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XV de France (partie en cours)
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Comment-la-victoire-irlandaise-peut-inspirer-les-bleus-face-aux-all-blacks/1299840
Comment la victoire irlandaise peut inspirer les Bleus face aux All Blacks
La brillante victoire des Irlandais le week-end dernier face aux All Blacks (29-20) a donné quelques pistes pour faire chuter l'ogre néo-zélandais. Les Bleus pourraient s'en inspirer samedi soir (21 heures).
Adrien Corée
La formidable bataille livrée par le quinze du Trèfle le week-end passé à Dublin a impressionné tout le monde. Les Irlandais ont renversé la Nouvelle-Zélande (29-20) avec une autorité rarement vue face aux hommes en noir. Une prouesse qui a évidemment retenu l'attention du sélectionneur tricolore Fabien Galthié.
« Les Irlandais ont sorti un match fantastique, il n'y a pas assez de superlatifs pour parler de leur performance », a-t-il salué, tout en assurant qu'il ne fallait « pas les copier » en vue du choc de samedi soir au Stade de France (21 heures) : « Les Irlandais ont leur propre jeu, nous n'avons pas les mêmes joueurs ni le même rugby. » Si les styles français et irlandais diffèrent, les Bleus pourraient tout de même s'inspirer du sommet de Dublin pour infliger à la Nouvelle-Zélande une deuxième défaite d'affilée.
La possession
Cela a sauté aux yeux. Samedi, à l'Aviva Stadium, les Irlandais ont posé la main sur le ballon, le confisquant aux Blacks. Les joueurs d'Andy Farrell ont eu 60 % de possession et se sont ainsi mis le plus possible à l'abri des incroyables qualités offensives néo-zélandaises. Car, même s'ils ont très peu touché le ballon, les Blacks se sont montrés dangereux (6 franchissements contre 3 aux Irlandais) et efficaces (2 essais).
« On sait ce qu'il peut se passer quand les All Blacks ont le ballon, à nous de faire en sorte qu'ils ne l'aient pas »
Gaël Fickou, centre du quinze de France
Après la victoire face à la Géorgie dimanche (41-15), le centre des Bleus Gaël Fickou a livré quelques indications sur la façon dont l'équipe de France pourrait aussi s'adonner au jeu de cache-ballon : « On connaît tous les All Blacks, c'est une équipe redoutable. L'Irlande les a très bien pris. Ils ont eu très peu de munitions, mais avec le peu qu'ils ont eues, ils ont marqué. On sait ce qu'il peut se passer quand ils ont le ballon, à nous de faire en sorte qu'ils ne l'aient pas. »
Depuis la fin du dernier Tournoi des Six Nations, le quinze de France a pris un virage dans son style de jeu. Fini la dépossession, les Bleus tiennent désormais beaucoup plus le ballon. Une tendance observée face aux Pumas (53 % de possession) et aux Lelos (57 %). Face aux Blacks, les joueurs de Galthié devraient poursuivre cette mue, encouragés par le modèle irlandais.
L'engagement
Tous ceux qui ont regardé Irlande - Nouvelle-Zélande samedi dernier ont eu la même impression. Celle d'avoir assisté à un essorage en règle. Les Blacks ont passé leur après-midi dans la machine à laver dublinoise et en sont ressortis rincés. Les Irlandais ont imposé un rythme fou, frappant par vagues incessantes sur le mur noir qui a fini par se fendre.
L'image de Codie Taylor, cherchant de l'air, asphyxié avant même la mi-temps, résume bien le niveau d'engagement et l'intensité mis par le quinze du Trèfle. Le ballon a beaucoup circulé : le demi de mêlée Jamison Gibson-Park a éjecté le plus rapidement possible, pour minimiser le temps passé dans les rucks, où les Irlandais ne se sont d'ailleurs pas concentrés.
Pour s'offrir des espaces et fixer les défenseurs, l'Irlande s'est acharnée au milieu du terrain avec le puissant Bundee Aki en premier attaquant. Jonathan Danty pourrait avoir un rôle similaire samedi soir pour les Bleus. C'est d'ailleurs un des arguments qui ont convaincu Galthié de ne pas reconduire l'association Jalibert-Ntamack, afin de densifier sa ligne de trois-quarts.
La bataille des airs a également été remportée par l'Irlande à Dublin : on a ainsi vu l'ailier Andrew Conway gêner les avants néo-zélandais sous les renvois et récupérer des munitions. Cela tombe bien, le quinze de France a fait de ce pressing une force et Damian Penaud pourrait lui aussi jouer les pénibles voltigeurs dans la nuit dyonisienne.
La résilience
La dimension psychologique est toujours importante au moment d'affronter les All Blacks. Pour toute la mythologie qui les accompagne, mais aussi pour leur côté « tueur » froid et sans pitié. Face à eux, une demi-seconde d'inattention, une passe moyennement assurée, peut coûter cher. Les Irlandais l'ont expérimenté samedi : malgré leur excellente partition, ils ont encaissé deux essais éclairs sur des micro-erreurs.
Et tout leur mérite a été de rester dans leur match, de maintenir leur curseur et leur niveau, alors que les circonstances leur semblaient défavorables. Beaucoup d'équipes auraient baissé les bras devant la défense néo-zélandaise impressionnante qui a repoussé tant d'assauts irlandais en première période. Même menés à la pause (5-10) après quarante minutes pourtant à sens unique, les joueurs du quinze du Trèfle ont persévéré et gardé le cap qu'ils s'étaient fixé. C'est difficile de manière générale, ça l'est encore plus face aux All Blacks.
Le quinze de France sera forcément confronté à des moments difficiles samedi soir, mais il devra faire preuve de la même résilience que les Irlandais, en encaissant les coups ou en ne se frustrant pas à la moindre déconvenue. Depuis deux ans, les Bleus ont plus souvent craqué sur la fin que l'inverse. Ces échecs répétés peuvent marquer mentalement. Mais ils ne sont pas rédhibitoires. La preuve, la France a déjà forcé son destin dans l'adversité, face au pays de Galles durant le dernier Tournoi (32-30) ou lors du deuxième test en Australie cet été (28-26).
Comment la victoire irlandaise peut inspirer les Bleus face aux All Blacks
La brillante victoire des Irlandais le week-end dernier face aux All Blacks (29-20) a donné quelques pistes pour faire chuter l'ogre néo-zélandais. Les Bleus pourraient s'en inspirer samedi soir (21 heures).
Adrien Corée
La formidable bataille livrée par le quinze du Trèfle le week-end passé à Dublin a impressionné tout le monde. Les Irlandais ont renversé la Nouvelle-Zélande (29-20) avec une autorité rarement vue face aux hommes en noir. Une prouesse qui a évidemment retenu l'attention du sélectionneur tricolore Fabien Galthié.
« Les Irlandais ont sorti un match fantastique, il n'y a pas assez de superlatifs pour parler de leur performance », a-t-il salué, tout en assurant qu'il ne fallait « pas les copier » en vue du choc de samedi soir au Stade de France (21 heures) : « Les Irlandais ont leur propre jeu, nous n'avons pas les mêmes joueurs ni le même rugby. » Si les styles français et irlandais diffèrent, les Bleus pourraient tout de même s'inspirer du sommet de Dublin pour infliger à la Nouvelle-Zélande une deuxième défaite d'affilée.
La possession
Cela a sauté aux yeux. Samedi, à l'Aviva Stadium, les Irlandais ont posé la main sur le ballon, le confisquant aux Blacks. Les joueurs d'Andy Farrell ont eu 60 % de possession et se sont ainsi mis le plus possible à l'abri des incroyables qualités offensives néo-zélandaises. Car, même s'ils ont très peu touché le ballon, les Blacks se sont montrés dangereux (6 franchissements contre 3 aux Irlandais) et efficaces (2 essais).
