoi en nous apportant une forme de stabilité et de solidité. Thomas est aussi un très bon buteur et il peut jouer à l'arrière, ça va compter pour nous. Matthieu a quand même vécu quasiment cinq ans avec nous en 10 et comme finisseur. Il a fait de grosses performances aussi. Avec Bordeaux, il est sur une dynamique collective. Mais il n'y a pas que la dynamique collective du club, il y a aussi le vécu avec nous.
« On va travailler pour trouver des paires de centres capables de matcher. J'espère qu'on aura encore des révélations. »
De ce que l'on sait, Thomas Ramos est bien votre option prioritaire...
(Rire.) La composition d'équipe vous sera communiquée deux jours avant le match France-Japon (le 9 novembre au Stade de France).
Mais placer votre arrière numéro 1 en 10 et votre ouvreur sur le banc serait un choix fort...
On peut le voir comme ça. Mais on peut aussi entendre notre logique en plaçant à l'ouverture un gars qui a joué les deux derniers matches du Tournoi de l'équipe de France en 10, qui a été champion de France avec Toulouse en 10, et qui a énormément de vécu en 10. Les postes d'ouvreur et d'arrière se ressemblent aussi énormément.
À l'arrière, à l'image de son équipe du Stade Français, Léo Barré a vécu un début de saison difficile...
Avec l'équipe de France, il a été très performant lors du Tournoi et en Argentine. Il a été très performant dans des test matches difficiles, ça compte même si c'est vrai qu'en ce moment, il est en difficulté en club. Mais si c'est un compétiteur, il va redresser la barre avec son club, pour son club. Il va en faire plus.
Au centre aussi, avec l'absence de Nicolas Depoortere et la très probable suspension de Yoram Moefana, considérez-vous avoir un gros chantier ?
Nous allons retrouver Gaël (Fickou) et Yoram (Moefana) qui a un casier judiciaire vierge avant de passer en commission de discipline la semaine prochaine (il a reçu un carton rouge après un plaquage haut sur Jonathan Danty dimanche dernier). On veut bien l'accompagner pour qu'il soit disponible pour la tournée. Ensuite, il y a Émilien (Gailleton) et Paul (Costes), qui est vraiment un joueur dynamique extraordinaire. Antoine (Frisch) a fait de bons matches avec nous en Argentine, sans oublier Jonathan (Danty) qui revient avec de l'appétit. On va travailler pour trouver des paires de centres capables de matcher. J'espère qu'on aura encore des révélations. Les joueurs ont tout à gagner. »
Fabien Galthié après l'été chaotique du rugby français : « Comment on redevient des gens normaux ? »
Trois mois et demi après, le sélectionneur de l'équipe de France de rugby Fabien Galthié revient sur les affaires de Mendoza et évoque la nécessité de mieux encadrer la vie de ses joueurs en dehors du terrain.
Frédéric Bernès et Jean-François Paturaud
Fine moustache à la OSS 117, cravate, casquette, Fabien Galthié nous avait donné rendez-vous près de son chez lui à Montmartre, dans un estaminet de qualité où il a ses habitudes, à deux pavés de la rue Lepic. Pendant deux heures, ce jeudi matin, le sélectionneur a bien sûr beaucoup parlé de Mendoza et de l'après-Mendoza, conscient que sa première prise de parole depuis son retour d'Argentine était attendue. Il tenait aussi à se projeter vers la Coupe du monde 2027.
« Vous avez présenté à chacun des 42 sélectionnés pour la tournée de novembre le nouveau "cadre de vie". En quoi consiste-t-il ?
Il y a trois points saillants dans la charte. D'abord le rapport à l'alcool. Sans autorisation, c'est interdit. Le point 2 concerne l'automédication. Tout doit être déclaré. Enfin, le troisième point interdit la présence dans notre lieu de vie de personnes étrangères, sauf autorisation. Tous ont dit oui.
Il n'y avait donc aucun cadre jusqu'ici en équipe de France ? C'est la question que beaucoup de gens se sont posée après les événements de Mendoza. Pourtant, à votre arrivée en 2019, vous aviez beaucoup communiqué sur le sujet...
Ça a plutôt bien fonctionné pendant cinq ans. Mais avec le temps, cette mécanique qui fonctionnait sur la co-construction, et aussi sur l'expérience et la confiance, a dérapé doucement pour arriver à ce qui s'est produit à Mendoza. C'était une équipe très jeune, avec peu d'expérience internationale, une sélection faite au dernier moment, avec une moins bonne connaissance des joueurs et une moins bonne préparation de ce cadre de vie. Ça nous a amenés à ces accidents, ces faits divers. Les faits sont là, il n'y a rien à dire, ils sont inacceptables.
« Il y a des moments de fragilité, c'est clair, et il faut avoir beaucoup d'humilité là-dessus. »
Mais vous savez qu'il y avait eu des dérapages avant, même pendant la Coupe du monde avec l'équipe premium (des soirées arrosées à Aix-en-Provence, avec deux joueurs qui en viennent aux mains furtivement)...
J'ai entendu tout ça. Je ne peux pas le nier. Attention, le mot "sortir" n'est pas un mot interdit pour moi. Je pense qu'on a besoin de sortir, d'aller à la rencontre des gens. Si on parle de la consommation d'alcool ou de substances interdites, c'est autre chose. Sûrement qu'il y a eu des abus dans le cadre de coutumes existantes. Mais pendant cinq ans, c'était quand même très bien contrôlé par les joueurs. Par les joueurs, pas par nous.
