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XV de France (partie en cours)
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Scalp- Team modo
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Damien-penaud-will-jordan-le-duel-des-faux-jumeaux/1299939
Damien Penaud - Will Jordan : le duel des faux jumeaux
Meilleurs marqueurs d'essais de leur sélection respective en 2021, Damian Penaud et Will Jordan présentent deux profils athlétiques assez similaires, mais des qualités rugbystiques bien distinctes.
Laurent Campistron
Attention, danger. Damian Penaud (25 ans) et Will Jordan (23 ans), qui s'affrontent ce samedi soir au Stade de France, figurent parmi les ailiers les plus prolifiques du moment.
Jordan, c'est déjà 17 essais en 12 sélections avec les Blacks, dont 15 en dix matches en 2021. Encore deux ce soir face aux Bleus et il égalerait le record d'essais inscrits en équipe nationale sur une année civile que détient son compatriote Joe Rokocoko (17 en 2003). « C'est un sacré finisseur, admet l'ancien centre ou ailier international Éric Bonneval. Même si, avec les Blacks, quand tu mets 100 points à des équipes, c'est toujours plus facile. » L'ailier droit néo-zélandais a notamment planté un triplé face aux USA (104-14, le 23 octobre) et un quintuplé contre les Tonga (102-0, le 3 juillet).
Penaud, lui, c'est 12 essais en 27 sélections, dont 6 en dix rencontres cette année, ce qui fait de lui le meilleur marqueur d'essais de l'équipe de France en 2021. Les deux joueurs disposent aussi de gabarits très ressemblants : une même mensuration sous la toise (1,88 m) et un poids quasi équivalent sur la balance (un peu plus de 90 kg). Mais la comparaison s'arrête là, ou presque. Question rugby, Penaud et Jordan tirent chacun des qualités différentes de leur poste de formation. C'est notamment l'art du dézonage pour le puncheur et ex-trois-quarts centre clermontois.
Et c'est le don de l'anticipation et des prises d'intervalles pour l'arrière des Crusaders de Christchurch. Aussi, même s'ils démarreront la partie sur le côté droit, à l'opposé l'un de l'autre, les deux hommes auront sûrement plusieurs fois l'occasion de se croiser sur la pelouse dionysienne. Ça promet des étincelles !
L'attaque : égalité
Damien Penaud : Formé au centre, le Clermontois n'est pas un ailier typique, du genre opportuniste et dévoreur de ligne. « Damian a un jeu assez direct, observe l'ancien ailier international Vincent Clerc. Il aime bien se lancer et parfois emprunter des courses en travers pour aller chercher le défi physique au milieu du terrain. On le voit aussi beaucoup prolonger au pied pour aller mettre la pression sur ses adversaires à la retombée. Il a un jeu plus physique, plus percutant que Jordan. »« Penaud, c'est puissant, ça va vite, c'est truffé de crochets, ajoute Bonneval. C'est un cheval fou ! Il a du gaz, notamment dans le jeu au près. »
Will Jordan : Son poste d'arrière en club l'aide à prendre beaucoup de recul sur le jeu, et donc à anticiper les coups gagnants. Lorsque l'un de ses partenaires perce, c'est souvent lui qui arrive en premier soutien, un peu comme Antoine Dupont avec les Bleus. « Je me souviens de son essai contre les Springboks lors du dernier Rugby Championship (19-17, le 25 septembre), quand son talonneur (Codie Taylor) traverse le terrain et qu'il vient à sa hauteur, dit Bonneval. Là, tu sens qu'il a tout vu, tout lu, tout compris. Ce mec a une foulée très déliée. On a l'impression qu'il ne force pas. Pourtant, il avance. Il a un peu la course d'un Serge Blanco, celle d'un arrière qui s'intercale. »
La défense : avantage Jordan
D. P. : Sa vitesse l'aide à rattraper des coups, mais ses montées rapides en pointe dans la ligne l'exposent aussi à des déconvenues. « Parfois, on a l'impression qu'il fait des montées un peu tout seul, constate Bonneval. Mais ça reste quand même un poison. Comme il est grand et saute haut, il empêche les mecs de se faire la passe et donc le ballon d'aller vers l'extérieur. Il prend de la place, quoi. »« Il a cette envie de court-circuiter, c'est vrai, mais aussi d'impacter l'adversaire », confirme Clerc. Penaud manque peu de plaquages, moins féroces que ceux de Gabin Villière, son alter ego à gauche.
W. J. : Il se loupe rarement dans les un contre un. « Des Blacks qui se sortent en défense, je n'en ai jamais vu, ou alors il faut remonter dans les années 1980, souffle Bonneval. Après, dans la ligne, je trouve que Jordan défend plus collectivement que Penaud. » Ce qui ne l'empêche pas de monter fort parfois pour couper les extérieurs. « C'est sans doute plus facile de bien défendre en position d'ailier quand tu es ou as été arrière que quand tu as été centre, poursuit Clerc. Parce que gérer des sous-nombres, savoir s'il faut couper, accompagner ou glisser, c'est plus un travail d'arrière. Là-dessus, Will a sans doute un avantage sur Damian. »
Le volume de jeu : avantage Penaud
D. P. : Face à l'Argentine (29-20, le 6 novembre), le Clermontois a touché plus de ballons d'attaque à gauche (5) qu'à droite (4), ce qui en dit beaucoup sur le joueur tout-terrain qu'il est. « Il a cette capacité à venir se proposer à l'intérieur ou à hauteur des mecs, à venir prendre un ballon pourri au milieu avant de filer trois crochets et de relancer », analyse Bonneval. Penaud est aussi très précieux sous les ballons hauts, notamment les renvois, où il est régulièrement envoyé au feu. Là, il parvient à s'élever presque aussi haut qu'un bloc de saut pour volleyer le ballon vers son camp.
W. J. : L'ailier all black dézone moins que Penaud, participe un peu moins au jeu courant, mais il est plus précis dans son jeu au pied et plus létal sur les ballons de turnover. On se souvient notamment de son essai planté le 30 octobre face au pays de Galles (victoire 54-16) après un petit coup de pied par-dessus d'école pour lui-même. « C'est d'une précision terrible », reconnaît Bonneval. Ou de ses deux essais inscrits sur des interceptions à trois minutes d'intervalle face à l'Argentine en novembre 2020 (38-0). « Quand tu interceptes, c'est que tu viens pour intercepter, pas juste pour empêcher la passe », conclut Bonneval.
Damien Penaud - Will Jordan : le duel des faux jumeaux
Meilleurs marqueurs d'essais de leur sélection respective en 2021, Damian Penaud et Will Jordan présentent deux profils athlétiques assez similaires, mais des qualités rugbystiques bien distinctes.
