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Evolution du Top14 (format, règles...)
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
grospaquet31 a écrit:la montée du prix du petrole est purement speculative. on se sert du contexte mondial pour nous enfiler sur le prix à la pompe.
Ceci étant, économiser l'energie est toujours une bonne chose, surtout si on la fait de maniere intelligente et collective. ca ne peut pas etre l'affaire que de qq pays.
Faudrait savoir aussi pourquoi on a pas anticipé bien plus tot la transition ecologique (notamment energie renouvelable). J'ai ma petite idée, comme souvent les decisions politiques sont polluées par les lobbys et conflits d'interets. mais on se rend compte maintenant de l'urgence. C'est la nature qui nous l'impose, sinon on aurait pu continuer encore des décennies comme ca. si la fin du moteur thermique est bien pour 2035, va vraiment falloir s'activer. quid hors EU?
Faut bien commencer un jour comme dirait l'autre!
Comme toujours, la spéculation augmente les problèmes, mais dire que c'est le seul facteur de la hausse du prix des carburants, ce n'est pas vrai. L'Europe est dans une situation de dépendance aux hydrocarbures Russes, et les Russes ont largement fermé le robinet et vont peut-être même le fermer complètement, la situation est inextricable à court et moyen terme pour nous. La vérité, c'est que nous sommes en guerre contre la Russie et que nous allons en payer le prix. Il faut aider au maximum les personnes les plus fragiles économiquement et pour les autres, prendre notre part, c'est le prix à payer pour défendre nos valeurs démocratiques et ne pas céder au totalitarisme. Ce n'est que mon point de vue...
Scalp- Team modo
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
Scalp a écrit:grospaquet31 a écrit:la montée du prix du petrole est purement speculative. on se sert du contexte mondial pour nous enfiler sur le prix à la pompe.
Ceci étant, économiser l'energie est toujours une bonne chose, surtout si on la fait de maniere intelligente et collective. ca ne peut pas etre l'affaire que de qq pays.
Faudrait savoir aussi pourquoi on a pas anticipé bien plus tot la transition ecologique (notamment energie renouvelable). J'ai ma petite idée, comme souvent les decisions politiques sont polluées par les lobbys et conflits d'interets. mais on se rend compte maintenant de l'urgence. C'est la nature qui nous l'impose, sinon on aurait pu continuer encore des décennies comme ca. si la fin du moteur thermique est bien pour 2035, va vraiment falloir s'activer. quid hors EU?
Faut bien commencer un jour comme dirait l'autre!
Comme toujours, la spéculation augmente les problèmes, mais dire que c'est le seul facteur de la hausse du prix des carburants, ce n'est pas vrai. L'Europe est dans une situation de dépendance aux hydrocarbures Russes, et les Russes ont largement fermé le robinet et vont peut-être même le fermer complètement, la situation est inextricable à court et moyen terme pour nous. La vérité, c'est que nous sommes en guerre contre la Russie et que nous allons en payer le prix. Il faut aider au maximum les personnes les plus fragiles économiquement et pour les autres, prendre notre part, c'est le prix à payer pour défendre nos valeurs démocratiques et ne pas céder au totalitarisme. Ce n'est que mon point de vue...
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jimL- J'aime l'Union à la folie
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
jimL a écrit:Scalp a écrit:grospaquet31 a écrit:la montée du prix du petrole est purement speculative. on se sert du contexte mondial pour nous enfiler sur le prix à la pompe.
Ceci étant, économiser l'energie est toujours une bonne chose, surtout si on la fait de maniere intelligente et collective. ca ne peut pas etre l'affaire que de qq pays.
Faudrait savoir aussi pourquoi on a pas anticipé bien plus tot la transition ecologique (notamment energie renouvelable). J'ai ma petite idée, comme souvent les decisions politiques sont polluées par les lobbys et conflits d'interets. mais on se rend compte maintenant de l'urgence. C'est la nature qui nous l'impose, sinon on aurait pu continuer encore des décennies comme ca. si la fin du moteur thermique est bien pour 2035, va vraiment falloir s'activer. quid hors EU?
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Comme toujours, la spéculation augmente les problèmes, mais dire que c'est le seul facteur de la hausse du prix des carburants, ce n'est pas vrai. L'Europe est dans une situation de dépendance aux hydrocarbures Russes, et les Russes ont largement fermé le robinet et vont peut-être même le fermer complètement, la situation est inextricable à court et moyen terme pour nous. La vérité, c'est que nous sommes en guerre contre la Russie et que nous allons en payer le prix. Il faut aider au maximum les personnes les plus fragiles économiquement et pour les autres, prendre notre part, c'est le prix à payer pour défendre nos valeurs démocratiques et ne pas céder au totalitarisme. Ce n'est que mon point de vue...
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Tu parlais de la résilience des Anglais, je suis de mon côté assez inquiet de celle des Français, je parle de ceux dont cette crise ne touchera que le confort...
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
Scalp a écrit:
Tu parlais de la résilience des Anglais, je suis de mon côté assez inquiet de celle des Français, je parle de ceux dont cette crise ne touchera que le confort...
La frustration de ne pas pouvoir consommer.
le radis- Team modo
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
le radis a écrit:Scalp a écrit:
Tu parlais de la résilience des Anglais, je suis de mon côté assez inquiet de celle des Français, je parle de ceux dont cette crise ne touchera que le confort...
La frustration de ne pas pouvoir consommer.
En substance , on ne parle pas du prix du sang...
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
Juste pour dire que je regrette cette regle des 3 essais d’ecart pour le bonus offensif
A mon avis Ca ferme le jeu au lieu de l’ouvrir. Il faut revenir au bonus au 4ieme essai
A mon avis Ca ferme le jeu au lieu de l’ouvrir. Il faut revenir au bonus au 4ieme essai
grospaquet31- J'aime l'Union à la folie
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
grospaquet31 a écrit:Juste pour dire que je regrette cette regle des 3 essais d’ecart pour le bonus offensif
A mon avis Ca ferme le jeu au lieu de l’ouvrir. Il faut revenir au bonus au 4ieme essai
Enfin une bonne idée.