Pas par vous ?
Contrairement à ce qui se faisait avant, nous, on partageait tout avec les joueurs. Il n'y avait rien de caché, comme auparavant quand il y avait beaucoup d'interdits et donc beaucoup de choses qui se faisaient de manière non-licite. Et ça, ça ne marche pas, parce que ça crée une scission, une incompréhension entre le staff et les joueurs.
Mais Mendoza démontre que cette autogestion, ou cogestion, ne fonctionne pas...
Je peux l'entendre, et je le regrette. Oui, il y a eu des abus non tolérables ou des erreurs. Mais il ne faut pas stigmatiser quelques moments sur cinq ans de vie commune, 52 matchs, 80 semaines. Il y a des moments de fragilité, c'est clair, et il faut avoir beaucoup d'humilité là-dessus.
« Je passe des heures à étudier une stratégie, un scénario et, finalement, la coutume peut tout balayer. Ce que j'appelle la coutume, c'est la troisième mi-temps. »
Le président de la FFR Florian Grill a condamné le fait que certaines soirées étaient organisées par des membres du staff. Quel était votre niveau d'information sur ce qui se passait quand les joueurs sortaient ?
Mon niveau d'information ? Je ne me suis pas posé la question comme ça. À Mendoza, l'agenda à suivre, c'était : réception avec les Argentins derrière le stade puis retour à l'hôtel, dîner à l'hôtel, remise des capes et sortie. Sortir, c'est respirer, c'est aller à la rencontre, c'est ne pas rester enfermé dans un hôtel, ne pas vivre isolé pendant quatre semaines. En ermite, ça ne marche pas. Quand tu gagnes le premier test à Mendoza, de la façon dont tu le gagnes, l'ambition c'est de remporter le test à Montevideo trois jours plus tard et le dernier match à Buenos Aires. C'est le message que je passe immédiatement dans le vestiaire. Les enjeux ont été expliqués. Mais ce qui s'est passé dans la soirée a totalement fait exploser notre cadre de jeu, en fait. Parce que le but, c'est quand même la performance. C'est ça le problème, en fait. Ça se retourne contre vos performances.
Justement, vous n'avez eu de cesse de parler de tous ces gains marginaux, de ce soin extrême du détail dans les datas, le contrôle de la fatigue, la nutrition. Ce qui s'est passé à Mendoza ne rend-il pas inaudible tout ce discours et ne fragilise-t-il pas votre crédit ?
Quand je vois comment on mesure tout au mètre près, au gramme près avec notre nutritionniste... Je passe des heures à étudier une stratégie, un scénario et, finalement, la coutume peut tout balayer. Ce que j'appelle la coutume, c'est la troisième mi-temps. On sait très bien que si on fait une soirée alcoolisée ça double l'effet du match, niveau déshydratation et déchet musculaire. Donc tu ne peux pas t'entraîner comme tu l'avais prévu. Une remise en question profonde est nécessaire. Je dis profonde parce que tout ça, ces coutumes, c'est très ancré. Avec Jean-Marc Lhermet (vice-président en charge du haut niveau), avec toute l'institution, en écoutant les travaux des États Généraux, on a essayé de comprendre pourquoi ça s'est passé comme ça, et comment repenser notre façon de vivre le rugby. Il faut essayer d'aller plus loin que l'adjectif inadmissible ou intolérable, comprendre notre sociologie, la sociologie de la société, échanger avec des anthropologues. Ce que j'ai commencé à faire.
« Une fois qu'on a poussé les curseurs de la performance physique, psychologique, intellectuelle, analytique, d'un coup on arrête. L'enjeu est là. On a négligé la problématique de ce retour à la normalité quand les endorphines sont au max. »
Où en êtes-vous de votre réflexion ?
Ces joueurs-là, on les prépare à dépasser leurs limites. Sans arrêt. Dans leurs clubs, en équipe de France. Être plus fort, aller plus vite, ne pas avoir peur, relever des défis incroyables. Et ils le font. On a cru peut-être qu'une fois la fin du match sifflée, on se douchait et on redevenait facilement des gens normaux. Une fois qu'on a poussé les curseurs de la performance physique, psychologique, intellectuelle, analytique, d'un coup on arrête. On met le costume et on redevient des gens normaux. L'enjeu est là. On a négligé la problématique de ce retour à la normalité quand les endorphines sont au max. Comment on fait pour redescendre ? Comment on fait pour redevenir des gens normaux ? Ces joueurs vivent dans le rapport de force permanent pour gagner leur place et ils continuent ce rapport de force en soirée parce qu'il y a cette culture de ne pas décrocher, de rester ensemble, d'aller toujours plus loin parce qu'on est des hommes, parce qu'on est un groupe. Après le match, le "je suis capable de le faire" est terminé. Ça n'apporte plus rien.
Selon vous, dans cette redescente, il y a une spécificité rugby ?
Oui, je crois, parce qu'on est un sport collectif de combat. Et parce que nous avons notre culture, notre tradition.
Et cette mythologie qui fait qu'on a parfois associé de grandes performances, comme la victoire contre les Blacks à la Coupe du monde 2007, à une soirée très alcoolisée qui aurait permis de resserrer les liens...
