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XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
On est chez les fous, Nicholson traverse l’Atlantique on tourne un remake de Vol au dessus d’un nid de coucou . Le scénario est écrit par un mec un peu barré. Je te dis rien tu le reconnaîtras sans problème 🤪🤪🤪Roberto Miopalmo a écrit:sudiste a écrit:"En toute logique, l'ouvreur des faux Blacks Matthieu Jalibert doit la tenter. Sans conviction, à la hâte, il expédiera ce coup de pied, qui ne passera pas entre les poteaux."
C'est quoi ce scénario de merde ? Il aurait du montrer de la conviction pour donner une victoire virtuelle aux Blacks sur une pénalité à la dernière minute
Si il la passe Galthié applaudit, le félicite et le titularise ..c'est un test
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
densnewzealand a écrit:On est chez les fous, Nicholson traverse l’Atlantique on tourne un remake de Vol au dessus d’un nid de coucou . Le scénario est écrit par un mec un peu barré. Je te dis rien tu le reconnaîtras sans problème 🤪🤪🤪Roberto Miopalmo a écrit:sudiste a écrit:"En toute logique, l'ouvreur des faux Blacks Matthieu Jalibert doit la tenter. Sans conviction, à la hâte, il expédiera ce coup de pied, qui ne passera pas entre les poteaux."
C'est quoi ce scénario de merde ? Il aurait du montrer de la conviction pour donner une victoire virtuelle aux Blacks sur une pénalité à la dernière minute
Si il la passe Galthié applaudit, le félicite et le titularise ..c'est un test
Surtout le journaliste qui donne l'impression d'avoir zéro recul sur cet exercice!!!! Et quand il a raté la pénalité, les bleus se sont sautés dans les bras car ils avaient gagné????
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
densnewzealand a écrit:c’est ça ! Comme je l’avais dit il y a longtemps, à l’époque avait interdit quelques journalistes de stade .Sous une autre forme il faudrait que le club marque le coupDr. Gregory Bouse a écrit:
Tu viens de nous poster tout ce qui se fait de mieux dans la presse d'opinions du Groupe La Dépêche: Fadat, Duzan et Zanardi.
Je ne reviens même pas sur leurs articles minables d'un point de vue journalistique et leurs points de vue biaisés et intellectuellement assez malhonnêtes.
Sans oublier le fantastique Gou, le porte-parole de Galthié…
Je n'avais vraiment pas envie de poster le Midol aujourd'hui, je l'ai fait parce que c'est le job, et que j'essaye de m'y coller avec constance, mais là, c'était vraiment dur…
_________________
« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: XV de France (partie en cours)
Roberto Miopalmo a écrit:densnewzealand a écrit:On est chez les fous, Nicholson traverse l’Atlantique on tourne un remake de Vol au dessus d’un nid de coucou . Le scénario est écrit par un mec un peu barré. Je te dis rien tu le reconnaîtras sans problème 🤪🤪🤪Roberto Miopalmo a écrit:sudiste a écrit:"En toute logique, l'ouvreur des faux Blacks Matthieu Jalibert doit la tenter. Sans conviction, à la hâte, il expédiera ce coup de pied, qui ne passera pas entre les poteaux."
C'est quoi ce scénario de merde ? Il aurait du montrer de la conviction pour donner une victoire virtuelle aux Blacks sur une pénalité à la dernière minute
Si il la passe Galthié applaudit, le félicite et le titularise ..c'est un test
Surtout le journaliste qui donne l'impression d'avoir zéro recul sur cet exercice!!!! Et quand il a raté la pénalité, les bleus se sont sautés dans les bras car ils avaient gagné????
Personne à sauver, le niveau de l'Équipe fait peine à voir. Aucune critique de Galthié, de son management, de son bilan, juste des anecdotes à la con sur Jalibert…
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france/xv-de-france-bielle-biarrey-il-faut-savoir-se-reinventer-22151297.php
France – All Blacks. « Il faut savoir se réinventer », estime Louis Bielle-Biarrey, l’ailier supersonique de l’UBB
Par Denys Kappès-Grangé
Dans la lignée de son début de saison canon avec l’UBB, l’ailier de 21 ans vient de porter son total d’essais à 8 en seulement 12 sélections. Une efficacité qui pourrait être précieuse au moment de défier les Blacks. Mais il ne s’en contente pas
Vous êtes souvent présenté comme un phénomène. Qu’est-ce que ça vous inspire ?
J’ai commencé plutôt jeune, c’est peut-être pour ça qu’on dit ça (sourire). Tout est allé très vite pour moi. Mais je n’accorde pas beaucoup d’importance à ce mot-là.
N’avez-vous malgré tout pas franchi un cap cette saison ?
On se trouve bien sur ce début de saison à l’UBB. Individuellement comme collectivement, puisqu’on est en haut de tableau. J’ai marqué, mais j’ai surtout pris beaucoup de plaisir. Je ne pense pas avoir révolutionné un secteur de mon jeu en particulier depuis la reprise. Mais tout mis bout à bout, ça rend de mieux en mieux.
« Je pense être meilleur au poste d’ailier : au niveau international, c’est là que je serai le plus performant »
Vous êtes installé à l’aile, mais vous pouvez jouer à l’arrière et c’est à l’ouverture que vous avez été formé. Que vous apporte cette palette ?
Les postes d’ailier et d’arrière se ressemblent dans le jeu courant à Bordeaux : on a beaucoup de liberté, on nous laisse prendre des initiatives. C’est sur les phases statiques que ça change par rapport au placement. En tant qu’arrière, on a plus de responsabilités sur la conduite du jeu et sur l’organisation du fond de terrain. Je pense que c’est un poste où on doit être plus gestionnaire. Les deux postes sont complémentaires.
À quel poste vous sentez-vous le mieux ?
Je pense être meilleur au poste d’ailier. Au niveau international, c’est en tout cas là où je serai le plus performant. Pour jouer à l’arrière, avec les responsabilités que ça demande, il faut que je gagne en expérience. En cela, jouer à l’aile des matchs de très haut niveau m’aidera à être performant à l’arrière. Il me faut un peu de temps pour être un meilleur arrière.
Qu’aimez-vous dans le poste d’ailier ?
Finir les coups. On touche moins de ballons, mais ils sont très bons. Je prends beaucoup de plaisir à récompenser le travail de l’équipe.
Est-ce une obsession de marquer ?
Franchement, non. Je pense faire partie des ailiers altruistes. En tout cas, je ne me fixe pas d’objectif en termes d’essais. Ce n’est pas ce qui m’anime. Je sais que je peux faire un très bon match sans marquer. Et à l’inverse, je peux être catastrophique et marquer deux essais parce qu’on m’aura fait les deux bonnes passes.
N’a-t-on pas besoin d’un surplus de détermination pour marquer ?
Oui. C’est vrai qu’on a besoin de ça à l’aile. Quand je suis passé du poste d’arrière à l’aile, vers 18 ou 19 ans, je n’avais pas cette mentalité de finir les coups à 100 %.
En équipe de France comme à Bordeaux, on vous pousse à dézoner. Qu’est-ce que ça vous demande ?
C’est une question de lecture. Le raisonnement est assez simple. Quand il n’y a pas d’espace face à nous, c’est qu’il est autre part. Il faut donc aller le chercher. Ça demande de lire les défenses, de faire les efforts. Parce que courir d’une aile à l’autre, ça demande de courir un peu (sourire)… On nous laisse beaucoup de liberté dans les projets de jeu. Si on reste sur notre aile, on n’est pas à notre place.
« Je fais en sorte de m’imprégner de tout ce que je vis m’en servir pour le futur »
Yannick Bru, votre manager à l’UBB, explique que si le poste d’ailier est votre priorité, c’est en prévision de l’équipe de France. L’abordez-vous ainsi ?
Oui. J’ai des objectifs à moyen et à court terme. Si je joue plus à l’arrière à Bordeaux, je serai moins bon à l’aile. Or je ne pense pas qu’en équipe de France je sois une priorité à l’arrière non plus. Pour moi, c’est important de bosser ce poste. Mais je travaille aussi beaucoup le poste d’arrière puisqu’il y a désormais beaucoup de 6-2 (sur le banc, NDLR). C’est important de pouvoir couvrir deux postes.
Noel McNamara, en charge de l’attaque de l’UBB, dit que vous avez progressé au contact de Damian Penaud. En quoi ?
Damian a cette capacité à être dans le bon espace. Il lit très bien les défenses et les rapports de force. Je regarde beaucoup ses déplacements sur le terrain. Ce n’est pas pour rien qu’il marque beaucoup d’essais, il est souvent au bon endroit au bon moment. Il fait aussi beaucoup marquer. Ce qui montre qu’il est toujours dans la bonne zone et pas forcément juste sur son aile. C’est fort, j’essaie de m’en inspirer.
Vos entraîneurs ont coutume de dire que vous vous fixez des objectifs très élevés. Quelle place cela prend-il dans votre quotidien ?
Ça demande d’être exigeant envers soi-même. Sur et en dehors du terrain. Ça nécessite évidemment d’avoir une bonne hygiène de vie, sinon, on le paie forcément tôt ou tard. Sur le terrain, ça veut dire faire des extras, rester plus longtemps. Mais c’est aussi écouter son corps. Si on ne s’entraîne pas assez intelligemment, on ne peut pas être bon le week-end.
Vous avez disputé une Coupe du monde, un Six-Nations et désormais une tournée. Cela a-t-il agi comme un accélérateur de maturité ?
Tout est allé très très vite depuis que j’ai commencé en pro. Je garde une certaine forme d’insouciance. Mais j’essaie de faire en sorte de m’imprégner de tout ce que je vis pour m’en servir pour le futur. J’ai fait plusieurs tournois avec les moins de 20, un Tournoi et une Coupe du monde avec le XV de France, des phases finales avec l’UBB. Tout ça permet d’engranger de l’expérience.
« Il faut savoir travailler autre chose. On ne peut pas être le même joueur à 18 et à 35 ans »
Vous sentez-vous scruté désormais ?
L’effet de surprise joue au début. Mais c’est certain qu’au bout d’un moment, les gens nous connaissent. Il faut savoir se réinventer, travailler autre chose. On ne peut pas être le même joueur à 18 et à 35 ans. C’est pour ça que je songe à développer le poste d’arrière ou mon leadership.
Noel McNamara dit justement que vous progressez dans le leadership. Avez-vous un goût pour ça ?
C’est une demande du staff, j’y adhère. Mais j’aime bien prendre mon temps, ne pas m’imposer. Ce n’est pas parce que j’ai fait une Coupe du monde et un Tournoi que je dois donner mon avis à tort et à travers. Je ne me mets pas trop de pression là-dessus. Mais je dois donner ma vision sur le jeu lorsque c’est légitime. Pour motiver les mecs, il y a des gens plus indiqués que moi.
Vous avez donc vocation à peser sur les choix de jeu ?
À Bordeaux, il y a un groupe pour l’attaque et un autre pour la défense. Je suis dans le deuxième. Max (Lucu), Matthieu (Jalibert) et Romain Buros parlent pour l’attaque. Mais j’ai la même vision qu’eux : donc je ne vais pas les paraphraser. Comme je suis dans le groupe défense, on me demande aussi de prendre la parole. Je le fais à mon rythme, je veux rester fidèle à moi-même. Je ne suis pas quelqu’un qui gueule et qui se laisse emporter par ses émotions.
Votre nom évoque l’attaque. Avez-vous un goût particulier pour la défense ?
