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Maxime Lucu
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Re: Maxime Lucu
grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:Le Bleu du samedi : Lucu, leader à toute épreuve
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2021-2022/top-14-le-bleu-du-samedi-maxime-lucu-bordeaux-a-toute-epreuve_sto9149282/story.shtml
Nouvelle tactique, foutre le bordel entre Lucu et Jalibert, tout en rappelant qu’il ne sera jamais mieux que le n2 derrière Dupont
On comprend pourquoi ils ont arrêté d'autoriser les commentaires sur leurs "articles", on les aurait pourri comme pas possible tellement ils sont lourds.
krahknardz- Team modo
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Re: Maxime Lucu
Switch a écrit:Pour moi, Lucu est désormais le patron de l'équipe. C'est un taiseux, un bosseur, un leader, un combattant, bref c'est le joueur idéal. Et pour ne rien gâcher, c'est un bon buteur et un mec top en dehors du terrain.
Un simple exemple qui pour moi en dit long : sur l'essai marqué hier juste avant la mi-temps, il n'y a qu'à voir comment il serre les poings en hurlant, avant de se tourner vers le staff puis de haranguer la foule. Ce mec a tout pour être un très grand. Si Jalibert peut/doit être notre facteur X, le mec capable d'une fulgurance qui peut débloquer un match, c'est Lucu qui doit être le patron de l'équipe. Celui qui pilote, qui décide, et qui entraîne tout le monde avec lui.
Pas d'accord avec toi Switch. Ce n'est pas que Lucu doive être le patron de l'équipe, pour moi il l'est déjà.
Un exemple très simple: à Nice au coup de sifflet final, sur nos 15 joueurs présents sur la pelouse, un seul s'effondre par terre en pleurs.... Il a été le premier à venir voir les supporters, et le dernier à partir.
De la classe tout simplement...
krahknardz- Team modo
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Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Re: Maxime Lucu
Switch a écrit:Pour moi, Lucu est désormais le patron de l'équipe. C'est un taiseux, un bosseur, un leader, un combattant, bref c'est le joueur idéal. Et pour ne rien gâcher, c'est un bon buteur et un mec top en dehors du terrain.
Un simple exemple qui pour moi en dit long : sur l'essai marqué hier juste avant la mi-temps, il n'y a qu'à voir comment il serre les poings en hurlant, avant de se tourner vers le staff puis de haranguer la foule. Ce mec a tout pour être un très grand. Si Jalibert peut/doit être notre facteur X, le mec capable d'une fulgurance qui peut débloquer un match, c'est Lucu qui doit être le patron de l'équipe. Celui qui pilote, qui décide, et qui entraîne tout le monde avec lui.
Rien d’autre à rajouter. Il a pris une autre dimension avec le XV de France. Et on peut critiquer Galthié pour certains choix mais il a donné beaucoup de confiance à Lucu dès le début, y compris quand il était blessé. Il a très bien vu que Lucu pouvait parfaitement compléter Dupont dans des matches internationaux. C’est tout à son honneur.
SympathyForTheDevil- J'aime l'Union à la folie
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Re: Maxime Lucu
SympathyForTheDevil a écrit:Switch a écrit:Pour moi, Lucu est désormais le patron de l'équipe. C'est un taiseux, un bosseur, un leader, un combattant, bref c'est le joueur idéal. Et pour ne rien gâcher, c'est un bon buteur et un mec top en dehors du terrain.
Un simple exemple qui pour moi en dit long : sur l'essai marqué hier juste avant la mi-temps, il n'y a qu'à voir comment il serre les poings en hurlant, avant de se tourner vers le staff puis de haranguer la foule. Ce mec a tout pour être un très grand. Si Jalibert peut/doit être notre facteur X, le mec capable d'une fulgurance qui peut débloquer un match, c'est Lucu qui doit être le patron de l'équipe. Celui qui pilote, qui décide, et qui entraîne tout le monde avec lui.
Rien d’autre à rajouter. Il a pris une autre dimension avec le XV de France. Et on peut critiquer Galthié pour certains choix mais il a donné beaucoup de confiance à Lucu dès le début, y compris quand il était blessé. Il a très bien vu que Lucu pouvait parfaitement compléter Dupont dans des matches internationaux. C’est tout à son honneur.
De toutes façons pour moi, Lucu aura un rôle capital au sein du XV de France, notamment lors de la CdM, et pour une raison simple : c'est lui qui finira les matchs de Dupont. Déjà parce que ce dernier ne pourra pas faire 80 minutes tout le temps, ensuite parce qu'il sera toujours exposé aux blessures (un 9 ça reste la cible n°1), et enfin parce que Lucu est un excellent gestionnaire, idéal pour terminer des matchs que Dupont aurait lancé. Donc derrière cette étiquette de "plan B" ou "doublure", il y a une casquette très importante qui mériterait bien plus de considération.
J'ai toujours été d'accord avec Urios à ce sujet : les remplaçants sont au moins aussi importants que les titulaires, notamment car ce sont ceux qui finissent les matchs.
