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Le Pognon et le Rugby
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Re: Le Pognon et le Rugby
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Mohed-altrad-fait-appel-le-parquet-national-financier-aussi/1371457#xtor=RSS-1
marchal- Centre de presse
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Re: Le Pognon et le Rugby
marchal a écrit: https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Mohed-altrad-fait-appel-le-parquet-national-financier-aussi/1371457#xtor=RSS-1
Et oui le PNF aussi interjette appel . Afin que potentiellement les peines prononcées soient plus élevées . Parce que les peines prononcées en 1ère instance ne sont pas sérieuses .
Mais bon nous voyons bien depuis qq temps les tendances de fond en terme de justice.
le radis- Team modo
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Re: Le Pognon et le Rugby
C'est à perdre espoir envers notre justice, nos institutions et plus général l'espèce humaine.
Laporte est en train d'habilement manoeuvrer pour se cacher dans un coin le temps que l'orage passe, pour mieux revenir ensuite. Et je crains qu'il n'y parvienne. Si c'est le cas, ça va saigner car il va y avoir du règlement de comptes et ce mec, comme ses sbires, n'est pas un tendre
Bordel j'espère que les choses iront dans le bon sens et surtout dans l'intérêt du rugby...
Laporte est en train d'habilement manoeuvrer pour se cacher dans un coin le temps que l'orage passe, pour mieux revenir ensuite. Et je crains qu'il n'y parvienne. Si c'est le cas, ça va saigner car il va y avoir du règlement de comptes et ce mec, comme ses sbires, n'est pas un tendre
Bordel j'espère que les choses iront dans le bon sens et surtout dans l'intérêt du rugby...
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Switch- Centre de presse
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Re: Le Pognon et le Rugby
Switch a écrit:C'est à perdre espoir envers notre justice, nos institutions et plus général l'espèce humaine.
Laporte est en train d'habilement manoeuvrer pour se cacher dans un coin le temps que l'orage passe, pour mieux revenir ensuite. Et je crains qu'il n'y parvienne. Si c'est le cas, ça va saigner car il va y avoir du règlement de comptes et ce mec, comme ses sbires, n'est pas un tendre
Bordel j'espère que les choses iront dans le bon sens et surtout dans l'intérêt du rugby...
J'aime pas trop dire ça comme ça... Mais tu rêves éveiller.
J'ai aucun espoir là-dedans, c'est écrit d'avance que de toute manière ils s'en sortiront tous. Comme les politiciens, ils ont juste à rester cacher pour faire ce qu'ils veulent après.
Il faut avoir honte de rien, accepter qu'on est une pourriture, un moins que rien, un rejet de vomit que personne ne voudrait éponger tellement il est hideux et puant.
Perso j'arriverai pas à en dormir, mais eux, pas de problème...
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Re: Le Pognon et le Rugby
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Laporte-et-altrad-font-appel-on-n-efface-rien-mais-on-recommence/1371494
Laporte et Altrad font appel : on n'efface rien, mais on recommence
Bernard Laporte, dès la sortie de l'audience, et Mohed Altrad, après réflexion, ont choisi d'interjeter appel de leur condamnation. Le Parquet national financier les a imités, entraînant Serge Simon, l'unique relaxé du délibéré du 13 décembre, dans la même procédure.
Frédéric Bernès et Renaud Bourel
La ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra a activé le mode avion sur la présidence Laporte. Il semble que le Parquet national financier (PNF), en revanche, avait gardé le Bluetooth branché et que le feuilleton judiciaire de la Fédération française (FFR) dure encore quelques mois. Les acteurs du procès-fleuve de septembre avaient jusqu'à vendredi minuit pour interjeter appel. Bernard Laporte s'était déclaré le premier, Mohed Altrad a fini par le rejoindre.
En réaction, le PNF a décidé de former un appel incident, en miroir. En l'occurrence, si Mohed Altrad en était resté là, les procureurs se seraient satisfaits de la condamnation prononcée en première instance. Idem s'agissant de Bernard Laporte qui, curieusement, a fait appel de tout le jugement, y compris de sa seule relaxe obtenue le 13 décembre (du chef d'abus de confiance), jour du délibéré.
D'après nos informations, Mohed Altrad et son entourage n'avaient pas apprécié l'empressement de Laporte et de son avocat à annoncer qu'ils interjetaient appel. L'industriel y aurait vu une forme de pression par la bande, une injonction à ne pas se désolidariser. Jusqu'à ces tout derniers jours, la tendance indiquait plutôt que le président de Montpellier s'apprêtait à renoncer à faire appel.
Secoué par ces années de procédure, le patron du MHR a très mal vécu l'audience. Il s'y était présenté mal à l'aise, évitant les journées les plus pénibles comme celles des réquisitions et du délibéré. Il n'avait nullement envie de retourner dans un prétoire. Il a finalement décidé de revenir au tribunal, tout en sachant qu'il garde l'option de pouvoir se désister jusqu'au dernier moment avant l'audience devant la Cour d'appel de Paris, laquelle ne devrait pas être programmée avant un an.
« Autant je crois qu'au début il était dans le déni, autant avec ce que j'ai pu exprimer, [...] il a compris qu'il fallait arrêter »
Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports
Pour Serge Simon, relaxé du chef de prise illégale d'intérêts, le PNF considère que le jugement rendu en première instance ne convient pas. Qu'il avait au moment de prendre certaines décisions touchant au club de Mohed Altrad un intérêt suffisant à caractériser ce délit. Pour les procureurs du PNF François-Xavier Dulin et Céline Guillet, l'affaire s'arrêtera quand ils auront transmis leur rapport au parquet général devant la Cour d'appel, qui exercera les fonctions du Ministère public à l'audience. Au passage, ce rebond relancera la question des frais d'avocat de MM. Laporte et Simon, assumés jusqu'ici par la FFR. Une chose est sûre : la facture va encore flamber.
