XV de France (partie en cours)

sudiste a écrit:

krahknardz a écrit:

marchal a écrit:Au lieu de faire une banderolle pour le soudeur, ce serait lui faire  trop d'honneur, on pourrait faire une banderolle pour montrer notre soutien à matthieu

Une banderole de soutien c'est faisable. Contre Galthié ça ne passe pas la sécurité.

Rien à foutre de Galthié ....à Chaban c'est une histoire entre nous Matthieu et l'UBB. Ce qui compte c'est donc nos soutien à nos joueurs et à Matthieu en particulier pour qu'il donne tort à Galthié via ses prestations en club

À fond !!!

Scalp a écrit:

sudiste a écrit:

krahknardz a écrit:

marchal a écrit:Au lieu de faire une banderolle pour le soudeur, ce serait lui faire  trop d'honneur, on pourrait faire une banderolle pour montrer notre soutien à matthieu

Une banderole de soutien c'est faisable. Contre Galthié ça ne passe pas la sécurité.

Rien à foutre de Galthié ....à Chaban c'est une histoire entre nous Matthieu et l'UBB. Ce qui compte c'est donc nos soutien à nos joueurs et à Matthieu en particulier pour qu'il donne tort à Galthié via ses prestations en club

À fond !!!

Oui juste soutenir nos joueurs galthié on s'en fiche

Scalp a écrit:

Lawrence the Hammer a écrit:

krahknardz a écrit:

Tothor a écrit:

Scalp a écrit:

crem33 a écrit:

latine a écrit:

Tothor a écrit:

latine a écrit:

Txalaparte a écrit:Il ne me semble pas avoir vu cet article posté (j'enlève si doublon)

XV de France : les dessous de la mise à l’écart de Matthieu Jalibert face aux All Blacks

Le demi d’ouverture, remplaçant face au Japon le week-end dernier, a été sorti du groupe pour affronter les All Blacks samedi 16 novembre. Le joueur, titulaire lors de la dernière Coupe du monde, est rentré à Bordeaux. Explications.

Chaque mercredi de la vie du XV de France à Marcoussis avant un match est rythmé par le même cérémonial. 28 joueurs gardent leur chambre au centre d’entraînement, plus ou moins satisfaits selon leur destin, de titulaires, à remplaçants, en passant par les réservistes conservés en cas de blessure dans l’une des deux premières catégories. Et puis, il y a les autres. Ceux qui partent après avoir participé aux premières séances de la semaine. Retour à la maison, avant peut-être, d’être conviés à revenir pour le coup d’après.

Mercredi, Matthieu Jalibert a fait partie de la catégorie qui franchit la grille des lieux. Mais le demi d’ouverture de 26 ans l’a choisi. Trop marqué par la décision du staff de l’envoyer dans les tribunes avec les quatre autres réservistes pour le point d’orgue de la tournée d’automne face aux All Blacks samedi soir, le joueur de Bordeaux-Bègles (34 sélections) a demandé à partir. Dans la soirée, il était chez lui en Gironde. D’où il a partagé sur Instagram la photo de ses retrouvailles avec l’un de ses chiens.

Ça n’était pas du tout le programme rêvé par le joueur, qui vit cet automne un déclassement sévère chez les Bleus. Titulaire lors de la Coupe du monde en France l’an dernier et lors des trois premiers matchs du Tournoi des Six Nations 2024 avant de se blesser face à l’Italie, Jalibert savait pertinemment que le retour programmé de Romain Ntamack après sa longue indisponibilité lui promettait de cirer à nouveau le banc de touche. Le staff a renoncé depuis longtemps à l’idée de les associer, comme lors de la tournée d’automne 2021, et le Toulousain s’est depuis imposé.

Un long échange au téléphone avec Fabien Galthié

Mais touché face à Clermont en Top 14 mi-octobre, Ntamack voit un nouveau rassemblement avec les Tricolores s’éloigner. De quoi offrir de nouvelles titularisations au Bordelo-Béglais ? Pas dans l’esprit de Fabien Galthié. Avant le début de la tournée d’automne, le sélectionneur décroche son téléphone pour s’entretenir avec Matthieu Jalibert. Et lui annonce qu’il sera remplaçant. Dans l’esprit du boss des Bleus, c’est Thomas Ramos, un arrière, qui doit être associé à Antoine Dupont, de retour au poste de demi de mêlée, comme les deux hommes ont l’occasion de le faire parfois à Toulouse.

La conversation dure plus d’une demi-heure. Galthié expose ses arguments, et tente de faire avaler la pilule à Jalibert. Déçu et frustré, ce dernier n’est pas franchement convaincu par les justifications de son sélectionneur. Il prend le chemin de Marcoussis à la fin du mois d’octobre, sachant déjà pertinemment qu’il ne sera que remplaçant pour lancer la tournée face au Japon. Son ami Cameron Woki, déjà mis de côté en fin de Tournoi, n’est dans un premier temps même pas appelé dans la liste des 42.

Contre les Nippons, le staff lui offre une demi-heure de jeu en le faisant entrer à la 51e minute. Dans un match un peu foufou où les Bleus mènent largement au score, le demi d’ouverture ne brille pas. C’est même lui qui amène, avec une passe interceptée par son partenaire en club Tevita Tatafu, le second essai des Japonais (61e).

Pas satisfait de sa prestation, le demi d’ouverture participe le lendemain matin à un événement dans la boutique des Champs-Élysées de son partenaire et nouvel équipementier des Bleus, Adidas. Matthieu Jalibert enchaîne les autographes pour de jeunes licenciés, conviés par la marque à un échange avec des joueurs des Bleus.

« Il continuera… s’il le souhaite »

Un peu plus d’un an après avoir disputé l’intégralité du coup d’envoi de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, où il en avait profité pour échanger son maillot avec l’une des stars des All Blacks Beauden Barrett, Jalibert fait cette fois les frais des choix de l’encadrement des Bleus. Celui-ci veut s’offrir plus de choix chez les avants, et passe de trois à deux arrières sur le banc de touche. Éjectant ainsi le demi d’ouverture, qui ne compte pas que des soutiens en interne, en particulier depuis son chambrage en Top 14 en mai sur Grégory Alldritt, capitaine des Bleus en l’absence de Dupont et ami de longue date de ce dernier.