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Switch- Centre de presse
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Humeur : Fonction de l'UBB
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Re: Maxime Lucu
https://twitter.com/top14rugby/status/1571816372388126723
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Maxime Lucu
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Re: Maxime Lucu
VIDÉO - Maxime Lucu dans Poulain Raffûte : "Avant que Biarritz ne vienne me chercher, je ne prenais pas le rugby au sérieux"
https://video.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2022-2023/maxime-lucu-dans-poulain-raffute-avant-que-biarritz-ne-vienne-me-chercher-je-ne-prenais-pas-le-rugby-au-serieux_vid1762394/video.shtml
https://video.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2022-2023/maxime-lucu-dans-poulain-raffute-avant-que-biarritz-ne-vienne-me-chercher-je-ne-prenais-pas-le-rugby-au-serieux_vid1762394/video.shtml
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Age : 57
Re: Maxime Lucu
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Maxime-lucu-l-indispensable-metronome-de-l-ubb/1359327
Ce qui rend Maxime Lucu indispensable à l'UBB
De retour avec son numéro 9 dans le dos, Maxime Lucu sera l'un des atouts majeurs de Bordeaux-Bègles pour la réception du Racing 92, samedi soir (21h05). Son influence dans le jeu de l'UBB est immense.
-
Maxime Raulin
« Ce n'est pas un scoop, Maxime est toujours bon, il porte l'équipe. » Phrase signée Christophe Urios pour évoquer la prestation de Maxime Lucu à la suite du premier succès de la saison de Bordeaux-Bègles face à Castres (33-12, le 17 septembre).
Le week-end dernier, sans son demi de mêlée, au repos, l'UBB a explosé en fin de match sur la pelouse du LOU (36-21). Est-ce que la présence du joueur de 29 ans aurait changé la donne ? « Il aurait peut-être fait quelques choix différents, amené un peu plus d'expérience et de lucidité, mais l'UBB aurait sans doute perdu, imagine l'ex-demi de mêlée Guy Accoceberry, suiveur du club girondin. Mais pour que Bordeaux réalise une saison pleine, il faut qu'il soit là. Remettre l'équipe sur le droit chemin va passer par lui. »
« De l'extérieur, j'ai le sentiment qu'il a du poids sur le groupe et les joueurs », glisse un manager du Top 14 préférant rester anonyme. « C'est une courroie de transmission essentielle dans notre jeu, imageait Urios l'an dernier. Maxime m'impressionne surtout par la régularité et la qualité de ses matches. »
En trois saisons, Lucu, qui brille autant par sa discrétion que par ses performances, a mis tout le monde d'accord en Gironde. Ce n'était pourtant pas gagné. L'ex-numéro 9 de Biarritz avait été recruté avant la signature d'Urios, qui n'en voulait pas, le jugeant « pas assez rapide », au point de demander à son président Laurent Marti d'envisager le recrutement d'un autre demi de mêlée. Une demande trop tardive, finalement salvatrice. « J'aurais probablement fait la plus grosse connerie de ma carrière, reconnaîtra le coach. Il est énorme ! » C'est le mot.
« Il est indispensable »
Guy Accoceberry (55 ans), ex-demi de mêlée international (19 sélections), consultant pour France Bleu.
« Maxime est plein d'humilité. Il est arrivé sur la pointe des pieds, mais il s'est montré décisif très rapidement. C'est un peu comme en équipe de France. Quel que soit le niveau, il répond présent. Il ne va pas te faire du Dupont avec des percées de 40 mètres. Il amène l'équipe à son rythme. Il est dans la gestion, il a les pieds, les mains, la vision du jeu, la défense, il est courageux, il est lucide et il a pris de l'expérience. C'est un métronome. Il y a un UBB avec Maxime Lucu et un UBB sans. Quand il n'est pas là, ce n'est pas la même, il est indispensable. On était braqué sur Matthieu Jalibert, qui portait l'équipe grâce à ses fulgurances et faisait basculer les matches. Quand Matthieu a été moins bien ou absent, Maxime a pris le flambeau. Dans le vestiaire aussi, il prend de l'épaisseur, du poids, il est écouté. Il parle plus, il est rageur, il ne lui manque rien. Maxime est toujours à 7 ou 8 sur 10. Je ne l'ai jamais vu mauvais, jamais vu se trouer. Il peut faire quelque mauvais choix, mais sur l'ensemble d'un match, il fait toujours le job. C'est difficile de lui reprocher quoi que ce soit. »
72
Le nombre de minutes moyennes jouées en Top 14 par Maxime Lucu lorsqu'il est titulaire depuis son arrivée à Bordeaux-Bègles en 2019, sur un total de 47 matches (dont 17 joués en intégralité). La première saison, le demi de mêlée a joué, en moyenne, 66 minutes. Ce chiffre est passé à 73 minutes la deuxième saison pour monter à 75 minutes l'an dernier. Alors qu'il entame sa quatrième saison au club, le numéro 9 a joué 74 minutes en moyenne lors des cinq premiers matches. Raison pour laquelle il était au repos le week-end dernier à Lyon. Il laisse des miettes à ses deux concurrents Yann Lesgourgues et Jules Gimbert. Une situation opposée à celle vécue par Lucu en équipe de France par rapport à Antoine Dupont, capitaine des Bleus. Sur le dernier Grand Chelem, le demi de mêlée remplaçant (9 sélections) n'est jamais entré plus de dix minutes.