C'est juste. Je ne peux pas tout partager parce qu'il y a des choses qui sont secrètes au niveau du groupe. Mais en 2020, on a construit aussi notre groupe avec des moments comme ça, entre nous. La question, c'est comment gérer la présence de l'alcool. Je crois qu'il faut faire appel à la conscience individuelle, celle qui, parfois, s'évapore, sous l'effet du groupe. Il faut inverser le modèle, ne pas être emporté par le groupe au coup de sifflet final. Mais comment fait-on quand, dans l'environnement dans lequel vous êtes dès l'après-match, il y a une réception avec de l'alcool à gogo autour ?
On se dit qu'un sportif professionnel de haut niveau, en pleine compétition, sait répondre à cette question...
Ce n'est pas si facile.
« Non, je ne me sens pas fragilisé. Dans ce type de mission, il y a des gros temps forts, et aussi des temps faibles. C'est là qu'il faut être bon et juste. »
À titre personnel, après Mendoza, avez-vous pensé démissionner ?
Surtout pas (il le répète deux fois). Évidemment que ça m'a touché, mais je ne peux pas rester touché. Pour revenir à votre question précédente, non, je ne me sens pas fragilisé. Dans ce type de mission, il y a des gros temps forts, et aussi des temps faibles. C'est là qu'il faut être bon et juste. Je n'ai pas pris de vacance cet été, justement parce que j'étais totalement engagé, et en pleine puissance, vers l'amélioration de notre cadre de vie. Je n'ai jamais été aussi convaincu de mon engagement que lors de ce moment dans le local avec les deux joueurs et la police. Ça peut paraître paradoxal, je sais.
Le rugby a été pointé du doigt par de nombreux autres sports cet été. Qu'en pensez-vous ?
Je veux bien recevoir la leçon de beaucoup de gens, d'autres sports mais il faut que tout le monde soit en phase avec sa conscience et ses souvenirs. Il faut avoir beaucoup d'humilité. Je ne crois pas qu'il y ait un sport à l'abri d'une histoire pas très belle. Quand le rugby prétendait qu'il était mieux que le foot, je disais attention, ce n'est pas vrai. Il n'y a pas de bon ou de mauvais sport.
Est-ce que vous considérez que le rugby a un vrai problème avec l'alcool, même à son plus haut niveau ?
Dans une équipe de rugby, je pense que 33 % de joueurs ne boivent pas d'alcool du tout malgré le fait qu'ils aient été éduqués avec cette présence-là ; 33 % boivent mais contrôlent très bien et enfin 33 % ont des fragilités par rapport à leur enfance, par rapport au fait que très tôt, parfois dans le car, ils ont commencé à consommer.
Et ça vaut pour la cocaïne ?
Je ne dis pas que c'est exagéré ou tabou, mais j'ai peu d'exemples en tête.
« Ils (Jegou, Auradou, Jaminet) ont un beau travail de témoignage à mener auprès des jeunes. Je leur ai dit : "Faites-le, ça va vous faire du bien et ça va nous faire beaucoup de bien aussi. »
On a beaucoup entendu l'été dernier qu'il manquait un élu fédéral pour cadrer tout ça...
Non, bien sûr que ce n'est pas aussi simple. J'ai regardé comment vivaient les autres équipes et les autres sports aussi. J'avais entendu dire que les Sud-Africains avaient vécu une Coupe du monde sans alcool. Je voulais savoir. Je suis allé voir le maître d'hôtel à Toulon (où était établi le camp de base des futurs champions du monde). Je voulais qu'il me raconte comment les Sud-Africains, qui sont traditionnellement plutôt de gros consommateurs, avaient procédé. Je garderai ça pour moi.
À quel point Raphaël Ibañez aura des prérogatives pour l'exécution de ce plan ?
Raphaël va prendre en charge le contrôle de la mise en place de ce cadre.
Avez-vous revu Oscar Jegou et Hugo Auradou depuis leur retour en France ?
Bien sûr. J'étais là à l'aéroport Charles-de-Gaulle. Ensuite, j'étais à La Rochelle quand Oscar est revenu au club. Pareil pour Melvyn (Jaminet, suspendu 34 semaines pour des déclarations à caractère raciste) à Toulon. Et j'étais à Pau pour le retour de Hugo.
Vos dirigeants ont indiqué qu'Auradou et Jegou n'étaient pas sélectionnables tant qu'un non-lieu n'était pas prononcé...
Je suis totalement aligné avec eux sur le sujet. Par ailleurs, j'ai demandé à ces trois joueurs (avec Jaminet) de s'engager. Ils ont un beau travail de témoignage à mener auprès des jeunes. Je leur ai dit : "Faites-le, ça va vous faire du bien et ça va nous faire beaucoup de bien aussi."
Pour Jaminet, votre président s'est dit défavorable à son retour. Là aussi, êtes-vous sur la même ligne ?
Oui. J'ai déjà dit que les propos de Melvyn étaient choquants et inacceptables.
« Il (Antoine Dupont) a réussi tout son chemin. Il n'était pas seul car il a évolué dans des équipes mais ses choix, accompagnés par la Fédération et son club, ont tous été payants. C'est exceptionnel, ce qu'il a fait. »
Sportivement, qu'attendez-vous du rassemblement qui débute dimanche ?
Ce seront des retrouvailles. Pour certains, dont Antoine (Dupont), ça fait un an qu'on ne s'est pas vu. Durant ces quatre semaines, je voudrais qu'on travaille sur cette vision et cette ambition pour 2027. Quel chemin doit-on prendre ? Le passé récent nous donne encore plus d'énergie. Même s'il nous manquera encore des joueurs, ce sera la première vraie réunion post-Coupe du monde. Ça fait cinq ans qu'on a construit cette équipe. On attaque la sixième année. On a vécu quatre ans avec cet objectif de 2023. Il s'est passé ce que tout le monde sait, cette défaite en quarts de finale. On a joué 52 matches, il nous en reste 33 jusqu'à l'Australie.
