Top 14 - 26ème journée : UBB / Toulouse

Je pensais que Urios ferait tourner un peu plus en l'absence d'enjeu pour nous.....car après, il reste encore trois matchs
et en deuxième ligne par exemple, nous ne récupérerons Marais que pour la finale!

Franchement, je ne vois pas trop l'intérêt ni pour les uns, ni pour les autres de mettre quasiment des équipes-type. Je ne comprends pas ce q'il y a à qui gagner, sauf éventuellement 1 point pour le ST: de toute manière, SR va perdre à ASM...

A part péter des mecs...

Espérons que Marchand prendra (enfin) un rouge

Ca va s'envoyer dans ce match.

Deux belles compos. Les arrières au ST il vont envoyer l'artillerie lourde. Ca va envoyer du jeu, on verra ce que ca va donner c'est un bon match test pour l'UBB en tout cas.

Il faut mettre Jolmes en jambe, c'est possible qu'il prenne la place à Marais du coup. CU laisse quand même des joueurs au repos devant Higginbotham et Lamothe; Douglas remplaçant,  Dweba a besoin de temps de jeu. J'ai juste du mal à comprendre le choix de mettre Jalibert remplaçant, soit tu le laisses à la maison au repos ou tu le mets titulaire mais remplaçant faut voir. Après fallait il mettre au repos les joueurs cadres de l'effectif ou les titularisé, je fais confiance à CU sur ce choix.

Ca reste une belle compo côté UBB je suis confiant pour accrocher un résultat positif à Chaban

le 5 de devant à Toulouse c' est la jeune garde quand même.
Le plus âgé c' est Marchand (une brute sans nom).

LE ST fait jouer Miquel, sûrement pour ajouter un sauteur supplémentaire avec Cros et Flament.

L'info c'est que Higgs et lamothe sont préservés pour le barrage, ma crainte c'est blesser Lamerat sur un match sans enjeu, de toute façon Urios mets quasi toujours ses meilleurs joueurs. mais de toute façon on a beau annoncer que l'on avait 40 joueurs sur le pré à l'entrainement, le groupe, au fil des blessures et des suspensions s'est quand même réduit en qualité. Donc on est short au centre en deuxième ligne même si petti peux y monter , notre force c'est notre première ligne. je suis encore remonté contre la suspension de marais à l'heure ou çà va tabasser devant, et que les mecs vont vraiment sortir rinçés. Je rejoints l'analyse de Scalp, j'espère que ce match va nous permettre de lacher les chevaux, derrière, en dehors de Seuteni c'est la ligne titu. Pas de kaulash, peux etre sa seule faiblesse en tenue de mélée parce que dans le jeu courant quel joueur.

Seulement 13 JIFF sur la feuille de match du grand ST.

Pour la finale EPCR, je crois que c'était 15 JIFF.

Je suppose que nous savons ce que nous faisons...même si cela  sent une nouvelle défaite cuisante à domicile doublée de blessés.

Urios, c’est le genre de mec qui fait ce qu’il dit, pas de surprise donc et pas d’équipe B, on peut craindre les blessures, c’est toujours un risque, mais ce match va nous lancer le quart à venir, il ne fallait certainement pas le galvauder.

le radis a écrit:Je suppose que nous savons ce que nous faisons...même si cela  sent une nouvelle défaite cuisante à domicile doublée de blessés.

Si ça ne joue pas, je perd mon pari, autrement je gagne, ça te vas ?

Scalp a écrit:

le radis a écrit:Je suppose que nous savons ce que nous faisons...même si cela  sent une nouvelle défaite cuisante à domicile doublée de blessés.

Si ça ne joue pas, je perd mon pari, autrement je gagne, ça te vas ?

densnewzealand a écrit:L'info c'est que Higgs et lamothe sont préservés pour le barrage, ma crainte c'est blesser Lamerat sur un match sans enjeu, de toute façon Urios mets quasi toujours ses meilleurs joueurs. mais de toute façon on a beau annoncer que l'on avait 40 joueurs sur le pré à l'entrainement, le groupe, au fil des blessures et des suspensions s'est quand même réduit en qualité. Donc on est short au centre en deuxième ligne même si petti peux y monter , notre force c'est notre première ligne. je suis encore remonté contre la suspension de marais à l'heure ou çà va tabasser devant, et que les mecs vont vraiment sortir rinçés. Je rejoints l'analyse de Scalp, j'espère que ce match va nous permettre de lacher les chevaux, derrière, en dehors de Seuteni c'est la ligne titu. Pas de kaulash, peux etre sa seule faiblesse en tenue de mélée parce que dans le jeu courant quel joueur.

