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XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:COMPOSITION. Les All Blacks sans Beauden Barrett contre les Bleus, Aaron Smith face à Dupont !
https://www.lerugbynistere.fr/news/composition-les-all-blacks-sans-beauden-barrett-face-aux-bleus-aaron-smith-sur-le-banc-1811211522.php
Super content de voir Aaron Smith sur le terrain ! le meilleur 9 que j'ai pu voir jouer (devant David Kirk et Justin Marshall).
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Re: XV de France (partie en cours)
Dupont va-t-il résister au concours de bite, garder la tête froide, jouer en 9, sans vouloir sauver la patrie à lui seul, même s'il a fait des progrès à ce niveau, pas sûr..., mais espéronsDr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:COMPOSITION. Les All Blacks sans Beauden Barrett contre les Bleus, Aaron Smith face à Dupont !
https://www.lerugbynistere.fr/news/composition-les-all-blacks-sans-beauden-barrett-face-aux-bleus-aaron-smith-sur-le-banc-1811211522.php
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:Dupont va-t-il résister au concours de bite, garder la tête froide, jouer en 9, sans vouloir sauver la patrie à lui seul, même s'il a fait des progrès à ce niveau, pas sûr..., mais espéronsDr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:COMPOSITION. Les All Blacks sans Beauden Barrett contre les Bleus, Aaron Smith face à Dupont !
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il n'y a pas de concours ! A. Smith a 1 Dupont dans chaque cuisse...
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Re: XV de France (partie en cours)
Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:Dupont va-t-il résister au concours de bite, garder la tête froide, jouer en 9, sans vouloir sauver la patrie à lui seul, même s'il a fait des progrès à ce niveau, pas sûr..., mais espéronsDr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:COMPOSITION. Les All Blacks sans Beauden Barrett contre les Bleus, Aaron Smith face à Dupont !
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:Dupont va-t-il résister au concours de bite, garder la tête froide, jouer en 9, sans vouloir sauver la patrie à lui seul, même s'il a fait des progrès à ce niveau, pas sûr..., mais espéronsDr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:COMPOSITION. Les All Blacks sans Beauden Barrett contre les Bleus, Aaron Smith face à Dupont !
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Re: XV de France (partie en cours)
Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:Dupont va-t-il résister au concours de bite, garder la tête froide, jouer en 9, sans vouloir sauver la patrie à lui seul, même s'il a fait des progrès à ce niveau, pas sûr..., mais espéronsDr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:COMPOSITION. Les All Blacks sans Beauden Barrett contre les Bleus, Aaron Smith face à Dupont !
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il n'y a pas de concours ! A. Smith a 1 Dupont dans chaque cuisse...
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Pas faux et là en plus, comment dire...
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Composition-galthie-choisit-de-densifier-son-equipe-pour-defier-la-nouvelle-zelande/1299674
Composition : Galthié choisit de densifier son équipe pour défier la Nouvelle-Zélande
Fabien Galthié, pour défier les All Blacks samedi, a fait le choix de la densité physique, tout en cherchant à maintenir certains équilibres. Un exercice compliqué.
Romain Bergogne
Uini Atonio pilier droit, une troisième ligne Cros-Alldritt-Jelonch à 109 kilos de moyenne, Jonathan Danty au centre à la place de Romain Ntamack, qui reprend l'ouverture, un banc à six avants dont deux deuxième-ligne (Flament et Taofifenua)... Comme ça, tout de suite, quand vous entendez les noms égrenés par Fabien Galthié jeudi à l'heure du déjeuner, vous vous dites que le menu s'annonce lourd, du moins copieux. « Densifier, oui, mais il y a aussi une question d'équilibre, assure le sélectionneur-diététicien quand sont évoqués les choix cités plus haut. Il faut aussi être capable de se déplacer, de tenir le ballon, de défendre, d'être bon sur l'homme, de se contrôler avec ou sans le ballon. »
En troisième ligne, c'est tout de même la première fois dans le mandat de Fabien Galthié que les Bleus vont commencer un match avec un trident dépourvu d'un profil coureur-sauteur type Ollivon, Macalou (tous deux blessés), Cretin (remplaçant samedi soir).... La subtilité, c'est qu'il sera en deuxième ligne avec Cameron Woki, reconduit en numéro quatre, associé au massif Paul Willemse (2,01m, 129 kg). Galthié encore : « Il me semble qu'on aura un bon équilibre (on y revient) entre le domaine aérien, le déplacement mais aussi le jeu au sol sur les zones de combat et d'affrontement. »
Dans ce dernier secteur, Thibaud Flament puis Cameron Woki justement ont pu manquer d'épaisseur, ce qui avait tendance à contrebalancer des performances globalement réussies avec cette mobilité et cette vitesse qu'ils ont apportées au cinq de devant. Pour éviter l'écueil du manque de rudesse, la titularisation en huit de Grégory Alldritt, alors qu'il semblait promis en début de tournée à un rôle de finisseur-capitaine, traduit ce besoin vital d'exister dans les taches obscures pour espérer rivaliser avec les All Blacks. D'autant que les Bleus ont perdu leur arme fatale dans la bataille du sol avec la blessure aux côtes du talonneur Julien Marchand contractée face à la Géorgie. Nous voilà donc dans des vases communicants entre deuxième et troisième ligne, à la frontière de plus en plus floue.
« L'idée, c'est d'avoir des finisseurs très costauds pour maintenir un paquet d'avants capable de dominer l'adversaire »
Fabien Galthié, sélectionneur des Bleus
Quand on évoque les performances des Sud-Africains et des Irlandais dans ce registre, disons viril, pour faire tomber la Nouvelle-Zélande cette année, le sélectionneur botte en touche mais il nous semble difficile d'imaginer qu'il n'a pas pris de notes derrière son écran samedi dernier. Uini Atonio en première ligne plutôt que l'explosif Demba Bamba ? « Il nous apporte sécurité et force en mêlée et sur les mauls. Quand il est quelque part sur le terrain pour attaquer ou pour défendre, il compte. » Comprendre : il marque physiquement.
Fini « Jalimack » et titularisation de Jonathan Danty au centre ? « Depuis l'Autumn Nations Cup (*), il a répondu présent avec ses qualités de joueur dominant physiquement, qui est altruiste, très bon en défense, très fort au sol. » Le banc où Maxime Lucu et Matthieu Jalibert feront office de gringalets ? « L'idée, c'est d'avoir des finisseurs très costauds pour maintenir un paquet d'avants capable de dominer l'adversaire sur 80 minutes. »
(*) Danty a été rappelé en novembre dernier quand le groupe avait été remanié par la règle des trois feuilles de match par international.
Vous avez compris l'idée... Qui n'est pas non plus de verser dans le tout physique. Uini Atonio (1,96m ; 145 kg) est aussi aligné pour ses qualités ballon en main et ce jeu devant la défense dans lequel ses coéquipiers de la première ligne Cyril Baille et Peato Mauvaka ont leurs aises. La troisième ligne et la paire de centres Danty-Fickou ne sont pas non plus étrangères à la notion du jeu debout, la reconstitution de la charnière toulousaine Dupont-Ntamack et les cannes du triangle arrière Penaud-Jaminet-Villière complétant cet espoir d'avancer autrement qu'en cassant des briques. À condition de d'abord gagner la bataille à l'avant, ce qui n'a pas été (suffisamment) le cas face à l'Argentine et la Géorgie, avec un autre casting. Après la secousse reçue à Dublin samedi dernier (défaite 29-20), nul doute que le pack néo-zélandais a aussi l'intention de rectifier le tir.
Composition : Galthié choisit de densifier son équipe pour défier la Nouvelle-Zélande
Fabien Galthié, pour défier les All Blacks samedi, a fait le choix de la densité physique, tout en cherchant à maintenir certains équilibres. Un exercice compliqué.