Laurent Campistron
Attention, danger. Damian Penaud (25 ans) et Will Jordan (23 ans), qui s'affrontent ce samedi soir au Stade de France, figurent parmi les ailiers les plus prolifiques du moment.
Jordan, c'est déjà 17 essais en 12 sélections avec les Blacks, dont 15 en dix matches en 2021. Encore deux ce soir face aux Bleus et il égalerait le record d'essais inscrits en équipe nationale sur une année civile que détient son compatriote Joe Rokocoko (17 en 2003). « C'est un sacré finisseur, admet l'ancien centre ou ailier international Éric Bonneval. Même si, avec les Blacks, quand tu mets 100 points à des équipes, c'est toujours plus facile. » L'ailier droit néo-zélandais a notamment planté un triplé face aux USA (104-14, le 23 octobre) et un quintuplé contre les Tonga (102-0, le 3 juillet).
Penaud, lui, c'est 12 essais en 27 sélections, dont 6 en dix rencontres cette année, ce qui fait de lui le meilleur marqueur d'essais de l'équipe de France en 2021. Les deux joueurs disposent aussi de gabarits très ressemblants : une même mensuration sous la toise (1,88 m) et un poids quasi équivalent sur la balance (un peu plus de 90 kg). Mais la comparaison s'arrête là, ou presque. Question rugby, Penaud et Jordan tirent chacun des qualités différentes de leur poste de formation. C'est notamment l'art du dézonage pour le puncheur et ex-trois-quarts centre clermontois.
Et c'est le don de l'anticipation et des prises d'intervalles pour l'arrière des Crusaders de Christchurch. Aussi, même s'ils démarreront la partie sur le côté droit, à l'opposé l'un de l'autre, les deux hommes auront sûrement plusieurs fois l'occasion de se croiser sur la pelouse dionysienne. Ça promet des étincelles !
L'attaque : égalité
Damien Penaud : Formé au centre, le Clermontois n'est pas un ailier typique, du genre opportuniste et dévoreur de ligne. « Damian a un jeu assez direct, observe l'ancien ailier international Vincent Clerc. Il aime bien se lancer et parfois emprunter des courses en travers pour aller chercher le défi physique au milieu du terrain. On le voit aussi beaucoup prolonger au pied pour aller mettre la pression sur ses adversaires à la retombée. Il a un jeu plus physique, plus percutant que Jordan. »« Penaud, c'est puissant, ça va vite, c'est truffé de crochets, ajoute Bonneval. C'est un cheval fou ! Il a du gaz, notamment dans le jeu au près. »
Will Jordan : Son poste d'arrière en club l'aide à prendre beaucoup de recul sur le jeu, et donc à anticiper les coups gagnants. Lorsque l'un de ses partenaires perce, c'est souvent lui qui arrive en premier soutien, un peu comme Antoine Dupont avec les Bleus. « Je me souviens de son essai contre les Springboks lors du dernier Rugby Championship (19-17, le 25 septembre), quand son talonneur (Codie Taylor) traverse le terrain et qu'il vient à sa hauteur, dit Bonneval. Là, tu sens qu'il a tout vu, tout lu, tout compris. Ce mec a une foulée très déliée. On a l'impression qu'il ne force pas. Pourtant, il avance. Il a un peu la course d'un Serge Blanco, celle d'un arrière qui s'intercale. »
La défense : avantage Jordan
D. P. : Sa vitesse l'aide à rattraper des coups, mais ses montées rapides en pointe dans la ligne l'exposent aussi à des déconvenues. « Parfois, on a l'impression qu'il fait des montées un peu tout seul, constate Bonneval. Mais ça reste quand même un poison. Comme il est grand et saute haut, il empêche les mecs de se faire la passe et donc le ballon d'aller vers l'extérieur. Il prend de la place, quoi. »« Il a cette envie de court-circuiter, c'est vrai, mais aussi d'impacter l'adversaire », confirme Clerc. Penaud manque peu de plaquages, moins féroces que ceux de Gabin Villière, son alter ego à gauche.
W. J. : Il se loupe rarement dans les un contre un. « Des Blacks qui se sortent en défense, je n'en ai jamais vu, ou alors il faut remonter dans les années 1980, souffle Bonneval. Après, dans la ligne, je trouve que Jordan défend plus collectivement que Penaud. » Ce qui ne l'empêche pas de monter fort parfois pour couper les extérieurs. « C'est sans doute plus facile de bien défendre en position d'ailier quand tu es ou as été arrière que quand tu as été centre, poursuit Clerc. Parce que gérer des sous-nombres, savoir s'il faut couper, accompagner ou glisser, c'est plus un travail d'arrière. Là-dessus, Will a sans doute un avantage sur Damian. »
Le volume de jeu : avantage Penaud
D. P. : Face à l'Argentine (29-20, le 6 novembre), le Clermontois a touché plus de ballons d'attaque à gauche (5) qu'à droite (4), ce qui en dit beaucoup sur le joueur tout-terrain qu'il est. « Il a cette capacité à venir se proposer à l'intérieur ou à hauteur des mecs, à venir prendre un ballon pourri au milieu avant de filer trois crochets et de relancer », analyse Bonneval. Penaud est aussi très précieux sous les ballons hauts, notamment les renvois, où il est régulièrement envoyé au feu. Là, il parvient à s'élever presque aussi haut qu'un bloc de saut pour volleyer le ballon vers son camp.
W. J. : L'ailier all black dézone moins que Penaud, participe un peu moins au jeu courant, mais il est plus précis dans son jeu au pied et plus létal sur les ballons de turnover. On se souvient notamment de son essai planté le 30 octobre face au pays de Galles (victoire 54-16) après un petit coup de pied par-dessus d'école pour lui-même. « C'est d'une précision terrible », reconnaît Bonneval. Ou de ses deux essais inscrits sur des interceptions à trois minutes d'intervalle face à l'Argentine en novembre 2020 (38-0). « Quand tu interceptes, c'est que tu viens pour intercepter, pas juste pour empêcher la passe », conclut Bonneval.
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Re: XV de France (partie en cours)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Bienvenue-a-la-ferme-de-sam-whitelock-capitaine-des-all-blacks/1299944
Bienvenue à la ferme de Sam Whitelock, capitaine des All Blacks
À Linton, la famille du capitaine des All Blacks Sam Whitelock élève 2 700 vaches laitières. Braeden, le père de Sam, est une figure reconnue et respectée du rugby néo-zélandais.
