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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Les 400 voix manquantes à Jalibert sont sans aucun celles des supporters Toulousaings qui ont préféré les filer à Sexton... quand tu vois que Dupont est number 1 avec 1 match et demi joué...y a du lourd chez les Community fans de l’Equipe.
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Pas mieuxDr. Gregory Bouse a écrit:Les 400 voix manquantes à Jalibert sont sans aucun celles des supporters Toulousaings qui ont préféré les filer à Sexton... quand tu vois que Dupont est number 1 avec 1 match et demi joué...y a du lourd chez les Community fans de l’Equipe.
densnewzealand- J'aime l'Union à la folie
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Bé oui, Matthieu et Big Ben sans problème – Big Ben qui s'est qd mm coltiné Irlandais, Sud-Af et Écossais !
Et entre autres j'avais mis McKenzie en 15 et Aaron Smith en 9, mais je n'ai pas vu tous les matchs des NZ.
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Humeur : Consterné par le traitement réservé à MJ, la mentalité d'une partie des commentateurs (journalistes et supporters), etc.
Re: Coupe du Monde 2023 en France
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/coupe-du-monde-de-rugby/france-afrique-du-sud-damian-penaud-et-thomas-ramos-voisins-de-chambre-et-flambeurs-17038563.php
France – Afrique du Sud : Damian Penaud et Thomas Ramos, voisins de chambre et « flambeurs »
Par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial
L’ailier Damian Penaud et l’arrière Thomas Ramos partagent la même chambre durant cette Coupe du monde. Mais ils sont surtout respectivement meilleur marqueur et meilleur réalisateur de cette compétition
Les binômes de renom ne manquent pas à l’hôtel Renaissance de Rueil-Malmaison. Dans les chambres de cet établissement, où les Bleus ont pris leurs quartiers dans l’optique du quart de finale de Coupe du monde face à l’Afrique du Sud, on trouve par exemple le duo 100 % basque composé par Charles Ollivon et Maxime Lucu. Ou encore son alter ego gersois articulé autour de Grégory Alldritt et Anthony Jelonch. Alors bien sûr, la porte derrière laquelle Damian Penaud et Thomas Ramos ont élu domicile n’offre pas de telles garanties en termes d’AOC. Mais l’ailier corrézien et l’arrière de Mazamet constituent malgré tout le « couple » le plus bankable de la sélection. Respectivement meilleur marqueur d’essais et meilleur réalisateur de la compétition, les deux Bleus affolent les compteurs.
1 Damian Penaud, chasseur de records
Serge Blanco répète à l’envi espérer que son record sera battu. Qu’il se félicite que sa « marque » de 38 essais inscrits en équipe de France entre 1980 et 1991 puisse enfin être effacée. L’ancien arrière international a raison de le prendre ainsi. Car au train où vont les choses, Damian Penaud (35 essais) ne devrait pas tarder à le faire tomber.
« Même nous, on ne sait pas ce qu’il va faire quand il a le ballon dans les bras »
Auteur de 30 essais en 31 matchs depuis le début du mandat de Fabien Galthié, le futur joueur de l’UBB avance à une cadence ahurissante. Sur la planète rugby, il n’y a bien que l’ailier Néo-Zélandais Will Jordan (27 essais en 28 matchs) pour faire aussi bien.
Depuis le début de la compétition, Damian Penaud a encore accéléré. Ses six essais lui permettent même de lorgner sur le record co-détenu par Jonah Lomu, Bryan Habana et Julian Savea. Et il se classe également en tête des classements recensant les nombres de percées (11) ou de défenseurs battus (12).
« C’est un joueur de classe mondiale », relevait Thomas Ramos au soir de la victoire face à la Nouvelle-Zélande : « Même nous qui le côtoyons tous les jours, on ne sait pas ce qu’il va faire quand il a le ballon dans les bras. C’est ce qu’on aime chez lui. C’est un joueur d’instinct qui ne calcule pas. Il fait les choses à 100 %, ça nous sert plutôt pas mal. »
2 Thomas Ramos, buteur de sang-froid
Thomas Ramos avait fait tomber un record l’hiver dernier : celui du nombre de points inscrits par un Français dans le Tournoi des Six-Nations. L’arrière peut-il récidiver cet automne durant la Coupe du monde ? Peu probable si on se fie aux écarts. Mais cela n’interdit pas de célébrer la réussite du buteur toulousain.