La fin de l’histoire est connue, et a été évoquée par Fabien Galthié après l’annonce de la composition tricolore jeudi. « C’est son choix, chacun est libre de vivre ses émotions, de les partager. Nous, on a besoin de détermination, de joueurs forts, a insisté le sélectionneur des Bleus, dans une phrase autant destinée à son auditoire qu’à l’intéressé. Jusqu’à présent, même si son parcours n’a pas toujours été linéaire, il a apporté à l’équipe de France son talent, il a toujours essayé d’apporter le meilleur de lui-même. Il continuera… s’il le souhaite, bien sûr. Chacun a le choix de prendre ses décisions. »

Reste maintenant à savoir si cet épisode ne constitue qu’un simple retrait ou un divorce plus profond entre les deux hommes. Une partie de la réponse sera connue dimanche, à l’annonce du nouveau groupe de 42 choisi pour préparer l’ultime match de la tournée face à l’Argentine. Elle dira si Matthieu Jalibert a passé mercredi la porte de Marcoussis pour la dernière fois de l’année. Au moins.

C’est un article de quel journal ? En tout cas c’est assez clair sur le rôle de Dupont et d’Aldritt dans le passage de Matthieu de numéro 2 à numéro 4… les deux petites p…t’es de fayots comme il y en avait à l’école…

Ah oui quand même

Le chambrage entre collègues c’est pas hyper malin et hyper mature (Ramos chambre souvent d’ailleurs) mais flinguer la carrière d’un collègue excuse-moi je trouve que c’est un autre niveau…

On peut alors légitimement se demander s'il n'y vait pas déjà un contentieux entre Jalibert et Aldritt lorsque Jalibert lui a mis la fameuse tapette sur la tête. Après ça reste des histoires de cour d'école que le staff de l'équipe de France aurait dû gérer...

Si, on est plusieurs à avoir entendu des bruits concernant Alldritt vs Jalibert et que le cambrage est un peu compréhensible, du moins, explicable…

Tu peux partager ? ici ou en MP ( pour le contentieux avec Aldritt ).
Perso j'en était resté à la rivalité sportive entre LR et UBB, mais j'ai été plus curieux que ça... Si t'as des éléments d'analyse ou de compréhension je suis preneur.

Effectivement ce sont des confidences rapportées, donc rien de solide (mais on n'est pas des mouches perchées sur le mur des vestiaires non plus), qui semblent indiquer qu'Aldritt a été particulièrement hostile à certains joueurs de l'UBB, et que la nuquette de Jalibert serait un prêté pour un rendu de Jaja vis-à-vis de ses potes de club. Ça "confirme" l'existence de clans au sein du XV de France, comme il en a toujours existé d'ailleurs. Il me semblait que Dupont n'était d'ailleurs pas directement concerné, mais c'est vrai qu'on aurait plutôt tendance à le placer dans le clan ALdritt.
Et sa tendance marquée à ne JAMAIS passer le ballon à Jalibert quand celui-ci est 10 n'est pas un signal positif. On peut donc penser aussi que Jaja paie sa Dupont-dépendance réduite...

Quelque part, ce débat est inintéressant. Ce qui compte c'est virer Galthié avant qu'il ne détruise les Bleus! Le temps presse....

Et pourtant il va en bouffer du Bordelais le Aldritt ! Et quand il sera rassasié, c'est Gazotti qui l'enverra en retraite internationale, avec une petite nuquette.

Ou Matiu…

Ils le vont le reléguer sur le banc ou en tribune, et c'est Ibsaiene qui portera l'estocade. Tchak

Lawrence the Hammer a écrit:

Scalp a écrit:

Lawrence the Hammer a écrit:

krahknardz a écrit:

Tothor a écrit:

Scalp a écrit:

crem33 a écrit:

latine a écrit:

Tothor a écrit:

latine a écrit:

Txalaparte a écrit:Il ne me semble pas avoir vu cet article posté (j'enlève si doublon)

XV de France : les dessous de la mise à l’écart de Matthieu Jalibert face aux All Blacks

Le demi d’ouverture, remplaçant face au Japon le week-end dernier, a été sorti du groupe pour affronter les All Blacks samedi 16 novembre. Le joueur, titulaire lors de la dernière Coupe du monde, est rentré à Bordeaux. Explications.

Chaque mercredi de la vie du XV de France à Marcoussis avant un match est rythmé par le même cérémonial. 28 joueurs gardent leur chambre au centre d’entraînement, plus ou moins satisfaits selon leur destin, de titulaires, à remplaçants, en passant par les réservistes conservés en cas de blessure dans l’une des deux premières catégories. Et puis, il y a les autres. Ceux qui partent après avoir participé aux premières séances de la semaine. Retour à la maison, avant peut-être, d’être conviés à revenir pour le coup d’après.

Mercredi, Matthieu Jalibert a fait partie de la catégorie qui franchit la grille des lieux. Mais le demi d’ouverture de 26 ans l’a choisi. Trop marqué par la décision du staff de l’envoyer dans les tribunes avec les quatre autres réservistes pour le point d’orgue de la tournée d’automne face aux All Blacks samedi soir, le joueur de Bordeaux-Bègles (34 sélections) a demandé à partir. Dans la soirée, il était chez lui en Gironde. D’où il a partagé sur Instagram la photo de ses retrouvailles avec l’un de ses chiens.

Ça n’était pas du tout le programme rêvé par le joueur, qui vit cet automne un déclassement sévère chez les Bleus. Titulaire lors de la Coupe du monde en France l’an dernier et lors des trois premiers matchs du Tournoi des Six Nations 2024 avant de se blesser face à l’Italie, Jalibert savait pertinemment que le retour programmé de Romain Ntamack après sa longue indisponibilité lui promettait de cirer à nouveau le banc de touche. Le staff a renoncé depuis longtemps à l’idée de les associer, comme lors de la tournée d’automne 2021, et le Toulousain s’est depuis imposé.

Un long échange au téléphone avec Fabien Galthié

Mais touché face à Clermont en Top 14 mi-octobre, Ntamack voit un nouveau rassemblement avec les Tricolores s’éloigner. De quoi offrir de nouvelles titularisations au Bordelo-Béglais ? Pas dans l’esprit de Fabien Galthié. Avant le début de la tournée d’automne, le sélectionneur décroche son téléphone pour s’entretenir avec Matthieu Jalibert. Et lui annonce qu’il sera remplaçant. Dans l’esprit du boss des Bleus, c’est Thomas Ramos, un arrière, qui doit être associé à Antoine Dupont, de retour au poste de demi de mêlée, comme les deux hommes ont l’occasion de le faire parfois à Toulouse.

