Tournoi des 6 Nations 2023

Dr. Gregory Bouse a écrit:
On joue comme les Anglais d'il y a 20 ans...

Ca tombe bien, il y a 20 ans ils ont été champions du monde .....

zizou46 a écrit:

Dr. Gregory Bouse a écrit:
On joue comme les Anglais d'il y a 20 ans...

Ca tombe bien, il y a 20 ans ils ont été champions du monde .....

sauf qu'on joue 20 ans apres!

6 Nations 2023 - Des Français "fantomatiques", "une frayeur inattendue"... La revue de presse étrangère

https://www.rugbyrama.fr/2023/02/06/6-nations-2023-des-francais-fantomatiques-une-frayeur-inattendue-la-revue-de-presse-etrangere-10976631.php

15 DE FRANCE. Le valeureux François Cros de retour pour affronter l'Irlande ?

https://www.lerugbynistere.fr/news/15-de-france-le-valeureux-francois-cros-de-retour-pour-affronter-lirlande-0602231234.php

https://www.rugbyrama.fr/2023/02/06/6-nations-2023-la-troisieme-mi-temps-matthieu-jalibert-peut-faire-ce-quil-veut-il-ne-sera-jamais-titulaire-10979552.php

le radis a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/02/06/6-nations-2023-la-troisieme-mi-temps-matthieu- jalibert-peut-faire-ce-quil-veut-il-ne-sera-jamais-titulaire-10979552.php

Et si Matthieu fend en 2 le terrain et montrait la voie a suivre, il pourrait etre titulaire?

Six Nations : La première place mondiale, l'autre enjeu d'Irlande – France

https://www.eurosport.fr/rugby/6-nations/2023/six-nations-la-premiere-place-mondiale-l-autre-enjeu-d-irlande-france_sto9375177/story.shtml

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Pour-les-bleus-trois-chantiers-cette-semaine-avant-le-choc-en-irlande/1379297

Les trois chantiers des Bleus avant le choc en Irlande

Perturbés par l'arbitrage dans les rucks lors de la première rencontre du Tournoi des Six Nations face à l'Italie (29-24), les Bleus auront un programme allégé jusqu'au déplacement en Irlande (samedi, 15h15) et de nombreuses pistes de travail.

Alex Bardot

1. Régler les rucks

Irlande-France, c'est le maître des rucks offensifs face au numéro 1 mondial des rucks défensifs. Reste à savoir si les Bleus auront retrouvé leur mojo, qui leur avait permis de piquer cinq ballons aux Irlandais l'an passé, et leur discipline. À Rome face à l'Italie (29-24), on a pu voir à quel point ils se fragilisaient quand ils ne gagnaient pas la bataille au sol et récoltaient des pénalités plutôt que des grattages.

À Dublin samedi, face à l'entêtante mécanique de Jonathan Sexton and co, cela aurait des conséquences plus lourdes. L'ancien arbitre international Jérôme Garcès, qui accompagne l'équipe de France en permanence au sein de l'encadrement, a quelques jours devant lui pour remettre les Bleus sur le bon chemin. Une question demeure, cependant : à quel point les absences du centre Jonathan Danty (genou) et de l'ailier Gabin Villière (péroné), les deux seuls trois-quarts spécialistes du grattage, sont-elles préjudiciables pour mener la bataille des rucks ?

2. Refaire du jus

Quel que soit le scénario, le temps ou l'arbitrage, il faudra résister aux longues séquences offensives irlandaises à l'Aviva Stadium. Depuis deux ans, pour les contrer, la France s'applique à multiplier les montées rapides sur le premier bloc d'avants, poumon du jeu de l'équipe du sélectionneur Andy Farrell. Poussés dans leur retranchement par ce régime intensif il y a un an, les Bleus devront être capables de remettre ça samedi.

La préparation a été pensée dans ce sens. À Capbreton (Landes), lors du stage d'avant-Tournoi, le programme a été très chargé - ce qui explique peut-être un peu les difficultés face à l'Italie - et il sera allégé cette semaine. Par ailleurs, avec seulement six jours entre les deux premiers matches du Tournoi, l'encadrement a fait le choix de rester à Rome, manière de s'épargner un voyage. La délégation française s'envolera de la capitale italienne jeudi directement pour Dublin.