Alors forcément, son « score » a été bien alimenté par ses 24 points inscrits face à la Namibie (96-0). Un match au cours duquel il a eu à tenter 13 transformations. « Je n’en avais jamais tapé autant. Même à l’entraînement », avait-il rigolé : « C’est bien, cela m’a permis de m’entraîner sur la fatigue en fin de match. Après, j’en ai eu un paquet en coin. J’en parlerai avec certains, notamment Damian Penaud. »
Bouillant compétiteur, Thomas Ramos est coquin. Sauf lorsqu’il se présente face aux perches. Son taux de réussite (86 %) en atteste. Cette statistique est le fruit de sa routine : quatre pas en arrière, trois sur le côté. Mais aussi et surtout de sa manière d’aborder l’exercice. « Thomas a intégré la possibilité de rater dans son approche mentale », a expliqué auprès du « Parisien » Olivier Leprêtre, le préparateur mental du Stade Toulousain : « Un jour, il m’a dit : un buteur ne peut pas faire perdre son équipe, il ne peut que la faire gagner. »
France – Afrique du Sud : Damian Penaud et Thomas Ramos, voisins de chambre et « flambeurs »
Par Denys Kappès-Grangé, envoyé spécial
L’ailier Damian Penaud et l’arrière Thomas Ramos partagent la même chambre durant cette Coupe du monde. Mais ils sont surtout respectivement meilleur marqueur et meilleur réalisateur de cette compétition
Les binômes de renom ne manquent pas à l’hôtel Renaissance de Rueil-Malmaison. Dans les chambres de cet établissement, où les Bleus ont pris leurs quartiers dans l’optique du quart de finale de Coupe du monde face à l’Afrique du Sud, on trouve par exemple le duo 100 % basque composé par Charles Ollivon et Maxime Lucu. Ou encore son alter ego gersois articulé autour de Grégory Alldritt et Anthony Jelonch. Alors bien sûr, la porte derrière laquelle Damian Penaud et Thomas Ramos ont élu domicile n’offre pas de telles garanties en termes d’AOC. Mais l’ailier corrézien et l’arrière de Mazamet constituent malgré tout le « couple » le plus bankable de la sélection. Respectivement meilleur marqueur d’essais et meilleur réalisateur de la compétition, les deux Bleus affolent les compteurs.
1 Damian Penaud, chasseur de records
Serge Blanco répète à l’envi espérer que son record sera battu. Qu’il se félicite que sa « marque » de 38 essais inscrits en équipe de France entre 1980 et 1991 puisse enfin être effacée. L’ancien arrière international a raison de le prendre ainsi. Car au train où vont les choses, Damian Penaud (35 essais) ne devrait pas tarder à le faire tomber.
« Même nous, on ne sait pas ce qu’il va faire quand il a le ballon dans les bras »
Auteur de 30 essais en 31 matchs depuis le début du mandat de Fabien Galthié, le futur joueur de l’UBB avance à une cadence ahurissante. Sur la planète rugby, il n’y a bien que l’ailier Néo-Zélandais Will Jordan (27 essais en 28 matchs) pour faire aussi bien.
Depuis le début de la compétition, Damian Penaud a encore accéléré. Ses six essais lui permettent même de lorgner sur le record co-détenu par Jonah Lomu, Bryan Habana et Julian Savea. Et il se classe également en tête des classements recensant les nombres de percées (11) ou de défenseurs battus (12).
« C’est un joueur de classe mondiale », relevait Thomas Ramos au soir de la victoire face à la Nouvelle-Zélande : « Même nous qui le côtoyons tous les jours, on ne sait pas ce qu’il va faire quand il a le ballon dans les bras. C’est ce qu’on aime chez lui. C’est un joueur d’instinct qui ne calcule pas. Il fait les choses à 100 %, ça nous sert plutôt pas mal. »
2 Thomas Ramos, buteur de sang-froid
Thomas Ramos avait fait tomber un record l’hiver dernier : celui du nombre de points inscrits par un Français dans le Tournoi des Six-Nations. L’arrière peut-il récidiver cet automne durant la Coupe du monde ? Peu probable si on se fie aux écarts. Mais cela n’interdit pas de célébrer la réussite du buteur toulousain.