Karim Ben-Ismail, envoyé spécial à Linton (Nouvelle-Zélande)
Quand Sam rentre chez papa et maman, à la campagne, il fonce enfiler ses bottes et une vieille parka. Puis file dans la gadoue en direction des troupeaux pour saluer ces adorables petits veaux aux motifs pie, noir et blanc. Côté ville, Sam Whitelock est une institution : à la fois la nef et la clé de voûte de la cathédrale all black. Un capitaine aux 131 sélections. Celui qu'on verra à la pointe de la flèche pendant le haka au stade de France, leader de combat, face aux Bleus. À 33 ans, plus encore que le stratège de la touche, il est l'âme d'un collectif rajeuni. Celui qui tempère, avec une pondération inversement proportionnelle à son abattage au plaquage.
Un deuxième-ligne qui impose le respect avec ses 2,05 m et ses 115 kg. Un type peu prolixe, affublé d'une barbe d'homme des bois qui le rend ténébreux. Rien à voir avec le chic et glabre Dan Carter, icône publicitaire, qui était placardé en slip sur les Abribus de Nouvelle-Zélande.
Whitelock a la hype rurale, façon siècle dernier. Il porte l'aura de son grand-père maternel, ancien All Black lui aussi. Papy avait survécu aux Japonais pendant la bataille de Guadalcanal, en 1943. Rescapé, mais avec un trou dans le tibia. Un éclat de shrapnel. Bah, pas de quoi l'empêcher de jouer ! Avant chaque match, il y calait un petit billot de bois, remontait ses chaussettes puis s'élançait.
Whitelock, c'est le mec posé, minéral. Il rassure. Les Néo-Zélandais sont fiers de ce capitaine, issu d'une lignée de fermiers. « Lui c'est un pur kiwi », dit-on. La terre, l'agriculture restent l'essence de ce petit pays de 5 millions d'âmes. D'accord, le pays vibre pour le maillot noir, mais il vit avant tout de son or blanc. « Nous les fermiers, on nourrit le monde », se marre Braeden Whitelock, le père de Sam, qui fêtera ses 64 ans lundi, pas peu fier de rappeler que les fermes kiwis produisent 30 % de la consommation en Chine et de son « milliard et demi d'individus ! »
Les Whitelock vendent leur lait à Fonterra, une coopérative néo-zélandaise qui est à l'agriculture ce que les All Blacks sont au rugby : un nain qui défie les géants.
Pour contribuer à cet exploit, Braeden et George, son fils aîné, ne comptent pas leurs heures dans l'exploitation familiale de Linton, à 160 kilomètres au nord de Wellington, la capitale. Sam et ses trois frangins ont grandi là, dans cette ferme qui compte plus de 2 700 têtes de bétail. Tout tourne ici sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. « C'est un boulot d'équipe », raconte Braeden qui dirige un « operation manager » et une vingtaine d'employés. Le bon lait coule ici à flots depuis plus de deux décennies.
Les Whitelock vendent leur lait à Fonterra, une coopérative néo-zélandaise qui est à l'agriculture ce que les All Blacks sont au rugby : un nain sur l'échiquier mondial qui défie les géants ; 21 milliards de litres par an. De quoi titiller Lactalis, le géant tricolore et ses 25,3 milliards de litres annuels. Comme en rugby, les Néo-Zélandais défient les rapports de force. Le savoir-faire des fermiers locaux leur permet de produire presque autant que la France et ses 67 millions d'habitants.
Tandis qu'il nous fait visiter son exploitation, Braeden exprime sa passion : « Bien nourrir les animaux. Les garder en bonne santé. Comprendre les quatre saisons. Avoir la capacité de s'adapter... Même si l'on pense que l'on a tout bien fait, ça peut changer demain. » Il dresse des parallèles entre élevage bovin et art du ballon : importance de la vitesse de déplacement, par exemple. Acheminer le lait sous forme liquide dans le reste du monde était trop compliqué ? Depuis des années, il voyage réduit en poudre grâce à des brevets de lyophilisation kiwi.
Braeden a fini par caler son quintal derrière la table de la salle à manger familiale. Les fenêtres donnent sur le panorama immense du domaine. Caroline, son épouse, s'est assise à ses côtés. Légèrement en retrait. Ils se taquinent, espiègles et amoureux. Quarante ans de mariage. Et quatre fistons qui ont tous fait du rugby. « Dès 4 ans, nous raconte Adam, le cadet, 34 ans. On jouait pieds nus dans la cour. Je faisais toujours équipe avec Sam, face à George - le plus balèze - qui se mettait avec Luke, le plus jeune. »
Plus tard, les quatre gars ont joué avec le maillot rouge des Crusaders, l'équipe mythique aux dix titres de Super Rugby. À l'étage, la grande pièce mansardée fait office de hall of fame. Avec un tas de maillots et de photos sous verre.
Les quatre frangins ont tous honoré le maillot noir
Le truc dingue, c'est que les quatre frangins ont aussi honoré le maillot noir. George compte une sélection, en 2009. Luke, qui évolue à Pau, en a accumulé sept, entre 2013 et 2018. Adam, lui, a été international en rugby à 7 avant de passer par Bayonne. Plus jeunes, ils aimaient bien filer un coup de main à la ferme. Mais Braeden et Caroline ont vu se refermer le piège, alors ils ont préféré leur payer l'internat. « Pour qu'ils puissent étudier tranquillement, explique Caroline. Éviter que nos fils ne passent leur temps à nous aider à la ferme. » Braeden enchaîne : « Nos fistons ont eu beaucoup de chance de pouvoir conjuguer rugby et études. Luke est diplômé en commerce de l'Université de Canterbury, il a été l'un des premiers à passer ses examens en tournée. Adam a choisi le commerce. Sam, plus scientifique, a opté pour l'agronomie et Georges l'agriculture. »
Les premiers Whitelock ont débarqué en Nouvelle-Zélande en 1848, en provenance d'Angleterre et d'Écosse. Les générations suivantes se sont transmises le sacerdoce du métier de fermier. Puis le rugby s'est invité. « À17 ans, en 1976, j'ai intégré un institut agricole de la région de Manawatu, raconte Braeden. Le proviseur, JJ Stewart, avait été le coach des All Blacks. Il m'a beaucoup appris. » Braeden aussi a revêtu le maillot noir. Celui des « Colts », comme on appelait alors les moins de 21 ans. Rugueux deuxième-ligne, il a fini par prendre ses distances avec le ballon. « Ma priorité, c'était mon rêve : m'installer comme fermier. Je ne pouvais pas risquer de me blesser sur un terrain. J'avais trop de boulot avec mes bêtes. »
Le rugby est revenu toquer à la porte quand ses garçons ont rejoint le collège de Feilding, à cinquante kilomètres. « Je n'ai jamais voulu être coach, je l'ai été par défaut », précise-t-il. Trop frustré de voir oeuvrer des coaches qu'il estimait ne pas être au niveau. « Des proches ont insisté et j'ai cédé au sens du devoir », se marre Braeden qui, malgré un volume horaire de boulot démentiel à l'exploitation, s'est coltiné d'éreintants allers-retours en voiture pour aller entraîner l'équipe du collège. « J'estimais important que les gamins prennent du plaisir à l'entraînement. Les émotions d'un ado, c'est important. Performer, c'est bien mais on ne doit jamais oublier que la joie est dans le jeu. »
"Quand j'ai commencé à entraîner, j'ai découvert un phénomène nouveau : les familles monoparentales (...) On faisait faire de la coupe de bois aux gamins. (...) On associait les familles. Nos coaches se substituaient un peu à la figure paternelle absente
Braeden Whitelock
Pendant neuf ans, Braeden a entraîné le quinze de Feilding. Puis il a eu en charge l'équipe scolaire des Hurricanes, la franchise de Wellington, six ans durant.