3. Se préparer au contexte

En trois ans, les Bleus de Fabien Galthié ont-ils fait face à un contexte aussi brûlant que celui qui les attend à Dublin ? Un début de réponse à cette question est dans l'appel d'Andy Farrell au public irlandais ce lundi. C'est la promesse d'une ferveur immense, qui contrastera avec le silence de l'Aviva il y a deux ans (14 février 2021, 15-13), en pleine période Covid-19, et rendra plus délicate la maîtrise des émotions.

Le contexte, c'est aussi l'envie de suprématie et l'esprit de revanche de l'équipe irlandaise, qui a une triple opportunité sur un seul match : se venger de la dernière équipe à l'avoir battu dans son stade, faire tomber son dernier tombeur (30-24 au Stade de France, le 12 février 2022), marquer mentalement un possible adversaire en quart de finale de la Coupe du monde. Cette semaine, dans ses discours, Galthié devrait souvent parler de « chaos » à ces joueurs...

Scalp a écrit:Six Nations : La première place mondiale, l'autre enjeu d'Irlande – France

https://www.eurosport.fr/rugby/6-nations/2023/six-nations-la-premiere-place-mondiale-l-autre-enjeu-d-irlande-france_sto9375177/story.shtml

C'est dingue de se focaliser sur ce détail alors que l'important c'est le jeu, ce qu'on va montrer et la dynamique qu'on va générer. L'important c'est pas d'être n°1 en février, c'est d'être les meilleurs en octobre et de gagner la CdM. Le reste, on s'en tape !

6 Nations 2023 - La pluie à Dublin, l'élément qui pourrait tout changer entre l'Irlande et la France

https://www.rugbyrama.fr/2023/02/07/6-nations-2023-la-pluie-a-dublin-lelement-qui-pourrait-tout-changer-entre-lirlande-et-la-france-10980825.php

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/En-irlande-un-choc-tout-au-sommet-du-rugby-mondial-pour-les-bleus/1379301

En Irlande, un choc tout au sommet du rugby mondial pour les Bleus

Poussifs en Italie, les Bleus n'ont pas le temps de gamberger. Ils sont attendus à Dublin dès samedi pour LE choc du moment, entre les deux meilleures nations mondiales. Chez des Irlandais sûrs de leur force et revanchards, on n'est pas loin du défi ultime.

Romain Bergogne

Depuis que le classement mondial a été instauré fin 2003, jamais le Tournoi des Six Nations n'avait proposé une affiche entre les deux premiers. Voilà de quoi situer rapidement les hauteurs du sommet qui attend les Bleus samedi à Dublin (15h15).

Dans le coin vert, l'Irlande, numéro un mondiale depuis 29 semaines, sur une série de six victoires, dont deux en Nouvelle-Zélande, et qui sort d'un succès bonifié au pays de Galles dans son style de jeu millimétré et rigoureux (34-10). Dans le coin bleu, la France, deuxième mondiale, sa série de 14 succès de rang où toutes les nations majeures du rugby y sont passées, XV du Trèfle inclus.

Un « Grand Slam decider » ?

Dans un rugby international où Anglais, Gallois et Australiens ont changé de sélectionneur à moins d'un an de la Coupe du monde (8 septembre-28 octobre), quand la Nouvelle-Zélande et l'Afrique du Sud n'ont gagné « que » 60 % de leurs matches en 2022 (8/13), l'Irlande et la France affichent une constance remarquable qui les rendrait presque un peu trop favoris pour le grand raout de l'automne 2023. À l'échelle du Tournoi, l'affaire est déjà entendue si l'on lit la presse irlandaise qui décrit le rendez-vous de samedi comme un « Grand Slam decider » (le décideur du Grand Chelem).