Romain Bergogne
Uini Atonio pilier droit, une troisième ligne Cros-Alldritt-Jelonch à 109 kilos de moyenne, Jonathan Danty au centre à la place de Romain Ntamack, qui reprend l'ouverture, un banc à six avants dont deux deuxième-ligne (Flament et Taofifenua)... Comme ça, tout de suite, quand vous entendez les noms égrenés par Fabien Galthié jeudi à l'heure du déjeuner, vous vous dites que le menu s'annonce lourd, du moins copieux. « Densifier, oui, mais il y a aussi une question d'équilibre, assure le sélectionneur-diététicien quand sont évoqués les choix cités plus haut. Il faut aussi être capable de se déplacer, de tenir le ballon, de défendre, d'être bon sur l'homme, de se contrôler avec ou sans le ballon. »
En troisième ligne, c'est tout de même la première fois dans le mandat de Fabien Galthié que les Bleus vont commencer un match avec un trident dépourvu d'un profil coureur-sauteur type Ollivon, Macalou (tous deux blessés), Cretin (remplaçant samedi soir).... La subtilité, c'est qu'il sera en deuxième ligne avec Cameron Woki, reconduit en numéro quatre, associé au massif Paul Willemse (2,01m, 129 kg). Galthié encore : « Il me semble qu'on aura un bon équilibre (on y revient) entre le domaine aérien, le déplacement mais aussi le jeu au sol sur les zones de combat et d'affrontement. »
Dans ce dernier secteur, Thibaud Flament puis Cameron Woki justement ont pu manquer d'épaisseur, ce qui avait tendance à contrebalancer des performances globalement réussies avec cette mobilité et cette vitesse qu'ils ont apportées au cinq de devant. Pour éviter l'écueil du manque de rudesse, la titularisation en huit de Grégory Alldritt, alors qu'il semblait promis en début de tournée à un rôle de finisseur-capitaine, traduit ce besoin vital d'exister dans les taches obscures pour espérer rivaliser avec les All Blacks. D'autant que les Bleus ont perdu leur arme fatale dans la bataille du sol avec la blessure aux côtes du talonneur Julien Marchand contractée face à la Géorgie. Nous voilà donc dans des vases communicants entre deuxième et troisième ligne, à la frontière de plus en plus floue.
« L'idée, c'est d'avoir des finisseurs très costauds pour maintenir un paquet d'avants capable de dominer l'adversaire »
Fabien Galthié, sélectionneur des Bleus
Quand on évoque les performances des Sud-Africains et des Irlandais dans ce registre, disons viril, pour faire tomber la Nouvelle-Zélande cette année, le sélectionneur botte en touche mais il nous semble difficile d'imaginer qu'il n'a pas pris de notes derrière son écran samedi dernier. Uini Atonio en première ligne plutôt que l'explosif Demba Bamba ? « Il nous apporte sécurité et force en mêlée et sur les mauls. Quand il est quelque part sur le terrain pour attaquer ou pour défendre, il compte. » Comprendre : il marque physiquement.
Fini « Jalimack » et titularisation de Jonathan Danty au centre ? « Depuis l'Autumn Nations Cup (*), il a répondu présent avec ses qualités de joueur dominant physiquement, qui est altruiste, très bon en défense, très fort au sol. » Le banc où Maxime Lucu et Matthieu Jalibert feront office de gringalets ? « L'idée, c'est d'avoir des finisseurs très costauds pour maintenir un paquet d'avants capable de dominer l'adversaire sur 80 minutes. »
(*) Danty a été rappelé en novembre dernier quand le groupe avait été remanié par la règle des trois feuilles de match par international.
Vous avez compris l'idée... Qui n'est pas non plus de verser dans le tout physique. Uini Atonio (1,96m ; 145 kg) est aussi aligné pour ses qualités ballon en main et ce jeu devant la défense dans lequel ses coéquipiers de la première ligne Cyril Baille et Peato Mauvaka ont leurs aises. La troisième ligne et la paire de centres Danty-Fickou ne sont pas non plus étrangères à la notion du jeu debout, la reconstitution de la charnière toulousaine Dupont-Ntamack et les cannes du triangle arrière Penaud-Jaminet-Villière complétant cet espoir d'avancer autrement qu'en cassant des briques. À condition de d'abord gagner la bataille à l'avant, ce qui n'a pas été (suffisamment) le cas face à l'Argentine et la Géorgie, avec un autre casting. Après la secousse reçue à Dublin samedi dernier (défaite 29-20), nul doute que le pack néo-zélandais a aussi l'intention de rectifier le tir.
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Re: XV de France (partie en cours)
France-Nouvelle-Zélande: "Dupont et Smith peuvent changer à eux seuls le visage de l’équipe" selon Kaino
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/france-nouvelle-zelande-dupont-et-smith-peuvent-changer-a-eux-seuls-le-visage-de-l-equipe-selon-kaino_AV-202111190007.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/france-nouvelle-zelande-dupont-et-smith-peuvent-changer-a-eux-seuls-le-visage-de-l-equipe-selon-kaino_AV-202111190007.html
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:France-Nouvelle-Zélande: "Dupont et Smith peuvent changer à eux seuls le visage de l’équipe" selon Kaino
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/france-nouvelle-zelande-dupont-et-smith-peuvent-changer-a-eux-seuls-le-visage-de-l-equipe-selon-kaino_AV-202111190007.html
Je vote pour le sens du jeu et l'animation offensive du génial A. Smith.
Il sera peut-être un peu court physiquement.
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Re: XV de France (partie en cours)
Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:France-Nouvelle-Zélande: "Dupont et Smith peuvent changer à eux seuls le visage de l’équipe" selon Kaino
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/france-nouvelle-zelande-dupont-et-smith-peuvent-changer-a-eux-seuls-le-visage-de-l-equipe-selon-kaino_AV-202111190007.html
Je vote pour le sens du jeu et l'animation offensive du génial A. Smith.
Il sera peut-être un peu court physiquement.
Je vote SuperDupont
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Re: XV de France (partie en cours)
Notre héros national a beaucoup à apprendre du vrai taulier du poste. Si Dupont est athlétiquement au dessus et qu’il a des fulgurances, le meilleur 9 du monde, ça rate Smith. Personne ne maîtrise autant le poste.
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Aaron Smith: 32 ans
Antoine Dupont: 25 ans.
On va donc demander son avis à l' intéressé.
A prendre avec des pincettes car le mec n' y connaît rien.
https://www.sixnationsrugby.com/fr/2021/02/10/aaron-smith-considere-dupont-comme-le-meilleur-joueur-de-la-planete/
Antoine Dupont: 25 ans.
On va donc demander son avis à l' intéressé.
A prendre avec des pincettes car le mec n' y connaît rien.
https://www.sixnationsrugby.com/fr/2021/02/10/aaron-smith-considere-dupont-comme-le-meilleur-joueur-de-la-planete/
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
tire-bouchon a écrit:Aaron Smith: 32 ans
Antoine Dupont: 25 ans.
On va donc demander son avis à l' intéressé.
A prendre avec des pincettes car le mec n' y connaît rien.
https://www.sixnationsrugby.com/fr/2021/02/10/aaron-smith-considere-dupont-comme-le-meilleur-joueur-de-la-planete/
T'as rien compris Tirebouche, Smith dit ça, parce qu'il sait que Dupont est en couple avec NTK et que du coup, la France se privera de Jalibert
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Re: XV de France (partie en cours)
Mais bien sûr Tire-Bouchon, il me semblait que tu étais plus perspicace et que tu ne mordrais pas à la flagornerie des Blacks, qui pour maintenir un peu de suspens n’arrête pas de dire qu’ils ne jouent que des grands joueurs et des grandes équipes.
J’ai jamais dit que Dupont était une pompe. Mais je maintiens ce que je dis: c’est un incroyable joueur, capable de faire des différences énormes, mais ce n’est pas un excellent demi-de mêlée. Il manque trop souvent de lucidité, d’application technique. Il ne conduit pas un match comme peut le faire Smith ou même Connor Murray (ce dernier n’ayant en aucun cas les qualités naturelles de Dupont).
J’ai jamais dit que Dupont était une pompe. Mais je maintiens ce que je dis: c’est un incroyable joueur, capable de faire des différences énormes, mais ce n’est pas un excellent demi-de mêlée. Il manque trop souvent de lucidité, d’application technique. Il ne conduit pas un match comme peut le faire Smith ou même Connor Murray (ce dernier n’ayant en aucun cas les qualités naturelles de Dupont).