« Lucu est devenu un joueur de niveau international. Donc forcément, quand il est présent ou absent, il y a un impact sur les performances de l'UBB. C'est le cas dans tous les clubs, mais c'est sans doute encore plus exacerbé à Bordeaux où il a un rôle de leader en tant que vice-capitaine et même de capitaine quand Jefferson Poirot ne joue pas. Il a ce côté ''cornaqueur.'' Ça se voit très clairement qu'il a une emprise sur son paquet d'avant. Quand Lucu joue, au-delà du style de jeu très différent par rapport à Lesgourgues, j'ai la sensation qu'il y a plus de cohésion collective. C'est ce qui fait la différence. Grâce à sa force de travail, son humilité, sa remise en question, il emmène, dans son sillage, toute son équipe. Il montre l'exemple. Tu as envie de le suivre. Parfois, j'ai le sentiment qu'il pense plus au collectif qu'à lui. C'est très précieux. Mais c'est le petit détail qu'on pourrait lui reprocher. Il devrait prendre un peu plus d'initiatives individuelles, même s'il le fait de plus en plus. Et c'est souvent bénéfique. »
64 %
Le pourcentage de victoires de l'Union Bordeaux-Bègles en Top 14 quand Maxime Lucu joue (64 matches). Quand il est absent (15 matches), le pourcentage de victoires tombe à 40 %. « Lucu est précieux dans notre jeu, il amène son côté gagneur », soulignait avec justesse son capitaine, le pilier Jefferson Poirot. Il n'est pas rare de voir le demi de mêlée haranguer ses partenaires ou la foule, le poing serré. « Lui, il ne s'est pas chié dessus. Lui, il fait ce qu'il dit », avait balancé Christophe Urios en fin de saison dernière, après la victoire en barrage (36-16), alors que l'UBB était gangrenée par des tensions internes entre le manager et certains leaders, comme Matthieu Jalibert et Cameron Woki.
Ce qui rend Maxime Lucu indispensable à l'UBB
De retour avec son numéro 9 dans le dos, Maxime Lucu sera l'un des atouts majeurs de Bordeaux-Bègles pour la réception du Racing 92, samedi soir (21h05). Son influence dans le jeu de l'UBB est immense.
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Maxime Raulin
« Ce n'est pas un scoop, Maxime est toujours bon, il porte l'équipe. » Phrase signée Christophe Urios pour évoquer la prestation de Maxime Lucu à la suite du premier succès de la saison de Bordeaux-Bègles face à Castres (33-12, le 17 septembre).
Le week-end dernier, sans son demi de mêlée, au repos, l'UBB a explosé en fin de match sur la pelouse du LOU (36-21). Est-ce que la présence du joueur de 29 ans aurait changé la donne ? « Il aurait peut-être fait quelques choix différents, amené un peu plus d'expérience et de lucidité, mais l'UBB aurait sans doute perdu, imagine l'ex-demi de mêlée Guy Accoceberry, suiveur du club girondin. Mais pour que Bordeaux réalise une saison pleine, il faut qu'il soit là. Remettre l'équipe sur le droit chemin va passer par lui. »
« De l'extérieur, j'ai le sentiment qu'il a du poids sur le groupe et les joueurs », glisse un manager du Top 14 préférant rester anonyme. « C'est une courroie de transmission essentielle dans notre jeu, imageait Urios l'an dernier. Maxime m'impressionne surtout par la régularité et la qualité de ses matches. »
En trois saisons, Lucu, qui brille autant par sa discrétion que par ses performances, a mis tout le monde d'accord en Gironde. Ce n'était pourtant pas gagné. L'ex-numéro 9 de Biarritz avait été recruté avant la signature d'Urios, qui n'en voulait pas, le jugeant « pas assez rapide », au point de demander à son président Laurent Marti d'envisager le recrutement d'un autre demi de mêlée. Une demande trop tardive, finalement salvatrice. « J'aurais probablement fait la plus grosse connerie de ma carrière, reconnaîtra le coach. Il est énorme ! » C'est le mot.
« Il est indispensable »
Guy Accoceberry (55 ans), ex-demi de mêlée international (19 sélections), consultant pour France Bleu.