D'un point de vue irlandais, quand vous avez battu dans les derniers mois les trois nations majeures de l'hémisphère Sud (Nouvelle-Zélande en juillet, Afrique du Sud et Australie en novembre) et que vous venez de gagner à Cardiff pour la première fois depuis 2013 avec, à suivre, des voyages en Italie et en Écosse et la réception d'une Angleterre en plein doute, il y a de quoi s'enflammer un poil. Pour les Bleus, difficile d'y voir une finale avant l'heure, surtout après avoir peiné bien au-delà des habitudes à Rome (29-24) face à l'adversaire le moins aguerri du plateau.

Trois victoires de rang pour la France face à l'Irlande

Reste que les Bleus du sélectionneur Fabien Galthié ont systématiquement battu l'Irlande lors des trois derniers Tournois, ce qui s'ajoute à la pile des enjeux de cet énorme choc. Ce sont même les derniers à avoir gagné à Dublin, en 2021, dans un Aviva Stadium à huis clos (15-13).

En 2022, les retrouvailles au Stade de France avaient été un bras de fer d'une intensité folle que les coéquipiers du capitaine Antoine Dupont avaient encore su remporter (30-24) pour ce qui reste aujourd'hui, vu d'Irlande, comme le match qui a privé son équipe d'un premier Grand Chelem depuis 2018. En 2020, dans un match disputé le 31 octobre après l'arrêt pendant l'hiver du Tournoi pour cause de Covid-19, la France s'était imposée 35-27 au Stade de France.

« L'an dernier, nous n'avions pas attaqué le match comme nous avons l'habitude de le faire, se souvenait lundi le sélectionneur de l'Irlande Andy Farrell, dans les colonnes du journal The 42. On avait quand même eu une opportunité de gagner ce match donc il faut qu'on soit nous-mêmes dès le coup d'envoi. »

Cela ressemble à un rendez-vous au premier contact. Avec cette fois, un public bien présent. Farrell encore : « Tout le monde au pays réalise ce qui arrive ce week-end. Notre public sait que c'est un énorme match et qu'il doit se mettre derrière nous. Dans ces situations, c'est le meilleur au monde. Il n'y a aucun doute là-dessus. »

Voilà pour le contexte de l'énorme défi qui attend les Français, pas du genre en plus à cacher l'objectif d'un deuxième Grand Chelem consécutif. Tous les ingrédients du sommet sont réunis et cela va même au-delà des forces collectives dans chaque camp quand on sait par exemple que les deux derniers meilleurs joueurs du monde, Antoine Dupont (2021) et le troisième-ligne Josh van der Flier (2022), seront sur le terrain.

grospaquet31 a écrit:

le radis a écrit:https://www.rugbyrama.fr/2023/02/06/6-nations-2023-la-troisieme-mi-temps-matthieu- jalibert-peut-faire-ce-quil-veut-il-ne-sera-jamais-titulaire-10979552.php

Et si Matthieu fend en 2 le terrain et montrait la voie a suivre, il pourrait etre titulaire?

Même pas ! le staff lui préfèrerait le gonze tapi derrière Moïse...

N'est-ce pas là une représentation quasi christique ... qui frôle l'idolâtrie

sudiste a écrit:

N'est-ce pas là une représentation quasi christique ... qui frôle l'idolâtrie

je parlerai même d'iconographie... enlève les sujets autour de lui et regarde ce qu'il reste.

où tu as pécho cette image ?

Dr. Gregory Bouse a écrit:

sudiste a écrit:

N'est-ce pas là une représentation quasi christique ... qui frôle l'idolâtrie

je parlerai même d'iconographie... enlève les sujets autour de lui et regarde ce qu'il reste.

où tu as pécho cette image ?

Elle est accrochée au dessus du lit de Galthié

C'est un pub Eden Park ...

https://www.eurosport.fr/rugby/6-nations/2023/six-nations-romain-ntamack-et-matthieu-jalibert-l-indispensable-duo-de-l-ouverture_sto9374868/story.shtml

VIDÉO. En 1985, la France et l'Irlande nous offraient un ruck invraisemblable à 18 joueurs où tout était permis

https://www.lerugbynistere.fr/videos/video-non-vous-ne-revez-pas-il-existait-bien-des-rucks-a-18-joueurs-en-1985-0702231516.php

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Les-rucks-le-sujet-qui-demangent-les-bleus-avant-irlande-france/1379503

Les rucks, le sujet qui démangent les Bleus avant Irlande-France

Trop souvent pénalisés dans les rucks contre l'Italie (29-24), les Français ont pu être quelque peu rassurés par le débrief avec le corps arbitral. Mais il leur faudra se montrer beaucoup plus propres dans cette zone si cruciale, samedi, contre les Irlandais (15h15).