« On sait ce qu'il peut se passer quand les All Blacks ont le ballon, à nous de faire en sorte qu'ils ne l'aient pas »
Gaël Fickou, centre du quinze de France
Après la victoire face à la Géorgie dimanche (41-15), le centre des Bleus Gaël Fickou a livré quelques indications sur la façon dont l'équipe de France pourrait aussi s'adonner au jeu de cache-ballon : « On connaît tous les All Blacks, c'est une équipe redoutable. L'Irlande les a très bien pris. Ils ont eu très peu de munitions, mais avec le peu qu'ils ont eues, ils ont marqué. On sait ce qu'il peut se passer quand ils ont le ballon, à nous de faire en sorte qu'ils ne l'aient pas. »
Depuis la fin du dernier Tournoi des Six Nations, le quinze de France a pris un virage dans son style de jeu. Fini la dépossession, les Bleus tiennent désormais beaucoup plus le ballon. Une tendance observée face aux Pumas (53 % de possession) et aux Lelos (57 %). Face aux Blacks, les joueurs de Galthié devraient poursuivre cette mue, encouragés par le modèle irlandais.
L'engagement
Tous ceux qui ont regardé Irlande - Nouvelle-Zélande samedi dernier ont eu la même impression. Celle d'avoir assisté à un essorage en règle. Les Blacks ont passé leur après-midi dans la machine à laver dublinoise et en sont ressortis rincés. Les Irlandais ont imposé un rythme fou, frappant par vagues incessantes sur le mur noir qui a fini par se fendre.
L'image de Codie Taylor, cherchant de l'air, asphyxié avant même la mi-temps, résume bien le niveau d'engagement et l'intensité mis par le quinze du Trèfle. Le ballon a beaucoup circulé : le demi de mêlée Jamison Gibson-Park a éjecté le plus rapidement possible, pour minimiser le temps passé dans les rucks, où les Irlandais ne se sont d'ailleurs pas concentrés.
Pour s'offrir des espaces et fixer les défenseurs, l'Irlande s'est acharnée au milieu du terrain avec le puissant Bundee Aki en premier attaquant. Jonathan Danty pourrait avoir un rôle similaire samedi soir pour les Bleus. C'est d'ailleurs un des arguments qui ont convaincu Galthié de ne pas reconduire l'association Jalibert-Ntamack, afin de densifier sa ligne de trois-quarts.
La bataille des airs a également été remportée par l'Irlande à Dublin : on a ainsi vu l'ailier Andrew Conway gêner les avants néo-zélandais sous les renvois et récupérer des munitions. Cela tombe bien, le quinze de France a fait de ce pressing une force et Damian Penaud pourrait lui aussi jouer les pénibles voltigeurs dans la nuit dyonisienne.
La résilience
La dimension psychologique est toujours importante au moment d'affronter les All Blacks. Pour toute la mythologie qui les accompagne, mais aussi pour leur côté « tueur » froid et sans pitié. Face à eux, une demi-seconde d'inattention, une passe moyennement assurée, peut coûter cher. Les Irlandais l'ont expérimenté samedi : malgré leur excellente partition, ils ont encaissé deux essais éclairs sur des micro-erreurs.
Et tout leur mérite a été de rester dans leur match, de maintenir leur curseur et leur niveau, alors que les circonstances leur semblaient défavorables. Beaucoup d'équipes auraient baissé les bras devant la défense néo-zélandaise impressionnante qui a repoussé tant d'assauts irlandais en première période. Même menés à la pause (5-10) après quarante minutes pourtant à sens unique, les joueurs du quinze du Trèfle ont persévéré et gardé le cap qu'ils s'étaient fixé. C'est difficile de manière générale, ça l'est encore plus face aux All Blacks.
Le quinze de France sera forcément confronté à des moments difficiles samedi soir, mais il devra faire preuve de la même résilience que les Irlandais, en encaissant les coups ou en ne se frustrant pas à la moindre déconvenue. Depuis deux ans, les Bleus ont plus souvent craqué sur la fin que l'inverse. Ces échecs répétés peuvent marquer mentalement. Mais ils ne sont pas rédhibitoires. La preuve, la France a déjà forcé son destin dans l'adversité, face au pays de Galles durant le dernier Tournoi (32-30) ou lors du deuxième test en Australie cet été (28-26).
Scalp- Team modo
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Re: XV de France (partie en cours)
VIDÉO - XV de France-Nouvelle Zélande-"Avant de partir en vacances, les All Blacks veulent tordre les Bleus"
https://video.rugbyrama.fr/rugby/xv-de-france/2021/xv-de-france-nouvelle-zelande-avant-de-partir-en-vacances-les-all-blacks-veulent-tordre-les-bleus_vid1573532/video.shtml
https://video.rugbyrama.fr/rugby/xv-de-france/2021/xv-de-france-nouvelle-zelande-avant-de-partir-en-vacances-les-all-blacks-veulent-tordre-les-bleus_vid1573532/video.shtml
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Re: XV de France (partie en cours)
latine a écrit:Je viens d’écouter un podcast hallucinant « arrêt buffet » « débat » entre 2 journalistes du Midol + Harinordoquy en guest…
Évidemment aucun « débat », dès qu’on relâche son attention , on appelle RNT Romain et Jaja Jalibert (déjà ça montre bien la connivence…) et le pompon étant de dire que si Jaja a eu des soucis en 15 en défense c’est qu’il boudait parce qu’il ne voulait pas alors s’il est, je cite, polyvalent… comme inventer complètement un truc !!!
La conclusion étant que lui aussi, je cite, il va falloir qu’il fasse des efforts !!!
Ces mecs sont à vomir 🤮
Il a joué 3 fois en 15.
Il ne faut surtout qu’on tombe dans le panneau en le mettant même une fois de temps en temps en 15 en club.., l’union y perdrait et ça de retournerait contre lui en plus…
Le podcast en question :
https://shows.acast.com/arret-buffet/howto
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Re: XV de France (partie en cours)
[Podcast] Rugby – La tournée innovante des Bleus, les All Blacks en point d’orgue
https://cafecremesport.com/2021/11/19/podcast-rugby-la-tournee-innovante-des-bleus-les-all-blacks-en-point-dorgue/
https://cafecremesport.com/2021/11/19/podcast-rugby-la-tournee-innovante-des-bleus-les-all-blacks-en-point-dorgue/
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Le-quinze-ideal-de-victor-vito-avant-france-nouvelle-zelande/1299795
Le quinze idéal de Victor Vito avant France-Nouvelle-Zélande
Le troisième-ligne du Stade Rochelais, qui compte 33 sélections avec les All Blacks, a composé son quinze idéal des joueurs des sélections française et néo-zélandaise (en y incluant des joueurs forfait pour le match de ce samedi soir).