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
J'ai bien peur qu'on en prenne une qui nous remette les pieds sur terre.Je ne sent pas ce paquet d'avant, passe la charnière qui aura du mal à briller derrière un pack battu et une paire de centres physique mais parmi les plus nuls qu'on ait vu en EDF.
Les autres feront ce qu'ils pourront.
Les autres feront ce qu'ils pourront.
léopold- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
léopold a écrit:J'ai bien peur qu'on en prenne une qui nous remette les pieds sur terre.Je ne sent pas ce paquet d'avant, passe la charnière qui aura du mal à briller derrière un pack battu et une paire de centres physique mais parmi les plus nuls qu'on ait vu en EDF.
Les autres feront ce qu'ils pourront.
je suis bien de ton avis.
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
En fait, le rugby Français ne change pas, l'équipe de France reste toujours cette éprouvette à éssais , les selectionneurs se croient toujours plus forts que les autres, permuttant, commutant les postes et les joueurs au gré de leur feeling. Celà viens aussi du fait que cette équipe n'en est pas une , c'est une sélection. A contrario l'Irlande, consciente de son reservoir moindre, base toute ses forces sur son équipe nationale. Ils sont surtout forts chez eux, pendant le tournoi et lors de la réception une fois tous les deux ans des équipes du sud. En coupe du monde ils prennent des branlées , loin de leurs bases, et de leurs supporters, sans contexte favorable, et contre des équipes qui ont elles aussi eu le temps de se préparer. Et puis cette équipe d'Irlande mais quel ennui, cache ballon, enfin si çà plait , perso je regarde les Blacks tout les jours, l'Irlande je m'ennuie. Galthié éssaie de faire bouger les choses , mais il reste encore prisonnier de vieux reflexes. Pour ce match il ne fait que s'adapter aux Blacks, on densifie, on montre les muscles, on verra, il nous on bassiné avec Jalimack mais c'était contre les Blacks après deux matchs de prépa, qu'il fallait aller au bout de ses idées, meme si pour moi depuis le début elle n'est pas bonne. Donc on ne saura jamais ce que çà vaut , ah si peux-etre en demi de coupe de monde quand contraint par une série de blessures il nous ressortira la paire. Et nous dira , mais si on l'à testé cette association oui, il y à deux ans et contre la Georgie.
Pour demain , je ne sais que penser, les Blacks vont faire du jeu direct, la première mi temps risque etre sanglante, Cane va pourrir les rucks, Smith va gerer, j'ai l'impression que Foster nous sort ses vieux guerrier pour faire la guerre, mais le reservoir semble entamé. Ca va se regarder au début, mauls, touches , occupations, j'ai peur que Woki se retrouve un peu seul dans le traffic aérien, et puis le pin's Crétin sur le banc, j'aurais gardé Macalou tous les jours, comme j'aurais intégré Tolofua, en voyant nos difficultés à avancer au milieu.
Pour demain , je ne sais que penser, les Blacks vont faire du jeu direct, la première mi temps risque etre sanglante, Cane va pourrir les rucks, Smith va gerer, j'ai l'impression que Foster nous sort ses vieux guerrier pour faire la guerre, mais le reservoir semble entamé. Ca va se regarder au début, mauls, touches , occupations, j'ai peur que Woki se retrouve un peu seul dans le traffic aérien, et puis le pin's Crétin sur le banc, j'aurais gardé Macalou tous les jours, comme j'aurais intégré Tolofua, en voyant nos difficultés à avancer au milieu.
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Re: XV de France (partie en cours)
densnewzealand a écrit:En fait, le rugby Français ne change pas, l'équipe de France reste toujours cette éprouvette à éssais , les selectionneurs se croient toujours plus forts que les autres, permuttant, commutant les postes et les joueurs au gré de leur feeling. Celà viens aussi du fait que cette équipe n'en est pas une , c'est une sélection. A contrario l'Irlande, consciente de son reservoir moindre, base toute ses forces sur son équipe nationale. Ils sont surtout forts chez eux, pendant le tournoi et lors de la réception une fois tous les deux ans des équipes du sud. En coupe du monde ils prennent des branlées , loin de leurs bases, et de leurs supporters, sans contexte favorable, et contre des équipes qui ont elles aussi eu le temps de se préparer. Et puis cette équipe d'Irlande mais quel ennui, cache ballon, enfin si çà plait , perso je regarde les Blacks tout les jours, l'Irlande je m'ennuie. Galthié éssaie de faire bouger les choses , mais il reste encore prisonnier de vieux reflexes. Pour ce match il ne fait que s'adapter aux Blacks, on densifie, on montre les muscles, on verra, il nous on bassiné avec Jalimack mais c'était contre les Blacks après deux matchs de prépa, qu'il fallait aller au bout de ses idées, meme si pour moi depuis le début elle n'est pas bonne. Donc on ne saura jamais ce que çà vaut , ah si peux-etre en demi de coupe de monde quand contraint par une série de blessures il nous ressortira la paire. Et nous dira , mais si on l'à testé cette association oui, il y à deux ans et contre la Georgie.
Pour demain , je ne sais que penser, les Blacks vont faire du jeu direct, la première mi temps risque etre sanglante, Cane va pourrir les rucks, Smith va gerer, j'ai l'impression que Foster nous sort ses vieux guerrier pour faire la guerre, mais le reservoir semble entamé. Ca va se regarder au début, mauls, touches , occupations, j'ai peur que Woki se retrouve un peu seul dans le traffic aérien, et puis le pin's Crétin sur le banc, j'aurais gardé Macalou tous les jours, comme j'aurais intégré Tolofua, en voyant nos difficultés à avancer au milieu.
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Re: XV de France (partie en cours)
Aaron Smith, le vétéran qui va défier Dupont
https://www.rugbyrama.fr/rugby/test-match/2019/test-match-aaron-smith-le-veteran-qui-va-defier-dupont_sto8632652/story.shtml
https://www.rugbyrama.fr/rugby/test-match/2019/test-match-aaron-smith-le-veteran-qui-va-defier-dupont_sto8632652/story.shtml
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Re: XV de France (partie en cours)
Je viens de rentrer dans notre beau pays, completement passé au travers de cette info, merci Scalp, j'étais assez étonné de la présence de Crétin sur la feuille.Scalp a écrit:densnewzealand a écrit:En fait, le rugby Français ne change pas, l'équipe de France reste toujours cette éprouvette à éssais , les selectionneurs se croient toujours plus forts que les autres, permuttant, commutant les postes et les joueurs au gré de leur feeling. Celà viens aussi du fait que cette équipe n'en est pas une , c'est une sélection. A contrario l'Irlande, consciente de son reservoir moindre, base toute ses forces sur son équipe nationale. Ils sont surtout forts chez eux, pendant le tournoi et lors de la réception une fois tous les deux ans des équipes du sud. En coupe du monde ils prennent des branlées , loin de leurs bases, et de leurs supporters, sans contexte favorable, et contre des équipes qui ont elles aussi eu le temps de se préparer. Et puis cette équipe d'Irlande mais quel ennui, cache ballon, enfin si çà plait , perso je regarde les Blacks tout les jours, l'Irlande je m'ennuie. Galthié éssaie de faire bouger les choses , mais il reste encore prisonnier de vieux reflexes. Pour ce match il ne fait que s'adapter aux Blacks, on densifie, on montre les muscles, on verra, il nous on bassiné avec Jalimack mais c'était contre les Blacks après deux matchs de prépa, qu'il fallait aller au bout de ses idées, meme si pour moi depuis le début elle n'est pas bonne. Donc on ne saura jamais ce que çà vaut , ah si peux-etre en demi de coupe de monde quand contraint par une série de blessures il nous ressortira la paire. Et nous dira , mais si on l'à testé cette association oui, il y à deux ans et contre la Georgie.
Pour demain , je ne sais que penser, les Blacks vont faire du jeu direct, la première mi temps risque etre sanglante, Cane va pourrir les rucks, Smith va gerer, j'ai l'impression que Foster nous sort ses vieux guerrier pour faire la guerre, mais le reservoir semble entamé. Ca va se regarder au début, mauls, touches , occupations, j'ai peur que Woki se retrouve un peu seul dans le traffic aérien, et puis le pin's Crétin sur le banc, j'aurais gardé Macalou tous les jours, comme j'aurais intégré Tolofua, en voyant nos difficultés à avancer au milieu.
