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Re: Staff 2019-2020
Esperons que lors de cette longue traversée du désert , un façon d'expier nos pechés et de nous laver de nos fautes, enfin pour les joueurs parce que moi , nous croiserons quelques oasis , comme celle de Radradra un peu vue et celle plus floue de Tamanivalu.le radis a écrit:Je pense que sur le plan défensif, C Urios sera au diapason de Teague. Rappelons que pour Teague, cette phase défense et pression occupation récupération était transitoire ou à tout le moins représentée une forme de jeu qui était intellectuellement assimilable par les joueurs dans un premier avant d'en décliner d'autres plus ambitieuses ou là aussi plutôt pour élargir l'éventail; il avait vu juste sur la faiblesse technico-tactique des joueurs et donc, avait décidé de construire petit à petit.
Là où on devrait voir des différences sera les lancements de jeu (1er temps, 2ème temps 3ème temps...): on devrait déjà en voir, ensuite avec plus de variations, mais reposant sur des choses simples.
Mais il faudra passer par le désert, et savoir y vivre toute la saison.
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: Staff 2019-2020
densnewzealand a écrit:Esperons que lors de cette longue traversée du désert , un façon d'expier nos pechés et de nous laver de nos fautes, enfin pour les joueurs parce que moi , nous croiserons quelques oasis , comme celle de Radradra un peu vue et celle plus floue de Tamanivalu.le radis a écrit:Je pense que sur le plan défensif, C Urios sera au diapason de Teague. Rappelons que pour Teague, cette phase défense et pression occupation récupération était transitoire ou à tout le moins représentée une forme de jeu qui était intellectuellement assimilable par les joueurs dans un premier avant d'en décliner d'autres plus ambitieuses ou là aussi plutôt pour élargir l'éventail; il avait vu juste sur la faiblesse technico-tactique des joueurs et donc, avait décidé de construire petit à petit.
Là où on devrait voir des différences sera les lancements de jeu (1er temps, 2ème temps 3ème temps...): on devrait déjà en voir, ensuite avec plus de variations, mais reposant sur des choses simples.
Mais il faudra passer par le désert, et savoir y vivre toute la saison.
C'est un peu ça, il faudra redonner la vue aux aveugles de l'équipe , des bras aux manchots (certains accumulent les 2 handicaps) et assécher chez tous l'état d'esprit de victimisation expiatoire judéo-chrétienne. Dans la religion d'Urios pas question de tendre l'autre joue bien au contraire, la rémission passera par le harcèlement physique et moral de l'adversaire (dans lequel excelle Kockott) : pour un oeil, deux yeux (à la fourchette si nécessaire) et pour une dent le râtelier tout entier
Oui au sang et aux larmes, pourvu que ce soit ceux de nos adversaires...
sudiste- Unioniste de la première heure
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Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Staff 2019-2020
Faut pas exagérer non plus, Urios n'est pas un bandit de grand chemin, ni comme joueur, ni comme manager.Il aime la gagne et il sait qu'il doit réussir avec les moyens qui lui sont confiés.Lors de son arrivée au CO, il connaissait le club,il avait déjà vécu une expérience réussie et surtout il avait transfusée dans toute les lignes des leaders de jeu de confiance( chose que Delpoux n'avait pas réussi à faire vers l'USAP et qui lui fut reproché), un talon, un pilier rejoint plus tard par Clerc, un deuxième latte,un 10 etc...
Au passage son meilleur 3ième latte a suivi pour s'occuper des avants.
Le CO joue engagé, pas des enfants de coeur, dur mais pas des voyous, MHRC,LR,Racing,Clermont,ST utilisent certainement plus ce genre d'expédient en toute impunité.
Là il récupère un groupe,il n'a pas choisi tout les nouveaux LM étant passé par là.
Le challenge est plus difficile pour lui d'autant plus qu'avant d'avoir remué le petit doigt, on lui fait des procès d'intention.Je précise que le jeu que nous avons apprécié de l'UBB était le fruit surtout de Marc Delpoux qui avait apporté la méthode, les joueurs, le système de jeu, sachant que l'état du club sous Garcia/Etcheto a son arrivée était lamentable.
Au passage son meilleur 3ième latte a suivi pour s'occuper des avants.
Le CO joue engagé, pas des enfants de coeur, dur mais pas des voyous, MHRC,LR,Racing,Clermont,ST utilisent certainement plus ce genre d'expédient en toute impunité.
Là il récupère un groupe,il n'a pas choisi tout les nouveaux LM étant passé par là.
Le challenge est plus difficile pour lui d'autant plus qu'avant d'avoir remué le petit doigt, on lui fait des procès d'intention.Je précise que le jeu que nous avons apprécié de l'UBB était le fruit surtout de Marc Delpoux qui avait apporté la méthode, les joueurs, le système de jeu, sachant que l'état du club sous Garcia/Etcheto a son arrivée était lamentable.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : A Musard derrière les espoirs
Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Staff 2019-2020
« L’attaque fait lever les foules, mais la défense fait gagner les titres » disait Michael Jordan
N'en déplaise à certains, et même si ce n'est pas LA vérité absolue (cf les All Blacks), c'est une vérité presque systématique.
Il suffit d'ailleurs de regarder la performance des Saracens contre le Leinster en finale de Champions Cup pour s'en rendre compte. Si les anglais ont sû perturber la machine parfaitement huilée du Leinster et l'emporter, c'est plus grâce à une défense ultra-agressive de tous les instants qu'à une attaque flamboyante. Itoje & Co ont systématiquement chassé, découpé et étouffé les irlandais, qui n'ont rien pu mettre en place. Pour le résultat que l'on sait.
Dans la même veine, repassez vous la fin de saison (et notamment la finale) de Castres l'an dernier. Encore une fois, pour le résultat que l'on sait.