« Maxime est plein d'humilité. Il est arrivé sur la pointe des pieds, mais il s'est montré décisif très rapidement. C'est un peu comme en équipe de France. Quel que soit le niveau, il répond présent. Il ne va pas te faire du Dupont avec des percées de 40 mètres. Il amène l'équipe à son rythme. Il est dans la gestion, il a les pieds, les mains, la vision du jeu, la défense, il est courageux, il est lucide et il a pris de l'expérience. C'est un métronome. Il y a un UBB avec Maxime Lucu et un UBB sans. Quand il n'est pas là, ce n'est pas la même, il est indispensable. On était braqué sur Matthieu Jalibert, qui portait l'équipe grâce à ses fulgurances et faisait basculer les matches. Quand Matthieu a été moins bien ou absent, Maxime a pris le flambeau. Dans le vestiaire aussi, il prend de l'épaisseur, du poids, il est écouté. Il parle plus, il est rageur, il ne lui manque rien. Maxime est toujours à 7 ou 8 sur 10. Je ne l'ai jamais vu mauvais, jamais vu se trouer. Il peut faire quelque mauvais choix, mais sur l'ensemble d'un match, il fait toujours le job. C'est difficile de lui reprocher quoi que ce soit. »
72
Le nombre de minutes moyennes jouées en Top 14 par Maxime Lucu lorsqu'il est titulaire depuis son arrivée à Bordeaux-Bègles en 2019, sur un total de 47 matches (dont 17 joués en intégralité). La première saison, le demi de mêlée a joué, en moyenne, 66 minutes. Ce chiffre est passé à 73 minutes la deuxième saison pour monter à 75 minutes l'an dernier. Alors qu'il entame sa quatrième saison au club, le numéro 9 a joué 74 minutes en moyenne lors des cinq premiers matches. Raison pour laquelle il était au repos le week-end dernier à Lyon. Il laisse des miettes à ses deux concurrents Yann Lesgourgues et Jules Gimbert. Une situation opposée à celle vécue par Lucu en équipe de France par rapport à Antoine Dupont, capitaine des Bleus. Sur le dernier Grand Chelem, le demi de mêlée remplaçant (9 sélections) n'est jamais entré plus de dix minutes.
« Lucu est devenu un joueur de niveau international. Donc forcément, quand il est présent ou absent, il y a un impact sur les performances de l'UBB. C'est le cas dans tous les clubs, mais c'est sans doute encore plus exacerbé à Bordeaux où il a un rôle de leader en tant que vice-capitaine et même de capitaine quand Jefferson Poirot ne joue pas. Il a ce côté ''cornaqueur.'' Ça se voit très clairement qu'il a une emprise sur son paquet d'avant. Quand Lucu joue, au-delà du style de jeu très différent par rapport à Lesgourgues, j'ai la sensation qu'il y a plus de cohésion collective. C'est ce qui fait la différence. Grâce à sa force de travail, son humilité, sa remise en question, il emmène, dans son sillage, toute son équipe. Il montre l'exemple. Tu as envie de le suivre. Parfois, j'ai le sentiment qu'il pense plus au collectif qu'à lui. C'est très précieux. Mais c'est le petit détail qu'on pourrait lui reprocher. Il devrait prendre un peu plus d'initiatives individuelles, même s'il le fait de plus en plus. Et c'est souvent bénéfique. »
64 %
Le pourcentage de victoires de l'Union Bordeaux-Bègles en Top 14 quand Maxime Lucu joue (64 matches). Quand il est absent (15 matches), le pourcentage de victoires tombe à 40 %. « Lucu est précieux dans notre jeu, il amène son côté gagneur », soulignait avec justesse son capitaine, le pilier Jefferson Poirot. Il n'est pas rare de voir le demi de mêlée haranguer ses partenaires ou la foule, le poing serré. « Lui, il ne s'est pas chié dessus. Lui, il fait ce qu'il dit », avait balancé Christophe Urios en fin de saison dernière, après la victoire en barrage (36-16), alors que l'UBB était gangrenée par des tensions internes entre le manager et certains leaders, comme Matthieu Jalibert et Cameron Woki.
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Re: Maxime Lucu
Avec Max au Lou, on serait arrivé à sortir de notre camp en fin de première mi-temps, ce qui nous aurait probablement évité le carton jaune de Jalibert et trois points, ce n'est pas un détail. Mais ok, c'est un peu facile de refaire le match de cette façon, mais c'est sûr que dans les situations où nous sommes sous pression, Max n'a pas d'égal...
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Re: Maxime Lucu
https://actu.fr/sports/rugby/pro/xv-de-france-doublure-du-meilleur-joueur-du-monde-maxime-lucu-refuse-de-se-comparer-a-dupont_54811219.html
marchal- Centre de presse
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Re: Maxime Lucu
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france-maxime-lucu-une-etape-de-plus-dans-ma-carriere-13006744.php
XV de France. Maxime Lucu : « Une étape de plus dans ma carrière »
Antoine Dupont suspendu, le demi de mêlée de l’UBB devrait débuter le dernier test face au Japon dimanche à Toulouse (14 heures). Avant de basculer sur cette perspective, il revient sur son entrée en jeu remarquée face à l’Afrique du Sud
Il a beaucoup été question de la violence des impacts face aux Springboks. Est-ce que ce sont les 30 minutes les plus difficiles que vous ayez eues à jouer ?
En tout cas, ça a été franchement le match le plus dur à appréhender… En termes d’intensité, de combat, de dimension physique, c’est clairement le plus difficile. Le rugby est un sport de contacts, les regroupements sont des zones d’affrontement. Mais l’agressivité et l’intensité que les Sud-Africains ont mises, on n’avait jamais vraiment vu ça même si on sait bien qu’ils ont l’un des paquets d’avants le plus costauds au monde. Voire le plus costaud…
Contexte
UBB Leader du vestiaire bordelais, Maxime Lucu ne s’est pas exprimé sur l’éviction du manager de l’UBB Christophe Urios. Cet entretien a été réalisé lundi, à la veille de la décision du président Laurent Marti.