Yann Sternis
Arrière : Brice Dulin
« Je choisis Brice (Dulin), c'est mon coéquipier, il joue bien, il est très doué, il peut taper avec les deux pieds. J'espère qu'il sera bon contre les Blacks... mais qu'il ne gagnera pas. »
Ailier droit : Sevu Reece
« Je vais dire Sevu Reece. Il marque beaucoup d'essais, il est rapide. »
Centres : Virimi Vakatawa et Anton Lienert-Brown
« D'abord Vakatawa, je veux boire beaucoup de kava avec lui (rires). C'est un super joueur, évidemment. Et à ses côtés, je vois Lienert-Brown, il peut tout faire, de longues passes, des offloads il est très "abrasif", il n'a pas peur de jouer frontalement, physiquement il est fort. »
Ailier gauche : Teddy Thomas
« Je le prends parce que c'est un athlète de fou. Il m'a raffûté une fois en plus (lors d'un Racing 92-La Rochelle durant lequel l'ailier avec inscrit trois essais). Il avait marqué, je m'en souviens bien. »
Ouvreur : Richie Mo'Unga
« Je choisis un Néo-Zélandais. J'hésite avec "Beaudie" Barrett, mais je choisis Richie Mo'Unga. Il a beaucoup joué à l'ouverture des All Blacks ces dernières années. »
Demi de mêlée : Antoine Dupont
« Antoine Dupont, sans hésiter, c'est le meilleur en ce moment. Son talent est évident, Aaron (Smith) a ses qualités bien sûr, mais Dupont est actuellement un peu plus haut. En plus il fait tout, il plaque, il défend bien. »
Troisième-ligne centre : Ardie Savea
« Ardie, c'est un de mes potes. Cela faisait très longtemps qu'un mec d'origine samoane n'avait pas été capitaine des All Blacks comme il l'a été. C'est une fierté. Mais c'était difficile de choisir, il y a Greg (Alldritt) aussi à ce poste. »
Flankers : Sam Cane et François Cros
« C'est vraiment difficile... en n°7, je vais dire Sam Cane, j'espère qu'il va revenir en forme après toutes ses blessures. C'est la capitaine. C'est bon pour la Nouvelle-Zélande qu'il ait pu revenir pour la tournée d'automne. Et en n°6, François Cros, je le trouve très bon, il sait tout bien faire. »
Deuxième-ligne : Sam Whitelock et Broadie Retallick
« En n°5, je prends Sam Whitelock, son niveau est très élevé et cela depuis longtemps. J'ai joué avec lui, on avait même disputé notre premier match avec les All Blacks en même temps, c'était contre Ronan O'Gara (un test contre l'Irlande, le 12 juin 2010). Et en n°4, Broadie Retallick, c'est le baromètre de cette équipe. »
Pilier droit : Uini Atonio
« Lui aussi sait tout faire, il est bon en mêlée, il est intelligent en conquête, en touche, il peut porter le ballon, faire des skills, etc... »
Talonneur : Dane Coles
« C'est un choix presque impossible... Je penche pour Dane Coles. En plus, je le connais depuis longtemps, on a le même âge, on a remporté le Super Rugby ensemble en 2016 (avec les Hurricanes). Si lui arrive à continuer à jouer, je le peux aussi (rires). »
Pilier gauche : Cyril Baille
« Il a été très costaud avec Toulouse contre nous (La Rochelle). À chaque fois qu'il joue, je trouve que son niveau est à part. »
Le quinze idéal de Victor Vito avant France-Nouvelle-Zélande
Le troisième-ligne du Stade Rochelais, qui compte 33 sélections avec les All Blacks, a composé son quinze idéal des joueurs des sélections française et néo-zélandaise (en y incluant des joueurs forfait pour le match de ce samedi soir).
Yann Sternis
Arrière : Brice Dulin
« Je choisis Brice (Dulin), c'est mon coéquipier, il joue bien, il est très doué, il peut taper avec les deux pieds. J'espère qu'il sera bon contre les Blacks... mais qu'il ne gagnera pas. »
Ailier droit : Sevu Reece
« Je vais dire Sevu Reece. Il marque beaucoup d'essais, il est rapide. »
Centres : Virimi Vakatawa et Anton Lienert-Brown
« D'abord Vakatawa, je veux boire beaucoup de kava avec lui (rires). C'est un super joueur, évidemment. Et à ses côtés, je vois Lienert-Brown, il peut tout faire, de longues passes, des offloads il est très "abrasif", il n'a pas peur de jouer frontalement, physiquement il est fort. »
Ailier gauche : Teddy Thomas
« Je le prends parce que c'est un athlète de fou. Il m'a raffûté une fois en plus (lors d'un Racing 92-La Rochelle durant lequel l'ailier avec inscrit trois essais). Il avait marqué, je m'en souviens bien. »
Ouvreur : Richie Mo'Unga
« Je choisis un Néo-Zélandais. J'hésite avec "Beaudie" Barrett, mais je choisis Richie Mo'Unga. Il a beaucoup joué à l'ouverture des All Blacks ces dernières années. »
Demi de mêlée : Antoine Dupont
« Antoine Dupont, sans hésiter, c'est le meilleur en ce moment. Son talent est évident, Aaron (Smith) a ses qualités bien sûr, mais Dupont est actuellement un peu plus haut. En plus il fait tout, il plaque, il défend bien. »
Troisième-ligne centre : Ardie Savea
« Ardie, c'est un de mes potes. Cela faisait très longtemps qu'un mec d'origine samoane n'avait pas été capitaine des All Blacks comme il l'a été. C'est une fierté. Mais c'était difficile de choisir, il y a Greg (Alldritt) aussi à ce poste. »
Flankers : Sam Cane et François Cros
« C'est vraiment difficile... en n°7, je vais dire Sam Cane, j'espère qu'il va revenir en forme après toutes ses blessures. C'est la capitaine. C'est bon pour la Nouvelle-Zélande qu'il ait pu revenir pour la tournée d'automne. Et en n°6, François Cros, je le trouve très bon, il sait tout bien faire. »
Deuxième-ligne : Sam Whitelock et Broadie Retallick
« En n°5, je prends Sam Whitelock, son niveau est très élevé et cela depuis longtemps. J'ai joué avec lui, on avait même disputé notre premier match avec les All Blacks en même temps, c'était contre Ronan O'Gara (un test contre l'Irlande, le 12 juin 2010). Et en n°4, Broadie Retallick, c'est le baromètre de cette équipe. »
Pilier droit : Uini Atonio
« Lui aussi sait tout faire, il est bon en mêlée, il est intelligent en conquête, en touche, il peut porter le ballon, faire des skills, etc... »
Talonneur : Dane Coles
« C'est un choix presque impossible... Je penche pour Dane Coles. En plus, je le connais depuis longtemps, on a le même âge, on a remporté le Super Rugby ensemble en 2016 (avec les Hurricanes). Si lui arrive à continuer à jouer, je le peux aussi (rires). »
Pilier gauche : Cyril Baille
« Il a été très costaud avec Toulouse contre nous (La Rochelle). À chaque fois qu'il joue, je trouve que son niveau est à part. »
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Re: XV de France (partie en cours)
Roberto Miopalmo a écrit:Notre héros national a beaucoup à apprendre du vrai taulier du poste. Si Dupont est athlétiquement au dessus et qu’il a des fulgurances, le meilleur 9 du monde, ça rate Smith. Personne ne maîtrise autant le poste.
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
tire-bouchon a écrit:Aaron Smith: 32 ans
Antoine Dupont: 25 ans.
On va donc demander son avis à l' intéressé.
A prendre avec des pincettes car le mec n' y connaît rien.
https://www.sixnationsrugby.com/fr/2021/02/10/aaron-smith-considere-dupont-comme-le-meilleur-joueur-de-la-planete/
Excellent ! toi, expert en 3ème degré, ne me fais pas croire que tu n'as pas compris que c'était tout simplement un plan Com.
Même si A. Smith doit estimer que Dupont excellent.
Je ne comprends pas pourquoi tu as ajouté les âges des 2 protagonistes, cela n'ajoute rien aux compétences des uns et des autres.
