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Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
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Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
http://www.sudouest.com/gironde/sports/rugby/article/882904/mil/5770260.html
OMNISPORTS DÉBAT, ENTRETIEN. Deuxième adjoint à Bègles, professeur d'EPS, Franck Joandet a décidé de monter au créneau pour dire sa crainte « d'un désert sportif girondin »
« Un moment crucial »
Il a été champion de France avec Bègles en 1991. Il est aujourd'hui professeur d'EPS, deuxième adjoint à la mairie de Bègles en charge de la coordination de l'action municipale et élu communautaire (groupe Vert et apparentés). Proche du dossier de l'Union mais aussi du handball féminin vec le CA Bègles (D2), il était avec son maire, Noël Mamère, samedi au stade André-Moga pour rencontrer Laurent Marti et a souhaité monter au créneau « parce qu'on est à un moment crucial du sport dans l'agglomération ».
Où en est le dossier de l'Union ?
Plusieurs dates sont prévues pour travailler (1). Laurent Marti s'est donné jusqu'à fin mars pour être fixé mais je pense que dès le match contre Pau, le 13, les dés seront jetés. Maintenant, j'espère que ceux qui ne se sont pas encore réveillés vont le faire dans les 15 jours. Il faut prendre conscience que si demain l'Union a de gros soucis, tout le monde va en pâtir : les deux clubs de Fédérale 1 (Langon et Saint-Médard) qui se nourissent de Bordelo-Béglais, Lormont... On a réussi avec le CABBG à maintenir l'une des meilleures filières de formation lors du passage en Fédérale 1, mais cela serait compliqué une deuxième fois. Et ce qui est vrai pour le rugby l'est pour le handball: aujourd'hui, le pôle féminin de Talence est aussi menacé.
Vous vous dîtes préoccupé par le « désert sportif girondin ».
Pourquoi ?
La perspective qui guette _les Girondins de Bordeaux et rien d'autre _ suscite l'effarement des acteurs du sport français. Et ce fait n'est pas le fruit d'une guéguerre politique entre élus de Bègles et de Bordeaux, comme on l'entend parfois : si le club de rugby existe encore, les deux mairies y sont pour beaucoup. Je déplore en revanche la discrétion du Conseil général et de la CUB: je suis convaincu qu'une partie de la solution passe par une implication sportive supérieure des collectivités supracommunales du département.
Quelles sont les racines de ce constat?
La ville de Toulouse a voté en janvier 2,3 M? de subventions pour quatre clubs (2), qui s'ajoutent au Stade Toulousain etau Toulouse FC (1,2 M? chacun) sans que cela ne l'empêche de développer le métro. Je pense qu'il y a des régions, des métropoles où les grands élus ont conscience de ce qu'apporte le sport en terme d'attractivité d'un territoire, de cohésion sociale. Ici, on a une vision très élitiste de la culture et un regard partiel sur le sport : pour les uns, il se résume à la vie associative, dense et de qualité en Gironde, et, pour les autres, à de grands équipements type Grand Stade ou de l'Arena pour attirer des événements. Mais il manque un niveau intermédiaire. Il y a toujours eu un discours très porté sur un soutien aux centres de formation : c'est bien, mais on est incohérent dans la mesure où, à part en football, on n'offre aucun débouché sur l'agglo aux jeunes formés.
Le problème n'est-il pas l'investissement du tissu économique ?
S'ils sentent le souffle politique, les forces vives viennent. Il est clair qu'à la différence de villes comme Le Mans ou Aurillac, Bordeaux a d'autres vecteurs de communication que le sport. Mais tout le monde a vu, lors du titre de Bègles 1991, ce que cela pouvait apporter en dynamisme. Et même en plein marasme, on réunit 20 000 personnes à Chaban-Delmas....
Certaines entreprises arguent qu'être auprès des Girondins suffit...
Cette concurrence existe. Maintenant, si on prend l'Union, ce qu'il manque, c'est un partenaire national, deux ou trois entreprises moyennes. Aux Girondins, ces dernières sont au milieu de 50 ou 60 du même calibre. Là, elles seraient en tête. Elles s'y retrouvent au football en terme de relationnel, de soirées clients. Mais celaexiste au rugby aussi.
Et pour les sports de salle ?
Aujourd'hui, ils sont partout très dépendants des subventions publiques. Et ici, les clubs sont juxtaposés à des communes qui n'ont pas les moyens de les aider seules à monter dans l'élite. Alors si l'agglomération ne se saisit pas de ces dossiers, il n'y aura pas de sortie.
Où en êtes-vous du projet pour le stade André-Moga ?
Il a été inscrit dans le projet Euratlantique et une étude préalable va être lancée pour un financement à trois, entre l'OIM (établissement public gérant Euratlantique), la ville et le CA Bègles omnisports, propriétaire des terrains. Le scénario du rugby à Chaban me semble en revanche incohérent. D'un côté, on nous explique qu'on fait un Grand Stade car cela coûte trop cher de garder Chaban aux normes du haut niveau. Et de l'autre, on avance que si on construit un Grand Stade, on ferait jouer un grand club de rugby à Chaban... De plus, le rugby me paraît inconcevable dans un stade que le football remplit déjà rarement. La bonne dimension, c'est 15 000 places environ avec à côté Chaban ou un Grand Stade pour les phases finales ou la Coupe d'Europe, même s'il est utopique de parler de ça aujourd'hui.
(1) La Chambre de Commerce et d'Industries réunit ce matin les chefs d'entreprise locaux. Le Conseil régional organise une table ronde le 9 mars, jour où mairie de Bègles et Bordeaux ont rendez-vous. (2) 350 000 ? pour le handball et le basket féminin, 750 000 ? pour le volley masculin; 763 000 ? pour le handball masculin.
Auteur : RECUEILLI PAR nicolas le gardien
Plein de bon sens. J'aurais pu tout mettre en gras d'ailleurs
D'ailleurs, déjà en octobre 2008 http://www.paperblog.fr/1157836/la-cub-toujours-pas-tres-sport/
La Cub toujours pas très sport
Publié le 06 octobre 2008 par Bordeaux7
Le vieux débat sur l’absence de compétence de la Cub dans le domaine du sport a ressurgi vendredi
Lors du conseil de la Communauté urbaine de Bordeaux (Cub) vendredi, la délibération concernant la reconduction de la subvention versée à la manifestation d’athlétisme Décastar, à Talence, a suscité la grogne des conseillers communautaires du groupe Verts. Leur grief : le financement de la manifestation sportive relève du pôle «Développement économique», faute de l’existence d’un pôle «Sport» au sein de la Cub. Franck Joandet, adjoint à la mairie de Bègles, a saisi l’occasion pour remettre sur la table le débat récurrent sur l’absence de compétence politique de la Cub dans le domaine du sport. Il a été suivi par Pierre Hurmic, chef de file des Verts bordelais. «Nous ne devrions pas financer cette opération puisque la Cub refuse avec obstination d’élargir sa compétence aux domaines sportif et culturel», s’insurge Pierre Hurmic. Lui et les autres conseillers Verts se sont donc abstenus lors du vote. La subvention, d’un montant de 61 000 €, a été validée par le conseil. Selon Franck Joandet, le biais utilisé pour subventionner Décastar n’est peut-être pas étranger au fait que le maire de Talence, Alain Cazabonne, soit également vice-président de la Cub. Avant le vote, l’élu béglais a fait part de son regret de voir le sport de haut niveau se développer hors de la Cub. «Bordeaux fait pâle figure dans sa propre région, explique le conseiller. La première division de rugby est dans les Pyrénées-Atlantiques et dans les Landes, tout comme le basket. Il n’y a plus de handball à Bordeaux, seul le Bassin d’Arcachon arrive à avoir une équipe féminine». Les clubs de handball féminin de Bègles et Mérignac ont en effet aujourd’hui un budget trop faible pour pouvoir continuer à évoluer dans l’élite. «Si on regarde aujourd’hui le paysage du sport de haut niveau à Bordeaux, on se rend compte qu’on est dans le désert, poursuit Franck Joandet. Mis à part les Girondins, il n’y a rien». Et de citer en exemple les autres communautés urbaines françaises qui ont passé le pas, à l’instar de Montpellier qui soutient les clubs sportifs et les associations de son agglomération depuis 2002. «Là-bas tous les sports collectifs sont en 1ère et 2e division en national», note le conseiller. Le sport ne semble donc pas pour l’heure intéresser la Cub. Lancé en 2006, le comité de réflexion sur l’évolution des compétences de la Cub, présidé par Michel Sainte-Marie, maire de Mérignac, n’a à ce jour pas fourni de propositions allant dans ce sens.
Annabelle Georgen
Comme quoi, le problème n'est pas vraiment nouveau
OMNISPORTS DÉBAT, ENTRETIEN. Deuxième adjoint à Bègles, professeur d'EPS, Franck Joandet a décidé de monter au créneau pour dire sa crainte « d'un désert sportif girondin »
« Un moment crucial »
Il a été champion de France avec Bègles en 1991. Il est aujourd'hui professeur d'EPS, deuxième adjoint à la mairie de Bègles en charge de la coordination de l'action municipale et élu communautaire (groupe Vert et apparentés). Proche du dossier de l'Union mais aussi du handball féminin vec le CA Bègles (D2), il était avec son maire, Noël Mamère, samedi au stade André-Moga pour rencontrer Laurent Marti et a souhaité monter au créneau « parce qu'on est à un moment crucial du sport dans l'agglomération ».
Où en est le dossier de l'Union ?
Plusieurs dates sont prévues pour travailler (1). Laurent Marti s'est donné jusqu'à fin mars pour être fixé mais je pense que dès le match contre Pau, le 13, les dés seront jetés. Maintenant, j'espère que ceux qui ne se sont pas encore réveillés vont le faire dans les 15 jours. Il faut prendre conscience que si demain l'Union a de gros soucis, tout le monde va en pâtir : les deux clubs de Fédérale 1 (Langon et Saint-Médard) qui se nourissent de Bordelo-Béglais, Lormont... On a réussi avec le CABBG à maintenir l'une des meilleures filières de formation lors du passage en Fédérale 1, mais cela serait compliqué une deuxième fois. Et ce qui est vrai pour le rugby l'est pour le handball: aujourd'hui, le pôle féminin de Talence est aussi menacé.