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Re: XV de France (partie en cours)
densnewzealand a écrit:Je viens de rentrer dans notre beau pays, completement passé au travers de cette info, merci Scalp, j'étais assez étonné de la présence de Crétin sur la feuille.Scalp a écrit:densnewzealand a écrit:En fait, le rugby Français ne change pas, l'équipe de France reste toujours cette éprouvette à éssais , les selectionneurs se croient toujours plus forts que les autres, permuttant, commutant les postes et les joueurs au gré de leur feeling. Celà viens aussi du fait que cette équipe n'en est pas une , c'est une sélection. A contrario l'Irlande, consciente de son reservoir moindre, base toute ses forces sur son équipe nationale. Ils sont surtout forts chez eux, pendant le tournoi et lors de la réception une fois tous les deux ans des équipes du sud. En coupe du monde ils prennent des branlées , loin de leurs bases, et de leurs supporters, sans contexte favorable, et contre des équipes qui ont elles aussi eu le temps de se préparer. Et puis cette équipe d'Irlande mais quel ennui, cache ballon, enfin si çà plait , perso je regarde les Blacks tout les jours, l'Irlande je m'ennuie. Galthié éssaie de faire bouger les choses , mais il reste encore prisonnier de vieux reflexes. Pour ce match il ne fait que s'adapter aux Blacks, on densifie, on montre les muscles, on verra, il nous on bassiné avec Jalimack mais c'était contre les Blacks après deux matchs de prépa, qu'il fallait aller au bout de ses idées, meme si pour moi depuis le début elle n'est pas bonne. Donc on ne saura jamais ce que çà vaut , ah si peux-etre en demi de coupe de monde quand contraint par une série de blessures il nous ressortira la paire. Et nous dira , mais si on l'à testé cette association oui, il y à deux ans et contre la Georgie.
Pour demain , je ne sais que penser, les Blacks vont faire du jeu direct, la première mi temps risque etre sanglante, Cane va pourrir les rucks, Smith va gerer, j'ai l'impression que Foster nous sort ses vieux guerrier pour faire la guerre, mais le reservoir semble entamé. Ca va se regarder au début, mauls, touches , occupations, j'ai peur que Woki se retrouve un peu seul dans le traffic aérien, et puis le pin's Crétin sur le banc, j'aurais gardé Macalou tous les jours, comme j'aurais intégré Tolofua, en voyant nos difficultés à avancer au milieu.
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Franchement Dens, le match contre les Blacks était épique, je ne me suis pas emmerdé deux secondes, mais c'est vrai qu'avec les Irlandais ça peut arriver, surtout quand nous jouons contre eux, ce sont souvent des matchs d'où on ressort complètement frustré...
Mais pour revenir au match contre les Blacks, les Irlandais ont même lancé de belles attaques au large, ils ont été omniprésents, étouffant les Blacks, ils vont être chaud à affronter pendant le tournoi, surtout chez eux, comme tu dis
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Tests-les-all-blacks-coupes-du-monde-pendant-les-trois-mois-de-la-tournee/1299709
Tests : les All Blacks coupés du monde pendant les trois mois de la tournée
Partis de Nouvelle-Zélande le 28 août, les All Blacks en sont à leur douzième semaine de tournée dans une bulle sanitaire ultra-stricte.
Karim Ben-Ismail
Samedi matin, dans une rue de Dublin, on a croisé Peter O'Mahony. Six heures avant le choc face aux All Blacks, l'Irlandais avait déjà ces flammes d'avant combat dans le regard. La preuve, il a accompli un match époustouflant et contribué à la victoire (29-20, le 13 novembre) face aux Néo-Zélandais. La traditionnelle balade matinale d'avant match à laquelle le troisième-ligne et ses coéquipiers s'adonnaient est un rituel commun à toutes les équipes du monde. Sauf une : la Nouvelle-Zélande.
En état de vigilance pandémique maximale, les 39 joueurs et le staff all black évoluent depuis leur départ du pays au sein d'une bulle sanitaire ultra-stricte. Ils ont quitté leur île le 28 août pour disputer le Rugby Championship en Australie puis ont enchaîné avec un détour par les États-Unis afin de disputer un match de gala à Washington (victoire 104-14, le 23 octobre), avant de prendre la direction de l'Europe où les Néo-Zélandais n'avaient plus reposé leurs crampons depuis 2018. Pour nombre de joueurs dans cet effectif rajeuni, c'est une première sur le Vieux Continent. Avec la menace du Covid-19, cette tournée 2021 est devenue pour les joueurs un périple aux allures de voyage interstellaire. Depuis douze semaines, l'univers des All Blacks se résume au triptyque : hôtel, salle de musculation, terrain d'entraînement.
Au quotidien, ils ont pour recommandation de ne pas se laisser approcher à moins de deux mètres. « Même moi, je ne vais pas dans leur vestiaire », nous détaillait, jeudi, Mark Robinson, le président de la NZRU, la fédération néo-zélandaise, qui est hors bulle en raison de ses impératifs de relations publiques. Dans leurs hôtels, les All Blacks doivent éviter de converser avec les autres hôtes. À l'heure des repas, le personnel n'est pas le bienvenu dans leur salle de vie sanctuarisée. « Nous devons être très vigilants afin de préserver notre bulle, a insisté Sam Cane, en soldat, lors d'une conférence sur Zoom. Même si nous sommes vaccinés, nous ne pouvons pas nous permettre d'augmenter le risque de contracter le virus et de faire dérailler cette tournée . » À Washington, histoire de s'aérer un peu la tête, ils ont eu le droit à un tour des monuments de la ville en bus mais aux aurores, histoire de croiser le moins de personnes possibles. À Dublin, ils ont pu siroter une Guinness dans la maison mère, qui avait été privatisée pour l'occasion.
Lundi dernier, les joueurs, qui n'étaient jamais venus à Paris, ont été voir la tour Eiffel, mais à la nuit tombée, quand Paris s'endormait. Les autres ont préféré rester au repos, histoire de récupérer du match à très haute intensité (259 placages) livré face aux Irlandais. L'ambiance a radicalement changé depuis leur dernière venue à Paris il y a trois ans. Dans la bonne humeur, les joueurs s'étaient offerts une excursion en Vélib entre les quartiers du Marais et Montmartre.
Depuis des années, les All Blacks en tournée étaient en mode Beatles, multipliaient les animations et dédicaces pour leurs partenaires commerciaux. En 2007, cette hyper activité de « branding » avait d'ailleurs été reprochée à leur manager Darren Shand, jugée responsable de la défaite (18-20) infligée par les Français à Cardiff, en quarts de finale du Mondial 2007.
Cette épopée dans l'hémisphère Nord est vitale pour la NZRU, qui n'est pas au mieux niveau finances
En 2021, plus rien. Nada. Impossible de voir les hommes en noir dans le blanc des yeux. Ils sont presque devenus des avatars qu'on aperçoit via le petit écran d'un smartphone lors d'une conférence Zoom. On peut y poser une question, voire deux, jamais poursuivre une conversation. C'est clinique : chaque interaction avec une personne extérieure à la bulle pourrait compromettre la tournée, sportivement et - pire - financièrement. Car cette épopée dans l'hémisphère Nord est vitale pour la NZRU, qui n'est pas au mieux niveau finances. Son modèle économique périclite. En 2018, elle a perdu plus de quatre millions et demi d'euros. Et l'année suivante les pertes furent du même ordre.
Voilà pourquoi les All Blacks ont affronté le pays de Galles (le 30 octobre) hors de la fenêtre internationale. Tant pis si les clubs anglais ont refusé de libérer leurs joueurs, la Nouvelle Zélande s'est imposée à Cardiff (54 à 16) et ce petit « extra » a rapporté quelque 1,2 million d'euros à la fédé kiwi. Les Néo-Zélandais jouent beaucoup car il faut remplir les caisses. Avant d'affronter les Bleus au Stade de France, ils auront disputé quatorze matches internationaux. Ils en auront remporté douze et perdus deux, inscrit 695 points : 98 essais, 68 transformations et 22 pénalités. Ils restent une attraction qui séduit.
