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Préparation de la saison 2020-2021
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
Vu nos dirigeants, j'ai des doutes sur le fait qu'ils aient réfléchis à cela. Et quand bien même, que fait-on si le match reporté a déjà été joué (et gagné par l'équipe à l'origine du report) ?
Switch- Centre de presse
- Nombre de messages : 11382
Date d'inscription : 30/04/2011
Re: Préparation de la saison 2020-2021
Je pense aussi que derrière cette décision il y a une réalité économique ou tout les présidents doivent se rejoindre. Les équipes qui reçoivent ont besoin de jouer les matchs et remplir les stades.
willoush- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : Au sud
Date d'inscription : 26/08/2018
Re: Préparation de la saison 2020-2021
Oui c'est ce qui prime pour une partie des clubs et sur laquelle s'engouffrent ceux dont l'affluence est totalement facultative (cf le SF, le R92, le MHR, le LOU et aujourd'hui le RCT).
le radis- Team modo
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Localisation : talence
Date d'inscription : 12/10/2012
Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Préparation de la saison 2020-2021
Si un forfait entraine (potentiellement) un match perdu, tout le monde aura intérêt à être sérieux, soit pour pouvoir organiser les matchs, soit pour ne pas perdre de point.
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Tombé tout jaune dans le rugby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
Allez UBB
Re: Préparation de la saison 2020-2021
Désolé mais le principe même de changer une règle en cours de route, quelque soit le domaine ou le contexte, ca ne passe pas. Je n'aime pas cà.
Je m'interroge surtout sur les répercussions et les effets secondaires. Pour l'heure, un club contaminé risque donc "seulement" un report, alors que dans quelques mois, un club risquera peut-être une défaite sur tapis vert. Quel impact sur les attitudes, les mentalités, les décisions des clubs et de leurs membres (présidents, entraîneurs, joueurs, staffs médicaux...) ?
Par ailleurs, quel impacts dans la préparation des matchs, la récupération et la gestion de l'effectif entre 2 clubs dont l'un n'a aucun match reporté ou annulé et l'autre plusieurs matchs reportés (donc à venir) ou annulés ?
Et si ces matchs sont reportés sur un WE à l'origine libre qui précède ou suit un WE de match capital (type phase finale européenne) ? Ou pendant un WE de doublon ? Par exemple, affronter Toulouse en septembre (avec son plein effectif) et affronter Toulouse en novembre pendant les parenthèse internationale (donc sans ses internationaux français, sudaf...) diffère légèrement, quand même
Je m'interroge surtout sur les répercussions et les effets secondaires. Pour l'heure, un club contaminé risque donc "seulement" un report, alors que dans quelques mois, un club risquera peut-être une défaite sur tapis vert. Quel impact sur les attitudes, les mentalités, les décisions des clubs et de leurs membres (présidents, entraîneurs, joueurs, staffs médicaux...) ?
Par ailleurs, quel impacts dans la préparation des matchs, la récupération et la gestion de l'effectif entre 2 clubs dont l'un n'a aucun match reporté ou annulé et l'autre plusieurs matchs reportés (donc à venir) ou annulés ?
Et si ces matchs sont reportés sur un WE à l'origine libre qui précède ou suit un WE de match capital (type phase finale européenne) ? Ou pendant un WE de doublon ? Par exemple, affronter Toulouse en septembre (avec son plein effectif) et affronter Toulouse en novembre pendant les parenthèse internationale (donc sans ses internationaux français, sudaf...) diffère légèrement, quand même
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Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
Switch- Centre de presse
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Localisation : Savoie / Edinburgh
Date d'inscription : 30/04/2011
Humeur : Fonction de l'UBB
Age : 34
Re: Préparation de la saison 2020-2021
On pourra pas changer la règle en route, Goze le sait très bien et donne cette "possibilité" pour enfumer et justifier le choix du report...
Car ça répond ainsi à l'argument "et s'il y a tellement de report qu'on ait plus de dates pour recaser" mais ils savent très bien qu'ils pourront pas revenir sur le principe des reports.
La saison va être très longue...
Car ça répond ainsi à l'argument "et s'il y a tellement de report qu'on ait plus de dates pour recaser" mais ils savent très bien qu'ils pourront pas revenir sur le principe des reports.
La saison va être très longue...
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“Sous la mêlée, ça parle beaucoup; moi, j’étais un tribun.” Amédée DOMENECH International et orateur
kaze33- J'aime l'Union à la folie
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Localisation : bordeaux
Date d'inscription : 28/07/2012
Re: Préparation de la saison 2020-2021
https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2018-2019/top-14-canal-securise-son-match-de-top-14-le-dimanche-soir_sto7851653/story.shtml
Du coup on décale notre rencontre avec le SF au dimanche 06 septembre afin que cette équipe puisse optimiser leur préparation.
Du coup on décale notre rencontre avec le SF au dimanche 06 septembre afin que cette équipe puisse optimiser leur préparation.
le radis- Team modo
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Localisation : talence
Date d'inscription : 12/10/2012
Humeur : le radis noir ou blanc est d'or
Re: Préparation de la saison 2020-2021
https://www.midi-olympique.fr/2020/08/26/match-perdu-match-reporte-et-groupes-fermes-ce-que-dit-le-nouveau-protocole-medical-de-la-lnr-9035291.php
Match perdu, match reporté et groupes fermés : ce que dit le nouveau protocole médical de la LNR
Alors que certains managers avaient poussé en faveur de matchs forfaits (0 point au classement) pour les équipes présentant des cas positifs, la Ligue a choisi d'opter pour des reports de match.
D'emblée, la LNR prévient : « les dispositions de ce protocole sont établies en considération de la situation sanitaire en date du 25 août 2020 ; elles sont susceptibles de révision à tout moment de la saison en fonction de l’évolution de la situation. » Le document « protocole médical Covid-19 », voté à la LNR mardi soir et applicable pour la reprise des championnats professionnels, n'a donc de valeur qu'à instant T et s'adaptera aux évolutions de l'épidémie. Que recèle ce document, que nous avons pu nous procurer ? Tout d'abord, ce point central : « Dans l'hypothèse où 3 cas ou plus sont identifiés à la suite d’un test virologique RT-PCR » réalisé à trois jours du match, la LNR préconise un isolement de 14 jours des cas positifs, des entraînements en petits groupes pour les cas négatifs et, surtout, le report du match prévu le week-end. Pas d'annulation du match et défaite par forfait (0 point au classement) comme le préconisent certains managers. Le choix de l'équité, donc, en théorie. En pratique, et si l'on en juge par l'hécatombe observée lors de ces matchs de préparation, il pourrait rapidement y avoir un embouteillage de matchs en retard, alors que le calendrier communiqué en juillet par la LNR ne laisse que trois week-ends de disponibles au cours de la saison. Et, donc, une multiplication de matchs en retard disputés en semaine ? C'est à prévoir.
Pour le reste, ce document a posé le cadre médicale pour les joueurs et leur encadrement, en semaine de match. Un cadre qui sera supervisé et arbitré par deux commissions, créées pour l'occasion : une cellule d'urgence « compétente pour prendre les décisions en urgence le jour du match sur la tenue de celui-ci » où siégeront Paul Goze (président de la LNR), Emmanuel Eschalier (directeur général de la LNR) et Richard Cacioppo (directeur des Compétitions et Stades) ; une commission d’expertise Covid-19 « chargée d’examiner toute situation en lien avec la COVID19 » où siégeront quatre personnalités médicales de la LNR : Bernard Dusfour (Président de la Commission médicale de la LNR), Yves Welker (expert infectiologue LNR), Isabelle Pellegrin (expert immunologue LNR), Francis Merle (membre indépendant de la Commission médicale LNR).