Vous vous dîtes préoccupé par le « désert sportif girondin ».
Pourquoi ?
La perspective qui guette _les Girondins de Bordeaux et rien d'autre _ suscite l'effarement des acteurs du sport français. Et ce fait n'est pas le fruit d'une guéguerre politique entre élus de Bègles et de Bordeaux, comme on l'entend parfois : si le club de rugby existe encore, les deux mairies y sont pour beaucoup. Je déplore en revanche la discrétion du Conseil général et de la CUB: je suis convaincu qu'une partie de la solution passe par une implication sportive supérieure des collectivités supracommunales du département.
Quelles sont les racines de ce constat?
La ville de Toulouse a voté en janvier 2,3 M? de subventions pour quatre clubs (2), qui s'ajoutent au Stade Toulousain etau Toulouse FC (1,2 M? chacun) sans que cela ne l'empêche de développer le métro. Je pense qu'il y a des régions, des métropoles où les grands élus ont conscience de ce qu'apporte le sport en terme d'attractivité d'un territoire, de cohésion sociale. Ici, on a une vision très élitiste de la culture et un regard partiel sur le sport : pour les uns, il se résume à la vie associative, dense et de qualité en Gironde, et, pour les autres, à de grands équipements type Grand Stade ou de l'Arena pour attirer des événements. Mais il manque un niveau intermédiaire. Il y a toujours eu un discours très porté sur un soutien aux centres de formation : c'est bien, mais on est incohérent dans la mesure où, à part en football, on n'offre aucun débouché sur l'agglo aux jeunes formés.
Le problème n'est-il pas l'investissement du tissu économique ?
S'ils sentent le souffle politique, les forces vives viennent. Il est clair qu'à la différence de villes comme Le Mans ou Aurillac, Bordeaux a d'autres vecteurs de communication que le sport. Mais tout le monde a vu, lors du titre de Bègles 1991, ce que cela pouvait apporter en dynamisme. Et même en plein marasme, on réunit 20 000 personnes à Chaban-Delmas....
Certaines entreprises arguent qu'être auprès des Girondins suffit...
Cette concurrence existe. Maintenant, si on prend l'Union, ce qu'il manque, c'est un partenaire national, deux ou trois entreprises moyennes. Aux Girondins, ces dernières sont au milieu de 50 ou 60 du même calibre. Là, elles seraient en tête. Elles s'y retrouvent au football en terme de relationnel, de soirées clients. Mais celaexiste au rugby aussi.
Et pour les sports de salle ?
Aujourd'hui, ils sont partout très dépendants des subventions publiques. Et ici, les clubs sont juxtaposés à des communes qui n'ont pas les moyens de les aider seules à monter dans l'élite. Alors si l'agglomération ne se saisit pas de ces dossiers, il n'y aura pas de sortie.
Où en êtes-vous du projet pour le stade André-Moga ?
Il a été inscrit dans le projet Euratlantique et une étude préalable va être lancée pour un financement à trois, entre l'OIM (établissement public gérant Euratlantique), la ville et le CA Bègles omnisports, propriétaire des terrains. Le scénario du rugby à Chaban me semble en revanche incohérent. D'un côté, on nous explique qu'on fait un Grand Stade car cela coûte trop cher de garder Chaban aux normes du haut niveau. Et de l'autre, on avance que si on construit un Grand Stade, on ferait jouer un grand club de rugby à Chaban... De plus, le rugby me paraît inconcevable dans un stade que le football remplit déjà rarement. La bonne dimension, c'est 15 000 places environ avec à côté Chaban ou un Grand Stade pour les phases finales ou la Coupe d'Europe, même s'il est utopique de parler de ça aujourd'hui.
(1) La Chambre de Commerce et d'Industries réunit ce matin les chefs d'entreprise locaux. Le Conseil régional organise une table ronde le 9 mars, jour où mairie de Bègles et Bordeaux ont rendez-vous. (2) 350 000 ? pour le handball et le basket féminin, 750 000 ? pour le volley masculin; 763 000 ? pour le handball masculin.
Auteur : RECUEILLI PAR nicolas le gardien
Plein de bon sens. J'aurais pu tout mettre en gras d'ailleurs
D'ailleurs, déjà en octobre 2008 http://www.paperblog.fr/1157836/la-cub-toujours-pas-tres-sport/
La Cub toujours pas très sport
Publié le 06 octobre 2008 par Bordeaux7
Le vieux débat sur l’absence de compétence de la Cub dans le domaine du sport a ressurgi vendredi
Lors du conseil de la Communauté urbaine de Bordeaux (Cub) vendredi, la délibération concernant la reconduction de la subvention versée à la manifestation d’athlétisme Décastar, à Talence, a suscité la grogne des conseillers communautaires du groupe Verts. Leur grief : le financement de la manifestation sportive relève du pôle «Développement économique», faute de l’existence d’un pôle «Sport» au sein de la Cub. Franck Joandet, adjoint à la mairie de Bègles, a saisi l’occasion pour remettre sur la table le débat récurrent sur l’absence de compétence politique de la Cub dans le domaine du sport. Il a été suivi par Pierre Hurmic, chef de file des Verts bordelais. «Nous ne devrions pas financer cette opération puisque la Cub refuse avec obstination d’élargir sa compétence aux domaines sportif et culturel», s’insurge Pierre Hurmic. Lui et les autres conseillers Verts se sont donc abstenus lors du vote. La subvention, d’un montant de 61 000 €, a été validée par le conseil. Selon Franck Joandet, le biais utilisé pour subventionner Décastar n’est peut-être pas étranger au fait que le maire de Talence, Alain Cazabonne, soit également vice-président de la Cub. Avant le vote, l’élu béglais a fait part de son regret de voir le sport de haut niveau se développer hors de la Cub. «Bordeaux fait pâle figure dans sa propre région, explique le conseiller. La première division de rugby est dans les Pyrénées-Atlantiques et dans les Landes, tout comme le basket. Il n’y a plus de handball à Bordeaux, seul le Bassin d’Arcachon arrive à avoir une équipe féminine». Les clubs de handball féminin de Bègles et Mérignac ont en effet aujourd’hui un budget trop faible pour pouvoir continuer à évoluer dans l’élite. «Si on regarde aujourd’hui le paysage du sport de haut niveau à Bordeaux, on se rend compte qu’on est dans le désert, poursuit Franck Joandet. Mis à part les Girondins, il n’y a rien». Et de citer en exemple les autres communautés urbaines françaises qui ont passé le pas, à l’instar de Montpellier qui soutient les clubs sportifs et les associations de son agglomération depuis 2002. «Là-bas tous les sports collectifs sont en 1ère et 2e division en national», note le conseiller. Le sport ne semble donc pas pour l’heure intéresser la Cub. Lancé en 2006, le comité de réflexion sur l’évolution des compétences de la Cub, présidé par Michel Sainte-Marie, maire de Mérignac, n’a à ce jour pas fourni de propositions allant dans ce sens.
Annabelle Georgen
Comme quoi, le problème n'est pas vraiment nouveau
SO ce matin
http://www.sudouest.com/accueil/sports/rugby/article/882919/mil.html
Mardi 02 Mars 2010
RUGBY. Laurent Marti, président de l'Union Bordeaux-Bègles (Pro D2), a annoncé qu'il donnerait sa décision définitive le 15 mars, concernant son départ, ou non, en juin prochain
Union : Laurent Marti abat ses dernières cartes
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Laurent Marti (photo Claude Petit)Devant la presse, ce matin à la Chambre de Commerce et d'Industrie de Bordeaux, Laurent Marti, président de l'Union Bordeaux-Bègles (Pro D2), a annoncé qu'il donnerait sa décision définitive le 15 mars, concernant son départ, ou non, en juin prochain.
Il a également répété qu'il resterait s'il trouve dans les 15 jours les partenaires susceptibles de lui amener au total un million d'euros (ou une grande partie), somme nécessaire pour boucler le budget actuel de 4,5 millions d'euros sans son apport personnel. Il s'est engagé, dans ce cas, à mettre la main au portefeuille pour pouvoir renforcer encore l'équipe, 8ème à 5 points du dernier demi-finaliste, la saison prochaine.
Laurent Marti en a profité pour présenter ses dernières cartes. Soutien majeur depuis trois ans, la CCI va inviter 10.000 chefs d'entreprise au match contre Pau le 13 mars. Le club, lui, lancera dès demain une souscription ouverte à tous de 500 euros : 200 euros encaissables immédiatement avec la possibilité d'assister aux 8 matches de fin de saison (3 à domicile, 5 à l'extérieur) et 300 euros pour un abonnement sur toute la saison prochaine, qui ne seront débités que si laurent Marti reste.
Parallèlement, le président doit, lui, tenter de concrétiser plusieurs contacts avec des entreprises pouvant apporter 50.000 à 150.000 euros chacune et le Conseil régional organisera une table ronde avec les entreprises régionales le 9 mars.
Auteur : Nicolas Legardien
Mardi 02 Mars 2010
RUGBY. Laurent Marti, président de l'Union Bordeaux-Bègles (Pro D2), a annoncé qu'il donnerait sa décision définitive le 15 mars, concernant son départ, ou non, en juin prochain
Union : Laurent Marti abat ses dernières cartes
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Laurent Marti (photo Claude Petit)Devant la presse, ce matin à la Chambre de Commerce et d'Industrie de Bordeaux, Laurent Marti, président de l'Union Bordeaux-Bègles (Pro D2), a annoncé qu'il donnerait sa décision définitive le 15 mars, concernant son départ, ou non, en juin prochain.