De ce côté là, Teague avait donc plutôt raison, il faut lui reconnaître cela. La premier chantier d'Urios sera de faire de l'UBB une équipe qui plie mais ne rompt pas, une équipe qui même lorsqu'elle subit ne craque pas. Avoir des top players offensifs comme Radradra ne servira pas à grand chose si pour 1 essai marqué, nous en prenons 2. Ce qui nous a clairement manqué cette saison dans la course aux barrages, c'est que non seulement nous avons été quasiment incapables de prendre des points à l'extérieur (notamment chez les "petits"), mais qu'en plus nous avons presque systématiquement pris des branlées chez nos adversaires directs, leur laissant au passage de précieux points de BO.
Avant de vouloir retrouver un jeu digne des Blacks et d'inscrire 5 essais par matchs sur des actions spectaculaires, essayons déjà de nous discipliner en défense et d'empêcher les adversaires de scorer. Maîtrisons la défense ainsi que la conquête qui reste la base des bases. Si la mêlée a été une des rares satisfactions de l'année, le reste laisse à désirer. Quelle touche catastrophique... Combien de ballons perdus, notamment sur des occasions franches (dans les 22m, voir les 5m adverses) ?!
Ce n'est qu'une fois cela accompli que nous pourrons ensuite nous occuper du jeu d'attaque.
Je pense cependant aussi que là où Teague était borné et s'est entêté à vouloir mettre en place son idée bien à lui, l'imposant bon gré mal gré à tous, Urios saura trouver les mots et la manière pour amener tout le monde vers ces objectifs.
Comme déjà dit, et je sais que de plus en plus de gens pensent pareil, j'en suis arrivé à un stade où la manière m'importe moins que la finalité. Aujourd'hui, je veux qu'on gagne. Je veux que nous retrouvions tous le goût de la victoire. Ce club a besoin de gagner. Même les joueurs le disent. Pour ma part, la victoire amènera le beau jeu, pas l'inverse. Il faut en finir avec ces "belles défaites" et autres "déceptions positives". Des résultats, des victoires, et le reste suivra.
Certes, je pense que nous partons de (très) loin, et que les changements ne se feront pas en 1 mois. Je ne m'attends pas à voir l'UBB championne de France en 2020. Pour être franc, je n'attend même pas à une qualification pour les phase finales de la prochaine saison. Rebâtir l'UBB sera une tâche longue et difficile. Ce que j'attends d'abord c'est un changement net et visible de la mentalité du club (des joueurs notamment), de son attitude et de ses prestations. Urios est plus que compétent, c'est un vrai meneur, un gars intelligent avec une vision, et qui débarque pour 4 saisons. Moi, j'y crois.
N'en déplaise à certains, et même si ce n'est pas LA vérité absolue (cf les All Blacks), c'est une vérité presque systématique.
Il suffit d'ailleurs de regarder la performance des Saracens contre le Leinster en finale de Champions Cup pour s'en rendre compte. Si les anglais ont sû perturber la machine parfaitement huilée du Leinster et l'emporter, c'est plus grâce à une défense ultra-agressive de tous les instants qu'à une attaque flamboyante. Itoje & Co ont systématiquement chassé, découpé et étouffé les irlandais, qui n'ont rien pu mettre en place. Pour le résultat que l'on sait.
Dans la même veine, repassez vous la fin de saison (et notamment la finale) de Castres l'an dernier. Encore une fois, pour le résultat que l'on sait.
De ce côté là, Teague avait donc plutôt raison, il faut lui reconnaître cela. La premier chantier d'Urios sera de faire de l'UBB une équipe qui plie mais ne rompt pas, une équipe qui même lorsqu'elle subit ne craque pas. Avoir des top players offensifs comme Radradra ne servira pas à grand chose si pour 1 essai marqué, nous en prenons 2. Ce qui nous a clairement manqué cette saison dans la course aux barrages, c'est que non seulement nous avons été quasiment incapables de prendre des points à l'extérieur (notamment chez les "petits"), mais qu'en plus nous avons presque systématiquement pris des branlées chez nos adversaires directs, leur laissant au passage de précieux points de BO.
Avant de vouloir retrouver un jeu digne des Blacks et d'inscrire 5 essais par matchs sur des actions spectaculaires, essayons déjà de nous discipliner en défense et d'empêcher les adversaires de scorer. Maîtrisons la défense ainsi que la conquête qui reste la base des bases. Si la mêlée a été une des rares satisfactions de l'année, le reste laisse à désirer. Quelle touche catastrophique... Combien de ballons perdus, notamment sur des occasions franches (dans les 22m, voir les 5m adverses) ?!
Ce n'est qu'une fois cela accompli que nous pourrons ensuite nous occuper du jeu d'attaque.
Je pense cependant aussi que là où Teague était borné et s'est entêté à vouloir mettre en place son idée bien à lui, l'imposant bon gré mal gré à tous, Urios saura trouver les mots et la manière pour amener tout le monde vers ces objectifs.
Comme déjà dit, et je sais que de plus en plus de gens pensent pareil, j'en suis arrivé à un stade où la manière m'importe moins que la finalité. Aujourd'hui, je veux qu'on gagne. Je veux que nous retrouvions tous le goût de la victoire. Ce club a besoin de gagner. Même les joueurs le disent. Pour ma part, la victoire amènera le beau jeu, pas l'inverse. Il faut en finir avec ces "belles défaites" et autres "déceptions positives". Des résultats, des victoires, et le reste suivra.
Certes, je pense que nous partons de (très) loin, et que les changements ne se feront pas en 1 mois. Je ne m'attends pas à voir l'UBB championne de France en 2020. Pour être franc, je n'attend même pas à une qualification pour les phase finales de la prochaine saison. Rebâtir l'UBB sera une tâche longue et difficile. Ce que j'attends d'abord c'est un changement net et visible de la mentalité du club (des joueurs notamment), de son attitude et de ses prestations. Urios est plus que compétent, c'est un vrai meneur, un gars intelligent avec une vision, et qui débarque pour 4 saisons. Moi, j'y crois.