Le nombre de stars du rugby kiwi qui ont été entraînées par Braeden Whitelock est impressionnant. Ainsi, Aaron Smith, le demi de mêlée des All Blacks : « À 16 ans, on le faisait jouer à l'ouverture. Les gars essayaient tous de le choper. Trop tranchant, il les esquivait tous. Sa passe, si vive, fusait entre les défenseurs adverses. Quand il déboulait chez nous, il se jetait dans les bras de Caroline. C'est un malin Aaron, il se faisait cajoler plutôt que d'aller bosser avec les autres. » Les époux Whitelock se souviennent en riant : « On ne compte plus les fois où notre fox-terrier a bouffé le panier-repas d'Aaron ! » Il y eut aussi Codie Taylor, talonneur aux 15 essais en 56 sélections. « Il a toujours été très puissant physiquement. En plus, il a de super-mains : Codie pourrait jouer second centre. On l'a essayé à trois autres postes différents, avant de le fixer talonneur, à 19 ans. »
L'ossature actuelle des All Blacks repose sur l'équipe 2011 des moins de 20 ans, sacrée championne du monde en Italie. Une génération dorée, parmi laquelle une vingtaine de joueurs sont passés entre les mains de coach Braeden. « J'ai eu les frères Barrett. D'abord Kane, l'aîné. Il a dû arrêter de jouer à la suite de commotions répétées. Puis Beauden, Scott et Jordie, à différentes périodes. Leurs parents sont des ruraux, ça nous a rapprochés. »
Braeden énumère sans forfanterie. Sa modestie l'amènerait à nier, mais on peut affirmer, sans exagérer, qu'il compte parmi les vingt personnalités les plus influentes du rugby kiwi. Quand Braeden a un truc à dire, les coaches all blacks écoutent. Ce pouvoir-là ne l'intéresse pas. Avec bonhomie, il réoriente la conversation vers ce qu'il estime être plus important : « L'essentiel, ce n'est pas forcément l'élite. Ce sont tous les jeunes auxquels on peut ouvrir des perspectives grâce au rugby. Les titres, c'est une chose, mais, champion ou pas, chaque gamin est précieux. Voir un môme grandir, trouver un métier, être invité à son mariage, c'est une satisfaction énorme. Quand j'ai commencé à entraîner, j'ai découvert un phénomène nouveau : les familles monoparentales. Tant de mamans qui avaient du mal à joindre les deux bouts. »
Braeden a cherché des solutions. Par exemple, organiser des collectes de fonds. « On faisait faire de la coupe de bois aux gamins. D'abord, ça les affûtait physiquement. Ensuite, ça les rendait plus résistants mentalement, plus impliqués. On associait les familles. Nos coaches se substituaient un peu à la figure paternelle absente. »
À Linton, la coupe et revente de stères de bois est devenue une institution. « Cette initiative de papa a créé du lien dans tous les environs, raconte Adam. En huit ans, on a récolté près de 500 000 dollars néo-zélandais. On a pu aller jouer en Australie, en Angleterre ! » Chez les Whitelock, le rugby n'a jamais été une fin. Juste un moyen. « Ce sport apprend à penser à l'autre, apporte un équilibre corps-esprit. Le jeu est important, mais le liant qu'il crée l'est tout autant. Les performances, ça va, ça vient, mais l'essentiel, ça reste de réunir les gens. »
Bienvenue à la ferme de Sam Whitelock, capitaine des All Blacks
À Linton, la famille du capitaine des All Blacks Sam Whitelock élève 2 700 vaches laitières. Braeden, le père de Sam, est une figure reconnue et respectée du rugby néo-zélandais.
Karim Ben-Ismail, envoyé spécial à Linton (Nouvelle-Zélande)
Quand Sam rentre chez papa et maman, à la campagne, il fonce enfiler ses bottes et une vieille parka. Puis file dans la gadoue en direction des troupeaux pour saluer ces adorables petits veaux aux motifs pie, noir et blanc. Côté ville, Sam Whitelock est une institution : à la fois la nef et la clé de voûte de la cathédrale all black. Un capitaine aux 131 sélections. Celui qu'on verra à la pointe de la flèche pendant le haka au stade de France, leader de combat, face aux Bleus. À 33 ans, plus encore que le stratège de la touche, il est l'âme d'un collectif rajeuni. Celui qui tempère, avec une pondération inversement proportionnelle à son abattage au plaquage.
Un deuxième-ligne qui impose le respect avec ses 2,05 m et ses 115 kg. Un type peu prolixe, affublé d'une barbe d'homme des bois qui le rend ténébreux. Rien à voir avec le chic et glabre Dan Carter, icône publicitaire, qui était placardé en slip sur les Abribus de Nouvelle-Zélande.
Whitelock a la hype rurale, façon siècle dernier. Il porte l'aura de son grand-père maternel, ancien All Black lui aussi. Papy avait survécu aux Japonais pendant la bataille de Guadalcanal, en 1943. Rescapé, mais avec un trou dans le tibia. Un éclat de shrapnel. Bah, pas de quoi l'empêcher de jouer ! Avant chaque match, il y calait un petit billot de bois, remontait ses chaussettes puis s'élançait.