« On sentait que les chocs n’étaient pas comme la normale. Ils nous avaient promis la guerre, ils l’ont mise »
Il y a eu trois protocoles commotion en première période. Que vous êtes-vous dit en première période ?
Souvent, quand on est remplaçant, on va s’échauffer à huit durant toute la première période. Mais là, au bout de 20 minutes, je n’étais plus qu’avec Bastien Chalureau et Matthieu « Jalib » dans l’en-but. On s’est dit, « ah ouais ». On sentait le poids de l’intensité sur le bord du terrain. Les commotions n’étaient pas graves, mais avérées. On sentait que les chocs n’étaient pas comme la normale. Ils nous avaient promis la guerre, ils l’ont faite.
Vous êtes rentré à la 64e minute suite au carton rouge à l’encontre d’Antoine Dupont. Y a-t-il une forme d’appréhension avant de rentrer dans un tel match ?
Oui, mais pour plein de raisons. Déjà parce qu’on perd Antoine, notre capitaine et le maître à jouer de l’équipe. Ensuite parce que quand je rentre, on vient de prendre un essai, on est un point derrière. Le match n’était pas simple, les mecs avaient beaucoup donné… Il fallait être bon dans tous les compartiments, mais surtout au même niveau et à la même intensité. Sinon, ça allait faire mal…
Vos coéquipiers vous semblaient-ils marqués ?
Je n’ai pas senti l’équipe paniquer. Mais on était mis à mal par l’Afrique du Sud. Quand on a pris cet essai, on sentait une part de doute. Le but, pour moi, c’était de remettre de l’allant et d’encourager les mecs : il fallait remettre de la vie dans cette équipe. Avec l’essai, elle venait de prendre un coup de massue.
Vous avez plus l’habitude de rentrer dans les 10 dernières minutes en équipe de France…
Tout est allé très vite. En début de seconde période, on va toujours dans l’en-but pour s’échauffer. On sait que pour le coup, on peut rentrer à tout moment. C’est de là qu’on a vu l’action d’Antoine. Sur les ralentis, on a tout de suite senti que la décision serait rouge : pour l’ampleur du choc et parce que Cheslin Kolbe tombe sur la tête. Les « prépas » m’ont tout de suite dit de me préparer. Mais j’ai quand même eu de la 58e à la 63e, pour relativiser et me préparer à ma rentrée : on défendait une pénaltouche, le staff ne voulait pas changer tout de suite le système défensif. La consigne était de redonner de l’allant. C’est ce que j’ai essayé de faire à plusieurs reprises avec « Antho » Jelonch, Cameron (Woki) ou avec la première ligne pour aller chercher des pénalités importantes.
On vous a vu célébrer, poings serrés, la moindre action positive. C’était du langage corporel à destination de vos coéquipiers ?
Exactement. J’ai cette habitude parce que chaque minute est importante. Mais je n’étais pas le seul. Il y avait Charles (Ollivon), Cameron et même Damian (Penaud) à son aile… Il fallait montrer aux Sud-Africains qu’on était encore présent. Alors qu’ils nous avaient défiés toute la semaine dans les médias, c’était une manière de dire qu’on n’allait pas tomber à Marseille.
Habituellement, vous rentrez en jeu pour gérer les toutes dernières minutes. Avoir 30 minutes devant vous change beaucoup de choses ?
Oui. C’est la première fois que je rentre alors qu’on est derrière au score. Mais ce qui est fou, c’est qu’on a bossé ce scénario toute la semaine. Si habituellement, on s’entraîne à négocier des fins de match où l’équipe est devant, là, on a fait l’inverse. Et comme par hasard, c’est ce qui s’est passé… Toutes les actions qui ont amené les erreurs de l’Afrique du Sud dans les 20 dernières minutes, on les avait travaillées.
Votre entrée en jeu a été remarquée. Avez-vous le sentiment d’avoir montré votre meilleur visage ?
J’étais un peu stressé quand je suis rentré. Je savais que je serais plus scruté que d’habitude. Je ne suis pas content de mon premier dégagement. On a pris beaucoup de temps de jeu jusqu’à ce plaquage à 5 mètres de la ligne (NDLR, son retour défensif avec Macalou sur Arendse). À partir de là, je me suis dit, « on s’est sauvé, je dois me lâcher ». Je n’ai pas fait grand-chose de particulier, mais les choses très bien.
Vous la placez où cette victoire dans votre petit palmarès individuel ?
Ça représente énormément. L’Afrique du Sud avait annoncé vouloir gagner et nous mettre à mal pour la première fois. C’est un moment inoubliable. Je retiens beaucoup le match contre l’Angleterre dans le Six-Nations, mais celui-là passe au-dessus de tout. Le fait de l’avoir coché, d’avoir joué le plus de minutes en France, d’avoir battu les champions du monde… C’est le match le plus important de ma carrière jusqu’à présent.