Big'Ben- J'aime l'Union à la folie
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
https://actu.fr/sports/rugby/pro/top-14-1-seul-marque-depuis-le-debut-de-la-saison-le-drop-est-il-en-train-de-mourir_54487311.html
marchal- Centre de presse
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Christopher-tolofua-talonneur-de-montpellier-ce-sont-des-automatismes-a-acquerir/1506983
Christopher Tolofua, talonneur de Montpellier : « Ce sont des automatismes à acquérir »
Les nouvelles règles du rugby, entrées en vigueur le 1er juillet, n'ont pas posé de difficultés particulières le week-end dernier lors de leur première application en Top 14.
Dominique Issartel
Le week-end dernier, les nouvelles règles entrées en vigueur le 1er juillet ont fait leur apparition en Top 14, plutôt en douceur, mais celle concernant le hors-jeu devant le botteur a un peu animé les conférences d'après-match. Pénalisé en deuxième période lors de la défaite (22-26) contre Lyon, le talonneur montpelliérain Christopher Tolofua a expliqué : « Ce sont des automatismes à acquérir. Sur les replacements, ça peut arriver (de se faire piéger). Il faut juste gommer ces erreurs-là. C'est une accumulation de détails qui ont fait qu'on était mal placés. C'est à nous de trouver les clés pour que ça se passe mieux. »
« Aujourd'hui, que ce soit sur la règle du hors-jeu, la zone de ruck, on peut toujours faire mieux mais dans l'ensemble, il y a eu une bonne compréhension de la part des joueurs »
Franck Azéma, manager de Perpignan
Mais toutes les équipes avaient travaillé le sujet en amont. Les coachs d'abord, lors de deux journées passées à Loudenvielle début août avec la trentaine d'arbitres officiant en Top 14 et Pro D2. « On a travaillé avec trois arbitres différents, raconte Franck Azéma, le manager de Perpignan. Les images vidéo qu'ils nous ont montré à titre d'exemple étaient très parlantes. Aujourd'hui, que ce soit sur la règle du hors-jeu (où les joueurs ne peuvent plus rester immobiles après un jeu au pied mais faire l'effort de se replier pour se remettre en jeu), la zone de ruck (où les prises crocodiles qui vrillent le corps de l'adversaire lors du plaquage sont interdites), on peut toujours faire mieux mais dans l'ensemble, il y a eu une bonne compréhension de la part des joueurs. »
Certains - tous ceux ayant disputé des rencontres internationales cet été - avaient déjà été exposés à ces nouveaux points de règlement. « J'ai eu la chance de faire la tournée de l'équipe de France cet été, note l'ouvreur de Bayonne Joris Segonds. Et on avait travaillé énormément la problématique du hors-jeu. En plus, en dix, ça change pas mal comparé à la saison dernière. Le plus dur ? C'est d'être obligé de se replier pour se remettre en jeu quand un adversaire tape. Mine de rien, quand on pouvait stagner sur place, ça économisait un peu les joueurs et il y avait beaucoup plus de jeu au pied. Maintenant, ça favorise l'attaque et ce n'est pas plus mal. »
« On a travaillé notamment sur le jeu au pied. Il y a intérêt à vraiment trouver les touches, sinon tu peux te retrouver en danger »
Laurent Travers, président du Racing 92
Les non-internationaux avaient aussi eu l'occasion de bosser le sujet pendant la phase de préparation. Comme dans tous les clubs, au Racing 92, « un arbitre professionnel est venu briefer les joueurs pour qu'ils aient le bon réflexe sur le terrain, explique le président Laurent Travers. On a travaillé notamment sur le jeu au pied. Il y a intérêt à vraiment trouver les touches, sinon tu peux te retrouver en danger. Ou alors, il faut très vite mettre la pression et le botteur, quand il monte, doit s'assurer qu'un autre prend sa place en défense. Dans la réorganisation, ce n'est pas forcément simple. » Cela dépend pour qui, comme le suggère son pilier Eddy Ben Arous en rigolant : « Quand la ligne défensive s'arrête, c'est plutôt les ailiers qui doivent courir pour la remettre en jeu... À eux d'accélérer ! »
Christopher Tolofua, talonneur de Montpellier : « Ce sont des automatismes à acquérir »
Les nouvelles règles du rugby, entrées en vigueur le 1er juillet, n'ont pas posé de difficultés particulières le week-end dernier lors de leur première application en Top 14.