Alors forcément, son « score » a été bien alimenté par ses 24 points inscrits face à la Namibie (96-0). Un match au cours duquel il a eu à tenter 13 transformations. « Je n’en avais jamais tapé autant. Même à l’entraînement », avait-il rigolé : « C’est bien, cela m’a permis de m’entraîner sur la fatigue en fin de match. Après, j’en ai eu un paquet en coin. J’en parlerai avec certains, notamment Damian Penaud. »
Bouillant compétiteur, Thomas Ramos est coquin. Sauf lorsqu’il se présente face aux perches. Son taux de réussite (86 %) en atteste. Cette statistique est le fruit de sa routine : quatre pas en arrière, trois sur le côté. Mais aussi et surtout de sa manière d’aborder l’exercice. « Thomas a intégré la possibilité de rater dans son approche mentale », a expliqué auprès du « Parisien » Olivier Leprêtre, le préparateur mental du Stade Toulousain : « Un jour, il m’a dit : un buteur ne peut pas faire perdre son équipe, il ne peut que la faire gagner. »
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
COUPE DU MONDE. Danty vs De Allende : la boule de démolition face au poseur de ''fions''
https://www.lerugbynistere.fr/news/coupe-du-monde-danty-vs-de-allende-la-boule-de-demolition-face-au-poseur-de-fions-1210231846.php
https://www.lerugbynistere.fr/news/coupe-du-monde-danty-vs-de-allende-la-boule-de-demolition-face-au-poseur-de-fions-1210231846.php
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
COUPE DU MONDE. ANALYSE. Comment le XV de France était venu à bout des Springboks ?
https://www.lerugbynistere.fr/news/coupe-du-monde-analyse-comment-le-xv-de-france-etait-venu-a-bout-des-springboks-1210231612.php
https://www.lerugbynistere.fr/news/coupe-du-monde-analyse-comment-le-xv-de-france-etait-venu-a-bout-des-springboks-1210231612.php
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Antoine-dupont-jouera-t-il-avec-ou-sans-casque-contre-l-afrique-du-sud/1424986
Antoine Dupont jouera-t-il avec ou sans casque avec les Bleus contre l'Afrique du Sud ?
Remis d'une fracture maxillo-zygomatique, Antoine Dupont devrait bien être titulaire pour défier l'Afrique du Sud, dimanche (21 heures) en quarts de finale de la Coupe du monde. Reste à savoir si le capitaine des Bleus portera ou non un casque.
Jean-François Paturaud
Il l'a abord enfilé à l'abri des regards indiscrets, à l'entraînement de mardi, une fois les journalistes partis après les 15 premières minutes réglementaires. Puis il l'a remis lors de la séance du lendemain après-midi, toujours au stade du Parc de Rueil-Malmaison. Trois semaines après sa fracture maxillo-zygomatique contractée contre la Namibie (96-0) à Marseille, Antoine Dupont s'est équipé d'un casque noir en ce début de semaine pour préparer le quart de finale contre l'Afrique du Sud, dimanche soir (21 heures).
Un accessoire légèrement customisé par un morceau de scotch marron du plus bel effet afin de masquer la marque située au milieu du front. Opéré le 22 septembre dernier à Toulouse par le professeur Frédéric Lauwers, qui lui a donné le feu vert lundi pour reprendre le rugby, le capitaine des Bleus n'était initialement pourtant pas emballé par cette éventualité. D'autant que l'efficacité d'un tel apport est assez limitée après une blessure à la pommette, le casque ne protégeant que le cuir chevelu, le haut du crâne et les oreilles.
« Je pense que les entraîneurs lui ont mis un casque pour l'identifier à l'entraînement et pour ne pas que ses partenaires oublient qu'il était protégé »
Jean-Baptiste Grisoli, ancien médecin du quinze de France, du RCT et de l'OM
« Je pense qu'ils (les entraîneurs) lui ont mis pour l'identifier à l'entraînement et pour ne pas que ses partenaires oublient qu'il était protégé, estime Jean-Baptiste Grisoli, ancien médecin du quinze de France, du RCT et de l'Olympique de Marseille. De temps en temps, on met une chasuble d'une couleur particulière pour préserver un mec et ne pas faire de gros plaquages. Lui, c'était le casque, je pense. Le seul montage possible aurait un masque rigide, mais c'est interdit et ça l'aurait de toute façon gêné. Un casque, ça peut le protéger sur la tempe, mais pas là où il craint. Et en plus, ça peut le perturber. »
La décision sera prise au dernier moment
Pour un joueur qui n'en a pas l'habitude, ce n'est effectivement pas anodin. Ni forcément très agréable, surtout en cas de forte chaleur. Mercredi, alors que le thermomètre affichait 25 degrés en région parisienne, le Toulousain l'a ainsi retiré à la mi-temps de l'entraînement, puis lors des exercices de jeu au pied en fin de séance. Dimanche soir, il fera bien plus frais à Saint-Denis, mais ça n'enlève rien à une éventuelle difficulté d'adaptation qu'ont dépassée depuis très longtemps Grégory Alldritt, Louis Bielle-Biarrey, François Cros, Thibaud Flament ou encore Gabin Villière, tous membres de la tribu des « casqués ».