Encore moins pour Smith, qui à 32 ans, est déjà le meilleur 9 de de la planète depuis 10 ans. (soit à 22 ans)
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Jusqu'au match, j'arrête avec les podcasts, les émissions, les vidéos, les blogs et autres articles. La plupart son noyautés par la mafia cassoulet et sont dans l'exaltation permanente, la surenchère et l'hypocrisie. La suite on la connait, en plus :
- si la France gagne, ce sera parce que Dupont/RNT ont su faire le taf avant de sortir
- si la France perd, ce sera parce que Lucu/Jalibert n'auront pas su faire le taf en rentrant
Ca me débecte d'avance. Pour que Dupont, RNT, Lucu et surtout Jalibert soient reconnus à leur juste valeurs, il faudrait vraiment que la charnière toulousaine enchaîne les conneries, plongeant la France dans la merde, et que la charnière bordelaise réalise un match XXL, sauvant les Bleus à elle seule ou presque. Et je n'y crois pas...
- si la France gagne, ce sera parce que Dupont/RNT ont su faire le taf avant de sortir
- si la France perd, ce sera parce que Lucu/Jalibert n'auront pas su faire le taf en rentrant
Ca me débecte d'avance. Pour que Dupont, RNT, Lucu et surtout Jalibert soient reconnus à leur juste valeurs, il faudrait vraiment que la charnière toulousaine enchaîne les conneries, plongeant la France dans la merde, et que la charnière bordelaise réalise un match XXL, sauvant les Bleus à elle seule ou presque. Et je n'y crois pas...
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Switch- Centre de presse
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Re: XV de France (partie en cours)
Switch a écrit:Jusqu'au match, j'arrête avec les podcasts, les émissions, les vidéos, les blogs et autres articles. La plupart son noyautés par la mafia cassoulet et sont dans l'exaltation permanente, la surenchère et l'hypocrisie. La suite on la connait, en plus :
- si la France gagne, ce sera parce que Dupont/RNT ont su faire le taf avant de sortir
- si la France perd, ce sera parce que Lucu/Jalibert n'auront pas su faire le taf en rentrant
Ca me débecte d'avance. Pour que Dupont, RNT, Lucu et surtout Jalibert soient reconnus à leur juste valeurs, il faudrait vraiment que la charnière toulousaine enchaîne les conneries, plongeant la France dans la merde, et que la charnière bordelaise réalise un match XXL, sauvant les Bleus à elle seule ou presque. Et je n'y crois pas...
Switch, il faut que tu te détaches de tout çà, le recrutement de l'UBB, la mafia Toulousaine, etc... la presse generaliste parisienne, etc... Un grand we de rugby se prépare, a partir de 14H00 çà va etre grandiose, va faire du sport le matin, et ensuite laisse toi glisser tranquillement, alterne café ou thé il sera temps de s'enerver à nouveau.
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Re: XV de France (partie en cours)
densnewzealand a écrit:Switch a écrit:Jusqu'au match, j'arrête avec les podcasts, les émissions, les vidéos, les blogs et autres articles. La plupart son noyautés par la mafia cassoulet et sont dans l'exaltation permanente, la surenchère et l'hypocrisie. La suite on la connait, en plus :
- si la France gagne, ce sera parce que Dupont/RNT ont su faire le taf avant de sortir
- si la France perd, ce sera parce que Lucu/Jalibert n'auront pas su faire le taf en rentrant
Ca me débecte d'avance. Pour que Dupont, RNT, Lucu et surtout Jalibert soient reconnus à leur juste valeurs, il faudrait vraiment que la charnière toulousaine enchaîne les conneries, plongeant la France dans la merde, et que la charnière bordelaise réalise un match XXL, sauvant les Bleus à elle seule ou presque. Et je n'y crois pas...
Switch, il faut que tu te détaches de tout çà, le recrutement de l'UBB, la mafia Toulousaine, etc... la presse generaliste parisienne, etc... Un grand we de rugby se prépare, a partir de 14H00 çà va etre grandiose, va faire du sport le matin, et ensuite laisse toi glisser tranquillement, alterne café ou thé il sera temps de s'enerver à nouveau.
Ce n'est pas exactement les produits que j'aurai recommandés à Switch...
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Surtout que j'ai un match capital pour le maintien dimanche Ce qui explique aussi ma nervosité ! Défaite interdite face au concurrent direct. Bref, WE de rugby stressant.
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Re: XV de France (partie en cours)
Exeter s' en est largement inspiré.densnewzealand a écrit:Tu as raison, leur engagement, leur stratégie, tout à été remarquable, chez les Irish, Samedi, je suis juste plus mesuré sur leurs capacités a reproduire çà en coupe du monde, ce qu'il n'ont jamais fait d'aiileurs. Aprés c'est l'equipe britannique qui me fait le moins tripper, si tant est qu'il y en une. mais c'est affaire de goût. Le cache ballon, qu'il ont érigé en totem de l'équipe nationale aux provinces trés peu pour moi. Mais c'est maitrisé et dans la règle.Scalp a écrit:densnewzealand a écrit:Je viens de rentrer dans notre beau pays, completement passé au travers de cette info, merci Scalp, j'étais assez étonné de la présence de Crétin sur la feuille.Scalp a écrit:densnewzealand a écrit:En fait, le rugby Français ne change pas, l'équipe de France reste toujours cette éprouvette à éssais , les selectionneurs se croient toujours plus forts que les autres, permuttant, commutant les postes et les joueurs au gré de leur feeling. Celà viens aussi du fait que cette équipe n'en est pas une , c'est une sélection. A contrario l'Irlande, consciente de son reservoir moindre, base toute ses forces sur son équipe nationale. Ils sont surtout forts chez eux, pendant le tournoi et lors de la réception une fois tous les deux ans des équipes du sud. En coupe du monde ils prennent des branlées , loin de leurs bases, et de leurs supporters, sans contexte favorable, et contre des équipes qui ont elles aussi eu le temps de se préparer. Et puis cette équipe d'Irlande mais quel ennui, cache ballon, enfin si çà plait , perso je regarde les Blacks tout les jours, l'Irlande je m'ennuie. Galthié éssaie de faire bouger les choses , mais il reste encore prisonnier de vieux reflexes. Pour ce match il ne fait que s'adapter aux Blacks, on densifie, on montre les muscles, on verra, il nous on bassiné avec Jalimack mais c'était contre les Blacks après deux matchs de prépa, qu'il fallait aller au bout de ses idées, meme si pour moi depuis le début elle n'est pas bonne. Donc on ne saura jamais ce que çà vaut , ah si peux-etre en demi de coupe de monde quand contraint par une série de blessures il nous ressortira la paire. Et nous dira , mais si on l'à testé cette association oui, il y à deux ans et contre la Georgie.
Pour demain , je ne sais que penser, les Blacks vont faire du jeu direct, la première mi temps risque etre sanglante, Cane va pourrir les rucks, Smith va gerer, j'ai l'impression que Foster nous sort ses vieux guerrier pour faire la guerre, mais le reservoir semble entamé. Ca va se regarder au début, mauls, touches , occupations, j'ai peur que Woki se retrouve un peu seul dans le traffic aérien, et puis le pin's Crétin sur le banc, j'aurais gardé Macalou tous les jours, comme j'aurais intégré Tolofua, en voyant nos difficultés à avancer au milieu.
Macalou est blessé
Franchement Dens, le match contre les Blacks était épique, je ne me suis pas emmerdé deux secondes, mais c'est vrai qu'avec les Irlandais ça peut arriver, surtout quand nous jouons contre eux, ce sont souvent des matchs d'où on ressort complètement frustré...
Mais pour revenir au match contre les Blacks, les Irlandais ont même lancé de belles attaques au large, ils ont été omniprésents, étouffant les Blacks, ils vont être chaud à affronter pendant le tournoi, surtout chez eux, comme tu dis
Mais la règle qui interdit les percussions à trois et le fait que le soutien doit rester debout, change la donne. Le cache-ballon à l' aide de pick-and-go interminables est révolu.
tire-bouchon- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Le-quinze-ideal-de-victor-vito-avant-france-nouvelle-zelande/1299795
Le quinze idéal de Victor Vito avant France-Nouvelle-Zélande
Le troisième-ligne du Stade Rochelais, qui compte 33 sélections avec les All Blacks, a composé son quinze idéal des joueurs des sélections française et néo-zélandaise (en y incluant des joueurs forfait pour le match de ce samedi soir).