Dominique Issartel
Le week-end dernier, les nouvelles règles entrées en vigueur le 1er juillet ont fait leur apparition en Top 14, plutôt en douceur, mais celle concernant le hors-jeu devant le botteur a un peu animé les conférences d'après-match. Pénalisé en deuxième période lors de la défaite (22-26) contre Lyon, le talonneur montpelliérain Christopher Tolofua a expliqué : « Ce sont des automatismes à acquérir. Sur les replacements, ça peut arriver (de se faire piéger). Il faut juste gommer ces erreurs-là. C'est une accumulation de détails qui ont fait qu'on était mal placés. C'est à nous de trouver les clés pour que ça se passe mieux. »
« Aujourd'hui, que ce soit sur la règle du hors-jeu, la zone de ruck, on peut toujours faire mieux mais dans l'ensemble, il y a eu une bonne compréhension de la part des joueurs »
Franck Azéma, manager de Perpignan
Mais toutes les équipes avaient travaillé le sujet en amont. Les coachs d'abord, lors de deux journées passées à Loudenvielle début août avec la trentaine d'arbitres officiant en Top 14 et Pro D2. « On a travaillé avec trois arbitres différents, raconte Franck Azéma, le manager de Perpignan. Les images vidéo qu'ils nous ont montré à titre d'exemple étaient très parlantes. Aujourd'hui, que ce soit sur la règle du hors-jeu (où les joueurs ne peuvent plus rester immobiles après un jeu au pied mais faire l'effort de se replier pour se remettre en jeu), la zone de ruck (où les prises crocodiles qui vrillent le corps de l'adversaire lors du plaquage sont interdites), on peut toujours faire mieux mais dans l'ensemble, il y a eu une bonne compréhension de la part des joueurs. »
Certains - tous ceux ayant disputé des rencontres internationales cet été - avaient déjà été exposés à ces nouveaux points de règlement. « J'ai eu la chance de faire la tournée de l'équipe de France cet été, note l'ouvreur de Bayonne Joris Segonds. Et on avait travaillé énormément la problématique du hors-jeu. En plus, en dix, ça change pas mal comparé à la saison dernière. Le plus dur ? C'est d'être obligé de se replier pour se remettre en jeu quand un adversaire tape. Mine de rien, quand on pouvait stagner sur place, ça économisait un peu les joueurs et il y avait beaucoup plus de jeu au pied. Maintenant, ça favorise l'attaque et ce n'est pas plus mal. »
« On a travaillé notamment sur le jeu au pied. Il y a intérêt à vraiment trouver les touches, sinon tu peux te retrouver en danger »
Laurent Travers, président du Racing 92
Les non-internationaux avaient aussi eu l'occasion de bosser le sujet pendant la phase de préparation. Comme dans tous les clubs, au Racing 92, « un arbitre professionnel est venu briefer les joueurs pour qu'ils aient le bon réflexe sur le terrain, explique le président Laurent Travers. On a travaillé notamment sur le jeu au pied. Il y a intérêt à vraiment trouver les touches, sinon tu peux te retrouver en danger. Ou alors, il faut très vite mettre la pression et le botteur, quand il monte, doit s'assurer qu'un autre prend sa place en défense. Dans la réorganisation, ce n'est pas forcément simple. » Cela dépend pour qui, comme le suggère son pilier Eddy Ben Arous en rigolant : « Quand la ligne défensive s'arrête, c'est plutôt les ailiers qui doivent courir pour la remettre en jeu... À eux d'accélérer ! »
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Scalp- Team modo
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
grospaquet31 a écrit:Juste pour dire que je regrette cette regle des 3 essais d’ecart pour le bonus offensif
A mon avis Ca ferme le jeu au lieu de l’ouvrir. Il faut revenir au bonus au 4ieme essai
Je suis de l'avis inverse ...je n'aime pas cette règle du bonus à 4 essais qui fait justement qu'une fois acquis ce point ne peut plus être perdu. Elle permet de plus d'accumuler potentiellement 2 points dans une défaite (alors qu'il est quand même rare que le perdant aient marqué 3 essais de plus que son adversaire) voire même 3 pour chaque équipe pour un nul bonifié pour chacune
Alors qu'une équipe qui a virtuellement le bonus doit, soit cravacher pour le sécuriser, soit s'y remettre pour le récupérer quand elle le perd ...si tant est qu'il reste assez de temps pour ça, n'est-ce pas Damian
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
Je me pose regulierement la question aussi!
Ce qui pourrait etre sympa c'est de faire 3 essais d'ecart ou 5 essais par exemple.
Ce qui pourrait etre sympa c'est de faire 3 essais d'ecart ou 5 essais par exemple.
Charles_ubb- J'aime l'Union à la folie
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
Charles_ubb a écrit:Je me pose regulierement la question aussi!
Ce qui pourrait etre sympa c'est de faire 3 essais d'ecart ou 5 essais par exemple.
Pourquoi se poser des questions quand Sudiste t'apporte la réponse ?
sudiste- Unioniste de la première heure
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
sudiste a écrit:Charles_ubb a écrit:Je me pose regulierement la question aussi!
Ce qui pourrait etre sympa c'est de faire 3 essais d'ecart ou 5 essais par exemple.
Pourquoi se poser des questions quand Sudiste t'apporte la réponse ?
quand je dis que je me pose la question, je suis partage.
Parfois je me dis que quand tu plantes 4 ou 5 essais tu devrais avoir le bonus. Mais quand on etait sur ce mode la ca lachait un peu avant et effectivement avoir le double bonus desequilibrerait un peu les debats.
Mais d'un autre cote, ce point de bonus est plus la pour encourager le spectacle (en tout cas l'etait), donc ca ne serait pas delirant d'avoir un seuil egalement. Ou ne plus appeler ca bonus offensif mais bonus de branlee et on est bon
Charles_ubb- J'aime l'Union à la folie
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
Charles_ubb a écrit:sudiste a écrit:Charles_ubb a écrit:Je me pose regulierement la question aussi!
Ce qui pourrait etre sympa c'est de faire 3 essais d'ecart ou 5 essais par exemple.
Pourquoi se poser des questions quand Sudiste t'apporte la réponse ?
quand je dis que je me pose la question, je suis partage.
Parfois je me dis que quand tu plantes 4 ou 5 essais tu devrais avoir le bonus. Mais quand on etait sur ce mode la ca lachait un peu avant et effectivement avoir le double bonus desequilibrerait un peu les debats.
Mais d'un autre cote, ce point de bonus est plus la pour encourager le spectacle (en tout cas l'etait), donc ca ne serait pas delirant d'avoir un seuil egalement. Ou ne plus appeler ca bonus offensif mais bonus de branlee et on est bon
J'adore ce concept
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
Scalp a écrit:Charles_ubb a écrit:sudiste a écrit:Charles_ubb a écrit:Je me pose regulierement la question aussi!
Ce qui pourrait etre sympa c'est de faire 3 essais d'ecart ou 5 essais par exemple.
Pourquoi se poser des questions quand Sudiste t'apporte la réponse ?
quand je dis que je me pose la question, je suis partage.
Parfois je me dis que quand tu plantes 4 ou 5 essais tu devrais avoir le bonus. Mais quand on etait sur ce mode la ca lachait un peu avant et effectivement avoir le double bonus desequilibrerait un peu les debats.