Whitelock, c'est le mec posé, minéral. Il rassure. Les Néo-Zélandais sont fiers de ce capitaine, issu d'une lignée de fermiers. « Lui c'est un pur kiwi », dit-on. La terre, l'agriculture restent l'essence de ce petit pays de 5 millions d'âmes. D'accord, le pays vibre pour le maillot noir, mais il vit avant tout de son or blanc. « Nous les fermiers, on nourrit le monde », se marre Braeden Whitelock, le père de Sam, qui fêtera ses 64 ans lundi, pas peu fier de rappeler que les fermes kiwis produisent 30 % de la consommation en Chine et de son « milliard et demi d'individus ! »
Les Whitelock vendent leur lait à Fonterra, une coopérative néo-zélandaise qui est à l'agriculture ce que les All Blacks sont au rugby : un nain qui défie les géants.
Pour contribuer à cet exploit, Braeden et George, son fils aîné, ne comptent pas leurs heures dans l'exploitation familiale de Linton, à 160 kilomètres au nord de Wellington, la capitale. Sam et ses trois frangins ont grandi là, dans cette ferme qui compte plus de 2 700 têtes de bétail. Tout tourne ici sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. « C'est un boulot d'équipe », raconte Braeden qui dirige un « operation manager » et une vingtaine d'employés. Le bon lait coule ici à flots depuis plus de deux décennies.
Les Whitelock vendent leur lait à Fonterra, une coopérative néo-zélandaise qui est à l'agriculture ce que les All Blacks sont au rugby : un nain sur l'échiquier mondial qui défie les géants ; 21 milliards de litres par an. De quoi titiller Lactalis, le géant tricolore et ses 25,3 milliards de litres annuels. Comme en rugby, les Néo-Zélandais défient les rapports de force. Le savoir-faire des fermiers locaux leur permet de produire presque autant que la France et ses 67 millions d'habitants.
Tandis qu'il nous fait visiter son exploitation, Braeden exprime sa passion : « Bien nourrir les animaux. Les garder en bonne santé. Comprendre les quatre saisons. Avoir la capacité de s'adapter... Même si l'on pense que l'on a tout bien fait, ça peut changer demain. » Il dresse des parallèles entre élevage bovin et art du ballon : importance de la vitesse de déplacement, par exemple. Acheminer le lait sous forme liquide dans le reste du monde était trop compliqué ? Depuis des années, il voyage réduit en poudre grâce à des brevets de lyophilisation kiwi.
Braeden a fini par caler son quintal derrière la table de la salle à manger familiale. Les fenêtres donnent sur le panorama immense du domaine. Caroline, son épouse, s'est assise à ses côtés. Légèrement en retrait. Ils se taquinent, espiègles et amoureux. Quarante ans de mariage. Et quatre fistons qui ont tous fait du rugby. « Dès 4 ans, nous raconte Adam, le cadet, 34 ans. On jouait pieds nus dans la cour. Je faisais toujours équipe avec Sam, face à George - le plus balèze - qui se mettait avec Luke, le plus jeune. »
Plus tard, les quatre gars ont joué avec le maillot rouge des Crusaders, l'équipe mythique aux dix titres de Super Rugby. À l'étage, la grande pièce mansardée fait office de hall of fame. Avec un tas de maillots et de photos sous verre.
Les quatre frangins ont tous honoré le maillot noir
Le truc dingue, c'est que les quatre frangins ont aussi honoré le maillot noir. George compte une sélection, en 2009. Luke, qui évolue à Pau, en a accumulé sept, entre 2013 et 2018. Adam, lui, a été international en rugby à 7 avant de passer par Bayonne. Plus jeunes, ils aimaient bien filer un coup de main à la ferme. Mais Braeden et Caroline ont vu se refermer le piège, alors ils ont préféré leur payer l'internat. « Pour qu'ils puissent étudier tranquillement, explique Caroline. Éviter que nos fils ne passent leur temps à nous aider à la ferme. » Braeden enchaîne : « Nos fistons ont eu beaucoup de chance de pouvoir conjuguer rugby et études. Luke est diplômé en commerce de l'Université de Canterbury, il a été l'un des premiers à passer ses examens en tournée. Adam a choisi le commerce. Sam, plus scientifique, a opté pour l'agronomie et Georges l'agriculture. »
Les premiers Whitelock ont débarqué en Nouvelle-Zélande en 1848, en provenance d'Angleterre et d'Écosse. Les générations suivantes se sont transmises le sacerdoce du métier de fermier. Puis le rugby s'est invité. « À17 ans, en 1976, j'ai intégré un institut agricole de la région de Manawatu, raconte Braeden. Le proviseur, JJ Stewart, avait été le coach des All Blacks. Il m'a beaucoup appris. » Braeden aussi a revêtu le maillot noir. Celui des « Colts », comme on appelait alors les moins de 21 ans. Rugueux deuxième-ligne, il a fini par prendre ses distances avec le ballon. « Ma priorité, c'était mon rêve : m'installer comme fermier. Je ne pouvais pas risquer de me blesser sur un terrain. J'avais trop de boulot avec mes bêtes. »
Le rugby est revenu toquer à la porte quand ses garçons ont rejoint le collège de Feilding, à cinquante kilomètres. « Je n'ai jamais voulu être coach, je l'ai été par défaut », précise-t-il. Trop frustré de voir oeuvrer des coaches qu'il estimait ne pas être au niveau. « Des proches ont insisté et j'ai cédé au sens du devoir », se marre Braeden qui, malgré un volume horaire de boulot démentiel à l'exploitation, s'est coltiné d'éreintants allers-retours en voiture pour aller entraîner l'équipe du collège. « J'estimais important que les gamins prennent du plaisir à l'entraînement. Les émotions d'un ado, c'est important. Performer, c'est bien mais on ne doit jamais oublier que la joie est dans le jeu. »
"Quand j'ai commencé à entraîner, j'ai découvert un phénomène nouveau : les familles monoparentales (...) On faisait faire de la coupe de bois aux gamins. (...) On associait les familles. Nos coaches se substituaient un peu à la figure paternelle absente
Braeden Whitelock
Pendant neuf ans, Braeden a entraîné le quinze de Feilding. Puis il a eu en charge l'équipe scolaire des Hurricanes, la franchise de Wellington, six ans durant.