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Switch- Centre de presse
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Humeur : Fonction de l'UBB
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Re: Staff 2019-2020
Léo, Etcheto était arrivé en même temps que Delpoux, non ?
Espérons, Switch ! En 1ère MT dimanche ils ont montré de l'entrain, ils en sont donc capable, maintenant il va falloir le reproduire. C'est une combinaison de beaucoup de choses qui provoque l'adhésion à une équipe de la part des spectateurs et supporters, mais il faut déjà inévitablement de l'enthousiasme et une condition physique à la hauteur. La confiance suit et donc le jeu.
Bon sinon, Arnaud David n'a pas usé du terme «remontada» ouf !! Merci !!
Espérons, Switch ! En 1ère MT dimanche ils ont montré de l'entrain, ils en sont donc capable, maintenant il va falloir le reproduire. C'est une combinaison de beaucoup de choses qui provoque l'adhésion à une équipe de la part des spectateurs et supporters, mais il faut déjà inévitablement de l'enthousiasme et une condition physique à la hauteur. La confiance suit et donc le jeu.
Bon sinon, Arnaud David n'a pas usé du terme «remontada» ouf !! Merci !!
biscouette- Centre de presse
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Humeur : Consterné par le traitement réservé à MJ, la mentalité d'une partie des commentateurs (journalistes et supporters), etc.
Re: Staff 2019-2020
Non il était là peu avant lui venant du Boucau, faisait équipe avec Fredo Garcia qui était le patron.Suite aux "bons" résultats de la paire,LM fit venir Marc qui n'avait pas les diplômes pour entrainer en France, qu'il passa avec succès présentant à un aéropage de technicien conquis par un projet de jeu séduisant et novateur(Dixit Michel Maillet un fin technicien). Fred en fin de saison partit et "Reinette" Laurent Armand vint s'occuper des avants.Le jeu de l'UBB avant son arrivée était très ambitieux et irréaliste en regard du groupe.Marc disait qu'avant de faire compliqué, il fallait à 100% réussir d'abord des choses simples, puis enrichir à partir de là.Il fit venir les joueurs dont on avait besoin, les Purll,Léo,Tréolar,Adams,Fraser etc...
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Staff 2019-2020
Ok merci Léo, donc Marc Delpoux était arrivé en cours de saison alors !
je me réfère à ce tableau :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Union_Bordeaux_Bègles#Entraîneurs
je me réfère à ce tableau :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Union_Bordeaux_Bègles#Entraîneurs
biscouette- Centre de presse
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Humeur : Consterné par le traitement réservé à MJ, la mentalité d'une partie des commentateurs (journalistes et supporters), etc.
Re: Staff 2019-2020
Et surtout M Delpoux a mis un système de jeu dont je ne comprends toujours pas pourquoi Ibanez et consorts n'en ont pas conservé certains aspects dont la plus connue et visible : la vitesse de libération des ballons à terre (dans les rucks), à la vitesse de la lumière véritable marque de fabrique du jeu de l'équipe.
le radis- Team modo
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Re: Staff 2019-2020
le radis a écrit:Et surtout M Delpoux a mis un système de jeu dont je ne comprends toujours pas pourquoi Ibanez et consorts n'en ont pas conservé certains aspects dont la plus connue et visible : la vitesse de libération des ballons à terre (dans les rucks), à la vitesse de la lumière véritable marque de fabrique du jeu de l'équipe.
Peut-être que l'arrivée/retour de H. Adams comme responsable des skills pourrait changer la donne. Si quelqu'un représentait bien cette marque de fabrique sous l'ère Delpoux, c'est bien lui.
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Switch- Centre de presse
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Re: Staff 2019-2020
Comme le rappelle Léo, quand Delpoux est arrivé (après la cinglante défaite face à Agen lors de notre 1er grand match organisé à Chaban), le duo d'entraineurs (dont le fameux génie bayonnais) pronait un jeu flamboyant absolument pas dans nos cordes. C'est Delpoux qui a instauré les libérations rapides sur des blocs de 5 attaquants. C'est lui qui nous a donné une touche impériale. Bien qu'il était focalisé sur l'organisation des avants, c'est donc essentiellement grâce à son apport que nos 3/4 ont pu briller. Pour moi, c'est le dernier manager à nous avoir fait franchir un réel cap.
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Re: Staff 2019-2020
Il était aussi entouré de joueurs très différents d'aujourd'hui, (beaucoup) moins "stars" mais peut-être plus travailleurs, plus pros et parfois même de véritables experts dans leurs domaines, comme Purll et Chalmers à la touche. Même chose pour Adams à la mêlée, ou Reihana à l'arrière. Des mecs qui étaient des taiseux, des bosseurs, et qui en voulaient. Ils étaient attachés au club, et porteurs de valeurs.
C'est peut-être moins le cas aujourd'hui
De toutes façons on est d'accord que c'est un tout. Pour qu'un club marche, encore plus aujourd'hui, il faut un manager capable de bâtir un véritable groupe, des entraîneurs pointus dans leurs domaines respectifs (mêlée, touche, jeu au pied...), un préparateur physique pointilleux, des joueurs motivés et pros, un président concerné et intelligent, mais aussi du temps, de la stabilité, de la volonté et du travail.
L'an prochain, il semble qu'on ait pas mal d'ingrédient, pour une fois ! Espérons que ca marche !
C'est peut-être moins le cas aujourd'hui
De toutes façons on est d'accord que c'est un tout. Pour qu'un club marche, encore plus aujourd'hui, il faut un manager capable de bâtir un véritable groupe, des entraîneurs pointus dans leurs domaines respectifs (mêlée, touche, jeu au pied...), un préparateur physique pointilleux, des joueurs motivés et pros, un président concerné et intelligent, mais aussi du temps, de la stabilité, de la volonté et du travail.