Pour la frange hystérisée du comité directeur, celle qui se targuait la veille d'avoir pu atteindre Emmanuel Macron pour faire tordre le bras de la ministre avant le rendez-vous de jeudi, la journée de vendredi a rapidement dégonflé les effusions de morgue triomphale. Le passage de Mme Oudéa-Castéra sur RTL, au micro d'Yves Calvi, avait de bon matin rééquilibré les récits romancés de son entrevue avec Bernard Laporte, rapportés aux détenteurs d'un badge d'accès à Marcoussis.
Ferme, sans véhémence, elle a expliqué : « Une mise en retrait, je ne sais pas très bien ce que cela veut dire. J'ai besoin de comprendre très précisément la liste des instances auxquelles il ne participera plus et d'avoir des engagements sur le fait qu'il ne prend plus de décisions, qu'il ne porte plus la parole de cette fédération, qu'il ne participe plus aux instances, qu'il n'a plus de pouvoir de signature, plus de pouvoir de décision. C'est extrêmement important que ce mode d'emploi soit sécurisé. » Relance du journaliste : « Il a fait appel, vous ne pouviez pas obtenir une démission hormis une élégance morale du principal intéressé ; visiblement, il n'en a pas fait preuve... »
Réponse limpide de la ministre : « Ce qui compte pour moi, c'est que si on a une mise en retrait qui est effective, avec toutes ses prérogatives qui sont désactivées, le résultat est atteint et c'est ça qui est important. » Quant à l'attitude de l'ancien sélectionneur lors de leur tête-à-tête de près de deux heures... « Autant je crois qu'au début il était dans le déni, autant avec ce que j'ai pu exprimer, ce que la Ligue nationale de rugby a pu exprimer, ce que World Rugby a pu exprimer, plus l'ensemble de l'opinion publique, qui est profondément choquée à l'idée qu'il se maintienne dans ses fonctions compte tenu des manquements qui lui sont reprochés en première instance, il a compris qu'il fallait arrêter. »
Énervement des soutiens de Serge Simon
Les supporters ont d'un coup eu les bras moins longs mais leurs petits poings rageurs ont recommencé à s'agiter quand Serge Simon, candidat hésitant à la présidence déléguée, a informé sa cour fédérale que le PNF avait fait appel de sa relaxe. Il reçut un soutien moral immédiat. L'ire de tous s'est ensuite retournée contre la justice, alimentée par le complotisme de certains salariés de premier plan et repris en choeur par des élus.
Un raisonnement d'autant plus atterrant que l'institution s'était portée partie civile par l'intermédiaire de son secrétaire général Christian Dullin. L'idée d'une collusion du parquet et du pouvoir politique, celui-là même qu'ils disaient pourtant manipuler aisément quelques heures plus tôt, faisait même tranquillement son chemin au sein de la garde rapprochée de Laporte. Bons camarades, d'autres ne comprenaient pas pourquoi Claude Atcher et Benoît Rover, eux, ne retournaient pas devant les tribunaux. Les fameuses valeurs, quoi.
Laporte et Altrad font appel : on n'efface rien, mais on recommence
Bernard Laporte, dès la sortie de l'audience, et Mohed Altrad, après réflexion, ont choisi d'interjeter appel de leur condamnation. Le Parquet national financier les a imités, entraînant Serge Simon, l'unique relaxé du délibéré du 13 décembre, dans la même procédure.
Frédéric Bernès et Renaud Bourel
La ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra a activé le mode avion sur la présidence Laporte. Il semble que le Parquet national financier (PNF), en revanche, avait gardé le Bluetooth branché et que le feuilleton judiciaire de la Fédération française (FFR) dure encore quelques mois. Les acteurs du procès-fleuve de septembre avaient jusqu'à vendredi minuit pour interjeter appel. Bernard Laporte s'était déclaré le premier, Mohed Altrad a fini par le rejoindre.
En réaction, le PNF a décidé de former un appel incident, en miroir. En l'occurrence, si Mohed Altrad en était resté là, les procureurs se seraient satisfaits de la condamnation prononcée en première instance. Idem s'agissant de Bernard Laporte qui, curieusement, a fait appel de tout le jugement, y compris de sa seule relaxe obtenue le 13 décembre (du chef d'abus de confiance), jour du délibéré.
D'après nos informations, Mohed Altrad et son entourage n'avaient pas apprécié l'empressement de Laporte et de son avocat à annoncer qu'ils interjetaient appel. L'industriel y aurait vu une forme de pression par la bande, une injonction à ne pas se désolidariser. Jusqu'à ces tout derniers jours, la tendance indiquait plutôt que le président de Montpellier s'apprêtait à renoncer à faire appel.
Secoué par ces années de procédure, le patron du MHR a très mal vécu l'audience. Il s'y était présenté mal à l'aise, évitant les journées les plus pénibles comme celles des réquisitions et du délibéré. Il n'avait nullement envie de retourner dans un prétoire. Il a finalement décidé de revenir au tribunal, tout en sachant qu'il garde l'option de pouvoir se désister jusqu'au dernier moment avant l'audience devant la Cour d'appel de Paris, laquelle ne devrait pas être programmée avant un an.
« Autant je crois qu'au début il était dans le déni, autant avec ce que j'ai pu exprimer, [...] il a compris qu'il fallait arrêter »
Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports
Pour Serge Simon, relaxé du chef de prise illégale d'intérêts, le PNF considère que le jugement rendu en première instance ne convient pas. Qu'il avait au moment de prendre certaines décisions touchant au club de Mohed Altrad un intérêt suffisant à caractériser ce délit. Pour les procureurs du PNF François-Xavier Dulin et Céline Guillet, l'affaire s'arrêtera quand ils auront transmis leur rapport au parquet général devant la Cour d'appel, qui exercera les fonctions du Ministère public à l'audience. Au passage, ce rebond relancera la question des frais d'avocat de MM. Laporte et Simon, assumés jusqu'ici par la FFR. Une chose est sûre : la facture va encore flamber.