Le nombre de stars du rugby kiwi qui ont été entraînées par Braeden Whitelock est impressionnant. Ainsi, Aaron Smith, le demi de mêlée des All Blacks : « À 16 ans, on le faisait jouer à l'ouverture. Les gars essayaient tous de le choper. Trop tranchant, il les esquivait tous. Sa passe, si vive, fusait entre les défenseurs adverses. Quand il déboulait chez nous, il se jetait dans les bras de Caroline. C'est un malin Aaron, il se faisait cajoler plutôt que d'aller bosser avec les autres. » Les époux Whitelock se souviennent en riant : « On ne compte plus les fois où notre fox-terrier a bouffé le panier-repas d'Aaron ! » Il y eut aussi Codie Taylor, talonneur aux 15 essais en 56 sélections. « Il a toujours été très puissant physiquement. En plus, il a de super-mains : Codie pourrait jouer second centre. On l'a essayé à trois autres postes différents, avant de le fixer talonneur, à 19 ans. »
L'ossature actuelle des All Blacks repose sur l'équipe 2011 des moins de 20 ans, sacrée championne du monde en Italie. Une génération dorée, parmi laquelle une vingtaine de joueurs sont passés entre les mains de coach Braeden. « J'ai eu les frères Barrett. D'abord Kane, l'aîné. Il a dû arrêter de jouer à la suite de commotions répétées. Puis Beauden, Scott et Jordie, à différentes périodes. Leurs parents sont des ruraux, ça nous a rapprochés. »
Braeden énumère sans forfanterie. Sa modestie l'amènerait à nier, mais on peut affirmer, sans exagérer, qu'il compte parmi les vingt personnalités les plus influentes du rugby kiwi. Quand Braeden a un truc à dire, les coaches all blacks écoutent. Ce pouvoir-là ne l'intéresse pas. Avec bonhomie, il réoriente la conversation vers ce qu'il estime être plus important : « L'essentiel, ce n'est pas forcément l'élite. Ce sont tous les jeunes auxquels on peut ouvrir des perspectives grâce au rugby. Les titres, c'est une chose, mais, champion ou pas, chaque gamin est précieux. Voir un môme grandir, trouver un métier, être invité à son mariage, c'est une satisfaction énorme. Quand j'ai commencé à entraîner, j'ai découvert un phénomène nouveau : les familles monoparentales. Tant de mamans qui avaient du mal à joindre les deux bouts. »
Braeden a cherché des solutions. Par exemple, organiser des collectes de fonds. « On faisait faire de la coupe de bois aux gamins. D'abord, ça les affûtait physiquement. Ensuite, ça les rendait plus résistants mentalement, plus impliqués. On associait les familles. Nos coaches se substituaient un peu à la figure paternelle absente. »
À Linton, la coupe et revente de stères de bois est devenue une institution. « Cette initiative de papa a créé du lien dans tous les environs, raconte Adam. En huit ans, on a récolté près de 500 000 dollars néo-zélandais. On a pu aller jouer en Australie, en Angleterre ! » Chez les Whitelock, le rugby n'a jamais été une fin. Juste un moyen. « Ce sport apprend à penser à l'autre, apporte un équilibre corps-esprit. Le jeu est important, mais le liant qu'il crée l'est tout autant. Les performances, ça va, ça vient, mais l'essentiel, ça reste de réunir les gens. »
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:France-All Blacks: Ntamack a "un temps d'avance sur Jalibert" selon Urios
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tests-matchs/france-all-blacks-ntamack-a-un-temps-d-avance-sur-jalibert-selon-urios_AV-202111200151.html
Comment sortir une phrase de son contexte et en faire une accroche qui veut dire exactement l’inverse pour mettre la merde…les journalistes c’est vraiment des petites p…. !!!
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
latine a écrit:Scalp a écrit:France-All Blacks: Ntamack a "un temps d'avance sur Jalibert" selon Urios
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tests-matchs/france-all-blacks-ntamack-a-un-temps-d-avance-sur-jalibert-selon-urios_AV-202111200151.html
Comment sortir une phrase de son contexte et en faire une accroche qui veut dire exactement l’inverse pour mettre la merde…les journalistes c’est vraiment des petites p…. !!!
Exactement ...ce que dit Urios c'est que c'est l'association Dupont-Ntamack donne un temps d'avance à ce dernier par les habitudes qu'ils ont ont ensemble. C'est totalement différent.
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Re: XV de France (partie en cours)
sudiste a écrit:latine a écrit:Scalp a écrit:France-All Blacks: Ntamack a "un temps d'avance sur Jalibert" selon Urios
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tests-matchs/france-all-blacks-ntamack-a-un-temps-d-avance-sur-jalibert-selon-urios_AV-202111200151.html
Comment sortir une phrase de son contexte et en faire une accroche qui veut dire exactement l’inverse pour mettre la merde…les journalistes c’est vraiment des petites p…. !!!
Exactement ...ce que dit Urios c'est que c'est l'association Dupont-Ntamack donne un temps d'avance à ce dernier par les habitudes qu'ils ont ont ensemble. C'est totalement différent.
Comme d’hab…
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Re: XV de France (partie en cours)
sudiste a écrit:latine a écrit:Scalp a écrit:France-All Blacks: Ntamack a "un temps d'avance sur Jalibert" selon Urios
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tests-matchs/france-all-blacks-ntamack-a-un-temps-d-avance-sur-jalibert-selon-urios_AV-202111200151.html
Comment sortir une phrase de son contexte et en faire une accroche qui veut dire exactement l’inverse pour mettre la merde…les journalistes c’est vraiment des petites p…. !!!
Exactement ...ce que dit Urios c'est que c'est l'association Dupont-Ntamack donne un temps d'avance à ce dernier par les habitudes qu'ils ont ont ensemble. C'est totalement différent.
Surtout qu’en fait urios dit surtout des trucs favorables à Matthieu comme par exemple sur le fait qu’il a la capacité de faire basculer le match contrairement à d’autres (il le dit bien mieux que moi !!!).
Dernière édition par latine le Sam 20 Nov 2021 - 15:07, édité 1 fois
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Après les journalistes en font des caisses sur « les gens sont complotistes les gens nous détestent parce qu’ils ne veulent pas entendre les vérités »…
Déjà sur des choses aussi simples que celles là, si les journalistes ne travestissaient pas le sens de ce que les gens disent, ils restaureraient peut-être la confiance. Pour l’instant quand je lis ça, je me dis qu’ils ne font que récolter ce qu’ils ont semé…
Déjà sur des choses aussi simples que celles là, si les journalistes ne travestissaient pas le sens de ce que les gens disent, ils restaureraient peut-être la confiance. Pour l’instant quand je lis ça, je me dis qu’ils ne font que récolter ce qu’ils ont semé…
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
latine a écrit:sudiste a écrit:latine a écrit:Scalp a écrit:France-All Blacks: Ntamack a "un temps d'avance sur Jalibert" selon Urios
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/tests-matchs/france-all-blacks-ntamack-a-un-temps-d-avance-sur-jalibert-selon-urios_AV-202111200151.html
Comment sortir une phrase de son contexte et en faire une accroche qui veut dire exactement l’inverse pour mettre la merde…les journalistes c’est vraiment des petites p…. !!!