Après un an d'absence et un sacre olympique, Dupont revient dans le groupe pour cette tournée. Quel regard portez-vous sur son parcours des derniers mois ?
Il a réussi tout son chemin. Il n'était pas seul car il a évolué dans des équipes mais ses choix, accompagnés par la Fédération et son club, ont tous été payants. C'est exceptionnel, ce qu'il a fait. Il a mis de côté le projet quinze de France pour se focaliser sur Toulouse et le sept. Il a été champion de France et d'Europe avec son club puis champion du monde et champion olympique avec ses partenaires du 7.
Est-il encore meilleur selon vous ?
La semaine dernière, son match contre Pau était juste parfait. Il est titulaire à la mêlée et doit gérer un match difficile. Et il joue très juste. Contre Clermont, il marque trois essais, c'est super. C'est un finisseur et un créateur mais aussi l'un des meilleurs défenseurs que je connaisse. À Pau, il a arraché un ballon dans les mains du numéro 5 sur la ligne. Tout le monde le voit et ça donne une énorme énergie sur le terrain.
« (Antoine Dupont) a toutes les qualités pour être un bon 10 puisqu'il domine le rapport de force et qu'il est juste dans ce qu'il fait. C'est aussi un phénomène défensif. Mais je crois qu'il est aujourd'hui concentré sur sa position de demi de mêlée. »
Va-t-il retrouver le capitanat pour cette tournée ?
Je ne peux pas vous répondre. Je veux d'abord le partager avec les joueurs et les leaders.
Il a beaucoup été question d'un éventuel changement de poste le concernant. Quel est votre point de vue ?
Antoine est très bien entouré à Toulouse. Il a aussi conscience de ce qu'il peut faire et ne peut pas faire. Pour le changement de poste, je ne sais pas s'il a lui-même poussé sa réflexion. Dans nos discussions, il ne m'a pas dit : "J'ai envie de me tester en 10 ou j'ai envie de jouer au centre."
Comptez-vous cependant parfois l'utiliser à l'ouverture ?
Il a toutes les qualités pour être un bon 10 puisqu'il domine le rapport de force et qu'il est juste dans ce qu'il fait. C'est aussi un phénomène défensif. Mais je crois qu'il est aujourd'hui concentré sur sa position de demi de mêlée. C'est d'ailleurs une bonne idée, surtout pour une vision et une ambition à trois ans.
La blessure de Romain Ntamack (déchirure à un mollet) est en revanche un coup dur...
C'est déchirant. Ça le rend triste et ça me rend triste. C'est très dur à encaisser pour lui, pour nous. Il était prêt à revenir avec nous. Il avait retrouvé tout son potentiel. Et là, il est arrêté à nouveau. Ça repousse encore son retour mais ce n'est pas très grave. Ne prenons pas de risques. La blessure est un peu spéciale autour du mollet et du tendon d'Achille. En 10, on a plusieurs options avec Matthieu Jalibert et Thomas Ramos, qui a très bien fini le Tournoi en nous apportant une forme de stabilité et de solidité. Thomas est aussi un très bon buteur et il peut jouer à l'arrière, ça va compter pour nous. Matthieu a quand même vécu quasiment cinq ans avec nous en 10 et comme finisseur. Il a fait de grosses performances aussi. Avec Bordeaux, il est sur une dynamique collective. Mais il n'y a pas que la dynamique collective du club, il y a aussi le vécu avec nous.
« On va travailler pour trouver des paires de centres capables de matcher. J'espère qu'on aura encore des révélations. »
De ce que l'on sait, Thomas Ramos est bien votre option prioritaire...
(Rire.) La composition d'équipe vous sera communiquée deux jours avant le match France-Japon (le 9 novembre au Stade de France).
Mais placer votre arrière numéro 1 en 10 et votre ouvreur sur le banc serait un choix fort...
On peut le voir comme ça. Mais on peut aussi entendre notre logique en plaçant à l'ouverture un gars qui a joué les deux derniers matches du Tournoi de l'équipe de France en 10, qui a été champion de France avec Toulouse en 10, et qui a énormément de vécu en 10. Les postes d'ouvreur et d'arrière se ressemblent aussi énormément.
À l'arrière, à l'image de son équipe du Stade Français, Léo Barré a vécu un début de saison difficile...
Avec l'équipe de France, il a été très performant lors du Tournoi et en Argentine. Il a été très performant dans des test matches difficiles, ça compte même si c'est vrai qu'en ce moment, il est en difficulté en club. Mais si c'est un compétiteur, il va redresser la barre avec son club, pour son club. Il va en faire plus.
Au centre aussi, avec l'absence de Nicolas Depoortere et la très probable suspension de Yoram Moefana, considérez-vous avoir un gros chantier ?
