Coupe du Monde 2023 en France

France - Nouvelle-Zélande / Coupe du monde de rugby 2023 - Jaco Peyper et le banc néo-zélandais critiqués… La revue de presse du match d'ouverture

https://www.rugbyrama.fr/2023/09/09/france-nouvelle-zelande-coupe-du-monde-de-rugby-2023-jaco-peyper-et-le-banc-neo-zelandais-critiques-la-revue-de-presse-du-match-douverture-11442463.php

Scalp a écrit:Coupe du monde de rugby : une marée verte sur Bordeaux

https://www.francebleu.fr/sports/rugby/coupe-du-monde-de-rugby-une-maree-verte-sur-bordeaux-8665213

Comme pour l'Euro en France, le Connemara doit faire de belle soirée

Mondial de rugby - Vincent aurait-il dû être titulaire à la place de Moefana ?

https://www.eurosport.fr/rugby/mondial-de-rugby-vincent-aurait-il-du-etre-titulaire-a-la-place-de-moefana_vid1988797/video.shtml

Assez d'accord avec Mourad sur ce coup, mais Yoram doit réagir, nous qui le connaissons bien, on s'impatiente de le revoir à son meilleur niveau, go Yoram !

Bon ben la moitié du pack titulaire sur le flanc … Marchand Baille Willemse Jelonch. C’est quand même embêtant. Et malgré tout on sent une équipe physiquement au top . Il faudrait en récupérer au moins deux en forme pour les quart .

Switch a écrit:

Scalp a écrit:Coupe du monde de rugby : une marée verte sur Bordeaux

https://www.francebleu.fr/sports/rugby/coupe-du-monde-de-rugby-une-maree-verte-sur-bordeaux-8665213

Comme pour l'Euro en France, le Connemara doit faire de belle soirée

C’est le meilleur pub de Bordeaux avec la Guinness pression qu’on ne trouve malheureusement pas partout 🥲

https://x.com/so_bordeaux/status/1700550806955598279?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ

Scalp a écrit:

https://x.com/so_bordeaux/status/1700550806955598279?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ

https://x.com/so_bordeaux/status/1700550806955598279?s=61&t=rsjujGWE_4Tp-YLu87EwkQ

Attendez de voir les JO...

J'ai fais gare de Lyon > aéroport d'Orly récemment, c'est l'enfer. Idem quand je vais à Roissy ou à gare Montparnasse.

Vraiment, ça va être ridicule. Et je parle même pas de la sécurité.

C’est sur que quand tu n’es pas bordelais tu n’imagines même la merde pour aller au Matmut !

J'ai vu Guido Petti jouer au rugby

Les Argentins sont incroyables de médiocrité tout autant que les anglais ont le cul bordés de nouilles.
C'est vraiment un match de merde...

Vince33 a écrit:  J'ai vu Guido Petti jouer au rugby

Oui et vu le niveau de ses coéquipier face à une équipe de peintre en bâtiment réduite à 14, on ne devrait pas tarder à le revoir à Bordeaux. Prêt pour la reprise contre Toulouse.

zizou46 a écrit:

Vince33 a écrit:  J'ai vu Guido Petti jouer au rugby

Oui et vu le niveau de ses coéquipier face à une équipe de peintre en bâtiment réduite à 14, on ne devrait pas tarder à le revoir à Bordeaux. Prêt pour la reprise contre Toulouse.

C'est clair que nous assistons à un match de merde.
Mais les argentins et les anglais sont dans la partie la plus facile du tableau et ils peuvent aller en demi en jouant des équipes faiblardes.
Sinon Raynal sanctionne sans arrêt les pumas

Oui sur la dernière pénalité en mêlée, j’ai l’impression que l’anglais lâche la liaison et fait sortir la tête de sclavi avec son bras. Du coup il a lâché c’est lui qui fait faute.?