Une intégration contrôlée des joueurs espoirs
Si les va et vient entre les groupes espoirs et professionnels étaient jusqu'ici aisé, à la discrétion des entraîneurs de club, ils seront désormais encadrés. Pour « les joueurs du centre de formation n’ayant pas suivi le Protocole Médical de Reprise depuis le début de la reprise d’activité des clubs post-confinement », intégrer le groupe professionnel en cours de saison (et espérer du temps de jeu) se fera après une période tampon de huit jours durant laquelle ils seront soumis à un entraînement individuel « avec travail sous-maximal contrôlé et surveillé », trois tests virologiques à J0, J+5 et J+8, un examen biologique, une sérologie et un examen cardiaque. Un parcours du combattant, en somme, pour des jeunes joueurs qui seront donc souvent bloqués dans la catégorie espoir, sauf cas de force majeure.
Le maintien des tests réguliers
Instaurés depuis la reprise des entraînements, les tests hebdomadaires vont se poursuivre dans les clubs. « Le Groupe Professionnel ainsi que les personnes du club susceptibles de l’accompagner lors d’une rencontre à venir et devant accéder à la « zone sportive sanctuarisée » telle que définie par le Protocole de Gestion des Manifestations doivent faire l’objet d’un test virologique RT-PCR à Match-3 jours (M-3). »
« Match perdu » en cas de non respect du protocole
La menace est claire : « tout club de TOP 14 et de PRO D2 faisant participer à une rencontre un joueur ne respectant pas cette disposition aura match perdu et encourt une sanction financière. » Et pour s'en assurer, la LNR impose aux clubs de transmettre le résultat des tests virologiques pour 17h, la veille de chaque match. Une « attestation match » sera également demandée au plus tard 3 heures avant le match, à chaque médecin de club, qui engage sa responsabilité sur le bon respect du protocole par l'ensemble de son groupe.
Par Léo Faure avec Arnaud Beurdeley
Match perdu, match reporté et groupes fermés : ce que dit le nouveau protocole médical de la LNR
Alors que certains managers avaient poussé en faveur de matchs forfaits (0 point au classement) pour les équipes présentant des cas positifs, la Ligue a choisi d'opter pour des reports de match.
D'emblée, la LNR prévient : « les dispositions de ce protocole sont établies en considération de la situation sanitaire en date du 25 août 2020 ; elles sont susceptibles de révision à tout moment de la saison en fonction de l’évolution de la situation. » Le document « protocole médical Covid-19 », voté à la LNR mardi soir et applicable pour la reprise des championnats professionnels, n'a donc de valeur qu'à instant T et s'adaptera aux évolutions de l'épidémie. Que recèle ce document, que nous avons pu nous procurer ? Tout d'abord, ce point central : « Dans l'hypothèse où 3 cas ou plus sont identifiés à la suite d’un test virologique RT-PCR » réalisé à trois jours du match, la LNR préconise un isolement de 14 jours des cas positifs, des entraînements en petits groupes pour les cas négatifs et, surtout, le report du match prévu le week-end. Pas d'annulation du match et défaite par forfait (0 point au classement) comme le préconisent certains managers. Le choix de l'équité, donc, en théorie. En pratique, et si l'on en juge par l'hécatombe observée lors de ces matchs de préparation, il pourrait rapidement y avoir un embouteillage de matchs en retard, alors que le calendrier communiqué en juillet par la LNR ne laisse que trois week-ends de disponibles au cours de la saison. Et, donc, une multiplication de matchs en retard disputés en semaine ? C'est à prévoir.
Pour le reste, ce document a posé le cadre médicale pour les joueurs et leur encadrement, en semaine de match. Un cadre qui sera supervisé et arbitré par deux commissions, créées pour l'occasion : une cellule d'urgence « compétente pour prendre les décisions en urgence le jour du match sur la tenue de celui-ci » où siégeront Paul Goze (président de la LNR), Emmanuel Eschalier (directeur général de la LNR) et Richard Cacioppo (directeur des Compétitions et Stades) ; une commission d’expertise Covid-19 « chargée d’examiner toute situation en lien avec la COVID19 » où siégeront quatre personnalités médicales de la LNR : Bernard Dusfour (Président de la Commission médicale de la LNR), Yves Welker (expert infectiologue LNR), Isabelle Pellegrin (expert immunologue LNR), Francis Merle (membre indépendant de la Commission médicale LNR).
Une intégration contrôlée des joueurs espoirs
Si les va et vient entre les groupes espoirs et professionnels étaient jusqu'ici aisé, à la discrétion des entraîneurs de club, ils seront désormais encadrés. Pour « les joueurs du centre de formation n’ayant pas suivi le Protocole Médical de Reprise depuis le début de la reprise d’activité des clubs post-confinement », intégrer le groupe professionnel en cours de saison (et espérer du temps de jeu) se fera après une période tampon de huit jours durant laquelle ils seront soumis à un entraînement individuel « avec travail sous-maximal contrôlé et surveillé », trois tests virologiques à J0, J+5 et J+8, un examen biologique, une sérologie et un examen cardiaque. Un parcours du combattant, en somme, pour des jeunes joueurs qui seront donc souvent bloqués dans la catégorie espoir, sauf cas de force majeure.
Le maintien des tests réguliers
Instaurés depuis la reprise des entraînements, les tests hebdomadaires vont se poursuivre dans les clubs. « Le Groupe Professionnel ainsi que les personnes du club susceptibles de l’accompagner lors d’une rencontre à venir et devant accéder à la « zone sportive sanctuarisée » telle que définie par le Protocole de Gestion des Manifestations doivent faire l’objet d’un test virologique RT-PCR à Match-3 jours (M-3). »
« Match perdu » en cas de non respect du protocole
La menace est claire : « tout club de TOP 14 et de PRO D2 faisant participer à une rencontre un joueur ne respectant pas cette disposition aura match perdu et encourt une sanction financière. » Et pour s'en assurer, la LNR impose aux clubs de transmettre le résultat des tests virologiques pour 17h, la veille de chaque match. Une « attestation match » sera également demandée au plus tard 3 heures avant le match, à chaque médecin de club, qui engage sa responsabilité sur le bon respect du protocole par l'ensemble de son groupe.
Par Léo Faure avec Arnaud Beurdeley
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
Il y a encore pas mal d'eau à couler sous les ponts du Rugby d'ici le début du championnat et chaque jour apporte un nouvel éclairage, Perpignan à la peine alors que le préfet voyait avec bienveillance l'augmentation de la fréquentation au delà de 5000.
J'ai du mal à comprendre ce grand rassemblement à Sabre, autant de jeune, d'horizons aussi variés, tout ça pour que le staff et notamment le grand maitre puisse se roder.Il semble être égal à lui même, expert en relations humaines.RI lui qui se prépare un grand avenir à la Jo Maso l'inamovible couteau Suisse de la sélection, nous passionne avec sa nouvelle vie, pour le surf il a un maitre avec Blair.
Il y a du monde, beaucoup de monde, je comprend mieux l'inflation des dépenses de fonctionnement, espérons que le 3ième rang mondial ne soit pas une vue de l'Esprit.La propriété d'un grand stade est d'actualité, un truc vital.
J'ai du mal à comprendre ce grand rassemblement à Sabre, autant de jeune, d'horizons aussi variés, tout ça pour que le staff et notamment le grand maitre puisse se roder.Il semble être égal à lui même, expert en relations humaines.RI lui qui se prépare un grand avenir à la Jo Maso l'inamovible couteau Suisse de la sélection, nous passionne avec sa nouvelle vie, pour le surf il a un maitre avec Blair.
Il y a du monde, beaucoup de monde, je comprend mieux l'inflation des dépenses de fonctionnement, espérons que le 3ième rang mondial ne soit pas une vue de l'Esprit.La propriété d'un grand stade est d'actualité, un truc vital.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
Coronavirus : de nouveaux cas à Lyon, le match à Clermont annulé
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Coronavirus-de-nouveaux-cas-a-lyon-le-match-a-clermont-annule/1165002#xtor=RSS-1
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Coronavirus-de-nouveaux-cas-a-lyon-le-match-a-clermont-annule/1165002#xtor=RSS-1
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
https://www.lexvdedepart.com/2020/08/26/lombard-le-rugby-professionnel-est-extremement-menace/
Lombard : « Le rugby professionnel est extrêmement menacé »
Le Directeur Général du Stade Français Paris, Thomas Lombard, était l’invité du Super Moscato Show ce mercredi. Il s’est exprimé sur la situation du rugby français en cas de nouvel arrêt du Top 14.