L'an prochain, il semble qu'on ait pas mal d'ingrédient, pour une fois ! Espérons que ca marche !
Dernière édition par Switch le Mar 21 Mai 2019 - 19:18, édité 1 fois
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Re: Staff 2019-2020
Oui il y avait un certain potentiel ... mais aussi un gros bordel sur le terrain et son travail a surtout été d'organiser notre jeu. A ce titre, Urios et ses lieutenants vont avoir du pain sur la planche ... et pas que pour le jeu mais à tous les niveaux du club.
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Re: Staff 2019-2020
Ouep, et il l'a prolongé ensuite malgré tout.Switch a écrit:le radis a écrit:Et surtout M Delpoux a mis un système de jeu dont je ne comprends toujours pas pourquoi Ibanez et consorts n'en ont pas conservé certains aspects dont la plus connue et visible : la vitesse de libération des ballons à terre (dans les rucks), à la vitesse de la lumière véritable marque de fabrique du jeu de l'équipe.
Peut-être que l'arrivée/retour de H. Adams comme responsable des skills pourrait changer la donne. Si quelqu'un représentait bien cette marque de fabrique sous l'ère Delpoux, c'est bien lui.
biscouette- Centre de presse
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Humeur : Consterné par le traitement réservé à MJ, la mentalité d'une partie des commentateurs (journalistes et supporters), etc.
Re: Staff 2019-2020
Je n'ai pas senti de gros effets positifs sur B Serin par exemple... curieux aussi de voir les relations entre M Lucu qui a vertement critiqué notamment le foutoir des entraînements au BO et H Adams.
le radis- Team modo
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Re: Staff 2019-2020
Switch a écrit:« L’attaque fait lever les foules, mais la défense fait gagner les titres » disait Michael Jordan
N'en déplaise à certains, et même si ce n'est pas LA vérité absolue (cf les All Blacks), c'est une vérité presque systématique.
Ce n'est pas l'endroit, mais pour aller le sens de ce que tu dis, la culture de la défense n'est pas une option..., je poste un article intéressant sur Shaun Edwards...
https://www.midi-olympique.fr/2019/05/10/shaun-edwards-ou-les-secrets-de-lhomme-aux-16-titres,8192425.php
Shaun Edwards, les secrets de l’homme aux 16 titres
Moins médiatique, vu de France, que les futures arrivées de Galthié, Ibanez, Labit ou Servat à la tête des Bleus, le recrutement de Shaun Edwards pourrait être le plus joli coup du staff pour 2023. En important du XIII ses principes de défense, l’Anglais transforme tout ce qu’il touche en or.
Il n’est ni une tête d’affiche, ni le nom le plus ronflant des entraîneurs de la scène internationale. Il n’a ni l’appétence pour les choses médiatiques d’Eddie Jones, ni l’aura technique de Joe Schmidt, ni la réputation d’homme de fer de Steve Hansen. Shaun Edwards, pourtant, est certainement l’entraîneur le plus titré de la planète rugby et, dans l’ombre, un des techniciens les plus réputés.
Il est l’homme de tant de titres, en fait. Son travail au pays de Galles est couronné de trois Grands Chelems et deux victoires sèches. Avant cela, Edwards œuvrait aux Wasps (2001-2011) où son règne a coïncidé avec les heures les plus glorieuses du club alors londonnien : quatre titres de Champion d’Angleterre et deux sacres continentaux, au sommet de la très prisée H Cup.
Faites-le compte, cela fait 14 titres majeurs en 18 ans de carrière d’entraîneur ! Auxquels on peut ajouter un Challenge européen (2003) et une Coupe anglo-welsh (2006). Difficile de faire mieux. Et un constat : depuis son départ des Wasps en 2011 pour rejoindre définitivement Gatland au pays de Galles (il intervenait déjà comme consultant depuis 2008), le club à la guêpe n’a plus rien gagné.
Sa méthode : "L’attaque fait vendre des billets, la défense fait gagner des titres"
S’il attire les succès, c’est qu’Edwards a un secret. Ou plutôt un dada, dont il a fait sa spécialité et une activité exclusive : la défense. "L’attaque fait vendre des billets pour remplir les stades. La défense fait gagner des titres" répète-t-il à ses joueurs, comme un mantra. Les chiffres lui donnent raison. Les Gallois viennent effectivement de sécuriser leur troisième Grand chelem en onze ans en s’appuyant essentiellement sur une défense de fer. La preuve : la sélection de Warren Gatland a terminé plus mauvaise attaque de la compétition (10 essais inscrits seulement, à égalité avec l’Italie) mais aussi meilleure défense, et de loin (7 essais encaissés, soit plus de deux fois moins que la France). Plus fort encore : en 2008 pour les débuts d’Edwards à son chevet, le pays de Galles n’avait encaissé que deux essais en cinq matchs. Colossal.
Cette croyance et son empreinte sur le collectif qu’il dirige ont été très clairement identifiées, dès sa prise en mains des Wasps, en 2001. "Disons que nous avons été les premiers à maîtriser pleinement noter défense grâce au travail de Shaun Edwards, un gars qui a beaucoup compté pour moi, se souvient Joe Worsley, actuel entraîneur de l’UBB et ancien joueur des Wasps. À partir de 2008, on l’a vu entraîner les Wasps en semaine et le pays de Galles les week-ends internationaux. Il ne pouvait pas ne pas bosser au quotidien avec une équipe. Avec lui, nous sommes allés au fond des choses. Les Wasps de la grande époque, c’était une supériorité au niveau de la défense et de la condition physique. Toutes les équipes courraient après ça". Jusqu’à copier purement et simplement le système défensif des Londonniens.
"Un jour, Paul Gustard et Andy Farrell sont venus nous observer et ils ont réussi à importer nos méthodes aux Saracens. Vous connaissez le résultat…". Le résultat, ce sont des succès à la pelle construit sur un système défensif directement inspiré du Rugby XIII, dont Edwards fut un joueur de légende.