Mais d'un autre cote, ce point de bonus est plus la pour encourager le spectacle (en tout cas l'etait), donc ca ne serait pas delirant d'avoir un seuil egalement. Ou ne plus appeler ca bonus offensif mais bonus de branlee et on est bon
J'adore ce concept
En fait ca devrait etre ca le bonus. Si tu gagnes de plus de 20 ou 30 points, t'as un point de bonus.
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
Charles_ubb a écrit:Scalp a écrit:Charles_ubb a écrit:sudiste a écrit:Charles_ubb a écrit:Je me pose regulierement la question aussi!
Ce qui pourrait etre sympa c'est de faire 3 essais d'ecart ou 5 essais par exemple.
Pourquoi se poser des questions quand Sudiste t'apporte la réponse ?
quand je dis que je me pose la question, je suis partage.
Parfois je me dis que quand tu plantes 4 ou 5 essais tu devrais avoir le bonus. Mais quand on etait sur ce mode la ca lachait un peu avant et effectivement avoir le double bonus desequilibrerait un peu les debats.
Mais d'un autre cote, ce point de bonus est plus la pour encourager le spectacle (en tout cas l'etait), donc ca ne serait pas delirant d'avoir un seuil egalement. Ou ne plus appeler ca bonus offensif mais bonus de branlee et on est bon
J'adore ce concept
En fait ca devrait etre ca le bonus. Si tu gagnes de plus de 20 ou 30 points, t'as un point de bonus.
Ça nous aurait arrangé, je vote pour
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
Charles_ubb a écrit:Scalp a écrit:Charles_ubb a écrit:sudiste a écrit:Charles_ubb a écrit:Je me pose regulierement la question aussi!
Ce qui pourrait etre sympa c'est de faire 3 essais d'ecart ou 5 essais par exemple.
Pourquoi se poser des questions quand Sudiste t'apporte la réponse ?
quand je dis que je me pose la question, je suis partage.
Parfois je me dis que quand tu plantes 4 ou 5 essais tu devrais avoir le bonus. Mais quand on etait sur ce mode la ca lachait un peu avant et effectivement avoir le double bonus desequilibrerait un peu les debats.
Mais d'un autre cote, ce point de bonus est plus la pour encourager le spectacle (en tout cas l'etait), donc ca ne serait pas delirant d'avoir un seuil egalement. Ou ne plus appeler ca bonus offensif mais bonus de branlee et on est bon
J'adore ce concept
En fait ca devrait etre ca le bonus. Si tu gagnes de plus de 20 ou 30 points, t'as un point de bonus.
Défaite d'au max 5 points, BD
Victoire d'au min 20 points, BO
Entre les 2, rien
Voilà qui serait simple.
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/top14/il-y-a-un-vrai-changement-de-mentalite-avec-plus-de-six-essais-par-match-le-top-14-passe-a-l-offensive-21506330.php
Il y a un vrai changement de mentalité » : avec plus de six essais par match, le Top 14 passe à l’offensive
Lecture 3
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Par Denys Kappès-Grangé
Après trois journées, la moyenne d’essais marqués par match est en nette hausse. Un simple épiphénomène ou la marque d’un changement de mentalité ?
La perspective est alléchante. Dimanche soir, en clôture de la 4e journée du Top 14, le Stade Toulousain et l’UBB vont s’affronter sur la pelouse d’Ernest-Wallon. Deux équipes qui, outre le fait qu’elles soient les deux derniers finalistes, présentent les deux attaques les plus prolifiques - au nombre des points - en ce début de saison. Il n’est pas interdit de voir derrière cette affiche une promesse de spectacle. Mais les observateurs les plus assidus pourraient rétorquer que cette qualité est déjà au rendez-vous ces dernières semaines.
43 essais inscrits lors de la 1re journée, 49 puis 42 lors des deux suivantes… Les formations de Top 14 semblent résolument tournées vers l’offensive. Une preuve ? La moyenne d’essais marqués par match a fait un bond par rapport aux derniers exercices (lire par ailleurs).
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Évidemment, aussi tôt dans la saison, on ne peut occulter l’impact de certains « cas particuliers » derrière ces chiffres. Cinq matchs ont ainsi offert au moins 10 essais en ce mois de septembre : celui entre l’UBB et le Stade Français (10), ou encore ceux ayant opposé le Stade Français à Vannes (10), la Section Paloise à l’Aviron Bayonnais (11), le Stade Rochelais à la Section Paloise (11) et, enfin, l’UBB au Racing (13), samedi soir dernier.
« On y est pour beaucoup : nos matchs ont généré pas mal d’essais. En notre faveur à domicile, mais surtout contre nous sur nos deux matchs à l’extérieur (NDLR, à Clermont et à La Rochelle) », ironise ainsi Geoffrey Lanne-Petit, en charge de l’attaque d’une Section Paloise qui, en dépit d’un début de saison chaotique, reste portée sur le jeu.
« Les résultats plaidaient en faveur du Stade Français, il a pourtant annoncé vouloir faire évoluer son animation offensive »
Cette propension à l’autodérision est louable. Mais elle n’empêche pas le technicien béarnais de se faire plus sérieux lorsqu’il estime que cette tendance illustre un changement de mentalité profond opéré suite à la greffe « d’entraîneurs étrangers » : « Yannick Bru est arrivé à l’UBB avec une méthode anglo-saxonne et son entraîneur de l’attaque (Noel McNamara), Stuart Lancaster est au Racing depuis la saison dernière, Andrea Masi s’occupe de l’attaque à Toulon, Alan Zondagh est en charge de celle de Lyon… Or ce qui se fait de mieux, c’est ce que font les Néo-Zélandais et les Irlandais, avec un jeu de possession fait de cellules très bien animées. »
La fin de la loi Dupont
Simple effet de mode ? Geoffrey Lanne-Petit ne le croit pas : « Le Stade Français est passé tout près d’une finale de Top 14 grâce à la qualité de sa défense : les résultats plaidaient en sa faveur, il a pourtant clairement annoncé vouloir faire évoluer son animation offensive. […] Et les Sud-Africains, doubles champions du monde, sont allés chercher Tony Brown, qui était en charge de l’attaque des Blacks. Il y a un vrai changement de mentalité. »
Il ne faut pas rechercher derrière ce phénomène une quête d’esthétisme. De manière plus prosaïque, il s’agit de coller au plus près des directives arbitrales. Ces dernières n’ont pas fondamentalement été modifiées. Mais une d’entre elles semble déjà avoir un impact : l’abrogation de ce qui était désigné la « Loi Dupont ».