La recrudescence des cas de covid-19 en France est très inquiétante pour un rugby professionnel vivant principalement de la billetterie, de la restauration et des partenaires. La capitale étant en zone rouge, le Stade Français ne pourra pas obtenir de dérogation pour dépasser la fameuse jauge maximale de 5000 personnes lors d’évènements sportifs ou culturels. Interrogé à ce sujet, Thomas Lombard a déclaré que le rugby français est menacé par cette jauge qui limite les revenus des clubs :
« Le rugby professionnel est extrêmement menacé aujourd’hui. 65% de l’économie des clubs, c’est la billetterie, c’est les espaces VIP, les loges, les buvettes… Si vous avez une jauge qui est limitée, vous avez des clubs, et à fortiori ceux qui ont une économie réelle, en grand danger. On a traversé quatre mois et demi sans entrée (d’argent) depuis le 1er mars jusqu’à maintenant. Les clubs ont fait le dos rond, ont négocié la baisse des salaires avec les joueurs, on a coupé dans tous les budgets mais au bout d’un moment il faut que ça reprenne. La jauge à 5000 personnes nous met dans une posture extrêmement inconfortable. »
Lombard : « Le rugby professionnel est extrêmement menacé »
Le Directeur Général du Stade Français Paris, Thomas Lombard, était l’invité du Super Moscato Show ce mercredi. Il s’est exprimé sur la situation du rugby français en cas de nouvel arrêt du Top 14.
La recrudescence des cas de covid-19 en France est très inquiétante pour un rugby professionnel vivant principalement de la billetterie, de la restauration et des partenaires. La capitale étant en zone rouge, le Stade Français ne pourra pas obtenir de dérogation pour dépasser la fameuse jauge maximale de 5000 personnes lors d’évènements sportifs ou culturels. Interrogé à ce sujet, Thomas Lombard a déclaré que le rugby français est menacé par cette jauge qui limite les revenus des clubs :
« Le rugby professionnel est extrêmement menacé aujourd’hui. 65% de l’économie des clubs, c’est la billetterie, c’est les espaces VIP, les loges, les buvettes… Si vous avez une jauge qui est limitée, vous avez des clubs, et à fortiori ceux qui ont une économie réelle, en grand danger. On a traversé quatre mois et demi sans entrée (d’argent) depuis le 1er mars jusqu’à maintenant. Les clubs ont fait le dos rond, ont négocié la baisse des salaires avec les joueurs, on a coupé dans tous les budgets mais au bout d’un moment il faut que ça reprenne. La jauge à 5000 personnes nous met dans une posture extrêmement inconfortable. »
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
Scalp- Team modo
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Humeur : Positif avant tout
Age : 57
Re: Préparation de la saison 2020-2021
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Coronavirus-l-annonce-du-premier-ministre-plonge-les-clubs-dans-le-rouge/1165032#xtor=RSS-1
Coronavirus : l'annonce du Premier ministre plonge les clubs dans le rouge
Les clubs des départements en zone rouge ne pourront pas demander de dérogation pour accueillir plus de 5000 spectateurs. C'est un coup dur pour l'UBB, le LOU, Montpellier, le Stade Français et le Racing.
L'annonce, ce mercredi, du Premier Ministre Jean Castex plonge évidemment certains clubs dans l'embarras. En effet, ceux dont les départements sont classés en zone rouge - forte circulation virale _ ne pourront pas demander de dérogation pour augmenter la jauge de 5000 spectateurs. Le Premier ministre a même laissé entendre que ce seuil pourrait être abaissé en fonction de la situation sanitaire.
Un business-model en grande difficulté
Si Lyon avait été débouté de sa demande peu auparavant son intervention, si Toulouse avait également été averti par le Préfet d'Occitanie « qu'aucune dérogation ne serait accordée tant que le contexte épidémiologique suivra sa tendance défavorable » les autres clubs tombent de haut après cette déclaration. C'est le cas de Montpellier, qui espérait bien attirer un peu plus de monde au GGL Stadium pour la venue de Pau, le 5 septembre. « Nous sommes dans l'adaptabilité permanente, soupire Philippe Saint-André, le directeur du rugby du MHR. Nous sommes contraints de nous organiser différemment, alors que tout était déjà en place. Et je ne parle même pas des programmations qui peuvent encore évoluer. Nous privilégierons nos partenaires et les abonnés, point final. Il n'y aura aucune invitation, et sans doute très peu de places à la vente, peut-être 200 ou 300. On va essayer d'optimiser tout ça, parce que notre business-model va se retrouver en grande difficulté. »
À Paris, déjà très durement touché par l'épidémie, le coup est également rude. À l'antenne de RMC Sports, Thomas Lombard, le directeur général du Stade Français, a d'ailleurs rappelé ce mercredi après-midi que « ceux qui vivent d'une économie réelle sont en grand danger ».
Les clubs en zone rouge
Bordeaux-Bègles (Gironde) ; Stade Français (Paris) ; Racing 92 (Hauts-de-Seine) ; Lyon (Rhône) ; Montpellier (Hérault).
Mais c'est évidemment à Bordeaux que l'information a été le plus mal vécue. Avec ses 24 518 spectateurs de moyenne la saison passée (dans un stade de 32 000), la plus forte fréquentation en Europe, l'UBB est très sévèrement touchée, au point que son président, Laurent Marti, évoque dans les colonnes de Sud-Ouest « une catastrophe ». « 5000 personnes, dit celui qui espérait pouvoir en héberger 15 000, cela ne nous permet même pas d'accueillir nos abonnés et nos partenaires (entre 8000 et 10000 personnes). Mais même à cette hauteur (15 000), le manque gagner se situerait au-delà des 200 000 euros par match à domicile. »
Coronavirus : l'annonce du Premier ministre plonge les clubs dans le rouge
Les clubs des départements en zone rouge ne pourront pas demander de dérogation pour accueillir plus de 5000 spectateurs. C'est un coup dur pour l'UBB, le LOU, Montpellier, le Stade Français et le Racing.
L'annonce, ce mercredi, du Premier Ministre Jean Castex plonge évidemment certains clubs dans l'embarras. En effet, ceux dont les départements sont classés en zone rouge - forte circulation virale _ ne pourront pas demander de dérogation pour augmenter la jauge de 5000 spectateurs. Le Premier ministre a même laissé entendre que ce seuil pourrait être abaissé en fonction de la situation sanitaire.
Un business-model en grande difficulté
Si Lyon avait été débouté de sa demande peu auparavant son intervention, si Toulouse avait également été averti par le Préfet d'Occitanie « qu'aucune dérogation ne serait accordée tant que le contexte épidémiologique suivra sa tendance défavorable » les autres clubs tombent de haut après cette déclaration. C'est le cas de Montpellier, qui espérait bien attirer un peu plus de monde au GGL Stadium pour la venue de Pau, le 5 septembre. « Nous sommes dans l'adaptabilité permanente, soupire Philippe Saint-André, le directeur du rugby du MHR. Nous sommes contraints de nous organiser différemment, alors que tout était déjà en place. Et je ne parle même pas des programmations qui peuvent encore évoluer. Nous privilégierons nos partenaires et les abonnés, point final. Il n'y aura aucune invitation, et sans doute très peu de places à la vente, peut-être 200 ou 300. On va essayer d'optimiser tout ça, parce que notre business-model va se retrouver en grande difficulté. »
À Paris, déjà très durement touché par l'épidémie, le coup est également rude. À l'antenne de RMC Sports, Thomas Lombard, le directeur général du Stade Français, a d'ailleurs rappelé ce mercredi après-midi que « ceux qui vivent d'une économie réelle sont en grand danger ».