Oui je ne comprends rien à l'arbitrage de Raynal

Vince33 a écrit:

zizou46 a écrit:

Vince33 a écrit:  J'ai vu Guido Petti jouer au rugby

Oui et vu le niveau de ses coéquipier face à une équipe de peintre en bâtiment réduite à 14, on ne devrait pas tarder à le revoir à Bordeaux. Prêt pour la reprise contre Toulouse.

C'est clair que nous assistons à un match de merde.
Mais les argentins et les anglais sont dans la partie la plus facile du tableau et ils peuvent aller en demi en jouant des équipes faiblardes.
Sinon Raynal sanctionne sans arrêt les pumas

En jouant comme ça je ne vois pas comment ils vont battres les fijiens ou les Australiens

Des Argentins en dessous de tout ...aucun mental (c'est bien de chialer pendant les hymnes mais après il faut savoir se sortir des émotions) une charnière pathétique avec un 9 d'une lenteur jamais vue (comment est-il resté si longtemps sur la pelouse ? ) et un 10 incapable de comprendre qu'il  fallait donner de la profondeur à sa ligne de 3/4 pour s'extirper de l'agressivité anglaise ....mauvais en touche et en mêlée. Jamais vu une équipe sombrer autant sans trouver de solutions et le tout en supériorité numérique pendant 77 mn
Prendre quasiment 30 pions de pénalités en ne marquant zéro point durant 75 minutes en ce en supériorité c'est du jamais vu je pense.

En face des anglais très pauvres techniquement mais solidaires ultra pragmatiques et flegmatiques à l'image de Ford qui a de suite compris la stratégie à adopter suite au rouge de Curry. La rose n'est pas morte et reprend des couleurs

zizou46 a écrit:

Vince33 a écrit:  J'ai vu Guido Petti jouer au rugby

Oui et vu le niveau de ses coéquipier face à une équipe de peintre en bâtiment réduite à 14, on ne devrait pas tarder à le revoir à Bordeaux. Prêt pour la reprise contre Toulouse.

Le problème c' est qu' il était au même niveau que ses coéquipiers.
Vu le match du pack anglais (réduit à 7) les frères Willis peuvent certainement faire une croix sur la CdM.

tire-bouchon a écrit:
Vu le match du pack anglais (réduit à 7) les frères Willis peuvent certainement faire une croix sur la CdM.

Manque de précision et de sens de l'analyse , comme souvent..

D'abord il n'y a qu'un Willis dans l'équipe !
Ensuite vue la débauche d'énergie des avants anglais sur ce match et la suspension à venir de Curry je crois, au contraire, que Jack Willis va rapidement avoir du temps de jeu !

https://www.lequipe.fr/tv/replay/france-nouvelle-zelande-premieres-impressions/20178084

https://www.lequipe.fr/tv/replay/un-xv-de-france-dangereux-en-attaque/20178088

Coupe du monde 2023. Boks en jaune, stats, duels, compos d’équipes… tout ce qu’il faut savoir avant Afrique du Sud – Écosse

https://www.sudouest.fr/sport/rugby/coupe-du-monde-2023-les-10-choses-a-savoir-avant-afrique-du-sud-ecosse-16586106.php

Le match à ne pas louper, on va avoir quelques indications précieuses lors de cette rencontre, on connait le niveau des Écossais, on attend des Boks au top, une opposition qui fait saliver d'avance

Coupe du monde de rugby : «Marseillaise pourrie», «film d'horreur», pourquoi les hymnes font polémique ?

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/coupe-du-monde/coupe-du-monde-de-rugby-marseillaise-pourrie-film-d-horreur-pourquoi-les-hymnes-font-polemique-20230910

Coupe du monde de rugby 2023. Les hymnes a cappella font réagir : "Arrêtez ce massacre !"

https://actu.fr/sports/rugby/pro/coupe-du-monde-de-rugby-2023-les-hymnes-a-cappella-font-reagir-arretez-ce-massacre_60063481.html

Coupe du monde de rugby : programme, chaînes TV, enjeux de ce dimanche

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/coupe-du-monde/coupe-du-monde-de-rugby-programme-chaines-tv-enjeux-de-ce-dimanche-20230910

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Gregor-townsend-selectionneur-de-l-ecosse-c-est-dans-notre-histoire-d-etre-un-outsider/1418912

Gregor Townsend, sélectionneur de l'Écosse : « C'est dans notre histoire d'être un outsider »

L'Écosse attaque sa Coupe du monde ce dimanche à Marseille face aux Springboks, tenants du titre. Le sélectionneur du quinze du Chardon Gregor Twonsend l'affirme : son équipe sera au rendez-vous et a bien l'ambition de renverser la hiérarchie dans cette poule B.