Yann Sternis
Arrière : Brice Dulin
« Je choisis Brice (Dulin), c'est mon coéquipier, il joue bien, il est très doué, il peut taper avec les deux pieds. J'espère qu'il sera bon contre les Blacks... mais qu'il ne gagnera pas. »
Ailier droit : Sevu Reece
« Je vais dire Sevu Reece. Il marque beaucoup d'essais, il est rapide. »
Centres : Virimi Vakatawa et Anton Lienert-Brown
« D'abord Vakatawa, je veux boire beaucoup de kava avec lui (rires). C'est un super joueur, évidemment. Et à ses côtés, je vois Lienert-Brown, il peut tout faire, de longues passes, des offloads il est très "abrasif", il n'a pas peur de jouer frontalement, physiquement il est fort. »
Ailier gauche : Teddy Thomas
« Je le prends parce que c'est un athlète de fou. Il m'a raffûté une fois en plus (lors d'un Racing 92-La Rochelle durant lequel l'ailier avec inscrit trois essais). Il avait marqué, je m'en souviens bien. »
Ouvreur : Richie Mo'Unga
« Je choisis un Néo-Zélandais. J'hésite avec "Beaudie" Barrett, mais je choisis Richie Mo'Unga. Il a beaucoup joué à l'ouverture des All Blacks ces dernières années. »
Demi de mêlée : Antoine Dupont
« Antoine Dupont, sans hésiter, c'est le meilleur en ce moment. Son talent est évident, Aaron (Smith) a ses qualités bien sûr, mais Dupont est actuellement un peu plus haut. En plus il fait tout, il plaque, il défend bien. »
Troisième-ligne centre : Ardie Savea
« Ardie, c'est un de mes potes. Cela faisait très longtemps qu'un mec d'origine samoane n'avait pas été capitaine des All Blacks comme il l'a été. C'est une fierté. Mais c'était difficile de choisir, il y a Greg (Alldritt) aussi à ce poste. »
Flankers : Sam Cane et François Cros
« C'est vraiment difficile... en n°7, je vais dire Sam Cane, j'espère qu'il va revenir en forme après toutes ses blessures. C'est la capitaine. C'est bon pour la Nouvelle-Zélande qu'il ait pu revenir pour la tournée d'automne. Et en n°6, François Cros, je le trouve très bon, il sait tout bien faire. »
Deuxième-ligne : Sam Whitelock et Broadie Retallick
« En n°5, je prends Sam Whitelock, son niveau est très élevé et cela depuis longtemps. J'ai joué avec lui, on avait même disputé notre premier match avec les All Blacks en même temps, c'était contre Ronan O'Gara (un test contre l'Irlande, le 12 juin 2010). Et en n°4, Broadie Retallick, c'est le baromètre de cette équipe. »
Pilier droit : Uini Atonio
« Lui aussi sait tout faire, il est bon en mêlée, il est intelligent en conquête, en touche, il peut porter le ballon, faire des skills, etc... »
Talonneur : Dane Coles
« C'est un choix presque impossible... Je penche pour Dane Coles. En plus, je le connais depuis longtemps, on a le même âge, on a remporté le Super Rugby ensemble en 2016 (avec les Hurricanes). Si lui arrive à continuer à jouer, je le peux aussi (rires). »
Pilier gauche : Cyril Baille
« Il a été très costaud avec Toulouse contre nous (La Rochelle). À chaque fois qu'il joue, je trouve que son niveau est à part. »
Merci l’équipe pour cet itw des plus instructif et objectif.
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
je conseille à certains de suivre le conseil de Dens de prendre un peu de distance et surtout du gaviscon sinon ils vont faire un ulcère.
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/all-blacks-will-jordan-la-nouvelle-etoile-noire-20211119
marchal- Centre de presse
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Re: XV de France (partie en cours)
Dr. Gregory Bouse a écrit:densnewzealand a écrit:Switch a écrit:Jusqu'au match, j'arrête avec les podcasts, les émissions, les vidéos, les blogs et autres articles. La plupart son noyautés par la mafia cassoulet et sont dans l'exaltation permanente, la surenchère et l'hypocrisie. La suite on la connait, en plus :
- si la France gagne, ce sera parce que Dupont/RNT ont su faire le taf avant de sortir
- si la France perd, ce sera parce que Lucu/Jalibert n'auront pas su faire le taf en rentrant
Ca me débecte d'avance. Pour que Dupont, RNT, Lucu et surtout Jalibert soient reconnus à leur juste valeurs, il faudrait vraiment que la charnière toulousaine enchaîne les conneries, plongeant la France dans la merde, et que la charnière bordelaise réalise un match XXL, sauvant les Bleus à elle seule ou presque. Et je n'y crois pas...
Switch, il faut que tu te détaches de tout çà, le recrutement de l'UBB, la mafia Toulousaine, etc... la presse generaliste parisienne, etc... Un grand we de rugby se prépare, a partir de 14H00 çà va etre grandiose, va faire du sport le matin, et ensuite laisse toi glisser tranquillement, alterne café ou thé il sera temps de s'enerver à nouveau.
Ce n'est pas exactement les produits que j'aurai recommandés à Switch...
Il faut qu'en plus que ça ne nuise pas à son match de dimanche, ça complique un peu l'équation
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Scalp- Team modo
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Re: XV de France (partie en cours)
Switch a écrit:Jusqu'au match, j'arrête avec les podcasts, les émissions, les vidéos, les blogs et autres articles. La plupart son noyautés par la mafia cassoulet et sont dans l'exaltation permanente, la surenchère et l'hypocrisie. La suite on la connait, en plus :
- si la France gagne, ce sera parce que Dupont/RNT ont su faire le taf avant de sortir
- si la France perd, ce sera parce que Lucu/Jalibert n'auront pas su faire le taf en rentrant
Ca me débecte d'avance. Pour que Dupont, RNT, Lucu et surtout Jalibert soient reconnus à leur juste valeurs, il faudrait vraiment que la charnière toulousaine enchaîne les conneries, plongeant la France dans la merde, et que la charnière bordelaise réalise un match XXL, sauvant les Bleus à elle seule ou presque. Et je n'y crois pas...
Ben j’ai déjà tout rédigé les titres du Midol de lundi… t’as pas vu ?
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:densnewzealand a écrit:Switch a écrit:Jusqu'au match, j'arrête avec les podcasts, les émissions, les vidéos, les blogs et autres articles. La plupart son noyautés par la mafia cassoulet et sont dans l'exaltation permanente, la surenchère et l'hypocrisie. La suite on la connait, en plus :
- si la France gagne, ce sera parce que Dupont/RNT ont su faire le taf avant de sortir
- si la France perd, ce sera parce que Lucu/Jalibert n'auront pas su faire le taf en rentrant
Ca me débecte d'avance. Pour que Dupont, RNT, Lucu et surtout Jalibert soient reconnus à leur juste valeurs, il faudrait vraiment que la charnière toulousaine enchaîne les conneries, plongeant la France dans la merde, et que la charnière bordelaise réalise un match XXL, sauvant les Bleus à elle seule ou presque. Et je n'y crois pas...
Switch, il faut que tu te détaches de tout çà, le recrutement de l'UBB, la mafia Toulousaine, etc... la presse generaliste parisienne, etc... Un grand we de rugby se prépare, a partir de 14H00 çà va etre grandiose, va faire du sport le matin, et ensuite laisse toi glisser tranquillement, alterne café ou thé il sera temps de s'enerver à nouveau.