Pour la frange hystérisée du comité directeur, celle qui se targuait la veille d'avoir pu atteindre Emmanuel Macron pour faire tordre le bras de la ministre avant le rendez-vous de jeudi, la journée de vendredi a rapidement dégonflé les effusions de morgue triomphale. Le passage de Mme Oudéa-Castéra sur RTL, au micro d'Yves Calvi, avait de bon matin rééquilibré les récits romancés de son entrevue avec Bernard Laporte, rapportés aux détenteurs d'un badge d'accès à Marcoussis.
Ferme, sans véhémence, elle a expliqué : « Une mise en retrait, je ne sais pas très bien ce que cela veut dire. J'ai besoin de comprendre très précisément la liste des instances auxquelles il ne participera plus et d'avoir des engagements sur le fait qu'il ne prend plus de décisions, qu'il ne porte plus la parole de cette fédération, qu'il ne participe plus aux instances, qu'il n'a plus de pouvoir de signature, plus de pouvoir de décision. C'est extrêmement important que ce mode d'emploi soit sécurisé. » Relance du journaliste : « Il a fait appel, vous ne pouviez pas obtenir une démission hormis une élégance morale du principal intéressé ; visiblement, il n'en a pas fait preuve... »
Réponse limpide de la ministre : « Ce qui compte pour moi, c'est que si on a une mise en retrait qui est effective, avec toutes ses prérogatives qui sont désactivées, le résultat est atteint et c'est ça qui est important. » Quant à l'attitude de l'ancien sélectionneur lors de leur tête-à-tête de près de deux heures... « Autant je crois qu'au début il était dans le déni, autant avec ce que j'ai pu exprimer, ce que la Ligue nationale de rugby a pu exprimer, ce que World Rugby a pu exprimer, plus l'ensemble de l'opinion publique, qui est profondément choquée à l'idée qu'il se maintienne dans ses fonctions compte tenu des manquements qui lui sont reprochés en première instance, il a compris qu'il fallait arrêter. »
Énervement des soutiens de Serge Simon
Les supporters ont d'un coup eu les bras moins longs mais leurs petits poings rageurs ont recommencé à s'agiter quand Serge Simon, candidat hésitant à la présidence déléguée, a informé sa cour fédérale que le PNF avait fait appel de sa relaxe. Il reçut un soutien moral immédiat. L'ire de tous s'est ensuite retournée contre la justice, alimentée par le complotisme de certains salariés de premier plan et repris en choeur par des élus.
Un raisonnement d'autant plus atterrant que l'institution s'était portée partie civile par l'intermédiaire de son secrétaire général Christian Dullin. L'idée d'une collusion du parquet et du pouvoir politique, celui-là même qu'ils disaient pourtant manipuler aisément quelques heures plus tôt, faisait même tranquillement son chemin au sein de la garde rapprochée de Laporte. Bons camarades, d'autres ne comprenaient pas pourquoi Claude Atcher et Benoît Rover, eux, ne retournaient pas devant les tribunaux. Les fameuses valeurs, quoi.
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Scalp- Team modo
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Re: Le Pognon et le Rugby
Du fait de l'appel du parquet, Simon redevient donc, techniquement, mis en examen.
Dans ce cas là, peut-il encore prétendre à la fonction de Président délégué ?
Dans ce cas là, peut-il encore prétendre à la fonction de Président délégué ?
tonysoprano- J'aime l'Union passionnément
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Re: Le Pognon et le Rugby
Switch a écrit:C'est à perdre espoir envers notre justice, nos institutions et plus général l'espèce humaine.
Laporte est en train d'habilement manoeuvrer pour se cacher dans un coin le temps que l'orage passe, pour mieux revenir ensuite. Et je crains qu'il n'y parvienne. Si c'est le cas, ça va saigner car il va y avoir du règlement de comptes et ce mec, comme ses sbires, n'est pas un tendre
Bordel j'espère que les choses iront dans le bon sens et surtout dans l'intérêt du rugby...
Je vous trouve bien pessimistes. Et peu respectueux envers notre justice et les personnes qui y travaillent dans des conditions très difficiles en plus vu le manque de moyens. Comme l'a dit la ministre, Laporte est dans le déni. Il croit encore à sa toute-puissance. Vu sa condamnation en première instance, il risque fort de se prendre autant voire plus en appel. Sera-t-il la connerie d'aller en cassation?
Pour moi c'est plutôt une bonne nouvelle, ça remet Simon hors-course car mis en examen. Le plus tôt on se débarrassera de l'ensemble de la clique, mieux ce sera.
krahknardz- Team modo
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Re: Le Pognon et le Rugby
krahknardz a écrit:Switch a écrit:C'est à perdre espoir envers notre justice, nos institutions et plus général l'espèce humaine.
Laporte est en train d'habilement manoeuvrer pour se cacher dans un coin le temps que l'orage passe, pour mieux revenir ensuite. Et je crains qu'il n'y parvienne. Si c'est le cas, ça va saigner car il va y avoir du règlement de comptes et ce mec, comme ses sbires, n'est pas un tendre
Bordel j'espère que les choses iront dans le bon sens et surtout dans l'intérêt du rugby...
Je vous trouve bien pessimistes. Et peu respectueux envers notre justice et les personnes qui y travaillent dans des conditions très difficiles en plus vu le manque de moyens. Comme l'a dit la ministre, Laporte est dans le déni. Il croit encore à sa toute-puissance. Vu sa condamnation en première instance, il risque fort de se prendre autant voire plus en appel. Sera-t-il la connerie d'aller en cassation?
Pour moi c'est plutôt une bonne nouvelle, ça remet Simon hors-course car mis en examen. Le plus tôt on se débarrassera de l'ensemble de la clique, mieux ce sera.
Ils n'iront pas en Cassation. Cette cours ne jugeant pas les faits mais la procédure, il n'y a aucune raison. D'autant que les délais y sont encore pire qu'en appel.
Je veux croire que justice sera faite, mais quand je vois les chemins de traverse empruntés, les pirouettes réalisées et les déclarations de certains, je reste inquiet.
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Switch- Centre de presse
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Re: Le Pognon et le Rugby
Switch a écrit:krahknardz a écrit:Switch a écrit:C'est à perdre espoir envers notre justice, nos institutions et plus général l'espèce humaine.