La conversation dure plus d’une demi-heure. Galthié expose ses arguments, et tente de faire avaler la pilule à Jalibert. Déçu et frustré, ce dernier n’est pas franchement convaincu par les justifications de son sélectionneur. Il prend le chemin de Marcoussis à la fin du mois d’octobre, sachant déjà pertinemment qu’il ne sera que remplaçant pour lancer la tournée face au Japon. Son ami Cameron Woki, déjà mis de côté en fin de Tournoi, n’est dans un premier temps même pas appelé dans la liste des 42.

Contre les Nippons, le staff lui offre une demi-heure de jeu en le faisant entrer à la 51e minute. Dans un match un peu foufou où les Bleus mènent largement au score, le demi d’ouverture ne brille pas. C’est même lui qui amène, avec une passe interceptée par son partenaire en club Tevita Tatafu, le second essai des Japonais (61e).

Pas satisfait de sa prestation, le demi d’ouverture participe le lendemain matin à un événement dans la boutique des Champs-Élysées de son partenaire et nouvel équipementier des Bleus, Adidas. Matthieu Jalibert enchaîne les autographes pour de jeunes licenciés, conviés par la marque à un échange avec des joueurs des Bleus.

« Il continuera… s’il le souhaite »

Un peu plus d’un an après avoir disputé l’intégralité du coup d’envoi de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, où il en avait profité pour échanger son maillot avec l’une des stars des All Blacks Beauden Barrett, Jalibert fait cette fois les frais des choix de l’encadrement des Bleus. Celui-ci veut s’offrir plus de choix chez les avants, et passe de trois à deux arrières sur le banc de touche. Éjectant ainsi le demi d’ouverture, qui ne compte pas que des soutiens en interne, en particulier depuis son chambrage en Top 14 en mai sur Grégory Alldritt, capitaine des Bleus en l’absence de Dupont et ami de longue date de ce dernier.

La fin de l’histoire est connue, et a été évoquée par Fabien Galthié après l’annonce de la composition tricolore jeudi. « C’est son choix, chacun est libre de vivre ses émotions, de les partager. Nous, on a besoin de détermination, de joueurs forts, a insisté le sélectionneur des Bleus, dans une phrase autant destinée à son auditoire qu’à l’intéressé. Jusqu’à présent, même si son parcours n’a pas toujours été linéaire, il a apporté à l’équipe de France son talent, il a toujours essayé d’apporter le meilleur de lui-même. Il continuera… s’il le souhaite, bien sûr. Chacun a le choix de prendre ses décisions. »

Reste maintenant à savoir si cet épisode ne constitue qu’un simple retrait ou un divorce plus profond entre les deux hommes. Une partie de la réponse sera connue dimanche, à l’annonce du nouveau groupe de 42 choisi pour préparer l’ultime match de la tournée face à l’Argentine. Elle dira si Matthieu Jalibert a passé mercredi la porte de Marcoussis pour la dernière fois de l’année. Au moins.

C’est un article de quel journal ? En tout cas c’est assez clair sur le rôle de Dupont et d’Aldritt dans le passage de Matthieu de numéro 2 à numéro 4… les deux petites p…t’es de fayots comme il y en avait à l’école…

Ah oui quand même

Le chambrage entre collègues c’est pas hyper malin et hyper mature (Ramos chambre souvent d’ailleurs) mais flinguer la carrière d’un collègue excuse-moi je trouve que c’est un autre niveau…

On peut alors légitimement se demander s'il n'y vait pas déjà un contentieux entre Jalibert et Aldritt lorsque Jalibert lui a mis la fameuse tapette sur la tête. Après ça reste des histoires de cour d'école que le staff de l'équipe de France aurait dû gérer...

Si, on est plusieurs à avoir entendu des bruits concernant Alldritt vs Jalibert et que le cambrage est un peu compréhensible, du moins, explicable…

Tu peux partager ? ici ou en MP ( pour le contentieux avec Aldritt ).
Perso j'en était resté à la rivalité sportive entre LR et UBB, mais j'ai été plus curieux que ça... Si t'as des éléments d'analyse ou de compréhension je suis preneur.

Effectivement ce sont des confidences rapportées, donc rien de solide (mais on n'est pas des mouches perchées sur le mur des vestiaires non plus), qui semblent indiquer qu'Aldritt a été particulièrement hostile à certains joueurs de l'UBB, et que la nuquette de Jalibert serait un prêté pour un rendu de Jaja vis-à-vis de ses potes de club. Ça "confirme" l'existence de clans au sein du XV de France, comme il en a toujours existé d'ailleurs. Il me semblait que Dupont n'était d'ailleurs pas directement concerné, mais c'est vrai qu'on aurait plutôt tendance à le placer dans le clan ALdritt.
Et sa tendance marquée à ne JAMAIS passer le ballon à Jalibert quand celui-ci est 10 n'est pas un signal positif. On peut donc penser aussi que Jaja paie sa Dupont-dépendance réduite...

Quelque part, ce débat est inintéressant. Ce qui compte c'est virer Galthié avant qu'il ne détruise les Bleus! Le temps presse....

Et pourtant il va en bouffer du Bordelais le Aldritt ! Et quand il sera rassasié, c'est Gazotti qui l'enverra en retraite internationale, avec une petite nuquette.

Ou Matiu…

Ils le vont le reléguer sur le banc ou en tribune, et c'est Ibsaiene qui portera l'estocade. Tchak

Il me semble quand même bien usé, ça pourrait arriver plus vite que prévu…, bien qu'avec le devoir de mémoire sélectif de Galthié, tout est possible

Scalp a écrit:

Lawrence the Hammer a écrit:

Scalp a écrit:

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krahknardz a écrit:

Tothor a écrit:

Scalp a écrit:

crem33 a écrit:

latine a écrit:

Tothor a écrit:

latine a écrit:

Txalaparte a écrit:Il ne me semble pas avoir vu cet article posté (j'enlève si doublon)

XV de France : les dessous de la mise à l’écart de Matthieu Jalibert face aux All Blacks

Le demi d’ouverture, remplaçant face au Japon le week-end dernier, a été sorti du groupe pour affronter les All Blacks samedi 16 novembre. Le joueur, titulaire lors de la dernière Coupe du monde, est rentré à Bordeaux. Explications.

Chaque mercredi de la vie du XV de France à Marcoussis avant un match est rythmé par le même cérémonial. 28 joueurs gardent leur chambre au centre d’entraînement, plus ou moins satisfaits selon leur destin, de titulaires, à remplaçants, en passant par les réservistes conservés en cas de blessure dans l’une des deux premières catégories. Et puis, il y a les autres. Ceux qui partent après avoir participé aux premières séances de la semaine. Retour à la maison, avant peut-être, d’être conviés à revenir pour le coup d’après.