Il a également répété qu'il resterait s'il trouve dans les 15 jours les partenaires susceptibles de lui amener au total un million d'euros (ou une grande partie), somme nécessaire pour boucler le budget actuel de 4,5 millions d'euros sans son apport personnel. Il s'est engagé, dans ce cas, à mettre la main au portefeuille pour pouvoir renforcer encore l'équipe, 8ème à 5 points du dernier demi-finaliste, la saison prochaine.
Laurent Marti en a profité pour présenter ses dernières cartes. Soutien majeur depuis trois ans, la CCI va inviter 10.000 chefs d'entreprise au match contre Pau le 13 mars. Le club, lui, lancera dès demain une souscription ouverte à tous de 500 euros : 200 euros encaissables immédiatement avec la possibilité d'assister aux 8 matches de fin de saison (3 à domicile, 5 à l'extérieur) et 300 euros pour un abonnement sur toute la saison prochaine, qui ne seront débités que si laurent Marti reste.
Parallèlement, le président doit, lui, tenter de concrétiser plusieurs contacts avec des entreprises pouvant apporter 50.000 à 150.000 euros chacune et le Conseil régional organisera une table ronde avec les entreprises régionales le 9 mars.
Auteur : Nicolas Legardien
bordelais- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 1551
Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 24/03/2008
Humeur : "no scrum, no win"
Rugbyrama
http://www.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/2009-2010/ubb-marti-pourrait-rester_sto2240648/story.shtml
Rugby - Pro D2
02/03/2010 - 13:37
UBB: Marti pourrait rester
UBB: Marti pourrait rester
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Laurent Marti, le président de l'Union Bordeaux-Bègles qui avait annoncé début février son départ en fin de saison "pour raisons financières", a expliqué mardi qu'il pourrait rester s'il arrivait à trouver un million d'euros pour équilibrer le budget d'ici quinze jours.
Le dirigeant girondin, invité mardi de la Chambre de commerce et d'industrie de Bordeaux, a déclaré qu'il se donnait "une dernière chance pour équilibrer ce budget de 4,5 millions d'euros". "Pour l'heure, il en manque 20 à 25 %", a-t-il indiqué. Laurent Marti a estimé que "ces deux semaines vont permettre de mesurer concrètement de quel soutien financier supplémentaire"dispose le club, actuel 8e de Pro D2 de rugby. "J'espère que les forces vives vont se réveiller, que les collectivités publiques vont inciter les grandes entreprises qui reçoivent de gros marchés sur le département à venir nous aider", a-t-il précisé. "Si on m'aide à boucler ce budget, derrière je ferai la rallonge nécessaire pour qu'on augmente encore la qualité sportive de cette équipe", a-t-il ajouté.
Une campagne d'abonnement
"Ce n'est pas du bluff, on est dans une situation grave", a-t-il poursuivi, rappelant que "sur les 30 joueurs de l'effectif, 17 sont en fin de contrat". Pour mener à bien son opération, l'Union Bordeaux-Bègles lance cette semaine une grande campagne d'abonnement baptisée "Abonné première ligne". De son côté, la CCI de Bordeaux a décidé de solliciter et d'inviter 10.000 chefs d'entreprises girondins à l'occasion de la venue de Pau le samedi 13 mars.
Début février, le président Marti, chef d'entreprise toulousain nommé à la tête de Bordeaux-Bègles en 2007, avait expliqué "qu'il se retirait "car obligé financièrement à titre personnel". Mardi, il a souligné "avoir déjà dépassé son seuil de tolérance (financière)" avec un million d'euros investis par an depuis trois saisons.
Rugbyrama - AFP
Rugby - Pro D2
02/03/2010 - 13:37
UBB: Marti pourrait rester
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Laurent Marti, le président de l'Union Bordeaux-Bègles qui avait annoncé début février son départ en fin de saison "pour raisons financières", a expliqué mardi qu'il pourrait rester s'il arrivait à trouver un million d'euros pour équilibrer le budget d'ici quinze jours.
Le dirigeant girondin, invité mardi de la Chambre de commerce et d'industrie de Bordeaux, a déclaré qu'il se donnait "une dernière chance pour équilibrer ce budget de 4,5 millions d'euros". "Pour l'heure, il en manque 20 à 25 %", a-t-il indiqué. Laurent Marti a estimé que "ces deux semaines vont permettre de mesurer concrètement de quel soutien financier supplémentaire"dispose le club, actuel 8e de Pro D2 de rugby. "J'espère que les forces vives vont se réveiller, que les collectivités publiques vont inciter les grandes entreprises qui reçoivent de gros marchés sur le département à venir nous aider", a-t-il précisé. "Si on m'aide à boucler ce budget, derrière je ferai la rallonge nécessaire pour qu'on augmente encore la qualité sportive de cette équipe", a-t-il ajouté.
Une campagne d'abonnement
"Ce n'est pas du bluff, on est dans une situation grave", a-t-il poursuivi, rappelant que "sur les 30 joueurs de l'effectif, 17 sont en fin de contrat". Pour mener à bien son opération, l'Union Bordeaux-Bègles lance cette semaine une grande campagne d'abonnement baptisée "Abonné première ligne". De son côté, la CCI de Bordeaux a décidé de solliciter et d'inviter 10.000 chefs d'entreprises girondins à l'occasion de la venue de Pau le samedi 13 mars.
Début février, le président Marti, chef d'entreprise toulousain nommé à la tête de Bordeaux-Bègles en 2007, avait expliqué "qu'il se retirait "car obligé financièrement à titre personnel". Mardi, il a souligné "avoir déjà dépassé son seuil de tolérance (financière)" avec un million d'euros investis par an depuis trois saisons.
Rugbyrama - AFP
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Allez UBB
Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
http://www.aquitaweb.com/Aquitaine-Actualites/la-cci-de-bordeaux-mobilise-le-monde-economique/2010/03/02/
La CCI de Bordeaux mobilise le monde économique
La Chambre de Commerce et d’Industrie de Bordeaux en partenariat avec l’Union Bordeaux Bègles invite le monde économique à montrer son soutien au Club et à son Président Laurent MARTI à l’occasion du match UBB vs PAU, le samedi 13 mars prochain. Il s’agit ainsi de jouer collectif pour construire une grande équipe professionnelle capable de jouer durablement dans l’élite du rugby national.
«Laurent MARTI a montré l’exemple : il a beaucoup donné et investi dans ce Club. Ce serait faire preuve de peu de courage de le laisser partir au moment où il demande de l’aide» plaide Laurent COURBU Président de la CCI de Bordeaux qui rajoute «…nous devons jouer collectif derrière cette équipe»
Dans ce cadre, la CCI de Bordeaux lance une campagne visant à inviter tous les chefs d’entreprise de la Gironde à montrer que l’union est possible derrière le Club. Le principe est simple, il suffit de s’inscrire sur le site de l’Union ( http://ubbrugby.com/entreprise.php ) et de retirer sa place le jour du match à un guichet spécifique.
Cette opération vise non seulement à donner un nouvel élan populaire pour montrer que le rugby est capable de «remplir» un stade mais aussi et surtout d’être moteur dans la recherche de partenaires
Philippe GARCIA
CCI de Bordeaux
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La CCI de Bordeaux mobilise le monde économique
La Chambre de Commerce et d’Industrie de Bordeaux en partenariat avec l’Union Bordeaux Bègles invite le monde économique à montrer son soutien au Club et à son Président Laurent MARTI à l’occasion du match UBB vs PAU, le samedi 13 mars prochain. Il s’agit ainsi de jouer collectif pour construire une grande équipe professionnelle capable de jouer durablement dans l’élite du rugby national.
«Laurent MARTI a montré l’exemple : il a beaucoup donné et investi dans ce Club. Ce serait faire preuve de peu de courage de le laisser partir au moment où il demande de l’aide» plaide Laurent COURBU Président de la CCI de Bordeaux qui rajoute «…nous devons jouer collectif derrière cette équipe»
Dans ce cadre, la CCI de Bordeaux lance une campagne visant à inviter tous les chefs d’entreprise de la Gironde à montrer que l’union est possible derrière le Club. Le principe est simple, il suffit de s’inscrire sur le site de l’Union ( http://ubbrugby.com/entreprise.php ) et de retirer sa place le jour du match à un guichet spécifique.
Cette opération vise non seulement à donner un nouvel élan populaire pour montrer que le rugby est capable de «remplir» un stade mais aussi et surtout d’être moteur dans la recherche de partenaires
Philippe GARCIA
CCI de Bordeaux
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Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
http://www.bordeauxactu.com/RUGBY-Sauvetage-de-l-UBB-Laurent.html
RUGBY | Sauvetage de l’UBB : Laurent Marti appelle les investisseurs à l’aide [+ VIDEO]
Le président et actionnaire majoritaire du club lançait ce matin un ultimatum aux décideurs politiques et investisseurs potentiels. L’homme d’affaire prédit une disparition de l’Union Bordeaux Bègles si personne ne l’aide financièrement.
Le rendez-vous avec la presse avait lieu à la chambre de commerce et d’industrie de Bordeaux, ce matin. Et Laurent Marti, le président de l’UBB, n’y est pas allé par quatre chemins : le 15 mars prochain il faut une réponse définitive de la part des pouvoirs publics et des investisseurs.
Réalisé par François Goulin pour le journal Bordeaux Actu - Tous droits réservés.
Faute de quoi il quittera la présidence et stoppera ses généreuses donations. C’est la dernière chance offerte par ce chef d’entreprise pour tenter de sauver le club. " Si j’arrête aujourd’hui, j’ai bien peur qu’il ne survive pas et qu’il emporte avec lui le centre de formation ", prévient-il. En réponse à cet appel, Laurent Courbu, le président de la Chambre de commerce et d’industrie de Bordeaux, a apporté son soutien : une grande opération va être organisée pour le match du 13 mars face à Pau. Tous les chefs d’entreprises vont être invités au stade, avec l’espoir qu’ils décident ensuite de participer financièrement à la vie du club.