« Il y a deux points essentiels, c'est sa capacité à le supporter, puisqu'il ne doit pas être gêné sur le plan visuel et sur le plan auditif, expliquait lundi le manager santé, Bruno Boussagol. Ce sont deux éléments qui doivent être testés en situation et à l'entraînement. »
Dès mardi donc, Dupont l'a essayé, en évitant soigneusement des contacts trop prononcés aussi bien en attaque qu'en défense, au milieu des très probables titulaires qu'officialisera Fabien Galthié vendredi (11h30). Pour quels résultats physiques et psychologiques ? Pour le moment, ça reste assez flou. « Il a fait des essais avec le casque et sans le casque, expliquait le responsable de l'attaque, Laurent Labit. Une décision sera prise en fin de semaine. » Peut-être même seulement quelques minutes avant le coup d'envoi.
Dupont se laisserait en effet jusqu'à l'échauffement du match pour trancher en fonction de son ressenti. « Ça dépendra surtout de ses sensations, mais il sera mieux sans rien, reprend Grisoli. Je peux me tromper, mais je pense qu'il jouera sans casque dimanche. Pour moi, il n'y a pas de débat. » Sauf s'il décide, bien sûr, de conserver celui, autrement plus solide, mais pas franchement réglementaire, que les Bleus portaient jeudi lors de leur visite sur le chantier de Notre-Dame, ravagée par un incendie en avril 2019.
Antoine Dupont jouera-t-il avec ou sans casque avec les Bleus contre l'Afrique du Sud ?
Remis d'une fracture maxillo-zygomatique, Antoine Dupont devrait bien être titulaire pour défier l'Afrique du Sud, dimanche (21 heures) en quarts de finale de la Coupe du monde. Reste à savoir si le capitaine des Bleus portera ou non un casque.
Jean-François Paturaud
Il l'a abord enfilé à l'abri des regards indiscrets, à l'entraînement de mardi, une fois les journalistes partis après les 15 premières minutes réglementaires. Puis il l'a remis lors de la séance du lendemain après-midi, toujours au stade du Parc de Rueil-Malmaison. Trois semaines après sa fracture maxillo-zygomatique contractée contre la Namibie (96-0) à Marseille, Antoine Dupont s'est équipé d'un casque noir en ce début de semaine pour préparer le quart de finale contre l'Afrique du Sud, dimanche soir (21 heures).
Un accessoire légèrement customisé par un morceau de scotch marron du plus bel effet afin de masquer la marque située au milieu du front. Opéré le 22 septembre dernier à Toulouse par le professeur Frédéric Lauwers, qui lui a donné le feu vert lundi pour reprendre le rugby, le capitaine des Bleus n'était initialement pourtant pas emballé par cette éventualité. D'autant que l'efficacité d'un tel apport est assez limitée après une blessure à la pommette, le casque ne protégeant que le cuir chevelu, le haut du crâne et les oreilles.
« Je pense que les entraîneurs lui ont mis un casque pour l'identifier à l'entraînement et pour ne pas que ses partenaires oublient qu'il était protégé »
Jean-Baptiste Grisoli, ancien médecin du quinze de France, du RCT et de l'OM
« Je pense qu'ils (les entraîneurs) lui ont mis pour l'identifier à l'entraînement et pour ne pas que ses partenaires oublient qu'il était protégé, estime Jean-Baptiste Grisoli, ancien médecin du quinze de France, du RCT et de l'Olympique de Marseille. De temps en temps, on met une chasuble d'une couleur particulière pour préserver un mec et ne pas faire de gros plaquages. Lui, c'était le casque, je pense. Le seul montage possible aurait un masque rigide, mais c'est interdit et ça l'aurait de toute façon gêné. Un casque, ça peut le protéger sur la tempe, mais pas là où il craint. Et en plus, ça peut le perturber. »
La décision sera prise au dernier moment
Pour un joueur qui n'en a pas l'habitude, ce n'est effectivement pas anodin. Ni forcément très agréable, surtout en cas de forte chaleur. Mercredi, alors que le thermomètre affichait 25 degrés en région parisienne, le Toulousain l'a ainsi retiré à la mi-temps de l'entraînement, puis lors des exercices de jeu au pied en fin de séance. Dimanche soir, il fera bien plus frais à Saint-Denis, mais ça n'enlève rien à une éventuelle difficulté d'adaptation qu'ont dépassée depuis très longtemps Grégory Alldritt, Louis Bielle-Biarrey, François Cros, Thibaud Flament ou encore Gabin Villière, tous membres de la tribu des « casqués ».