Mercredi, Matthieu Jalibert a fait partie de la catégorie qui franchit la grille des lieux. Mais le demi d’ouverture de 26 ans l’a choisi. Trop marqué par la décision du staff de l’envoyer dans les tribunes avec les quatre autres réservistes pour le point d’orgue de la tournée d’automne face aux All Blacks samedi soir, le joueur de Bordeaux-Bègles (34 sélections) a demandé à partir. Dans la soirée, il était chez lui en Gironde. D’où il a partagé sur Instagram la photo de ses retrouvailles avec l’un de ses chiens.

Ça n’était pas du tout le programme rêvé par le joueur, qui vit cet automne un déclassement sévère chez les Bleus. Titulaire lors de la Coupe du monde en France l’an dernier et lors des trois premiers matchs du Tournoi des Six Nations 2024 avant de se blesser face à l’Italie, Jalibert savait pertinemment que le retour programmé de Romain Ntamack après sa longue indisponibilité lui promettait de cirer à nouveau le banc de touche. Le staff a renoncé depuis longtemps à l’idée de les associer, comme lors de la tournée d’automne 2021, et le Toulousain s’est depuis imposé.

Un long échange au téléphone avec Fabien Galthié

Mais touché face à Clermont en Top 14 mi-octobre, Ntamack voit un nouveau rassemblement avec les Tricolores s’éloigner. De quoi offrir de nouvelles titularisations au Bordelo-Béglais ? Pas dans l’esprit de Fabien Galthié. Avant le début de la tournée d’automne, le sélectionneur décroche son téléphone pour s’entretenir avec Matthieu Jalibert. Et lui annonce qu’il sera remplaçant. Dans l’esprit du boss des Bleus, c’est Thomas Ramos, un arrière, qui doit être associé à Antoine Dupont, de retour au poste de demi de mêlée, comme les deux hommes ont l’occasion de le faire parfois à Toulouse.

La conversation dure plus d’une demi-heure. Galthié expose ses arguments, et tente de faire avaler la pilule à Jalibert. Déçu et frustré, ce dernier n’est pas franchement convaincu par les justifications de son sélectionneur. Il prend le chemin de Marcoussis à la fin du mois d’octobre, sachant déjà pertinemment qu’il ne sera que remplaçant pour lancer la tournée face au Japon. Son ami Cameron Woki, déjà mis de côté en fin de Tournoi, n’est dans un premier temps même pas appelé dans la liste des 42.

Contre les Nippons, le staff lui offre une demi-heure de jeu en le faisant entrer à la 51e minute. Dans un match un peu foufou où les Bleus mènent largement au score, le demi d’ouverture ne brille pas. C’est même lui qui amène, avec une passe interceptée par son partenaire en club Tevita Tatafu, le second essai des Japonais (61e).

Pas satisfait de sa prestation, le demi d’ouverture participe le lendemain matin à un événement dans la boutique des Champs-Élysées de son partenaire et nouvel équipementier des Bleus, Adidas. Matthieu Jalibert enchaîne les autographes pour de jeunes licenciés, conviés par la marque à un échange avec des joueurs des Bleus.

« Il continuera… s’il le souhaite »

Un peu plus d’un an après avoir disputé l’intégralité du coup d’envoi de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, où il en avait profité pour échanger son maillot avec l’une des stars des All Blacks Beauden Barrett, Jalibert fait cette fois les frais des choix de l’encadrement des Bleus. Celui-ci veut s’offrir plus de choix chez les avants, et passe de trois à deux arrières sur le banc de touche. Éjectant ainsi le demi d’ouverture, qui ne compte pas que des soutiens en interne, en particulier depuis son chambrage en Top 14 en mai sur Grégory Alldritt, capitaine des Bleus en l’absence de Dupont et ami de longue date de ce dernier.

La fin de l’histoire est connue, et a été évoquée par Fabien Galthié après l’annonce de la composition tricolore jeudi. « C’est son choix, chacun est libre de vivre ses émotions, de les partager. Nous, on a besoin de détermination, de joueurs forts, a insisté le sélectionneur des Bleus, dans une phrase autant destinée à son auditoire qu’à l’intéressé. Jusqu’à présent, même si son parcours n’a pas toujours été linéaire, il a apporté à l’équipe de France son talent, il a toujours essayé d’apporter le meilleur de lui-même. Il continuera… s’il le souhaite, bien sûr. Chacun a le choix de prendre ses décisions. »

Reste maintenant à savoir si cet épisode ne constitue qu’un simple retrait ou un divorce plus profond entre les deux hommes. Une partie de la réponse sera connue dimanche, à l’annonce du nouveau groupe de 42 choisi pour préparer l’ultime match de la tournée face à l’Argentine. Elle dira si Matthieu Jalibert a passé mercredi la porte de Marcoussis pour la dernière fois de l’année. Au moins.

C’est un article de quel journal ? En tout cas c’est assez clair sur le rôle de Dupont et d’Aldritt dans le passage de Matthieu de numéro 2 à numéro 4… les deux petites p…t’es de fayots comme il y en avait à l’école…

Ah oui quand même

Le chambrage entre collègues c’est pas hyper malin et hyper mature (Ramos chambre souvent d’ailleurs) mais flinguer la carrière d’un collègue excuse-moi je trouve que c’est un autre niveau…

On peut alors légitimement se demander s'il n'y vait pas déjà un contentieux entre Jalibert et Aldritt lorsque Jalibert lui a mis la fameuse tapette sur la tête. Après ça reste des histoires de cour d'école que le staff de l'équipe de France aurait dû gérer...

Si, on est plusieurs à avoir entendu des bruits concernant Alldritt vs Jalibert et que le cambrage est un peu compréhensible, du moins, explicable…

Tu peux partager ? ici ou en MP ( pour le contentieux avec Aldritt ).
Perso j'en était resté à la rivalité sportive entre LR et UBB, mais j'ai été plus curieux que ça... Si t'as des éléments d'analyse ou de compréhension je suis preneur.