L'homme : docteur Shaun, mister Shaun
Pour parvenir à ses fins et mettre en place ses systèmes, Shaun Edwards ne lésine pas sur les moyens et la méthode. Rugueuse, pour le moins. "Il n’admet aucune excuse. Sa norme, c’est la perfection ou tout ce qui s’en approche" dit de lui la presse galloise. Avant de poursuivre : "Au cours de la dernière décennie, les multiples facettes du jeu gallois ont varié en qualité. La défense, jamais, parce que Shaun Edwards ne le permet pas. Pour lui, concéder un essai de consolation dans les dernières minutes, même quand le match est déjà gagné, est une injure au travail de la semaine. Cela peut suffire à faire bouillir son sang. Et Shaun Edwards furieux, c’est un spectacle que personne ne veut expérimenter".
Ses joueurs peuvent en témoigner. "Je l’ai vu arriver avec le pays de Galles, en 2008" se souviendra plus tard le troisième ligne Martyn Williams, qui avait initialement annoncé sa retraite internationale après l’échec du Mondial 2007 en France. "Croyez-moi : si j’avais su le type de régime qui nous attendait avec l’arrivée de Shaun, je ne serais jamais sorti de cette retraite !". Williams en avait rigolé. Edwards, lui, avait répondu sans jamais se départir de son sérieux. "Nous essayons de nous entraîner dans les standards les plus proches possibles de ce qui va nous arriver en match. C’est tout. Avec Warren, c’est notre manière de travailler. Il faut habituer le joueurs à travailler sous la contrainte, parce que c’est ce qui les attend en match. Je m’étonne que Martyn en soit surpris. Je pensais que tous les entraîneurs travaillaient ainsi".
Edwards, c’est une certain idée de la rigueur, du sérieux dans tout ce qu’il entreprend. Le quotidien anglais The Independant raconte : "son apparence est dure comme du fer, ses dents sont remarquables par leur absence parce qu’il ne sourit pas. Il a la réputation d’être le plus exigeant des maîtres d’œuvre mais, surtout, Edwards fait souffler un air de courtoisie à l’ancienne, qui a beaucoup à voir avec son éducation stricte de la classe ouvrière". So Brittish, jusqu’à l’austérité. Toujours dans le quotidien The Independent, l’intéressé préfère parler d’éducation. "Tout ce que je fais, c’est pour rendre ma mère et mon père fiers de moi. Vraiment. Ce ne sont pas des mots en l’air. Je ne vois pas ce qu’il y aurait de honteux à cela, même à plus de quarante ans".
Shaun Edwards rigole rarement. Il réfute pourtant l’image de monsieur propre. Gatland peut en témoigner, qui loge son entraîneur de la défense chez lui, à Cardiff, pendant les périodes internationales. A ce propos, "Gat’s" l’impeccable confia plusieurs fois son exaspération devant tant de bordel, les assiettes sales qui sèchent dans l’évier, les chaussettes sur la table du salon et les caleçons à sécher sur le radiateur de la salle à manger.
Paradoxal, pour un homme par ailleurs si méticuleux. Ancien trois-quarts centre du pays de Galles, Tom Shanklin se souvient : "Il ne vous parle que de rigueur, il est à cheval sur chaque détail. A l’entraînement, vous devez toujours avoir la bonne tenue. Et d’un seul coup, quand l’exigence est à son comble, il se pointe sur le terrain en jogging et perfecto, sans avoir prévenu personne. Et tout le monde se marre. Shaun Edwards, c’est ça". Un autre soir, pour une sortie organisée dans un pub de la capitale, il avait débarqué en baskets, trompant encore les consignes vestimentaires de la délégation galloise. Quand ses joueurs lui avaient demandé la raison de cet écart, Edwards avait retourné long de ligne, sans rire : "il faut toujours se tenir prêt. Vous ne savez jamais quand le coup d’envoi d’un match peut être sifflé".
Son histoire : au nom du père et en souvenir du frère
Cette force de conviction et de travail qui l’habite, jusqu’à le rendre dur comme la pierre, Shaun Edwards la puise dans une histoire personnelle tourmentée. L’histoire de son père, d’abord. Quelques années avant la naissance de son fils Shaun, Jack Edwards, alors joueur professionnel de rugby à XIII, était fauché à 24 ans par un accident de jeu avec son club de Warrington. Gravement touché à la colonne vertébrale, il n’a jamais pu rejouer au rugby. "Après ça, il n’a même jamais plus pu travailler", racontait Shaun Edwards, en 2008, au quotidien anglais The Independent.
"Il lui a fallu subir quatre opérations de la colonne, la dernière pour lui éviter de finir en fauteuil roulant. Le seul bénéfice qu’il a tiré de cet épisode, ce sont 500 livres sterling de dédommagement. Je crois que son club a participé à hauteur de 50 £". Les mots sont froids, cinglants. "Voilà, c’est notre sport et il est brutal". Handicapé à vie, Jack Edwards a alors poussé ses enfants à accomplir leurs rêves et, pour cela, à consentir les sacrifices nécessaires. Sans limite. "J’ai puisé beaucoup de motivation chez mon père. Il m’a poussé très fort. Il pouvait aussi être très sévère, mais il le faisait par amour. Il savait les efforts à consentir pour devenir un sportif professionnel". Cette éducation, parfois dure, a aussi permis au jeune Shaun Edwards de devenir très tôt un phénomène du rugby anglais.