Nous allons retrouver Gaël (Fickou) et Yoram (Moefana) qui a un casier judiciaire vierge avant de passer en commission de discipline la semaine prochaine (il a reçu un carton rouge après un plaquage haut sur Jonathan Danty dimanche dernier). On veut bien l'accompagner pour qu'il soit disponible pour la tournée. Ensuite, il y a Émilien (Gailleton) et Paul (Costes), qui est vraiment un joueur dynamique extraordinaire. Antoine (Frisch) a fait de bons matches avec nous en Argentine, sans oublier Jonathan (Danty) qui revient avec de l'appétit. On va travailler pour trouver des paires de centres capables de matcher. J'espère qu'on aura encore des révélations. Les joueurs ont tout à gagner. »
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Re: XV de France (partie en cours)
Je crois qu'il n'y a pas grand-chose à attendre de Galthié, il reste ancré dans ses certitudes et sa vision du rugby, personnellement, je n'y adhère pas du tout. Il n'aurait pas une superbe génération, on serait beaucoup plus bas, car les fait sont têtus, on n'a gagné plus de matchs que par un passé très pauvre, mais question titres, le bilan est mauvais !
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:
La blessure de Romain Ntamack (déchirure à un mollet) est en revanche un coup dur...
C'est déchirant. Ça le rend triste et ça me rend triste. C'est très dur à encaisser pour lui, pour nous. Il était prêt à revenir avec nous. Il avait retrouvé tout son potentiel. Et là, il est arrêté à nouveau. Ça repousse encore son retour mais ce n'est pas très grave. Ne prenons pas de risques. La blessure est un peu spéciale autour du mollet et du tendon d'Achille. En 10, on a plusieurs options avec Matthieu Jalibert et Thomas Ramos, qui a très bien fini le Tournoi en nous apportant une forme de stabilité et de solidité. Thomas est aussi un très bon buteur et il peut jouer à l'arrière, ça va compter pour nous. Matthieu a quand même vécu quasiment cinq ans avec nous en 10 et comme finisseur. Il a fait de grosses performances aussi. Avec Bordeaux, il est sur une dynamique collective. Mais il n'y a pas que la dynamique collective du club, il y a aussi le vécu avec nous.
Le message il est clair, j'ai même pas pris le temps de citer le passage sur Barré, le mec est moyen mais il a le droit de redresser la barre en sélection quand un mec qui sur performe à son poste depuis 3 ans n'a strictement pas la moindre chance...
J'ai qu'une chose à dire qu'il aille bien se faire cette espèce de de gros .
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Re: XV de France (partie en cours)
Big'Ben a écrit:Scalp a écrit:
La blessure de Romain Ntamack (déchirure à un mollet) est en revanche un coup dur...
C'est déchirant. Ça le rend triste et ça me rend triste. C'est très dur à encaisser pour lui, pour nous. Il était prêt à revenir avec nous. Il avait retrouvé tout son potentiel. Et là, il est arrêté à nouveau. Ça repousse encore son retour mais ce n'est pas très grave. Ne prenons pas de risques. La blessure est un peu spéciale autour du mollet et du tendon d'Achille. En 10, on a plusieurs options avec Matthieu Jalibert et Thomas Ramos, qui a très bien fini le Tournoi en nous apportant une forme de stabilité et de solidité. Thomas est aussi un très bon buteur et il peut jouer à l'arrière, ça va compter pour nous. Matthieu a quand même vécu quasiment cinq ans avec nous en 10 et comme finisseur. Il a fait de grosses performances aussi. Avec Bordeaux, il est sur une dynamique collective. Mais il n'y a pas que la dynamique collective du club, il y a aussi le vécu avec nous.
Le message il est clair, j'ai même pas pris le temps de citer le passage sur Barré, le mec est moyen mais il a le droit de redresser la barre en sélection quand un mec qui sur performe à son poste depuis 3 ans n'a strictement pas la moindre chance...
J'ai qu'une chose à dire qu'il aille bien se faire cette espèce de de gros .
J'espère que l'on va prendre quelques belles branlées cette année .... et qu'enfin on puisse être débarrasser de ce clown
Bordelais exilé ds le 31- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Big'Ben a écrit:Scalp a écrit:
La blessure de Romain Ntamack (déchirure à un mollet) est en revanche un coup dur...
C'est déchirant. Ça le rend triste et ça me rend triste. C'est très dur à encaisser pour lui, pour nous. Il était prêt à revenir avec nous. Il avait retrouvé tout son potentiel. Et là, il est arrêté à nouveau. Ça repousse encore son retour mais ce n'est pas très grave. Ne prenons pas de risques. La blessure est un peu spéciale autour du mollet et du tendon d'Achille. En 10, on a plusieurs options avec Matthieu Jalibert et Thomas Ramos, qui a très bien fini le Tournoi en nous apportant une forme de stabilité et de solidité. Thomas est aussi un très bon buteur et il peut jouer à l'arrière, ça va compter pour nous. Matthieu a quand même vécu quasiment cinq ans avec nous en 10 et comme finisseur. Il a fait de grosses performances aussi. Avec Bordeaux, il est sur une dynamique collective. Mais il n'y a pas que la dynamique collective du club, il y a aussi le vécu avec nous.
Le message il est clair, j'ai même pas pris le temps de citer le passage sur Barré, le mec est moyen mais il a le droit de redresser la barre en sélection quand un mec qui sur performe à son poste depuis 3 ans n'a strictement pas la moindre chance...
J'ai qu'une chose à dire qu'il aille bien se faire cette espèce de de gros .
J'espère que l'on va prendre quelques belles branlées cette année .... et qu'enfin on puisse être débarrasser de ce clown
Je déteste être dans cet esprit de vouloir voir perdre l'équipe de France, je l'avais dit quand il y avait la lutte d'influence entre NTK et Matthieu, jamais !!!, je n'aurais voulu tout de même voir la France perdre avec NTK. Mais là, se pose le problème de la vision d'un homme qui n'a plus rien à faire à la tête de l'équipe de France.