Effectivement ce sont des confidences rapportées, donc rien de solide (mais on n'est pas des mouches perchées sur le mur des vestiaires non plus), qui semblent indiquer qu'Aldritt a été particulièrement hostile à certains joueurs de l'UBB, et que la nuquette de Jalibert serait un prêté pour un rendu de Jaja vis-à-vis de ses potes de club. Ça "confirme" l'existence de clans au sein du XV de France, comme il en a toujours existé d'ailleurs. Il me semblait que Dupont n'était d'ailleurs pas directement concerné, mais c'est vrai qu'on aurait plutôt tendance à le placer dans le clan ALdritt.
Et sa tendance marquée à ne JAMAIS passer le ballon à Jalibert quand celui-ci est 10 n'est pas un signal positif. On peut donc penser aussi que Jaja paie sa Dupont-dépendance réduite...

Quelque part, ce débat est inintéressant. Ce qui compte c'est virer Galthié avant qu'il ne détruise les Bleus! Le temps presse....

Et pourtant il va en bouffer du Bordelais le Aldritt ! Et quand il sera rassasié, c'est Gazotti qui l'enverra en retraite internationale, avec une petite nuquette.

Ou Matiu…

Ils le vont le reléguer sur le banc ou en tribune, et c'est Ibsaiene qui portera l'estocade. Tchak

Il me semble quand même bien usé, ça pourrait arriver plus vite que prévu…, bien qu'avec le devoir de mémoire sélectif de Galthié, tout est possible

Quand la performance en club n'est pas favorable au joueur, Le Soudeur évoque alors le vécu collectif, quand les 2 ne matchent pas vraiment, il essaie de trouver des superlatifs de "talent, de performant" et en dernier recours, une éventuelle complicité ou plus conforme au champ lexical du Soudeur, une connexion....

https://www.rugbyrama.fr/2024/11/15/france-nouvelle-zelande-antoine-dupont-se-souvient-le-match-de-2021-face-aux-blacks-avait-ete-fondateur-12325790.php

Pas un mot sur Jalibert comme si le dossier été déjà classé (comme convenu ?) ou n'avait jamais existé

Je suis quasi sur (surtout en cas de contre perf contre les blacks) que Galthié va rappeler Jaja pour l'Argentine, histoire de le mettre encore plus mal à l'aise et nous empêcher de compter sur lui contre Vannes en le mettant dans les 28.

Sur tv7 ils ont défendu jaja et critiqué galthie sur sa gestion humaine

Dr. Gregory Bouse a écrit:

Scalp a écrit:

Lawrence the Hammer a écrit:

Scalp a écrit:

Lawrence the Hammer a écrit:

krahknardz a écrit:

Tothor a écrit:

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latine a écrit:

Tothor a écrit:

latine a écrit:

Txalaparte a écrit:Il ne me semble pas avoir vu cet article posté (j'enlève si doublon)

XV de France : les dessous de la mise à l’écart de Matthieu Jalibert face aux All Blacks

Le demi d’ouverture, remplaçant face au Japon le week-end dernier, a été sorti du groupe pour affronter les All Blacks samedi 16 novembre. Le joueur, titulaire lors de la dernière Coupe du monde, est rentré à Bordeaux. Explications.

Chaque mercredi de la vie du XV de France à Marcoussis avant un match est rythmé par le même cérémonial. 28 joueurs gardent leur chambre au centre d’entraînement, plus ou moins satisfaits selon leur destin, de titulaires, à remplaçants, en passant par les réservistes conservés en cas de blessure dans l’une des deux premières catégories. Et puis, il y a les autres. Ceux qui partent après avoir participé aux premières séances de la semaine. Retour à la maison, avant peut-être, d’être conviés à revenir pour le coup d’après.

Mercredi, Matthieu Jalibert a fait partie de la catégorie qui franchit la grille des lieux. Mais le demi d’ouverture de 26 ans l’a choisi. Trop marqué par la décision du staff de l’envoyer dans les tribunes avec les quatre autres réservistes pour le point d’orgue de la tournée d’automne face aux All Blacks samedi soir, le joueur de Bordeaux-Bègles (34 sélections) a demandé à partir. Dans la soirée, il était chez lui en Gironde. D’où il a partagé sur Instagram la photo de ses retrouvailles avec l’un de ses chiens.

Ça n’était pas du tout le programme rêvé par le joueur, qui vit cet automne un déclassement sévère chez les Bleus. Titulaire lors de la Coupe du monde en France l’an dernier et lors des trois premiers matchs du Tournoi des Six Nations 2024 avant de se blesser face à l’Italie, Jalibert savait pertinemment que le retour programmé de Romain Ntamack après sa longue indisponibilité lui promettait de cirer à nouveau le banc de touche. Le staff a renoncé depuis longtemps à l’idée de les associer, comme lors de la tournée d’automne 2021, et le Toulousain s’est depuis imposé.

Un long échange au téléphone avec Fabien Galthié

Mais touché face à Clermont en Top 14 mi-octobre, Ntamack voit un nouveau rassemblement avec les Tricolores s’éloigner. De quoi offrir de nouvelles titularisations au Bordelo-Béglais ? Pas dans l’esprit de Fabien Galthié. Avant le début de la tournée d’automne, le sélectionneur décroche son téléphone pour s’entretenir avec Matthieu Jalibert. Et lui annonce qu’il sera remplaçant. Dans l’esprit du boss des Bleus, c’est Thomas Ramos, un arrière, qui doit être associé à Antoine Dupont, de retour au poste de demi de mêlée, comme les deux hommes ont l’occasion de le faire parfois à Toulouse.

La conversation dure plus d’une demi-heure. Galthié expose ses arguments, et tente de faire avaler la pilule à Jalibert. Déçu et frustré, ce dernier n’est pas franchement convaincu par les justifications de son sélectionneur. Il prend le chemin de Marcoussis à la fin du mois d’octobre, sachant déjà pertinemment qu’il ne sera que remplaçant pour lancer la tournée face au Japon. Son ami Cameron Woki, déjà mis de côté en fin de Tournoi, n’est dans un premier temps même pas appelé dans la liste des 42.

Contre les Nippons, le staff lui offre une demi-heure de jeu en le faisant entrer à la 51e minute. Dans un match un peu foufou où les Bleus mènent largement au score, le demi d’ouverture ne brille pas. C’est même lui qui amène, avec une passe interceptée par son partenaire en club Tevita Tatafu, le second essai des Japonais (61e).

Pas satisfait de sa prestation, le demi d’ouverture participe le lendemain matin à un événement dans la boutique des Champs-Élysées de son partenaire et nouvel équipementier des Bleus, Adidas. Matthieu Jalibert enchaîne les autographes pour de jeunes licenciés, conviés par la marque à un échange avec des joueurs des Bleus.