RUGBY | Sauvetage de l’UBB : Laurent Marti appelle les investisseurs à l’aide [+ VIDEO]
Le président et actionnaire majoritaire du club lançait ce matin un ultimatum aux décideurs politiques et investisseurs potentiels. L’homme d’affaire prédit une disparition de l’Union Bordeaux Bègles si personne ne l’aide financièrement.
Le rendez-vous avec la presse avait lieu à la chambre de commerce et d’industrie de Bordeaux, ce matin. Et Laurent Marti, le président de l’UBB, n’y est pas allé par quatre chemins : le 15 mars prochain il faut une réponse définitive de la part des pouvoirs publics et des investisseurs.
Réalisé par François Goulin pour le journal Bordeaux Actu - Tous droits réservés.
Faute de quoi il quittera la présidence et stoppera ses généreuses donations. C’est la dernière chance offerte par ce chef d’entreprise pour tenter de sauver le club. " Si j’arrête aujourd’hui, j’ai bien peur qu’il ne survive pas et qu’il emporte avec lui le centre de formation ", prévient-il. En réponse à cet appel, Laurent Courbu, le président de la Chambre de commerce et d’industrie de Bordeaux, a apporté son soutien : une grande opération va être organisée pour le match du 13 mars face à Pau. Tous les chefs d’entreprises vont être invités au stade, avec l’espoir qu’ils décident ensuite de participer financièrement à la vie du club.
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Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
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Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
Olivier Brouzet et Laurent Courbu (Pdt CCI) invités de rugby et compagnie sur SUD RADIO, aujourd'hui entre 18 h et 19 h.... vue sur Facebook.
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« Patere ut Vinceres !!! » « Souffrir pour Vaincre !!! ». L'esprit champion n'est pas qu'une histoire de talent, mais aussi d'âme et de coeur. Il n'y aurait pas de victoires s'il n'y avait pas, par instants, des chutes, des défaites, des tentations de ployer les genoux.
Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
Merci à Sud Radio. Ni Olivier ni Laurent (Courbu) n'ont garder leur langue dans leur poche.
Si les politiques et économiques n'ont pas compris le message, y a plus qu'à aller se coucher.
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Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
Le bouche à oreilles circule beaucoup en ce moment à Bègles...
Dernière rumeur en date d'hier, jeudi 4 mars 2010... "La GMF donnerait le million d'€uros à l'UBB..."
Dernière rumeur en date d'hier, jeudi 4 mars 2010... "La GMF donnerait le million d'€uros à l'UBB..."
Damier-Muzard- J'aime l'Union à la folie
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Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
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Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
Retour de vacances : mauvaises nouvelles du terrain et en coulisses....tout ça commence vraiment à me les briser
Que Marti annonce son départ dans la semaine qu'on se prenne une branlée mémorable contre Pau devant les résistants de la dernière heure ... les politiques et les entrepreneurs qui voulaient seulement être sur la photo et qu'on baisse le rideau .
La mascarade a assez duré, tout ça tourne au pathétique et au ridicule .....à Bordeaux il ne restera bientôt que la lie au fond des verres et des tonneaux.
Que Marti annonce son départ dans la semaine qu'on se prenne une branlée mémorable contre Pau devant les résistants de la dernière heure ... les politiques et les entrepreneurs qui voulaient seulement être sur la photo et qu'on baisse le rideau .
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sudiste- Unioniste de la première heure
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Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Dédé se prononce
http://www.sudouest.com/gironde/sports/rugby/article/889265/mil/5799198.html
RUGBY UNION BORDEAUX-BÈGLES - PAU (J - 4) : SEMAINE DÉCISIVE POUR LE RUGBY BORDELAIS, LE TÉMOIN. Jusqu'à samedi, un observateur donne son regard sur l'Ovalie de haut-niveau dans l'agglomération alors que son avenir est en suspens. Aujourd'hui : André Berthozat, capitaine du CABBG lors du titre de 1991
Berthozat : « Les Bordelais aiment ce sport »
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Berthozat : « L'Union en Top 14, j'y crois ». (photo J.-J. S.)
« Je pense évidemment qu'il est nécessaire de maintenir du rugby de haut niveau à Bordeaux. Rien que pour tous les jeunes qui sortent du centre de formation et qui jouent dans les autres équipes. Je suis convaincu que Bordeaux reste une ville de rugby et que les Bordelais aiment ce sport. Il suffit de voir tous les gens qui venaient au stade il y a 10-15 ans quand nous étions au plus haut niveau, ou les 20 000 qui étaient au stade Chaban-Delmas contre Agen (NDLR : le 11 octobre dernier).
Des grands souvenirs de rugby ici, j'en ai plein. Il y a bien sûr 1991 où on était passé tout près du doublé mais aussi les sept saisons suivantes où nous étions à chaque fois demi-finalistes ou pas loin. Nous étions une équipe de copains, nous allions boire des coups ensemble après les matches et avec les spectateurs. Aujourd'hui, c'est vrai que cette relation avec le public a disparu mais les contraintes ne sont pas les mêmes.
Il y a, je pense, aujourd'hui à l'Union, un très bon président et j'ai du mal à comprendre pourquoi il n'est pas plus soutenu, pourquoi les grosses entreprises ne viennent pas comme cela se fait ailleurs. Si on enlève son argent, il n'y a plus grand-chose et c'est désolant. Il a raison de taper sur la table. Laurent Marti n'est pas bordelais et peut-être que cela fait hésiter certains patrons. Je crois aussi qu'il est dommage que lors du match à Chaban-Delmas, les joueurs soient passés à travers. Mais je le comprends : ils attendaient tellement ce match, on leur en avait tant parlé que ce n'est pas évident. Le paradoxe est, qu'à part un ou deux résultats, ils font par ailleurs une bonne saison. J'espère encore qu'ils puissent se qualifier même si ce sera désormais difficile avec la défaite à Aix. Si ce n'est pas cette année, ce sera la prochaine.
Après, les joueurs sont aujourd'hui professionnels et si Laurent Marti se retire et qu'aucun autre président arrive vite, ils iront voir logiquement ailleurs pour toucher un salaire. Pourtant, l'Union en Top 14, j'y crois. Il y aurait l'engouement, j'en suis sûr. Mais ça ne se fera que si tout le monde se rassemble derrière le club. »
Auteur : Recueilli par N. L. G.
André Berthozat, guerrier de la campagne 91 (au côté de son fidèle Mougeot) et maintenant abonné fidèle de l'Académie avec quelques uns de ses copains pas encore passés en tribune officielle. Que Laurent Marti ne soit pas de Bordeaux ne devrait pas être un handicap, bien au contraire, puisque a priori, il n'est ni le défenseur ni l'opposant d'une chapelle historique particulière.
RUGBY UNION BORDEAUX-BÈGLES - PAU (J - 4) : SEMAINE DÉCISIVE POUR LE RUGBY BORDELAIS, LE TÉMOIN. Jusqu'à samedi, un observateur donne son regard sur l'Ovalie de haut-niveau dans l'agglomération alors que son avenir est en suspens. Aujourd'hui : André Berthozat, capitaine du CABBG lors du titre de 1991
Berthozat : « Les Bordelais aiment ce sport »
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Berthozat : « L'Union en Top 14, j'y crois ». (photo J.-J. S.)
« Je pense évidemment qu'il est nécessaire de maintenir du rugby de haut niveau à Bordeaux. Rien que pour tous les jeunes qui sortent du centre de formation et qui jouent dans les autres équipes. Je suis convaincu que Bordeaux reste une ville de rugby et que les Bordelais aiment ce sport. Il suffit de voir tous les gens qui venaient au stade il y a 10-15 ans quand nous étions au plus haut niveau, ou les 20 000 qui étaient au stade Chaban-Delmas contre Agen (NDLR : le 11 octobre dernier).
Des grands souvenirs de rugby ici, j'en ai plein. Il y a bien sûr 1991 où on était passé tout près du doublé mais aussi les sept saisons suivantes où nous étions à chaque fois demi-finalistes ou pas loin. Nous étions une équipe de copains, nous allions boire des coups ensemble après les matches et avec les spectateurs. Aujourd'hui, c'est vrai que cette relation avec le public a disparu mais les contraintes ne sont pas les mêmes.
Il y a, je pense, aujourd'hui à l'Union, un très bon président et j'ai du mal à comprendre pourquoi il n'est pas plus soutenu, pourquoi les grosses entreprises ne viennent pas comme cela se fait ailleurs. Si on enlève son argent, il n'y a plus grand-chose et c'est désolant. Il a raison de taper sur la table. Laurent Marti n'est pas bordelais et peut-être que cela fait hésiter certains patrons. Je crois aussi qu'il est dommage que lors du match à Chaban-Delmas, les joueurs soient passés à travers. Mais je le comprends : ils attendaient tellement ce match, on leur en avait tant parlé que ce n'est pas évident. Le paradoxe est, qu'à part un ou deux résultats, ils font par ailleurs une bonne saison. J'espère encore qu'ils puissent se qualifier même si ce sera désormais difficile avec la défaite à Aix. Si ce n'est pas cette année, ce sera la prochaine.
Après, les joueurs sont aujourd'hui professionnels et si Laurent Marti se retire et qu'aucun autre président arrive vite, ils iront voir logiquement ailleurs pour toucher un salaire. Pourtant, l'Union en Top 14, j'y crois. Il y aurait l'engouement, j'en suis sûr. Mais ça ne se fera que si tout le monde se rassemble derrière le club. »
Auteur : Recueilli par N. L. G.
André Berthozat, guerrier de la campagne 91 (au côté de son fidèle Mougeot) et maintenant abonné fidèle de l'Académie avec quelques uns de ses copains pas encore passés en tribune officielle. Que Laurent Marti ne soit pas de Bordeaux ne devrait pas être un handicap, bien au contraire, puisque a priori, il n'est ni le défenseur ni l'opposant d'une chapelle historique particulière.