« Il y a deux points essentiels, c'est sa capacité à le supporter, puisqu'il ne doit pas être gêné sur le plan visuel et sur le plan auditif, expliquait lundi le manager santé, Bruno Boussagol. Ce sont deux éléments qui doivent être testés en situation et à l'entraînement. »
Dès mardi donc, Dupont l'a essayé, en évitant soigneusement des contacts trop prononcés aussi bien en attaque qu'en défense, au milieu des très probables titulaires qu'officialisera Fabien Galthié vendredi (11h30). Pour quels résultats physiques et psychologiques ? Pour le moment, ça reste assez flou. « Il a fait des essais avec le casque et sans le casque, expliquait le responsable de l'attaque, Laurent Labit. Une décision sera prise en fin de semaine. » Peut-être même seulement quelques minutes avant le coup d'envoi.
Dupont se laisserait en effet jusqu'à l'échauffement du match pour trancher en fonction de son ressenti. « Ça dépendra surtout de ses sensations, mais il sera mieux sans rien, reprend Grisoli. Je peux me tromper, mais je pense qu'il jouera sans casque dimanche. Pour moi, il n'y a pas de débat. » Sauf s'il décide, bien sûr, de conserver celui, autrement plus solide, mais pas franchement réglementaire, que les Bleus portaient jeudi lors de leur visite sur le chantier de Notre-Dame, ravagée par un incendie en avril 2019.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
L'Afrique du Sud s'entraîne dans le bruit pour simuler l'ambiance du Stade de France
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Les-boks-s-entrainent-dans-le-bruit-pour-simuler-l-ambiance-du-stade-de-france/1425050
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« L'avenir, tu n'as pas à le prévoir, mais à le permettre » Saint-Exupéry
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-irlande-derriere-la-facade-verte/1424945
Derrière la façade verte, l'Irlande n'est pas unie derrière son équipe nationale
Déboulant par milliers dans les rues de Dublin, les supporters irlandais donnent l'image d'une nation soudée derrière son équipe, qui regroupe des joueurs du Nord et du Sud. Mais certaines parties du pays peinent encore à soutenir totalement les hommes d'Andy Farrell.
Charles Thiallier
Samedi 7 octobre sur la N53, l'axe routier qui relie Dublin à Belfast. Au fil du chemin, un premier changement : les panneaux de signalisation n'indiquent plus la distance en kilomètres mais en miles. Les téléphones se perdent quelques secondes, le temps de se connecter au réseau britannique et de prévenir que toute communication engendrera un surcoût.
Invisible à l'oeil nu, le passage de la frontière entre les deux Irlandes ne se perçoit dans un premier temps qu'à ce genre de détails. Puis les indices se font plus visibles. Les premiers drapeaux de l'Union Jack ornent les devantures des maisons à brique orange comme pour lancer un message politique : une partie du pays fait toujours allégeance à la couronne britannique.
Une équipe, deux entités
C'est l'exploit permanent et unique du quinze irlandais depuis 1921. Il réunit dans ses rangs des joueurs issus de deux entités politiques différentes. Contrairement au football, les Irlandais du Nord évoluent dans la même équipe que ceux de la République irlandaise.
Située à trente minutes seulement au nord de la frontière invisible, Banbridge, une petite bourgade d'à peine 15 000 habitants, est connue pour son attachement viscéral au Royaume-Uni. Lors du dernier recensement, en 2021, plus de 50 % de la population affirmait détenir un passeport britannique.
La ville est ornée de drapeaux de l'Union Jack, et, en ce samedi après-midi, il faut se rendre à Rifle Park, l'antre du Banbridge Rugby Club, pour trouver un peu d'animation. Plusieurs rencontres ont lieu simultanément sur les différents terrains du club sous les yeux de plus de 800 personnes venues enchaîner les pintes et donner de la voix pour leur équipe.
« Je n'ai rien contre le fait d'avoir une équipe de rugby qui unit nos deux pays, simplement j'ai du mal à m'y identifier totalement »
Steven, Nord-Irlandais, ayant un passeport britannique.
Un homme ne rate pas une miette. Tim Honeyford, la soixantaine, est depuis quelques semaines le président du club. Il explique l'engouement pour le rugby dans cette partie de l'Irlande par des raisons culturelles : « Traditionnellement, en Irlande du Nord, le rugby est le sport de la communauté protestante. Entre les licenciés, les bénévoles, notre club compte plus de 500 personnes et a toujours eu un gros soutien localement. »
Sentiments complexes
Mais Tim tient immédiatement à clarifier les choses : « Tout le monde est le bienvenu, on ne demande pas la religion des joueurs ou des bénévoles. Bien au contraire, on pense que le rugby peut aider à nous rapprocher. Ce soir on organise une grande fête et on soutiendra tous l'Irlande face à l'Écosse (victoire irlandaise 36-14). »
Il nous amène dans les locaux du club, les écrans diffusent en direct le match de l'Angleterre face aux Samoa (18-17) sur la chaîne publique anglaise ITV4.