Les clubs en zone rouge
Bordeaux-Bègles (Gironde) ; Stade Français (Paris) ; Racing 92 (Hauts-de-Seine) ; Lyon (Rhône) ; Montpellier (Hérault).
Mais c'est évidemment à Bordeaux que l'information a été le plus mal vécue. Avec ses 24 518 spectateurs de moyenne la saison passée (dans un stade de 32 000), la plus forte fréquentation en Europe, l'UBB est très sévèrement touchée, au point que son président, Laurent Marti, évoque dans les colonnes de Sud-Ouest « une catastrophe ». « 5000 personnes, dit celui qui espérait pouvoir en héberger 15 000, cela ne nous permet même pas d'accueillir nos abonnés et nos partenaires (entre 8000 et 10000 personnes). Mais même à cette hauteur (15 000), le manque gagner se situerait au-delà des 200 000 euros par match à domicile. »
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
https://www.sudouest.fr/2020/08/26/top-14-sans-derogation-au-dessus-de-5-000-personnes-dans-les-stades-c-est-la-catastrophe-dit-laurent-marti-7778010-773.php
Top 14 : "Sans dérogation au dessus de 5 000 personnes dans les stades, c’est la catastrophe", dit Laurent Marti
Par D.K.G et Y. L.
Les clubs des départements en zone rouge ne pourront pas demander de dérogation pour accueillir plus de 5 000 spectateurs. Coup dur pour Lyon, Montpellier, le Stade Français, le Racing et l’Union Bordeaux-Bègles dont le président est inquiet.
Une nouvelle douche froide a gelé les espoirs de certains présidents de club ce mercredi. Dans la matinée, au cours de son allocution, le Premier Ministre Jean Castex a annoncé qu’il « ne sera plus possible à l’autorité préfectorale de déroger » à la jauge maximale de 5 000 personnes « dans les départements rouges, c’est-à-dire où il y a une forte circulation virale ». Des restrictions qui pourraient aller jusqu’au huis clos.
À ce jour, une telle menace pourrait concerner un club de football tel que les Girondins de Bordeaux, qui doivent recevoir Lyon le 11 septembre prochain. Mais aussi des clubs de Top 14, pour qui les revenus générés par les entrées sont beaucoup plus vitaux, comme l’Union Bordeaux-Bègles, évidemment, le Racing 92, le Stade Français, Montpellier et Lyon.
"La situation devient ingérable"
Du côté de la LNR, le pessimisme prévaut : même si des demandes étayées ont été déposées en préfecture, on doute que des clubs obtiennent des dérogations pour la première journée. Mais ça n’en est pas moins un coup dur.
“Sans dérogation au-dessus de 5 000 personnes, c’est la catastrophe, lance Laurent Marti, le président de l’Union Bordeaux-Bègles. Au-delà du Top 14, l’UBB joue un quart de finale de Challenge Cup contre Édimbourg pour lequel on a déjà vendu près de 11 000 billets… La situation devient ingérable, insoutenable. On peut demander le risque zéro à la population, ouvrir tous les parapluies du monde, sauf qu’à un moment donné il va falloir se demander ce qu’on veut faire du sport professionnel. Si on considère que ce n’est pas grave, il faudra des aides très fortes de l’État ou alors, les clubs déposeront le bilan. On sait tous que les revenus du rugby sont en moyenne issus à 65 % des partenaires et du public. Si on est à huis clos, les recettes plongent immédiatement de 65 %. Aucune entreprise ne peut résister à cela.”
Top 14 : "Sans dérogation au dessus de 5 000 personnes dans les stades, c’est la catastrophe", dit Laurent Marti
Par D.K.G et Y. L.
Les clubs des départements en zone rouge ne pourront pas demander de dérogation pour accueillir plus de 5 000 spectateurs. Coup dur pour Lyon, Montpellier, le Stade Français, le Racing et l’Union Bordeaux-Bègles dont le président est inquiet.
Une nouvelle douche froide a gelé les espoirs de certains présidents de club ce mercredi. Dans la matinée, au cours de son allocution, le Premier Ministre Jean Castex a annoncé qu’il « ne sera plus possible à l’autorité préfectorale de déroger » à la jauge maximale de 5 000 personnes « dans les départements rouges, c’est-à-dire où il y a une forte circulation virale ». Des restrictions qui pourraient aller jusqu’au huis clos.
À ce jour, une telle menace pourrait concerner un club de football tel que les Girondins de Bordeaux, qui doivent recevoir Lyon le 11 septembre prochain. Mais aussi des clubs de Top 14, pour qui les revenus générés par les entrées sont beaucoup plus vitaux, comme l’Union Bordeaux-Bègles, évidemment, le Racing 92, le Stade Français, Montpellier et Lyon.
"La situation devient ingérable"
Du côté de la LNR, le pessimisme prévaut : même si des demandes étayées ont été déposées en préfecture, on doute que des clubs obtiennent des dérogations pour la première journée. Mais ça n’en est pas moins un coup dur.
“Sans dérogation au-dessus de 5 000 personnes, c’est la catastrophe, lance Laurent Marti, le président de l’Union Bordeaux-Bègles. Au-delà du Top 14, l’UBB joue un quart de finale de Challenge Cup contre Édimbourg pour lequel on a déjà vendu près de 11 000 billets… La situation devient ingérable, insoutenable. On peut demander le risque zéro à la population, ouvrir tous les parapluies du monde, sauf qu’à un moment donné il va falloir se demander ce qu’on veut faire du sport professionnel. Si on considère que ce n’est pas grave, il faudra des aides très fortes de l’État ou alors, les clubs déposeront le bilan. On sait tous que les revenus du rugby sont en moyenne issus à 65 % des partenaires et du public. Si on est à huis clos, les recettes plongent immédiatement de 65 %. Aucune entreprise ne peut résister à cela.”
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Scalp- Team modo
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
C’est dingue un stade de 34000 places et on peut pas dépasser 5000... à un moment il va falloir être un peu rationnel. Avec le masque, la distance entre les groupes et le fait que les places sont nominatives, c’est moins dangereux d’aller au stade (a pied ou en voiture) que de prendre le tram ou tu ne peux pas tracer ton voisin et ou certains s’abstiennent du masque (8/10 sans masques samedi soir à 23h à Merignac...)...
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
https://sport24.lefigaro.fr/rugby/top-14/actualites/avec-la-jauge-a-5.000-spectateurs-nos-clubs-sont-en-peril-previent-paul-goze-1011882
Avec la jauge à 5.000 spectateurs, «nos clubs sont en péril» prévient Paul Goze
Avec le maintien de la jauge à 5.000 personnes dans les stades, la santé financière des clubs est en danger, déplore le président de la Ligue nationale de rugby Paul Goze dans un entretien à l'AFP.
Selon les calculs de la LNR, les trente clubs professionnels français pourraient perdre entre 30 et 35 millions d'euros pendant les deux premiers mois du championnat, si la jauge à 5.000 spectateurs était maintenue.
Dans quel état d'esprit êtes-vous à une dizaine de jours du retour du rugby ?
Paul Goze : On est extrêmement mobilisés et déterminés à tout faire pour que les matches puissent recommencer mais aussi inquiets devant la crise sanitaire. On sait que cette saison ne sera pas tout à fait comme les précédentes. Il y a un fort désir de reprendre après six mois sans rugby. On est très concentrés sur l'ensemble des mesures à prendre pour que les matches puissent se dérouler dans les meilleures conditions possibles, dans la sécurité des joueurs et du public.
Le protocole, validé mardi, privilégie le report plutôt qu'un forfait...
Notre idée principale, c'est que les matches se jouent. A ce stade, il n'y a pas lieu d'annuler des matches, de prendre des décisions irréversibles. On part du principe que les matches vont pouvoir se jouer. Il n'y a pas lieu de sanctionner une équipe qui ne pourrait pas jouer à cause de joueurs contaminés. Faire perdre le match à une équipe dans ce cas, ce serait admettre qu'elle est fautive. Si au bout d'un mois, on devait s'apercevoir que les reports s'accumulent et qu'il y a un embouteillage dans le championnat, à ce moment-là, on prendra une décision peut-être plus contraignante. Mais ce n'est pas d'actualité.