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Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
Beau et fort témoignage d'un garçon qui a grandi dans et avec le club, sur tous les terrains de l'Hexagone son nom est respecté, un joueur de devoir, vaillant au possible, rugueux mais loyal.
SO ne s'est pas trompé de personnage pour ouvrir sa semaine de témoignage avec celui de qui Fourny redoutable guerrier de Perpignan disait:
" vous les Béglais pouvez lui élever une statue dans le stade, ce type est un homme" [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Quel plus bel éloge venant d'un grand connaisseur.
Allez Union
SO ne s'est pas trompé de personnage pour ouvrir sa semaine de témoignage avec celui de qui Fourny redoutable guerrier de Perpignan disait:
" vous les Béglais pouvez lui élever une statue dans le stade, ce type est un homme" [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
Et puis cet "Homme" a la tronche de l'emploi...rugueux, stoïque, un visage qui porte les stigmates et les valeurs de notre sport :un équipier de devoir et de combat pétri d'humilité . Un MONSIEUR !!!
Aucune chance donc de le confondre avec l'un de ces petits footeux prétentieux qui s'érigent leur propre statue sur des socles en dorure bling-bling surdimensionnés pour leur insignifiante personnalité ....
Euhhh je m'égare là ?
Aucune chance donc de le confondre avec l'un de ces petits footeux prétentieux qui s'érigent leur propre statue sur des socles en dorure bling-bling surdimensionnés pour leur insignifiante personnalité ....
Euhhh je m'égare là ?
sudiste- Unioniste de la première heure
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Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
SO - Témoignage n°2
http://www.sudouest.com/gironde/actualite/article/890910/mil/5802576.html
LA SEMAINE DÉCISIVE POUR LE RUGBY BORDELAIS. Jusqu'à samedi, un observateur donne son regard sur l'Ovalie de haut-niveau dans l'agglomération. Aujourd'hui : Jean-Paul Cales, Directeur Général de Capingelec
« Créer une économie du rugby »
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Directeur général de Cap Ingelec, société d'ingénierie technique basée à Saint Jean d'Illac qui est l'un des principaux sponsors privés de l'Union (50 000 € cette saison), Jean-Paul Cales donne son regard. « Je suis sponsor du rugby depuis pas mal de temps maintenant. Par passion pour ce sport, car je suis rugbyman, issu d'une famille de rugbyman ; et parce que j'aimerais bien voir à nouveau un grand club à Bordeaux. Aujourd'hui, je suis forcément inquiet pour l'avenir mais, à la place de Laurent Marti, je pense que j'agirais de la même manière : il a mis tellement d'argent et d'énergie que ça ne peut pas durer éternellement comme ça, il faut qu'il se passe quelque chose.
Bordeaux est une agglomération de rugby : il suffit de voir le nombre de licenciés. Je m'occupe d'un petit club (Martignas, NDLR), je vois l'intérêt que les enfants y portent. Après, la problématique économique bordelaise est compliquée. Déjà, contrairement à des villes moyennes, il y a beaucoup de choses à faire ici : il y a le football qui attire beaucoup d'entreprises et plein d'activités autres. Et il y a localement des rancoeurs qui semblent impensables au XXIe siècle. Il faut avancer. Les PME, comme nous, viennent par amour du rugby, pas pour le business. Ce qu'il manque est un gros sponsor d'envergure nationale qui en entraînerait d'autres. Ce genre de groupe ne vient que s'il a un retour sur investissement et ne voit pas ce que peut lui apporter aujourd'hui le rugby. Il manque à développer, comme ça se fait en Grande-Bretagne, une économie du rugby où les partenaires viendraient faire du business autour du club et non simplement boire un verre et manger après le match (lire ci-dessus).
J'ai vécu plein de grands moments de rugby ici : le titre de 1991, la montée en Pro D2 avec le Stade Bordelais à Marmande, et des matches contre Toulon, Agen. J'espère encore qu'on aura l'occasion de revoir cela, le Stade Toulousain et les autres grands noms au plus haut niveau ici. Il y a une bonne équipe actuellement et je pense aux jeunes. Dusautoir, Fall ont débuté ici. Si Laurent Marti s'en va et que le club ne s'en remet pas, que feront les prochains ? Ils devront partir voir ailleurs à 15 ans... »
Auteur : Recueilli par N.L.G.
Un des principaux sponsors privés de l'Union avec 50 000 € ... Mis à part s'il y en avait 50 du même type, c'est en effet là le problème.
LA SEMAINE DÉCISIVE POUR LE RUGBY BORDELAIS. Jusqu'à samedi, un observateur donne son regard sur l'Ovalie de haut-niveau dans l'agglomération. Aujourd'hui : Jean-Paul Cales, Directeur Général de Capingelec
« Créer une économie du rugby »
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Directeur général de Cap Ingelec, société d'ingénierie technique basée à Saint Jean d'Illac qui est l'un des principaux sponsors privés de l'Union (50 000 € cette saison), Jean-Paul Cales donne son regard. « Je suis sponsor du rugby depuis pas mal de temps maintenant. Par passion pour ce sport, car je suis rugbyman, issu d'une famille de rugbyman ; et parce que j'aimerais bien voir à nouveau un grand club à Bordeaux. Aujourd'hui, je suis forcément inquiet pour l'avenir mais, à la place de Laurent Marti, je pense que j'agirais de la même manière : il a mis tellement d'argent et d'énergie que ça ne peut pas durer éternellement comme ça, il faut qu'il se passe quelque chose.
Bordeaux est une agglomération de rugby : il suffit de voir le nombre de licenciés. Je m'occupe d'un petit club (Martignas, NDLR), je vois l'intérêt que les enfants y portent. Après, la problématique économique bordelaise est compliquée. Déjà, contrairement à des villes moyennes, il y a beaucoup de choses à faire ici : il y a le football qui attire beaucoup d'entreprises et plein d'activités autres. Et il y a localement des rancoeurs qui semblent impensables au XXIe siècle. Il faut avancer. Les PME, comme nous, viennent par amour du rugby, pas pour le business. Ce qu'il manque est un gros sponsor d'envergure nationale qui en entraînerait d'autres. Ce genre de groupe ne vient que s'il a un retour sur investissement et ne voit pas ce que peut lui apporter aujourd'hui le rugby. Il manque à développer, comme ça se fait en Grande-Bretagne, une économie du rugby où les partenaires viendraient faire du business autour du club et non simplement boire un verre et manger après le match (lire ci-dessus).
J'ai vécu plein de grands moments de rugby ici : le titre de 1991, la montée en Pro D2 avec le Stade Bordelais à Marmande, et des matches contre Toulon, Agen. J'espère encore qu'on aura l'occasion de revoir cela, le Stade Toulousain et les autres grands noms au plus haut niveau ici. Il y a une bonne équipe actuellement et je pense aux jeunes. Dusautoir, Fall ont débuté ici. Si Laurent Marti s'en va et que le club ne s'en remet pas, que feront les prochains ? Ils devront partir voir ailleurs à 15 ans... »
Auteur : Recueilli par N.L.G.
Un des principaux sponsors privés de l'Union avec 50 000 € ... Mis à part s'il y en avait 50 du même type, c'est en effet là le problème.
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Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
Aujourd'hui des gens prennent la parole qu'on avait jamais entendu et leur discours met du baume au coeur des fada de l'Union et du Rugby Girondins que nous pensons être. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Sur que si des gars de cette trempe se mobilisent, les "politiques" ne pourront que suivre, travait remarquable du patron de la chambre de commerce. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dommage que tout ça parte bien tard, est il encore temps et puis si on continu, encore une année de faible progression, avec un pareil élan en fin de saison derniére peut être serions nous dans les cinq premiers. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Vu sur SO ce matin un article tenant lieu de compte rendu d'une réunion de "pontes" politiques de tous bords et décideurs petites et grosses entreprises, la aussi c'est positif et ça vient à point, que d'inertie à bouger dans ce pays et dans cette ville, espérons que la démarche engagée va aboutir. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
En attendant sus au "Béarnais" à Musard et bien sur dans le bon sens du terme,ce sont des gens respectables et en conséquence qui méritent d'être respectéS;
Allez Union
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Sur que si des gars de cette trempe se mobilisent, les "politiques" ne pourront que suivre, travait remarquable du patron de la chambre de commerce. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dommage que tout ça parte bien tard, est il encore temps et puis si on continu, encore une année de faible progression, avec un pareil élan en fin de saison derniére peut être serions nous dans les cinq premiers. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Vu sur SO ce matin un article tenant lieu de compte rendu d'une réunion de "pontes" politiques de tous bords et décideurs petites et grosses entreprises, la aussi c'est positif et ça vient à point, que d'inertie à bouger dans ce pays et dans cette ville, espérons que la démarche engagée va aboutir. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
En attendant sus au "Béarnais" à Musard et bien sur dans le bon sens du terme,ce sont des gens respectables et en conséquence qui méritent d'être respectéS;
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Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
Voici l'article http://www.sudouest.com/gironde/actualite/article/890491/mil/5802575.html
RUGBY PRO D2 (UNION - PAU, JOUR J - 3), LE POINT. La table ronde économique organisée par le Conseil Régional aura une suite. Mais l'urgence demeure
Des idées pour avancer
«Je suis ici entouré de représentants des mairies de Bordeaux et de Bègles et je le dis devant tout le monde : je souhaite, Laurent (Marti), que vous restiez président de l'Union. »
C'est par un appel solennel qu'Alain Rousset, président du Conseil régional, a conclu la table ronde de décideurs économiques qu'il a organisée hier afin d'essayer de trouver une solution à la crise que traverse le club. Pas une information _ les politiques répètent leur désir de garder l'entrepreneur toulousain à la tête de l'Union_ mais une volonté forte venant conclure deux heures de discussions entre une quarantaine de patrons de PME mais aussi de responsables régionaux ou marketing de grands groupes (Véolia, EDF, Immauchan, Credit Agricole, Société Générale...). Un débat « sans langue de bois » avait réclamé le maître de cérémonie.