Laporte est en train d'habilement manoeuvrer pour se cacher dans un coin le temps que l'orage passe, pour mieux revenir ensuite. Et je crains qu'il n'y parvienne. Si c'est le cas, ça va saigner car il va y avoir du règlement de comptes et ce mec, comme ses sbires, n'est pas un tendre
Bordel j'espère que les choses iront dans le bon sens et surtout dans l'intérêt du rugby...
Je vous trouve bien pessimistes. Et peu respectueux envers notre justice et les personnes qui y travaillent dans des conditions très difficiles en plus vu le manque de moyens. Comme l'a dit la ministre, Laporte est dans le déni. Il croit encore à sa toute-puissance. Vu sa condamnation en première instance, il risque fort de se prendre autant voire plus en appel. Sera-t-il la connerie d'aller en cassation?
Pour moi c'est plutôt une bonne nouvelle, ça remet Simon hors-course car mis en examen. Le plus tôt on se débarrassera de l'ensemble de la clique, mieux ce sera.
Ils n'iront pas en Cassation. Cette cours ne jugeant pas les faits mais la procédure, il n'y a aucune raison. D'autant que les délais y sont encore pire qu'en appel.
Je veux croire que justice sera faite, mais quand je vois les chemins de traverse empruntés, les pirouettes réalisées et les déclarations de certains, je reste inquiet.
J'espère bien qu'ils vont prendre plus cher en appel, c'est juste ce qu'ils méritaient déjà
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Re: Le Pognon et le Rugby
Scalp a écrit:Switch a écrit:krahknardz a écrit:Switch a écrit:C'est à perdre espoir envers notre justice, nos institutions et plus général l'espèce humaine.
Laporte est en train d'habilement manoeuvrer pour se cacher dans un coin le temps que l'orage passe, pour mieux revenir ensuite. Et je crains qu'il n'y parvienne. Si c'est le cas, ça va saigner car il va y avoir du règlement de comptes et ce mec, comme ses sbires, n'est pas un tendre
Bordel j'espère que les choses iront dans le bon sens et surtout dans l'intérêt du rugby...
Je vous trouve bien pessimistes. Et peu respectueux envers notre justice et les personnes qui y travaillent dans des conditions très difficiles en plus vu le manque de moyens. Comme l'a dit la ministre, Laporte est dans le déni. Il croit encore à sa toute-puissance. Vu sa condamnation en première instance, il risque fort de se prendre autant voire plus en appel. Sera-t-il la connerie d'aller en cassation?
Pour moi c'est plutôt une bonne nouvelle, ça remet Simon hors-course car mis en examen. Le plus tôt on se débarrassera de l'ensemble de la clique, mieux ce sera.
Ils n'iront pas en Cassation. Cette cours ne jugeant pas les faits mais la procédure, il n'y a aucune raison. D'autant que les délais y sont encore pire qu'en appel.
Je veux croire que justice sera faite, mais quand je vois les chemins de traverse empruntés, les pirouettes réalisées et les déclarations de certains, je reste inquiet.
J'espère bien qu'ils vont prendre plus cher en appel, c'est juste ce qu'ils méritaient déjà
Je pense que tous autant qu'ils sont s' en foutent de la sanction.
Pourvu qu'ils soient en place pour la CdM.
Maintenant nous verrons bien qui s' affichera à leurs côtés en tribune. On risque bien de rigoler !
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Re: Le Pognon et le Rugby
Affaire Laporte-Altrad : la Ligue nationale de rugby fait appel à son tour
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Affaire-laporte-altrad-la-ligue-nationale-de-rugby-fait-appel-a-son-tour/1372187
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Re: Le Pognon et le Rugby
"Un tweet absolument maladroit"... Quand Volvic félicite Dupont et supprime son tweet
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2022-2023/top-14-un-tweet-absolument-maladroit.-quand-volvic-felicite-antoine-dupont-toulouse-et-supprime-son-_sto9296932/story.shtml
On se demande s'ils ne boivent que de l'eau chez Volvic
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2022-2023/top-14-un-tweet-absolument-maladroit.-quand-volvic-felicite-antoine-dupont-toulouse-et-supprime-son-_sto9296932/story.shtml
On se demande s'ils ne boivent que de l'eau chez Volvic
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Re: Le Pognon et le Rugby
https://actu.fr/sports/rugby/pro/rugby-philippe-spanghero-j-appelle-les-clubs-a-voter-non-au-referendum-de-bernard-laporte_56354597.html
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Re: Le Pognon et le Rugby
https://www.rugbyrama.fr/2023/01/04/la-tentation-simon-pour-remplacer-laporte-a-la-tete-de-la-ffr-10904261.php
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Re: Le Pognon et le Rugby
marchal a écrit: https://www.rugbyrama.fr/2023/01/04/la-tentation-simon-pour-remplacer-laporte-a-la-tete-de-la-ffr-10904261.php
Il disait quoi déjà Audiard ????
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Re: Le Pognon et le Rugby
patrick a écrit:marchal a écrit: https://www.rugbyrama.fr/2023/01/04/la-tentation-simon-pour-remplacer-laporte-a-la-tete-de-la-ffr-10904261.php
Il disait quoi déjà Audiard ????
Ah oui, "Les cons ça osent tout"
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Re: Le Pognon et le Rugby
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/federation-francaise-de-rugby-la-derniere-decision-de-laporte-designer-un-president-delegue-13570691.php
Fédération française de rugby. La dernière décision de Laporte : désigner un président délégué
Par Denys Kappès-Grangé - d.kappes-grange@sudouest.fr
Bernard Laporte doit acter sa mise en retrait ce vendredi lors d’un bureau fédéral au cours duquel il ventilera ses prérogatives et désignera un président délégué. Ce devrait être Patrick Buisson ou Serge Simon
Le rendez-vous est supposé faire date. Ce vendredi matin, Bernard Laporte doit prononcer sa dernière grande décision en tant que président de la Fédération française de rugby. Une fonction qu’il occupe depuis 2016. Un peu moins d’un mois après sa condamnation par le tribunal correctionnel de Paris (1) pour laquelle il a fait appel, quinze jours après son entrevue avec la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra, l’ancien sélectionneur va nommer lors du bureau fédéral un président-délégué et ventiler l’ensemble de ses prérogatives à ses vice-présidents.