« Il continuera… s’il le souhaite »

Un peu plus d’un an après avoir disputé l’intégralité du coup d’envoi de la Coupe du monde face à la Nouvelle-Zélande, où il en avait profité pour échanger son maillot avec l’une des stars des All Blacks Beauden Barrett, Jalibert fait cette fois les frais des choix de l’encadrement des Bleus. Celui-ci veut s’offrir plus de choix chez les avants, et passe de trois à deux arrières sur le banc de touche. Éjectant ainsi le demi d’ouverture, qui ne compte pas que des soutiens en interne, en particulier depuis son chambrage en Top 14 en mai sur Grégory Alldritt, capitaine des Bleus en l’absence de Dupont et ami de longue date de ce dernier.

La fin de l’histoire est connue, et a été évoquée par Fabien Galthié après l’annonce de la composition tricolore jeudi. « C’est son choix, chacun est libre de vivre ses émotions, de les partager. Nous, on a besoin de détermination, de joueurs forts, a insisté le sélectionneur des Bleus, dans une phrase autant destinée à son auditoire qu’à l’intéressé. Jusqu’à présent, même si son parcours n’a pas toujours été linéaire, il a apporté à l’équipe de France son talent, il a toujours essayé d’apporter le meilleur de lui-même. Il continuera… s’il le souhaite, bien sûr. Chacun a le choix de prendre ses décisions. »

Reste maintenant à savoir si cet épisode ne constitue qu’un simple retrait ou un divorce plus profond entre les deux hommes. Une partie de la réponse sera connue dimanche, à l’annonce du nouveau groupe de 42 choisi pour préparer l’ultime match de la tournée face à l’Argentine. Elle dira si Matthieu Jalibert a passé mercredi la porte de Marcoussis pour la dernière fois de l’année. Au moins.

C’est un article de quel journal ? En tout cas c’est assez clair sur le rôle de Dupont et d’Aldritt dans le passage de Matthieu de numéro 2 à numéro 4… les deux petites p…t’es de fayots comme il y en avait à l’école…

Ah oui quand même

Le chambrage entre collègues c’est pas hyper malin et hyper mature (Ramos chambre souvent d’ailleurs) mais flinguer la carrière d’un collègue excuse-moi je trouve que c’est un autre niveau…

On peut alors légitimement se demander s'il n'y vait pas déjà un contentieux entre Jalibert et Aldritt lorsque Jalibert lui a mis la fameuse tapette sur la tête. Après ça reste des histoires de cour d'école que le staff de l'équipe de France aurait dû gérer...

Si, on est plusieurs à avoir entendu des bruits concernant Alldritt vs Jalibert et que le cambrage est un peu compréhensible, du moins, explicable…

Tu peux partager ? ici ou en MP ( pour le contentieux avec Aldritt ).
Perso j'en était resté à la rivalité sportive entre LR et UBB, mais j'ai été plus curieux que ça... Si t'as des éléments d'analyse ou de compréhension je suis preneur.

Effectivement ce sont des confidences rapportées, donc rien de solide (mais on n'est pas des mouches perchées sur le mur des vestiaires non plus), qui semblent indiquer qu'Aldritt a été particulièrement hostile à certains joueurs de l'UBB, et que la nuquette de Jalibert serait un prêté pour un rendu de Jaja vis-à-vis de ses potes de club. Ça "confirme" l'existence de clans au sein du XV de France, comme il en a toujours existé d'ailleurs. Il me semblait que Dupont n'était d'ailleurs pas directement concerné, mais c'est vrai qu'on aurait plutôt tendance à le placer dans le clan ALdritt.
Et sa tendance marquée à ne JAMAIS passer le ballon à Jalibert quand celui-ci est 10 n'est pas un signal positif. On peut donc penser aussi que Jaja paie sa Dupont-dépendance réduite...

Quelque part, ce débat est inintéressant. Ce qui compte c'est virer Galthié avant qu'il ne détruise les Bleus! Le temps presse....

Et pourtant il va en bouffer du Bordelais le Aldritt ! Et quand il sera rassasié, c'est Gazotti qui l'enverra en retraite internationale, avec une petite nuquette.

Ou Matiu…

Ils le vont le reléguer sur le banc ou en tribune, et c'est Ibsaiene qui portera l'estocade. Tchak

Il me semble quand même bien usé, ça pourrait arriver plus vite que prévu…, bien qu'avec le devoir de mémoire sélectif de Galthié, tout est possible

Quand la performance en club n'est pas favorable au joueur, Le Soudeur évoque alors le vécu collectif, quand les 2 ne matchent pas vraiment, il essaie de trouver des superlatifs de "talent, de performant" et en dernier recours, une éventuelle complicité ou plus conforme au champ lexical du Soudeur, une connexion....  

J'espére qu'il va vite se connecter à son karma, qui est de prendre un bon retour de baton dans la tronche, ou un bon coup de pied dans le cul

Apparemment article sur galtoche dans le parisien!!
https://www.leparisien.fr/sports/rugby/xv-de-france/france-nouvelle-zelande-lintouchable-monsieur-galthie-selectionneur-jamais-responsable-de-rien-15-11-2024-LRSOMF4DGFDQPFSW3RKEIFLNXA.php

Juste...peut-on imaginer une seconde que Matthieu n'ait pas demandé conseil à qq'un a l'UBB avant de prendre une telle décision ? Je n'ose croire qu'il ait agi sur un coup de tête. Dans sa situation, il a dû chercher à en parler avec YBru ou même LMarti. Histoire de partager son mal être a minima... probablement pas en position de force non plus avec son renouvellement qui semble piétiner....mais je ne serais pas surpris d'apprendre que sa décision de quitter les Bleus a été partagée et décidée avec son club.

coach2rugby a écrit:Apparemment article sur galtoche dans le parisien!!
https://www.leparisien.fr/sports/rugby/xv-de-france/france-nouvelle-zelande-lintouchable-monsieur-galthie-selectionneur-jamais-responsable-de-rien-15-11-2024-LRSOMF4DGFDQPFSW3RKEIFLNXA.php

Txalaparte si tu es de passage, visiblement tu as un abonnement au Parisien, merci de poster cet article

PilSupporte a écrit:Juste...peut-on imaginer une seconde que Matthieu n'ait pas demandé conseil à qq'un a l'UBB avant de prendre une telle décision ? Je n'ose croire qu'il ait agi sur un coup de tête. Dans sa situation, il a dû chercher à en parler avec YBru ou même LMarti. Histoire de partager son mal être a minima... probablement pas en position de force non plus avec son renouvellement qui semble piétiner....mais je ne serais pas surpris d'apprendre que sa décision de quitter les Bleus a été partagée et décidée avec son club.