Alors oui, malheureusement, j'en suis à vouloir qu'on perde pour que Galthié dégage et qu'on prépare l'avenir en partant sur de nouvelles bases, avec un sélectionneur, par exemple Mola, qui a une autre vision du rugby, beaucoup plus adaptée à notre formidable potentiel !
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Big'Ben a écrit:Scalp a écrit:
La blessure de Romain Ntamack (déchirure à un mollet) est en revanche un coup dur...
C'est déchirant. Ça le rend triste et ça me rend triste. C'est très dur à encaisser pour lui, pour nous. Il était prêt à revenir avec nous. Il avait retrouvé tout son potentiel. Et là, il est arrêté à nouveau. Ça repousse encore son retour mais ce n'est pas très grave. Ne prenons pas de risques. La blessure est un peu spéciale autour du mollet et du tendon d'Achille. En 10, on a plusieurs options avec Matthieu Jalibert et Thomas Ramos, qui a très bien fini le Tournoi en nous apportant une forme de stabilité et de solidité. Thomas est aussi un très bon buteur et il peut jouer à l'arrière, ça va compter pour nous. Matthieu a quand même vécu quasiment cinq ans avec nous en 10 et comme finisseur. Il a fait de grosses performances aussi. Avec Bordeaux, il est sur une dynamique collective. Mais il n'y a pas que la dynamique collective du club, il y a aussi le vécu avec nous.
Le message il est clair, j'ai même pas pris le temps de citer le passage sur Barré, le mec est moyen mais il a le droit de redresser la barre en sélection quand un mec qui sur performe à son poste depuis 3 ans n'a strictement pas la moindre chance...
J'ai qu'une chose à dire qu'il aille bien se faire cette espèce de de gros .
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Je déteste être dans cet esprit de vouloir voir perdre l'équipe de France, je l'avais dit quand il y avait la lutte d'influence entre NTK et Matthieu, jamais !!!, je n'aurais voulu tout de même voir la France perdre avec NTK. Mais là, se pose le problème de la vision d'un homme qui n'a plus rien à faire à la tête de l'équipe de France.
Alors oui, malheureusement, j'en suis à vouloir qu'on perde pour que Galthié dégage et qu'on prépare l'avenir en partant sur de nouvelles bases, avec un sélectionneur, par exemple Mola, qui a une autre vision du rugby, beaucoup plus adaptée à notre formidable potentiel !
Je vous rappelle que Galthié à un contrat en cours jusqu' en 2027 (Merci Labinocle).
Et donc, si quelqu'un à quelques Millions d' € pour rompre le contrat, il peut toujours les virer sur le compte de la FFR, qui en a bien besoin.
Pour Guytou, l' addition avait été d' 1,5 M€ si ma mémoire est bonne.
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Re: XV de France (partie en cours)
tire-bouchon a écrit:Scalp a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Big'Ben a écrit:Scalp a écrit:
La blessure de Romain Ntamack (déchirure à un mollet) est en revanche un coup dur...
C'est déchirant. Ça le rend triste et ça me rend triste. C'est très dur à encaisser pour lui, pour nous. Il était prêt à revenir avec nous. Il avait retrouvé tout son potentiel. Et là, il est arrêté à nouveau. Ça repousse encore son retour mais ce n'est pas très grave. Ne prenons pas de risques. La blessure est un peu spéciale autour du mollet et du tendon d'Achille. En 10, on a plusieurs options avec Matthieu Jalibert et Thomas Ramos, qui a très bien fini le Tournoi en nous apportant une forme de stabilité et de solidité. Thomas est aussi un très bon buteur et il peut jouer à l'arrière, ça va compter pour nous. Matthieu a quand même vécu quasiment cinq ans avec nous en 10 et comme finisseur. Il a fait de grosses performances aussi. Avec Bordeaux, il est sur une dynamique collective. Mais il n'y a pas que la dynamique collective du club, il y a aussi le vécu avec nous.
Le message il est clair, j'ai même pas pris le temps de citer le passage sur Barré, le mec est moyen mais il a le droit de redresser la barre en sélection quand un mec qui sur performe à son poste depuis 3 ans n'a strictement pas la moindre chance...
J'ai qu'une chose à dire qu'il aille bien se faire cette espèce de de gros .
J'espère que l'on va prendre quelques belles branlées cette année .... et qu'enfin on puisse être débarrasser de ce clown
Je déteste être dans cet esprit de vouloir voir perdre l'équipe de France, je l'avais dit quand il y avait la lutte d'influence entre NTK et Matthieu, jamais !!!, je n'aurais voulu tout de même voir la France perdre avec NTK. Mais là, se pose le problème de la vision d'un homme qui n'a plus rien à faire à la tête de l'équipe de France.
Alors oui, malheureusement, j'en suis à vouloir qu'on perde pour que Galthié dégage et qu'on prépare l'avenir en partant sur de nouvelles bases, avec un sélectionneur, par exemple Mola, qui a une autre vision du rugby, beaucoup plus adaptée à notre formidable potentiel !
Je vous rappelle que Galthié à un contrat en cours jusqu' en 2027 (Merci Labinocle).
Et donc, si quelqu'un à quelques Millions d' € pour rompre le contrat, il peut toujours les virer sur le compte de la FFR, qui en a bien besoin.
Pour Guytou, l' addition avait été d' 1,5 M€ si ma mémoire est bonne.