Quand un joueur intègre la sélection, on lui fait bien comprendre que ce n'est pas pour être une vedette. Il devient un membre actif de l'entreprise all black, ambassadeur de la marque. Du coup, même si les mesures sanitaires sont très contraignantes, les joueurs sont très proactifs dans leurs applications. Quand bien même ils auraient envie de pousser un grand cri et d'aller voir s'il n'y a pas un peu de vie hors de la bulle. Pas simple d'accepter cette réclusion quand on a grandi dans un pays très attaché à la nature et aux grands espaces. Mais c'est le job. Les malins, tels que Beauden et Jordie Barrett, David Havili ou Will Jordan, ont trouvé la parade : le golf. Dès qu'ils posent leur sac, ils localisent le parcours le plus proche pour aller s'y aérer l'esprit. Mercredi dernier, jour de repos, ils ont été swinguer au Golf national de Guyancourt, dans les Yvelines. Une nouvelle bouffée entre deux apnées.
Cette tournée 2021, placée sous le signe de la promiscuité et la longueur, a des similitudes avec celles des temps héroïques du début du siècle dernier, quand les All Blacks gagnaient l'Europe au terme d'un interminable voyage en bateau. En 1905, les « Originals », emmenés par leur capitaine Dave Gallaher, avaient quitté Wellington le 30 juillet à bord du Rimutaka pour gagner l'Angleterre cinq semaines plus tard ! Pour la première fois, des rugbymen néo-zélandais s'aventuraient au-delà de l'Australasie.
Conscient de la pesanteur sur le moral des troupes, Ian Foster et ses adjoints avaient accordé aux joueurs une semaine de break balnéaire sur la Sunshine Coast, dans l'État du Queensland australien, après la défaite contre l'Afrique du Sud (31-29, le 2 octobre).
« Ils sont fatigués et pensent à leur retour au pays »
Un proche des joueurs
Reste que manager l'envie et l'excellence des troupes, douze semaines durant, est un défi. « Ce n'est pas évident à encaisser, mais Gilly (Nic Gill, leur préparateur physique) est précieux pour permettre à chacun de garder de la fraîcheur et gérer les charges d'entraînement », expliquait Beauden Barrett. Après les Bleus, la quille : les Blacks repartiront en Nouvelle Zélande. Sitôt rentrés au pays, ils devront encore se soumettre à deux semaines de quarantaine en résidence avant de revoir leurs proches. Au total, ils seront restés quatorze semaines loin de chez eux. « Ils sont fatigués et pensent à leur retour au pays », nous confiait jeudi un proche des joueurs. « Ils vont être surmotivés pour ce dernier match face aux Français », nous promettait le frère d'un joueur.
Le baromètre de leurs stories Instagram, rare vecteur d'information, inspire la nostalgie avec de plus en plus de photos postées où l'on voit enfants et familles de joueurs ou paysages kiwi. Le manque est évident. Impossible de croiser les joueurs pour mesurer la dose de pétillance ou de lassitude dans leurs regards. Une certitude toutefois : la défaite subie en Irlande a sonné l'état d'urgence. « Dans le groupe, il y a eu un tas de réactions différentes, a avoué le troisième-ligne Sam Cane. De la déception, de la frustration et même un peu de colère . » Le coach a fustigé ses arrières pour leur précipitation et leur manque de précision en contre. Certains joueurs ont dû faire leur mea-culpa devant le groupe. « Ce n'est jamais facile, concède Cane. Mais si on l'envisage comme une étape pour progresser, ça devient positif. »
Foster nous assurait, dimanche soir, en interview : « Nous avons tous à coeur de finir cette tournée très, très fort ! » C'est capital pour le sélectionneur : une deuxième défaite d'affilée samedi contre les Bleus serait la troisième de la saison et le mettrait dans une situation très critique. Les Néo-Zélandais n'ont plus perdu à Paris depuis 1973 (13-6), dans un Parc des Princes tout juste inauguré.
À Dublin, les All Blacks étaient sortis de leur bulle pour découvrir la ferveur des 52 000 spectateurs de l'Aviva Stadium. L'imaginer est une chose, le vivre, ça s'encaisse. Samedi, ils vont entendre gronder la Marseillaise et les 79 000 spectateurs du stade de France. Voilà qui promet des éclairs.
Tests : les All Blacks coupés du monde pendant les trois mois de la tournée
Partis de Nouvelle-Zélande le 28 août, les All Blacks en sont à leur douzième semaine de tournée dans une bulle sanitaire ultra-stricte.
Karim Ben-Ismail
Samedi matin, dans une rue de Dublin, on a croisé Peter O'Mahony. Six heures avant le choc face aux All Blacks, l'Irlandais avait déjà ces flammes d'avant combat dans le regard. La preuve, il a accompli un match époustouflant et contribué à la victoire (29-20, le 13 novembre) face aux Néo-Zélandais. La traditionnelle balade matinale d'avant match à laquelle le troisième-ligne et ses coéquipiers s'adonnaient est un rituel commun à toutes les équipes du monde. Sauf une : la Nouvelle-Zélande.
En état de vigilance pandémique maximale, les 39 joueurs et le staff all black évoluent depuis leur départ du pays au sein d'une bulle sanitaire ultra-stricte. Ils ont quitté leur île le 28 août pour disputer le Rugby Championship en Australie puis ont enchaîné avec un détour par les États-Unis afin de disputer un match de gala à Washington (victoire 104-14, le 23 octobre), avant de prendre la direction de l'Europe où les Néo-Zélandais n'avaient plus reposé leurs crampons depuis 2018. Pour nombre de joueurs dans cet effectif rajeuni, c'est une première sur le Vieux Continent. Avec la menace du Covid-19, cette tournée 2021 est devenue pour les joueurs un périple aux allures de voyage interstellaire. Depuis douze semaines, l'univers des All Blacks se résume au triptyque : hôtel, salle de musculation, terrain d'entraînement.
Au quotidien, ils ont pour recommandation de ne pas se laisser approcher à moins de deux mètres. « Même moi, je ne vais pas dans leur vestiaire », nous détaillait, jeudi, Mark Robinson, le président de la NZRU, la fédération néo-zélandaise, qui est hors bulle en raison de ses impératifs de relations publiques. Dans leurs hôtels, les All Blacks doivent éviter de converser avec les autres hôtes. À l'heure des repas, le personnel n'est pas le bienvenu dans leur salle de vie sanctuarisée. « Nous devons être très vigilants afin de préserver notre bulle, a insisté Sam Cane, en soldat, lors d'une conférence sur Zoom. Même si nous sommes vaccinés, nous ne pouvons pas nous permettre d'augmenter le risque de contracter le virus et de faire dérailler cette tournée . » À Washington, histoire de s'aérer un peu la tête, ils ont eu le droit à un tour des monuments de la ville en bus mais aux aurores, histoire de croiser le moins de personnes possibles. À Dublin, ils ont pu siroter une Guinness dans la maison mère, qui avait été privatisée pour l'occasion.
Lundi dernier, les joueurs, qui n'étaient jamais venus à Paris, ont été voir la tour Eiffel, mais à la nuit tombée, quand Paris s'endormait. Les autres ont préféré rester au repos, histoire de récupérer du match à très haute intensité (259 placages) livré face aux Irlandais. L'ambiance a radicalement changé depuis leur dernière venue à Paris il y a trois ans. Dans la bonne humeur, les joueurs s'étaient offerts une excursion en Vélib entre les quartiers du Marais et Montmartre.
Depuis des années, les All Blacks en tournée étaient en mode Beatles, multipliaient les animations et dédicaces pour leurs partenaires commerciaux. En 2007, cette hyper activité de « branding » avait d'ailleurs été reprochée à leur manager Darren Shand, jugée responsable de la défaite (18-20) infligée par les Français à Cardiff, en quarts de finale du Mondial 2007.