On y fait la connaissance de Steven, 41 ans, les yeux rivés sur le match des coéquipiers d'Owen Farrell. Il accepte de donner son point de vue sur l'identité nord-irlandaise : « C'est quelque chose de complexe. Moi, par exemple, j'ai un passeport britannique, je travaille à Belfast et une partie de ma famille se trouve à Londres. Je suis plus souvent entre ces deux villes qu'à Dublin. Je n'ai rien contre le fait d'avoir une équipe de rugby qui unit nos deux pays, simplement j'ai du mal à m'y identifier totalement. »
Une complexité des sentiments qui se perçoit encore plus, quelques miles plus à l'ouest, dans le comté d'Armagh, une zone républicaine au coeur de l'Irlande du Nord.
« Le rugby, quand j'étais petit, on voyait ça comme le sport des colonisateurs (...) Notre identité, on l'affirme en pratiquant les sports gaéliques »
Gary, 35 ans, du comté d'Armagh
Sur le chemin l'ambiance change peu à peu. Dans de nombreux villages les trois couleurs de la République irlandaise remplacent l'Union Jack, les pubs arborent les couleurs et le logo du Celtic Glasgow (le club de la communauté catholique irlandaise), mais surtout les terrains de rugby disparaissent au profit des terrains de sports gaéliques.
Seàn Moran, chef du service consacré aux sports gaéliques pour L'Irish Times, nous avait prévenus quelques jours plus tôt sur la popularité du rugby dans les zones républicaines d'Irlande du Nord : « Ici le sport définit votre identité. La pratique des sports gaéliques et le désintérêt vis-à-vis du rugby leur permettent d'affirmer leur volonté politique. »
C'est d'ailleurs le GAA (Gaelic Athletic Association) qui, au « BOX-IT Athletics ground d'Armagh », organise le principal événement de la soirée : un match de football gaélique entre Clann Eireann et Clan na Gael. Le coup d'envoi est donné à 19 heures, dans une enceinte quasi pleine depuis une bonne demi-heure.
Les sports gaéliques comme identité
Avant que le duel ne démarre, les supporters sont invités à se lever et à entonner en gaélique la Chanson du soldat, l'hymne de la république d'Irlande.
« Voilà, ça c'est mon hymne ! », s'exclame à nos côtés Roisin Murtagh, la quarantaine, secrétaire générale du club de sport gaélique de Crossmaglen dont elle arbore fièrement la veste de survêtement. « En rugby ils ont fait n'importe quoi, ils ont essayé de contenter tout le monde (depuis 1995, lors des matches de rugby, c'est l'Ireland Call qui est joué pour inclure catholiques et protestants). Mais moi, en tant que catholique irlandaise, mon hymne c'est celui qui résonne dans les matches de foot gaélique. »
Non loin, Gary, 35 ans, lui aussi habitant de Crossmaglen, arbore un tee-shirt vert sur lequel sont inscrits les premiers articles de la Constitution de la République irlandaise et honore les héros de la révolution de 1916. « On vit dans un endroit particulier, bien qu'on soit en Irlande du Nord notre village est républicain catholique et par conséquent on se sent appartenir à la république. Le rugby, quand j'étais petit, on voyait ça comme le sport des colonisateurs. On ne le pratiquait pas à l'école, et on ne le regardait jamais dans ma famille. Notre identité, on l'affirme en pratiquant les sports gaéliques. »
Il l'admet sans souci, ce soir-là (on était alors le 7 octobre) il sera au stade d'Armagh et manquera le match de rugby entre l'Irlande et l'Écosse.
Merci pour cette article
Comment interpréter qu'un anglais nommé Farrell soit à la tête d'une formation irlandaise unifiée. Une provocation ?
une équipe composée principalement du Leinster. Une nécessité ?
La famille Farrell... Tout un programme qui frôle l'anglo-détestable
On se demande qu'est ce que l'on aime ou pas chez les irlandais du nord ?
Son jeu répétitif milimétré de possession dans la limite des règles ? Cette arrogance de vouloir démontrer que l'Irlande est le centre du monde du rugby ?
Ne nous y trompons pas le rugby est essentiellement un sport qui au travers du combat démontre l'humanité d'un peuple et ses valeurs.