Ça peut aller jusqu'à un forfait ?
Lorsque les matches ne peuvent pas se jouer, il faut trouver des solutions. Si on n'est plus dans le report, il faudra regarder du côté du règlement : ça va du match nul, comme au Mondial au Japon (en raison d'un typhon, NDLR), à un match perdu... C'est un dispositif que nous devons étudier mais qui est prématuré aujourd'hui. Il faudrait qu'une succession de reports «embolise» notre championnat.
«On espère pouvoir obtenir, dans des zones un peu moins touchées, des dérogations qui nous permettent d'avoir une jauge plus importante»
Comment réagissez-vous aux annonces gouvernementales de ce matin ?
Jusqu'au 30 octobre, les stades seront limités à 5.000 spectateurs, sauf dérogation des préfets. On espère pouvoir obtenir, dans des zones un peu moins touchées, des dérogations qui nous permettent d'avoir une jauge plus importante. Nous nous adapterons mais nous travaillons avec les pouvoirs publics pour obtenir un soutien massif car la jauge amène des difficultés financières. Si nous ne voulons pas avoir des clubs qui doivent arrêter pour des problèmes financiers, il faut que le gouvernement prenne des mesures.
Quel est l'impact d'une jauge à 5.000 personnes ?
Sur les deux premiers mois, soit les six premiers matches, on a chiffré cette perte financière pour l'ensemble des clubs de Top 14 et Pro D2 entre 30 et 35 millions d'euros. C'est une somme importante. Nos clubs sont en péril, il faut éviter qu'ils ne puissent pas continuer, au bout de quelques mois, si la jauge était maintenue.
«La jauge est un handicap financier pour les clubs. Aucun ne pourra y résister pendant plusieurs mois»
Qu'avez-vous demandé à l'Etat ?
Une exonération de charges entre juin et novembre, qui correspondrait aux 30 à 35 millions évoqués. Le dossier avance petit à petit. On espère qu'il arrivera rapidement à terme pour rassurer les clubs et faire que le championnat se déroule dans une certaine sérénité. Imaginons que le 1er novembre, la situation aille mieux, on aura alors une autre discussion. Si c'est pire, on demandera aux pouvoirs publics un soutien pour la période d'après.
Vous êtes confiant ?
La jauge est un handicap financier pour les clubs. Aucun ne pourra y résister pendant plusieurs mois. Sans aides, il pourra y avoir la disparition de clubs et du championnat professionnel. Je ne pense pas que le gouvernement soit dans cet état d'esprit à trois ans de la Coupe du monde en France. On ne peut pas imaginer qu'elle se déroule dans un pays où la moitié des clubs professionnels ont disparu après la pandémie.
Tournée de novembre : les clubs ont fait «un effort suffisamment conséquent», selon Goze
Cinq ou six matches internationaux à l'automne ? Un groupe de 42 joueurs pour le XV de France ? La proposition des clubs pros de passer de trois à cinq matches «est un effort suffisamment conséquent», a estimé mercredi le président de la LNR Paul Goze auprès de l'AFP. Les clubs français se sont en effet déclarés disposés à étendre la fenêtre internationale, perturbée par la pandémie, pour la porter à cinq dates sur cinq semaines, soit une de moins que ne le souhaite la Fédération française de rugby (FFR). «Nous sommes sur nos positions et nous attendons que la Fédération fasse éventuellement des propositions à la manière dont elle voit le problème. Nous sommes extrêmement fermes sur cette proposition : on estime que de trois à cinq matches, c'est un effort suffisamment conséquent. Surtout dans le contexte actuel, il n'est pas possible que les clubs fassent plus d'effort», a expliqué Goze à l'AFP. «On est solidaires du rugby international, mais on ne peut pas être solidaires en nous sabordant nous-mêmes. On a fait un effort très important à un moment très difficile, je pense que c'est le maximum. On attend d'entamer une discussion avec la Fédération», a-t-il également confié.
Initialement, le XV de France devait disputer trois matches en novembre mais World Rugby a doublé fin juillet la fenêtre des tests d'automne : résultat, les Bleus pourraient disputer six matches entre le 24 octobre et le 6 décembre, ce qui permettrait de renflouer en partie une trésorerie mise à mal par la crise sanitaire, mais priverait d'autant les clubs de leurs internationaux. «On attend que la Fédération revienne vers nous avec une proposition. Nous, on a fait la nôtre. Cinq semaines, cinq matches. Je pense que la Fédération va revenir vers nous, car il y a deux choses à régler : le nombre de matches mais aussi la mise à disposition. Le nombre de matches ne règle pas le nombre de joueurs qui sont mis à disposition pendant les périodes internationales», a poursuivi le président de la LNR. «Tout ça doit être négocié en fonction de la convention entre la FFR et la LNR. On attend donc que la Fédération revienne vers nous avec sa proposition et, à partir de là, nous négocierons, s'il y a lieu», a-t-il assuré.
Avec la jauge à 5.000 spectateurs, «nos clubs sont en péril» prévient Paul Goze
Avec le maintien de la jauge à 5.000 personnes dans les stades, la santé financière des clubs est en danger, déplore le président de la Ligue nationale de rugby Paul Goze dans un entretien à l'AFP.
Selon les calculs de la LNR, les trente clubs professionnels français pourraient perdre entre 30 et 35 millions d'euros pendant les deux premiers mois du championnat, si la jauge à 5.000 spectateurs était maintenue.
Dans quel état d'esprit êtes-vous à une dizaine de jours du retour du rugby ?
Paul Goze : On est extrêmement mobilisés et déterminés à tout faire pour que les matches puissent recommencer mais aussi inquiets devant la crise sanitaire. On sait que cette saison ne sera pas tout à fait comme les précédentes. Il y a un fort désir de reprendre après six mois sans rugby. On est très concentrés sur l'ensemble des mesures à prendre pour que les matches puissent se dérouler dans les meilleures conditions possibles, dans la sécurité des joueurs et du public.
Le protocole, validé mardi, privilégie le report plutôt qu'un forfait...
Notre idée principale, c'est que les matches se jouent. A ce stade, il n'y a pas lieu d'annuler des matches, de prendre des décisions irréversibles. On part du principe que les matches vont pouvoir se jouer. Il n'y a pas lieu de sanctionner une équipe qui ne pourrait pas jouer à cause de joueurs contaminés. Faire perdre le match à une équipe dans ce cas, ce serait admettre qu'elle est fautive. Si au bout d'un mois, on devait s'apercevoir que les reports s'accumulent et qu'il y a un embouteillage dans le championnat, à ce moment-là, on prendra une décision peut-être plus contraignante. Mais ce n'est pas d'actualité.
Ça peut aller jusqu'à un forfait ?
Lorsque les matches ne peuvent pas se jouer, il faut trouver des solutions. Si on n'est plus dans le report, il faudra regarder du côté du règlement : ça va du match nul, comme au Mondial au Japon (en raison d'un typhon, NDLR), à un match perdu... C'est un dispositif que nous devons étudier mais qui est prématuré aujourd'hui. Il faudrait qu'une succession de reports «embolise» notre championnat.
«On espère pouvoir obtenir, dans des zones un peu moins touchées, des dérogations qui nous permettent d'avoir une jauge plus importante»
Comment réagissez-vous aux annonces gouvernementales de ce matin ?
Jusqu'au 30 octobre, les stades seront limités à 5.000 spectateurs, sauf dérogation des préfets. On espère pouvoir obtenir, dans des zones un peu moins touchées, des dérogations qui nous permettent d'avoir une jauge plus importante. Nous nous adapterons mais nous travaillons avec les pouvoirs publics pour obtenir un soutien massif car la jauge amène des difficultés financières. Si nous ne voulons pas avoir des clubs qui doivent arrêter pour des problèmes financiers, il faut que le gouvernement prenne des mesures.