Il a été entendu : du positif mis en avant par les sponsors actuels (gestion financière et sportive du club, réceptif, investissement personnel de l'actuel président et de son équipe, formation...) aux freins pouvant expliquer les difficultés à attirer et la timidité des grandes sociétés (besoin d'un groupe national en locomotive, nécessité d'une visibilité de retour sur investissement à moyen terme, rôle des collectivités, besoin de rassembler plus largement les forces vives du rugby girondin, reliquats du passé...), tous les éléments, ou presque, y sont passés. Le verdict ? L'affirmation d'un soutien à Laurent Marti par les partenaires actuels, dont la Société Générale et Immauchan qui s'est dit prêt à réaugmenter son apport financier (1) et une porte laissée ouverte par les "grands noms" présents, sans pour autant d'engagement ferme.
Groupe de travail
La nouveauté, à l'initiative d'Alain Rousset, est surtout la mise en place d'un groupe de travail de cinq chefs d'entreprises volontaires autour de l'actuel président pour approfondir les pistes lancées, entre autres la création d'une « agence de développement économique » parallèle au club (permettant aux partenaires de faire des affaires, d'attirer leurs relations nationales et internationales, de créer une synergie avec l'ensemble des sponsors rugby girondins). Le but : densifier le volet économique du projet et offrir une visibilité à long terme à plusieurs responsables de groupes importants que le président de Région s'est engagé à réunir la semaine prochaine.
Présents, Arielle Piazza, Guy Accoceberry (adjoint et délégué aux sports de la Ville de Bordeaux), Franck Joandet (deuxième adjoint à Bègles) ont répété l'urgence de la situation et la nécessité de se rassembler derrière le club. « Pour le maire (Alain Juppé, NDLR), ne pas avoir de rugby à Bordeaux est impensable, a lancé Arielle Piazza. Aujourd'hui, le plus dur, l'union, est derrière nous : on va vers le meilleur. »
Réunies ensuite dans l'après-midi, les deux municipalités ont poursuivi le travail débuté de leur côté « pour fédérer. » « Le Conseil Régional a envoyé un signal fort, commentait Laurent Marti, à la sortie. Ca vaut le coup d'attendre 8-10 jours mais je ne peux pas éternellement repousser ma réponse. Je vais voir si on peut obtenir plus de garanties d'ici samedi. » Car l'urgence pour préparer la saison sportive et sauver ce qui a été créé est elle très vivace.
(1) Sponsor maillot à hauteur de 100 000 ? durant trois saisons, le groupe donne 30 000 ? aujourd'hui.
Auteur : nicolas le gardien
n.legardien@sudouest.com
Même si ce n'est pas encore l'été, enfin une tendance au beau temps
RUGBY PRO D2 (UNION - PAU, JOUR J - 3), LE POINT. La table ronde économique organisée par le Conseil Régional aura une suite. Mais l'urgence demeure
Des idées pour avancer
«Je suis ici entouré de représentants des mairies de Bordeaux et de Bègles et je le dis devant tout le monde : je souhaite, Laurent (Marti), que vous restiez président de l'Union. »
C'est par un appel solennel qu'Alain Rousset, président du Conseil régional, a conclu la table ronde de décideurs économiques qu'il a organisée hier afin d'essayer de trouver une solution à la crise que traverse le club. Pas une information _ les politiques répètent leur désir de garder l'entrepreneur toulousain à la tête de l'Union_ mais une volonté forte venant conclure deux heures de discussions entre une quarantaine de patrons de PME mais aussi de responsables régionaux ou marketing de grands groupes (Véolia, EDF, Immauchan, Credit Agricole, Société Générale...). Un débat « sans langue de bois » avait réclamé le maître de cérémonie.
Il a été entendu : du positif mis en avant par les sponsors actuels (gestion financière et sportive du club, réceptif, investissement personnel de l'actuel président et de son équipe, formation...) aux freins pouvant expliquer les difficultés à attirer et la timidité des grandes sociétés (besoin d'un groupe national en locomotive, nécessité d'une visibilité de retour sur investissement à moyen terme, rôle des collectivités, besoin de rassembler plus largement les forces vives du rugby girondin, reliquats du passé...), tous les éléments, ou presque, y sont passés. Le verdict ? L'affirmation d'un soutien à Laurent Marti par les partenaires actuels, dont la Société Générale et Immauchan qui s'est dit prêt à réaugmenter son apport financier (1) et une porte laissée ouverte par les "grands noms" présents, sans pour autant d'engagement ferme.
Groupe de travail
La nouveauté, à l'initiative d'Alain Rousset, est surtout la mise en place d'un groupe de travail de cinq chefs d'entreprises volontaires autour de l'actuel président pour approfondir les pistes lancées, entre autres la création d'une « agence de développement économique » parallèle au club (permettant aux partenaires de faire des affaires, d'attirer leurs relations nationales et internationales, de créer une synergie avec l'ensemble des sponsors rugby girondins). Le but : densifier le volet économique du projet et offrir une visibilité à long terme à plusieurs responsables de groupes importants que le président de Région s'est engagé à réunir la semaine prochaine.
Présents, Arielle Piazza, Guy Accoceberry (adjoint et délégué aux sports de la Ville de Bordeaux), Franck Joandet (deuxième adjoint à Bègles) ont répété l'urgence de la situation et la nécessité de se rassembler derrière le club. « Pour le maire (Alain Juppé, NDLR), ne pas avoir de rugby à Bordeaux est impensable, a lancé Arielle Piazza. Aujourd'hui, le plus dur, l'union, est derrière nous : on va vers le meilleur. »
Réunies ensuite dans l'après-midi, les deux municipalités ont poursuivi le travail débuté de leur côté « pour fédérer. » « Le Conseil Régional a envoyé un signal fort, commentait Laurent Marti, à la sortie. Ca vaut le coup d'attendre 8-10 jours mais je ne peux pas éternellement repousser ma réponse. Je vais voir si on peut obtenir plus de garanties d'ici samedi. » Car l'urgence pour préparer la saison sportive et sauver ce qui a été créé est elle très vivace.
(1) Sponsor maillot à hauteur de 100 000 ? durant trois saisons, le groupe donne 30 000 ? aujourd'hui.
Auteur : nicolas le gardien
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Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
En voilà au moins un qui mouille le maillot.
Maintenant :
• Si ces messieurs du CAC 40 aquitain se décident à s'engager fermement en 1ère ligne,
• Si une partie des 10 000 entreprises invitées par la CCI rentre en force en 2e latte,
• Et si nous supporters, apportons notre soutien massif en 3e ligne,
Cette putain de mêlée de l'Union va bien finir par avancer et enfoncer toutes les frilosités, résistances,
doutes et pessimismes !
Et nous porterons notre valeureux président Marti “a hombros” le jour prochain de notre accession en Top 14 !
Allez l'UNION !
Maintenant :
• Si ces messieurs du CAC 40 aquitain se décident à s'engager fermement en 1ère ligne,
• Si une partie des 10 000 entreprises invitées par la CCI rentre en force en 2e latte,
• Et si nous supporters, apportons notre soutien massif en 3e ligne,
Cette putain de mêlée de l'Union va bien finir par avancer et enfoncer toutes les frilosités, résistances,
doutes et pessimismes !
Et nous porterons notre valeureux président Marti “a hombros” le jour prochain de notre accession en Top 14 !
Allez l'UNION !
Sergio- J'aime l'Union passionnément
- Nombre de messages : 257
Localisation : De Bordeaux à Musard
Date d'inscription : 31/01/2008
Humeur : Excellente quand l'Union gagne
SO : J-2
http://www.sudouest.com/gironde/actualite/article/892160/mil/5805295.html
« L'Union, la locomotive »
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Jean-Pierre Baillargé (président du Mérignac Rugby).
« Le sentiment que j'éprouve, partagé me semble-t-il par tous les clubs de la Gironde, est fondé sur la nécessité d'avoir un club qui tire le monde du rugby régional vers le haut. Car si l'Union se "casse la gueule", c'est tout le rugby girondin qui en subira de lourds effets secondaires. L'Union, aujourd'hui, est la locomotive qui se trouve à l'avant du train et tire les wagons du rugby girondin.
L'interruption de l'énorme travail du président Laurent Marti, que je ne connais pas personnellement mais dont je tiens à louer les gros efforts d'investissements consentis pour faire avancer le rugby de haut niveau à Bordeaux, serait dramatique pour tous. Eu égard à son passé rugbystique et à son pouvoir économique, la région bordelaise mérite un club de rugby de haut niveau.
Il serait vraiment dommage de briser l'élan d'un groupe qui suit indiscutablement une courbe ascensionnelle régulière. Indéniablement, cette progression et cet engouement qui habite les joueurs, sont de nature à laisser augurer, sur une période de deux, voire trois ans, une possible ascension au firmament du rugby français.
Bordeaux, certes, mais aussi le département tout entier, devrait sortir de sa frilosité et prendre à bras-le-corps l'impérieuse nécessité de donner un coup de main au président Marti qui manifestement fait l'unanimité autour de lui ».
Auteur : Recueilli par Éric De Sousa
http://www.sudouest.com/gironde/actualite/article/891050/mil/5805296.html
RUGBY UNION - PAU (J-2), MOBILISATION. La campagne lancée par l'Union Bordeaux-Bègles pour tenter de sauver le club prend fin demain soir
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Abonnés première ligne, derniers jours (La campagne a été lancée le 1er mars)
Agen et Auch, dans leurs temps difficiles, avaient également suivi la démarche, à leur manière. Comme ses voisins, l'Union, dont le président Laurent Marti est à la recherche de soutien pour poursuivre son action (nos précédentes éditions), a donc choisi de faire appel au peuple, « à tous les Girondins qui peuvent être et sont derrière nous », dixit l'entrepreneur toulousain, lors de la présentation de l'opération, la semaine dernière à la Chambre de commerce et d'industries. Pas par des dons, mais par une campagne d'abonnements pour un club un peu à la traîne en la matière (seulement 300 cette saison). « C'est une source de revenus que l'on doit développer », pointe l'ancien international Olivier Brouzet, directeur marketing du club.