À ce jour, il est toujours le seul rugbyman de l’histoire à avoir été à la fois, dans les catégories de jeunes, capitaine de la sélection anglaise à XV et à XIII. "Cela m’a attiré très vite une certaine notoriété chez moi, à Wigan. Mais la seule chose qui m’importait, c’était l’avis de mon père. S’il me disait que j’avais fait un bon match, ça me suffisait". Cette relation particulière père-fils, déjà fusionnelle, s’est renforcée en 2003 à la mort de Billie-Joe, deuxième fils de Jack Edwards et frère de Shaun, dans un accident de la route. "Mon frère aussi était rugbyman professionnel. Depuis qu’il n’est plus avec nous, je lui parle régulièrement et je lui demande de l’aide" poursuit Shaun Edwards, toujours dans les colonnes de The Independent.
"Quand je suis à Wigan, je prends toujours un peu de temps auprès de lui. Ma mère aussi passe des heures là-bas, c’est l’une des tombes les mieux entretenues que vous ne verrez jamais. Je ne sais pas si Billy-Joe est toujours là, quelque part parmi nous, mais beaucoup de gens vivent dans l’espoir qu’il y a quelque chose après la mort, n’est-ce pas ? Je l’ai ressenti particulièrement fort lorsque nous avons joué contre Angleterre, le jour de son 25e anniversaire. Je lui ai dit : "mon pote, si tu veux bien m’aider aujourd’hui, je pourrai peut-être le faire"". Le pays de Galles avait gagné à Twickenham.
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J'ai une question : est-ce que Pierre Austruy a été remercié dimanche à Chaban ?
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le radis a écrit:J'ai une question : est-ce que Pierre Austruy a été remercié dimanche à Chaban ?
Non je n'en ai aucun souvenir !!! Et Leroy Houston n'y été mais non plus ?
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non ainsi que narraway.
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https://www.lexvdedepart.com/2019/05/23/top-14-bordeaux-le-chantier-de-la-defense/?fbclid=IwAR3eH0ucfaRMMt_rDNwYO2ZfQu53838VVNGugAKTouBeXZpACp1hP4V4qYg
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https://www.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/2018-2019/pro-d2-davidson-brive-lecole-de-la-rigueur_sto7286674/story.shtml
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Quelques petites vidéos gouleyantes de notre futur manager :
Ça parle de Castres mais c'est interessant :
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Héhéhé !
Finalement l'élimination-surprenante- du CO pourrait s'avérer être une bonne chose ... au regard de l'attitude de C Urios qui,ces derniers temps, semblait avoir un peu pris la grosse tête.
Là il arrivera avec le ciboulot un peu dégonflé, reposé et probablement bien challengé... tant par son échec cette saison avec le CO que par nos joueurs qui ont montré et démontré ( ) avec beaucoup d'exemples et de constance ( ) une attitude déplorable ces derniers mois -que les transformer en joueurs performants ayant la volonté de gagner pourrait être l'heureux synoptique d'un prochain conte de fées produit par Walt Disney !
Finalement l'élimination-surprenante- du CO pourrait s'avérer être une bonne chose ... au regard de l'attitude de C Urios qui,ces derniers temps, semblait avoir un peu pris la grosse tête.
Là il arrivera avec le ciboulot un peu dégonflé, reposé et probablement bien challengé... tant par son échec cette saison avec le CO que par nos joueurs qui ont montré et démontré ( ) avec beaucoup d'exemples et de constance ( ) une attitude déplorable ces derniers mois -que les transformer en joueurs performants ayant la volonté de gagner pourrait être l'heureux synoptique d'un prochain conte de fées produit par Walt Disney !
le radis- Team modo
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Re: Staff 2019-2020
le radis a écrit:Héhéhé !
Finalement l'élimination-surprenante- du CO pourrait s'avérer être une bonne chose ... au regard de l'attitude de C Urios qui,ces derniers temps, semblait avoir un peu pris la grosse tête.
Là il arrivera avec le ciboulot un peu dégonflé, reposé et probablement bien challengé... tant par son échec cette saison avec le CO que par nos joueurs qui ont montré et démontré ( ) avec beaucoup d'exemples et de constance ( ) une attitude déplorable ces derniers mois -que les transformer en joueurs performants ayant la volonté de gagner pourrait être l'heureux synoptique d'un prochain conte de fées produit par Walt Disney !
Tu n'a pas tort, ça va l'aider à tourner la page...
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Re: Staff 2019-2020
http://sport24.lefigaro.fr/rugby/top-14/actualites/top-14-castres-autopsie-d-un-echec-958971?utm_source=app&utm_medium=sms&utm_campaign=com.sport24.android
Top 14 : Castres, autopsie d’un échec
Par David Reyrat
Le CO ne défendra pas son titre. L’annonce du départ d’Urios pour Bordeaux a cassé la dynamique. Avec des cadres moins présents et des blessés trop nombreux, le club tarnais a perdu ce caractère qui faisait sa force la saison passée.