Ce n'est pas exactement les produits que j'aurai recommandés à Switch...
Il faut qu'en plus que ça ne nuise pas à son match de dimanche, ça complique un peu l'équation
Rien ne vous échappe, ma formulation était inappropriée , il fallait comprendre café ou thé mais pas les deux en même temps, bien sur. Pour ma part ce sera un mélange de flacons bien de chez nous, plutôt avec de la barrique, et une bonne tenue en mélée, je vais éviter les vins jeunes qui veulent trop vite séchapper, car demain il faudra de l'assise en bouche et sur le terrain.
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Re: XV de France (partie en cours)
densnewzealand a écrit:Scalp a écrit:Dr. Gregory Bouse a écrit:densnewzealand a écrit:Switch a écrit:Jusqu'au match, j'arrête avec les podcasts, les émissions, les vidéos, les blogs et autres articles. La plupart son noyautés par la mafia cassoulet et sont dans l'exaltation permanente, la surenchère et l'hypocrisie. La suite on la connait, en plus :
- si la France gagne, ce sera parce que Dupont/RNT ont su faire le taf avant de sortir
- si la France perd, ce sera parce que Lucu/Jalibert n'auront pas su faire le taf en rentrant
Ca me débecte d'avance. Pour que Dupont, RNT, Lucu et surtout Jalibert soient reconnus à leur juste valeurs, il faudrait vraiment que la charnière toulousaine enchaîne les conneries, plongeant la France dans la merde, et que la charnière bordelaise réalise un match XXL, sauvant les Bleus à elle seule ou presque. Et je n'y crois pas...
Switch, il faut que tu te détaches de tout çà, le recrutement de l'UBB, la mafia Toulousaine, etc... la presse generaliste parisienne, etc... Un grand we de rugby se prépare, a partir de 14H00 çà va etre grandiose, va faire du sport le matin, et ensuite laisse toi glisser tranquillement, alterne café ou thé il sera temps de s'enerver à nouveau.
Ce n'est pas exactement les produits que j'aurai recommandés à Switch...
Il faut qu'en plus que ça ne nuise pas à son match de dimanche, ça complique un peu l'équation
Rien ne vous échappe, ma formulation était inappropriée , il fallait comprendre café ou thé mais pas les deux en même temps, bien sur. Pour ma part ce sera un mélange de flacons bien de chez nous, plutôt avec de la barrique, et une bonne tenue en mélée, je vais éviter les vins jeunes qui veulent trop vite séchapper, car demain il faudra de l'assise en bouche et sur le terrain.
Tu as raison Dens, faisons travailler le filière viticole Française
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/xv-de-france/france-all-blacks-ntamack-le-choix-des-grands-rendez-vous-7022963.php
France – All Blacks : Ntamack, le choix des grands rendez-vous
Par Denys Kappès-Grangé
En le repositionnant à l’ouverture au moment de passer le véritable test de cette tournée, Fabien Galthié semble le désigner comme son premier choix
À question simple, réponse simple. Lorsqu’il a été demandé à Fabien Galthié, au soir de la victoire face à la Géorgie à Bordeaux, si son choix de replacer Romain Ntamack à l’ouverture dans le deuxième acte était une manière de lui témoigner sa confiance, le sélectionneur a claqué une réponse on ne peut plus concise : « Oui ».
Mais à ceux qui seraient tentés de lui reprocher d’avoir fait un peu trop court, le sélectionneur pourrait désormais leur rétorquer que sa dernière décision en date en dit beaucoup plus long. En titularisant le Toulousain au détriment de Matthieu Jalibert, il a tranché un choix fort abondamment commenté depuis.
Il est justifié par la volonté de privilégier la charnière qu’il compose avec Antoine Dupont au Stade Toulousain. Avec leur club, les deux hommes ont tissé ces dernières saisons une connivence profonde au fil des campagnes victorieuses en Top 14 et en Champions Cup. Des conquêtes qui ont également renforcé leur expérience collective.
Et le gagnant est…
Face à Aaron Smith et Richie Mo’unga, ce binôme installé par Fabien Galthié tout au long de la première année de son mandat va passer un nouveau test de croissance. « Je dirais que ce sont deux charnières équilibrées, complémentaires. Elles se ressemblent beaucoup dans l’influence qu’elles peuvent avoir dans le jeu, évalue l’ancien sélectionneur Pierre Berbizier. Elles sont plutôt gestionnaires avec quelques fulgurances individuelles par Dupont ou Mo’unga. »
Romain Ntamack récolte en partie les fruits de son caractère froid qui lui permet de traverser les matchs à forte pression. Mais il est peut-être aussi récompensé de son investissement au terme d’une tournée qui aura forcé sa capacité d’adaptation.
« J’ai toujours dit que mon poste, c’était ouvreur », a-t-il déclaré auprès de l’AFP : « Mais, tant que je suis sur le terrain, je n’ai pas forcément de préférence. Je me bats pour le maillot. […] Si on me fait évoluer au centre pour des raisons stratégiques, j’y jouerai avec plaisir. Je n’ai jamais rechigné à y jouer. Au contraire. »
Même lorsqu’il est sorti le visage fermé lors du test face à l’Argentine ? L’image l’a alors présenté comme le perdant d’une association expérimentale. « Est-ce que j’étais agacé, non, a-t-il assuré également à l’AFP. Je voulais faire mieux, même si je n’ai pas été beaucoup utilisé, très peu sollicité en défense… J’ai eu l’impression de faire un match un peu en demi-teinte. […] C’est vite redescendu. »
Paradoxalement, ce qui aurait pu le déstabiliser l’a au contraire conforté. Et derrière la décision de Fabien Galthié apparaît un message en filigrane. En dépit de la concurrence de Matthieu Jalibert, Romain Ntamack reste pour l’heure le choix numéro 1 pour les grands rendez-vous.
Le choix en débat
Dislocation et questions. Si Pierre Berbizier s’était étonné que le staff décide de briser sa charnière Dupont - Ntamack, l’ancien sélectionneur est tout autant interloqué par le choix d’écarter Matthieu Jalibert à la veille du dernier test de cette tournée : « Je ne comprends pas non plus pourquoi on n’est pas allé au bout de l’expérimentation Jalibert. L’évaluation, c’était les Blacks. C’est plus ce fonctionnement et ce management qui est difficile à comprendre pour moi. »
France – All Blacks : Ntamack, le choix des grands rendez-vous
Par Denys Kappès-Grangé
En le repositionnant à l’ouverture au moment de passer le véritable test de cette tournée, Fabien Galthié semble le désigner comme son premier choix
À question simple, réponse simple. Lorsqu’il a été demandé à Fabien Galthié, au soir de la victoire face à la Géorgie à Bordeaux, si son choix de replacer Romain Ntamack à l’ouverture dans le deuxième acte était une manière de lui témoigner sa confiance, le sélectionneur a claqué une réponse on ne peut plus concise : « Oui ».
Mais à ceux qui seraient tentés de lui reprocher d’avoir fait un peu trop court, le sélectionneur pourrait désormais leur rétorquer que sa dernière décision en date en dit beaucoup plus long. En titularisant le Toulousain au détriment de Matthieu Jalibert, il a tranché un choix fort abondamment commenté depuis.
Il est justifié par la volonté de privilégier la charnière qu’il compose avec Antoine Dupont au Stade Toulousain. Avec leur club, les deux hommes ont tissé ces dernières saisons une connivence profonde au fil des campagnes victorieuses en Top 14 et en Champions Cup. Des conquêtes qui ont également renforcé leur expérience collective.