« Sur les phases d’échange de coups de pied, les joueurs au milieu du terrain étaient remis en jeu par un jeu au pied, une passe ou une course de 5 mètres : il suffisait aux avants de rester au milieu », observe Christophe Laussucq, en charge de la défense de l’UBB. « Désormais, ils doivent faire l’effort de revenir vers leur camp. Il y a donc plus de dépense d’énergie et beaucoup plus d’espaces pour contre-attaquer. »
« J’ai trouvé qu’on laissait plus de marges aux soutiens offensifs. Si ça se confirme, les équipes tiendront plus le ballon : elles n’auront pas peur de faire le ruck de trop »
Là encore, les statistiques le démontrent : la moyenne d’essais n’est pas la seule à augmenter, celles du nombre de mètres gagnés et de courses avec le ballon sont indexées sur la même courbe. « C’est un changement énorme, appuie Geoffrey Lanne-Petit. Là où il y avait trois défenseurs, il n’y en a plus qu’un au moment de relancer : ça donne des options sur contre-attaque. »
Règle et interprétation
D’autres points de règlement ont évolué. Que ce soit l’impossibilité de prendre une mêlée suite à un « coup franc » - « ça favorise le ball in play », insiste Lanne-Petit - ou la limitation du temps à 5 secondes pour que le numéro 9 constitue une « chenille » d’avants derrière un ruck pour gagner en confort avant de dégager au pied.
Au moment d’analyser l’actuelle prime à l’offensive dans ce Top 14, Christophe Laussucq n’oublie toutefois pas de souligner la part prise de l’interprétation de la règle par les arbitres eux-mêmes : « Sur certains matchs, j’ai trouvé qu’on laissait plus de marge aux soutiens offensifs. Si ça se confirme, les équipes tiendront plus le ballon. Elles n’auront pas peur de faire le ruck de trop ». « En fait, ça donne de la confiance, insiste Geoffrey Lanne-Petit. On sait que si on attaque bien, on va plus facilement pousser la défense adverse à la faute. » Et ça, ça change tout.
Il y a un vrai changement de mentalité » : avec plus de six essais par match, le Top 14 passe à l’offensive
Lecture 3
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Par Denys Kappès-Grangé
Après trois journées, la moyenne d’essais marqués par match est en nette hausse. Un simple épiphénomène ou la marque d’un changement de mentalité ?
La perspective est alléchante. Dimanche soir, en clôture de la 4e journée du Top 14, le Stade Toulousain et l’UBB vont s’affronter sur la pelouse d’Ernest-Wallon. Deux équipes qui, outre le fait qu’elles soient les deux derniers finalistes, présentent les deux attaques les plus prolifiques - au nombre des points - en ce début de saison. Il n’est pas interdit de voir derrière cette affiche une promesse de spectacle. Mais les observateurs les plus assidus pourraient rétorquer que cette qualité est déjà au rendez-vous ces dernières semaines.
43 essais inscrits lors de la 1re journée, 49 puis 42 lors des deux suivantes… Les formations de Top 14 semblent résolument tournées vers l’offensive. Une preuve ? La moyenne d’essais marqués par match a fait un bond par rapport aux derniers exercices (lire par ailleurs).
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Évidemment, aussi tôt dans la saison, on ne peut occulter l’impact de certains « cas particuliers » derrière ces chiffres. Cinq matchs ont ainsi offert au moins 10 essais en ce mois de septembre : celui entre l’UBB et le Stade Français (10), ou encore ceux ayant opposé le Stade Français à Vannes (10), la Section Paloise à l’Aviron Bayonnais (11), le Stade Rochelais à la Section Paloise (11) et, enfin, l’UBB au Racing (13), samedi soir dernier.
« On y est pour beaucoup : nos matchs ont généré pas mal d’essais. En notre faveur à domicile, mais surtout contre nous sur nos deux matchs à l’extérieur (NDLR, à Clermont et à La Rochelle) », ironise ainsi Geoffrey Lanne-Petit, en charge de l’attaque d’une Section Paloise qui, en dépit d’un début de saison chaotique, reste portée sur le jeu.
« Les résultats plaidaient en faveur du Stade Français, il a pourtant annoncé vouloir faire évoluer son animation offensive »
Cette propension à l’autodérision est louable. Mais elle n’empêche pas le technicien béarnais de se faire plus sérieux lorsqu’il estime que cette tendance illustre un changement de mentalité profond opéré suite à la greffe « d’entraîneurs étrangers » : « Yannick Bru est arrivé à l’UBB avec une méthode anglo-saxonne et son entraîneur de l’attaque (Noel McNamara), Stuart Lancaster est au Racing depuis la saison dernière, Andrea Masi s’occupe de l’attaque à Toulon, Alan Zondagh est en charge de celle de Lyon… Or ce qui se fait de mieux, c’est ce que font les Néo-Zélandais et les Irlandais, avec un jeu de possession fait de cellules très bien animées. »
La fin de la loi Dupont
Simple effet de mode ? Geoffrey Lanne-Petit ne le croit pas : « Le Stade Français est passé tout près d’une finale de Top 14 grâce à la qualité de sa défense : les résultats plaidaient en sa faveur, il a pourtant clairement annoncé vouloir faire évoluer son animation offensive. […] Et les Sud-Africains, doubles champions du monde, sont allés chercher Tony Brown, qui était en charge de l’attaque des Blacks. Il y a un vrai changement de mentalité. »
Il ne faut pas rechercher derrière ce phénomène une quête d’esthétisme. De manière plus prosaïque, il s’agit de coller au plus près des directives arbitrales. Ces dernières n’ont pas fondamentalement été modifiées. Mais une d’entre elles semble déjà avoir un impact : l’abrogation de ce qui était désigné la « Loi Dupont ».