« Il y a un an, j’étais dans le virage avec les ultras pour voir un OM - Saint-Etienne »
En plus, vous avez un lien affectif avec le stade Vélodrome…
Exactement. Ce stade représente beaucoup parce que je suis supporteur, mais aussi parce que c’est un lieu super avec une ambiance de malade. Il y a un an, j’étais dans le virage avec les ultras pour voir un Marseille - Saint-Etienne. J’y étais allé tout seul, sur un coup de tête, au milieu des ultras. Initialement, je devais y aller avec mon frère (Ximun), mais il avait été finalement retenu pour un match de Top 14 avec le BO. J’avais hésité et puis finalement j’avais sauté le pas. Mais ma première expérience là-bas, c’était il y a trois ans avec des amis et mon frère pour un Marseille - Lille. On savait qu’on sauterait partout, mais je ne pensais pas à ce point ! Dès le début de l’échauffement, les supporteurs nous ont demandé de nous mettre torse nu. Au début, on n’avait pas trop voulu. Mais comme c’est une religion là-bas, il avait bien fallu l’enlever (sourire).
Avoir autant joué contre l’Afrique du Sud, ça suffit à compenser le fait de ne pas être rentré face à l’Australie ?
Quand tu ne rentres pas, ce sont des moments pas faciles. Mais j’y suis préparé. Parce qu’Antoine est notre capitaine. Et parce que je savais qu’au vu de la physionomie de ce match, ce ne serait pas le meilleur scénario de rentrer à 10 secondes de la fin… Je n’en ai pas voulu au staff. Je suis passé vite à autre chose. Et le fait de montrer contre l’Afrique du Sud que je peux faire partie des gens qui rentrent et qui gagnent, c’est important pour moi.
Vous devriez débuter contre le Japon votre premier match en France en tant que titulaire. Qu’est-ce que ça représente ?
On ne connaît pas encore l’équipe. Mais l’optique de commencer un match avec le numéro 9 en France, devant de la famille en plus, ce serait fort et important. J’ai déjà débuté avec Charles en tant que capitaine au Japon (NDLR, à deux reprises en juillet). Mais là, le faire en France, tous les deux, ça va être encore plus fort (NDLR, ils sont tous les deux formés à Saint-Pée-sur-Nivelle). C’est une étape de plus dans ma carrière.
Affronter le Japon après avoir battu l’Australie et l’Afrique du Sud, cela n’implique-t-il pas un risque de décompression ?
Non. Le groupe hait la défaite. On ne veut pas que la série s’arrête et, surtout, on ne veut pas finir sur une mauvaise note. On s’est donné les moyens de battre l’Australie et l’Afrique du Sud, ce serait une bêtise de tout gâcher cette semaine en pensant que le Japon va se jouer facilement. On l’a vu en juillet dernier.
XV de France. Maxime Lucu : « Une étape de plus dans ma carrière »
Antoine Dupont suspendu, le demi de mêlée de l’UBB devrait débuter le dernier test face au Japon dimanche à Toulouse (14 heures). Avant de basculer sur cette perspective, il revient sur son entrée en jeu remarquée face à l’Afrique du Sud
Il a beaucoup été question de la violence des impacts face aux Springboks. Est-ce que ce sont les 30 minutes les plus difficiles que vous ayez eues à jouer ?
En tout cas, ça a été franchement le match le plus dur à appréhender… En termes d’intensité, de combat, de dimension physique, c’est clairement le plus difficile. Le rugby est un sport de contacts, les regroupements sont des zones d’affrontement. Mais l’agressivité et l’intensité que les Sud-Africains ont mises, on n’avait jamais vraiment vu ça même si on sait bien qu’ils ont l’un des paquets d’avants le plus costauds au monde. Voire le plus costaud…
Contexte
UBB Leader du vestiaire bordelais, Maxime Lucu ne s’est pas exprimé sur l’éviction du manager de l’UBB Christophe Urios. Cet entretien a été réalisé lundi, à la veille de la décision du président Laurent Marti.
« On sentait que les chocs n’étaient pas comme la normale. Ils nous avaient promis la guerre, ils l’ont mise »
Il y a eu trois protocoles commotion en première période. Que vous êtes-vous dit en première période ?
Souvent, quand on est remplaçant, on va s’échauffer à huit durant toute la première période. Mais là, au bout de 20 minutes, je n’étais plus qu’avec Bastien Chalureau et Matthieu « Jalib » dans l’en-but. On s’est dit, « ah ouais ». On sentait le poids de l’intensité sur le bord du terrain. Les commotions n’étaient pas graves, mais avérées. On sentait que les chocs n’étaient pas comme la normale. Ils nous avaient promis la guerre, ils l’ont faite.
Vous êtes rentré à la 64e minute suite au carton rouge à l’encontre d’Antoine Dupont. Y a-t-il une forme d’appréhension avant de rentrer dans un tel match ?