Patrick Sowden

En arrivant à Nice le week-end dernier, où l'Écosse a son camp de base, Gregor Townsend a tenu à répondre en français aux questions. Il le fait dès qu'il en a l'occasion. « Je compte bien dérouiller mon français durant la compétition », précise celui qui a évolué à Brive, Castres et Montpellier. Son rapport à la France est étroit. « Mon fils est né à Montpellier, ce qui suffit pour qu'il me dise qu'il est français », sourit-il. Et il aimerait un jour entraîner en Top 14.

Pas sûr que le manager du quinze du Chardon en poste depuis 2017 ait le temps pour les cours de langue car son équipe figure dans le groupe le plus relevé qui soit avec notamment l'Irlande, numéro 1 mondiale, et l'Afrique du Sud, championne du monde en titre et son premier adversaire. Une étape avec cols hors catégorie qui ne lui fait pas peur.

« Vous espérez que l'Écosse soit la deuxième équipe soutenue par le public français. Avec l'Afrique du Sud et l'Irlande au menu, ça pourrait aider ?

Je ne vais pas revenir sur ce tirage au sort injuste qui a placé trois équipes du top 5 dans la même poule. Les instances ont dit qu'à l'avenir le tirage au sort sera effectué le plus près possible de la compétition, comme c'est le cas en football. Mais, en attendant, il faut faire avec.

L'Écosse aime être un outsider. Vous l'êtes plus que jamais ?

Quand vous êtes un supporter écossais, ça rassure de se dire que la pression sera davantage sur l'adversaire. C'est dans notre mentalité, dans notre histoire d'être un outsider. Parce qu'on est une nation de 5 millions d'habitants et qu'en Angleterre ils sont 55 millions.

Historiquement, les Anglais ont toujours été nos rivaux. C'était le cas dans les guerres, c'est le cas dans le sport maintenant. L'esprit écossais s'est forgé dans cette adversité. Mais chaque entraîneur veut être un outsider. À entendre les entraîneurs, le favori, c'est toujours l'équipe d'en face. Et, en même temps, ces mêmes entraîneurs ne cessent de répéter à leurs joueurs qu'ils sont les meilleurs et qu'ils vont gagner.

« C'est l'année où jamais pour cette équipe parce qu'elle arrive à maturité en termes d'expérience collective et de jeu »

C'est ce que vous avez répété à vos joueurs ?

On va rester nous-mêmes, on ne va pas changer parce qu'on joue les numéros 1 mondiaux et les champions du monde. On est convaincus de nos qualités et qu'on peut rivaliser avec n'importe quel adversaire. Nous avons gagné en confiance en affrontant les meilleures équipes du monde et en rivalisant avec elles.

Nous avons été compétitifs ces douze derniers mois contre l'Angleterre (victoire 23-29 au Tournoi début février), contre la Nouvelle-Zélande (défaite 23-31 en novembre) et l'Irlande, où nous avons fait jeu égal jusqu'à l'heure de jeu (7-8 à la mi-temps, défaite 7-22 lors de l'avant-dernière journée des Six Nations mi-mars).

Face à la France, pendant le Tournoi (défaite 33-21), ç'aurait pu tourner en notre faveur, pareil lors du match de préparation à Saint-Étienne (30-27, le 12 août). On a accompli beaucoup de progrès, avant et pendant notre préparation. Maintenant, on doit trouver le moyen de gagner.