Et le gagnant est…
Face à Aaron Smith et Richie Mo’unga, ce binôme installé par Fabien Galthié tout au long de la première année de son mandat va passer un nouveau test de croissance. « Je dirais que ce sont deux charnières équilibrées, complémentaires. Elles se ressemblent beaucoup dans l’influence qu’elles peuvent avoir dans le jeu, évalue l’ancien sélectionneur Pierre Berbizier. Elles sont plutôt gestionnaires avec quelques fulgurances individuelles par Dupont ou Mo’unga. »
Romain Ntamack récolte en partie les fruits de son caractère froid qui lui permet de traverser les matchs à forte pression. Mais il est peut-être aussi récompensé de son investissement au terme d’une tournée qui aura forcé sa capacité d’adaptation.
« J’ai toujours dit que mon poste, c’était ouvreur », a-t-il déclaré auprès de l’AFP : « Mais, tant que je suis sur le terrain, je n’ai pas forcément de préférence. Je me bats pour le maillot. […] Si on me fait évoluer au centre pour des raisons stratégiques, j’y jouerai avec plaisir. Je n’ai jamais rechigné à y jouer. Au contraire. »
Même lorsqu’il est sorti le visage fermé lors du test face à l’Argentine ? L’image l’a alors présenté comme le perdant d’une association expérimentale. « Est-ce que j’étais agacé, non, a-t-il assuré également à l’AFP. Je voulais faire mieux, même si je n’ai pas été beaucoup utilisé, très peu sollicité en défense… J’ai eu l’impression de faire un match un peu en demi-teinte. […] C’est vite redescendu. »
Paradoxalement, ce qui aurait pu le déstabiliser l’a au contraire conforté. Et derrière la décision de Fabien Galthié apparaît un message en filigrane. En dépit de la concurrence de Matthieu Jalibert, Romain Ntamack reste pour l’heure le choix numéro 1 pour les grands rendez-vous.
Le choix en débat
Dislocation et questions. Si Pierre Berbizier s’était étonné que le staff décide de briser sa charnière Dupont - Ntamack, l’ancien sélectionneur est tout autant interloqué par le choix d’écarter Matthieu Jalibert à la veille du dernier test de cette tournée : « Je ne comprends pas non plus pourquoi on n’est pas allé au bout de l’expérimentation Jalibert. L’évaluation, c’était les Blacks. C’est plus ce fonctionnement et ce management qui est difficile à comprendre pour moi. »
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Re: XV de France (partie en cours)
Pourquoi les All Blacks vont jouer en blanc contre le XV de France
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tests-matchs/pourquoi-les-all-blacks-vont-jouer-en-blanc-contre-le-xv-de-france_AD-202111200081.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tests-matchs/pourquoi-les-all-blacks-vont-jouer-en-blanc-contre-le-xv-de-france_AD-202111200081.html
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Re: XV de France (partie en cours)
Ntamack/Jalibert : "L’équipe de France a deux joueurs incroyables" se réjouit Urios
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/ntamack-jalibert-l-equipe-de-france-a-deux-joueurs-incroyables-se-rejouit-urios_VN-202111200100.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/ntamack-jalibert-l-equipe-de-france-a-deux-joueurs-incroyables-se-rejouit-urios_VN-202111200100.html
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Re: XV de France (partie en cours)
48 ans que la France n’a pas battu les All Blacks à Paris
https://www.world.rugby/news/671603
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Les-bleus-ont-l-occasion-de-reellement-se-jauger-face-aux-all-blacks-a-deux-ans-du-mondial-2023/1299936
Les Bleus ont l'occasion de réellement se jauger face aux All Blacks à deux ans du Mondial 2023
La France affronte, samedi soir, la Nouvelle-Zélande. Une affiche de rêve, exaltante, qui doit servir aux Bleus à marquer leur territoire à moins de deux ans de leurs retrouvailles en ouverture du Mondial 2023.
Renaud Bourel
Voilà, il a l'âge. L'heure est venue d'expliquer au petit dernier que le père Noël n'existe pas. Du coup, à la maison, vous faites comment pour répartir les rôles : pile ou face ? Un bon vieux shifumi ? La bonne méthode sera celle qui évitera le psychodrame. Ici, on aurait bien envoyé la petite souris au Centre national du rugby, histoire de voir comment l'encadrement français s'y est pris pour démythifier le All Black.
Parce que s'il est une constante des victoires des Bleus sur la Nouvelle-Zélande, c'est d'avoir fait naître, au tréfonds de leur bas-ventre, l'intime conviction qu'un triomphe est possible et qu'il ne relève pas de l'intervention du surnaturel. Ce n'est pas si simple. Il faut lutter contre son éducation, sa propre admiration, « ce putain de conditionnement qui fait que l'on est élevé dans leur culte, même chez nous », nous disait un octogénaire en sélections, en début de semaine, qui, lui, les a battus plus d'une fois.
Cette équipe de France entre en adolescence (25 ans et 18 sélections de moyenne) et la soirée devient tout à coup idéale pour réincarner la fraîcheur de ses débuts. Pour que les Bleus redeviennent démonstratifs, spontanés, plus en tout cas que les cafés philo des jeudis matin de compo « by Fab & Raf », beaucoup moins drôles que McFly et Carlito, mais ratissant suffisamment large pour détourner le convoi présidentiel en précampagne, tout un lundi après-midi, à Marcoussis.
Ces All Blacks-là n'ont pas débarqué en France avec l'aura de leurs récents aînés
La Nouvelle-Zélande est, enfin, redevenue une rareté, et l'on aurait voulu ne parler que d'elle et de ce rendez-vous en particulier, dans un stade enfin comble et forcément hystérique. Il s'envisage sous tellement d'angles que l'envie vous tiraille de les récurer jusqu'au dernier, comme un maniaque gratte ses traces.
Pour tout avouer, le risque serait de passer sur cette affiche un coup de bombe à sapin dorée et lui donner le change du toc en or massif. Car si les Français se sont découvert quelques soucis de cohérence en ce début d'automne, ces All Blacks-là n'ont pas, non plus, débarqué en France avec l'aura de leurs récents aînés. Ils ont rallié Paris cabossés, et pas qu'un peu, ont dû rafistoler leur quinze de départ en plusieurs endroits, privé, entre autres, de la magie de Beauden Barrett à l'ouverture et de l'expérience d'Anton Lienert-Brown au centre.
Malgré le nombre ahurissant d'essais inscrits cette saison (98), ils nourrissent des doutes inhabituels, se laissent aller à des erreurs qu'on ne voyait que chez les autres. Et depuis que Richie McCaw pilote son deltaplane plutôt que le gros camion noir, leur totem d'immunité a lentement cessé de diffuser ses ondes hypnotiques sur le corps arbitral.
Finalement, la mauvaise nouvelle, pour les Bleus, est arrivée de Dublin, par tube cathodique. De cette défaite logique (29-20), le week-end dernier, dans ce test à l'intensité irréelle imprimée par l'Irlande. Elle a autant eu un effet loupe sur les failles néo-zélandaises du moment, qu'elle a renseigné sur le niveau d'engagement à mettre, malgré tout, pour battre cette équipe. Le choc de ce samedi a ainsi immédiatement changé de nature.
Il s'agit de marquer son territoire, de broder au revers du maillot de cette équipe de France une garantie de confiance en l'avenir, en attendant le vrai grand soir
Il est une épreuve d'agilité pour ce quinze de France pataud de novembre, en plus du test antigénique ultime de Fabien Galthié, son premier et unique tête-à-tête de technicien avec la référence jusqu'au match d'ouverture de la Coupe du monde, le 8 septembre 2023. Comme Ian Foster, lui aussi a dû jouer au Rubik's cube, mais avec son cinq de devant. Faute de joueurs hybrides, il a composé entre puissance et volume de déplacement en espérant que le mélange prenne.