Le traumatisme du départ d’Urios
Le manager ne pensait pas que l’annonce de sa future destination ferait autant de dégâts. Et pourtant. Quand Christophe Urios a annoncé le 17 novembre qu’il partait, non pour le XV de France, mais pour prendre en mains l’Union Bordeaux-Bègles, la nouvelle a déstabilisé ses troupes. De l’incompréhension pour les uns, en mode «Bordeaux n’est pas meilleur que Castres» ; un sentiment de trahison confus pour d’autres, qui avaient suivi Urios depuis Oyonnax (Tichit, Urdapilleta…). «Ça a provoqué un coup de mou, reconnaît le manager. Le groupe pensait que j'allais prendre une équipe nationale. Quand j'ai annoncé aux joueurs que j'avais signé à Bordeaux, j'ai senti qu'ils étaient assez étonnés. Pourquoi Bordeaux alors que Castres, c'est mieux? C'était comme si les joueurs s'étaient sentis un peu abandonnés.» Au pont de le lâcher ? «Je n'ai pas senti une cassure, dément Christophe Urios. Mais une relation un peu différente. Ça s'est aussitôt soldé par deux défaites à la maison, contre Agen (16-13), en sachant que le manager d'Agen (Mauricio Reggiardo) me remplacerait à Castres, et contre Bordeaux (32-13). J'ai mal géré cette période. Et je l'ai mal vécue.» Pour un bilan étonnant. Si Castres a accompli un parcours de tenant du titre à l’extérieur (huit victoires loin du Tarn), la qualification s’est envolée à domicile avec six défaites. Dont les trois dernières réceptions. Une seule victoire aurait suffi…
Les cadres en dedans
Christophe Urios refuse de nommer les «coupables». Alors il se contente d’une généralité. «J’ai trouvé les mecs usés, sans ressort. Des mecs qui ne se révoltent pas. J’ai tellement de passion, d’amitié pour ce groupe que je ne vais pas noircir le tableau. Mais je trouve que des garçons ont changé. (…) Il y a eu des défaillances individuelles.» Charge à nous de désigner ces joueurs. Il est incontestable que la charnière a moins pesé. Benjamin Urdapilleta a loupé quelques gestes décisifs et Rory Kockott n’a pas souvent été ce pitbull, ce compétiteur forcené qui emmène toute l’équipe dans son sillage. Mathieu Babillot, le capitaine, s’est parfois un peu oublié, entre déception de n’être pas rappelé en équipe de France, fatigue physique et mentale, quelques petits bobos aussi. Enfin, Rodrigo Capo Ortega, opéré d’une hernie, n’a disputé que neuf rencontres de Top 14 cette saison, la dernière début décembre. C’est peu de dire que l’emblématique capitaine de Castres, l’honneur et la furia aux tripes, a manqué quand l’équipe a plongé.
L’infirmerie affiche complet
Pour le sprint final, le champion de France a été privé de nombreux éléments. Capo Ortega donc, mais aussi les piliers Daniel Kotze et Tudor Stroe, le deuxième-ligne Thibault Lassalle, le puissant flanker Sete Mafi, le néo-Bleu Anthony Jelonch ou encore, derrière, le prometteur ailier Martin Laveau, l’arrière Scott Spedding et le caractériel Julien Caminati. Des talents et des compétiteurs qui ont fait défaut dans un effectif qui ne présente pas la même profondeur que les autres cadors du Top 14. Durant la saison, le CO avait déjà dû faire face, entre autres, aux indisponibilités longue durée de Julien Dumora, Geoffrey Palis ou (déjà) Anthony Jelonch. Si la grinta défensive était encore là (499 points concédés, meilleure défense de la saison régulière), les manques offensifs étaient trop rédhibitoires pour renverser le cours de ces trop nombreuses défaites à domicile.
Top 14 : Castres, autopsie d’un échec
Par David Reyrat
Le CO ne défendra pas son titre. L’annonce du départ d’Urios pour Bordeaux a cassé la dynamique. Avec des cadres moins présents et des blessés trop nombreux, le club tarnais a perdu ce caractère qui faisait sa force la saison passée.
Le traumatisme du départ d’Urios
Le manager ne pensait pas que l’annonce de sa future destination ferait autant de dégâts. Et pourtant. Quand Christophe Urios a annoncé le 17 novembre qu’il partait, non pour le XV de France, mais pour prendre en mains l’Union Bordeaux-Bègles, la nouvelle a déstabilisé ses troupes. De l’incompréhension pour les uns, en mode «Bordeaux n’est pas meilleur que Castres» ; un sentiment de trahison confus pour d’autres, qui avaient suivi Urios depuis Oyonnax (Tichit, Urdapilleta…). «Ça a provoqué un coup de mou, reconnaît le manager. Le groupe pensait que j'allais prendre une équipe nationale. Quand j'ai annoncé aux joueurs que j'avais signé à Bordeaux, j'ai senti qu'ils étaient assez étonnés. Pourquoi Bordeaux alors que Castres, c'est mieux? C'était comme si les joueurs s'étaient sentis un peu abandonnés.» Au pont de le lâcher ? «Je n'ai pas senti une cassure, dément Christophe Urios. Mais une relation un peu différente. Ça s'est aussitôt soldé par deux défaites à la maison, contre Agen (16-13), en sachant que le manager d'Agen (Mauricio Reggiardo) me remplacerait à Castres, et contre Bordeaux (32-13). J'ai mal géré cette période. Et je l'ai mal vécue.» Pour un bilan étonnant. Si Castres a accompli un parcours de tenant du titre à l’extérieur (huit victoires loin du Tarn), la qualification s’est envolée à domicile avec six défaites. Dont les trois dernières réceptions. Une seule victoire aurait suffi…
Les cadres en dedans
Christophe Urios refuse de nommer les «coupables». Alors il se contente d’une généralité. «J’ai trouvé les mecs usés, sans ressort. Des mecs qui ne se révoltent pas. J’ai tellement de passion, d’amitié pour ce groupe que je ne vais pas noircir le tableau. Mais je trouve que des garçons ont changé. (…) Il y a eu des défaillances individuelles.» Charge à nous de désigner ces joueurs. Il est incontestable que la charnière a moins pesé. Benjamin Urdapilleta a loupé quelques gestes décisifs et Rory Kockott n’a pas souvent été ce pitbull, ce compétiteur forcené qui emmène toute l’équipe dans son sillage. Mathieu Babillot, le capitaine, s’est parfois un peu oublié, entre déception de n’être pas rappelé en équipe de France, fatigue physique et mentale, quelques petits bobos aussi. Enfin, Rodrigo Capo Ortega, opéré d’une hernie, n’a disputé que neuf rencontres de Top 14 cette saison, la dernière début décembre. C’est peu de dire que l’emblématique capitaine de Castres, l’honneur et la furia aux tripes, a manqué quand l’équipe a plongé.