« Sur les phases d’échange de coups de pied, les joueurs au milieu du terrain étaient remis en jeu par un jeu au pied, une passe ou une course de 5 mètres : il suffisait aux avants de rester au milieu », observe Christophe Laussucq, en charge de la défense de l’UBB. « Désormais, ils doivent faire l’effort de revenir vers leur camp. Il y a donc plus de dépense d’énergie et beaucoup plus d’espaces pour contre-attaquer. »
« J’ai trouvé qu’on laissait plus de marges aux soutiens offensifs. Si ça se confirme, les équipes tiendront plus le ballon : elles n’auront pas peur de faire le ruck de trop »
Là encore, les statistiques le démontrent : la moyenne d’essais n’est pas la seule à augmenter, celles du nombre de mètres gagnés et de courses avec le ballon sont indexées sur la même courbe. « C’est un changement énorme, appuie Geoffrey Lanne-Petit. Là où il y avait trois défenseurs, il n’y en a plus qu’un au moment de relancer : ça donne des options sur contre-attaque. »
Règle et interprétation
D’autres points de règlement ont évolué. Que ce soit l’impossibilité de prendre une mêlée suite à un « coup franc » - « ça favorise le ball in play », insiste Lanne-Petit - ou la limitation du temps à 5 secondes pour que le numéro 9 constitue une « chenille » d’avants derrière un ruck pour gagner en confort avant de dégager au pied.
Au moment d’analyser l’actuelle prime à l’offensive dans ce Top 14, Christophe Laussucq n’oublie toutefois pas de souligner la part prise de l’interprétation de la règle par les arbitres eux-mêmes : « Sur certains matchs, j’ai trouvé qu’on laissait plus de marge aux soutiens offensifs. Si ça se confirme, les équipes tiendront plus le ballon. Elles n’auront pas peur de faire le ruck de trop ». « En fait, ça donne de la confiance, insiste Geoffrey Lanne-Petit. On sait que si on attaque bien, on va plus facilement pousser la défense adverse à la faute. » Et ça, ça change tout.
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
https://www.sudouest.fr/sport/rugby/top14/top-14-les-arbitres-doivent-etre-des-acteurs-de-la-rapidite-du-jeu-21509128.php
Top 14 : « Les arbitres doivent être des acteurs de la rapidité du jeu »
Par Recueilli par Arnaud David
Maxime Chalon, membre de la cellule haute performance de l’arbitrage, explique les directives prises pour favoriser l’attaque
Peut-on identifier un paramètre arbitrage dans le début de saison offensif du Top 14 ?
Il serait prétentieux de dire que c’est grâce à l’arbitrage que ces stats sont positives. Mais on a envie de croire qu’on amène notre pierre à l’édifice. Je pense que c’est une somme de plusieurs choses. Les clubs ont adapté leur système de jeu aux consignes. Mais on a mis l’accent avec la cellule haute performance sur plusieurs paramètres pour accélérer la rapidité du jeu.
Comment favorise-t-on l’attaque ?
Il y a d’abord la tolérance zéro sur les plaqueurs. On attend des arbitres qu’ils soient beaucoup plus sévères sur ces plaqueurs ou ces faux gratteurs qui viennent tenter des gestes improbables juste pour ralentir une demi-seconde ou d’une seconde le ballon en attendant l’avertissement de l’arbitre qui dit « lâchez ». Sauf que la demi-seconde est gagnée. On a donc demandé aux arbitres d’être des acteurs ou des défenseurs de la rapidité. Cela amène des meilleures sorties de balle dans les rucks, de la continuité.
Les demis de mêlée semblent aussi encouragés à jouer plus rapidement.
Oui, il s’agit de la directive des cinq secondes. La règle existe depuis des années mais elle n’était quasiment pas utilisée. Donc, on a maintenant des arbitres qui demandent que le ballon soit joué. Cela surprend. Il y en a qui mettent des mêlées au bout de la première action. Ils n’ont à le faire qu’une fois. Ensuite, les demis de mêlée s’activent. Si l’on regarde les statistiques, les sorties de balle après rucks sont bien plus prolifiques que celles de l’an dernier.
Y a-t-il d’autres éléments déterminants ?
Oui. Le troisième facteur positif, ce sont les attitudes au nettoyage dans les rucks. À Loudenvielle, lors de notre stage de présaison, nous avons construit avec les entraîneurs la façon de voir cette phase de jeu. On veut qu’il y ait un combat loyal possible dans les rucks et des attitudes qui permettent un grattage ou un contre-ruck. On sait que ces ballons de turnover sont les meilleurs à exploiter, qu’ils amènent des essais. Eux aussi sont en hausse. C’est un de nos chevaux de bataille. C’est tellement plus intéressant à voir et cela favorise les attaques et les essais.
L’adhésion des joueurs et des staffs est-elle essentielle ?
Oui et il faut leur donner un coup de chapeau. Je pense notamment à un secteur comme la mêlée. Les arbitres ne sont pas forcément de grands techniciens mais nous avons été intransigeants sur des choses simples. Les clubs l’ont compris. Il y a moins de cartons jaunes et l’on se rend compte que les ballons joués après mêlée sont bien plus nombreux. C’est une belle rampe de lancement.
Au-delà de cette collaboration, on a aussi demandé aux arbitres d’avoir plus d’uniformité. Qu’ils soient plus prévisibles. Pour y parvenir, on a donc mis en place des réunions, du travail technique toutes les semaines avec des retours aux clubs. L’addition de toutes ces petites choses fait qu’on n’a plus besoin d’attendre la Coupe d’Europe pour avoir des matchs ouverts et attractifs.