Oui, mais pour plein de raisons. Déjà parce qu’on perd Antoine, notre capitaine et le maître à jouer de l’équipe. Ensuite parce que quand je rentre, on vient de prendre un essai, on est un point derrière. Le match n’était pas simple, les mecs avaient beaucoup donné… Il fallait être bon dans tous les compartiments, mais surtout au même niveau et à la même intensité. Sinon, ça allait faire mal…
Vos coéquipiers vous semblaient-ils marqués ?
Je n’ai pas senti l’équipe paniquer. Mais on était mis à mal par l’Afrique du Sud. Quand on a pris cet essai, on sentait une part de doute. Le but, pour moi, c’était de remettre de l’allant et d’encourager les mecs : il fallait remettre de la vie dans cette équipe. Avec l’essai, elle venait de prendre un coup de massue.
Vous avez plus l’habitude de rentrer dans les 10 dernières minutes en équipe de France…
Tout est allé très vite. En début de seconde période, on va toujours dans l’en-but pour s’échauffer. On sait que pour le coup, on peut rentrer à tout moment. C’est de là qu’on a vu l’action d’Antoine. Sur les ralentis, on a tout de suite senti que la décision serait rouge : pour l’ampleur du choc et parce que Cheslin Kolbe tombe sur la tête. Les « prépas » m’ont tout de suite dit de me préparer. Mais j’ai quand même eu de la 58e à la 63e, pour relativiser et me préparer à ma rentrée : on défendait une pénaltouche, le staff ne voulait pas changer tout de suite le système défensif. La consigne était de redonner de l’allant. C’est ce que j’ai essayé de faire à plusieurs reprises avec « Antho » Jelonch, Cameron (Woki) ou avec la première ligne pour aller chercher des pénalités importantes.
On vous a vu célébrer, poings serrés, la moindre action positive. C’était du langage corporel à destination de vos coéquipiers ?
Exactement. J’ai cette habitude parce que chaque minute est importante. Mais je n’étais pas le seul. Il y avait Charles (Ollivon), Cameron et même Damian (Penaud) à son aile… Il fallait montrer aux Sud-Africains qu’on était encore présent. Alors qu’ils nous avaient défiés toute la semaine dans les médias, c’était une manière de dire qu’on n’allait pas tomber à Marseille.
Habituellement, vous rentrez en jeu pour gérer les toutes dernières minutes. Avoir 30 minutes devant vous change beaucoup de choses ?
Oui. C’est la première fois que je rentre alors qu’on est derrière au score. Mais ce qui est fou, c’est qu’on a bossé ce scénario toute la semaine. Si habituellement, on s’entraîne à négocier des fins de match où l’équipe est devant, là, on a fait l’inverse. Et comme par hasard, c’est ce qui s’est passé… Toutes les actions qui ont amené les erreurs de l’Afrique du Sud dans les 20 dernières minutes, on les avait travaillées.
Votre entrée en jeu a été remarquée. Avez-vous le sentiment d’avoir montré votre meilleur visage ?
J’étais un peu stressé quand je suis rentré. Je savais que je serais plus scruté que d’habitude. Je ne suis pas content de mon premier dégagement. On a pris beaucoup de temps de jeu jusqu’à ce plaquage à 5 mètres de la ligne (NDLR, son retour défensif avec Macalou sur Arendse). À partir de là, je me suis dit, « on s’est sauvé, je dois me lâcher ». Je n’ai pas fait grand-chose de particulier, mais les choses très bien.
Vous la placez où cette victoire dans votre petit palmarès individuel ?
Ça représente énormément. L’Afrique du Sud avait annoncé vouloir gagner et nous mettre à mal pour la première fois. C’est un moment inoubliable. Je retiens beaucoup le match contre l’Angleterre dans le Six-Nations, mais celui-là passe au-dessus de tout. Le fait de l’avoir coché, d’avoir joué le plus de minutes en France, d’avoir battu les champions du monde… C’est le match le plus important de ma carrière jusqu’à présent.
« Il y a un an, j’étais dans le virage avec les ultras pour voir un OM - Saint-Etienne »
En plus, vous avez un lien affectif avec le stade Vélodrome…
Exactement. Ce stade représente beaucoup parce que je suis supporteur, mais aussi parce que c’est un lieu super avec une ambiance de malade. Il y a un an, j’étais dans le virage avec les ultras pour voir un Marseille - Saint-Etienne. J’y étais allé tout seul, sur un coup de tête, au milieu des ultras. Initialement, je devais y aller avec mon frère (Ximun), mais il avait été finalement retenu pour un match de Top 14 avec le BO. J’avais hésité et puis finalement j’avais sauté le pas. Mais ma première expérience là-bas, c’était il y a trois ans avec des amis et mon frère pour un Marseille - Lille. On savait qu’on sauterait partout, mais je ne pensais pas à ce point ! Dès le début de l’échauffement, les supporteurs nous ont demandé de nous mettre torse nu. Au début, on n’avait pas trop voulu. Mais comme c’est une religion là-bas, il avait bien fallu l’enlever (sourire).
Avoir autant joué contre l’Afrique du Sud, ça suffit à compenser le fait de ne pas être rentré face à l’Australie ?