Grant Gilchrist, votre deuxième-ligne, a déclaré que c'était l'année ou jamais. Vous êtes d'accord ?

Pour une génération, sans doute. Ils sont trois ou quatre à avoir pris leur retraite depuis la dernière Coupe du monde. (Stuart) Hogg l'a fait en tout début de préparation. Peut-être que deux ou trois se retireront après le tournoi.

L'annonce de la retraite de Stuart Hogg vous a surpris ?

Absolument. Il avait eu des problèmes aux genoux, s'était fait opérer. Il a commencé la préparation puis il a renoncé au bout de deux semaines. À partir du moment où sa tête lui a dit stop, c'était compliqué de continuer. La tête décide, le corps suit. Ç'a été une décision compliquée pour lui, mais en même temps très honnête. Cela va permettre à (Blair) Kinghorn et (Ollie) Smith de montrer toutes leurs qualités d'arrière.

Il y a longtemps que l'Écosse n'avait pas eu une telle génération ?

C'est l'année ou jamais pour cette équipe, oui, parce qu'elle arrive à maturité en termes d'expérience collective et de jeu. C'est une équipe qui se connaît bien, un groupe qui vit ensemble pratiquement depuis quatre ans. Je l'ai vu progresser ces douze derniers mois, depuis le début de notre préparation. L'équipe type se dessine depuis deux ans. (Duhan) Van der Merwe n'est avec nous que depuis moins de trois ans, (Sione) Tuipulotu depuis encore moins longtemps, Ben White depuis deux ans... Quelque chose est en train de se construire, on le sent. Cette Coupe du monde arrive au bon moment pour le montrer. On a tout mis en place pour jouer notre meilleur rugby.

« Nous n'aurons jamais le vivier de joueurs dont disposent la France ou l'Angleterre. Donc, on doit construire notre jeu autour de nos qualités »

Vous pouvez battre l'Afrique du Sud, l'un des principaux favoris ?

On connaît leurs qualités. Ils sont très puissants, très forts et cela se manifeste en mêlées ou dans les ballons portés. Leur plan de match, c'est l'agressivité. Leur défense est la plus agressive du monde avec cette faculté à monter vite sur l'adversaire. Leur jeu est basé sur l'intimidation, sur la pression constante sur l'adversaire qui vous étouffe, vous pousse à la faute.

Ça reste la base de leur jeu même s'ils ont des arrières parmi les meilleurs du monde et qu'ils font évoluer leur jeu pour développer leurs qualités offensives. Mais intelligemment, sans renier leurs qualités défensives, leur base, car, en rugby, on ne peut pas tout faire au risque de diluer ses points forts. Le match face à la France l'année dernière était un modèle d'intensité, de force, de férocité même. L'enjeu pour nous sera d'essayer de contrôler leurs forces mais aussi trouver le moyen de jouer notre jeu, de leur imposer.

Vous avez conscience que cela va être compliqué ?

On sait qu'il y aura des moments où l'Afrique du Sud aura la domination, des moments où nous ne serons pas en mesure d'exécuter les choses aussi bien que nous le voudrions à cause de leur pression. Mais nous devons trouver un moyen de gagner. C'est notre but dans cette Coupe du monde : trouver un moyen de gagner.

Pour cela, vous misez sur le "Scottish flair" comme on parlait de "French flair" pour le rugby d'attaque des Français ?

On sait quelles sont nos forces. C'est le mouvement, la vitesse, la qualité technique. Nous n'aurons jamais le vivier de joueurs dont disposent la France ou l'Angleterre. On a des joueurs puissants, mais pas autant que les Français, les Anglais ou les Boks. Donc, on doit construire notre jeu autour de nos qualités.

Finn Russell est un des meilleurs passeurs au monde ? Eh bien il faut le mettre dans les conditions de briller sur ce plan. Nous devons jouer le mouvement en permanence pour créer les espaces. Car il y a toujours des espaces à exploiter sur toutes les parties du terrain. De plus en plus d'équipes développent ce style de jeu offensif et ce n'est pas le public qui va se plaindre. »