Le grand public ne le voit pas forcément, mais les ailiers doivent organiser la ligne en défense, replacer les mecs… Ça me plaît. En plus, dans le groupe défense, on analyse en profondeur les équipes qu’on va jouer. Ça m’aide en match à comprendre leur système de jeu. Vu mon gabarit, il faut que je pense les choses différemment.
En charge de la défense à Bordeaux, Christophe Laussucq dit de vous : « Avec son gabarit de gamin de 12 ans un peu frêle, il s’y colle. »
Depuis tout petit, j’ai cette image. Mais je m’en fous complètement (sourire) : j’ai mes qualités. Ça ne m’empêche pas de savoir plaquer et de faire tomber les mecs. Maxime Lucu n’est pas le plus costaud du monde. Et il fait pourtant 15 à 20 plaquages par match en s’envoyant.
Affronter les Blacks, c’est la promesse de se frotter à des ailiers redoutables…
Depuis que je suis petit, les Blacks, c’est la meilleure équipe du monde. Voire de l’histoire. Un France - All Blacks, ça fait rêver. (Will) Jordan, (Caleb) Clarke, (Mark) Telea, ils ont des jolis clients. Mais jouer des (Chelsin) Kolbe ou (Kurt-Lee) Arendse (les ailiers des Springboks, NDLR), c’est pas mal non plus.
Bielle-Biarrey supersonique
Flash. Louis Bielle-Biarrey fait partie des ailiers les plus rapides du Top 14 : le Bordelais a été « flashé » à 37,8 km/h. Plus parlant encore, puisque plus en phase avec la réalité d’un sport qui privilégie l’explosivité, il efface les 10 mètres en 1’54 seulement. Le fruit de dispositions naturelles, évidemment, mais aussi d’un travail soutenu. « Je m’auto-challenge sur mes temps. Notamment sur 10 mètres et, parfois, sur ma vitesse max. Je n’ai pas envie d’en perdre. » Logique. Pour Louis Bielle-Biarrey, c’est une arme. Mais pas la seule. « Je pense avoir d’autres qualités que la vitesse. »
France – All Blacks. « Il faut savoir se réinventer », estime Louis Bielle-Biarrey, l’ailier supersonique de l’UBB
Par Denys Kappès-Grangé
Dans la lignée de son début de saison canon avec l’UBB, l’ailier de 21 ans vient de porter son total d’essais à 8 en seulement 12 sélections. Une efficacité qui pourrait être précieuse au moment de défier les Blacks. Mais il ne s’en contente pas
Vous êtes souvent présenté comme un phénomène. Qu’est-ce que ça vous inspire ?
J’ai commencé plutôt jeune, c’est peut-être pour ça qu’on dit ça (sourire). Tout est allé très vite pour moi. Mais je n’accorde pas beaucoup d’importance à ce mot-là.
N’avez-vous malgré tout pas franchi un cap cette saison ?
On se trouve bien sur ce début de saison à l’UBB. Individuellement comme collectivement, puisqu’on est en haut de tableau. J’ai marqué, mais j’ai surtout pris beaucoup de plaisir. Je ne pense pas avoir révolutionné un secteur de mon jeu en particulier depuis la reprise. Mais tout mis bout à bout, ça rend de mieux en mieux.
« Je pense être meilleur au poste d’ailier : au niveau international, c’est là que je serai le plus performant »
Vous êtes installé à l’aile, mais vous pouvez jouer à l’arrière et c’est à l’ouverture que vous avez été formé. Que vous apporte cette palette ?
Les postes d’ailier et d’arrière se ressemblent dans le jeu courant à Bordeaux : on a beaucoup de liberté, on nous laisse prendre des initiatives. C’est sur les phases statiques que ça change par rapport au placement. En tant qu’arrière, on a plus de responsabilités sur la conduite du jeu et sur l’organisation du fond de terrain. Je pense que c’est un poste où on doit être plus gestionnaire. Les deux postes sont complémentaires.
À quel poste vous sentez-vous le mieux ?
Je pense être meilleur au poste d’ailier. Au niveau international, c’est en tout cas là où je serai le plus performant. Pour jouer à l’arrière, avec les responsabilités que ça demande, il faut que je gagne en expérience. En cela, jouer à l’aile des matchs de très haut niveau m’aidera à être performant à l’arrière. Il me faut un peu de temps pour être un meilleur arrière.
Qu’aimez-vous dans le poste d’ailier ?
Finir les coups. On touche moins de ballons, mais ils sont très bons. Je prends beaucoup de plaisir à récompenser le travail de l’équipe.
Est-ce une obsession de marquer ?
Franchement, non. Je pense faire partie des ailiers altruistes. En tout cas, je ne me fixe pas d’objectif en termes d’essais. Ce n’est pas ce qui m’anime. Je sais que je peux faire un très bon match sans marquer. Et à l’inverse, je peux être catastrophique et marquer deux essais parce qu’on m’aura fait les deux bonnes passes.
N’a-t-on pas besoin d’un surplus de détermination pour marquer ?
Oui. C’est vrai qu’on a besoin de ça à l’aile. Quand je suis passé du poste d’arrière à l’aile, vers 18 ou 19 ans, je n’avais pas cette mentalité de finir les coups à 100 %.
En équipe de France comme à Bordeaux, on vous pousse à dézoner. Qu’est-ce que ça vous demande ?
C’est une question de lecture. Le raisonnement est assez simple. Quand il n’y a pas d’espace face à nous, c’est qu’il est autre part. Il faut donc aller le chercher. Ça demande de lire les défenses, de faire les efforts. Parce que courir d’une aile à l’autre, ça demande de courir un peu (sourire)… On nous laisse beaucoup de liberté dans les projets de jeu. Si on reste sur notre aile, on n’est pas à notre place.
« Je fais en sorte de m’imprégner de tout ce que je vis m’en servir pour le futur »
Yannick Bru, votre manager à l’UBB, explique que si le poste d’ailier est votre priorité, c’est en prévision de l’équipe de France. L’abordez-vous ainsi ?
Oui. J’ai des objectifs à moyen et à court terme. Si je joue plus à l’arrière à Bordeaux, je serai moins bon à l’aile. Or je ne pense pas qu’en équipe de France je sois une priorité à l’arrière non plus. Pour moi, c’est important de bosser ce poste. Mais je travaille aussi beaucoup le poste d’arrière puisqu’il y a désormais beaucoup de 6-2 (sur le banc, NDLR). C’est important de pouvoir couvrir deux postes.
Noel McNamara, en charge de l’attaque de l’UBB, dit que vous avez progressé au contact de Damian Penaud. En quoi ?
Damian a cette capacité à être dans le bon espace. Il lit très bien les défenses et les rapports de force. Je regarde beaucoup ses déplacements sur le terrain. Ce n’est pas pour rien qu’il marque beaucoup d’essais, il est souvent au bon endroit au bon moment. Il fait aussi beaucoup marquer. Ce qui montre qu’il est toujours dans la bonne zone et pas forcément juste sur son aile. C’est fort, j’essaie de m’en inspirer.
Vos entraîneurs ont coutume de dire que vous vous fixez des objectifs très élevés. Quelle place cela prend-il dans votre quotidien ?
Ça demande d’être exigeant envers soi-même. Sur et en dehors du terrain. Ça nécessite évidemment d’avoir une bonne hygiène de vie, sinon, on le paie forcément tôt ou tard. Sur le terrain, ça veut dire faire des extras, rester plus longtemps. Mais c’est aussi écouter son corps. Si on ne s’entraîne pas assez intelligemment, on ne peut pas être bon le week-end.
Vous avez disputé une Coupe du monde, un Six-Nations et désormais une tournée. Cela a-t-il agi comme un accélérateur de maturité ?
Tout est allé très très vite depuis que j’ai commencé en pro. Je garde une certaine forme d’insouciance. Mais j’essaie de faire en sorte de m’imprégner de tout ce que je vis pour m’en servir pour le futur. J’ai fait plusieurs tournois avec les moins de 20, un Tournoi et une Coupe du monde avec le XV de France, des phases finales avec l’UBB. Tout ça permet d’engranger de l’expérience.
« Il faut savoir travailler autre chose. On ne peut pas être le même joueur à 18 et à 35 ans »
Vous sentez-vous scruté désormais ?
L’effet de surprise joue au début. Mais c’est certain qu’au bout d’un moment, les gens nous connaissent. Il faut savoir se réinventer, travailler autre chose. On ne peut pas être le même joueur à 18 et à 35 ans. C’est pour ça que je songe à développer le poste d’arrière ou mon leadership.
Noel McNamara dit justement que vous progressez dans le leadership. Avez-vous un goût pour ça ?
C’est une demande du staff, j’y adhère. Mais j’aime bien prendre mon temps, ne pas m’imposer. Ce n’est pas parce que j’ai fait une Coupe du monde et un Tournoi que je dois donner mon avis à tort et à travers. Je ne me mets pas trop de pression là-dessus. Mais je dois donner ma vision sur le jeu lorsque c’est légitime. Pour motiver les mecs, il y a des gens plus indiqués que moi.
Vous avez donc vocation à peser sur les choix de jeu ?
À Bordeaux, il y a un groupe pour l’attaque et un autre pour la défense. Je suis dans le deuxième. Max (Lucu), Matthieu (Jalibert) et Romain Buros parlent pour l’attaque. Mais j’ai la même vision qu’eux : donc je ne vais pas les paraphraser. Comme je suis dans le groupe défense, on me demande aussi de prendre la parole. Je le fais à mon rythme, je veux rester fidèle à moi-même. Je ne suis pas quelqu’un qui gueule et qui se laisse emporter par ses émotions.
Votre nom évoque l’attaque. Avez-vous un goût particulier pour la défense ?
Le grand public ne le voit pas forcément, mais les ailiers doivent organiser la ligne en défense, replacer les mecs… Ça me plaît. En plus, dans le groupe défense, on analyse en profondeur les équipes qu’on va jouer. Ça m’aide en match à comprendre leur système de jeu. Vu mon gabarit, il faut que je pense les choses différemment.
En charge de la défense à Bordeaux, Christophe Laussucq dit de vous : « Avec son gabarit de gamin de 12 ans un peu frêle, il s’y colle. »
Depuis tout petit, j’ai cette image. Mais je m’en fous complètement (sourire) : j’ai mes qualités. Ça ne m’empêche pas de savoir plaquer et de faire tomber les mecs. Maxime Lucu n’est pas le plus costaud du monde. Et il fait pourtant 15 à 20 plaquages par match en s’envoyant.
Affronter les Blacks, c’est la promesse de se frotter à des ailiers redoutables…
Depuis que je suis petit, les Blacks, c’est la meilleure équipe du monde. Voire de l’histoire. Un France - All Blacks, ça fait rêver. (Will) Jordan, (Caleb) Clarke, (Mark) Telea, ils ont des jolis clients. Mais jouer des (Chelsin) Kolbe ou (Kurt-Lee) Arendse (les ailiers des Springboks, NDLR), c’est pas mal non plus.
Bielle-Biarrey supersonique
Flash. Louis Bielle-Biarrey fait partie des ailiers les plus rapides du Top 14 : le Bordelais a été « flashé » à 37,8 km/h. Plus parlant encore, puisque plus en phase avec la réalité d’un sport qui privilégie l’explosivité, il efface les 10 mètres en 1’54 seulement. Le fruit de dispositions naturelles, évidemment, mais aussi d’un travail soutenu. « Je m’auto-challenge sur mes temps. Notamment sur 10 mètres et, parfois, sur ma vitesse max. Je n’ai pas envie d’en perdre. » Logique. Pour Louis Bielle-Biarrey, c’est une arme. Mais pas la seule. « Je pense avoir d’autres qualités que la vitesse. »
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Scalp- Team modo
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Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:densnewzealand a écrit:c’est ça ! Comme je l’avais dit il y a longtemps, à l’époque avait interdit quelques journalistes de stade .Sous une autre forme il faudrait que le club marque le coupDr. Gregory Bouse a écrit:
Tu viens de nous poster tout ce qui se fait de mieux dans la presse d'opinions du Groupe La Dépêche: Fadat, Duzan et Zanardi.