Top 14 : « Les arbitres doivent être des acteurs de la rapidité du jeu »
Par Recueilli par Arnaud David
Maxime Chalon, membre de la cellule haute performance de l’arbitrage, explique les directives prises pour favoriser l’attaque
Peut-on identifier un paramètre arbitrage dans le début de saison offensif du Top 14 ?
Il serait prétentieux de dire que c’est grâce à l’arbitrage que ces stats sont positives. Mais on a envie de croire qu’on amène notre pierre à l’édifice. Je pense que c’est une somme de plusieurs choses. Les clubs ont adapté leur système de jeu aux consignes. Mais on a mis l’accent avec la cellule haute performance sur plusieurs paramètres pour accélérer la rapidité du jeu.
Comment favorise-t-on l’attaque ?
Il y a d’abord la tolérance zéro sur les plaqueurs. On attend des arbitres qu’ils soient beaucoup plus sévères sur ces plaqueurs ou ces faux gratteurs qui viennent tenter des gestes improbables juste pour ralentir une demi-seconde ou d’une seconde le ballon en attendant l’avertissement de l’arbitre qui dit « lâchez ». Sauf que la demi-seconde est gagnée. On a donc demandé aux arbitres d’être des acteurs ou des défenseurs de la rapidité. Cela amène des meilleures sorties de balle dans les rucks, de la continuité.
Les demis de mêlée semblent aussi encouragés à jouer plus rapidement.
Oui, il s’agit de la directive des cinq secondes. La règle existe depuis des années mais elle n’était quasiment pas utilisée. Donc, on a maintenant des arbitres qui demandent que le ballon soit joué. Cela surprend. Il y en a qui mettent des mêlées au bout de la première action. Ils n’ont à le faire qu’une fois. Ensuite, les demis de mêlée s’activent. Si l’on regarde les statistiques, les sorties de balle après rucks sont bien plus prolifiques que celles de l’an dernier.
Y a-t-il d’autres éléments déterminants ?
Oui. Le troisième facteur positif, ce sont les attitudes au nettoyage dans les rucks. À Loudenvielle, lors de notre stage de présaison, nous avons construit avec les entraîneurs la façon de voir cette phase de jeu. On veut qu’il y ait un combat loyal possible dans les rucks et des attitudes qui permettent un grattage ou un contre-ruck. On sait que ces ballons de turnover sont les meilleurs à exploiter, qu’ils amènent des essais. Eux aussi sont en hausse. C’est un de nos chevaux de bataille. C’est tellement plus intéressant à voir et cela favorise les attaques et les essais.
L’adhésion des joueurs et des staffs est-elle essentielle ?
Oui et il faut leur donner un coup de chapeau. Je pense notamment à un secteur comme la mêlée. Les arbitres ne sont pas forcément de grands techniciens mais nous avons été intransigeants sur des choses simples. Les clubs l’ont compris. Il y a moins de cartons jaunes et l’on se rend compte que les ballons joués après mêlée sont bien plus nombreux. C’est une belle rampe de lancement.
Au-delà de cette collaboration, on a aussi demandé aux arbitres d’avoir plus d’uniformité. Qu’ils soient plus prévisibles. Pour y parvenir, on a donc mis en place des réunions, du travail technique toutes les semaines avec des retours aux clubs. L’addition de toutes ces petites choses fait qu’on n’a plus besoin d’attendre la Coupe d’Europe pour avoir des matchs ouverts et attractifs.
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
Tout ça va dans le bon sens, pour notre plus grand plaisir !, y compris de la santé des joueurs, le rugby est certes un sport de combat collectif, mais aussi un sport d'évitement. Je prends plus de plaisir à voir un rugby offensif, qu'un rugby d'usure et de destruction, la santé de nos joueurs est aussi en jeu.
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
Scalp a écrit:https://www.sudouest.fr/sport/rugby/top14/top-14-les-arbitres-doivent-etre-des-acteurs-de-la-rapidite-du-jeu-21509128.php
Top 14 : « Les arbitres doivent être des acteurs de la rapidité du jeu »
Par Recueilli par Arnaud David
Maxime Chalon, membre de la cellule haute performance de l’arbitrage, explique les directives prises pour favoriser l’attaque
Peut-on identifier un paramètre arbitrage dans le début de saison offensif du Top 14 ?
Il serait prétentieux de dire que c’est grâce à l’arbitrage que ces stats sont positives. Mais on a envie de croire qu’on amène notre pierre à l’édifice. Je pense que c’est une somme de plusieurs choses. Les clubs ont adapté leur système de jeu aux consignes. Mais on a mis l’accent avec la cellule haute performance sur plusieurs paramètres pour accélérer la rapidité du jeu.
Comment favorise-t-on l’attaque ?
Il y a d’abord la tolérance zéro sur les plaqueurs. On attend des arbitres qu’ils soient beaucoup plus sévères sur ces plaqueurs ou ces faux gratteurs qui viennent tenter des gestes improbables juste pour ralentir une demi-seconde ou d’une seconde le ballon en attendant l’avertissement de l’arbitre qui dit « lâchez ». Sauf que la demi-seconde est gagnée. On a donc demandé aux arbitres d’être des acteurs ou des défenseurs de la rapidité. Cela amène des meilleures sorties de balle dans les rucks, de la continuité.
Les demis de mêlée semblent aussi encouragés à jouer plus rapidement.
Oui, il s’agit de la directive des cinq secondes. La règle existe depuis des années mais elle n’était quasiment pas utilisée. Donc, on a maintenant des arbitres qui demandent que le ballon soit joué. Cela surprend. Il y en a qui mettent des mêlées au bout de la première action. Ils n’ont à le faire qu’une fois. Ensuite, les demis de mêlée s’activent. Si l’on regarde les statistiques, les sorties de balle après rucks sont bien plus prolifiques que celles de l’an dernier.
Y a-t-il d’autres éléments déterminants ?