L'arrogance de cette irlande n'a pas une bonne odeur. Elle est même nauséabonde.
La répétition millimétrée n'est elle pas la preuve d'un manque de génie ? qui incarne le génie dans cette équipe ? des joueurs d'origine étrangère ?
Ce 1/4 face au blacks sera bien plus qu'un match de rugby. Une opposition de valeurs humaines.
Comme les boks, les irlandais du nord ne sont pas tranquilles.
Car on est jamais tranquille quand on est pas en paix.
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Irlande - Nouvelle-Zélande : le plan des All Blacks pour "calmer" le public irlandais
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/coupe-du-monde/irlande-nouvelle-zelande-le-plan-des-all-blacks-pour-calmer-le-public-irlandais_VN-202310130215.html
https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/coupe-du-monde/irlande-nouvelle-zelande-le-plan-des-all-blacks-pour-calmer-le-public-irlandais_VN-202310130215.html
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Re: Coupe du Monde 2023 en France
Nauséabonde carrément !SEB34 a écrit:Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/L-irlande-derriere-la-facade-verte/1424945
Derrière la façade verte, l'Irlande n'est pas unie derrière son équipe nationale
Déboulant par milliers dans les rues de Dublin, les supporters irlandais donnent l'image d'une nation soudée derrière son équipe, qui regroupe des joueurs du Nord et du Sud. Mais certaines parties du pays peinent encore à soutenir totalement les hommes d'Andy Farrell.
Charles Thiallier
Samedi 7 octobre sur la N53, l'axe routier qui relie Dublin à Belfast. Au fil du chemin, un premier changement : les panneaux de signalisation n'indiquent plus la distance en kilomètres mais en miles. Les téléphones se perdent quelques secondes, le temps de se connecter au réseau britannique et de prévenir que toute communication engendrera un surcoût.
Invisible à l'oeil nu, le passage de la frontière entre les deux Irlandes ne se perçoit dans un premier temps qu'à ce genre de détails. Puis les indices se font plus visibles. Les premiers drapeaux de l'Union Jack ornent les devantures des maisons à brique orange comme pour lancer un message politique : une partie du pays fait toujours allégeance à la couronne britannique.
Une équipe, deux entités
C'est l'exploit permanent et unique du quinze irlandais depuis 1921. Il réunit dans ses rangs des joueurs issus de deux entités politiques différentes. Contrairement au football, les Irlandais du Nord évoluent dans la même équipe que ceux de la République irlandaise.
Située à trente minutes seulement au nord de la frontière invisible, Banbridge, une petite bourgade d'à peine 15 000 habitants, est connue pour son attachement viscéral au Royaume-Uni. Lors du dernier recensement, en 2021, plus de 50 % de la population affirmait détenir un passeport britannique.
La ville est ornée de drapeaux de l'Union Jack, et, en ce samedi après-midi, il faut se rendre à Rifle Park, l'antre du Banbridge Rugby Club, pour trouver un peu d'animation. Plusieurs rencontres ont lieu simultanément sur les différents terrains du club sous les yeux de plus de 800 personnes venues enchaîner les pintes et donner de la voix pour leur équipe.
« Je n'ai rien contre le fait d'avoir une équipe de rugby qui unit nos deux pays, simplement j'ai du mal à m'y identifier totalement »
Steven, Nord-Irlandais, ayant un passeport britannique.
Un homme ne rate pas une miette. Tim Honeyford, la soixantaine, est depuis quelques semaines le président du club. Il explique l'engouement pour le rugby dans cette partie de l'Irlande par des raisons culturelles : « Traditionnellement, en Irlande du Nord, le rugby est le sport de la communauté protestante. Entre les licenciés, les bénévoles, notre club compte plus de 500 personnes et a toujours eu un gros soutien localement. »
Sentiments complexes
Mais Tim tient immédiatement à clarifier les choses : « Tout le monde est le bienvenu, on ne demande pas la religion des joueurs ou des bénévoles. Bien au contraire, on pense que le rugby peut aider à nous rapprocher. Ce soir on organise une grande fête et on soutiendra tous l'Irlande face à l'Écosse (victoire irlandaise 36-14). »
Il nous amène dans les locaux du club, les écrans diffusent en direct le match de l'Angleterre face aux Samoa (18-17) sur la chaîne publique anglaise ITV4.