Une manière de concrétiser sa mise en retrait, « à titre provisoire et conservatoire » dans l’attente de la décision pénale définitive, demandée par le comité d’éthique de la FFR et le ministère.
Quel nom Bernard Laporte soumettra-t-il ? Ceux de Patrick Buisson, le vice-président en charge du monde amateur, et Serge Simon, vice-président et bras droit de la première heure, sont pressentis. Celui qui sera adoubé devra ensuite se confronter à l’approbation des clubs via un vote électronique orchestré du 23 au 27 janvier. Il ne prendra ses fonctions qu’à l’issue du comité directeur programmé ce jour-là.
Le bureau en balance
Simple ? Eh bien non. Car avant même de solliciter l’avis du rugby français, la gouvernance de la FFR doit déjà s’accorder en interne. Si la candidature du consensuel Patrick Buisson semblait tenir la corde depuis le dernier bureau fédéral du 23 décembre dernier, la cote de Serge Simon est depuis remontée, portée notamment par Bernard Laporte. Le fait que son nom a d’ores et déjà été soumis au comité d’éthique pour avis consultatif par le président de la FFR en est la preuve.
Pourquoi une telle précaution ? Parce que si Serge Simon a été relaxé de toutes les charges pesant contre lui par le tribunal au terme du jugement dans l’affaire Laporte - Altrad, l’appel du parquet national financier le contraindra lui aussi à repasser devant la justice.
« On pense que les clubs ne doivent pas se laisser imposer un nouveau président »
Mais ce n’est pas le seul obstacle auquel se confronte cette candidature. Serge Simon est un dirigeant fort d’une emprise politique solide, mais clivant au sein de son propre camp et dans les clubs. Certains acteurs de la gouvernance doutent même de sa capacité à rallier une majorité de vote positif lors de la consultation à venir…
Un débat n’est donc pas à exclure si Bernard Laporte devait prononcer son nom. Un vote interne pourrait même être sollicité… « Un joyeux bordel », résume un observateur pourtant partisan du camp présidentiel. Simple cuisine interne ? Pas vraiment.
Vote ou référendum ?
Car l’opposition incarnée par Ovale Ensemble a lancé une campagne qui ne dit pas son nom dès mardi à travers la publication d’un texte intitulé « Cinq raisons de dire non au référendum de Bernard Laporte ». Une tribune réclamant notamment l’organisation d’une véritable élection et dénonçant le fait qu’un président condamné puisse désigner son successeur.
Mode d’emploi
Les prérogatives du président de la FFR seront assumées par les vice-présidents et le directeur de la FFR jusqu’au prochain comité directeur, le 27 janvier, qui marquera la prise de fonction du président délégué. En cas de réponse « non » à la consultation, c’est toutefois Bernard Laporte qui soumettra un nouveau nom jusqu’à approbation.
« Le fait que le président se soit mis en retrait, ça correspondait à la décision du tribunal. C’était aussi conforme à la volonté de la commission d’éthique et validé par le ministère des sports : elle est conforme aux statuts et aux règlements fédéraux », défend Michel Macary, président de la Ligue Nouvelle-Aquitaine et membre du comité directeur : « Le rugby français a besoin de sérénité pour préparer les échéances futures. Ce n’est pas nécessaire d’être dans l’activisme permanent. Florian Grill appelait à l’apaisement et là, subitement, il appelle à un référendum ! »
Un angle d’attaque que le président de la Ligue Île-de-France assume sans sourciller : « Oui, car on pense que les clubs ne doivent pas se laisser imposer un nouveau président. Puisque, de fait, Bernard Laporte ne le sera plus. » Et le chef de file d’Ovale Ensemble de poursuivre : « Ils disent qu’on déstabilise la Coupe du monde, mais elle l’est d’abord par la condamnation de Bernard Laporte qui n’est pas de notre fait. Il a été mis de côté par World Rugby et la Ministre. Nous ne sommes pas responsables de cela. »
Le chantier qui fait face au futur président délégué sera décidément vaste…
(1) Deux ans de prison avec sursis, deux ans d’interdiction d’exercer l’activité de président de la FFR et 75 000 euros d’amende, pour corruption, trafic d’influence et prise illégale d’intérêts.
Fédération française de rugby. La dernière décision de Laporte : désigner un président délégué
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Bernard Laporte doit acter sa mise en retrait ce vendredi lors d’un bureau fédéral au cours duquel il ventilera ses prérogatives et désignera un président délégué. Ce devrait être Patrick Buisson ou Serge Simon
Le rendez-vous est supposé faire date. Ce vendredi matin, Bernard Laporte doit prononcer sa dernière grande décision en tant que président de la Fédération française de rugby. Une fonction qu’il occupe depuis 2016. Un peu moins d’un mois après sa condamnation par le tribunal correctionnel de Paris (1) pour laquelle il a fait appel, quinze jours après son entrevue avec la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra, l’ancien sélectionneur va nommer lors du bureau fédéral un président-délégué et ventiler l’ensemble de ses prérogatives à ses vice-présidents.
Une manière de concrétiser sa mise en retrait, « à titre provisoire et conservatoire » dans l’attente de la décision pénale définitive, demandée par le comité d’éthique de la FFR et le ministère.
Quel nom Bernard Laporte soumettra-t-il ? Ceux de Patrick Buisson, le vice-président en charge du monde amateur, et Serge Simon, vice-président et bras droit de la première heure, sont pressentis. Celui qui sera adoubé devra ensuite se confronter à l’approbation des clubs via un vote électronique orchestré du 23 au 27 janvier. Il ne prendra ses fonctions qu’à l’issue du comité directeur programmé ce jour-là.