Je ne reviens même pas sur leurs articles minables d'un point de vue journalistique et leurs points de vue biaisés et intellectuellement assez malhonnêtes.
Sans oublier le fantastique Gou, le porte-parole de Galthié…
Je n'avais vraiment pas envie de poster le Midol aujourd'hui, je l'ai fait parce que c'est le job, et que j'essaye de m'y coller avec constance, mais là, c'était vraiment dur…
Le Midol est la courroie de transmission de Galthié et Gou pro toulousain au soutien des Dupont, Ramos et autre NTK s'exécute sans se forcer. Toute comparaison avec d'autre cas dont celui de Ramos ayant rongé son frein avant de s'imposer sont nulles et non avenues.
On parle là d'un numéro 2 (dont le débat pour savoir s'il pouvait être le n° 1 a été tranché sans contradiction par ce microcosme) rétrogradé au rang de numéro 4 derrière deux joueurs dont ce n'est pas le poste et dont l'un revendique sa préférence à jouer en 15.
Jamais joueur de ce statut et de ce talent n'a été traité de la sorte
La vraie question à laquelle Galthié ne répond pas est : "Dupont accepte-t-il de jouer avec Jalibert en 10 ou leur incompatibilité soit de caractère soit dans le système de jeu laissant l'initiative au seul 9 est-elle définitive". Si tel est le cas alors Jalibert n'aura jamais sa place autre que sur le banc et seulement dans la mesure d'un changement de charnière.
Il eut été si simple d'aligner sur ce match Dupont Jalibert et Ramos (le second pouvant monter en 10 si nécessaire) et garder Le Garrec et Gailleton sur le banc, le second pouvant jouer au centre et à l'aile alors que LBB peut aussi passer en 15.
sudiste- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 15935
Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: XV de France (partie en cours)
Rien à ajouter !sudiste a écrit:Scalp a écrit:densnewzealand a écrit:c’est ça ! Comme je l’avais dit il y a longtemps, à l’époque avait interdit quelques journalistes de stade .Sous une autre forme il faudrait que le club marque le coupDr. Gregory Bouse a écrit:
Tu viens de nous poster tout ce qui se fait de mieux dans la presse d'opinions du Groupe La Dépêche: Fadat, Duzan et Zanardi.
Je ne reviens même pas sur leurs articles minables d'un point de vue journalistique et leurs points de vue biaisés et intellectuellement assez malhonnêtes.
Sans oublier le fantastique Gou, le porte-parole de Galthié…
Je n'avais vraiment pas envie de poster le Midol aujourd'hui, je l'ai fait parce que c'est le job, et que j'essaye de m'y coller avec constance, mais là, c'était vraiment dur…
Le Midol est la courroie de transmission de Galthié et Gou pro toulousain au soutien des Dupont, Ramos et autre NTK s'exécute sans se forcer. Toute comparaison avec d'autre cas dont celui de Ramos ayant rongé son frein avant de s'imposer sont nulles et non avenues.
On parle là d'un numéro 2 (dont le débat pour savoir s'il pouvait être le n° 1 a été tranché sans contradiction par ce microcosme) rétrogradé au rang de numéro 4 derrière deux joueurs dont ce n'est pas le poste et dont l'un revendique sa préférence à jouer en 15.
Jamais joueur de ce statut et de ce talent n'a été traité de la sorte
La vraie question à laquelle Galthié ne répond pas est : "Dupont accepte-t-il de jouer avec Jalibert en 10 ou leur incompatibilité soit de caractère soit dans le système de jeu laissant l'initiative au seul 9 est-elle définitive". Si tel est le cas alors Jalibert n'aura jamais sa place autre que sur le banc et seulement dans la mesure d'un changement de charnière.
Il eut été si simple d'aligner sur ce match Dupont Jalibert et Ramos (le second pouvant monter en 10 si nécessaire) et garder Le Garrec et Gailleton sur le banc, le second pouvant jouer au centre et à l'aile alors que LBB peut aussi passer en 15.
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Re: XV de France (partie en cours)
Vidéo. XV de France – "Matthieu Jalibert doit être privé d’équipe de France"
https://www.rugbyrama.fr/2024/11/15/video-xv-de-france-matthieu-jalibert-doit-etre-prive-dequipe-de-france-12325157.php
L'inénarrable Gou ! si en plus ça pouvait déstabiliser l'UBB
https://www.rugbyrama.fr/2024/11/15/video-xv-de-france-matthieu-jalibert-doit-etre-prive-dequipe-de-france-12325157.php
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:Vidéo. XV de France – "Matthieu Jalibert doit être privé d’équipe de France"
https://www.rugbyrama.fr/2024/11/15/video-xv-de-france-matthieu-jalibert-doit-etre-prive-dequipe-de-france-12325157.php
L'inénarrable Gou ! si en plus ça pouvait déstabiliser l'UBB
Ce qui est étonnant, ceux sont les commentaires liés à cette vidéo qui pour une fois sont plutôt en faveur de Matthieu, ce qui est rare sur le Midol. un retournement de situation à venir dans l'opinion des gens ???
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Re: XV de France (partie en cours)
Quoi que fasse Romain demain je vois déjà le sort qui lui est réservé contre l'Argentine : la tribune.
NTK ayant repris l'entrainement il va sans doute tout faire pour prétendre à ce match faisant naturellement redescendre Ramos en 15
Un joli tour de passe passe pour se débarrasser de Jalibert jusqu'à nouvel ordre (c'est à dire jusqu'à la prochaine blessure d'NTK°
NTK ayant repris l'entrainement il va sans doute tout faire pour prétendre à ce match faisant naturellement redescendre Ramos en 15
Un joli tour de passe passe pour se débarrasser de Jalibert jusqu'à nouvel ordre (c'est à dire jusqu'à la prochaine blessure d'NTK°
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: XV de France (partie en cours)
De mémoire, Gou est supporter du racing depuis toujours, mais en effet c'est pas la première fois qu'il s'amuse à descendre Jalibert.
Ouais bon... Il y a quand même la majorité des observateurs du rugby qui s'accordent pour dire que le traitement de Jalibert est anormal. Les journalistes comme Gou seront les premiers à se retourner contre Galthié si on prend une branlée samedi, son totem d'immunité n'est pas éternel, même si je ne souhaite pas voir la france dégringoler et enchaîner les mauvaises performances, j'ai beaucoup de mal avec la com de Galthié qui n'est pas très honnête.
Je souhaite quand même à nos bordelais un excellent match samedi, surtout Buros
Ouais bon... Il y a quand même la majorité des observateurs du rugby qui s'accordent pour dire que le traitement de Jalibert est anormal. Les journalistes comme Gou seront les premiers à se retourner contre Galthié si on prend une branlée samedi, son totem d'immunité n'est pas éternel, même si je ne souhaite pas voir la france dégringoler et enchaîner les mauvaises performances, j'ai beaucoup de mal avec la com de Galthié qui n'est pas très honnête.
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Re: XV de France (partie en cours)
Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Scalp a écrit:Vidéo. XV de France – "Matthieu Jalibert doit être privé d’équipe de France"
https://www.rugbyrama.fr/2024/11/15/video-xv-de-france-matthieu-jalibert-doit-etre-prive-dequipe-de-france-12325157.php
L'inénarrable Gou ! si en plus ça pouvait déstabiliser l'UBB
Ce qui est étonnant, ceux sont les commentaires liés à cette vidéo qui pour une fois sont plutôt en faveur de Matthieu, ce qui est rare sur le Midol. un retournement de situation à venir dans l'opinion des gens ???
Le présentateur de l'émission faisait part d'un sondage live, qui donnait une majorité favorable à Matthieu, beaucoup de gens ne comprennent pas le traitement spécial auquel il a le droit…, sauf Gou, évidement !
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Re: XV de France (partie en cours)
Au lieu de faire une banderolle pour le soudeur, ce serait lui faire trop d'honneur, on pourrait faire une banderolle pour montrer notre soutien à matthieu
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Re: XV de France (partie en cours)
Sur X notamment, il y a plus de commentaires que d'hab pour défendre MJ. Mais je pense qu'au delà du cas de MJ, beaucoup d'amateurs de rugby n'en peuvent plus de la comm' de Galthié.Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Scalp a écrit:Vidéo. XV de France – "Matthieu Jalibert doit être privé d’équipe de France"
https://www.rugbyrama.fr/2024/11/15/video-xv-de-france-matthieu-jalibert-doit-etre-prive-dequipe-de-france-12325157.php
L'inénarrable Gou ! si en plus ça pouvait déstabiliser l'UBB
Ce qui est étonnant, ceux sont les commentaires liés à cette vidéo qui pour une fois sont plutôt en faveur de Matthieu, ce qui est rare sur le Midol. un retournement de situation à venir dans l'opinion des gens ???
la séquence {défaite CDM-pas de comm derrière-tournoi médiocre-tournée Mendoza-pas de comm derrière -MJ} laisse des traces
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Re: XV de France (partie en cours)
g.lab a écrit:De mémoire, Gou est supporter du racing depuis toujours, mais en effet c'est pas la première fois qu'il s'amuse à descendre Jalibert.
Ouais bon... Il y a quand même la majorité des observateurs du rugby qui s'accordent pour dire que le traitement de Jalibert est anormal. Les journalistes comme Gou seront les premiers à se retourner contre Galthié si on prend une branlée samedi, son totem d'immunité n'est pas éternel, même si je ne souhaite pas voir la france dégringoler et enchaîner les mauvaises performances, j'ai beaucoup de mal avec la com de Galthié qui n'est pas très honnête.
Je souhaite quand même à nos bordelais un excellent match samedi, surtout Buros
Les autres commentateurs le chambre souvent en lui disant qu'il est pro-toulousain, ce qui l'amuse beaucoup. Moi, ce qui me reste en travers, c'est quand dans la précédente émission, il avait annoncé que Galthié avait dit à Matthieu qu'il était quatrième dans la hiérarchie, il était tout sourire d'annoncer cette info, visiblement satisfait de cet état de fait. Sur le coup, je n'y ai pas cru, je ne voyais pas qui pouvait passer devant lui en troisième position. Hier, ce fut un récital anti-Jalibert de sa part, il a commis une faute, il ne mérite pas l'EDF, il n'est pas au niveau, il n'a pas le mental. Si les autres intervenants n'avaient pas été là pour apporter une contradiction, il allait presque dire que c'était dans la continuité des scandales dans le rugby, et que c'était quand même un peu sa faute si on avait perdu la coupe du monde…
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Re: XV de France (partie en cours)
Roberto Miopalmo a écrit:Sur X notamment, il y a plus de commentaires que d'hab pour défendre MJ. Mais je pense qu'au delà du cas de MJ, beaucoup d'amateurs de rugby n'en peuvent plus de la comm' de Galthié.Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Scalp a écrit:Vidéo. XV de France – "Matthieu Jalibert doit être privé d’équipe de France"
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L'inénarrable Gou ! si en plus ça pouvait déstabiliser l'UBB
Ce qui est étonnant, ceux sont les commentaires liés à cette vidéo qui pour une fois sont plutôt en faveur de Matthieu, ce qui est rare sur le Midol. un retournement de situation à venir dans l'opinion des gens ???
la séquence {défaite CDM-pas de comm derrière-tournoi médiocre-tournée Mendoza-pas de comm derrière -MJ} laisse des traces
S'il y a un point commun entre les pros et anti-Jalibert, c'est qu'ils ne sont pas fans de galthié. Ce dernier a allumé un contre-feu avec l'affaire Jalibert, mais les résultats ont intérêt à suivre…
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Scalp a écrit:Vidéo. XV de France – "Matthieu Jalibert doit être privé d’équipe de France"
https://www.rugbyrama.fr/2024/11/15/video-xv-de-france-matthieu-jalibert-doit-etre-prive-dequipe-de-france-12325157.php
L'inénarrable Gou ! si en plus ça pouvait déstabiliser l'UBB
Ce qui est étonnant, ceux sont les commentaires liés à cette vidéo qui pour une fois sont plutôt en faveur de Matthieu, ce qui est rare sur le Midol. un retournement de situation à venir dans l'opinion des gens ???