Quand tu ne rentres pas, ce sont des moments pas faciles. Mais j’y suis préparé. Parce qu’Antoine est notre capitaine. Et parce que je savais qu’au vu de la physionomie de ce match, ce ne serait pas le meilleur scénario de rentrer à 10 secondes de la fin… Je n’en ai pas voulu au staff. Je suis passé vite à autre chose. Et le fait de montrer contre l’Afrique du Sud que je peux faire partie des gens qui rentrent et qui gagnent, c’est important pour moi.
Vous devriez débuter contre le Japon votre premier match en France en tant que titulaire. Qu’est-ce que ça représente ?
On ne connaît pas encore l’équipe. Mais l’optique de commencer un match avec le numéro 9 en France, devant de la famille en plus, ce serait fort et important. J’ai déjà débuté avec Charles en tant que capitaine au Japon (NDLR, à deux reprises en juillet). Mais là, le faire en France, tous les deux, ça va être encore plus fort (NDLR, ils sont tous les deux formés à Saint-Pée-sur-Nivelle). C’est une étape de plus dans ma carrière.
Affronter le Japon après avoir battu l’Australie et l’Afrique du Sud, cela n’implique-t-il pas un risque de décompression ?
Non. Le groupe hait la défaite. On ne veut pas que la série s’arrête et, surtout, on ne veut pas finir sur une mauvaise note. On s’est donné les moyens de battre l’Australie et l’Afrique du Sud, ce serait une bêtise de tout gâcher cette semaine en pensant que le Japon va se jouer facilement. On l’a vu en juillet dernier.
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Re: Maxime Lucu
scalp peux tu mettre cet article merci
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Maxime-lucu-l-heure-du-teigneux-a-sonne-contre-le-japon/1365726
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Maxime-lucu-l-heure-du-teigneux-a-sonne-contre-le-japon/1365726
marchal- Centre de presse
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Re: Maxime Lucu
https://twitter.com/UBBrugby/status/1613461080981766145?s=20
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Re: Maxime Lucu
https://twitter.com/CanalplusRugby/status/1615405368863035396?s=20
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Re: Maxime Lucu
Nooon !!!Scalp a écrit:
https://twitter.com/CanalplusRugby/status/1615405368863035396?s=20
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: Maxime Lucu
Ca c'est la mauvaise nouvelle, en premier pour lui...
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Yatangaki- J'aime l'Union à la folie
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Re: Maxime Lucu
Putain mais ça tombe toujours sur une pièce maitresse ...Timu lui il ne se blesse jamais ....
sudiste- Unioniste de la première heure
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Localisation : partout et nulle part, Sudiste est un concept ...
Date d'inscription : 27/01/2008
Humeur : Comme le dit mon cochon : "dans le gascon tout est bon"
Re: Maxime Lucu
Dans tout les cas, il aurait été avec l'équipe de France, mieux vaut qu'il prenne ce temps de blessure pour se régénérer,je le sentais un peu émoussé ces derniers temps.
FrenchKick- J'aime l'Union à la folie
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Humeur : Tant que l'ubb gagne tout va bien :)
Re: Maxime Lucu
La notion de petite entorse
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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Re: Maxime Lucu
Management catastrophique une nouvelle fois du club... On perd notre 9 sur un match en bois où on a pris une fessée... Mais bon ça a resserré le groupe. Marti est en colère.
Ben33- J'aime l'Union à la folie
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Re: Maxime Lucu
Bon je ne suis pas trop mécontent de la nouvelle.
Dommage pour lui bien-sûr, mais il semblait tellement cramé samedi.Je pense que cela lui fera du bien physiquement.
Dommage pour lui bien-sûr, mais il semblait tellement cramé samedi.Je pense que cela lui fera du bien physiquement.
coach2rugby- J'aime l'Union à la folie
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Re: Maxime Lucu
D’accord avec vous, il va avoir l’occasion de souffler un peu, il vaut mieux le voir comme ça, histoire de ne pas trop s’énerver…
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Re: Maxime Lucu
Maxime Lucu devrait prolonger sur la durée à l'UBB
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Maxime-lucu-devrait-prolonger-sur-la-duree-a-l-ubb/1375521
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Humeur : Positif avant tout
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Re: Maxime Lucu
Une bonne chose, il est beaucoup plus technique que physique, il pourra encore faire belles années mais il faudra impérativement un très bon remplaçant.
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Humeur : Merde
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Re: Maxime Lucu
XV de France: "Je n'ai jamais été le premier choix des coachs", clame Lucu
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/xv-de-france-je-n-ai-jamais-ete-le-premier-choix-des-coachs-clame-lucu_AV-202301190454.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/xv-de-france-je-n-ai-jamais-ete-le-premier-choix-des-coachs-clame-lucu_AV-202301190454.html
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Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Maxime Lucu
Top 14 : Lucu vers une prolongation à l’UBB
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/top-14-lucu-vers-une-prolongation-a-l-ubb-13734960.php
Confirmation par S-O...
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/top-14-lucu-vers-une-prolongation-a-l-ubb-13734960.php
Confirmation par S-O...
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