Lâcher les chevaux, j’espère Dens

le radis a écrit:

Scalp a écrit:

le radis a écrit:Je suppose que nous savons ce que nous faisons...même si cela  sent une nouvelle défaite cuisante à domicile doublée de blessés.

Si ça ne joue pas, je perd mon pari, autrement je gagne, ça te vas ?

De toute façon le résultat sera

100% UBB, l'émission

Union Bordeaux Bègles /Toulouse la revanche de la 1/2 finale de Champion's Cup !

https://www.francebleu.fr/emissions/la-melee-du-lundi/gironde

https://twitter.com/UBBrugby/status/1400852152109633543

Pour ceux que ca pourraient intéresser

Alea jacta est ....maintenant que les choix sont faits, les dés sont jetés y'a plus à réfléchir.
On se met dans sa bulle on attaque chaque match comme un col à franchir en gardant du vue le sommet comme but ultime.
Alors on se fait violence, on me gagne ces 4 matchs et on va planter le drapeau de l'UBB sur l'Everest du Top 14

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Une-derniere-journee-du-top-14-placee-sous-le-signe-du-suspense-et-de-l-enjeu/1259139

Une dernière journée du Top 14 placée sous le signe du suspense et de l'enjeu

Dix clubs sur quatorze ont encore quelque chose à jouer, samedi, lors du multiplex de la dernière journée de la saison régulière. Suspense garanti à tous les étages.

Clément Dossin

Nous ne sommes que début juin, mais le Top 14 peut déjà tomber le tee-shirt et parader torse poil à la plage. Les tablettes de chocolat sont saillantes, le ventre mou a fondu. Tellement fondu qu'il n'est plus représenté que par trois petits clubs, Lyon, Montpellier et Brive, les seuls avec Agen, condamné à la Pro D2 depuis des mois, à ne rien jouer sur cette dernière journée de Top 14.

Pour tous les autres, dix sur quatorze donc, les quatre-vingts dernières minutes de la saison régulière vont ressembler à une plongée en eaux profondes. Évidemment, on ne respirera pas dans la même bombonne à oxygène selon que l'on soit Toulousain (1er) et Rochelais (2e), qui « risquent » au pire un quart de finale à domicile, ou Bayonnais (12e) et Palois (13e), sur lesquels plane l'épée de Damoclès d'un barrage de maintien face au finaliste malheureux de Pro D2 (lire page 9). « Cette dernière journée est excitante XXL, s'enthousiasme Mathieu Blin, consultant pour Canal +. C'est absolument génial d'avoir de tels enjeux en haut et en bas du classement. »

Dix sur quatorze, disions-nous, alignés dans un « 4-4-2 » demi-barrages-maintien de belle facture. Qui de Toulouse, La Rochelle, le Racing 92 et Bordeaux-Bègles se qualifiera directement pour les demi-finales à Lille et bénéficiera dans une semaine d'un précieux week-end de break alors que la jauge d'essence vire au rouge au bout d'une saison à rallonge ? Qui de Clermont, Toulon, le Stade Français ou Castres sera barragiste et pourra s'accrocher une semaine de plus à son rêve de Brennus étant entendu depuis le cru « CO 2018 » que l'on peut perdre dix matches dans la saison, finir sixième et faire la nique à tous les autres en phase finale ? Sous-enjeu dans l'enjeu, quel sera le cocu de ces quatre-là qui se morfondra en Challenge européen pendant que les trois autres batifoleront en Coupe d'Europe la saison prochaine (les sept premiers qualifiés pour la Coupe d'Europe, la huitième place dévolue à Montpellier, vainqueur du Challenge) ?

Enfin, qui de Bayonne ou Pau se déplacera dans une semaine à Perpignan ou, horreur-malheur, chez le voisin biarrot dans un derby du 64 de muerte qui fait déjà saliver tout le monde sauf les principaux intéressés ?