Le présentateur de l'émission faisait part d'un sondage live, qui donnait une majorité favorable à Matthieu, beaucoup de gens ne comprennent pas le traitement spécial auquel il a le droit…, sauf Gou, évidement !
Juste un mot en direct d Édimbourg
Mon frère est très très proche du squad de Glasgow…..j ai pas mal été questionné sur l absence de MJ
Ici personne ne comprend qu un joueur si comparable à Finn Russell puisse être traité ainsi…. Et Fg a une très très mauvaise image
Ma femme ( française..) travaille dans un domaine où on va dire qu on se soucie d aider les gens à la santé mentale fragile
Concernant Fg son regard de thérapeute est que c est un tordu , un manipulateur un gros PN un sale mec quoi
Demain je serai à mort pour les blacks histoire de voir la tronche de ce sale C au micro après le match !
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Re: XV de France (partie en cours)
Il ne me semble pas avoir vu cet article posté (j'enlève si doublon)
XV de France : les dessous de la mise à l’écart de Matthieu Jalibert face aux All Blacks
Le demi d’ouverture, remplaçant face au Japon le week-end dernier, a été sorti du groupe pour affronter les All Blacks samedi 16 novembre. Le joueur, titulaire lors de la dernière Coupe du monde, est rentré à Bordeaux. Explications.
Chaque mercredi de la vie du XV de France à Marcoussis avant un match est rythmé par le même cérémonial. 28 joueurs gardent leur chambre au centre d’entraînement, plus ou moins satisfaits selon leur destin, de titulaires, à remplaçants, en passant par les réservistes conservés en cas de blessure dans l’une des deux premières catégories. Et puis, il y a les autres. Ceux qui partent après avoir participé aux premières séances de la semaine. Retour à la maison, avant peut-être, d’être conviés à revenir pour le coup d’après.
Mercredi, Matthieu Jalibert a fait partie de la catégorie qui franchit la grille des lieux. Mais le demi d’ouverture de 26 ans l’a choisi. Trop marqué par la décision du staff de l’envoyer dans les tribunes avec les quatre autres réservistes pour le point d’orgue de la tournée d’automne face aux All Blacks samedi soir, le joueur de Bordeaux-Bègles (34 sélections) a demandé à partir. Dans la soirée, il était chez lui en Gironde. D’où il a partagé sur Instagram la photo de ses retrouvailles avec l’un de ses chiens.
Ça n’était pas du tout le programme rêvé par le joueur, qui vit cet automne un déclassement sévère chez les Bleus. Titulaire lors de la Coupe du monde en France l’an dernier et lors des trois premiers matchs du Tournoi des Six Nations 2024 avant de se blesser face à l’Italie, Jalibert savait pertinemment que le retour programmé de Romain Ntamack après sa longue indisponibilité lui promettait de cirer à nouveau le banc de touche. Le staff a renoncé depuis longtemps à l’idée de les associer, comme lors de la tournée d’automne 2021, et le Toulousain s’est depuis imposé.
Un long échange au téléphone avec Fabien Galthié
Mais touché face à Clermont en Top 14 mi-octobre, Ntamack voit un nouveau rassemblement avec les Tricolores s’éloigner. De quoi offrir de nouvelles titularisations au Bordelo-Béglais ? Pas dans l’esprit de Fabien Galthié. Avant le début de la tournée d’automne, le sélectionneur décroche son téléphone pour s’entretenir avec Matthieu Jalibert. Et lui annonce qu’il sera remplaçant. Dans l’esprit du boss des Bleus, c’est Thomas Ramos, un arrière, qui doit être associé à Antoine Dupont, de retour au poste de demi de mêlée, comme les deux hommes ont l’occasion de le faire parfois à Toulouse.
La conversation dure plus d’une demi-heure. Galthié expose ses arguments, et tente de faire avaler la pilule à Jalibert. Déçu et frustré, ce dernier n’est pas franchement convaincu par les justifications de son sélectionneur. Il prend le chemin de Marcoussis à la fin du mois d’octobre, sachant déjà pertinemment qu’il ne sera que remplaçant pour lancer la tournée face au Japon. Son ami Cameron Woki, déjà mis de côté en fin de Tournoi, n’est dans un premier temps même pas appelé dans la liste des 42.
Contre les Nippons, le staff lui offre une demi-heure de jeu en le faisant entrer à la 51e minute. Dans un match un peu foufou où les Bleus mènent largement au score, le demi d’ouverture ne brille pas. C’est même lui qui amène, avec une passe interceptée par son partenaire en club Tevita Tatafu, le second essai des Japonais (61e).
Pas satisfait de sa prestation, le demi d’ouverture participe le lendemain matin à un événement dans la boutique des Champs-Élysées de son partenaire et nouvel équipementier des Bleus, Adidas. Matthieu Jalibert enchaîne les autographes pour de jeunes licenciés, conviés par la marque à un échange avec des joueurs des Bleus.
« Il continuera… s’il le souhaite »
Un peu plus d’un an après avoir disputé l’intégralité du coup d’envoi de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, où il en avait profité pour échanger son maillot avec l’une des stars des All Blacks Beauden Barrett, Jalibert fait cette fois les frais des choix de l’encadrement des Bleus. Celui-ci veut s’offrir plus de choix chez les avants, et passe de trois à deux arrières sur le banc de touche. Éjectant ainsi le demi d’ouverture, qui ne compte pas que des soutiens en interne, en particulier depuis son chambrage en Top 14 en mai sur Grégory Alldritt, capitaine des Bleus en l’absence de Dupont et ami de longue date de ce dernier.
La fin de l’histoire est connue, et a été évoquée par Fabien Galthié après l’annonce de la composition tricolore jeudi. « C’est son choix, chacun est libre de vivre ses émotions, de les partager. Nous, on a besoin de détermination, de joueurs forts, a insisté le sélectionneur des Bleus, dans une phrase autant destinée à son auditoire qu’à l’intéressé. Jusqu’à présent, même si son parcours n’a pas toujours été linéaire, il a apporté à l’équipe de France son talent, il a toujours essayé d’apporter le meilleur de lui-même. Il continuera… s’il le souhaite, bien sûr. Chacun a le choix de prendre ses décisions. »
Reste maintenant à savoir si cet épisode ne constitue qu’un simple retrait ou un divorce plus profond entre les deux hommes. Une partie de la réponse sera connue dimanche, à l’annonce du nouveau groupe de 42 choisi pour préparer l’ultime match de la tournée face à l’Argentine. Elle dira si Matthieu Jalibert a passé mercredi la porte de Marcoussis pour la dernière fois de l’année. Au moins.
XV de France : les dessous de la mise à l’écart de Matthieu Jalibert face aux All Blacks
Le demi d’ouverture, remplaçant face au Japon le week-end dernier, a été sorti du groupe pour affronter les All Blacks samedi 16 novembre. Le joueur, titulaire lors de la dernière Coupe du monde, est rentré à Bordeaux. Explications.
Chaque mercredi de la vie du XV de France à Marcoussis avant un match est rythmé par le même cérémonial. 28 joueurs gardent leur chambre au centre d’entraînement, plus ou moins satisfaits selon leur destin, de titulaires, à remplaçants, en passant par les réservistes conservés en cas de blessure dans l’une des deux premières catégories. Et puis, il y a les autres. Ceux qui partent après avoir participé aux premières séances de la semaine. Retour à la maison, avant peut-être, d’être conviés à revenir pour le coup d’après.
Mercredi, Matthieu Jalibert a fait partie de la catégorie qui franchit la grille des lieux. Mais le demi d’ouverture de 26 ans l’a choisi. Trop marqué par la décision du staff de l’envoyer dans les tribunes avec les quatre autres réservistes pour le point d’orgue de la tournée d’automne face aux All Blacks samedi soir, le joueur de Bordeaux-Bègles (34 sélections) a demandé à partir. Dans la soirée, il était chez lui en Gironde. D’où il a partagé sur Instagram la photo de ses retrouvailles avec l’un de ses chiens.
Ça n’était pas du tout le programme rêvé par le joueur, qui vit cet automne un déclassement sévère chez les Bleus. Titulaire lors de la Coupe du monde en France l’an dernier et lors des trois premiers matchs du Tournoi des Six Nations 2024 avant de se blesser face à l’Italie, Jalibert savait pertinemment que le retour programmé de Romain Ntamack après sa longue indisponibilité lui promettait de cirer à nouveau le banc de touche. Le staff a renoncé depuis longtemps à l’idée de les associer, comme lors de la tournée d’automne 2021, et le Toulousain s’est depuis imposé.
Un long échange au téléphone avec Fabien Galthié
Mais touché face à Clermont en Top 14 mi-octobre, Ntamack voit un nouveau rassemblement avec les Tricolores s’éloigner. De quoi offrir de nouvelles titularisations au Bordelo-Béglais ? Pas dans l’esprit de Fabien Galthié. Avant le début de la tournée d’automne, le sélectionneur décroche son téléphone pour s’entretenir avec Matthieu Jalibert. Et lui annonce qu’il sera remplaçant. Dans l’esprit du boss des Bleus, c’est Thomas Ramos, un arrière, qui doit être associé à Antoine Dupont, de retour au poste de demi de mêlée, comme les deux hommes ont l’occasion de le faire parfois à Toulouse.
La conversation dure plus d’une demi-heure. Galthié expose ses arguments, et tente de faire avaler la pilule à Jalibert. Déçu et frustré, ce dernier n’est pas franchement convaincu par les justifications de son sélectionneur. Il prend le chemin de Marcoussis à la fin du mois d’octobre, sachant déjà pertinemment qu’il ne sera que remplaçant pour lancer la tournée face au Japon. Son ami Cameron Woki, déjà mis de côté en fin de Tournoi, n’est dans un premier temps même pas appelé dans la liste des 42.
Contre les Nippons, le staff lui offre une demi-heure de jeu en le faisant entrer à la 51e minute. Dans un match un peu foufou où les Bleus mènent largement au score, le demi d’ouverture ne brille pas. C’est même lui qui amène, avec une passe interceptée par son partenaire en club Tevita Tatafu, le second essai des Japonais (61e).
Pas satisfait de sa prestation, le demi d’ouverture participe le lendemain matin à un événement dans la boutique des Champs-Élysées de son partenaire et nouvel équipementier des Bleus, Adidas. Matthieu Jalibert enchaîne les autographes pour de jeunes licenciés, conviés par la marque à un échange avec des joueurs des Bleus.
« Il continuera… s’il le souhaite »
Un peu plus d’un an après avoir disputé l’intégralité du coup d’envoi de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, où il en avait profité pour échanger son maillot avec l’une des stars des All Blacks Beauden Barrett, Jalibert fait cette fois les frais des choix de l’encadrement des Bleus. Celui-ci veut s’offrir plus de choix chez les avants, et passe de trois à deux arrières sur le banc de touche. Éjectant ainsi le demi d’ouverture, qui ne compte pas que des soutiens en interne, en particulier depuis son chambrage en Top 14 en mai sur Grégory Alldritt, capitaine des Bleus en l’absence de Dupont et ami de longue date de ce dernier.