Le bureau en balance
Simple ? Eh bien non. Car avant même de solliciter l’avis du rugby français, la gouvernance de la FFR doit déjà s’accorder en interne. Si la candidature du consensuel Patrick Buisson semblait tenir la corde depuis le dernier bureau fédéral du 23 décembre dernier, la cote de Serge Simon est depuis remontée, portée notamment par Bernard Laporte. Le fait que son nom a d’ores et déjà été soumis au comité d’éthique pour avis consultatif par le président de la FFR en est la preuve.
Pourquoi une telle précaution ? Parce que si Serge Simon a été relaxé de toutes les charges pesant contre lui par le tribunal au terme du jugement dans l’affaire Laporte - Altrad, l’appel du parquet national financier le contraindra lui aussi à repasser devant la justice.
« On pense que les clubs ne doivent pas se laisser imposer un nouveau président »
Mais ce n’est pas le seul obstacle auquel se confronte cette candidature. Serge Simon est un dirigeant fort d’une emprise politique solide, mais clivant au sein de son propre camp et dans les clubs. Certains acteurs de la gouvernance doutent même de sa capacité à rallier une majorité de vote positif lors de la consultation à venir…
Un débat n’est donc pas à exclure si Bernard Laporte devait prononcer son nom. Un vote interne pourrait même être sollicité… « Un joyeux bordel », résume un observateur pourtant partisan du camp présidentiel. Simple cuisine interne ? Pas vraiment.
Vote ou référendum ?
Car l’opposition incarnée par Ovale Ensemble a lancé une campagne qui ne dit pas son nom dès mardi à travers la publication d’un texte intitulé « Cinq raisons de dire non au référendum de Bernard Laporte ». Une tribune réclamant notamment l’organisation d’une véritable élection et dénonçant le fait qu’un président condamné puisse désigner son successeur.
Mode d’emploi
Les prérogatives du président de la FFR seront assumées par les vice-présidents et le directeur de la FFR jusqu’au prochain comité directeur, le 27 janvier, qui marquera la prise de fonction du président délégué. En cas de réponse « non » à la consultation, c’est toutefois Bernard Laporte qui soumettra un nouveau nom jusqu’à approbation.
« Le fait que le président se soit mis en retrait, ça correspondait à la décision du tribunal. C’était aussi conforme à la volonté de la commission d’éthique et validé par le ministère des sports : elle est conforme aux statuts et aux règlements fédéraux », défend Michel Macary, président de la Ligue Nouvelle-Aquitaine et membre du comité directeur : « Le rugby français a besoin de sérénité pour préparer les échéances futures. Ce n’est pas nécessaire d’être dans l’activisme permanent. Florian Grill appelait à l’apaisement et là, subitement, il appelle à un référendum ! »
Un angle d’attaque que le président de la Ligue Île-de-France assume sans sourciller : « Oui, car on pense que les clubs ne doivent pas se laisser imposer un nouveau président. Puisque, de fait, Bernard Laporte ne le sera plus. » Et le chef de file d’Ovale Ensemble de poursuivre : « Ils disent qu’on déstabilise la Coupe du monde, mais elle l’est d’abord par la condamnation de Bernard Laporte qui n’est pas de notre fait. Il a été mis de côté par World Rugby et la Ministre. Nous ne sommes pas responsables de cela. »
Le chantier qui fait face au futur président délégué sera décidément vaste…
(1) Deux ans de prison avec sursis, deux ans d’interdiction d’exercer l’activité de président de la FFR et 75 000 euros d’amende, pour corruption, trafic d’influence et prise illégale d’intérêts.
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Re: Le Pognon et le Rugby
Ca me rappelle Poutine qui avait désigné Medvedev comme son successeur (et homme de paille, étant juste après nommé Premier Ministre) lorsqu'il ne pouvait faire un 3ème mandat consécutif. Finalement on peut seulement se foutre de la gueule des russes
Dernière édition par Switch le Jeu 5 Jan 2023 - 18:30, édité 1 fois
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Re: Le Pognon et le Rugby
Switch a écrit:Ca me rappelle Poutine qui avait désigner Medvedev comme son successeur lorsqu'il ne pouvait faire un 3ème mandat consécutif. Finalement on peut seulement se foutre de la gueule des russes
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Re: Le Pognon et le Rugby
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/federation-francaise-de-rugby-patrick-buisson-fait-maintenant-face-aux-clubs-13582194.php
Fédération française de rugby : Patrick Buisson fait maintenant face aux clubs
Par Denys Kappès-Grangé - d.kappes-grange@sudouest.fr
Désigné par Bernard Laporte pour le poste de président délégué, le vice-président en charge du rugby amateur va devoir obtenir l’approbation des clubs via une consultation
Après six ans de mandat, Bernard Laporte n’est plus qu’un président sans pouvoir. Lors d’un bureau fédéral organisé à la maison du rugby à Toulouse, ce vendredi matin, l’homme fort de la FFR depuis 2016 a désigné Patrick Buisson pour le poste de président délégué. Une décision entérinée après bien des tergiversations dès jeudi soir. Cela après que le comité d’éthique, sollicité par l’ancien sélectionneur cette semaine, lui a recommandé de ne pas proposer le nom de Serge Simon en dépit de sa relaxe en première instance dans l’affaire Laporte - Altrad.
Pour parfaire sa mise en retrait « à titre provisoire et conservatoire », demandée par le comité d’éthique de la FFR et le ministère des Sports suite à sa condamnation en justice (1), il a ensuite ventilé ses prérogatives à ses vice-présidents. Ils les assumeront jusqu’au 27 janvier, date à laquelle le prochain comité directeur devrait installer Patrick Buisson.
Quelles modalités
Le conditionnel s’impose encore. Car pour que celui qui était jusque-là vice-président en charge du rugby amateur prenne la succession de Bernard Laporte, il devra tout d’abord obtenir l’approbation des quelque 1 900 clubs via une consultation. Un vote, organisée du 23 au 25 janvier prochain, dont les contours restent à définir.
« Le bureau fédéral confirme sa volonté de confier l’intégralité de cette consultation au comité d’éthique du rugby français qui pourra en fixer les modalités », stipule le communiqué diffusé par la FFR. L’instance de surveillance ne les officialisera qu’au cours de la semaine prochaine.