« En danger »
Mais, en ces temps difficiles, c'est aussi l'occasion pour l'Union de compter les amis. Adoptée en urgence le 1er mars par les dirigeants, administrateurs et associations support du club, l'opération a pour slogan : « L'Union Bordeaux-Bègles n'a jamais été aussi performante sportivement. Et pourtant, votre club est aujourd'hui en danger... Mobilisons-nous ! »
Le principe : un chèque de 200 euros pour s'abonner aux trois derniers matches de la saison au stade André-Moga (Pau samedi, Lannemezan, La Rochelle) et un autre de 300 euros pour les quinze rencontres à domicile de 2010-2011 qui ne sera encaissé le 1er juillet que si le club repart en Pro D2. Les inscriptions, prises via le site Internet du club (www.ubbrugby.com) ou à son siège à Bègles, s'arrêteront demain.
« Ça peut influer »
« Cela s'adresse aux personnes physiques et morales, pointe Olivier Brouzet. Le premier sera intégré au budget de cette année, le second à celui de l'année prochaine. » Et Laurent Marti, lui, l'a affirmé : « Si je ne trouve pas toute la somme qu'il nous manque mais que je sens un soutien, ça peut influer ma décision ». Avec également les 10 000 chefs d'entreprise invités pour Pau, l'appel est lancé.
Auteur : Nicolas Le Gardien
« L'Union, la locomotive »
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Jean-Pierre Baillargé (président du Mérignac Rugby).
« Le sentiment que j'éprouve, partagé me semble-t-il par tous les clubs de la Gironde, est fondé sur la nécessité d'avoir un club qui tire le monde du rugby régional vers le haut. Car si l'Union se "casse la gueule", c'est tout le rugby girondin qui en subira de lourds effets secondaires. L'Union, aujourd'hui, est la locomotive qui se trouve à l'avant du train et tire les wagons du rugby girondin.
L'interruption de l'énorme travail du président Laurent Marti, que je ne connais pas personnellement mais dont je tiens à louer les gros efforts d'investissements consentis pour faire avancer le rugby de haut niveau à Bordeaux, serait dramatique pour tous. Eu égard à son passé rugbystique et à son pouvoir économique, la région bordelaise mérite un club de rugby de haut niveau.
Il serait vraiment dommage de briser l'élan d'un groupe qui suit indiscutablement une courbe ascensionnelle régulière. Indéniablement, cette progression et cet engouement qui habite les joueurs, sont de nature à laisser augurer, sur une période de deux, voire trois ans, une possible ascension au firmament du rugby français.
Bordeaux, certes, mais aussi le département tout entier, devrait sortir de sa frilosité et prendre à bras-le-corps l'impérieuse nécessité de donner un coup de main au président Marti qui manifestement fait l'unanimité autour de lui ».
Auteur : Recueilli par Éric De Sousa
http://www.sudouest.com/gironde/actualite/article/891050/mil/5805296.html
RUGBY UNION - PAU (J-2), MOBILISATION. La campagne lancée par l'Union Bordeaux-Bègles pour tenter de sauver le club prend fin demain soir
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Abonnés première ligne, derniers jours (La campagne a été lancée le 1er mars)
Agen et Auch, dans leurs temps difficiles, avaient également suivi la démarche, à leur manière. Comme ses voisins, l'Union, dont le président Laurent Marti est à la recherche de soutien pour poursuivre son action (nos précédentes éditions), a donc choisi de faire appel au peuple, « à tous les Girondins qui peuvent être et sont derrière nous », dixit l'entrepreneur toulousain, lors de la présentation de l'opération, la semaine dernière à la Chambre de commerce et d'industries. Pas par des dons, mais par une campagne d'abonnements pour un club un peu à la traîne en la matière (seulement 300 cette saison). « C'est une source de revenus que l'on doit développer », pointe l'ancien international Olivier Brouzet, directeur marketing du club.
« En danger »
Mais, en ces temps difficiles, c'est aussi l'occasion pour l'Union de compter les amis. Adoptée en urgence le 1er mars par les dirigeants, administrateurs et associations support du club, l'opération a pour slogan : « L'Union Bordeaux-Bègles n'a jamais été aussi performante sportivement. Et pourtant, votre club est aujourd'hui en danger... Mobilisons-nous ! »
Le principe : un chèque de 200 euros pour s'abonner aux trois derniers matches de la saison au stade André-Moga (Pau samedi, Lannemezan, La Rochelle) et un autre de 300 euros pour les quinze rencontres à domicile de 2010-2011 qui ne sera encaissé le 1er juillet que si le club repart en Pro D2. Les inscriptions, prises via le site Internet du club (www.ubbrugby.com) ou à son siège à Bègles, s'arrêteront demain.
« Ça peut influer »
« Cela s'adresse aux personnes physiques et morales, pointe Olivier Brouzet. Le premier sera intégré au budget de cette année, le second à celui de l'année prochaine. » Et Laurent Marti, lui, l'a affirmé : « Si je ne trouve pas toute la somme qu'il nous manque mais que je sens un soutien, ça peut influer ma décision ». Avec également les 10 000 chefs d'entreprise invités pour Pau, l'appel est lancé.
Auteur : Nicolas Le Gardien
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Tombé tout jaune dans le rugby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
Allez UBB
J-1 : François Trillo
http://www.sudouest.com/gironde/sports/rugby/article/893384/mil/5810912.html
LA SEMAINE DÉCISIVE DU RUGBY BORDELAIS. Depuis mardi et jusqu'à demain, un observateur donne son regard sur l'Ovalie dans l'agglomération bordelaise, dont une partie de l'avenir se joue en ce moment. Aujourd'hui : François Trillo, ancien joueur et journaliste à Canal +
« Peut-être un signe »
()
()
François Trillo, ancien troisième ligne champion de France en 1991 avec Bègles où il a été formé, a débuté à Mérignac, portant aussi les couleurs du Stade Bordelais. Fils de Jean (champion de France avec Bègles en 1969, ancien international et entraîneur de l'équipe de France), il est aujourd'hui journaliste spécialisé rugby à Canal +.
« Ici (NDLR : à Paris), les gens me demandent souvent pourquoi il n'y a pas de grand club à Bordeaux. Ils ne comprennent pas, vu l'attractivité de la région, son histoire. Et comme tout le monde, je m'interroge sur la raison pour laquelle les entreprises locales n'ont pas plus envie d'amener leurs clients au stade, d'autant plus à Musard, qui a une âme, et pour un sport qui véhicule des valeurs qu'elles aiment.
Vu de l'extérieur, je constate d'abord que Bordeaux n'est pas le seul concerné : à part ceux qui peuvent bénéficier d'un mécène, de nombreux clubs de Top 14 et Pro D2 ont du mal à se financer. Prenez Montpellier, installé en Top 14, avec des internationaux formés chez lui : il tient grâce aux pouvoirs publics. Je ne sais pas si c'est la crise économique qui l'explique ou si c'est un premier tournant dans le professionnalisme après des années d'inflation.
Ensuite, il y a la spécificité locale. En Gironde règne un certain immobilisme, on y réagit plus qu'on agit. Les grandes aventures rugbystiques y ont toujours été des histoires d'hommes plus qu'un rassemblement. Avec l'Union - qui a permis rester au haut niveau - ils ont peut-être perdu aussi un peu en terme d'image, il faut qu'elle se refasse. Quand je vois le travail effectué au niveau des jeunes, je me dis qu'il faudrait le mettre encore plus en avant. Pourquoi ne pas créer un lien plus fort avec l'université ? Économiquement, avec la concurrence des Girondins, la solution est peut-être à Paris, même si je sais que Laurent Marti et Olivier Brouzet ont aussi travaillé en ce sens.
Après, je reste convaincu que le meilleur marketing est le sportif. À Bordeaux, les gens ne se bousculent pas au stade mais dès qu'il y a des résultats, ils viennent, explosent. C'est dommage d'avoir perdu à Aix, mais il est nécessaire de finir au plus près de la qualification. Ils n'en sont pas loin malgré les problèmes et ça montre combien Laurent Marti s'est décarcassé. Ils ne trouveront pas un autre président comme cela facilement. Le rugby bordelais va perdurer car il y a une âme. Son histoire est jalonnée d'événements inattendus. En 2011, on fêtera les 20 ans du deuxième titre. C'est peut-être un signe... »
Auteur : Recueilli par N. L. G.
LA SEMAINE DÉCISIVE DU RUGBY BORDELAIS. Depuis mardi et jusqu'à demain, un observateur donne son regard sur l'Ovalie dans l'agglomération bordelaise, dont une partie de l'avenir se joue en ce moment. Aujourd'hui : François Trillo, ancien joueur et journaliste à Canal +
« Peut-être un signe »
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François Trillo, ancien troisième ligne champion de France en 1991 avec Bègles où il a été formé, a débuté à Mérignac, portant aussi les couleurs du Stade Bordelais. Fils de Jean (champion de France avec Bègles en 1969, ancien international et entraîneur de l'équipe de France), il est aujourd'hui journaliste spécialisé rugby à Canal +.
« Ici (NDLR : à Paris), les gens me demandent souvent pourquoi il n'y a pas de grand club à Bordeaux. Ils ne comprennent pas, vu l'attractivité de la région, son histoire. Et comme tout le monde, je m'interroge sur la raison pour laquelle les entreprises locales n'ont pas plus envie d'amener leurs clients au stade, d'autant plus à Musard, qui a une âme, et pour un sport qui véhicule des valeurs qu'elles aiment.