Exactement ...ce que dit Urios c'est que c'est l'association Dupont-Ntamack donne un temps d'avance à ce dernier par les habitudes qu'ils ont ont ensemble. C'est totalement différent.
Surtout qu’en fait urios dit surtout des trucs favorables à Matthieu comme par exemple sur le fait qu’il a la capacité de faire basculer le match contrairement à d’autres (il le dit bien mieux que moi !!!).
Sous ses dehors d'Ours, Urios est un mec qui sait être subtil et même s'il est franc, il sait distiller des légers sous texte..., bon ok, des plus lourds aussi
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Re: XV de France (partie en cours)
Je ne vais pas pouvoir voir le match en direct
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Re: XV de France (partie en cours)
Urios a aussi dit que Matthieu avait plus le profil pour être un finisseur que Ntamack. Qu’il pouvait faire de grosses différences sur une défense fatiguée.
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Re: XV de France (partie en cours)
Roberto Miopalmo a écrit:Urios a aussi dit que Matthieu avait plus le profil pour être un finisseur que Ntamack. Qu’il pouvait faire de grosses différences sur une défense fatiguée.
Pourquoi il ne le fait pas a l’UBB? Matthieu a plus ce profil que FTD dont le jeu est similaire a NTK
Et Dupont n’a pas le profil d’un finisseur?
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
grospaquet31 a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:Urios a aussi dit que Matthieu avait plus le profil pour être un finisseur que Ntamack. Qu’il pouvait faire de grosses différences sur une défense fatiguée.
Pourquoi il ne le fait pas a l’UBB?
Et Dupont n’a pas le profil d’un finisseur?
À l'UBB, Jaja c'est le patron, en EDF, c'est Dupont, comme tu sais...
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Re: XV de France (partie en cours)
Roberto Miopalmo a écrit:Urios a aussi dit que Matthieu avait plus le profil pour être un finisseur que Ntamack. Qu’il pouvait faire de grosses différences sur une défense fatiguée.
Ça peut effectivement très bien fonctionner comme ça, c'était une config assez logique. Après évidement, on aimerait tous voir Jaja titulaire, surtout qu'il le mérite, mais il faut faire avec et espérer que Matthieu tire son épingle du jeu.
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Re: XV de France (partie en cours)
Scalp a écrit:grospaquet31 a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:Urios a aussi dit que Matthieu avait plus le profil pour être un finisseur que Ntamack. Qu’il pouvait faire de grosses différences sur une défense fatiguée.
Pourquoi il ne le fait pas a l’UBB?
Et Dupont n’a pas le profil d’un finisseur?
À l'UBB, Jaja c'est le patron, en EDF, c'est Dupont, comme tu sais...
C’est le coach le patron d’une equipe. A priori, CU parle de profil en comparant Jalibert et NTK ou matthieu serait plus un finisseur que NTK. FTD a la meme conception de jeu que NTK donc CU devrait mettre Matthieu sur le banc et finir les matchs a l’ubb si on suit sa logique. J’aimerais par la meme occasion definir le profil d’un finisseur.
Des fois, je me demande vraiment si CU aime le club et les joueurs qu’il entraine. Est ce que Mola dirait que c’est normal que Matthieu soit titulaire en edf (au detriment de ntk)?
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Re: XV de France (partie en cours)
grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:grospaquet31 a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:Urios a aussi dit que Matthieu avait plus le profil pour être un finisseur que Ntamack. Qu’il pouvait faire de grosses différences sur une défense fatiguée.
Pourquoi il ne le fait pas a l’UBB?
Et Dupont n’a pas le profil d’un finisseur?
À l'UBB, Jaja c'est le patron, en EDF, c'est Dupont, comme tu sais...
C’est le coach le patron d’une equipe. A priori, CU parle de profil en comparant Jalibert et NTK ou matthieu serait plus un finisseur que NTK. FTD a la meme conception de jeu que NTK donc CU devrait mettre Matthieu sur le banc et finir les matchs a l’ubb si on suit sa logique. J’aimerais par la meme occasion definir le profil d’un finisseur.
Des fois, je me demande vraiment si CU aime le club et les joueurs qu’il entraine. Est ce que Mola dirait que c’est normal que Matthieu soit titulaire en edf (au detriment de ntk)?
Là, t'exagère un peu par rapport à Urios, il relève juste la réalité, le fait que NTK à une longueur d'avance sur Jaja, parce qu'il joue régulièrement avec Dupont en club, le fait que la vitesse et la vista de Jaja peuvent faire mal en fin de match.
Je suis d'accord, c'est bien dommage que Galthié et même la presse, manquent de couilles avec Dupont, quand Dupont avait snobé Jaja, avec trois passes dans le match, rien, aucunes remarques ou commentaires..., Dupont est le patron
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Re: XV de France (partie en cours)
Ok, fais pas comme si tu comprenais pas.grospaquet31 a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:Urios a aussi dit que Matthieu avait plus le profil pour être un finisseur que Ntamack. Qu’il pouvait faire de grosses différences sur une défense fatiguée.
Pourquoi il ne le fait pas a l’UBB? Matthieu a plus ce profil que FTD dont le jeu est similaire a NTK
Et Dupont n’a pas le profil d’un finisseur?
Deux ouvreurs de niveau à peu près équivalent. Les deux pourraient commencer, seulement Urios précise que l’un des deux a plus le profil pour finir.
A l’UBB, cette concurrence n’existe pas. Jalibert est bien au dessus de FTD,comme il l’était de Botica.
Ce principe existe en revanche pour les 9. Lesgourgues a plus le profil d’un entrant que Lucu.
Et oui, s’il y avait un 9 « classique » de très haut niveau, Dupont aurait plus le profil d’un puncheur qui rentre vers la 50 ème. Sauf qu’il n’a pas personne pour clairement le chatouiller.
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Re: XV de France (partie en cours)
grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:grospaquet31 a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:Urios a aussi dit que Matthieu avait plus le profil pour être un finisseur que Ntamack. Qu’il pouvait faire de grosses différences sur une défense fatiguée.
Pourquoi il ne le fait pas a l’UBB?
Et Dupont n’a pas le profil d’un finisseur?
À l'UBB, Jaja c'est le patron, en EDF, c'est Dupont, comme tu sais...