1.5 M€, parce que c'etait du travail de sagouin, et que le dossier noves a été fait à la hache.
ils voulaient aller au plus vite, on savonné sa planche, et se sont mis à la faute. Et ça aux prud'hommes quand le salarié est bien conseillé ça se facture cher.
Galthié a un contrat plus long et une rémunération plus elevée je crois, mais chaque semaine qui passe diminue d'autant le reste à payer ( en cas de rupture anticipée ), et ses soutiens sont moins présent dans la hiérarchie pour le couvrir...
On peut encore espérer une fin anticipé (après la question de qui pour sa succession charrie elle aussi son lot d'incertitude ).
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Re: XV de France (partie en cours)
Tothor a écrit:
On peut encore espérer une fin anticipé (après la question de qui pour sa succession charrie elle aussi son lot d'incertitude ).
Quoi Charrier va succéder à Galthie ?
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Re: XV de France (partie en cours)
le radis a écrit:Tothor a écrit:
On peut encore espérer une fin anticipé (après la question de qui pour sa succession charrie elle aussi son lot d'incertitude ).
Quoi Charrier va succéder à Galthie ?
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Re: XV de France (partie en cours)
le radis a écrit:Tothor a écrit:
On peut encore espérer une fin anticipé (après la question de qui pour sa succession charrie elle aussi son lot d'incertitude ).
Quoi Charrier va succéder à Galthie ?
c'est sur que lui c'est pas celui pour lequel je me battrais le plus...
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Re: XV de France (partie en cours)
tire-bouchon a écrit:Scalp a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Big'Ben a écrit:Scalp a écrit:
La blessure de Romain Ntamack (déchirure à un mollet) est en revanche un coup dur...
C'est déchirant. Ça le rend triste et ça me rend triste. C'est très dur à encaisser pour lui, pour nous. Il était prêt à revenir avec nous. Il avait retrouvé tout son potentiel. Et là, il est arrêté à nouveau. Ça repousse encore son retour mais ce n'est pas très grave. Ne prenons pas de risques. La blessure est un peu spéciale autour du mollet et du tendon d'Achille. En 10, on a plusieurs options avec Matthieu Jalibert et Thomas Ramos, qui a très bien fini le Tournoi en nous apportant une forme de stabilité et de solidité. Thomas est aussi un très bon buteur et il peut jouer à l'arrière, ça va compter pour nous. Matthieu a quand même vécu quasiment cinq ans avec nous en 10 et comme finisseur. Il a fait de grosses performances aussi. Avec Bordeaux, il est sur une dynamique collective. Mais il n'y a pas que la dynamique collective du club, il y a aussi le vécu avec nous.
Le message il est clair, j'ai même pas pris le temps de citer le passage sur Barré, le mec est moyen mais il a le droit de redresser la barre en sélection quand un mec qui sur performe à son poste depuis 3 ans n'a strictement pas la moindre chance...
J'ai qu'une chose à dire qu'il aille bien se faire cette espèce de de gros .
J'espère que l'on va prendre quelques belles branlées cette année .... et qu'enfin on puisse être débarrasser de ce clown
Je déteste être dans cet esprit de vouloir voir perdre l'équipe de France, je l'avais dit quand il y avait la lutte d'influence entre NTK et Matthieu, jamais !!!, je n'aurais voulu tout de même voir la France perdre avec NTK. Mais là, se pose le problème de la vision d'un homme qui n'a plus rien à faire à la tête de l'équipe de France.
Alors oui, malheureusement, j'en suis à vouloir qu'on perde pour que Galthié dégage et qu'on prépare l'avenir en partant sur de nouvelles bases, avec un sélectionneur, par exemple Mola, qui a une autre vision du rugby, beaucoup plus adaptée à notre formidable potentiel !
Je vous rappelle que Galthié à un contrat en cours jusqu' en 2027 (Merci Labinocle).
Et donc, si quelqu'un à quelques Millions d' € pour rompre le contrat, il peut toujours les virer sur le compte de la FFR, qui en a bien besoin.
Pour Guytou, l' addition avait été d' 1,5 M€ si ma mémoire est bonne.
Je sais bien, j'en ai parlé X fois sur ce forum mais on peut envisager le virer à moindres frais à mesure que son contrat file. C'est à mon avis la vision de Grill qui d'une part ne voulait pas jeter de l'huile sur le feu, et avait les mains liées financièrement. Mais je ne crois pas que l'idée d'avoir l'homme de Laporte dans les jambes lui plaise à la folie, ni sa vision du rugby, si une fenêtre s'ouvre, il le remerciera.
Alors si les résultats ne suivent pas avant la coupe du monde, on peut espérer un retournement de situation, et une opération commando d'un nouveau staff avant la coupe du monde.
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Re: XV de France (partie en cours)
Bordelais exilé ds le 31 a écrit:le radis a écrit:Tothor a écrit:
On peut encore espérer une fin anticipé (après la question de qui pour sa succession charrie elle aussi son lot d'incertitude ).
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Re: XV de France (partie en cours)
Tothor a écrit:tire-bouchon a écrit:Scalp a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Big'Ben a écrit:Scalp a écrit:
La blessure de Romain Ntamack (déchirure à un mollet) est en revanche un coup dur...