Vu de l'extérieur, je constate d'abord que Bordeaux n'est pas le seul concerné : à part ceux qui peuvent bénéficier d'un mécène, de nombreux clubs de Top 14 et Pro D2 ont du mal à se financer. Prenez Montpellier, installé en Top 14, avec des internationaux formés chez lui : il tient grâce aux pouvoirs publics. Je ne sais pas si c'est la crise économique qui l'explique ou si c'est un premier tournant dans le professionnalisme après des années d'inflation.
Ensuite, il y a la spécificité locale. En Gironde règne un certain immobilisme, on y réagit plus qu'on agit. Les grandes aventures rugbystiques y ont toujours été des histoires d'hommes plus qu'un rassemblement. Avec l'Union - qui a permis rester au haut niveau - ils ont peut-être perdu aussi un peu en terme d'image, il faut qu'elle se refasse. Quand je vois le travail effectué au niveau des jeunes, je me dis qu'il faudrait le mettre encore plus en avant. Pourquoi ne pas créer un lien plus fort avec l'université ? Économiquement, avec la concurrence des Girondins, la solution est peut-être à Paris, même si je sais que Laurent Marti et Olivier Brouzet ont aussi travaillé en ce sens.
Après, je reste convaincu que le meilleur marketing est le sportif. À Bordeaux, les gens ne se bousculent pas au stade mais dès qu'il y a des résultats, ils viennent, explosent. C'est dommage d'avoir perdu à Aix, mais il est nécessaire de finir au plus près de la qualification. Ils n'en sont pas loin malgré les problèmes et ça montre combien Laurent Marti s'est décarcassé. Ils ne trouveront pas un autre président comme cela facilement. Le rugby bordelais va perdurer car il y a une âme. Son histoire est jalonnée d'événements inattendus. En 2011, on fêtera les 20 ans du deuxième titre. C'est peut-être un signe... »
Auteur : Recueilli par N. L. G.
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Allez UBB
Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
Sur le canard aux pages jaune, 2 articles un sur Machenaud vu par lui même et par Delpoux, et sur le devenir de l'Union où il semble que tout le monde souhaite que Laurent Marti attende encore quelques jours.
Les joueurs auront ils la même patience?
Entraînement sur terrain d'honneur hier AM,Delpoux de retour et condamné à 20 jours de silence se ratrappe avant le choc, ça gueule de partout style exercices à la caserne, ça cout, c'est actif.
Croisons les doigts.
Allez Union
Les joueurs auront ils la même patience?
Entraînement sur terrain d'honneur hier AM,Delpoux de retour et condamné à 20 jours de silence se ratrappe avant le choc, ça gueule de partout style exercices à la caserne, ça cout, c'est actif.
Croisons les doigts.
Allez Union
léopold- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 9910
Localisation : A Musard derrière les espoirs
Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
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Allez UBB
SO Dimanche
http://www.sudouest.com/gironde/actualite/article/894788/mil/5818210.html
UNION BORDEAUX-BÈGLES. La CCI de Bordeaux a mobilisé hier soir 450 dirigeants de PME et étudiants en management. Un soutien moral au club. Et des promesses d'aides
Patrons supporters
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Le stade était entouré des banderoles de soutien de la CCI de Bordeaux. (PHOTO FABIEN COTTEREAU)
Ils ont quitté le costume-cravate pour un pardessus et une écharpe. Ils se fondent dans la foule des supporters de l'Union Bordeaux-Bègles et de Pau qui entre à flot continu au stade Moga. Ce match de rugby n'est pourtant par comme les autres. À l'image de ces guichets réservés, l'un aux invités de la CCI de Bordeaux, l'autre aux étudiants en commerce et management de BEM.
De plus, les deux tribunes arborent sur toute leur longueur des bannières aux couleurs de la CCI et ce slogan écrit en rouge : « l'entreprise premier supporter de l'Union ». « Nous voulons montrer au président Marti qu'il n'est pas seul », explique Laurent Courbu entre deux poignées de mains. Dès l'annonce des difficultés financières du club, le président de la Chambre (elle verse 75 000 euros à l'Union) avait tenu une conférence de presse avec Laurent Marti. La CCI avait contacté 10 000 PME les invitant à soutenir l'Union au moins par leur présence au match.
Déjà des annonces d'aides
Plus de 150 patrons ont fait le déplacement ainsi que 300 étudiants de BEM. Au-delà de leur soutien moral, c'est leur appui financier qui est recherché. Beaucoup venaient rarement voire jamais au stade. Comme Caroline et Lætitia, jeunes architectes venues avec le président du club des entrepreneurs de la CCI, Jean-Paul Calès, lequel a annoncé une hausse substantielle de son appui à l'Union.
Arnaud Lesgourgues, propriétaire de vignobles, a été convaincu par les arguments de Laurent Marti au déjeuner et va devenir partenaire. Le traiteur Lacoste songe à se joindre au mouvement. « Ce qui est bon pour Bordeaux est bon pour nous », reconnaît Didier Oudin, président. Les sommes annoncées ne sont-elles pas sous-dimensionnées par rapport aux besoins du club de Pro D2 ? « Les petits ruisseaux font les grandes rivières », répond-il.
Bernard Cazeneuve, expert-comptable, cite l'exemple de Bayonne : « Je suis prêt à donner entre 1 000 et 2 000 euros et il faudrait entre 500 et 600 partenaires PME (NDLR. 200 actuellement) en plus de cinq gros partenaires de niveau national. » Jean-Claude Vannier ajoute : « il faut aussi que les politiques s'impliquent, il n'y a pas de secret ! » Enfin, se référant encore à Bayonne et à ses 18 000 spectateurs, Bernard Cazeneuve complète le constat : « Il faut également faire rêver le public et ainsi intéresser les entreprises ».
Auteur : Michel Monteil
m.monteil@sudouest.com
UNION BORDEAUX-BÈGLES. La CCI de Bordeaux a mobilisé hier soir 450 dirigeants de PME et étudiants en management. Un soutien moral au club. Et des promesses d'aides
Patrons supporters
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Le stade était entouré des banderoles de soutien de la CCI de Bordeaux. (PHOTO FABIEN COTTEREAU)
Ils ont quitté le costume-cravate pour un pardessus et une écharpe. Ils se fondent dans la foule des supporters de l'Union Bordeaux-Bègles et de Pau qui entre à flot continu au stade Moga. Ce match de rugby n'est pourtant par comme les autres. À l'image de ces guichets réservés, l'un aux invités de la CCI de Bordeaux, l'autre aux étudiants en commerce et management de BEM.
De plus, les deux tribunes arborent sur toute leur longueur des bannières aux couleurs de la CCI et ce slogan écrit en rouge : « l'entreprise premier supporter de l'Union ». « Nous voulons montrer au président Marti qu'il n'est pas seul », explique Laurent Courbu entre deux poignées de mains. Dès l'annonce des difficultés financières du club, le président de la Chambre (elle verse 75 000 euros à l'Union) avait tenu une conférence de presse avec Laurent Marti. La CCI avait contacté 10 000 PME les invitant à soutenir l'Union au moins par leur présence au match.
Déjà des annonces d'aides
Plus de 150 patrons ont fait le déplacement ainsi que 300 étudiants de BEM. Au-delà de leur soutien moral, c'est leur appui financier qui est recherché. Beaucoup venaient rarement voire jamais au stade. Comme Caroline et Lætitia, jeunes architectes venues avec le président du club des entrepreneurs de la CCI, Jean-Paul Calès, lequel a annoncé une hausse substantielle de son appui à l'Union.
Arnaud Lesgourgues, propriétaire de vignobles, a été convaincu par les arguments de Laurent Marti au déjeuner et va devenir partenaire. Le traiteur Lacoste songe à se joindre au mouvement. « Ce qui est bon pour Bordeaux est bon pour nous », reconnaît Didier Oudin, président. Les sommes annoncées ne sont-elles pas sous-dimensionnées par rapport aux besoins du club de Pro D2 ? « Les petits ruisseaux font les grandes rivières », répond-il.
Bernard Cazeneuve, expert-comptable, cite l'exemple de Bayonne : « Je suis prêt à donner entre 1 000 et 2 000 euros et il faudrait entre 500 et 600 partenaires PME (NDLR. 200 actuellement) en plus de cinq gros partenaires de niveau national. » Jean-Claude Vannier ajoute : « il faut aussi que les politiques s'impliquent, il n'y a pas de secret ! » Enfin, se référant encore à Bayonne et à ses 18 000 spectateurs, Bernard Cazeneuve complète le constat : « Il faut également faire rêver le public et ainsi intéresser les entreprises ».
Auteur : Michel Monteil
m.monteil@sudouest.com
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Allez UBB
Re: Annonce du départ de Monsieur MARTI ... et recherche d'un avenir
alleluia
« Les petits ruisseaux font les grandes rivières »
« Il faut également faire rêver le public et ainsi intéresser les entreprises »
Bernard Cazeneuve, expert-comptable, cite l'exemple de Bayonne : « Je suis prêt à donner entre 1 000 et 2 000 euros et il faudrait entre 500 et 600 partenaires PME
et be voila on vas remetre les choses en place recontacter tous les petits qu'on a oublié de puis 4 ans (entre autre les anciens sponsort du petit Stade Bordelais qui n'interessé plus a une epoque) et avec plusieurs briques on vas peut etre construire la citadelle
« Les petits ruisseaux font les grandes rivières »
« Il faut également faire rêver le public et ainsi intéresser les entreprises »
Bernard Cazeneuve, expert-comptable, cite l'exemple de Bayonne : « Je suis prêt à donner entre 1 000 et 2 000 euros et il faudrait entre 500 et 600 partenaires PME
et be voila on vas remetre les choses en place recontacter tous les petits qu'on a oublié de puis 4 ans (entre autre les anciens sponsort du petit Stade Bordelais qui n'interessé plus a une epoque) et avec plusieurs briques on vas peut etre construire la citadelle
bordelais- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 1551
Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 24/03/2008
Humeur : "no scrum, no win"
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