Frédéric Bernès

Là-bas, de Dublin à Galway, ils les appellent les jackallers, ce qui peut se traduire par « chacals ». On ne saurait dire comment ce vocable est entré dans le lexique du rugby anglophone, mais on comprend l'idée. Les jackallers sont ces chiens sauvages qui viennent rôder dans les rucks encore chauds pour essayer d'en extirper le ballon, le gratter, ou au moins en ralentir la sortie.

L'arbitrage de cette phase de jeu contient tout d'une affaire sensible, au carrefour de plusieurs enjeux cruciaux : sécuritaire (protéger le gratteur des déblayages dangereux), tactique (l'équipe qui possède le ballon cherche toujours à recycler ses ballons le plus rapidement possible d'un ruck à l'autre pour manger du temps à la défense qui doit se réorganiser) voire philosophique (nous y reviendrons avec les nouvelles consignes d'arbitrage).

Cette semaine, le sujet monopolise l'attention parce que le XV de France a concédé 18 pénalités à Rome dimanche dernier (29-24), son sommet d'indiscipline depuis 2014 dans le Tournoi ; parce que la majorité de ces fautes ont été sifflées pour des attitudes dans le jeu au sol et parce que samedi une rencontre est prévue avec quelques ennemis des « chacals », qui agissent en bande très organisée. Pour dérégler l'horlogerie de cette équipe d'Irlande, il existe une sorte de prérequis. Il faut gagner la bataille du temps contre elle, l'empêcher d'enchaîner ses rucks offensifs à un tempo infernal.

Freiner la rapidité des rucks irlandais

Depuis qu'on chronomètre les temps de cycle des rucks comme les changements de gommes dans les stands de F1, on mesure combien l'organisation irlandaise, qui va de la réactivité des soutiens à la précision des postures, fait merveille. Entre 2020 et 2022, l'équipe d'Andy Farrell a réussi à diminuer sa vitesse moyenne de rucks de 3''18 à 2''87. En phase offensive, l'Irlande navigue autour de 70 % de rucks en dessous de trois secondes, avec parfois des pics comme contre l'Angleterre l'an dernier (78 %).

Si la France peut se vanter d'avoir causé deux des trois dernières défaites de cette équipe, c'est (entre autres) parce qu'elle a su freiner ce roulage, n'accordant que 53 % de rucks très rapides (0 à 3 secondes) à Josh Van der Flier et compagnie l'an dernier à Paris (30-24), et à peine 50 % à Dublin en 2021 (13-15). Autre point commun entre ces deux victoires : une jauge de pénalités concédées inférieure à dix : 9 à l'Aviva, 7 au Stade de France. En résumé, pour une France qui gagne, il vaut mieux pouvoir compter sur des « chacals » aussi inspirés et judicieux qu'il y a un an (cinq ballons grattés aux Irlandais).

« Vous ne m'écoutez pas ! Ne mettez pas les mains dans les rucks ! On ne peut pas ! »
Fabien Galthié, en colère, à la mi-temps d'Italie-France

Or, dimanche dernier à Rome, aucun grattage français n'a été récompensé avant celui réussi par Anthony Jelonch (71e minute), les experts Julien Marchand et Grégory Alldritt étant sortis du terrain les mains vides. « Les fautes françaises sont assez faciles à gommer, juge Richie Gray, entraîneur spécialisé dans la zone de ruck et ancien adjoint de Vern Cotter à Montpellier. Je pense aux hors-jeu, évidemment, mais aussi aux pénalités concédées au sol qui sont des fautes de précision ou de concentration individuelles. »