La fin de l’histoire est connue, et a été évoquée par Fabien Galthié après l’annonce de la composition tricolore jeudi. « C’est son choix, chacun est libre de vivre ses émotions, de les partager. Nous, on a besoin de détermination, de joueurs forts, a insisté le sélectionneur des Bleus, dans une phrase autant destinée à son auditoire qu’à l’intéressé. Jusqu’à présent, même si son parcours n’a pas toujours été linéaire, il a apporté à l’équipe de France son talent, il a toujours essayé d’apporter le meilleur de lui-même. Il continuera… s’il le souhaite, bien sûr. Chacun a le choix de prendre ses décisions. »
Reste maintenant à savoir si cet épisode ne constitue qu’un simple retrait ou un divorce plus profond entre les deux hommes. Une partie de la réponse sera connue dimanche, à l’annonce du nouveau groupe de 42 choisi pour préparer l’ultime match de la tournée face à l’Argentine. Elle dira si Matthieu Jalibert a passé mercredi la porte de Marcoussis pour la dernière fois de l’année. Au moins.
Txalaparte- J'aime l'Union beaucoup
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Re: XV de France (partie en cours)
SCOTTISH15 a écrit:Scalp a écrit:Bordelais exilé ds le 31 a écrit:Scalp a écrit:Vidéo. XV de France – "Matthieu Jalibert doit être privé d’équipe de France"
https://www.rugbyrama.fr/2024/11/15/video-xv-de-france-matthieu-jalibert-doit-etre-prive-dequipe-de-france-12325157.php
L'inénarrable Gou ! si en plus ça pouvait déstabiliser l'UBB
Ce qui est étonnant, ceux sont les commentaires liés à cette vidéo qui pour une fois sont plutôt en faveur de Matthieu, ce qui est rare sur le Midol. un retournement de situation à venir dans l'opinion des gens ???
Le présentateur de l'émission faisait part d'un sondage live, qui donnait une majorité favorable à Matthieu, beaucoup de gens ne comprennent pas le traitement spécial auquel il a le droit…, sauf Gou, évidement !
Juste un mot en direct d Édimbourg
Mon frère est très très proche du squad de Glasgow…..j ai pas mal été questionné sur l absence de MJ
Ici personne ne comprend qu un joueur si comparable à Finn Russell puisse être traité ainsi…. Et Fg a une très très mauvaise image
Ma femme ( française..) travaille dans un domaine où on va dire qu on se soucie d aider les gens à la santé mentale fragile
Concernant Fg son regard de thérapeute est que c est un tordu , un manipulateur un gros PN un sale mec quoi
Demain je serai à mort pour les blacks histoire de voir la tronche de ce sale C au micro après le match !
C’est effectivement un gros pervers manipulateur : j’ai aussi une certaine expérience (pas pro…) du sujet… ces gens là méritent le pire pour ce qu’ils font subir aux autres en toute impunité…
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Txalaparte a écrit:Il ne me semble pas avoir vu cet article posté (j'enlève si doublon)
XV de France : les dessous de la mise à l’écart de Matthieu Jalibert face aux All Blacks
Le demi d’ouverture, remplaçant face au Japon le week-end dernier, a été sorti du groupe pour affronter les All Blacks samedi 16 novembre. Le joueur, titulaire lors de la dernière Coupe du monde, est rentré à Bordeaux. Explications.
Chaque mercredi de la vie du XV de France à Marcoussis avant un match est rythmé par le même cérémonial. 28 joueurs gardent leur chambre au centre d’entraînement, plus ou moins satisfaits selon leur destin, de titulaires, à remplaçants, en passant par les réservistes conservés en cas de blessure dans l’une des deux premières catégories. Et puis, il y a les autres. Ceux qui partent après avoir participé aux premières séances de la semaine. Retour à la maison, avant peut-être, d’être conviés à revenir pour le coup d’après.
Mercredi, Matthieu Jalibert a fait partie de la catégorie qui franchit la grille des lieux. Mais le demi d’ouverture de 26 ans l’a choisi. Trop marqué par la décision du staff de l’envoyer dans les tribunes avec les quatre autres réservistes pour le point d’orgue de la tournée d’automne face aux All Blacks samedi soir, le joueur de Bordeaux-Bègles (34 sélections) a demandé à partir. Dans la soirée, il était chez lui en Gironde. D’où il a partagé sur Instagram la photo de ses retrouvailles avec l’un de ses chiens.
Ça n’était pas du tout le programme rêvé par le joueur, qui vit cet automne un déclassement sévère chez les Bleus. Titulaire lors de la Coupe du monde en France l’an dernier et lors des trois premiers matchs du Tournoi des Six Nations 2024 avant de se blesser face à l’Italie, Jalibert savait pertinemment que le retour programmé de Romain Ntamack après sa longue indisponibilité lui promettait de cirer à nouveau le banc de touche. Le staff a renoncé depuis longtemps à l’idée de les associer, comme lors de la tournée d’automne 2021, et le Toulousain s’est depuis imposé.
Un long échange au téléphone avec Fabien Galthié
Mais touché face à Clermont en Top 14 mi-octobre, Ntamack voit un nouveau rassemblement avec les Tricolores s’éloigner. De quoi offrir de nouvelles titularisations au Bordelo-Béglais ? Pas dans l’esprit de Fabien Galthié. Avant le début de la tournée d’automne, le sélectionneur décroche son téléphone pour s’entretenir avec Matthieu Jalibert. Et lui annonce qu’il sera remplaçant. Dans l’esprit du boss des Bleus, c’est Thomas Ramos, un arrière, qui doit être associé à Antoine Dupont, de retour au poste de demi de mêlée, comme les deux hommes ont l’occasion de le faire parfois à Toulouse.
La conversation dure plus d’une demi-heure. Galthié expose ses arguments, et tente de faire avaler la pilule à Jalibert. Déçu et frustré, ce dernier n’est pas franchement convaincu par les justifications de son sélectionneur. Il prend le chemin de Marcoussis à la fin du mois d’octobre, sachant déjà pertinemment qu’il ne sera que remplaçant pour lancer la tournée face au Japon. Son ami Cameron Woki, déjà mis de côté en fin de Tournoi, n’est dans un premier temps même pas appelé dans la liste des 42.
Contre les Nippons, le staff lui offre une demi-heure de jeu en le faisant entrer à la 51e minute. Dans un match un peu foufou où les Bleus mènent largement au score, le demi d’ouverture ne brille pas. C’est même lui qui amène, avec une passe interceptée par son partenaire en club Tevita Tatafu, le second essai des Japonais (61e).
Pas satisfait de sa prestation, le demi d’ouverture participe le lendemain matin à un événement dans la boutique des Champs-Élysées de son partenaire et nouvel équipementier des Bleus, Adidas. Matthieu Jalibert enchaîne les autographes pour de jeunes licenciés, conviés par la marque à un échange avec des joueurs des Bleus.
« Il continuera… s’il le souhaite »
Un peu plus d’un an après avoir disputé l’intégralité du coup d’envoi de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, où il en avait profité pour échanger son maillot avec l’une des stars des All Blacks Beauden Barrett, Jalibert fait cette fois les frais des choix de l’encadrement des Bleus. Celui-ci veut s’offrir plus de choix chez les avants, et passe de trois à deux arrières sur le banc de touche. Éjectant ainsi le demi d’ouverture, qui ne compte pas que des soutiens en interne, en particulier depuis son chambrage en Top 14 en mai sur Grégory Alldritt, capitaine des Bleus en l’absence de Dupont et ami de longue date de ce dernier.
La fin de l’histoire est connue, et a été évoquée par Fabien Galthié après l’annonce de la composition tricolore jeudi. « C’est son choix, chacun est libre de vivre ses émotions, de les partager. Nous, on a besoin de détermination, de joueurs forts, a insisté le sélectionneur des Bleus, dans une phrase autant destinée à son auditoire qu’à l’intéressé. Jusqu’à présent, même si son parcours n’a pas toujours été linéaire, il a apporté à l’équipe de France son talent, il a toujours essayé d’apporter le meilleur de lui-même. Il continuera… s’il le souhaite, bien sûr. Chacun a le choix de prendre ses décisions. »
Reste maintenant à savoir si cet épisode ne constitue qu’un simple retrait ou un divorce plus profond entre les deux hommes. Une partie de la réponse sera connue dimanche, à l’annonce du nouveau groupe de 42 choisi pour préparer l’ultime match de la tournée face à l’Argentine. Elle dira si Matthieu Jalibert a passé mercredi la porte de Marcoussis pour la dernière fois de l’année. Au moins.
C’est un article de quel journal ? En tout cas c’est assez clair sur le rôle de Dupont et d’Aldritt dans le passage de Matthieu de numéro 2 à numéro 4… les deux petites p…t’es de fayots comme il y en avait à l’école…
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
latine a écrit:Txalaparte a écrit:Il ne me semble pas avoir vu cet article posté (j'enlève si doublon)
XV de France : les dessous de la mise à l’écart de Matthieu Jalibert face aux All Blacks
Le demi d’ouverture, remplaçant face au Japon le week-end dernier, a été sorti du groupe pour affronter les All Blacks samedi 16 novembre. Le joueur, titulaire lors de la dernière Coupe du monde, est rentré à Bordeaux. Explications.
Chaque mercredi de la vie du XV de France à Marcoussis avant un match est rythmé par le même cérémonial. 28 joueurs gardent leur chambre au centre d’entraînement, plus ou moins satisfaits selon leur destin, de titulaires, à remplaçants, en passant par les réservistes conservés en cas de blessure dans l’une des deux premières catégories. Et puis, il y a les autres. Ceux qui partent après avoir participé aux premières séances de la semaine. Retour à la maison, avant peut-être, d’être conviés à revenir pour le coup d’après.
Mercredi, Matthieu Jalibert a fait partie de la catégorie qui franchit la grille des lieux. Mais le demi d’ouverture de 26 ans l’a choisi. Trop marqué par la décision du staff de l’envoyer dans les tribunes avec les quatre autres réservistes pour le point d’orgue de la tournée d’automne face aux All Blacks samedi soir, le joueur de Bordeaux-Bègles (34 sélections) a demandé à partir. Dans la soirée, il était chez lui en Gironde. D’où il a partagé sur Instagram la photo de ses retrouvailles avec l’un de ses chiens.
Ça n’était pas du tout le programme rêvé par le joueur, qui vit cet automne un déclassement sévère chez les Bleus. Titulaire lors de la Coupe du monde en France l’an dernier et lors des trois premiers matchs du Tournoi des Six Nations 2024 avant de se blesser face à l’Italie, Jalibert savait pertinemment que le retour programmé de Romain Ntamack après sa longue indisponibilité lui promettait de cirer à nouveau le banc de touche. Le staff a renoncé depuis longtemps à l’idée de les associer, comme lors de la tournée d’automne 2021, et le Toulousain s’est depuis imposé.
Un long échange au téléphone avec Fabien Galthié
Mais touché face à Clermont en Top 14 mi-octobre, Ntamack voit un nouveau rassemblement avec les Tricolores s’éloigner. De quoi offrir de nouvelles titularisations au Bordelo-Béglais ? Pas dans l’esprit de Fabien Galthié. Avant le début de la tournée d’automne, le sélectionneur décroche son téléphone pour s’entretenir avec Matthieu Jalibert. Et lui annonce qu’il sera remplaçant. Dans l’esprit du boss des Bleus, c’est Thomas Ramos, un arrière, qui doit être associé à Antoine Dupont, de retour au poste de demi de mêlée, comme les deux hommes ont l’occasion de le faire parfois à Toulouse.