C’est le coach le patron d’une equipe. A priori, CU parle de profil en comparant Jalibert et NTK ou matthieu serait plus un finisseur que NTK. FTD a la meme conception de jeu que NTK donc CU devrait mettre Matthieu sur le banc et finir les matchs a l’ubb si on suit sa logique. J’aimerais par la meme occasion definir le profil d’un finisseur.
Des fois, je me demande vraiment si CU aime le club et les joueurs qu’il entraine. Est ce que Mola dirait que c’est normal que Matthieu soit titulaire en edf (au detriment de ntk)?
Il n’a jamais dit ça !
Il dit a demi mots que ce qui fait passer RNT devant c’est dupont et il dit que dans ces conditions il faut profiter de Jaja à l’heure jeu… c’est une façon de dire qu’il faut le faire rentrer tôt et pas comme d’hab a la 75e…
latine- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
Et une touche direct qui compte en tant que touche avec la règle des 50:22, c'est balaise, ou alors j'ai pas compris le terme "touche indirect"
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Re: XV de France (partie en cours)
La grand stade toulousain commence à marquer le pas on dirait
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Re: XV de France (partie en cours)
Putain! Ce match!
Roberto Miopalmo- J'aime l'Union à la folie
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Re: XV de France (partie en cours)
zizou46 a écrit:La grand stade toulousain commence à marquer le pas on dirait
Quel pied ce match gros match du pack et les mecs derrières ont élevé leurs niveau ntamack danty fickou Gabin jaminet. C'est bien
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Re: XV de France (partie en cours)
latine a écrit:grospaquet31 a écrit:Scalp a écrit:grospaquet31 a écrit:Roberto Miopalmo a écrit:Urios a aussi dit que Matthieu avait plus le profil pour être un finisseur que Ntamack. Qu’il pouvait faire de grosses différences sur une défense fatiguée.
Pourquoi il ne le fait pas a l’UBB?
Et Dupont n’a pas le profil d’un finisseur?
À l'UBB, Jaja c'est le patron, en EDF, c'est Dupont, comme tu sais...
C’est le coach le patron d’une equipe. A priori, CU parle de profil en comparant Jalibert et NTK ou matthieu serait plus un finisseur que NTK. FTD a la meme conception de jeu que NTK donc CU devrait mettre Matthieu sur le banc et finir les matchs a l’ubb si on suit sa logique. J’aimerais par la meme occasion definir le profil d’un finisseur.
Des fois, je me demande vraiment si CU aime le club et les joueurs qu’il entraine. Est ce que Mola dirait que c’est normal que Matthieu soit titulaire en edf (au detriment de ntk)?
Il n’a jamais dit ça !
Il dit a demi mots que ce qui fait passer RNT devant c’est dupont et il dit que dans ces conditions il faut profiter de Jaja à l’heure jeu… c’est une façon de dire qu’il faut le faire rentrer tôt et pas comme d’hab a la 75e…
Regardes la discussion, je repondais a Roberto.
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Re: XV de France (partie en cours)
Roberto Miopalmo a écrit:Putain! Ce match!
C'est autre chose que la victoire à 0 passe (ou presque) des Irish...
Faut reconnaître que RNT a fait un super match contrairement à Dupont qui a sorti un match peu satisfaisant dans l'animation mais ô combien précieux en défense.
Woki vient de signer pour un long bail avec l'EDF.
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Re: XV de France (partie en cours)
Je retiens surtout une énorme perf collective. C'est l'équipe qui a été excellente, et pas 1 ou 2 joueurs. Tout le monde s'y ai filé. J'espère qu'on ne retiendra pas que la charnière, d'autant que RNT et Dupont ne sont pas forcément les joueurs qui ont le plus brillé. Mauvaka, Woki, Jelonch, Penaud, Jaminet, Danty...tout le monde a vraiment été énorme. Un peu déçu pour Matthieu qui n'a pas eu l'occasion de montrer son talent, d'autant que RNT a été bon, sans être exceptionnel non plus. Il a alterné de très bon et le médiocre.
En tout cas belle perf ! 80 ans que les AB n'avaient pas perdu 2 matchs en Europe. Après je relativise un peu car les AB sont en fin de saison, surement cramés, et venaient de jouer les gallois puis les irlandais là où nos Bleus sont en début de saison et n'ont pas affronté des adversaires du même calibre. C'est d'ailleurs l'inverse lors des tournées d'été où les européens sont cramés car en fin de saison et les sudistes frais car en début.
Le vrai test, pour moi, sera la réception des anglais en février. En attendant, savourons
En tout cas belle perf ! 80 ans que les AB n'avaient pas perdu 2 matchs en Europe. Après je relativise un peu car les AB sont en fin de saison, surement cramés, et venaient de jouer les gallois puis les irlandais là où nos Bleus sont en début de saison et n'ont pas affronté des adversaires du même calibre. C'est d'ailleurs l'inverse lors des tournées d'été où les européens sont cramés car en fin de saison et les sudistes frais car en début.
Le vrai test, pour moi, sera la réception des anglais en février. En attendant, savourons
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Re: XV de France (partie en cours)
Switch a écrit:Je retiens surtout une énorme perf collective. C'est l'équipe qui a été excellente, et pas 1 ou 2 joueurs. Tout le monde s'y ai filé. J'espère qu'on ne retiendra pas que la charnière, d'autant que RNT et Dupont ne sont pas forcément les joueurs qui ont le plus brillé. Mauvaka, Woki, Jelonch, Penaud, Jaminet, Danty...tout le monde a vraiment été énorme. Un peu déçu pour Matthieu qui n'a pas eu l'occasion de montrer son talent, d'autant que RNT a été bon, sans être exceptionnel non plus. Il a alterné de très bon et le médiocre.
En tout cas belle perf ! 80 ans que les AB n'avaient pas perdu 2 matchs en Europe. Après je relativise un peu car les AB sont en fin de saison, surement cramés, et venaient de jouer les gallois puis les irlandais là où nos Bleus sont en début de saison et n'ont pas affronté des adversaires du même calibre. C'est d'ailleurs l'inverse lors des tournées d'été où les européens sont cramés car en fin de saison et les sudistes frais car en début.
Le vrai test, pour moi, sera la réception des anglais en février. En attendant, savourons
Sur ce match ntamack a ete excellent dans son animation et ballon en main je vois pas ce qu'il aurait pu faire de mieu. Le seul bémol a ete son jeu au pied. Jaja fait la rentrer qu'on attendait c'est a dire deux belles courses. Ce qui est bien c'est que Galthie n'hésite plus à le faire rentrer
Après devant enorme woki il a gagné des points
nadoloubb- Quentin MARTIntino
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