Quel est l'impact d'une jauge à 5.000 personnes ?
Sur les deux premiers mois, soit les six premiers matches, on a chiffré cette perte financière pour l'ensemble des clubs de Top 14 et Pro D2 entre 30 et 35 millions d'euros. C'est une somme importante. Nos clubs sont en péril, il faut éviter qu'ils ne puissent pas continuer, au bout de quelques mois, si la jauge était maintenue.
«La jauge est un handicap financier pour les clubs. Aucun ne pourra y résister pendant plusieurs mois»
Qu'avez-vous demandé à l'Etat ?
Une exonération de charges entre juin et novembre, qui correspondrait aux 30 à 35 millions évoqués. Le dossier avance petit à petit. On espère qu'il arrivera rapidement à terme pour rassurer les clubs et faire que le championnat se déroule dans une certaine sérénité. Imaginons que le 1er novembre, la situation aille mieux, on aura alors une autre discussion. Si c'est pire, on demandera aux pouvoirs publics un soutien pour la période d'après.
Vous êtes confiant ?
La jauge est un handicap financier pour les clubs. Aucun ne pourra y résister pendant plusieurs mois. Sans aides, il pourra y avoir la disparition de clubs et du championnat professionnel. Je ne pense pas que le gouvernement soit dans cet état d'esprit à trois ans de la Coupe du monde en France. On ne peut pas imaginer qu'elle se déroule dans un pays où la moitié des clubs professionnels ont disparu après la pandémie.
Tournée de novembre : les clubs ont fait «un effort suffisamment conséquent», selon Goze
Cinq ou six matches internationaux à l'automne ? Un groupe de 42 joueurs pour le XV de France ? La proposition des clubs pros de passer de trois à cinq matches «est un effort suffisamment conséquent», a estimé mercredi le président de la LNR Paul Goze auprès de l'AFP. Les clubs français se sont en effet déclarés disposés à étendre la fenêtre internationale, perturbée par la pandémie, pour la porter à cinq dates sur cinq semaines, soit une de moins que ne le souhaite la Fédération française de rugby (FFR). «Nous sommes sur nos positions et nous attendons que la Fédération fasse éventuellement des propositions à la manière dont elle voit le problème. Nous sommes extrêmement fermes sur cette proposition : on estime que de trois à cinq matches, c'est un effort suffisamment conséquent. Surtout dans le contexte actuel, il n'est pas possible que les clubs fassent plus d'effort», a expliqué Goze à l'AFP. «On est solidaires du rugby international, mais on ne peut pas être solidaires en nous sabordant nous-mêmes. On a fait un effort très important à un moment très difficile, je pense que c'est le maximum. On attend d'entamer une discussion avec la Fédération», a-t-il également confié.
Initialement, le XV de France devait disputer trois matches en novembre mais World Rugby a doublé fin juillet la fenêtre des tests d'automne : résultat, les Bleus pourraient disputer six matches entre le 24 octobre et le 6 décembre, ce qui permettrait de renflouer en partie une trésorerie mise à mal par la crise sanitaire, mais priverait d'autant les clubs de leurs internationaux. «On attend que la Fédération revienne vers nous avec une proposition. Nous, on a fait la nôtre. Cinq semaines, cinq matches. Je pense que la Fédération va revenir vers nous, car il y a deux choses à régler : le nombre de matches mais aussi la mise à disposition. Le nombre de matches ne règle pas le nombre de joueurs qui sont mis à disposition pendant les périodes internationales», a poursuivi le président de la LNR. «Tout ça doit être négocié en fonction de la convention entre la FFR et la LNR. On attend donc que la Fédération revienne vers nous avec sa proposition et, à partir de là, nous négocierons, s'il y a lieu», a-t-il assuré.
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
Je suis quand même optimiste au sujet des demandes de la LNR à l’état, en vu de sauver les clubs et le championnat.
Dans ce contexte ou l'on déverse des milliards, pour aider les acteurs économique, une suppression temporaire des charges, au moins pour les premiers mois, est une mesure qui devrait raisonnablement passer...
Restera la frustration de ne pouvoir remplir les stades pendant encore un moment, mais le problème à court terme, c'est la survie du Rugby.
Dans ce contexte ou l'on déverse des milliards, pour aider les acteurs économique, une suppression temporaire des charges, au moins pour les premiers mois, est une mesure qui devrait raisonnablement passer...
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
Put*** mais c'est hallucinant qu'on reste borné sur une jauge numéraire et pas proportionnelle !!! Il n'y a pas un pingouin à la LNR, FFR ou même Ministère des Sports pour se dire qu'il serait plus logique de réfléchir en pourcentage d'occupation ?!
Personne en haut lieu ne s'est dit à un moment "ah mais peut-être que 5.000 personnes max dans un stade de 5.000 places d'un côté, et dans un stade de 50.000 places d'un autre, c'est différent en fait !". Vraiment ?! Bord** mais c'est pas possible ce niveau d'incompétence !
Alors demain je peux aller sans soucis dans un stade de ProD2 de 5.000 places occupés à 100% où l'on sera collés les uns aux autres, alors que je ne pourrais pas aller dans un stade de Top14 comme Chaban de 34.000 places occupé à 30 ou 40% (soit 10.000 ou 14.000 personnes) même si il y a 1 ou 2 siège(s) d'écart entre les gens ?! Et ca n'interpelle personne ?! Sans déconner... On marche sur la tête !
Personne en haut lieu ne s'est dit à un moment "ah mais peut-être que 5.000 personnes max dans un stade de 5.000 places d'un côté, et dans un stade de 50.000 places d'un autre, c'est différent en fait !". Vraiment ?! Bord** mais c'est pas possible ce niveau d'incompétence !
Alors demain je peux aller sans soucis dans un stade de ProD2 de 5.000 places occupés à 100% où l'on sera collés les uns aux autres, alors que je ne pourrais pas aller dans un stade de Top14 comme Chaban de 34.000 places occupé à 30 ou 40% (soit 10.000 ou 14.000 personnes) même si il y a 1 ou 2 siège(s) d'écart entre les gens ?! Et ca n'interpelle personne ?! Sans déconner... On marche sur la tête !
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Le rugby c'est comme la dinde : sans les marrons, c'est vulgaire.
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
Pour Chaban, on évite d'organiser les matchs le Vendredi soir pour ne pas ajouter les trajets pro aux trajets vers le stade, on supprime les transports en commun vers le stade ou on demande aux spectateurs de ne pas les emprunter, on cloisonne l'accès au stade et les tribunes en 6 zones, on réparti les spectateurs pour n'utiliser qu'1 place sur 2 et on enregistre leur présence. Serait on capable d'autant d'organisation et de raison ?
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Tombé tout jaune dans le rugby.
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Allez UBB
Re: Préparation de la saison 2020-2021
L'idée de découper le stade en zones est intéressante. Et elle est recevable auprès de l'Etat comme l'a démontré le Puy du Fou On peut imaginer pas mal de zones cloisonnées les unes des autres :
- Z1 : tribune présidentielle centrale
- Z2 : tribune présidentielle latérale droite
- Z3 : tribune présidentielle latérale gauche
- Z4 : tribune de face centrale
- Z5 : tribune de face droite
- Z6 : tribune de face gauche
- Z7 : virage sud haut
- Z8 : virage sud bas
- Z9 : virage nord haut
- Z10 : virage nord bas
- Z11 : plateau TV/presse (réservé journalistes)
- Z12 : paddocks, vestiaires (réservé joueurs et staffs)
Ces zones seraient cloisonnées les unes des autres, sans possibilité d'échange (sauf exception type secours...etc), avec des corridors d'accès propres réalisés par barrières. A l'entrée (contrôle billet, accueil VIP...etc), désinfection obligatoire des mains et idem à la sortie, distributeur de gel dans tous les WC, masques évidement obligatoire dans tout le stade, et même pourquoi pas des panneaux plexi hauts de 2m ou 2,5m en tribune entre chaque zone. Et si 10 ou 12 zones c'est trop complexe à organiser, on peut réduire à 8, voire 6, réparties géographiquement autour du stade.