« Nous sommes dans notre droit d’appeler à voter contre » Florian Grill
L’opposition en prendra connaissance attentivement : dès le 2 janvier dernier, Ovale Ensemble avait adressé un courrier à Christian Dullin, secrétaire générale de la FFR, pour obtenir des précisions sur l’organisation de ce scrutin. L’intervention du comité d’éthique est-elle de nature à rassurer Florian Grill ? « Ce sont des juristes, relève le président de la Ligue Île-de-France. J’attends de savoir précisément ce que seront les modalités organisationnelles de l’élection : on ne sait pas si un club pèsera une voix ou si ce sera au prorata en fonction du nombre de licenciés comme c’est le cas lors d’une élection normale. Aujourd’hui, on ne sait rien ! Je trouve très bien que le comité d’éthique soit impliqué, mais j’espère qu’il s’appuiera sur une société extérieure qui pourra organiser l’élection dans ces délais courts. »
Homme de l’ombre, Patrick Buisson est un dirigeant à la réputation non écornée qui semble jouir d’une bonne image auprès des licenciés. Un profil susceptible d’attirer l’adhésion. Mènera-t-il campagne ? En tout cas, s’il est moins clivant que celui de Serge Simon, Ovale Ensemble persiste dans son appel à voter non. Avec, pour but ultime, l’organisation de nouvelles élections.
« Patrick Buisson est quelqu’un avec qui on peut discuter », concède Florian Grill avant de se faire à nouveau incisif : « La Ministre a demandé un référendum, donc on le respecte. Mais nous sommes dans notre droit d’appeler à voter contre. Et, dans ce cas, à appeler à des élections générales ! On ne bloque pas le rugby en acceptant le référendum, il faut que l’équipe d’en face accepte de faire de même si jamais elle prend un stop. »
Un vœu pieux pour l’heure. Au cas où une majorité de non se dégagerait, Bernard Laporte a prévu de soumettre un autre nom. Et ainsi de suite. Le rugby français n’en a pas encore fini avec ce feuilleton…
(1) Deux ans de prison avec sursis, deux ans d’interdiction d’exercer l’activité de président de la FFR et 75 000 euros d’amende, pour corruption, trafic d’influence et prise illégale d’intérêts.
Un homme de l’ombre en pleine lumière
Patrick Buisson (65 ans) pourrait bien incarner la principale autorité du rugby français lors de la Coupe du monde 2023. Cette phrase, l’ancien vice-président en charge du rugby amateur et probable futur président délégué de la FFR aura peut-être besoin de se la répéter à plusieurs reprises en son for intérieur pour en accepter l’augure. Homme de l’ombre, l’ancien dirigeant du club d’Uzès, dans le Gard, et du comité de Provence, n’avait pas vocation à être illuminé d’une telle lumière
.Patrick Buisson n’a pourtant rien d’un novice. Vice-président depuis 2020, ce fidèle soutien de Bernard Laporte était déjà un acteur de la gouvernance fédérale sous la mandature de Pierre Camou. Mais cet ancien joueur à la carrière modeste, notamment dans les clubs de Vienne ou même de Capbreton, n’était pas animé par une ambition politique.
« C’est un passionné de rugby, quelqu’un qui a une empathie naturelle », témoigne le Béarnais Maurice Buzy-Pucheu, son prédécesseur au rugby amateur : « Il n’avait pas d’ambition politique particulière, il prend ce rôle de président délégué parce que ça lui a été demandé. Mais il a tout à fait les épaules pour tenir cette fonction. »
Parmi ses réalisations ? Informaticien dans le civil, il était précédemment responsable de la réforme numérique et de la simplification à la fédération lors du premier mandat de Bernard Laporte. « Lors des séminaires avec les clubs, il a respecté leurs souhaits, assure Maurice Buzy-Pucheu. Il est populaire. »
Un avis que nuance sans surprise Florian Grill, chef de file d’Ovale Ensemble : « Je n’ai pas d’animosité particulière vis-à-vis de lui. Mais sur le fond, il a porté la réforme de la Fédérale 3 qui a été un échec et il a supprimé la moitié des titres de champion de France pour le rugby territorial. » Cette campagne qui ne dit pas son nom est déjà lancée…
Fédération française de rugby : Patrick Buisson fait maintenant face aux clubs
Par Denys Kappès-Grangé - d.kappes-grange@sudouest.fr
Désigné par Bernard Laporte pour le poste de président délégué, le vice-président en charge du rugby amateur va devoir obtenir l’approbation des clubs via une consultation
Après six ans de mandat, Bernard Laporte n’est plus qu’un président sans pouvoir. Lors d’un bureau fédéral organisé à la maison du rugby à Toulouse, ce vendredi matin, l’homme fort de la FFR depuis 2016 a désigné Patrick Buisson pour le poste de président délégué. Une décision entérinée après bien des tergiversations dès jeudi soir. Cela après que le comité d’éthique, sollicité par l’ancien sélectionneur cette semaine, lui a recommandé de ne pas proposer le nom de Serge Simon en dépit de sa relaxe en première instance dans l’affaire Laporte - Altrad.
Pour parfaire sa mise en retrait « à titre provisoire et conservatoire », demandée par le comité d’éthique de la FFR et le ministère des Sports suite à sa condamnation en justice (1), il a ensuite ventilé ses prérogatives à ses vice-présidents. Ils les assumeront jusqu’au 27 janvier, date à laquelle le prochain comité directeur devrait installer Patrick Buisson.
Quelles modalités
Le conditionnel s’impose encore. Car pour que celui qui était jusque-là vice-président en charge du rugby amateur prenne la succession de Bernard Laporte, il devra tout d’abord obtenir l’approbation des quelque 1 900 clubs via une consultation. Un vote, organisée du 23 au 25 janvier prochain, dont les contours restent à définir.
« Le bureau fédéral confirme sa volonté de confier l’intégralité de cette consultation au comité d’éthique du rugby français qui pourra en fixer les modalités », stipule le communiqué diffusé par la FFR. L’instance de surveillance ne les officialisera qu’au cours de la semaine prochaine.