Possible, mais pas certain, Galthié l’a piégé, il lui a annoncé la vérité de la hiérarchie en début de saison, sauf qu’il n’a jamais eu l’intention de changer de décision, ce qu’il ne lui à certainement pas dit, mais changement qu’à certainement espéré obtenir Jalibert avec son superbe début de saison.

Ensuite il a critiqué publiquement son talent et Matthieu a découvert qu’il ne serait que remplaçant face au Japon et pire, qu’il aurait le droit à La Tribune contre les Blacks, ce qui revient à un assassinat sportif. Les conditions étaient réunies pour que sa rentrée contre le Japon soit compliqué pour lui.

Le coup de blues peut se comprendre, pas certain qu’il n’a pas pris sa décision sous le coup de l’émotion. Mais Galthié avait un tout cas un discours que je pense bien préparé et évidement à charge, mettant en doute, après son talent, son mental.

Dernière étape, le plan com, relayer dans les médias que Jalibert n’a pas l’étoffe, qu’il a commis une faute en quittant le groupe, qu’il ne mérite plus le maillot. Comment le public peut comprendre ce dézinguage en règle, autrement que parce que Jalibert est coupable de ne pas avoir été au niveau pendant la coupe du monde.

La tête de Galthié n’est pas tombé, mais il faut toujours un coupable, Galthié l’a désigné de la plus vil des façons, en manipulant Jalibert, pour obtenir une condamnation qu’il pensait assez facile. Il suffit de voir ce que le chambrage d’Alldriit a provoqué dans la presse. Ce n’est plus du sport, c’est de la politique bien tordue, domaine dans lequel Galthié est certainement le plus performant…

Oui probablement mais il n'empêche qu'il a dû recevoir la bénédiction du club pour partir ainsi..ce qui signifie qu'en coulisses, j'imagine aisément que l''UBB est monté au créneau vers la fédé. Pour expliquer qu'on ne traite pas les joueurs de la sorte. Enfin, je l'espère. Mais je ne pense pas trop me tromper : ce n'est que le début de l'histoire probablement

PilSupporte a écrit:Oui probablement mais il n'empêche qu'il a dû recevoir la bénédiction du club pour partir ainsi..ce qui signifie qu'en coulisses, j'imagine aisément que l''UBB est monté au créneau vers la fédé. Pour expliquer qu'on ne traite pas les joueurs de la sorte. Enfin, je l'espère. Mais je ne pense pas trop me tromper : ce n'est que le début de l'histoire probablement

Je ne crois pas que le club interfère avec le staff de l’équipe de France. Par contre, j’imagine qu’on aura le droit à une ou deux petites phrases bien senties, dans le style avec sous texte, de la part de Marti et Bru, lors d’une interview par exemple…

https://www.leparisien.fr/sports/rugby/xv-de-france/france-nouvelle-zelande-lintouchable-monsieur-galthie-selectionneur-jamais-responsable-de-rien-15-11-2024-LRSOMF4DGFDQPFSW3RKEIFLNXA.php

France - Nouvelle-Zélande : l’intouchable Monsieur Galthié, sélectionneur jamais responsable de rien

L’entraîneur des Bleus, qui affrontent les All Blacks ce samedi soir (21 h 10) au Stade de France, a traversé toutes les tempêtes, sportives et extra-sportives, sans être jamais remis en cause. Une immunité adossée à un contrat longue durée.

Par Olivier François

On le disait stratège, joueur d’échecs. Sur ce plan, il a déjà failli. Son génie est ailleurs, dans l’art de passer à travers les gouttes, de sortir d’une tempête sans éclaboussure. Fabien Galthié n’est peut-être pas un grand maître des échecs mais il se joue d’eux, comme personne. Au moment d’affronter les All Blacks, ce samedi soir au Stade de France, le sélectionneur des Bleus, sous contrat jusqu’à l’été 2028, lance réellement son deuxième mandat après un Tournoi raté tout en continuant de jongler avec les phrases vides.

« On est très concentré sur la meilleure équipe de France possible du moment », a-t-il lâché jeudi à Marcoussis lors de l’annonce de la composition du XV de France. Sans rire. Aux médias et au grand public, il livre un discours abstrait, comme s’il voulait se maintenir hors de portée du commun des mortels. À ses joueurs, il réserve les paroles techniques. Mais jamais de remise en cause.

Et pourtant, il y aurait de quoi. En une année, l’homme qui a replacé le XV de France parmi les meilleures nations du rugby mondial a traversé deux séismes. Le premier, sportif, avec l’élimination de son équipe en quart de finale de la Coupe du monde le 15 octobre 2023 par l’Afrique du Sud (28-29). Un fiasco retentissant vu les moyens inédits dans l’histoire du rugby français qui lui avaient été alloués dans l’espoir d’un couronnement (42 joueurs à disposition à chaque rassemblement). « Je ne me suis absolument pas trompé », a-t-il clamé trois semaines plus tard lors d’une conférence de presse servant de débriefing.

« Il est toujours le même avec nous »

Rebelote après la désastreuse tournée, en termes d’image, du XV de France en Argentine au mois de juillet dernier, marquée par les dérives alcoolisées d’une partie des joueurs et du staff, les propos racistes de Melvyn Jaminet et les mises en examen pour viol d’Hugo Auradou et Oscar Jegou. « Je n’ai surtout pas pensé à démissionner, a-t-il répété deux fois dans une interview donnée à L’Équipe avant la tournée d’automne. Je ne me sens pas fragilisé. »

Responsable de rien donc. « Et pourtant si, il l’est, affirme son ami Denis Charvet, consultant sur RMC. Coupable, non, mais responsable, oui. C’est comme ça quand on est manager. » Un avis qui n’est pas partagé par Florian Grill, le président de la Fédération française, réélu le 19 octobre dernier et peut-être un peu contraint par la prolongation de contrat en béton signé par Galthié avec son prédécesseur Bernard Laporte. « Fabien n’est pas plus responsable que qui que ce soit », l’a-t-il défendu dans nos colonnes.

À 55 ans, l’ancien coach du Stade Français, de Montpellier puis de Toulon travaille donc en toute impunité, se permettant même d’aller accueillir Hugo Auradou et Oscar Jegou, dont le non-lieu demandé n’a pas été encore prononcé, à leur retour d’Argentine. Sans y voir quoi que ce soit de choquant. Sollicité avant le début de la tournée, le sélectionneur n’a pas souhaité répondre à nos questions.