Cette épopée dans l'hémisphère Nord est vitale pour la NZRU, qui n'est pas au mieux niveau finances
En 2021, plus rien. Nada. Impossible de voir les hommes en noir dans le blanc des yeux. Ils sont presque devenus des avatars qu'on aperçoit via le petit écran d'un smartphone lors d'une conférence Zoom. On peut y poser une question, voire deux, jamais poursuivre une conversation. C'est clinique : chaque interaction avec une personne extérieure à la bulle pourrait compromettre la tournée, sportivement et - pire - financièrement. Car cette épopée dans l'hémisphère Nord est vitale pour la NZRU, qui n'est pas au mieux niveau finances. Son modèle économique périclite. En 2018, elle a perdu plus de quatre millions et demi d'euros. Et l'année suivante les pertes furent du même ordre.
Voilà pourquoi les All Blacks ont affronté le pays de Galles (le 30 octobre) hors de la fenêtre internationale. Tant pis si les clubs anglais ont refusé de libérer leurs joueurs, la Nouvelle Zélande s'est imposée à Cardiff (54 à 16) et ce petit « extra » a rapporté quelque 1,2 million d'euros à la fédé kiwi. Les Néo-Zélandais jouent beaucoup car il faut remplir les caisses. Avant d'affronter les Bleus au Stade de France, ils auront disputé quatorze matches internationaux. Ils en auront remporté douze et perdus deux, inscrit 695 points : 98 essais, 68 transformations et 22 pénalités. Ils restent une attraction qui séduit.
Quand un joueur intègre la sélection, on lui fait bien comprendre que ce n'est pas pour être une vedette. Il devient un membre actif de l'entreprise all black, ambassadeur de la marque. Du coup, même si les mesures sanitaires sont très contraignantes, les joueurs sont très proactifs dans leurs applications. Quand bien même ils auraient envie de pousser un grand cri et d'aller voir s'il n'y a pas un peu de vie hors de la bulle. Pas simple d'accepter cette réclusion quand on a grandi dans un pays très attaché à la nature et aux grands espaces. Mais c'est le job. Les malins, tels que Beauden et Jordie Barrett, David Havili ou Will Jordan, ont trouvé la parade : le golf. Dès qu'ils posent leur sac, ils localisent le parcours le plus proche pour aller s'y aérer l'esprit. Mercredi dernier, jour de repos, ils ont été swinguer au Golf national de Guyancourt, dans les Yvelines. Une nouvelle bouffée entre deux apnées.
Cette tournée 2021, placée sous le signe de la promiscuité et la longueur, a des similitudes avec celles des temps héroïques du début du siècle dernier, quand les All Blacks gagnaient l'Europe au terme d'un interminable voyage en bateau. En 1905, les « Originals », emmenés par leur capitaine Dave Gallaher, avaient quitté Wellington le 30 juillet à bord du Rimutaka pour gagner l'Angleterre cinq semaines plus tard ! Pour la première fois, des rugbymen néo-zélandais s'aventuraient au-delà de l'Australasie.
Conscient de la pesanteur sur le moral des troupes, Ian Foster et ses adjoints avaient accordé aux joueurs une semaine de break balnéaire sur la Sunshine Coast, dans l'État du Queensland australien, après la défaite contre l'Afrique du Sud (31-29, le 2 octobre).
« Ils sont fatigués et pensent à leur retour au pays »
Un proche des joueurs
Reste que manager l'envie et l'excellence des troupes, douze semaines durant, est un défi. « Ce n'est pas évident à encaisser, mais Gilly (Nic Gill, leur préparateur physique) est précieux pour permettre à chacun de garder de la fraîcheur et gérer les charges d'entraînement », expliquait Beauden Barrett. Après les Bleus, la quille : les Blacks repartiront en Nouvelle Zélande. Sitôt rentrés au pays, ils devront encore se soumettre à deux semaines de quarantaine en résidence avant de revoir leurs proches. Au total, ils seront restés quatorze semaines loin de chez eux. « Ils sont fatigués et pensent à leur retour au pays », nous confiait jeudi un proche des joueurs. « Ils vont être surmotivés pour ce dernier match face aux Français », nous promettait le frère d'un joueur.
Le baromètre de leurs stories Instagram, rare vecteur d'information, inspire la nostalgie avec de plus en plus de photos postées où l'on voit enfants et familles de joueurs ou paysages kiwi. Le manque est évident. Impossible de croiser les joueurs pour mesurer la dose de pétillance ou de lassitude dans leurs regards. Une certitude toutefois : la défaite subie en Irlande a sonné l'état d'urgence. « Dans le groupe, il y a eu un tas de réactions différentes, a avoué le troisième-ligne Sam Cane. De la déception, de la frustration et même un peu de colère . » Le coach a fustigé ses arrières pour leur précipitation et leur manque de précision en contre. Certains joueurs ont dû faire leur mea-culpa devant le groupe. « Ce n'est jamais facile, concède Cane. Mais si on l'envisage comme une étape pour progresser, ça devient positif. »
Foster nous assurait, dimanche soir, en interview : « Nous avons tous à coeur de finir cette tournée très, très fort ! » C'est capital pour le sélectionneur : une deuxième défaite d'affilée samedi contre les Bleus serait la troisième de la saison et le mettrait dans une situation très critique. Les Néo-Zélandais n'ont plus perdu à Paris depuis 1973 (13-6), dans un Parc des Princes tout juste inauguré.
À Dublin, les All Blacks étaient sortis de leur bulle pour découvrir la ferveur des 52 000 spectateurs de l'Aviva Stadium. L'imaginer est une chose, le vivre, ça s'encaisse. Samedi, ils vont entendre gronder la Marseillaise et les 79 000 spectateurs du stade de France. Voilà qui promet des éclairs.
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Re: XV de France (partie en cours)
Tu as raison, leur engagement, leur stratégie, tout à été remarquable, chez les Irish, Samedi, je suis juste plus mesuré sur leurs capacités a reproduire çà en coupe du monde, ce qu'il n'ont jamais fait d'aiileurs. Aprés c'est l'equipe britannique qui me fait le moins tripper, si tant est qu'il y en une. mais c'est affaire de goût. Le cache ballon, qu'il ont érigé en totem de l'équipe nationale aux provinces trés peu pour moi. Mais c'est maitrisé et dans la règle.Scalp a écrit:densnewzealand a écrit:Je viens de rentrer dans notre beau pays, completement passé au travers de cette info, merci Scalp, j'étais assez étonné de la présence de Crétin sur la feuille.Scalp a écrit:densnewzealand a écrit:En fait, le rugby Français ne change pas, l'équipe de France reste toujours cette éprouvette à éssais , les selectionneurs se croient toujours plus forts que les autres, permuttant, commutant les postes et les joueurs au gré de leur feeling. Celà viens aussi du fait que cette équipe n'en est pas une , c'est une sélection. A contrario l'Irlande, consciente de son reservoir moindre, base toute ses forces sur son équipe nationale. Ils sont surtout forts chez eux, pendant le tournoi et lors de la réception une fois tous les deux ans des équipes du sud. En coupe du monde ils prennent des branlées , loin de leurs bases, et de leurs supporters, sans contexte favorable, et contre des équipes qui ont elles aussi eu le temps de se préparer. Et puis cette équipe d'Irlande mais quel ennui, cache ballon, enfin si çà plait , perso je regarde les Blacks tout les jours, l'Irlande je m'ennuie. Galthié éssaie de faire bouger les choses , mais il reste encore prisonnier de vieux reflexes. Pour ce match il ne fait que s'adapter aux Blacks, on densifie, on montre les muscles, on verra, il nous on bassiné avec Jalimack mais c'était contre les Blacks après deux matchs de prépa, qu'il fallait aller au bout de ses idées, meme si pour moi depuis le début elle n'est pas bonne. Donc on ne saura jamais ce que çà vaut , ah si peux-etre en demi de coupe de monde quand contraint par une série de blessures il nous ressortira la paire. Et nous dira , mais si on l'à testé cette association oui, il y à deux ans et contre la Georgie.
Pour demain , je ne sais que penser, les Blacks vont faire du jeu direct, la première mi temps risque etre sanglante, Cane va pourrir les rucks, Smith va gerer, j'ai l'impression que Foster nous sort ses vieux guerrier pour faire la guerre, mais le reservoir semble entamé. Ca va se regarder au début, mauls, touches , occupations, j'ai peur que Woki se retrouve un peu seul dans le traffic aérien, et puis le pin's Crétin sur le banc, j'aurais gardé Macalou tous les jours, comme j'aurais intégré Tolofua, en voyant nos difficultés à avancer au milieu.