Oui. Le troisième facteur positif, ce sont les attitudes au nettoyage dans les rucks. À Loudenvielle, lors de notre stage de présaison, nous avons construit avec les entraîneurs la façon de voir cette phase de jeu. On veut qu’il y ait un combat loyal possible dans les rucks et des attitudes qui permettent un grattage ou un contre-ruck. On sait que ces ballons de turnover sont les meilleurs à exploiter, qu’ils amènent des essais. Eux aussi sont en hausse. C’est un de nos chevaux de bataille. C’est tellement plus intéressant à voir et cela favorise les attaques et les essais.
L’adhésion des joueurs et des staffs est-elle essentielle ?
Oui et il faut leur donner un coup de chapeau. Je pense notamment à un secteur comme la mêlée. Les arbitres ne sont pas forcément de grands techniciens mais nous avons été intransigeants sur des choses simples. Les clubs l’ont compris. Il y a moins de cartons jaunes et l’on se rend compte que les ballons joués après mêlée sont bien plus nombreux. C’est une belle rampe de lancement.
Au-delà de cette collaboration, on a aussi demandé aux arbitres d’avoir plus d’uniformité. Qu’ils soient plus prévisibles. Pour y parvenir, on a donc mis en place des réunions, du travail technique toutes les semaines avec des retours aux clubs. L’addition de toutes ces petites choses fait qu’on n’a plus besoin d’attendre la Coupe d’Europe pour avoir des matchs ouverts et attractifs.
Enlever des secondes au buteur lors de la préparation de son tir au but, c'est bien.
Stopper le chrono lors de la mise en place de la mêlée et le faire courir à nouveau lors des commandements de l'arbitre, c'est mieux...
Stopper le chrono sur mêlée autant de fois qu'elle s'écroule ou que les premières lignes refusent d'entrer...là, on gagnerait du temps.
Je m'en vais de ce pas faire une demande à la FFR pour que ce soit débattu à World Rugby !
Dr. Gregory Bouse- J'aime l'Union à la folie
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Re: Evolution du Top14 (format, règles...)
Dr. Gregory Bouse a écrit:Scalp a écrit:https://www.sudouest.fr/sport/rugby/top14/top-14-les-arbitres-doivent-etre-des-acteurs-de-la-rapidite-du-jeu-21509128.php
Top 14 : « Les arbitres doivent être des acteurs de la rapidité du jeu »
Par Recueilli par Arnaud David
Maxime Chalon, membre de la cellule haute performance de l’arbitrage, explique les directives prises pour favoriser l’attaque
Peut-on identifier un paramètre arbitrage dans le début de saison offensif du Top 14 ?
Il serait prétentieux de dire que c’est grâce à l’arbitrage que ces stats sont positives. Mais on a envie de croire qu’on amène notre pierre à l’édifice. Je pense que c’est une somme de plusieurs choses. Les clubs ont adapté leur système de jeu aux consignes. Mais on a mis l’accent avec la cellule haute performance sur plusieurs paramètres pour accélérer la rapidité du jeu.
Comment favorise-t-on l’attaque ?
Il y a d’abord la tolérance zéro sur les plaqueurs. On attend des arbitres qu’ils soient beaucoup plus sévères sur ces plaqueurs ou ces faux gratteurs qui viennent tenter des gestes improbables juste pour ralentir une demi-seconde ou d’une seconde le ballon en attendant l’avertissement de l’arbitre qui dit « lâchez ». Sauf que la demi-seconde est gagnée. On a donc demandé aux arbitres d’être des acteurs ou des défenseurs de la rapidité. Cela amène des meilleures sorties de balle dans les rucks, de la continuité.
Les demis de mêlée semblent aussi encouragés à jouer plus rapidement.
Oui, il s’agit de la directive des cinq secondes. La règle existe depuis des années mais elle n’était quasiment pas utilisée. Donc, on a maintenant des arbitres qui demandent que le ballon soit joué. Cela surprend. Il y en a qui mettent des mêlées au bout de la première action. Ils n’ont à le faire qu’une fois. Ensuite, les demis de mêlée s’activent. Si l’on regarde les statistiques, les sorties de balle après rucks sont bien plus prolifiques que celles de l’an dernier.
Y a-t-il d’autres éléments déterminants ?
Oui. Le troisième facteur positif, ce sont les attitudes au nettoyage dans les rucks. À Loudenvielle, lors de notre stage de présaison, nous avons construit avec les entraîneurs la façon de voir cette phase de jeu. On veut qu’il y ait un combat loyal possible dans les rucks et des attitudes qui permettent un grattage ou un contre-ruck. On sait que ces ballons de turnover sont les meilleurs à exploiter, qu’ils amènent des essais. Eux aussi sont en hausse. C’est un de nos chevaux de bataille. C’est tellement plus intéressant à voir et cela favorise les attaques et les essais.
L’adhésion des joueurs et des staffs est-elle essentielle ?
Oui et il faut leur donner un coup de chapeau. Je pense notamment à un secteur comme la mêlée. Les arbitres ne sont pas forcément de grands techniciens mais nous avons été intransigeants sur des choses simples. Les clubs l’ont compris. Il y a moins de cartons jaunes et l’on se rend compte que les ballons joués après mêlée sont bien plus nombreux. C’est une belle rampe de lancement.
Au-delà de cette collaboration, on a aussi demandé aux arbitres d’avoir plus d’uniformité. Qu’ils soient plus prévisibles. Pour y parvenir, on a donc mis en place des réunions, du travail technique toutes les semaines avec des retours aux clubs. L’addition de toutes ces petites choses fait qu’on n’a plus besoin d’attendre la Coupe d’Europe pour avoir des matchs ouverts et attractifs.
Enlever des secondes au buteur lors de la préparation de son tir au but, c'est bien.
Stopper le chrono lors de la mise en place de la mêlée et le faire courir à nouveau lors des commandements de l'arbitre, c'est mieux...
Stopper le chrono sur mêlée autant de fois qu'elle s'écroule ou que les premières lignes refusent d'entrer...là, on gagnerait du temps.
Je m'en vais de ce pas faire une demande à la FFR pour que ce soit débattu à World Rugby !
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