Je pense que le club serait près à faire beaucoup en terme d'organisation et de moyens pour se donner toutes les chances d'accueillir le plus de monde possible Par ailleurs, on remplissant chaque zone à 40 ou 50%, on pourrait déjà accueillir 10.000 ou 15.000 personnes, et ce dans des conditions sanitaires supérieures à celles du quotidien (transports, restaurants, bars, musées, salles et terrains de sports...etc).
- Z1 : tribune présidentielle centrale
- Z2 : tribune présidentielle latérale droite
- Z3 : tribune présidentielle latérale gauche
- Z4 : tribune de face centrale
- Z5 : tribune de face droite
- Z6 : tribune de face gauche
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- Z8 : virage sud bas
- Z9 : virage nord haut
- Z10 : virage nord bas
- Z11 : plateau TV/presse (réservé journalistes)
- Z12 : paddocks, vestiaires (réservé joueurs et staffs)
Ces zones seraient cloisonnées les unes des autres, sans possibilité d'échange (sauf exception type secours...etc), avec des corridors d'accès propres réalisés par barrières. A l'entrée (contrôle billet, accueil VIP...etc), désinfection obligatoire des mains et idem à la sortie, distributeur de gel dans tous les WC, masques évidement obligatoire dans tout le stade, et même pourquoi pas des panneaux plexi hauts de 2m ou 2,5m en tribune entre chaque zone. Et si 10 ou 12 zones c'est trop complexe à organiser, on peut réduire à 8, voire 6, réparties géographiquement autour du stade.
Je pense que le club serait près à faire beaucoup en terme d'organisation et de moyens pour se donner toutes les chances d'accueillir le plus de monde possible Par ailleurs, on remplissant chaque zone à 40 ou 50%, on pourrait déjà accueillir 10.000 ou 15.000 personnes, et ce dans des conditions sanitaires supérieures à celles du quotidien (transports, restaurants, bars, musées, salles et terrains de sports...etc).
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
patrick a écrit:Pour Chaban, on évite d'organiser les matchs le Vendredi soir pour ne pas ajouter les trajets pro aux trajets vers le stade, on supprime les transports en commun vers le stade ou on demande aux spectateurs de ne pas les emprunter, on cloisonne l'accès au stade et les tribunes en 6 zones, on réparti les spectateurs pour n'utiliser qu'1 place sur 2 et on enregistre leur présence. Serait on capable d'autant d'organisation et de raison ?
Je pense que quand c'est ton entreprise qui est en jeu et que c'est logistiquement faisable, on doit être prêt a tout essayé pour faire en sorte pour la sauver.
Je pense que le point qui doit poser problème, c'est pas tant la capacité assise aux place et l'espacement entre les gens mais plutôt, la buvette et les point de rencontre, ou il faut que les gens ne se croise pas ou le moins possible du moins.
Mam's- J'aime l'Union à la folie
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
Pour la gestion des flux de spectateurs, je pense qu'il faut combiner tes deux schémas. C'est à dire diviser les virages et les tribunes en 2 zones: chaque virage a 2 escaliers par zone accessibles, chaque tribune voit les entrées se faire d'un côté ou de l'autre. L'exception pourrait être la zone VIP de la Présidentielle puisqu'elle dispose d'une entrée séparée, donc d'un couloir d'accès supplémentaire.
Le seul souci éventuel serait les escaliers des virages proches des accès de la tribune présidentielle. Ceux-ci pourraient être condamnés, en ne permettant l'accès à cette zone du virage que par l'autre escalier.
Au total cela fait quand même huit zones. On fait largement rentrer 10000 personnes en bonnes conditions dans ce schéma.
Mais l'État a parlé, pas de dérogation, donc ce ne sera même pas considéré par le préfet je le crains...
Le seul souci éventuel serait les escaliers des virages proches des accès de la tribune présidentielle. Ceux-ci pourraient être condamnés, en ne permettant l'accès à cette zone du virage que par l'autre escalier.
Au total cela fait quand même huit zones. On fait largement rentrer 10000 personnes en bonnes conditions dans ce schéma.
Mais l'État a parlé, pas de dérogation, donc ce ne sera même pas considéré par le préfet je le crains...
krahknardz- Team modo
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Humeur : Un essai de l'UBB et c'est toute la semaine qui prend des couleurs....
Age : 51
Re: Préparation de la saison 2020-2021
Il ne faut pas attendre une rationalité ou une honnêteté sans faille dans les décisions du gouvernement, par exemple à Marseille, on fait fermer les restaurant à 23H00, sachant que ce sont des endroits où l'on respecte bien les règles de distanciation, où ne se forme pas de clusters. C'est juste de la com, histoire de dire, on fait quelque chose dans une zone de circulation active du virus et au passage on pénalise une catégorie professionnelle déjà durement touché...
Pendant ce temps là, dans une autre zone de circulation active comme Paris, le gouvernement dit, allez au théâtre, il n'y a aucun danger..., serré comme des sardines, dans un endroit clos, des messages complétement contradictoires...
Sans rentrer en détail dans les considérations politico-économique et de com, dans cette période d'augmentation de la circulation du virus, il n'y a rien à court terme à attendre, en ce qui concerne les dérogations préfectorales pour notre sport.
Je me répète, mais dans ce contexte de jauge à 5000 et même de huis clos potentiel, la principale priorité, c'est la survie des clubs, même optimiste au sujet des demandes de la LNR, j'attends avec impatience l’accord du gouvernement, qui ne parle pas du tout de sport et de Rugby ces derniers temps...
Pendant ce temps là, dans une autre zone de circulation active comme Paris, le gouvernement dit, allez au théâtre, il n'y a aucun danger..., serré comme des sardines, dans un endroit clos, des messages complétement contradictoires...
Sans rentrer en détail dans les considérations politico-économique et de com, dans cette période d'augmentation de la circulation du virus, il n'y a rien à court terme à attendre, en ce qui concerne les dérogations préfectorales pour notre sport.
Je me répète, mais dans ce contexte de jauge à 5000 et même de huis clos potentiel, la principale priorité, c'est la survie des clubs, même optimiste au sujet des demandes de la LNR, j'attends avec impatience l’accord du gouvernement, qui ne parle pas du tout de sport et de Rugby ces derniers temps...
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
https://www.midi-olympique.fr/2020/08/27/au-stade-francais-la-situation-sameliore-a-la-marge-9036624.php
Stade français : vers un report probable du match face à l'UBB
Même si les joueurs les plus durement touchés sont en voie de guérison, il apparaît peu probable que Paris soit en mesure de jouer vendredi prochain face à l’UBB. La balle est dans le camp de la LNR.
Gonzalo Quesda a fait ses comptes. En cette fin de semaine, il aura à sa disposition sur le terrain, "totalement disponibles pour s’entraîner normalement", vingt-trois joueurs. Un mini-succès pour le manager du Stade français, eu égard à la situation. Rappel des faits : la dernière séance de travail au grand complet remonte désormais au 5 août, soit la dernière journée du stage de Nice.
Depuis, le club de la capitale a connu une lente descente aux enfers. D’abord, une dizaine de cas positifs à la covid-19. Ensuite, le chiffre de la vingtaine s’est invité, contraignant l’Agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France à mettre le club à l’arrêt. Et pour finir, des joueurs, jusque-là asymptomatiques, qui déclarent des lésions pulmonaires. "J’ai déjà vécu dans l’adversité, témoigne le manager argentin, mais jamais je n’avais vécu une telle galère. Franchement, nous n’avons raconté que la version "light" pour ne pas tomber dans la sinistrose, ni dans la psychose." Et de conter son quotidien durant près de trois semaines : "D’abord, nous sommes rentrés de Nice en faisant douze heures de bus, pour ne pas prendre l’avion avec d’autres passagers. Ensuite, on a géré les différents groupes de joueurs selon qu’ils étaient positifs ou négatifs, tout en mettant en place des plannings sur des sites différents."