La conversation dure plus d’une demi-heure. Galthié expose ses arguments, et tente de faire avaler la pilule à Jalibert. Déçu et frustré, ce dernier n’est pas franchement convaincu par les justifications de son sélectionneur. Il prend le chemin de Marcoussis à la fin du mois d’octobre, sachant déjà pertinemment qu’il ne sera que remplaçant pour lancer la tournée face au Japon. Son ami Cameron Woki, déjà mis de côté en fin de Tournoi, n’est dans un premier temps même pas appelé dans la liste des 42.
Contre les Nippons, le staff lui offre une demi-heure de jeu en le faisant entrer à la 51e minute. Dans un match un peu foufou où les Bleus mènent largement au score, le demi d’ouverture ne brille pas. C’est même lui qui amène, avec une passe interceptée par son partenaire en club Tevita Tatafu, le second essai des Japonais (61e).
Pas satisfait de sa prestation, le demi d’ouverture participe le lendemain matin à un événement dans la boutique des Champs-Élysées de son partenaire et nouvel équipementier des Bleus, Adidas. Matthieu Jalibert enchaîne les autographes pour de jeunes licenciés, conviés par la marque à un échange avec des joueurs des Bleus.
« Il continuera… s’il le souhaite »
Un peu plus d’un an après avoir disputé l’intégralité du coup d’envoi de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, où il en avait profité pour échanger son maillot avec l’une des stars des All Blacks Beauden Barrett, Jalibert fait cette fois les frais des choix de l’encadrement des Bleus. Celui-ci veut s’offrir plus de choix chez les avants, et passe de trois à deux arrières sur le banc de touche. Éjectant ainsi le demi d’ouverture, qui ne compte pas que des soutiens en interne, en particulier depuis son chambrage en Top 14 en mai sur Grégory Alldritt, capitaine des Bleus en l’absence de Dupont et ami de longue date de ce dernier.
La fin de l’histoire est connue, et a été évoquée par Fabien Galthié après l’annonce de la composition tricolore jeudi. « C’est son choix, chacun est libre de vivre ses émotions, de les partager. Nous, on a besoin de détermination, de joueurs forts, a insisté le sélectionneur des Bleus, dans une phrase autant destinée à son auditoire qu’à l’intéressé. Jusqu’à présent, même si son parcours n’a pas toujours été linéaire, il a apporté à l’équipe de France son talent, il a toujours essayé d’apporter le meilleur de lui-même. Il continuera… s’il le souhaite, bien sûr. Chacun a le choix de prendre ses décisions. »
Reste maintenant à savoir si cet épisode ne constitue qu’un simple retrait ou un divorce plus profond entre les deux hommes. Une partie de la réponse sera connue dimanche, à l’annonce du nouveau groupe de 42 choisi pour préparer l’ultime match de la tournée face à l’Argentine. Elle dira si Matthieu Jalibert a passé mercredi la porte de Marcoussis pour la dernière fois de l’année. Au moins.
C’est un article de quel journal ? En tout cas c’est assez clair sur le rôle de Dupont et d’Aldritt dans le passage de Matthieu de numéro 2 à numéro 4… les deux petites p…t’es de fayots comme il y en avait à l’école…
Ah oui quand même
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Tothor- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Tothor a écrit:latine a écrit:Txalaparte a écrit:Il ne me semble pas avoir vu cet article posté (j'enlève si doublon)
XV de France : les dessous de la mise à l’écart de Matthieu Jalibert face aux All Blacks
Le demi d’ouverture, remplaçant face au Japon le week-end dernier, a été sorti du groupe pour affronter les All Blacks samedi 16 novembre. Le joueur, titulaire lors de la dernière Coupe du monde, est rentré à Bordeaux. Explications.
Chaque mercredi de la vie du XV de France à Marcoussis avant un match est rythmé par le même cérémonial. 28 joueurs gardent leur chambre au centre d’entraînement, plus ou moins satisfaits selon leur destin, de titulaires, à remplaçants, en passant par les réservistes conservés en cas de blessure dans l’une des deux premières catégories. Et puis, il y a les autres. Ceux qui partent après avoir participé aux premières séances de la semaine. Retour à la maison, avant peut-être, d’être conviés à revenir pour le coup d’après.
Mercredi, Matthieu Jalibert a fait partie de la catégorie qui franchit la grille des lieux. Mais le demi d’ouverture de 26 ans l’a choisi. Trop marqué par la décision du staff de l’envoyer dans les tribunes avec les quatre autres réservistes pour le point d’orgue de la tournée d’automne face aux All Blacks samedi soir, le joueur de Bordeaux-Bègles (34 sélections) a demandé à partir. Dans la soirée, il était chez lui en Gironde. D’où il a partagé sur Instagram la photo de ses retrouvailles avec l’un de ses chiens.
Ça n’était pas du tout le programme rêvé par le joueur, qui vit cet automne un déclassement sévère chez les Bleus. Titulaire lors de la Coupe du monde en France l’an dernier et lors des trois premiers matchs du Tournoi des Six Nations 2024 avant de se blesser face à l’Italie, Jalibert savait pertinemment que le retour programmé de Romain Ntamack après sa longue indisponibilité lui promettait de cirer à nouveau le banc de touche. Le staff a renoncé depuis longtemps à l’idée de les associer, comme lors de la tournée d’automne 2021, et le Toulousain s’est depuis imposé.
Un long échange au téléphone avec Fabien Galthié
Mais touché face à Clermont en Top 14 mi-octobre, Ntamack voit un nouveau rassemblement avec les Tricolores s’éloigner. De quoi offrir de nouvelles titularisations au Bordelo-Béglais ? Pas dans l’esprit de Fabien Galthié. Avant le début de la tournée d’automne, le sélectionneur décroche son téléphone pour s’entretenir avec Matthieu Jalibert. Et lui annonce qu’il sera remplaçant. Dans l’esprit du boss des Bleus, c’est Thomas Ramos, un arrière, qui doit être associé à Antoine Dupont, de retour au poste de demi de mêlée, comme les deux hommes ont l’occasion de le faire parfois à Toulouse.
La conversation dure plus d’une demi-heure. Galthié expose ses arguments, et tente de faire avaler la pilule à Jalibert. Déçu et frustré, ce dernier n’est pas franchement convaincu par les justifications de son sélectionneur. Il prend le chemin de Marcoussis à la fin du mois d’octobre, sachant déjà pertinemment qu’il ne sera que remplaçant pour lancer la tournée face au Japon. Son ami Cameron Woki, déjà mis de côté en fin de Tournoi, n’est dans un premier temps même pas appelé dans la liste des 42.
Contre les Nippons, le staff lui offre une demi-heure de jeu en le faisant entrer à la 51e minute. Dans un match un peu foufou où les Bleus mènent largement au score, le demi d’ouverture ne brille pas. C’est même lui qui amène, avec une passe interceptée par son partenaire en club Tevita Tatafu, le second essai des Japonais (61e).
Pas satisfait de sa prestation, le demi d’ouverture participe le lendemain matin à un événement dans la boutique des Champs-Élysées de son partenaire et nouvel équipementier des Bleus, Adidas. Matthieu Jalibert enchaîne les autographes pour de jeunes licenciés, conviés par la marque à un échange avec des joueurs des Bleus.
« Il continuera… s’il le souhaite »
Un peu plus d’un an après avoir disputé l’intégralité du coup d’envoi de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, où il en avait profité pour échanger son maillot avec l’une des stars des All Blacks Beauden Barrett, Jalibert fait cette fois les frais des choix de l’encadrement des Bleus. Celui-ci veut s’offrir plus de choix chez les avants, et passe de trois à deux arrières sur le banc de touche. Éjectant ainsi le demi d’ouverture, qui ne compte pas que des soutiens en interne, en particulier depuis son chambrage en Top 14 en mai sur Grégory Alldritt, capitaine des Bleus en l’absence de Dupont et ami de longue date de ce dernier.
La fin de l’histoire est connue, et a été évoquée par Fabien Galthié après l’annonce de la composition tricolore jeudi. « C’est son choix, chacun est libre de vivre ses émotions, de les partager. Nous, on a besoin de détermination, de joueurs forts, a insisté le sélectionneur des Bleus, dans une phrase autant destinée à son auditoire qu’à l’intéressé. Jusqu’à présent, même si son parcours n’a pas toujours été linéaire, il a apporté à l’équipe de France son talent, il a toujours essayé d’apporter le meilleur de lui-même. Il continuera… s’il le souhaite, bien sûr. Chacun a le choix de prendre ses décisions. »
Reste maintenant à savoir si cet épisode ne constitue qu’un simple retrait ou un divorce plus profond entre les deux hommes. Une partie de la réponse sera connue dimanche, à l’annonce du nouveau groupe de 42 choisi pour préparer l’ultime match de la tournée face à l’Argentine. Elle dira si Matthieu Jalibert a passé mercredi la porte de Marcoussis pour la dernière fois de l’année. Au moins.
C’est un article de quel journal ? En tout cas c’est assez clair sur le rôle de Dupont et d’Aldritt dans le passage de Matthieu de numéro 2 à numéro 4… les deux petites p…t’es de fayots comme il y en avait à l’école…
Ah oui quand même
Le chambrage entre collègues c’est pas hyper malin et hyper mature (Ramos chambre souvent d’ailleurs) mais flinguer la carrière d’un collègue excuse-moi je trouve que c’est un autre niveau…
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
latine a écrit:Tothor a écrit:latine a écrit:Txalaparte a écrit:Il ne me semble pas avoir vu cet article posté (j'enlève si doublon)
XV de France : les dessous de la mise à l’écart de Matthieu Jalibert face aux All Blacks
Le demi d’ouverture, remplaçant face au Japon le week-end dernier, a été sorti du groupe pour affronter les All Blacks samedi 16 novembre. Le joueur, titulaire lors de la dernière Coupe du monde, est rentré à Bordeaux. Explications.
Chaque mercredi de la vie du XV de France à Marcoussis avant un match est rythmé par le même cérémonial. 28 joueurs gardent leur chambre au centre d’entraînement, plus ou moins satisfaits selon leur destin, de titulaires, à remplaçants, en passant par les réservistes conservés en cas de blessure dans l’une des deux premières catégories. Et puis, il y a les autres. Ceux qui partent après avoir participé aux premières séances de la semaine. Retour à la maison, avant peut-être, d’être conviés à revenir pour le coup d’après.
Mercredi, Matthieu Jalibert a fait partie de la catégorie qui franchit la grille des lieux. Mais le demi d’ouverture de 26 ans l’a choisi. Trop marqué par la décision du staff de l’envoyer dans les tribunes avec les quatre autres réservistes pour le point d’orgue de la tournée d’automne face aux All Blacks samedi soir, le joueur de Bordeaux-Bègles (34 sélections) a demandé à partir. Dans la soirée, il était chez lui en Gironde. D’où il a partagé sur Instagram la photo de ses retrouvailles avec l’un de ses chiens.
Ça n’était pas du tout le programme rêvé par le joueur, qui vit cet automne un déclassement sévère chez les Bleus. Titulaire lors de la Coupe du monde en France l’an dernier et lors des trois premiers matchs du Tournoi des Six Nations 2024 avant de se blesser face à l’Italie, Jalibert savait pertinemment que le retour programmé de Romain Ntamack après sa longue indisponibilité lui promettait de cirer à nouveau le banc de touche. Le staff a renoncé depuis longtemps à l’idée de les associer, comme lors de la tournée d’automne 2021, et le Toulousain s’est depuis imposé.