Calculettes et transistors à plein régime

On en a entendu des gros menteurs cette semaine asséner qu'ils ne se préoccuperaient que d'eux-mêmes alors qu'il sera vivement recommandé samedi de regarder jusqu'au bout dans l'assiette du voisin pour faire le juste choix stratégique dans le money time, éviter une relance suicidaire ou chasser un bonus inutile. Partout, les transistors et les calculettes fonctionneront à plein régime dans un remake de la saison 2013-2014, au bout de laquelle douze clubs jouaient gros à la 26e journée et qui avait, clin d'oeil du destin, relégué les deux clubs visant aujourd'hui la montée, Perpignan et Biarritz.

Ce matin, on ne sait pas si le Top 14 tient son rang d'autoproclamé « meilleur Championnat de clubs du monde ». Il faudrait déjà pour cela qu'il doublonne moins souvent avec le quinze de France, qu'on s'ennuie moins au creux de l'hiver dans des matches au jeu cadenassé et à l'enjeu incertain, que les impasses disparaissent définitivement et, qui sait, que sa formule évolue à l'avenir. Mais on est sûr d'une chose : un Championnat qui peut encore sacrer huit clubs à quatre-vingts minutes de la fin de la saison régulière a forcément quelques arguments marketing à faire valoir, à commencer par celui de roi du suspense.

Cette densité est d'abord le fruit d'une politique de long terme revendiquée par la LNR (Ligue nationale de rugby) : le salary cap et l'impératif de JIFF (joueurs issus de la filière formation, 16 par feuille de match cette saison) lissent les valeurs en empêchant la formation d'équipes de galactiques susceptibles d'écraser la compétition. « Cette homogénéisation aboutit à une folie absolue avec X clubs qui peuvent être champions de France, convient Blin. Si depuis dix ans, deux clubs écrasaient tout, on constaterait un essoufflement alors que là, ça développe l'attractivité du Championnat et des clubs. »

À ces éléments structurels est venue s'ajouter cette année la pandémie de Covid-19, qui a brisé des dynamiques de résultats, bouleversé le calendrier et sans cesse rebattu les cartes. Un an après une saison achevée sans titre, le Top 14 a soigné le scénario de son retour.

Confiance en cette équipe de l ubb. On va debuter un cycle de 4 victoires pour ramener un titre 30 ans après. UBB UBB.

Vévé64 a écrit:Confiance en cette équipe de l ubb. On va debuter un cycle de 4 victoires pour ramener un titre 30 ans après. UBB UBB.

Pour moi ce match n'est pas sans enjeux !
_ c'est Toulouse : merde, tjs un plaisir rare de les battre. Les intergalactiques magnifiques...
_ potentiellement un match de repos si on les bats largement à quelques résultats près des autres matchs
_ continuer à engranger de la confiance. Si on est après ce match en demi à domicile, c'est une revanche sur l'année dernière. On aura alors qq mais moins de commentaires médisants sur notre position. Peut-être un jour on deviendra crédible !
_ vu notre équipe et leurs arrières il devrait y avoir du jeu, et c'est ce que l' on veut tous.

Dommage que le multiplex ne puisse pas nous faire profiter pleinement de tous ces enjeux pleinement.

guillaume ubb a écrit:Pour moi ce match n'est pas sans enjeux !
_ c'est Toulouse : merde, tjs un plaisir rare de les battre. Les intergalactiques magnifiques...
_ potentiellement un match de repos si on les bats largement à quelques résultats près des autres matchs
_ continuer à engranger de la confiance. Si on est après ce match en demi à domicile, c'est une revanche sur l'année dernière. On aura alors qq mais moins de commentaires médisants sur notre position. Peut-être un jour on deviendra crédible !
_ vu notre équipe et leurs arrières il devrait y avoir du jeu, et c'est ce que l' on veut tous.

Dommage que le multiplex ne puisse pas nous faire profiter pleinement de tous ces enjeux pleinement.

Une question d'Honneur en quelque sorte

J’ai encore eu une vision! On perd ce soir contre le ST
Mais on les retrouve en demi (ou finale) et là, fort de leurs 3 victoires contre nous au cours de la saison’ ils nous prennent de haut, et PIM, on les bat

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/ubb-toulouse-un-dernier-test-grandeur-nature-avant-l-heure-de-verite-3600256.php

UBB – Toulouse : un dernier test grandeur nature avant l’heure de vérité

Par Yoan Leshauriès - y.leshauries@sudouest.fr

Qualifiée pour les phases finales et assurée d’un barrage à domicile, l’UBB n’a plus grande chose à espérer de cette dernière journée, si ce n’est se jauger ce samedi (21 h 05) face à Toulouse, champion d’Europe, avant le quart