Du Bricolage
Ceux passés entre les mailles du coronavirus, peu nombreux, ont eu droit de poursuivre la préparation à Jean-Bouin. Les positifs asymptomatiques, après une quatorzaine respectée, se sont retrouvés au stade du Saut-du-Loup, aménagé en camp retranché. "Nous avons fait livrer un peu de matos de muscu, explique Quesada. Nous avons transformé la salle vidéo en salle d’entraînement comme on a pu." Du bricolage, faute de pouvoir faire plus. Et puis, l’inquiétude s’est faite plus forte dès lors que certains joueurs, presque une dizaine, ont commencé à déclarer des symptômes. Ceux-là ont été totalement isolés et ne sont pas revenus sur le terrain en raison de "lésions pulmonaires", assure le club de la capitale. Mercredi dernier, les premiers résultats de ces joueurs sont tombés : "Il y a une amélioration mais pas de guérison, regrettait le directeur général, Thomas Lombard. Ils doivent encore passer les tests d’efforts (effectués hier jeudi, N.D.L.R.). Mais je ne sais pas s’ils pourront s’entraîner normalement lundi."
Top 14 : Vers un premier report ?
Force est donc de s’interroger : le Stade français sera-t-il en mesure de disputer son premier match de Top 14, vendredi prochain, face à l’UBB ? Les douze semaines de préparation prévues dans le protocole médical de la LNR ont volé en éclats. Paris a été contraint d’annuler ses deux matchs amicaux. Et les joueurs de première ligne, les plus impactés par les lésions pulmonaires, ont quasiment eu à subir un arrêt de trois semaines. Selon nos informations, le Paris ne serait même pas en mesure de présenter suffisamment de piliers et talonneurs pour répondre au règlement. "Le plus épineux, souligne Lombard, c’est la santé des joueurs. J’ai besoin d’avoir des garanties par les médecins pour savoir quel est le risque de mettre mes joueurs sur le terrain." Le dossier avec les derniers résultats médicaux est depuis jeudi entre les mains de la commission médicale de la LNR. Dans ces colonnes Paul Goze assure que la priorité demeure "la santé des joueurs".
Pour rappel, le dernier match du Stade français date du 1er mars, une défaite sur le fil au stade Mayol contre Toulon. Soit six mois sans compétition… Ni préparation répondant au protocole de la LNR. Autant dire qu’après une crise sans précédent ayant frappé le rugby français, on imagine mal la LNR prendre le risque d’un accident grave dès la 1re journée de Top 14. Une décision quant à la tenue du match doit être annoncée au plus tard durant le week-end. Mais tout porte à croire que ce premier match face à l’UBB sera reporté.
Arnaud Beurdeley
Stade français : vers un report probable du match face à l'UBB
Même si les joueurs les plus durement touchés sont en voie de guérison, il apparaît peu probable que Paris soit en mesure de jouer vendredi prochain face à l’UBB. La balle est dans le camp de la LNR.
Gonzalo Quesda a fait ses comptes. En cette fin de semaine, il aura à sa disposition sur le terrain, "totalement disponibles pour s’entraîner normalement", vingt-trois joueurs. Un mini-succès pour le manager du Stade français, eu égard à la situation. Rappel des faits : la dernière séance de travail au grand complet remonte désormais au 5 août, soit la dernière journée du stage de Nice.
Depuis, le club de la capitale a connu une lente descente aux enfers. D’abord, une dizaine de cas positifs à la covid-19. Ensuite, le chiffre de la vingtaine s’est invité, contraignant l’Agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France à mettre le club à l’arrêt. Et pour finir, des joueurs, jusque-là asymptomatiques, qui déclarent des lésions pulmonaires. "J’ai déjà vécu dans l’adversité, témoigne le manager argentin, mais jamais je n’avais vécu une telle galère. Franchement, nous n’avons raconté que la version "light" pour ne pas tomber dans la sinistrose, ni dans la psychose." Et de conter son quotidien durant près de trois semaines : "D’abord, nous sommes rentrés de Nice en faisant douze heures de bus, pour ne pas prendre l’avion avec d’autres passagers. Ensuite, on a géré les différents groupes de joueurs selon qu’ils étaient positifs ou négatifs, tout en mettant en place des plannings sur des sites différents."
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Ceux passés entre les mailles du coronavirus, peu nombreux, ont eu droit de poursuivre la préparation à Jean-Bouin. Les positifs asymptomatiques, après une quatorzaine respectée, se sont retrouvés au stade du Saut-du-Loup, aménagé en camp retranché. "Nous avons fait livrer un peu de matos de muscu, explique Quesada. Nous avons transformé la salle vidéo en salle d’entraînement comme on a pu." Du bricolage, faute de pouvoir faire plus. Et puis, l’inquiétude s’est faite plus forte dès lors que certains joueurs, presque une dizaine, ont commencé à déclarer des symptômes. Ceux-là ont été totalement isolés et ne sont pas revenus sur le terrain en raison de "lésions pulmonaires", assure le club de la capitale. Mercredi dernier, les premiers résultats de ces joueurs sont tombés : "Il y a une amélioration mais pas de guérison, regrettait le directeur général, Thomas Lombard. Ils doivent encore passer les tests d’efforts (effectués hier jeudi, N.D.L.R.). Mais je ne sais pas s’ils pourront s’entraîner normalement lundi."
Top 14 : Vers un premier report ?
Force est donc de s’interroger : le Stade français sera-t-il en mesure de disputer son premier match de Top 14, vendredi prochain, face à l’UBB ? Les douze semaines de préparation prévues dans le protocole médical de la LNR ont volé en éclats. Paris a été contraint d’annuler ses deux matchs amicaux. Et les joueurs de première ligne, les plus impactés par les lésions pulmonaires, ont quasiment eu à subir un arrêt de trois semaines. Selon nos informations, le Paris ne serait même pas en mesure de présenter suffisamment de piliers et talonneurs pour répondre au règlement. "Le plus épineux, souligne Lombard, c’est la santé des joueurs. J’ai besoin d’avoir des garanties par les médecins pour savoir quel est le risque de mettre mes joueurs sur le terrain." Le dossier avec les derniers résultats médicaux est depuis jeudi entre les mains de la commission médicale de la LNR. Dans ces colonnes Paul Goze assure que la priorité demeure "la santé des joueurs".
Pour rappel, le dernier match du Stade français date du 1er mars, une défaite sur le fil au stade Mayol contre Toulon. Soit six mois sans compétition… Ni préparation répondant au protocole de la LNR. Autant dire qu’après une crise sans précédent ayant frappé le rugby français, on imagine mal la LNR prendre le risque d’un accident grave dès la 1re journée de Top 14. Une décision quant à la tenue du match doit être annoncée au plus tard durant le week-end. Mais tout porte à croire que ce premier match face à l’UBB sera reporté.
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
Il n'y a aucun intérêt sportif à affronter une équipe décimée ou amoindrie, il y a des risques pour la santé des joueurs, au final c'est malheureusement plutôt normal de ne pas jouer ce match, même si ce report ne réglera pas le fond du problème pour le SF.
La LNR a décidé du report plutôt que de l'annulation, c'est comme ça. Perso, je suis juste déçu d'attendre encore un peu, pour revoir l'UBB en match officiel, une mini frustration surmontable...
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Re: Préparation de la saison 2020-2021
https://www.sudouest.fr/2020/08/27/ubb-un-cas-positif-au-covid-19-le-match-amical-face-a-bayonne-menace-7780079-773.php
Si c'est un membre du staff qui n'a vraiment pas vocation à être en contact avec le sportif, il doit surement porter un masque dès qu'il est à Moga et même une proximité temporaire ne devrait pas avoir posé de problème. Si maintenant on doit annulé un match parce que la copine du fils du postier d'une secrétaire de l'UBB a été contaminée, on n'est pas sorti de l'auberge
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