C'est déchirant. Ça le rend triste et ça me rend triste. C'est très dur à encaisser pour lui, pour nous. Il était prêt à revenir avec nous. Il avait retrouvé tout son potentiel. Et là, il est arrêté à nouveau. Ça repousse encore son retour mais ce n'est pas très grave. Ne prenons pas de risques. La blessure est un peu spéciale autour du mollet et du tendon d'Achille. En 10, on a plusieurs options avec Matthieu Jalibert et Thomas Ramos, qui a très bien fini le Tournoi en nous apportant une forme de stabilité et de solidité. Thomas est aussi un très bon buteur et il peut jouer à l'arrière, ça va compter pour nous. Matthieu a quand même vécu quasiment cinq ans avec nous en 10 et comme finisseur. Il a fait de grosses performances aussi. Avec Bordeaux, il est sur une dynamique collective. Mais il n'y a pas que la dynamique collective du club, il y a aussi le vécu avec nous.
Le message il est clair, j'ai même pas pris le temps de citer le passage sur Barré, le mec est moyen mais il a le droit de redresser la barre en sélection quand un mec qui sur performe à son poste depuis 3 ans n'a strictement pas la moindre chance...
J'ai qu'une chose à dire qu'il aille bien se faire cette espèce de de gros .
J'espère que l'on va prendre quelques belles branlées cette année .... et qu'enfin on puisse être débarrasser de ce clown
Je déteste être dans cet esprit de vouloir voir perdre l'équipe de France, je l'avais dit quand il y avait la lutte d'influence entre NTK et Matthieu, jamais !!!, je n'aurais voulu tout de même voir la France perdre avec NTK. Mais là, se pose le problème de la vision d'un homme qui n'a plus rien à faire à la tête de l'équipe de France.
Alors oui, malheureusement, j'en suis à vouloir qu'on perde pour que Galthié dégage et qu'on prépare l'avenir en partant sur de nouvelles bases, avec un sélectionneur, par exemple Mola, qui a une autre vision du rugby, beaucoup plus adaptée à notre formidable potentiel !
Je vous rappelle que Galthié à un contrat en cours jusqu' en 2027 (Merci Labinocle).
Et donc, si quelqu'un à quelques Millions d' € pour rompre le contrat, il peut toujours les virer sur le compte de la FFR, qui en a bien besoin.
Pour Guytou, l' addition avait été d' 1,5 M€ si ma mémoire est bonne.
1.5 M€, parce que c'etait du travail de sagouin, et que le dossier noves a été fait à la hache.
ils voulaient aller au plus vite, on savonné sa planche, et se sont mis à la faute. Et ça aux prud'hommes quand le salarié est bien conseillé ça se facture cher.
Galthié a un contrat plus long et une rémunération plus elevée je crois, mais chaque semaine qui passe diminue d'autant le reste à payer ( en cas de rupture anticipée ), et ses soutiens sont moins présent dans la hiérarchie pour le couvrir...
On peut encore espérer une fin anticipé (après la question de qui pour sa succession charrie elle aussi son lot d'incertitude ).
C'est exactement ce que je pense, du grand classique. Grill soutiens officiellement Galthié, mais la planche est plus savonneuse que ce qu'il laisse entendre "officiellement"…
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Re: XV de France (partie en cours)
Big'Ben a écrit:Scalp a écrit:
La blessure de Romain Ntamack (déchirure à un mollet) est en revanche un coup dur...
C'est déchirant. Ça le rend triste et ça me rend triste. C'est très dur à encaisser pour lui, pour nous. Il était prêt à revenir avec nous. Il avait retrouvé tout son potentiel. Et là, il est arrêté à nouveau. Ça repousse encore son retour mais ce n'est pas très grave. Ne prenons pas de risques. La blessure est un peu spéciale autour du mollet et du tendon d'Achille. En 10, on a plusieurs options avec Matthieu Jalibert et Thomas Ramos, qui a très bien fini le Tournoi en nous apportant une forme de stabilité et de solidité. Thomas est aussi un très bon buteur et il peut jouer à l'arrière, ça va compter pour nous. Matthieu a quand même vécu quasiment cinq ans avec nous en 10 et comme finisseur. Il a fait de grosses performances aussi. Avec Bordeaux, il est sur une dynamique collective. Mais il n'y a pas que la dynamique collective du club, il y a aussi le vécu avec nous.
Le message il est clair, j'ai même pas pris le temps de citer le passage sur Barré, le mec est moyen mais il a le droit de redresser la barre en sélection quand un mec qui sur performe à son poste depuis 3 ans n'a strictement pas la moindre chance...
J'ai qu'une chose à dire qu'il aille bien se faire cette espèce de de gros .
c'est vrai que c'est complètement antinomique de dire que Barré, mauvais en club va redresser la barre en EDF et que Jalibert, très performant en club, se profile comme un numéro 2...
Ntamak, pas très inspiré en début de saison, aurait donc bénéficié de la mansuétude "Galthié" pour se refaire la santé en EDF...n'importe quoi !
Galthié ou l'art de justifier n'importe quoi, n'importe quand !
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Re: XV de France (partie en cours)
XV de France : « Je sais que la place est chère », souligne Maxime Lucu
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/xv-de-france-je-sais-que-la-place-est-chere-souligne-maxime-lucu-21905367.php
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/bordeaux-begles/xv-de-france-je-sais-que-la-place-est-chere-souligne-maxime-lucu-21905367.php
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Re: XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
Il est fada
Lawrence the Hammer- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Lawrence the Hammer a écrit:Il est fada
C’est un mot trop sympa
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Re: XV de France (partie en cours)
Bonjour Comment ça marche ? Quand les joueurs partent ils ? Après le match de Pau ? On serait donc impacté pour Clermont et vannes ? Et sur les 42 certains dont ils remis à disposition des clubs ?
Kerquillas- J'aime l'Union passionnément
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