L’infirmerie affiche complet
Pour le sprint final, le champion de France a été privé de nombreux éléments. Capo Ortega donc, mais aussi les piliers Daniel Kotze et Tudor Stroe, le deuxième-ligne Thibault Lassalle, le puissant flanker Sete Mafi, le néo-Bleu Anthony Jelonch ou encore, derrière, le prometteur ailier Martin Laveau, l’arrière Scott Spedding et le caractériel Julien Caminati. Des talents et des compétiteurs qui ont fait défaut dans un effectif qui ne présente pas la même profondeur que les autres cadors du Top 14. Durant la saison, le CO avait déjà dû faire face, entre autres, aux indisponibilités longue durée de Julien Dumora, Geoffrey Palis ou (déjà) Anthony Jelonch. Si la grinta défensive était encore là (499 points concédés, meilleure défense de la saison régulière), les manques offensifs étaient trop rédhibitoires pour renverser le cours de ces trop nombreuses défaites à domicile.
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Re: Staff 2019-2020
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Crunch-le-podcast-rugby-de-l-equipe-castres-les-limites-de-la-methode-urios/1023404
Crunch, le podcast rugby de L'Équipe : Castres, les limites de la méthode Urios ?
Le champion sortant du Top 14, Castres, ne défendra pas sa couronne en barrages. Pourtant, les occasions de se qualifier n'ont pas manqué pour les Tarnais et leur truculent manager. Alors, que s'est-il passé ?
Sur les quatre derniers matches de la saison, le CO recevait trois fois. Une seule victoire suffisait pour atteindre les barrages du Top 14. Mais voilà, Castres a perdu trois fois, devant Toulouse, Montpellier et Toulon. Après ce dernier revers, une certaine lassitude transpirait des rangs du champion déchu. Adepte de la grinta en toutes circonstances, Christophe Urios en a-t-il trop demandé à ses joueurs ? Les Castrais étaient-ils usés mentalement et physiquement ?
Le Top 14 aura donc un nouveau maître le 15 juin. Parmi les six qualifiés, un club fait-il figure d'épouvantail ? Montpellier, sixième, a la dynamique pour lui avec ses huit succès sur les neufs derniers matches. Mais le leader toulousain a, lui, enchaîné les records cette saison avec 98 points au classement et 102 essais marqués. Et les Jaunards ? Dauphins et vainqueurs du Challenge, les Clermontois ont de la moelle et l'esprit revanchard par rapport à la saison passée. Alors, qui fait peur aux autres ?
Pro D2 : sacré champion face à Brive, Bayonne rejoint le Top 14
Enfin, la saison prochaine, on entendra de nouveau La Peña Baiona dans l'élite. Champion de Pro D2, Bayonne a du coeur et le public fabuleux de Jean-Dauger, c'est entendu. Mais cette âme suffira-t-elle pour se maintenir alors que le budget tourne autour de 17 millions d'euros ? Comment éviter un destin à la Perpignan, au budget semblable et cantonné à seulement deux victoires cette saison ?
Animé par Chrystelle Bonnet, avec Romain Bergogne, Laurent Campistron et Clément Dossin.
https://player.pippa.io/crunch-le-podcast-rugby-de-la-redaction-de-lequipe/episodes/castres-les-limites-de-la-methode-urios
Crunch, le podcast rugby de L'Équipe : Castres, les limites de la méthode Urios ?
Le champion sortant du Top 14, Castres, ne défendra pas sa couronne en barrages. Pourtant, les occasions de se qualifier n'ont pas manqué pour les Tarnais et leur truculent manager. Alors, que s'est-il passé ?
Sur les quatre derniers matches de la saison, le CO recevait trois fois. Une seule victoire suffisait pour atteindre les barrages du Top 14. Mais voilà, Castres a perdu trois fois, devant Toulouse, Montpellier et Toulon. Après ce dernier revers, une certaine lassitude transpirait des rangs du champion déchu. Adepte de la grinta en toutes circonstances, Christophe Urios en a-t-il trop demandé à ses joueurs ? Les Castrais étaient-ils usés mentalement et physiquement ?
Le Top 14 aura donc un nouveau maître le 15 juin. Parmi les six qualifiés, un club fait-il figure d'épouvantail ? Montpellier, sixième, a la dynamique pour lui avec ses huit succès sur les neufs derniers matches. Mais le leader toulousain a, lui, enchaîné les records cette saison avec 98 points au classement et 102 essais marqués. Et les Jaunards ? Dauphins et vainqueurs du Challenge, les Clermontois ont de la moelle et l'esprit revanchard par rapport à la saison passée. Alors, qui fait peur aux autres ?
Pro D2 : sacré champion face à Brive, Bayonne rejoint le Top 14
Enfin, la saison prochaine, on entendra de nouveau La Peña Baiona dans l'élite. Champion de Pro D2, Bayonne a du coeur et le public fabuleux de Jean-Dauger, c'est entendu. Mais cette âme suffira-t-elle pour se maintenir alors que le budget tourne autour de 17 millions d'euros ? Comment éviter un destin à la Perpignan, au budget semblable et cantonné à seulement deux victoires cette saison ?
Animé par Chrystelle Bonnet, avec Romain Bergogne, Laurent Campistron et Clément Dossin.
https://player.pippa.io/crunch-le-podcast-rugby-de-la-redaction-de-lequipe/episodes/castres-les-limites-de-la-methode-urios
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Re: Staff 2019-2020
Pour information complémentaire, à La Rochelle samedi, a été remercié Michele Colosio (qui était au club depuis 2013).
Son départ de La Rochelle est donc désormais officiel mais son arrivée à l'UBB ne l'est pas encore.
Curieux de connaître l'avenir de P Austruy.
Un article de SO d'il y a 2 saisons sur M Colosio.
https://www.sudouest.fr/2017/10/13/toujours-plus-exigeant-3858911-5103.php
Son départ de La Rochelle est donc désormais officiel mais son arrivée à l'UBB ne l'est pas encore.
Curieux de connaître l'avenir de P Austruy.
Un article de SO d'il y a 2 saisons sur M Colosio.
https://www.sudouest.fr/2017/10/13/toujours-plus-exigeant-3858911-5103.php
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