Le sélectionneur est surtout revenu sur le pari initial du duo Jalibert-Ntamack pour animer son milieu de terrain. On ne refrénera pas une petite déception devant le renoncement éclair à une association qui respirait fort le rugby tel qu'il est fantasmé, même si on peut le comprendre. Tout cela suggère, en réalité, que le succès des Celtes et leur solidité dans le coeur du jeu furent inspirants. L'installation de la porte battante en fonte Danty-Fickou à la place des « Jalimack » est une incitation pour les All Blacks à aller taper ailleurs ou à y réfléchir à deux fois. Cela dessine aussi un retour à ce jeu de dépossession qui seyait si bien aux Français la saison dernière. Les romantiques le regretteront peut-être ? Il faut mesurer que l'essentiel est ailleurs.
Il s'agit de marquer son territoire, de broder au revers du maillot de cette équipe de France qui nous a fait de si jolies promesses, une garantie de confiance en l'avenir, en attendant le vrai grand soir. De tout temps, pour gagner devant la Nouvelle-Zélande, les ingrédients de base du pragmatisme ont prévalu : une détermination furieuse, un jeu au pied parfaitement calibré et en tête un plan qui détaille les défauts dans la cuirasse d'en face. Ces Bleus l'ont déjà réussi face à d'autres.
Le père Noël n'existe pas, mais c'est un beau cadeau de fin d'année d'accueillir les All Blacks. Pourvu qu'on ne se l'empoisonne pas.
Les Bleus ont l'occasion de réellement se jauger face aux All Blacks à deux ans du Mondial 2023
La France affronte, samedi soir, la Nouvelle-Zélande. Une affiche de rêve, exaltante, qui doit servir aux Bleus à marquer leur territoire à moins de deux ans de leurs retrouvailles en ouverture du Mondial 2023.
Renaud Bourel
Voilà, il a l'âge. L'heure est venue d'expliquer au petit dernier que le père Noël n'existe pas. Du coup, à la maison, vous faites comment pour répartir les rôles : pile ou face ? Un bon vieux shifumi ? La bonne méthode sera celle qui évitera le psychodrame. Ici, on aurait bien envoyé la petite souris au Centre national du rugby, histoire de voir comment l'encadrement français s'y est pris pour démythifier le All Black.
Parce que s'il est une constante des victoires des Bleus sur la Nouvelle-Zélande, c'est d'avoir fait naître, au tréfonds de leur bas-ventre, l'intime conviction qu'un triomphe est possible et qu'il ne relève pas de l'intervention du surnaturel. Ce n'est pas si simple. Il faut lutter contre son éducation, sa propre admiration, « ce putain de conditionnement qui fait que l'on est élevé dans leur culte, même chez nous », nous disait un octogénaire en sélections, en début de semaine, qui, lui, les a battus plus d'une fois.
Cette équipe de France entre en adolescence (25 ans et 18 sélections de moyenne) et la soirée devient tout à coup idéale pour réincarner la fraîcheur de ses débuts. Pour que les Bleus redeviennent démonstratifs, spontanés, plus en tout cas que les cafés philo des jeudis matin de compo « by Fab & Raf », beaucoup moins drôles que McFly et Carlito, mais ratissant suffisamment large pour détourner le convoi présidentiel en précampagne, tout un lundi après-midi, à Marcoussis.
Ces All Blacks-là n'ont pas débarqué en France avec l'aura de leurs récents aînés
La Nouvelle-Zélande est, enfin, redevenue une rareté, et l'on aurait voulu ne parler que d'elle et de ce rendez-vous en particulier, dans un stade enfin comble et forcément hystérique. Il s'envisage sous tellement d'angles que l'envie vous tiraille de les récurer jusqu'au dernier, comme un maniaque gratte ses traces.
Pour tout avouer, le risque serait de passer sur cette affiche un coup de bombe à sapin dorée et lui donner le change du toc en or massif. Car si les Français se sont découvert quelques soucis de cohérence en ce début d'automne, ces All Blacks-là n'ont pas, non plus, débarqué en France avec l'aura de leurs récents aînés. Ils ont rallié Paris cabossés, et pas qu'un peu, ont dû rafistoler leur quinze de départ en plusieurs endroits, privé, entre autres, de la magie de Beauden Barrett à l'ouverture et de l'expérience d'Anton Lienert-Brown au centre.
Malgré le nombre ahurissant d'essais inscrits cette saison (98), ils nourrissent des doutes inhabituels, se laissent aller à des erreurs qu'on ne voyait que chez les autres. Et depuis que Richie McCaw pilote son deltaplane plutôt que le gros camion noir, leur totem d'immunité a lentement cessé de diffuser ses ondes hypnotiques sur le corps arbitral.
Finalement, la mauvaise nouvelle, pour les Bleus, est arrivée de Dublin, par tube cathodique. De cette défaite logique (29-20), le week-end dernier, dans ce test à l'intensité irréelle imprimée par l'Irlande. Elle a autant eu un effet loupe sur les failles néo-zélandaises du moment, qu'elle a renseigné sur le niveau d'engagement à mettre, malgré tout, pour battre cette équipe. Le choc de ce samedi a ainsi immédiatement changé de nature.
Il s'agit de marquer son territoire, de broder au revers du maillot de cette équipe de France une garantie de confiance en l'avenir, en attendant le vrai grand soir
Il est une épreuve d'agilité pour ce quinze de France pataud de novembre, en plus du test antigénique ultime de Fabien Galthié, son premier et unique tête-à-tête de technicien avec la référence jusqu'au match d'ouverture de la Coupe du monde, le 8 septembre 2023. Comme Ian Foster, lui aussi a dû jouer au Rubik's cube, mais avec son cinq de devant. Faute de joueurs hybrides, il a composé entre puissance et volume de déplacement en espérant que le mélange prenne.
Le sélectionneur est surtout revenu sur le pari initial du duo Jalibert-Ntamack pour animer son milieu de terrain. On ne refrénera pas une petite déception devant le renoncement éclair à une association qui respirait fort le rugby tel qu'il est fantasmé, même si on peut le comprendre. Tout cela suggère, en réalité, que le succès des Celtes et leur solidité dans le coeur du jeu furent inspirants. L'installation de la porte battante en fonte Danty-Fickou à la place des « Jalimack » est une incitation pour les All Blacks à aller taper ailleurs ou à y réfléchir à deux fois. Cela dessine aussi un retour à ce jeu de dépossession qui seyait si bien aux Français la saison dernière. Les romantiques le regretteront peut-être ? Il faut mesurer que l'essentiel est ailleurs.
Il s'agit de marquer son territoire, de broder au revers du maillot de cette équipe de France qui nous a fait de si jolies promesses, une garantie de confiance en l'avenir, en attendant le vrai grand soir. De tout temps, pour gagner devant la Nouvelle-Zélande, les ingrédients de base du pragmatisme ont prévalu : une détermination furieuse, un jeu au pied parfaitement calibré et en tête un plan qui détaille les défauts dans la cuirasse d'en face. Ces Bleus l'ont déjà réussi face à d'autres.
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Re: XV de France (partie en cours)
France-All Blacks: Ntamack a "un temps d'avance sur Jalibert" selon Urios
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tests-matchs/france-all-blacks-ntamack-a-un-temps-d-avance-sur-jalibert-selon-urios_AV-202111200151.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tests-matchs/france-all-blacks-ntamack-a-un-temps-d-avance-sur-jalibert-selon-urios_AV-202111200151.html
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Re: XV de France (partie en cours)
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