Un long échange au téléphone avec Fabien Galthié
Mais touché face à Clermont en Top 14 mi-octobre, Ntamack voit un nouveau rassemblement avec les Tricolores s’éloigner. De quoi offrir de nouvelles titularisations au Bordelo-Béglais ? Pas dans l’esprit de Fabien Galthié. Avant le début de la tournée d’automne, le sélectionneur décroche son téléphone pour s’entretenir avec Matthieu Jalibert. Et lui annonce qu’il sera remplaçant. Dans l’esprit du boss des Bleus, c’est Thomas Ramos, un arrière, qui doit être associé à Antoine Dupont, de retour au poste de demi de mêlée, comme les deux hommes ont l’occasion de le faire parfois à Toulouse.
La conversation dure plus d’une demi-heure. Galthié expose ses arguments, et tente de faire avaler la pilule à Jalibert. Déçu et frustré, ce dernier n’est pas franchement convaincu par les justifications de son sélectionneur. Il prend le chemin de Marcoussis à la fin du mois d’octobre, sachant déjà pertinemment qu’il ne sera que remplaçant pour lancer la tournée face au Japon. Son ami Cameron Woki, déjà mis de côté en fin de Tournoi, n’est dans un premier temps même pas appelé dans la liste des 42.
Contre les Nippons, le staff lui offre une demi-heure de jeu en le faisant entrer à la 51e minute. Dans un match un peu foufou où les Bleus mènent largement au score, le demi d’ouverture ne brille pas. C’est même lui qui amène, avec une passe interceptée par son partenaire en club Tevita Tatafu, le second essai des Japonais (61e).
Pas satisfait de sa prestation, le demi d’ouverture participe le lendemain matin à un événement dans la boutique des Champs-Élysées de son partenaire et nouvel équipementier des Bleus, Adidas. Matthieu Jalibert enchaîne les autographes pour de jeunes licenciés, conviés par la marque à un échange avec des joueurs des Bleus.
« Il continuera… s’il le souhaite »
Un peu plus d’un an après avoir disputé l’intégralité du coup d’envoi de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, où il en avait profité pour échanger son maillot avec l’une des stars des All Blacks Beauden Barrett, Jalibert fait cette fois les frais des choix de l’encadrement des Bleus. Celui-ci veut s’offrir plus de choix chez les avants, et passe de trois à deux arrières sur le banc de touche. Éjectant ainsi le demi d’ouverture, qui ne compte pas que des soutiens en interne, en particulier depuis son chambrage en Top 14 en mai sur Grégory Alldritt, capitaine des Bleus en l’absence de Dupont et ami de longue date de ce dernier.
La fin de l’histoire est connue, et a été évoquée par Fabien Galthié après l’annonce de la composition tricolore jeudi. « C’est son choix, chacun est libre de vivre ses émotions, de les partager. Nous, on a besoin de détermination, de joueurs forts, a insisté le sélectionneur des Bleus, dans une phrase autant destinée à son auditoire qu’à l’intéressé. Jusqu’à présent, même si son parcours n’a pas toujours été linéaire, il a apporté à l’équipe de France son talent, il a toujours essayé d’apporter le meilleur de lui-même. Il continuera… s’il le souhaite, bien sûr. Chacun a le choix de prendre ses décisions. »
Reste maintenant à savoir si cet épisode ne constitue qu’un simple retrait ou un divorce plus profond entre les deux hommes. Une partie de la réponse sera connue dimanche, à l’annonce du nouveau groupe de 42 choisi pour préparer l’ultime match de la tournée face à l’Argentine. Elle dira si Matthieu Jalibert a passé mercredi la porte de Marcoussis pour la dernière fois de l’année. Au moins.
C’est un article de quel journal ? En tout cas c’est assez clair sur le rôle de Dupont et d’Aldritt dans le passage de Matthieu de numéro 2 à numéro 4… les deux petites p…t’es de fayots comme il y en avait à l’école…
Ah oui quand même
Le chambrage entre collègues c’est pas hyper malin et hyper mature (Ramos chambre souvent d’ailleurs) mais flinguer la carrière d’un collègue excuse-moi je trouve que c’est un autre niveau…
On peut alors légitimement se demander s'il n'y vait pas déjà un contentieux entre Jalibert et Aldritt lorsque Jalibert lui a mis la fameuse tapette sur la tête. Après ça reste des histoires de cour d'école que le staff de l'équipe de France aurait dû gérer...
crem33- J'aime l'Union beaucoup
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Re: XV de France (partie en cours)
latine a écrit:Txalaparte a écrit:Il ne me semble pas avoir vu cet article posté (j'enlève si doublon)
XV de France : les dessous de la mise à l’écart de Matthieu Jalibert face aux All Blacks
Le demi d’ouverture, remplaçant face au Japon le week-end dernier, a été sorti du groupe pour affronter les All Blacks samedi 16 novembre. Le joueur, titulaire lors de la dernière Coupe du monde, est rentré à Bordeaux. Explications.
Chaque mercredi de la vie du XV de France à Marcoussis avant un match est rythmé par le même cérémonial. 28 joueurs gardent leur chambre au centre d’entraînement, plus ou moins satisfaits selon leur destin, de titulaires, à remplaçants, en passant par les réservistes conservés en cas de blessure dans l’une des deux premières catégories. Et puis, il y a les autres. Ceux qui partent après avoir participé aux premières séances de la semaine. Retour à la maison, avant peut-être, d’être conviés à revenir pour le coup d’après.
Mercredi, Matthieu Jalibert a fait partie de la catégorie qui franchit la grille des lieux. Mais le demi d’ouverture de 26 ans l’a choisi. Trop marqué par la décision du staff de l’envoyer dans les tribunes avec les quatre autres réservistes pour le point d’orgue de la tournée d’automne face aux All Blacks samedi soir, le joueur de Bordeaux-Bègles (34 sélections) a demandé à partir. Dans la soirée, il était chez lui en Gironde. D’où il a partagé sur Instagram la photo de ses retrouvailles avec l’un de ses chiens.
Ça n’était pas du tout le programme rêvé par le joueur, qui vit cet automne un déclassement sévère chez les Bleus. Titulaire lors de la Coupe du monde en France l’an dernier et lors des trois premiers matchs du Tournoi des Six Nations 2024 avant de se blesser face à l’Italie, Jalibert savait pertinemment que le retour programmé de Romain Ntamack après sa longue indisponibilité lui promettait de cirer à nouveau le banc de touche. Le staff a renoncé depuis longtemps à l’idée de les associer, comme lors de la tournée d’automne 2021, et le Toulousain s’est depuis imposé.
Un long échange au téléphone avec Fabien Galthié
Mais touché face à Clermont en Top 14 mi-octobre, Ntamack voit un nouveau rassemblement avec les Tricolores s’éloigner. De quoi offrir de nouvelles titularisations au Bordelo-Béglais ? Pas dans l’esprit de Fabien Galthié. Avant le début de la tournée d’automne, le sélectionneur décroche son téléphone pour s’entretenir avec Matthieu Jalibert. Et lui annonce qu’il sera remplaçant. Dans l’esprit du boss des Bleus, c’est Thomas Ramos, un arrière, qui doit être associé à Antoine Dupont, de retour au poste de demi de mêlée, comme les deux hommes ont l’occasion de le faire parfois à Toulouse.
La conversation dure plus d’une demi-heure. Galthié expose ses arguments, et tente de faire avaler la pilule à Jalibert. Déçu et frustré, ce dernier n’est pas franchement convaincu par les justifications de son sélectionneur. Il prend le chemin de Marcoussis à la fin du mois d’octobre, sachant déjà pertinemment qu’il ne sera que remplaçant pour lancer la tournée face au Japon. Son ami Cameron Woki, déjà mis de côté en fin de Tournoi, n’est dans un premier temps même pas appelé dans la liste des 42.
Contre les Nippons, le staff lui offre une demi-heure de jeu en le faisant entrer à la 51e minute. Dans un match un peu foufou où les Bleus mènent largement au score, le demi d’ouverture ne brille pas. C’est même lui qui amène, avec une passe interceptée par son partenaire en club Tevita Tatafu, le second essai des Japonais (61e).
Pas satisfait de sa prestation, le demi d’ouverture participe le lendemain matin à un événement dans la boutique des Champs-Élysées de son partenaire et nouvel équipementier des Bleus, Adidas. Matthieu Jalibert enchaîne les autographes pour de jeunes licenciés, conviés par la marque à un échange avec des joueurs des Bleus.
« Il continuera… s’il le souhaite »
Un peu plus d’un an après avoir disputé l’intégralité du coup d’envoi de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, où il en avait profité pour échanger son maillot avec l’une des stars des All Blacks Beauden Barrett, Jalibert fait cette fois les frais des choix de l’encadrement des Bleus. Celui-ci veut s’offrir plus de choix chez les avants, et passe de trois à deux arrières sur le banc de touche. Éjectant ainsi le demi d’ouverture, qui ne compte pas que des soutiens en interne, en particulier depuis son chambrage en Top 14 en mai sur Grégory Alldritt, capitaine des Bleus en l’absence de Dupont et ami de longue date de ce dernier.
La fin de l’histoire est connue, et a été évoquée par Fabien Galthié après l’annonce de la composition tricolore jeudi. « C’est son choix, chacun est libre de vivre ses émotions, de les partager. Nous, on a besoin de détermination, de joueurs forts, a insisté le sélectionneur des Bleus, dans une phrase autant destinée à son auditoire qu’à l’intéressé. Jusqu’à présent, même si son parcours n’a pas toujours été linéaire, il a apporté à l’équipe de France son talent, il a toujours essayé d’apporter le meilleur de lui-même. Il continuera… s’il le souhaite, bien sûr. Chacun a le choix de prendre ses décisions. »
Reste maintenant à savoir si cet épisode ne constitue qu’un simple retrait ou un divorce plus profond entre les deux hommes. Une partie de la réponse sera connue dimanche, à l’annonce du nouveau groupe de 42 choisi pour préparer l’ultime match de la tournée face à l’Argentine. Elle dira si Matthieu Jalibert a passé mercredi la porte de Marcoussis pour la dernière fois de l’année. Au moins.
C’est un article de quel journal ? En tout cas c’est assez clair sur le rôle de Dupont et d’Aldritt dans le passage de Matthieu de numéro 2 à numéro 4… les deux petites p…t’es de fayots comme il y en avait à l’école…
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Txalaparte- J'aime l'Union beaucoup
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Re: XV de France (partie en cours)
Txalaparte a écrit:latine a écrit:Txalaparte a écrit:Il ne me semble pas avoir vu cet article posté (j'enlève si doublon)
XV de France : les dessous de la mise à l’écart de Matthieu Jalibert face aux All Blacks
Le demi d’ouverture, remplaçant face au Japon le week-end dernier, a été sorti du groupe pour affronter les All Blacks samedi 16 novembre. Le joueur, titulaire lors de la dernière Coupe du monde, est rentré à Bordeaux. Explications.
Chaque mercredi de la vie du XV de France à Marcoussis avant un match est rythmé par le même cérémonial. 28 joueurs gardent leur chambre au centre d’entraînement, plus ou moins satisfaits selon leur destin, de titulaires, à remplaçants, en passant par les réservistes conservés en cas de blessure dans l’une des deux premières catégories. Et puis, il y a les autres. Ceux qui partent après avoir participé aux premières séances de la semaine. Retour à la maison, avant peut-être, d’être conviés à revenir pour le coup d’après.