Tout au long de la saison, l’Union Bordeaux-Bègles s’était préparée mentalement à jouer la qualification sur cette dernière journée de la phase régulière. Au final, elle est assurée de participer aux phases finales depuis le week-end dernier. Avec en prime, la certitude de jouer un barrage à domicile le week-end prochain. « Ne pas avoir à trembler sur la dernière journée, ne pas regarder les résultats des uns et des autres, c’est un luxe », reconnaît Frédéric Charrier, l’entraîneur des arrières. Et c’est d’autant plus un luxe que c’est une grande première pour le club girondin.

À moins d’un incroyable concours de circonstances, l’UBB n’a plus la possibilité de se qualifier directement pour les demi-finales et ne peut espérer mieux qu’une 3e place. À une semaine d’un quart de finale historique, les Girondins abordent donc ce match face au Stade Toulousain sans pression de résultat. « Certes, il n’y a pas d’enjeu comptable mais c’est un match important pour nous, assure Frédéric Charrier. Quand c’est ton dernier match et qu’il n’y a rien derrière, c’est un peu compliqué pour se motiver. Mais là, il y a quand même des phases finales, alors la motivation est toute trouvée ».

Faire le plein de confiance

Pour Bordeaux-Bègles, ce rendez-vous doit servir de rampe de lancement vers les matchs couperets. Face au Stade Toulousain, champion d’Europe en titre, qui débarque à Chaban-Delmas avec l’envie de composter son billet direct pour les demi-finales, le test est quasiment grandeur nature. « Ça va nous préparer parfaitement pour le barrage, confirme le capitaine Jefferson Poirot. Il faudra être au rendez-vous pour éviter de se mettre quelques doutes dans la tête et au contraire, avoir beaucoup de certitudes après ce match. On sait que Toulouse va devoir cravacher pour rester à ces 2 premières places, ils ne vont pas venir à vide. Quant à nous, ayant perdu la demi-finale de Champions Cup (21-9), c’est important et symbolique de pouvoir être présent ».

« Ça permet de sentir que le groupe se prépare à de grandes échéances »

Au regard de la séance d’entraînement de mardi matin à Moga, on sent bien qu’il est hors de question pour les Girondins de brader ce rendez-vous. Un énorme coup de gueule de la part de Christophe Urios pour remettre ses joueurs dans le sens de la marche, des accrochages lors de l’opposition… À l’approche des phases finales, la tension est bien palpable. « Ça permet de sentir que le groupe se prépare à de grandes échéances, souligne Julien Laïrle, l’entraîneur des avants. Sur le terrain, il faudra faire preuve de caractère. Alors on ne va pas reprocher aux joueurs d’en montrer quand on s’entraîne ».

Mobilisation générale

L’émulation tourne en effet à plein régime. « Tout le monde a envie d’être sur le terrain, explique Jefferson Poirot. Il y a de la tension parce qu’on va vivre quelque chose d’exceptionnel pour le club. Tout le monde a envie de montrer qu’il peut apporter quelque chose à l’équipe ».

À l’approche du barrage, l’UBB se doit de monter en puissance pour faire le plein de confiance, avant de connaître l’identité de son prochain adversaire. Mais comme la qualif’ n’est pas une fin en soi pour les Girondins, que ce soit Clermont, Toulon, le Stade Français ou Castres, peu importe. Car comme le souligne Jefferson Poirot : « Quoi qu’il arrive, il faudra battre tout le monde si on veut aller au bout ».

Un énorme coup de gueule de la part de Christophe Urios pour remettre ses joueurs dans le sens de la marche, des accrochages lors de l’opposition… À l’approche des phases finales, la tension est bien palpable.

Urios nous a fait enfin franchir le cap des qualifications, mais c'est juste une étape, pas un but en soi, c'est évident qu'il faut viser plus haut, maintenir l'émulation et le groupe sous pression, avec ce match face à Toulouse est complètement logique. On sait aussi que notre équipe est meilleure dans l'enchainement des matchs. Dans cette dernière ligne droite, il n'y avait plus trop de calculs à faire, on peut faire confiance à l'expérience d'Urios pour guider le groupe, en tapant du poing sur la table au besoin, il y en avait peut-être besoin après le match contre Toulon et avant un match sans vraiment d'enjeu comptable...