Aurait-il changé, ne serait-ce qu’un minimum ou modifié tout du moins ses rapports avec son groupe après ces « expériences douloureuses » ? « Non, répond Gaël Fickou. Il est toujours le même avec nous. Il n’y a rien de différent. La seule chose, c’est qu’il essaie d’apporter des innovations techniques comme le grand écran sur le terrain d’entraînement par exemple. » « La seule chose qui a changé, c’est qu’il a une moustache maintenant, souligne Max Guazzini, l’ancien président du Stade Français, un proche depuis 33 ans. C’est comme ses lunettes. Je ne sais pas pourquoi il a besoin de ça, de se montrer comme ça. »

L’exemple n’est pas toujours venu d’en haut

C’est donc un sélectionneur à grosses montures et fine moustache qui s’est retrouvé fin août au cœur des États Généraux voulus par Florian Grill et qui a participé à l’élaboration de la charte imposée aux joueurs, resserrant le cadre de vie et chassant l’alcool jusqu’à interdire la moindre bière dans les vestiaires. Des images remontent alors en surface. Celles de la mise en scène fin décembre 2019 sur France Télévisions de la tournée de Fabien Galthié, qui prenait alors ses fonctions, au sein des clubs, présentant aux candidats au XV de France son « cadre de vie ».

« On doit être exemplaire pour être candidat en équipe de France. On peut faire la bringue, c’est même très important, mais il faut la cadrer, on ne peut pas faire n’importe quoi. » La réaction du Racingman Wenceslas Lauret réclamant de la cohérence et d’éviter les non-dits, plus sélectionné ensuite pour ne pas avoir courbé l’échine, avait quelque chose de prémonitoire.

Si l’effectif aujourd’hui a tout accepté en bloc, il a surtout salué le fait que le staff ait été inclus dans la charte. En coulisse, des joueurs n’ont cependant pas fait preuve du même enthousiasme. Certains d’entre eux ont même tenté de faire jouer leurs relations afin d’infléchir les règles. C’est que l’exemple n’est pas toujours venu d’en haut, loin de là.

80 % de victoires, oui, mais 20 % de Tournois remportés

Faut-il rappeler que le premier pacte a d’ailleurs été rompu par… Fabien Galthié, lui-même. En pleine période Covid, en février 2021, le sélectionneur avait percé la bulle sanitaire qui entourait Marcoussis pour une escapade personnelle alors que le XV de France, à l’époque, bénéficiait d’une dérogation gouvernementale pour disputer le Tournoi des Six Nations. Le virus s’était parallèlement propagé au sein de son groupe (17 cas positifs) sans que le sélectionneur ne soit considéré comme le patient zéro.

Menée par le professeur Roger Salamon, l’enquête interne de la FFR avait « exonéré de tout » Galthié, ciblant un joueur de l’équipe de France à 7 et rassurant au plus vite le ministre de tutelle Jean-Michel Blanquer, prompt à voler à son secours au nom de l’intérêt suprême du XV de France. Et au diable l’éthique de comportement. En interne, les dents avaient grincé, fort, face aux libertés que le sélectionneur s’était octroyées au mépris de la santé des joueurs et de leurs entourages.

Mais voilà donc un honneur tout neuf, un homme serein, un entraîneur protégé, parti sur une route sans péage à la poursuite de son graal, le titre mondial en 2027 en Australie, et brandissant sans cesse, comme un bouclier, les 80 % de victoires du XV de France sous sa direction. Mais oubliant qu’avec lui, les Bleus n’ont remporté qu’un seul Tournoi des Six Nations (le Grand Chelem en 2022) en cinq éditions. Cela fait 20 %. Une autre façon de voir les chiffres…

Vivement la quille, RAB dans ta gueule bitos

Scalp a écrit:Vivement la quille, RAB dans ta gueule bitos

Enfin un média qui monte au créneau... Il était temps j'ai envie de dire, mais qui ne défend pas Mathieu pour autant, cependant la ligne d'attaque est la bonne.

Big'Ben a écrit:

Scalp a écrit:Vivement la quille, RAB dans ta gueule bitos

Enfin un média qui monte au créneau... Il était temps j'ai envie de dire, mais qui ne défend pas Mathieu pour autant, cependant la ligne d'attaque est la bonne.

C’est un bon début, attendons les résultats à venir, les deux prochains matchs et surtout le tournoi, nos futurs adversaires n’ont pas été brillants, on devrait normalement gagner la compétition avec un tel stratège à notre tête…

Et ben ça cartonne ! C’est pas les potes de Galthie Le Parisien ni la Mafia Cassoulet
Je me souvenais pas du fait qu’il était allé accueillir les 2 neuneus…
C’est grave quand même…

Big'Ben a écrit:

Scalp a écrit:Vivement la quille, RAB dans ta gueule bitos

Enfin un média qui monte au créneau... Il était temps j'ai envie de dire, mais qui ne défend pas Mathieu pour autant, cependant la ligne d'attaque est la bonne.

L’article sur Matthieu était pas mal non plus… et c’est une bonne idée de ne pas mélanger…

Enfin un article qui cerne ce personnage égocentrique et qui s'applique si peu à lui même ce qu'il exige des autres ...enfin de certains

latine a écrit:Et ben ça cartonne ! C’est pas les potes de Galthie Le Parisien ni la Mafia Cassoulet
Je me souvenais pas du fait qu’il était allé accueillir les 2 neuneus…
C’est grave quand même…

L’exemplarité, comme tout le reste, c’est à géométrie variable avec notre contorsionniste en chef

sudiste a écrit:Enfin un article qui cerne ce personnage égocentrique et qui s'applique si peu à lui même ce qu'il exige des autres ...enfin de certains

S’il n’avait que tous les défauts qu’on lui connait, mais qu’il nous faisait gagner

Le XV de France n'a pas encore gagné contre l'Argentine non plus... S'ils y mettent la même intensité on va se faire rouler dessus dans les rucks.

latine a écrit:

Big'Ben a écrit:

Scalp a écrit:Vivement la quille, RAB dans ta gueule bitos

Enfin un média qui monte au créneau... Il était temps j'ai envie de dire, mais qui ne défend pas Mathieu pour autant, cependant la ligne d'attaque est la bonne.

L’article sur Matthieu était pas mal non plus… et c’est une bonne idée de ne pas mélanger…

Tu as raison, ça n’en a que plus de poids, pour tous ceux qui ne connaissent pas l’olibrius…