Macalou est blessé
Franchement Dens, le match contre les Blacks était épique, je ne me suis pas emmerdé deux secondes, mais c'est vrai qu'avec les Irlandais ça peut arriver, surtout quand nous jouons contre eux, ce sont souvent des matchs d'où on ressort complètement frustré...
Mais pour revenir au match contre les Blacks, les Irlandais ont même lancé de belles attaques au large, ils ont été omniprésents, étouffant les Blacks, ils vont être chaud à affronter pendant le tournoi, surtout chez eux, comme tu dis
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Re: XV de France (partie en cours)
densnewzealand a écrit:Scalp a écrit:densnewzealand a écrit:Je viens de rentrer dans notre beau pays, completement passé au travers de cette info, merci Scalp, j'étais assez étonné de la présence de Crétin sur la feuille.Scalp a écrit:densnewzealand a écrit:En fait, le rugby Français ne change pas, l'équipe de France reste toujours cette éprouvette à éssais , les selectionneurs se croient toujours plus forts que les autres, permuttant, commutant les postes et les joueurs au gré de leur feeling. Celà viens aussi du fait que cette équipe n'en est pas une , c'est une sélection. A contrario l'Irlande, consciente de son reservoir moindre, base toute ses forces sur son équipe nationale. Ils sont surtout forts chez eux, pendant le tournoi et lors de la réception une fois tous les deux ans des équipes du sud. En coupe du monde ils prennent des branlées , loin de leurs bases, et de leurs supporters, sans contexte favorable, et contre des équipes qui ont elles aussi eu le temps de se préparer. Et puis cette équipe d'Irlande mais quel ennui, cache ballon, enfin si çà plait , perso je regarde les Blacks tout les jours, l'Irlande je m'ennuie. Galthié éssaie de faire bouger les choses , mais il reste encore prisonnier de vieux reflexes. Pour ce match il ne fait que s'adapter aux Blacks, on densifie, on montre les muscles, on verra, il nous on bassiné avec Jalimack mais c'était contre les Blacks après deux matchs de prépa, qu'il fallait aller au bout de ses idées, meme si pour moi depuis le début elle n'est pas bonne. Donc on ne saura jamais ce que çà vaut , ah si peux-etre en demi de coupe de monde quand contraint par une série de blessures il nous ressortira la paire. Et nous dira , mais si on l'à testé cette association oui, il y à deux ans et contre la Georgie.
Pour demain , je ne sais que penser, les Blacks vont faire du jeu direct, la première mi temps risque etre sanglante, Cane va pourrir les rucks, Smith va gerer, j'ai l'impression que Foster nous sort ses vieux guerrier pour faire la guerre, mais le reservoir semble entamé. Ca va se regarder au début, mauls, touches , occupations, j'ai peur que Woki se retrouve un peu seul dans le traffic aérien, et puis le pin's Crétin sur le banc, j'aurais gardé Macalou tous les jours, comme j'aurais intégré Tolofua, en voyant nos difficultés à avancer au milieu.
Macalou est blessé
Franchement Dens, le match contre les Blacks était épique, je ne me suis pas emmerdé deux secondes, mais c'est vrai qu'avec les Irlandais ça peut arriver, surtout quand nous jouons contre eux, ce sont souvent des matchs d'où on ressort complètement frustré...
Mais pour revenir au match contre les Blacks, les Irlandais ont même lancé de belles attaques au large, ils ont été omniprésents, étouffant les Blacks, ils vont être chaud à affronter pendant le tournoi, surtout chez eux, comme tu dis
Tu as raison, leur engagement, leur stratégie, tout à été remarquable, chez les Irish, Samedi, je suis juste plus mesuré sur leurs capacités a reproduire çà en coupe du monde, ce qu'il n'ont jamais fait d'aiileurs. Aprés c'est l'equipe britannique qui me fait le moins tripper, si tant est qu'il y en une. mais c'est affaire de goût. Le cache ballon, qu'il ont érigé en totem de l'équipe nationale aux provinces trés peu pour moi. Mais c'est maitrisé et dans la règle.
On est d'accord, globalement ils sont aussi redoutablement chiants à jouer qu'à voir et ça va être compliqué qu'ils rééditent un match du niveau de celui qu'ils ont produit contre les Blacks, en dehors de la maison, Urios dirait qu'ils étaient possédés
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Comment-la-victoire-irlandaise-peut-inspirer-les-bleus-face-aux-all-blacks/1299840
Comment la victoire irlandaise peut inspirer les Bleus face aux All Blacks
La brillante victoire des Irlandais le week-end dernier face aux All Blacks (29-20) a donné quelques pistes pour faire chuter l'ogre néo-zélandais. Les Bleus pourraient s'en inspirer samedi soir (21 heures).
Adrien Corée
La formidable bataille livrée par le quinze du Trèfle le week-end passé à Dublin a impressionné tout le monde. Les Irlandais ont renversé la Nouvelle-Zélande (29-20) avec une autorité rarement vue face aux hommes en noir. Une prouesse qui a évidemment retenu l'attention du sélectionneur tricolore Fabien Galthié.
« Les Irlandais ont sorti un match fantastique, il n'y a pas assez de superlatifs pour parler de leur performance », a-t-il salué, tout en assurant qu'il ne fallait « pas les copier » en vue du choc de samedi soir au Stade de France (21 heures) : « Les Irlandais ont leur propre jeu, nous n'avons pas les mêmes joueurs ni le même rugby. » Si les styles français et irlandais diffèrent, les Bleus pourraient tout de même s'inspirer du sommet de Dublin pour infliger à la Nouvelle-Zélande une deuxième défaite d'affilée.
La possession
Cela a sauté aux yeux. Samedi, à l'Aviva Stadium, les Irlandais ont posé la main sur le ballon, le confisquant aux Blacks. Les joueurs d'Andy Farrell ont eu 60 % de possession et se sont ainsi mis le plus possible à l'abri des incroyables qualités offensives néo-zélandaises. Car, même s'ils ont très peu touché le ballon, les Blacks se sont montrés dangereux (6 franchissements contre 3 aux Irlandais) et efficaces (2 essais).
« On sait ce qu'il peut se passer quand les All Blacks ont le ballon, à nous de faire en sorte qu'ils ne l'aient pas »
Gaël Fickou, centre du quinze de France
Après la victoire face à la Géorgie dimanche (41-15), le centre des Bleus Gaël Fickou a livré quelques indications sur la façon dont l'équipe de France pourrait aussi s'adonner au jeu de cache-ballon : « On connaît tous les All Blacks, c'est une équipe redoutable. L'Irlande les a très bien pris. Ils ont eu très peu de munitions, mais avec le peu qu'ils ont eues, ils ont marqué. On sait ce qu'il peut se passer quand ils ont le ballon, à nous de faire en sorte qu'ils ne l'aient pas. »
Depuis la fin du dernier Tournoi des Six Nations, le quinze de France a pris un virage dans son style de jeu. Fini la dépossession, les Bleus tiennent désormais beaucoup plus le ballon. Une tendance observée face aux Pumas (53 % de possession) et aux Lelos (57 %). Face aux Blacks, les joueurs de Galthié devraient poursuivre cette mue, encouragés par le modèle irlandais.
L'engagement
Tous ceux qui ont regardé Irlande - Nouvelle-Zélande samedi dernier ont eu la même impression. Celle d'avoir assisté à un essorage en règle. Les Blacks ont passé leur après-midi dans la machine à laver dublinoise et en sont ressortis rincés. Les Irlandais ont imposé un rythme fou, frappant par vagues incessantes sur le mur noir qui a fini par se fendre.
L'image de Codie Taylor, cherchant de l'air, asphyxié avant même la mi-temps, résume bien le niveau d'engagement et l'intensité mis par le quinze du Trèfle. Le ballon a beaucoup circulé : le demi de mêlée Jamison Gibson-Park a éjecté le plus rapidement possible, pour minimiser le temps passé dans les rucks, où les Irlandais ne se sont d'ailleurs pas concentrés.