Mercredi, Matthieu Jalibert a fait partie de la catégorie qui franchit la grille des lieux. Mais le demi d’ouverture de 26 ans l’a choisi. Trop marqué par la décision du staff de l’envoyer dans les tribunes avec les quatre autres réservistes pour le point d’orgue de la tournée d’automne face aux All Blacks samedi soir, le joueur de Bordeaux-Bègles (34 sélections) a demandé à partir. Dans la soirée, il était chez lui en Gironde. D’où il a partagé sur Instagram la photo de ses retrouvailles avec l’un de ses chiens.
Ça n’était pas du tout le programme rêvé par le joueur, qui vit cet automne un déclassement sévère chez les Bleus. Titulaire lors de la Coupe du monde en France l’an dernier et lors des trois premiers matchs du Tournoi des Six Nations 2024 avant de se blesser face à l’Italie, Jalibert savait pertinemment que le retour programmé de Romain Ntamack après sa longue indisponibilité lui promettait de cirer à nouveau le banc de touche. Le staff a renoncé depuis longtemps à l’idée de les associer, comme lors de la tournée d’automne 2021, et le Toulousain s’est depuis imposé.
Un long échange au téléphone avec Fabien Galthié
Mais touché face à Clermont en Top 14 mi-octobre, Ntamack voit un nouveau rassemblement avec les Tricolores s’éloigner. De quoi offrir de nouvelles titularisations au Bordelo-Béglais ? Pas dans l’esprit de Fabien Galthié. Avant le début de la tournée d’automne, le sélectionneur décroche son téléphone pour s’entretenir avec Matthieu Jalibert. Et lui annonce qu’il sera remplaçant. Dans l’esprit du boss des Bleus, c’est Thomas Ramos, un arrière, qui doit être associé à Antoine Dupont, de retour au poste de demi de mêlée, comme les deux hommes ont l’occasion de le faire parfois à Toulouse.
La conversation dure plus d’une demi-heure. Galthié expose ses arguments, et tente de faire avaler la pilule à Jalibert. Déçu et frustré, ce dernier n’est pas franchement convaincu par les justifications de son sélectionneur. Il prend le chemin de Marcoussis à la fin du mois d’octobre, sachant déjà pertinemment qu’il ne sera que remplaçant pour lancer la tournée face au Japon. Son ami Cameron Woki, déjà mis de côté en fin de Tournoi, n’est dans un premier temps même pas appelé dans la liste des 42.
Contre les Nippons, le staff lui offre une demi-heure de jeu en le faisant entrer à la 51e minute. Dans un match un peu foufou où les Bleus mènent largement au score, le demi d’ouverture ne brille pas. C’est même lui qui amène, avec une passe interceptée par son partenaire en club Tevita Tatafu, le second essai des Japonais (61e).
Pas satisfait de sa prestation, le demi d’ouverture participe le lendemain matin à un événement dans la boutique des Champs-Élysées de son partenaire et nouvel équipementier des Bleus, Adidas. Matthieu Jalibert enchaîne les autographes pour de jeunes licenciés, conviés par la marque à un échange avec des joueurs des Bleus.
« Il continuera… s’il le souhaite »
Un peu plus d’un an après avoir disputé l’intégralité du coup d’envoi de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, où il en avait profité pour échanger son maillot avec l’une des stars des All Blacks Beauden Barrett, Jalibert fait cette fois les frais des choix de l’encadrement des Bleus. Celui-ci veut s’offrir plus de choix chez les avants, et passe de trois à deux arrières sur le banc de touche. Éjectant ainsi le demi d’ouverture, qui ne compte pas que des soutiens en interne, en particulier depuis son chambrage en Top 14 en mai sur Grégory Alldritt, capitaine des Bleus en l’absence de Dupont et ami de longue date de ce dernier.
La fin de l’histoire est connue, et a été évoquée par Fabien Galthié après l’annonce de la composition tricolore jeudi. « C’est son choix, chacun est libre de vivre ses émotions, de les partager. Nous, on a besoin de détermination, de joueurs forts, a insisté le sélectionneur des Bleus, dans une phrase autant destinée à son auditoire qu’à l’intéressé. Jusqu’à présent, même si son parcours n’a pas toujours été linéaire, il a apporté à l’équipe de France son talent, il a toujours essayé d’apporter le meilleur de lui-même. Il continuera… s’il le souhaite, bien sûr. Chacun a le choix de prendre ses décisions. »
Reste maintenant à savoir si cet épisode ne constitue qu’un simple retrait ou un divorce plus profond entre les deux hommes. Une partie de la réponse sera connue dimanche, à l’annonce du nouveau groupe de 42 choisi pour préparer l’ultime match de la tournée face à l’Argentine. Elle dira si Matthieu Jalibert a passé mercredi la porte de Marcoussis pour la dernière fois de l’année. Au moins.
C’est un article de quel journal ? En tout cas c’est assez clair sur le rôle de Dupont et d’Aldritt dans le passage de Matthieu de numéro 2 à numéro 4… les deux petites p…t’es de fayots comme il y en avait à l’école…
C'est un article du Parisien
Merci
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
crem33 a écrit:latine a écrit:Tothor a écrit:latine a écrit:Txalaparte a écrit:Il ne me semble pas avoir vu cet article posté (j'enlève si doublon)
XV de France : les dessous de la mise à l’écart de Matthieu Jalibert face aux All Blacks
Le demi d’ouverture, remplaçant face au Japon le week-end dernier, a été sorti du groupe pour affronter les All Blacks samedi 16 novembre. Le joueur, titulaire lors de la dernière Coupe du monde, est rentré à Bordeaux. Explications.
Chaque mercredi de la vie du XV de France à Marcoussis avant un match est rythmé par le même cérémonial. 28 joueurs gardent leur chambre au centre d’entraînement, plus ou moins satisfaits selon leur destin, de titulaires, à remplaçants, en passant par les réservistes conservés en cas de blessure dans l’une des deux premières catégories. Et puis, il y a les autres. Ceux qui partent après avoir participé aux premières séances de la semaine. Retour à la maison, avant peut-être, d’être conviés à revenir pour le coup d’après.
Mercredi, Matthieu Jalibert a fait partie de la catégorie qui franchit la grille des lieux. Mais le demi d’ouverture de 26 ans l’a choisi. Trop marqué par la décision du staff de l’envoyer dans les tribunes avec les quatre autres réservistes pour le point d’orgue de la tournée d’automne face aux All Blacks samedi soir, le joueur de Bordeaux-Bègles (34 sélections) a demandé à partir. Dans la soirée, il était chez lui en Gironde. D’où il a partagé sur Instagram la photo de ses retrouvailles avec l’un de ses chiens.
Ça n’était pas du tout le programme rêvé par le joueur, qui vit cet automne un déclassement sévère chez les Bleus. Titulaire lors de la Coupe du monde en France l’an dernier et lors des trois premiers matchs du Tournoi des Six Nations 2024 avant de se blesser face à l’Italie, Jalibert savait pertinemment que le retour programmé de Romain Ntamack après sa longue indisponibilité lui promettait de cirer à nouveau le banc de touche. Le staff a renoncé depuis longtemps à l’idée de les associer, comme lors de la tournée d’automne 2021, et le Toulousain s’est depuis imposé.
Un long échange au téléphone avec Fabien Galthié
Mais touché face à Clermont en Top 14 mi-octobre, Ntamack voit un nouveau rassemblement avec les Tricolores s’éloigner. De quoi offrir de nouvelles titularisations au Bordelo-Béglais ? Pas dans l’esprit de Fabien Galthié. Avant le début de la tournée d’automne, le sélectionneur décroche son téléphone pour s’entretenir avec Matthieu Jalibert. Et lui annonce qu’il sera remplaçant. Dans l’esprit du boss des Bleus, c’est Thomas Ramos, un arrière, qui doit être associé à Antoine Dupont, de retour au poste de demi de mêlée, comme les deux hommes ont l’occasion de le faire parfois à Toulouse.
La conversation dure plus d’une demi-heure. Galthié expose ses arguments, et tente de faire avaler la pilule à Jalibert. Déçu et frustré, ce dernier n’est pas franchement convaincu par les justifications de son sélectionneur. Il prend le chemin de Marcoussis à la fin du mois d’octobre, sachant déjà pertinemment qu’il ne sera que remplaçant pour lancer la tournée face au Japon. Son ami Cameron Woki, déjà mis de côté en fin de Tournoi, n’est dans un premier temps même pas appelé dans la liste des 42.
Contre les Nippons, le staff lui offre une demi-heure de jeu en le faisant entrer à la 51e minute. Dans un match un peu foufou où les Bleus mènent largement au score, le demi d’ouverture ne brille pas. C’est même lui qui amène, avec une passe interceptée par son partenaire en club Tevita Tatafu, le second essai des Japonais (61e).
Pas satisfait de sa prestation, le demi d’ouverture participe le lendemain matin à un événement dans la boutique des Champs-Élysées de son partenaire et nouvel équipementier des Bleus, Adidas. Matthieu Jalibert enchaîne les autographes pour de jeunes licenciés, conviés par la marque à un échange avec des joueurs des Bleus.
« Il continuera… s’il le souhaite »
Un peu plus d’un an après avoir disputé l’intégralité du coup d’envoi de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, où il en avait profité pour échanger son maillot avec l’une des stars des All Blacks Beauden Barrett, Jalibert fait cette fois les frais des choix de l’encadrement des Bleus. Celui-ci veut s’offrir plus de choix chez les avants, et passe de trois à deux arrières sur le banc de touche. Éjectant ainsi le demi d’ouverture, qui ne compte pas que des soutiens en interne, en particulier depuis son chambrage en Top 14 en mai sur Grégory Alldritt, capitaine des Bleus en l’absence de Dupont et ami de longue date de ce dernier.
La fin de l’histoire est connue, et a été évoquée par Fabien Galthié après l’annonce de la composition tricolore jeudi. « C’est son choix, chacun est libre de vivre ses émotions, de les partager. Nous, on a besoin de détermination, de joueurs forts, a insisté le sélectionneur des Bleus, dans une phrase autant destinée à son auditoire qu’à l’intéressé. Jusqu’à présent, même si son parcours n’a pas toujours été linéaire, il a apporté à l’équipe de France son talent, il a toujours essayé d’apporter le meilleur de lui-même. Il continuera… s’il le souhaite, bien sûr. Chacun a le choix de prendre ses décisions. »
Reste maintenant à savoir si cet épisode ne constitue qu’un simple retrait ou un divorce plus profond entre les deux hommes. Une partie de la réponse sera connue dimanche, à l’annonce du nouveau groupe de 42 choisi pour préparer l’ultime match de la tournée face à l’Argentine. Elle dira si Matthieu Jalibert a passé mercredi la porte de Marcoussis pour la dernière fois de l’année. Au moins.
C’est un article de quel journal ? En tout cas c’est assez clair sur le rôle de Dupont et d’Aldritt dans le passage de Matthieu de numéro 2 à numéro 4… les deux petites p…t’es de fayots comme il y en avait à l’école…
Ah oui quand même
Le chambrage entre collègues c’est pas hyper malin et hyper mature (Ramos chambre souvent d’ailleurs) mais flinguer la carrière d’un collègue excuse-moi je trouve que c’est un autre niveau…
On peut alors légitimement se demander s'il n'y vait pas déjà un contentieux entre Jalibert et Aldritt lorsque Jalibert lui a mis la fameuse tapette sur la tête. Après ça reste des histoires de cour d'école que le staff de l'équipe de France aurait dû gérer...
Si, on est plusieurs à avoir entendu des bruits concernant Alldritt vs Jalibert et que le cambrage est un peu compréhensible, du moins, explicable…
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