À la mi-temps, Fabien Galthié avait pesté dans le vestiaire du stade Olympique : « Sept fautes dans les rucks et combien de ballons gagnés ? Zéro. Je vous ai demandé avant le match : s'il vous plaît, pas de faute dans les rucks. Vous ne m'écoutez pas ! La prochaine, c'est carton jaune ! Ne mettez pas les mains dans les rucks ! On ne peut pas ! N'attaquez pas les rucks ! »

Des consignes pour accélérer le jeu

Après le match, le sélectionneur avait évoqué un défaut de maîtrise de la règle chez ses joueurs. Certes, le corpus de règles n'a pas changé mais des consignes ont été transmises aux arbitres en fin d'année pour accélérer le jeu et essayer d'éviter un certain trop-plein de dépossession. « Il y a trois semaines, par Zoom, tous les sélectionneurs du Tournoi ont pu échanger là-dessus avec les arbitres, explique Joël Judge, le patron des arbitres à World Rugby. Galthié faisait partie de la même session que Gatland (le sélectionneur du pays de Galles). Parmi ces directives, il est désormais demandé à l'assistant plaqueur et futur gratteur de bien soulever ses coudes entre les deux actions, de marquer une déconnexion claire. »

À Rome, cette situation a coûté une faute à Uini Atonio. « Le staff français nous a fait parvenir cinq clips de fautes qu'il ne comprenait pas, explique Judge. On débriefe chaque match avec chaque staff, et ça se passe en bonne intelligence. Cette faute d'Atonio est sifflée parce qu'à vitesse réelle il ne sort pas le bras droit assez clairement. En revanche, la dernière faute contre (Romain) Taofifenua n'est pas justifiée ; il n'attaque pas le sol. Il y a aussi une entrée par le côté reprochée à Jelonch qui n'est pas non plus justifiée. »

Shaun Edwards a présenté ses excuses à l'arbitre d'Italie-France

Dans sa chronique pour le Daily Mail, l'entraîneur de la défense Shaun Edwards a reconnu que la discipline française « n'était pas assez bonne à Rome. On s'est sur-engagé. L'année dernière, nous étions l'équipe ayant récupéré le plus de ballons au sol. Dimanche, on n'a pas atteint nos standards. Je tiens à présenter publiquement des excuses à (l'arbitre anglais d'Italie-France) M. Carley. »

Samedi après-midi, à Dublin, les Bleus recroiseront un sifflet anglais, celui de Wayne Barnes, qui les avait pénalisés 12 fois - dont un carton rouge contre Antoine Dupont - lors de la victoire 30-26 contre l'Afrique du Sud, à Marseille, en novembre dernier.

6 Nations 2023 - En chiffres. Pourquoi l'Irlande et la France sont les deux meilleures nations du monde

https://www.rugbyrama.fr/2023/02/08/6-nations-2023-en-chiffres-pourquoi-lirlande-et-la-france-sont-les-deux-meilleures-nations-du-monde-10981470.php

J'ai trouvé cette equipe plate, sans émotion. Il m'a semble que mentalement on avait plongé quand l'italie a marqué son essai de pénalité puis repris le score, les joueurs me sont apparus un peu perdus, incrédule.
On arrête pas de louer que cette équipe finit par gagner, qu'elle est forte dans sa tête, mais j'ai personnellement un gros doute, d'autant plus qu'en face ce n'était que l'Italie. On est finalement repassé devant peu de temps après mais je ne sens pas cette équipe si sereine que ca.
Je trouve que ca manque de vrai leadership. Dupont est a mon avis un mauvais choix comme capitaine. Il faut un mec bcp plus expressif.

bon, samedi c'est le gros test et tout est possible. Collectivement, strategiquement, je nous trouve inferieur aux irlandais, par contre en talent individuel on est au dessus. c'est ce facteur, imprevisible, incontrolable qui m'amene à penser que tout est possible.

Les six joueurs du XV de France mis à disposition des clubs

https://www.ffr.fr/actualites/xv-de-france/les-six-joueurs-du-xv-de-france-mis-a-disposition-des-clubs