On y fait la connaissance de Steven, 41 ans, les yeux rivés sur le match des coéquipiers d'Owen Farrell. Il accepte de donner son point de vue sur l'identité nord-irlandaise : « C'est quelque chose de complexe. Moi, par exemple, j'ai un passeport britannique, je travaille à Belfast et une partie de ma famille se trouve à Londres. Je suis plus souvent entre ces deux villes qu'à Dublin. Je n'ai rien contre le fait d'avoir une équipe de rugby qui unit nos deux pays, simplement j'ai du mal à m'y identifier totalement. »
Une complexité des sentiments qui se perçoit encore plus, quelques miles plus à l'ouest, dans le comté d'Armagh, une zone républicaine au coeur de l'Irlande du Nord.
« Le rugby, quand j'étais petit, on voyait ça comme le sport des colonisateurs (...) Notre identité, on l'affirme en pratiquant les sports gaéliques »
Gary, 35 ans, du comté d'Armagh
Sur le chemin l'ambiance change peu à peu. Dans de nombreux villages les trois couleurs de la République irlandaise remplacent l'Union Jack, les pubs arborent les couleurs et le logo du Celtic Glasgow (le club de la communauté catholique irlandaise), mais surtout les terrains de rugby disparaissent au profit des terrains de sports gaéliques.
Seàn Moran, chef du service consacré aux sports gaéliques pour L'Irish Times, nous avait prévenus quelques jours plus tôt sur la popularité du rugby dans les zones républicaines d'Irlande du Nord : « Ici le sport définit votre identité. La pratique des sports gaéliques et le désintérêt vis-à-vis du rugby leur permettent d'affirmer leur volonté politique. »
C'est d'ailleurs le GAA (Gaelic Athletic Association) qui, au « BOX-IT Athletics ground d'Armagh », organise le principal événement de la soirée : un match de football gaélique entre Clann Eireann et Clan na Gael. Le coup d'envoi est donné à 19 heures, dans une enceinte quasi pleine depuis une bonne demi-heure.
Les sports gaéliques comme identité
Avant que le duel ne démarre, les supporters sont invités à se lever et à entonner en gaélique la Chanson du soldat, l'hymne de la république d'Irlande.
« Voilà, ça c'est mon hymne ! », s'exclame à nos côtés Roisin Murtagh, la quarantaine, secrétaire générale du club de sport gaélique de Crossmaglen dont elle arbore fièrement la veste de survêtement. « En rugby ils ont fait n'importe quoi, ils ont essayé de contenter tout le monde (depuis 1995, lors des matches de rugby, c'est l'Ireland Call qui est joué pour inclure catholiques et protestants). Mais moi, en tant que catholique irlandaise, mon hymne c'est celui qui résonne dans les matches de foot gaélique. »
Non loin, Gary, 35 ans, lui aussi habitant de Crossmaglen, arbore un tee-shirt vert sur lequel sont inscrits les premiers articles de la Constitution de la République irlandaise et honore les héros de la révolution de 1916. « On vit dans un endroit particulier, bien qu'on soit en Irlande du Nord notre village est républicain catholique et par conséquent on se sent appartenir à la république. Le rugby, quand j'étais petit, on voyait ça comme le sport des colonisateurs. On ne le pratiquait pas à l'école, et on ne le regardait jamais dans ma famille. Notre identité, on l'affirme en pratiquant les sports gaéliques. »
Il l'admet sans souci, ce soir-là (on était alors le 7 octobre) il sera au stade d'Armagh et manquera le match de rugby entre l'Irlande et l'Écosse.
Merci pour cette article
Comment interpréter qu'un anglais nommé Farrell soit à la tête d'une formation irlandaise unifiée. Une provocation ?
une équipe composée principalement du Leinster. Une nécessité ?
La famille Farrell... Tout un programme qui frôle l'anglo-détestable
On se demande qu'est ce que l'on aime ou pas chez les irlandais du nord ?
Son jeu répétitif milimétré de possession dans la limite des règles ? Cette arrogance de vouloir démontrer que l'Irlande est le centre du monde du rugby ?
Ne nous y trompons pas le rugby est essentiellement un sport qui au travers du combat démontre l'humanité d'un peuple et ses valeurs.
L'arrogance de cette irlande n'a pas une bonne odeur. Elle est même nauséabonde.
La répétition millimétrée n'est elle pas la preuve d'un manque de génie ? qui incarne le génie dans cette équipe ? des joueurs d'origine étrangère ?
Ce 1/4 face au blacks sera bien plus qu'un match de rugby. Une opposition de valeurs humaines.
Comme les boks, les irlandais du nord ne sont pas tranquilles.
Car on est jamais tranquille quand on est pas en paix.
Votre post est très limite , ayant des connotations autres que sportives.
J’etais au match Irlande Afrique du Sud à Paris.
L’equipe d‘Irlande a été formidable ainsi que leurs 30000 supporters.
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