Pour s'offrir des espaces et fixer les défenseurs, l'Irlande s'est acharnée au milieu du terrain avec le puissant Bundee Aki en premier attaquant. Jonathan Danty pourrait avoir un rôle similaire samedi soir pour les Bleus. C'est d'ailleurs un des arguments qui ont convaincu Galthié de ne pas reconduire l'association Jalibert-Ntamack, afin de densifier sa ligne de trois-quarts.
La bataille des airs a également été remportée par l'Irlande à Dublin : on a ainsi vu l'ailier Andrew Conway gêner les avants néo-zélandais sous les renvois et récupérer des munitions. Cela tombe bien, le quinze de France a fait de ce pressing une force et Damian Penaud pourrait lui aussi jouer les pénibles voltigeurs dans la nuit dyonisienne.
La résilience
La dimension psychologique est toujours importante au moment d'affronter les All Blacks. Pour toute la mythologie qui les accompagne, mais aussi pour leur côté « tueur » froid et sans pitié. Face à eux, une demi-seconde d'inattention, une passe moyennement assurée, peut coûter cher. Les Irlandais l'ont expérimenté samedi : malgré leur excellente partition, ils ont encaissé deux essais éclairs sur des micro-erreurs.
Et tout leur mérite a été de rester dans leur match, de maintenir leur curseur et leur niveau, alors que les circonstances leur semblaient défavorables. Beaucoup d'équipes auraient baissé les bras devant la défense néo-zélandaise impressionnante qui a repoussé tant d'assauts irlandais en première période. Même menés à la pause (5-10) après quarante minutes pourtant à sens unique, les joueurs du quinze du Trèfle ont persévéré et gardé le cap qu'ils s'étaient fixé. C'est difficile de manière générale, ça l'est encore plus face aux All Blacks.
Le quinze de France sera forcément confronté à des moments difficiles samedi soir, mais il devra faire preuve de la même résilience que les Irlandais, en encaissant les coups ou en ne se frustrant pas à la moindre déconvenue. Depuis deux ans, les Bleus ont plus souvent craqué sur la fin que l'inverse. Ces échecs répétés peuvent marquer mentalement. Mais ils ne sont pas rédhibitoires. La preuve, la France a déjà forcé son destin dans l'adversité, face au pays de Galles durant le dernier Tournoi (32-30) ou lors du deuxième test en Australie cet été (28-26).
Comment la victoire irlandaise peut inspirer les Bleus face aux All Blacks
La brillante victoire des Irlandais le week-end dernier face aux All Blacks (29-20) a donné quelques pistes pour faire chuter l'ogre néo-zélandais. Les Bleus pourraient s'en inspirer samedi soir (21 heures).
Adrien Corée
La formidable bataille livrée par le quinze du Trèfle le week-end passé à Dublin a impressionné tout le monde. Les Irlandais ont renversé la Nouvelle-Zélande (29-20) avec une autorité rarement vue face aux hommes en noir. Une prouesse qui a évidemment retenu l'attention du sélectionneur tricolore Fabien Galthié.
« Les Irlandais ont sorti un match fantastique, il n'y a pas assez de superlatifs pour parler de leur performance », a-t-il salué, tout en assurant qu'il ne fallait « pas les copier » en vue du choc de samedi soir au Stade de France (21 heures) : « Les Irlandais ont leur propre jeu, nous n'avons pas les mêmes joueurs ni le même rugby. » Si les styles français et irlandais diffèrent, les Bleus pourraient tout de même s'inspirer du sommet de Dublin pour infliger à la Nouvelle-Zélande une deuxième défaite d'affilée.
La possession
Cela a sauté aux yeux. Samedi, à l'Aviva Stadium, les Irlandais ont posé la main sur le ballon, le confisquant aux Blacks. Les joueurs d'Andy Farrell ont eu 60 % de possession et se sont ainsi mis le plus possible à l'abri des incroyables qualités offensives néo-zélandaises. Car, même s'ils ont très peu touché le ballon, les Blacks se sont montrés dangereux (6 franchissements contre 3 aux Irlandais) et efficaces (2 essais).
« On sait ce qu'il peut se passer quand les All Blacks ont le ballon, à nous de faire en sorte qu'ils ne l'aient pas »
Gaël Fickou, centre du quinze de France
Après la victoire face à la Géorgie dimanche (41-15), le centre des Bleus Gaël Fickou a livré quelques indications sur la façon dont l'équipe de France pourrait aussi s'adonner au jeu de cache-ballon : « On connaît tous les All Blacks, c'est une équipe redoutable. L'Irlande les a très bien pris. Ils ont eu très peu de munitions, mais avec le peu qu'ils ont eues, ils ont marqué. On sait ce qu'il peut se passer quand ils ont le ballon, à nous de faire en sorte qu'ils ne l'aient pas. »
Depuis la fin du dernier Tournoi des Six Nations, le quinze de France a pris un virage dans son style de jeu. Fini la dépossession, les Bleus tiennent désormais beaucoup plus le ballon. Une tendance observée face aux Pumas (53 % de possession) et aux Lelos (57 %). Face aux Blacks, les joueurs de Galthié devraient poursuivre cette mue, encouragés par le modèle irlandais.
L'engagement
Tous ceux qui ont regardé Irlande - Nouvelle-Zélande samedi dernier ont eu la même impression. Celle d'avoir assisté à un essorage en règle. Les Blacks ont passé leur après-midi dans la machine à laver dublinoise et en sont ressortis rincés. Les Irlandais ont imposé un rythme fou, frappant par vagues incessantes sur le mur noir qui a fini par se fendre.
L'image de Codie Taylor, cherchant de l'air, asphyxié avant même la mi-temps, résume bien le niveau d'engagement et l'intensité mis par le quinze du Trèfle. Le ballon a beaucoup circulé : le demi de mêlée Jamison Gibson-Park a éjecté le plus rapidement possible, pour minimiser le temps passé dans les rucks, où les Irlandais ne se sont d'ailleurs pas concentrés.
Pour s'offrir des espaces et fixer les défenseurs, l'Irlande s'est acharnée au milieu du terrain avec le puissant Bundee Aki en premier attaquant. Jonathan Danty pourrait avoir un rôle similaire samedi soir pour les Bleus. C'est d'ailleurs un des arguments qui ont convaincu Galthié de ne pas reconduire l'association Jalibert-Ntamack, afin de densifier sa ligne de trois-quarts.
La bataille des airs a également été remportée par l'Irlande à Dublin : on a ainsi vu l'ailier Andrew Conway gêner les avants néo-zélandais sous les renvois et récupérer des munitions. Cela tombe bien, le quinze de France a fait de ce pressing une force et Damian Penaud pourrait lui aussi jouer les pénibles voltigeurs dans la nuit dyonisienne.
La résilience
La dimension psychologique est toujours importante au moment d'affronter les All Blacks. Pour toute la mythologie qui les accompagne, mais aussi pour leur côté « tueur » froid et sans pitié. Face à eux, une demi-seconde d'inattention, une passe moyennement assurée, peut coûter cher. Les Irlandais l'ont expérimenté samedi : malgré leur excellente partition, ils ont encaissé deux essais éclairs sur des micro-erreurs.
Et tout leur mérite a été de rester dans leur match, de maintenir leur curseur et leur niveau, alors que les circonstances leur semblaient défavorables. Beaucoup d'équipes auraient baissé les bras devant la défense néo-zélandaise impressionnante qui a repoussé tant d'assauts irlandais en première période. Même menés à la pause (5-10) après quarante minutes pourtant à sens unique, les joueurs du quinze du Trèfle ont persévéré et gardé le cap qu'ils s'étaient fixé. C'est difficile de manière générale, ça l'est encore plus face aux All Blacks.
Le quinze de France sera forcément confronté à des moments difficiles samedi soir, mais il devra faire preuve de la même résilience que les Irlandais, en encaissant les coups ou en ne se frustrant pas à la moindre déconvenue. Depuis deux ans, les Bleus ont plus souvent craqué sur la fin que l'inverse. Ces échecs répétés peuvent marquer mentalement. Mais ils ne sont pas rédhibitoires. La preuve, la France a déjà forcé son destin dans l'adversité, face au pays de Galles durant le dernier Tournoi (32-30) ou lors du deuxième test en Australie cet été (28-26).
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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