« Nous sommes dans notre droit d’appeler à voter contre » Florian Grill
L’opposition en prendra connaissance attentivement : dès le 2 janvier dernier, Ovale Ensemble avait adressé un courrier à Christian Dullin, secrétaire générale de la FFR, pour obtenir des précisions sur l’organisation de ce scrutin. L’intervention du comité d’éthique est-elle de nature à rassurer Florian Grill ? « Ce sont des juristes, relève le président de la Ligue Île-de-France. J’attends de savoir précisément ce que seront les modalités organisationnelles de l’élection : on ne sait pas si un club pèsera une voix ou si ce sera au prorata en fonction du nombre de licenciés comme c’est le cas lors d’une élection normale. Aujourd’hui, on ne sait rien ! Je trouve très bien que le comité d’éthique soit impliqué, mais j’espère qu’il s’appuiera sur une société extérieure qui pourra organiser l’élection dans ces délais courts. »
Homme de l’ombre, Patrick Buisson est un dirigeant à la réputation non écornée qui semble jouir d’une bonne image auprès des licenciés. Un profil susceptible d’attirer l’adhésion. Mènera-t-il campagne ? En tout cas, s’il est moins clivant que celui de Serge Simon, Ovale Ensemble persiste dans son appel à voter non. Avec, pour but ultime, l’organisation de nouvelles élections.
« Patrick Buisson est quelqu’un avec qui on peut discuter », concède Florian Grill avant de se faire à nouveau incisif : « La Ministre a demandé un référendum, donc on le respecte. Mais nous sommes dans notre droit d’appeler à voter contre. Et, dans ce cas, à appeler à des élections générales ! On ne bloque pas le rugby en acceptant le référendum, il faut que l’équipe d’en face accepte de faire de même si jamais elle prend un stop. »
Un vœu pieux pour l’heure. Au cas où une majorité de non se dégagerait, Bernard Laporte a prévu de soumettre un autre nom. Et ainsi de suite. Le rugby français n’en a pas encore fini avec ce feuilleton…
(1) Deux ans de prison avec sursis, deux ans d’interdiction d’exercer l’activité de président de la FFR et 75 000 euros d’amende, pour corruption, trafic d’influence et prise illégale d’intérêts.
Un homme de l’ombre en pleine lumière
Patrick Buisson (65 ans) pourrait bien incarner la principale autorité du rugby français lors de la Coupe du monde 2023. Cette phrase, l’ancien vice-président en charge du rugby amateur et probable futur président délégué de la FFR aura peut-être besoin de se la répéter à plusieurs reprises en son for intérieur pour en accepter l’augure. Homme de l’ombre, l’ancien dirigeant du club d’Uzès, dans le Gard, et du comité de Provence, n’avait pas vocation à être illuminé d’une telle lumière
.Patrick Buisson n’a pourtant rien d’un novice. Vice-président depuis 2020, ce fidèle soutien de Bernard Laporte était déjà un acteur de la gouvernance fédérale sous la mandature de Pierre Camou. Mais cet ancien joueur à la carrière modeste, notamment dans les clubs de Vienne ou même de Capbreton, n’était pas animé par une ambition politique.
« C’est un passionné de rugby, quelqu’un qui a une empathie naturelle », témoigne le Béarnais Maurice Buzy-Pucheu, son prédécesseur au rugby amateur : « Il n’avait pas d’ambition politique particulière, il prend ce rôle de président délégué parce que ça lui a été demandé. Mais il a tout à fait les épaules pour tenir cette fonction. »
Parmi ses réalisations ? Informaticien dans le civil, il était précédemment responsable de la réforme numérique et de la simplification à la fédération lors du premier mandat de Bernard Laporte. « Lors des séminaires avec les clubs, il a respecté leurs souhaits, assure Maurice Buzy-Pucheu. Il est populaire. »
Un avis que nuance sans surprise Florian Grill, chef de file d’Ovale Ensemble : « Je n’ai pas d’animosité particulière vis-à-vis de lui. Mais sur le fond, il a porté la réforme de la Fédérale 3 qui a été un échec et il a supprimé la moitié des titres de champion de France pour le rugby territorial. » Cette campagne qui ne dit pas son nom est déjà lancée…
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Re: Le Pognon et le Rugby
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Re: Le Pognon et le Rugby
Big'Ben a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/01/07/france-2023-sebastien-chabal-et-henri-mioch-soupconnes-de-trafic-de-billets-10910134.php
Dire que ça m'étonne serait exagéré
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Re: Le Pognon et le Rugby
patrick a écrit:Big'Ben a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/01/07/france-2023-sebastien-chabal-et-henri-mioch-soupconnes-de-trafic-de-billets-10910134.php
Dire que ça m'étonne serait exagéré
Les copains, les copines, tu veux des places, je t’en file mille…
Et nous pauvres diables on a fait la queue comme des cons sur leur site merdique pendant es heures pour au final ne pas avoir de place!!!
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Re: Le Pognon et le Rugby
Roberto Miopalmo a écrit:patrick a écrit:Big'Ben a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/01/07/france-2023-sebastien-chabal-et-henri-mioch-soupconnes-de-trafic-de-billets-10910134.php
Dire que ça m'étonne serait exagéré
Les copains, les copines, tu veux des places, je t’en file mille…
Et nous pauvres diables on a fait la queue comme des cons sur leur site merdique pendant es heures pour au final ne pas avoir de place!!!
Et c'est comme ça que des fidèles supporter se retrouvent sur le carreau et regarderont la coupe du monde à la TV !
Avec de la famille, 6h à attendre l'ouverture du site et je compte pas la queue ensuite ! Pour au final ne rien avoir. Je suis dégoûté de cette coupe du monde, je cherchais même pas à voir forcément l'EDF mais à prendre un pack pour le MATMUT.
Magouille et compagnie en plus des connards qui achètent par 100 pour revendre deux fois le prix.
On devrait obliger à faire des billets nominatifs.
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